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Syndrome muscarinien : Clitocybe candicans, Clitocybe cerussata, Clitocybe dealbata, Clitocybe phyllophila, Clitocybe rivulosa Inocybe fastigiata, Inocybe geophylla, Inocybe patouillardii, Inocybe fastigiata, Inocybe geophylla, Inocybe fragans, Inocybe cincinnata, Inocybe maculata, Inocybe corydalina, Inocybe godeyi Entoloma rhodopolium (Japon), Amanita muscaria, Amanita echinocephala Omphalotus illudens, Omphalotus olearius, Omphalotus subilludens (sueurs et hypersalivation bien que sans muscarine) Mycena pura et Mycena rosea ont rarement occasionné ces symptômes. Tylopilus felleus (faible) Wikipedia NOV 2011
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Syndrome orellanien : Cortinarius orellanus, le cortinaire couleur de rocou ou cortinaire des montagnes Cortinarius orellanoides, Cortinarius henrici et peut-être Cortinarius splendens Cortinarius limonius, le cortinaire citron Cortinarius speciosissimus (Cortinarius rubellus), le cortinaire très élégant Wikipedia NOV 2011
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Syndrome phalloïdien : Amanita phalloides, l'amanite phalloïde Amanita verna, l'amanite printanière Amanita virosa, l'amanite vireuse Amanita decipiens, Amanita bisporigera et Amanita ocreata Galerina marginata, Galerina autumnalis et Galerina venenata, la galère marginée Lepiota helveola, la lépiote brune (Lepiota brunneoincarnata, Lepiota brunneolilacina, Lepiota helveloides, Lepiota josserandii, Lepiota pseudohelveola, Lepiota subincarnata) Pholiotina filaris, etc. Wikipedia NOV 2011
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Les intoxications alimentaires par consommation de champignons sont fréquentes. En France, la Direction générale de la santé et l’Institut de veille sanitaire alertent régulièrement les amateurs de champignons et rappellent les conseils basiques. Les symptômes de type diarrhée, vomissements, nausées, tremblements, vertiges, troubles de la vue, etc. doivent inciter les patients et professionnels de santé à « appeler sans délai le centre 15 ou le centre antipoison le plus proche » en mentionnant la consommation récente de champignons. A titre d'exemple, il y a eu 388 cas enregistrés d’intoxications par champignons par l'INVS et les centres antipoison et de toxicovigilance (CAPTV) pour la seule région Midi-Pyrénnées le 1er juillet et le 8 août 2011, contre 61 cas la même période en 2010, en raison d'un été plus humide en 2011, favorable aux émergences précoce de champignons). Cette liste est limitée aux champignons supérieurs, les plus fréquemment trouvés en zone tempérée de l'hémisphère nord, toxiques par ingestion (voir articles suivants). Pour la description détaillée des syndromes et des toxines naturelles, voir Mycotoxicologie. En outre certains champignons peuvent aussi être toxiques de par les métaux lourds (plomb, cadmium, mercure, radionucléides) que certaines espèces accumulent facilement et parfois en grande quantité, y compris pour des champignons souterrains (truffes dont Elaphomyces granulatus notamment). Wikipedia NOV 2011
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Les primates sont devenus sociaux en abandonnant la vie nocturne Après avoir observé diverses espèces de singes et étudié la littérature scientifique sur ce sujet, des chercheurs britanniques suggèrent que nos ancêtres primates ont opté pour des stratégies de groupe lorsqu’ils sont passés d’un mode de vie nocturne à un mode de vie diurne. C'est en analysant le comportement de plusieurs espèces de primates, ainsi que les liens de parenté entre 217 espèces de ces animaux que l’équipe de Suzanne Shultz, spécialiste en biologie évolutive à l’Université d’Oxford a émis une théorie intéressante sur l'évolution de ce groupe zoologique. Selon celle-ci, le passage d’une vie solitaire à une vie sociale aurait eu lieu assez brutalement chez les primates, il y a environ 55 millions d’années, consécutivement au passage d’un mode de vie nocturne à un mode de vie diurne, plus propice à la recherche de nourriture et aux déplacements. "Si vous êtes un petit animal actif la nuit, alors votre meilleure stratégie pour éviter la prédation est d'être difficile à détecter. Mais si vous devenez actif pendant la journée, cette stratégie n'est plus très efficace, donc une stratégie alternative pour réduire le risque d'être mangé, c'est de vivre en groupes sociaux", explique le Dr Shultz citée par BBC News. La surveillance des environs et la défense contre les prédateurs est ainsi plus facile. Les sociétés humaines sont probablement issues de tels groupes sociaux, mais la différence clé réside dans le fait que, chez nos proches cousins, le modèle social diffère peu au sein d’une même espèce, contrairement à ce qui se passe pour nous. "Parmi les sociétés humaines, nous avons de la polygamie, de la monogamie, dans certaines régions ce sont les femmes qui quittent leur groupe natal, dans d’autre, ce sont les hommes, …", a encore expliqué la scientifique. Maxisciences 11/11/2011
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Le bisphénol, les phtalates et autres produits chimiques reconnus toxiques
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Pollutions
Dans un rapport publié mercredi, l’Académie nationale de médecine indique regretter l’interdiction précipitée du bisphénol A (BPA), dans la mesure où aucun produit de substitution n’est proposé. Le bisphénol A est un composant chimique extrêmement répandu dans les boîtes de conserve, les canettes et dans certains amalgames dentaires. Pourtant, il est suspecté d’être un perturbateur endocrinien et un produit cancérigène (hormono-dépendant) favorisant notamment les cancers du sein et de la prostate. Ainsi, le 12 octobre dernier, l’Assemblée a voté l’interdiction du BPA dans tous les contenants alimentaires. Une loi qui doit être mise en application à partir de 2013 pour les contenants alimentaires de produits destinés aux moins de 3 ans et à partir de 2014 pour l’ensemble des emballages restants. Toutefois, selon l'Académie de médecine, le BPA pourrait ne contribuer que faiblement, à l'augmentation des cancers hormono-dépendants. Il est précisé que ses mécanismes d'action sont encore mal connus. De plus, "il nous semble prématuré d'interdire le BPA en l'absence de produit fiable de substitution" a expliqué le cancérologue Henri Rochefort, co-auteur du rapport présenté cette semaine. Des conseils pour limiter l'exposition Pour autant, l’Académie recommande de faire attention à l’utilisation de produits plastiques contenants du BPA ou des phtalates, rapporte romandie.com. Ainsi, il faut éviter de chauffer les aliments directement dans les emballages plastiques ou de stocker trop longtemps les eaux minérales en bouteille à des températures élevées, la chaleur entraînant la libération des phtalates. En outre, il faudrait ne pas recycler les emballages contenant des BPA ou des phtalates et conseiller aux employés qui manipulent des tickets de caisse contenant des BPA de porter des gants. Maxisciences 11/11/2011 -
Déchets : traitement des déchets
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Les déchets - tri des déchets
Depuis dimanche dernier, des militants anti-incinération de déchets marchent depuis Clermont-Ferrand jusqu’à Paris, qu’ils rallieront demain. Cette "marche-vélo-caravane" a fait étape dans plusieurs communes "touchées directement par une usine d'incinération". En septembre, un rapport remis par la Cour des comptes avait estimé que la France mettait encore trop de déchets à la décharge plutôt que de les utiliser comme compost ou de les recycler. Ainsi, des militants anti-incinération des déchets dénoncent "la mainmise des entreprises privées sur ces technologies coûteuses et polluantes". Pour le Cniid, association spécialisée, "la France n'a pas été en mesure de s'engager dans une politique nouvelle de gestion des déchets, plus respectueuse de l'environnement et moins coûteuse pour les citoyens", en raison des pressions exercées par ces industriels. Les militants, partis de Clermont-Ferrand dimanche dernier au cours d’une "marche-vélo-caravane", sont passés par Bayet (Allier), Fourchambault (Nièvre), Gien (Loiret) et Nemours (Seine-et-Marne), rapporte TV5monde. "Toutes ces villes situées sur le parcours ont en commun d'être touchées directement par une usine d'incinération, en construction pour la première et en fonctionnement pour les quatre autres", a précisé le Cniid. Le cortège doit arriver à Paris samedi matin, à la porte d'Orléans. Les manifestants se joindront aux opposants à la construction d'un nouvel aéroport près de Nantes pour "porter un message commun jusque devant le Sénat : stop à l'emprise des lobbies industriels sur les décisions publiques". Maxisciences 11/11/2011 -
Des scientifiques de divers centres de recherches de Californie, aux Etats-Unis ont étudié la faune microbienne emprisonnée dans les glaces permanentes du pergélisol de l’Arctique. Cette microdiversité pourrait jouer un rôle majeur dans le contrôle du réchauffement climatique prévu au cours des prochaines décennies. Le pergélisol de l’Arctique, sous-sol gelé en permanence, devrait fondre considérablement au cours des prochaines décennies. Une réalité lourde de conséquences puisque, selon les estimations, la quantité de carbone renfermée dans les glaces est à peu près équivalente au montant total contenu dans les plantes et l’atmosphère du monde entier. Avec le dégel, l’accessibilité de la matière organique entrainera ainsi une augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Un phénomène qui, selon les chercheurs de diverses institutions de Californie pourrait être contrôlé par la libération de la faune microbienne également retenue dans le pergélisol. Pour en arriver à une telle conclusion, l’équipe de scientifiques a recueilli trois carottes de glaces prélevées dans le sous-sol du centre de l’Alaska. Les échantillons ont ensuite été décongelés et conservés à une température ambiante de 5 degrés Celsius au sein du laboratoire national Lawrence Berkeley. La nature et la quantité des gaz émis ont été enregistrées pendant et après le processus de dégel. Les résultats, publiés dans la revue Nature, ont révélé d’énormes quantités de méthane émises durant les premiers jours de la fonte des glaces. Ce gaz, emprisonné lors de la congélation de l’eau, est libéré dans l’atmosphère lors du processus inverse et ce, à un taux considérable. Toutefois, les observations ont constaté une chute très rapide de sa concentration juste après son émission. Les micro organismes régulent l'émission de méthane Selon les chercheurs, les micro-organismes contenus dans les échantillons joueraient un rôle important dans le contrôle d’émission des gaz. Avec le dégel, la micro-faune consomment en fait le méthane pour le convertir en dioxyde de carbone (CO2). "C'est une réponse très rapide" souligne au NewScientist, Janet Jansson co-auteur de l’étude. Pour l’heure, la nature de cette micro-faune est encore un mystère. "La plupart des micro-organismes contenus dans le pergélisol n'ont jamais été cultivés, et plus de 90 pour cent ne sont pas identifiés", explique Janet Jansson. Afin de comprendre globalement les processus métaboliques de ces organismes qui interviennent lors du dégel, l’équipe de chercheurs a séquencé des échantillons d'ADN contenus dans les prélèvements de glace. Des gaz à effet de serre transformés Les chercheurs ont ainsi découvert qu’après une semaine d'incubation à 5 degrés Celsius, les voies biochimiques des différents micro-organismes du pergélisol convergent vers un processus identique impliquant une transformation du méthane et du protoxyde d'azote, deux gaz à effet de serre extrêmement puissants. En d’autres termes, la micro-faune contenue dans les glaces pourrait permettre de rendre inoffensifs ces substances en échange d’une production conséquente de CO2. Bien que celui-ci soit également un gaz à effet de serre reconnu, il serait encore préférable à l’émission des deux autres substances, selon Janet Jansson. Maxisciences 11/11/2011
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Rapaces : Une ONG veut lutter contre leur empoisonnement au Royaume-Uni
BelleMuezza a posté un sujet dans Oiseaux
Dans son rapport Birdcrime, l’ONG environnementale britannique RSPB recense 128 cas d’empoisonnement de rapaces en 2010 au Royaume-Uni, et demande une réglementation stricte concernant certains produits toxiques, utilisés pour ces destructions illégales d’espèces protégées. Si, pour l’année 2010, la Royal Society for the Protection of Birds (RSPB), une ONG ornithologique britannique, a recensé moins de cas d’empoisonnements volontaires d’oiseaux de proie que pour l’année précédente (128 en 2010, contre 153 en 2009), elle souligne néanmoins leur gravité sur le plan écologique. Outre le 1er cas connu d’empoisonnement d’un aigle royal en Irlande du Nord, le phénomène a concerné notamment 20 milans royaux, 30 buses, 2 autours, 8 faucons pèlerins, 5 aigles dorés, un pygargue à queue blanche et un épervier. En cause, selon l’association, la législation sur les produits toxiques en vigueur en Angleterre, au Pays de Galles et en Irlande du Nord : si la possession de produits nocifs pour la faune y est interdite depuis 2006 (plus récemment pour l’Irlande du Nord), aucune liste des substances prohibées n’accompagne les textes de loi, d’où une impossibilité de contrôles réels. La RSPB préconise ainsi un alignement sur ce qui existe en Écosse, où l’interdiction mise en place en 2005 a été assortie de la publication d’une telle liste. Ceci a permis d’obtenir 10 condamnations selon les règles, pour des infractions de ce genre. Maxisciences 11/11/2011 -
L'Amazonie, les Iles Bu Tinah aux Emirats Arabes Unis et la Mer Morte sont en tête des résultats selon un premier dépouillement des votes destinés à choisir les sept merveilles de la Nature, une opération lancée par une fondation suisse qui doit annoncer les gagnants ce vendredi à 19H07 GMT. La fondation New7Wonders a organisé ce vote mondial qui permettra aux citoyens du monde de choisir les "sept nouvelles merveilles de la nature". Les opérations de vote -- qui pouvaient se faire par téléphone, SMS ou à travers les réseaux sociaux -- ont pris fin vendredi à 11H11 GMT, a-t-on pu constater sur le compte à rebours du site internet de la fondation (http://www.new7wonders.com). A 16H00 GMT, la fondation a publié un premier dépouillement des votes. A ce stade, les 14 lieux préférés sont: l'Amazonie, les Iles Bu Tinah aux Emirats Arabes Unis, la Mer Morte, la grande barrière de corail, la baie d'Halong au Vietnam, les chutes d'Iguazu en Argentine et au Brésil, la grotte de Jeita au Liban, l'île de Jeju en Corée du Sud, le Kilimandjaro, l'île de Komodo en Indonésie, la région des Lacs de Mazuri en Pologne, la rivière souterraine de Puerto Princesa aux Philippines, la forêt de Sundarbans au Bangladesh et la Montagne de la Table en Afrique du Sud. A 19H07 GMT, la liste provisoire des 7 gagnants sera publiée. Les dernières tendances enregistrées sur le site permettaient de constater une forte progression des votes en faveur de la Forêt Noire en Allemagne et des Iles Maldives. Cette opération est le résultat d'un long processus. De décembre 2007 à juillet 2009, tous les citoyens du monde ont été invités par la fondation New7Wonders à proposer les sites de leur choix, sur les cinq continents. Plus d'un million de votes avaient alors été enregistrés dans plus de 220 pays. Ensuite, un comité d'experts nommés par la fondation New7Wonders a proposé officiellement 28 sites sur les 77 pré-sélectionnés. Parmi ces finalistes, annoncés en juillet 2009, figurent ainsi le Kilimandjaro en Tanzanie, les Galapagos en Equateur ou les chutes d'Iguazu en Argentine et au Brésil. La fondation New7Wonders a été créée en 2001 par le réalisateur de films documentaires Bernard Weber, un Canadien d'origine suisse, sur le principe des sept merveilles du monde antique établies par Philon de Byzance, durant l'Antiquité grecque. La fondation, qui est basée à Zurich, en Suisse, s'est fait connaître en 2007 avec un premier vote international concernant les sept nouvelles merveilles du monde, opération à laquelle avaient participé près de 100 millions de personnes, selon le site internet. Elle a pour objectif de créer une mémoire internationale par le biais d'activités partagées par des citoyens du monde entier. "Participons tous ensemble à ce mouvement mondial, pour créer sept symboles du patrimoine et de la nature" qui feront "partie de la mémoire globale pour toujours", explique son fondateur Bernard Weber sur son site internet. "Des chutes d'eau aux fjords, des forêts tropicales aux sommets des montagnes, des lacs d'eau douce aux volcans, nous découvrons ensemble l'incroyable beauté et la variété de notre planète", souligne-t-il. Il ne compte d'ailleurs pas en rester là. Dès à présent, les citoyens du monde entier peuvent voter pour pré-sélectionner une nouvelle catégorie de merveilles: les villes. Sciences et Avenir 11/11/2011
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Boycott de thon rouge : Aider À sauver le thon rouge avant qu'il soit trop tard
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Pétitions : Monde aquatique
Près de 300 représentants des Etats pêcheurs de thon rouge, d'organisations internationales et d'ONG se sont réunis vendredi à Istanbul où ils tenteront en neuf jours de s'entendre sur des mesures pour renforcer le contrôle des prises et la protection de nouvelles espèces menacées. La Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (CICTA) a déjà réduit les quotas de pêche de thon rouge de l'Atlantique, avec une limite fixée à 12.900 tonnes par saison pour 2011 et 2012 contre 13.500 tonnes en 2010. Mais les organisations de défense de l'environnement dénoncent des fraudes massives faute de mécanismes de contrôle suffisants. Un récent rapport de l'ONG américaine Pew Environment Group a ainsi mis en évidence que "le commerce international réel du thon rouge dans l'Atlantique-est en 2009 et 2010 représentait le double du quota de pêche mis en place par la CICTA pour ces deux années". A Istanbul, les délégués des 48 Etats membres de la CICTA plancheront donc sur les instruments de contrôle des prises. "Un sujet important est le suivi des captures. On est en train de réfléchir à comment mettre en oeuvre un document électronique qui peut suivre le produit depuis la capture jusqu'à la consommation. On a fait une étude de faisabilité qu'on va exposer", a déclaré à l'AFP Driss Meski, secrétaire général exécutif de la CICTA. La CICTA devrait également proposer des mesures de protection pour de nouvelles espèces, selon un délégué parlant sous le couvert de l'anonymat. "Le comité scientifique va faire des recommandations concernant différentes espèces comme l'espadon, le thon obèse, l'albacore. Il s'agira de quotas de pêche ou de mesures techniques comme la limitation des engins. Et en général, nous suivons les recommandations scientifiques", a déclaré cette source. "Les parties impliquées dans ces pêcheries vont discuter la répartition de quotas, il va y avoir des négociations", a confirmé M. Meski. Des propositions devraient également être faites concernant la protection des requins, considérés par la CICTA comme des victimes collatérales de la pêche au thon, a indiqué le délégué. Sciences et Avenir 11/11/2011 -
Japon : évolution du tourisme depuis la triple catastrophe
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Séisme et tsunami au Japon spécial 2011
Six préfectures du nord-est du Japon, affectées par la catastrophe du 11 mars, ont mené une opération promotionnelle à Taïwan. L'objectif était de démontrer qu'elles étaient sûres et prêtes à accueillir à nouveau des touristes. Pour cela, elles ont participé à une importante manifestation touristique qui a ouvert ses portes vendredi à Taipei. Les Taiwanais ayant fait le déplacement se sont dits rassurés de constater que les sites touristiques étaient à nouveau pleinement accessibles et qu'ils ne subissaient plus les effets de la crise nucléaire de Fukushima. NHK 11/11/2011 -
JAPON : La décontamination de la zone d'évacuation
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Fukushima / Japon : Impact environnemental et humain
Le gouvernement japonais a validé un projet de nettoyage des retombées radioactives provoquées par l'accident de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi. Le projet a été établi par le ministère de l'Environnement. Il prévoit le nettoyage de toutes les zones où l'exposition annuelle aux radiations atteint ou dépasse un millisievert. Le gouvernement central sera responsable de la décontamination des zones interdites d'accès autour de la centrale et de celles qui ont été évacuées. Les niveaux de radiation seraient particulièrement élevés dans ces zones. Dans les autres territoires affectés, le nettoyage sera de la responsabilité des municipalités. Son financement sera pris en charge par le gouvernement. Autre mesure prévue dans le projet, la réduction de moitié environ et d'ici deux ans des niveaux de radiation des zones où ils ne dépassent pas 20 millisieverts. Dans les écoles et les parcs où les enfants passent beaucoup de temps, l'objectif est de réduire les radiations d'environ 60 pour cent. NHK 11/11/2011 -
Un travailleur humanitaire japonais extrait des décombres d'un hôtel en Turquie, où un violent séisme s'est produit mercredi, est finalement décédé. La secousse, d'une magnitude 5,6, s'est produite peu après 21h00 dans l'est de la Turquie. Selon le gouvernement turc, 25 immeubles, dont 2 hôtels, se sont effondrés dans la capitale provinciale de Van, proche de l'épicentre. Huit morts au moins ont été confirmées et des dizaines de personnes seraient bloquées sous les décombres. Depuis le violent tremblement de terre survenu fin octobre dans la même région, le travailleur humanitaire Atsushi Miyazaki, membre d'une Association d'aide et de secours basée à Tokyo, se trouvait dans un des hôtels affectés avec une collègue. Cette dernière, Miyuki Konnai, a également été secourue et elle serait encore vivante. Selon l'association, M. Miyazaki avait été extrait des décombres environ 13 heures après le séisme. NHK 10/11/2011
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Sauvetage d'une baleine
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Bagheera1111 dans Photos - vidéos insolites ou rigolotes d'animaux
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Le coût de l'énergie en augmentation... en cause la dénucléarisation
BelleMuezza a posté un sujet dans Energies
L'AIE, l'Agence internationale de l'énergie, a averti que le prix de l'énergie allait augmenter si la tendance à délaisser le nucléaire se poursuivait dans le monde. L'AIE, un organe consultatif des principaux pays consommateurs de pétrole, a publié mercredi son rapport annuel intitulé "World Energy Outlook (Perspectives sur l'énergie mondiale)". L'agence y étudie l'impact de l'accident de la centrale Fukushima Dai-ichi en se fondant sur l'hypothèse d'un arrêt pur et simple de la construction de nouveaux réacteurs nucléaires dans les pays développés et de leur réduction de moitié dans les économies émergentes. Selon le rapport, il en résultera une forte hausse de la demande en gaz naturel et en charbon, provoquant une augmentation des prix, tandis qu'on aura davantage recours aux énergies renouvelables telles que l'éolien. En conséquence, les pays importateurs de ressources, y compris le Japon, verront leur facture énergétique s'accroître de 90 milliards de dollars en 2035. Le rapport ajoute que les émissions de dioxyde de carbone par les économies émergentes, dont les besoins en énergie vont croissants, augmenteront d'environ 6 pour cent, ce qui compromettra gravement la lutte contre le réchauffement climatique. NHK 10/11/2011 -
JAPON / Fukushima : Le suivi de la situation au jour le jour
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Fukushima / Japon : les centrales
La Compagnie d'électricité de Tokyo, Tepco, compte installer des appareils de détection de xénon radioactif en vue de prévenir d'éventuels dangers nucléaires. Les 1er et 2 novembre, du xénon radioactif a été détecté dans des gaz provenant de l'enceinte de confinement du réacteur numéro 2 de la centrale de Fukushima. NHK 10/11/2011 -
Le nucléaire en question : débats, manifs, infos, etc... en France et dans le monde
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Le NUCLEAIRE (énergie)
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a indiqué que son pays n'abandonnerait pas son programme nucléaire. Il a fait ce commentaire après la publication, mardi, d'un nouveau rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique ou AIEA. Dans son rapport, l'AIEA exprime sa profonde inquiétude quant au développement du nucléaire iranien. L'agence révèle que l'Iran a effectué de puissants tests explosifs et travaille à la fabrication de dénotateurs de bombe atomique. Dans un discours prononcé mecredi, M. Ahmadinejad a fustigé le rapport de l'AIEA, disant que cette dernière se décrédibilisait en s'appuyant sur des accusations américaines sans fondement. Il a réaffirmé la volonté de son pays de poursuivre son programme nucléaire. NHK 10/11/2011 -
Un séisme de magnitude 5,6 a frappé l'est de la Turquie, 2 semaines après la secousse mortelle qui s'est produite dans la région. La presse locale a confirmé la mort de 3 personnes. Selon l'Institut américain de géologie, le tremblement de terre est survenu mercredi aux alentours de 21h20, heure locale. Son épicentre a été enregistré à 5 km de pronfondeur, dans l'est du pays. Selon des informations communiquées par la télévision d'Etat, 18 bâtiments se sont effondrés, dont 2 hôtels. Trois morts ont été confirmées et des dizaines de personnes seraient bloquées sous les décombres. Une vidéo enregistrée dans la province de Van, près de l'épicentre, montre des immeubles de béton totalement aplatis et des rues jonchées de gravats. Rappelons que le 23 octobre, la région a subi un séisme de magnitude 7,2. Dans la même province de Van, la plus durement touchée, le séisme a détruit plus de 2200 immeubles, faisant au moins 600 morts et plus de 4000 blessés. NHK 10/11/2011
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JAPON / Fukushima : Le suivi de la situation au jour le jour
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Fukushima / Japon : les centrales
Ce n’est pas avant une dizaine d’années que l’on pourra commencer à songer à l’évacuation du combustible fondu dans les réacteurs de Fukushima. Selon le journal japonais Mainichi (1) dans un article du 26 octobre, c’est l’annonce que fait la Commission de sûreté nucléaire japonaise dans un avant-projet de rapport que le journal a pu se procurer. Et comme le souligne le quotidien, « c’est la première fois que cet organisme gouvernemental établit de façon officielle qu’il faudra « plus de trente ans » pour démanteler les réacteurs 1 à 4 de la centrale ». A partir de 2015, toujours selon ce rapport, ce serait le combustible usé auquel s’attaquerait en priorité la mission de nettoyage… Avec obligation d’apporter toute une batterie de grues capables d’extraire ces barres de combustible de bâtiments partiellement effondrés et les transporter dans un lieu de stockage intermédiaire. Une mission difficile et à haut risque, pour laquelle, toujours selon le rapport cité par Mainichi, devrait être constituée, tout exprès, une « organisation chargée du suivi de ces travaux de démantèlement». L’idée que l’opérateur privé TEPCO ne soit pas lui-même juge et partie sur la sûreté des travaux commencerait donc à faire son chemin… L’ampleur de la catastrophe oblige à prendre au sérieux le découplage entre autorité de sûreté, gouvernement et opérateurs. Comme l’a rappelé dans son discours d’ouverture, le 24 octobre, le président de la commission de l’énergie atomique Shunsuke Kondo devant une assemblée d’ingénieurs réunis à l’université d’Osaka (2), en avril prochain l’agence de sûreté et sécurité nucléaire (NSSA) sera installée. L’actuelle agence de sûreté nucléaire et industrielle étant séparée du ministère de l’économie, du commerce et de l’industrie. Et, ce, afin d’ assurer une véritable culture de sûreté. Cette séparation tardive sera-t-elle convaincante ? Devant une assemblée d’ingénieurs, il a osé rappeler que la tâche ne serait pas facile sachant qu’actuellement, au Japon, « plus de 70% du public est favorable à l’arrêt de l’énergie nucléaire » Question cruciale que cette indépendance, évoquée par André-Claude Lacoste, le président de l’autorité de sûreté française ASN dans une toute récente interview à ParisTech Review (3) et pour qui, au Japon, « la répartition des rôles est confuse ». Mais d’assurer, en revanche, que l’ASN française est...« totalement indépendante », à l’instar de la NRC américaine (nuclear regulatory commission). Pendant ce temps, dans les zones contaminées de l’archipel, on commence à s’interroger très concrètement sur les difficultés des opérations de décontamination des sols : - où entreposer les immenses quantités de terre et déchets ? - comment s’assurer que certaines actions ne recontaminent pas plus fortement d’autres zones ? Une mission de 12 experts de l’AIEA a eu lieu du 7 au 15 octobre, spécialement sur ce sujet, mais on doute qu’un premier rapport déjà mis en ligne (4), au style parfaitement bureaucratique, n’apporte de réelle avancée. On se contentera d’y relever deux ou trois choses : - l’équipe de l’AIEA s’est ainsi réjouie d’avoir visité « deux écoles, dont la contamination a été pour une large part éliminée par des volontaires bien organisés, essentiellement les parents des élèves ». On ne sait pas, pour notre part, si les « 400 écoles », annoncées comme « déjà décontaminées », l’ont toutes été de cette façon. Par ailleurs, on apprend dans ce compte-rendu qu’un système de suivi de la radioactivité en temps-réel est « en train d’être installé (…) et qu’environ 2700 stations couvriront à terme l’ensemble du Japon. Les premières, au nombre de 20, ont été déployées dans la préfecture de Fukushima et on peut suivre leurs mesures sur le site de [url=http://www.r-monitor.jp/]www.r-monitor.jp[/url] ». Problème : il suffit de regarder la carte sur le site pour voir à quel point ces mesures sont effectuées très loin les unes des autres alors même que la radioactivité déposée peut varier rapidement sur le terrain. En quoi ces mesures, qui ne valent que très localement, apportent-elles une information pertinente, serait-elle « en temps réel » ? On ne comprend pas très bien, sauf à penser que, par leur simple présence, ces stations de mesure sont destinées à créer un sentiment de contrôle et à rassurer les visiteurs-internautes… En espérant qu’elles n’enregistreront pas une nouvelle poussée de radioactivité indésirable - durant les opérations de démantèlement ? Enfin, voici une information qu’agriculteurs et consommateurs vont certainement suivre attentivement : selon le groupe d’experts de l’AIEA, après examen de résultats préliminaires de travaux effectués au Japon, le césium (dont un des isotopes, le césium 137 a une demi-vie de 30 ans et demeure donc dans les sols) passerait moins facilement du sol aux plantes que ne l’avaient évalué de premiers travaux sur le sujet. Le facteur de transfert retenu jusqu’à présent était de 0,1. Autrement dit, comme on ne peut commercialiser du riz contaminé au-delà de 500 Bq/kg, les sols ne devaient pas dépasser 5000 Bq/kg… Ce sont ces niveaux qui vont être remis en question, l’équipe estimant que ce « facteur de transfert conservateur pourra être abandonné quand les tests seront terminés et que des facteurs réalistes auront été fermement établis ». Vu l’importance du riz dans la consommation quotidienne des Japonais, il faut espérer qu’un suivi tout aussi ferme (par des associations de consommateurs ?) de la radioactivité des lots de céréales finalement mis en vente sera effectué après adoption de ces nouveaux facteurs de transfert. 1) Lire la version anglaise de l’article du 26 octobre sur le site http://mdn.mainichi.jp/mdnnews/national/archive/news/2011/10/27/20111027p2a00m0na014000c.html 2) http://www.aec.go.jp/jicst/NC/about/kettei/111024a.pdf#page=1 3) http://www.paristechreview.com/2011/10/31/surete-nucleaire-apres-fukushima/ 4) http://www.nsc.go.jp/anzen/shidai/genan2011/genan075/ssiryo1.pdf Billet de Dominique LEGLU, Biochimiste, directrice de la rédaction de Sciences et Avenir. Sciences et Avenir 01/11/2011 -
Fukushima vu par des spécialistes : retour et explications des événements
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Fukushima / Japon : les centrales
Ce n’est pas avant une dizaine d’années que l’on pourra commencer à songer à l’évacuation du combustible fondu dans les réacteurs de Fukushima. Selon le journal japonais Mainichi (1) dans un article du 26 octobre, c’est l’annonce que fait la Commission de sûreté nucléaire japonaise dans un avant-projet de rapport que le journal a pu se procurer. Et comme le souligne le quotidien, « c’est la première fois que cet organisme gouvernemental établit de façon officielle qu’il faudra « plus de trente ans » pour démanteler les réacteurs 1 à 4 de la centrale ». A partir de 2015, toujours selon ce rapport, ce serait le combustible usé auquel s’attaquerait en priorité la mission de nettoyage… Avec obligation d’apporter toute une batterie de grues capables d’extraire ces barres de combustible de bâtiments partiellement effondrés et les transporter dans un lieu de stockage intermédiaire. Une mission difficile et à haut risque, pour laquelle, toujours selon le rapport cité par Mainichi, devrait être constituée, tout exprès, une « organisation chargée du suivi de ces travaux de démantèlement». L’idée que l’opérateur privé TEPCO ne soit pas lui-même juge et partie sur la sûreté des travaux commencerait donc à faire son chemin… L’ampleur de la catastrophe oblige à prendre au sérieux le découplage entre autorité de sûreté, gouvernement et opérateurs. Comme l’a rappelé dans son discours d’ouverture, le 24 octobre, le président de la commission de l’énergie atomique Shunsuke Kondo devant une assemblée d’ingénieurs réunis à l’université d’Osaka (2), en avril prochain l’agence de sûreté et sécurité nucléaire (NSSA) sera installée. L’actuelle agence de sûreté nucléaire et industrielle étant séparée du ministère de l’économie, du commerce et de l’industrie. Et, ce, afin d’ assurer une véritable culture de sûreté. Cette séparation tardive sera-t-elle convaincante ? Devant une assemblée d’ingénieurs, il a osé rappeler que la tâche ne serait pas facile sachant qu’actuellement, au Japon, « plus de 70% du public est favorable à l’arrêt de l’énergie nucléaire » Question cruciale que cette indépendance, évoquée par André-Claude Lacoste, le président de l’autorité de sûreté française ASN dans une toute récente interview à ParisTech Review (3) et pour qui, au Japon, « la répartition des rôles est confuse ». Mais d’assurer, en revanche, que l’ASN française est...« totalement indépendante », à l’instar de la NRC américaine (nuclear regulatory commission). Pendant ce temps, dans les zones contaminées de l’archipel, on commence à s’interroger très concrètement sur les difficultés des opérations de décontamination des sols : - où entreposer les immenses quantités de terre et déchets ? - comment s’assurer que certaines actions ne recontaminent pas plus fortement d’autres zones ? Une mission de 12 experts de l’AIEA a eu lieu du 7 au 15 octobre, spécialement sur ce sujet, mais on doute qu’un premier rapport déjà mis en ligne (4), au style parfaitement bureaucratique, n’apporte de réelle avancée. On se contentera d’y relever deux ou trois choses : - l’équipe de l’AIEA s’est ainsi réjouie d’avoir visité « deux écoles, dont la contamination a été pour une large part éliminée par des volontaires bien organisés, essentiellement les parents des élèves ». On ne sait pas, pour notre part, si les « 400 écoles », annoncées comme « déjà décontaminées », l’ont toutes été de cette façon. Par ailleurs, on apprend dans ce compte-rendu qu’un système de suivi de la radioactivité en temps-réel est « en train d’être installé (…) et qu’environ 2700 stations couvriront à terme l’ensemble du Japon. Les premières, au nombre de 20, ont été déployées dans la préfecture de Fukushima et on peut suivre leurs mesures sur le site de www.r-monitor.jp ». Problème : il suffit de regarder la carte sur le site pour voir à quel point ces mesures sont effectuées très loin les unes des autres alors même que la radioactivité déposée peut varier rapidement sur le terrain. En quoi ces mesures, qui ne valent que très localement, apportent-elles une information pertinente, serait-elle « en temps réel » ? On ne comprend pas très bien, sauf à penser que, par leur simple présence, ces stations de mesure sont destinées à créer un sentiment de contrôle et à rassurer les visiteurs-internautes… En espérant qu’elles n’enregistreront pas une nouvelle poussée de radioactivité indésirable - durant les opérations de démantèlement ? Enfin, voici une information qu’agriculteurs et consommateurs vont certainement suivre attentivement : selon le groupe d’experts de l’AIEA, après examen de résultats préliminaires de travaux effectués au Japon, le césium (dont un des isotopes, le césium 137 a une demi-vie de 30 ans et demeure donc dans les sols) passerait moins facilement du sol aux plantes que ne l’avaient évalué de premiers travaux sur le sujet. Le facteur de transfert retenu jusqu’à présent était de 0,1. Autrement dit, comme on ne peut commercialiser du riz contaminé au-delà de 500 Bq/kg, les sols ne devaient pas dépasser 5000 Bq/kg… Ce sont ces niveaux qui vont être remis en question, l’équipe estimant que ce « facteur de transfert conservateur pourra être abandonné quand les tests seront terminés et que des facteurs réalistes auront été fermement établis ». Vu l’importance du riz dans la consommation quotidienne des Japonais, il faut espérer qu’un suivi tout aussi ferme (par des associations de consommateurs ?) de la radioactivité des lots de céréales finalement mis en vente sera effectué après adoption de ces nouveaux facteurs de transfert. 1) Lire la version anglaise de l’article du 26 octobre sur le site http://mdn.mainichi.jp/mdnnews/national/archive/news/2011/10/27/20111027p2a00m0na014000c.html 2) http://www.aec.go.jp/jicst/NC/about/kettei/111024a.pdf#page=1 3) http://www.paristechreview.com/2011/10/31/surete-nucleaire-apres-fukushima/ 4) http://www.nsc.go.jp/anzen/shidai/genan2011/genan075/ssiryo1.pdf Billet de Dominique LEGLU, Biochimiste, directrice de la rédaction de Sciences et Avenir. Sciences et Avenir 01/11/2011