Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

BelleMuezza

Membres
  • Compteur de contenus

    12 459
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par BelleMuezza

  1. Pêche au gros “no kill” pour épargner les thons Certains littoraux privilégiés de la planète ont, pour les pratiquants de la pêche sportive, la prise qui relève du mythe, le gros poisson qui éreinte son chasseur, brise les moulinets, ploie les cannes comme de fragiles fétus. "Nous avons ce poisson d’exception, rappelle Michel Lepers, avec le thon rouge. Rien n’égale le choc qu’il inflige lorsqu’il part comme une fusée" à 100 km/h, sinon peut-être la frustration de trop souvent rentrer bredouille, d’observer la taille des prises qui "recule", cède l’homme du Carnon fishing club. Car les plaisanciers n’échappent pas au phénomène de raréfaction des thonidés en Méditerranée ; un constat qui conduit certains à ne plus concevoir la pêche au gros comme une chasse au trophée victorieusement pendu à un crochet au retour à quai. Sous l’impulsion de la Fédération des pêcheurs plaisanciers sportifs de France se développe depuis quelques années la philosophie du no kill, la remise à l’eau de l’animal pris, dans une logique de non atteinte à la ressource et même de participation à sa gestion, déjà encadrée par les quotas de pêche - 9 t pour la plaisance française en 2011. C’est là l’état d’esprit du Master halieutique organisé par le Carnon fishing club, du 26 au 28 août, rencontre d’amateurs plutôt que concours de pêche. "On prendra le plus grand nombre de poissons, mais pour les relâcher après marquage, explique Michel Lepers. Ifremer fournit les marques et a assuré la formation des marqueurs des thons et espadons et l’association Ailerons marquera requins, raies qui seront pris à nos lignes." Pas de prédation mais le souhait d’aider les scientifiques à "comprendre les phénomènes migratoires et suivre les populations, détaille Nicolas Ziani, biologiste d’Ailerons, démarche que chercheurs et pêcheurs sportifs mènent depuis un demi-siècle aux USA." Le tout sans renoncer à son sport. À Carnon, une trentaine de bateaux est attendue, après Vendres en juillet. Midi Libre 04/08/2011
  2. Lozère Morts de deux chiens dans le Tarn Ne laissez pas les jeunes enfants se baigner dans les eaux stagnantes du Tarn. C’est, en substance, le mot d’ordre des autorités après la mort par empoisonnement en un mois de deux chiens qui avaient joué au bord de la rivière. Dans un communiqué, la préfecture de la Lozère recommande "de ne pas se baigner dans les eaux stagnantes, de ne pas jouer avec les galets et les bâtons qui ont été immergés [...] Ce respect est d'autant plus important pour les jeunes enfants". Cette alerte intervient après la mort de deux chiens, dont l'autopsie a permis de démontrer la présence de cyanobactéries. Le premier animal est mort le 6 juillet à Florac après avoir joué sur les bords du Tarn. Dans ce cas, l'autopsie pratiquée a démontré la présence à faible dose de la cyanobactérie, cette bactérie qui se développe par fortes chaleurs dans les eaux stagnantes et sur les substrats immergés. Le second animal, une femelle berger allemand de 4 mois, dénommée Toscane, est décédée le 1er août après une baignade à Saint-Chely-du-Tarn. L'autopsie a cette fois mis en évidence de fortes traces de cyanobactéries. Selon l'Agence régionale de santé (ARS), seules les eaux stagnantes sont concernées et il n'est pas envisagé d'interdire la baignade dans le Tarn et le Tarnon, où aucun phénomène n'a été relevé malgré une surveillance accrue de la qualité de l'eau. L'ARS a également tenu à rassurer la population sur la qualité de l'eau du robinet, rappelant que cette eau ne provient pas du Tarn mais de nappes alluviales où, en raison de l'absence de lumière, la cyanobactérie ne peut se développer. Midi Libre 04/08/2011
  3. Analyse des raisons de la crise de confiance dans l'organe de régulation du nucléaire japonais De vives critiques sont adressées depuis la catastrophe du 11 mars à l'organe de régulation du nucléaire japonais. Jeudi, le gouvernement a annoncé le renvoi de trois hauts responsables de l'administration du nucléaire, estimant qu'ils avaient mal géré la crise. Dans notre analyse du jour, le commentateur de NHK World Noriyuki Mizuno nous en dit plus sur ce qui a motivé cette décision. Les tentatives gouvernementales de manipuler l'opinion en faveur du nucléaire ont semble-t-il accentué la défiance du public à l'égard de l'administration en charge de cette énergie ? Noriyuki Mizuno C'est vrai. L'Agence de sûreté nucléaire et industrielle, la NISA, devait adopter une attitude neutre et équilibrée pour remplir sa mission de garantie de la sûreté des centrales. Elle se trouve dans une position l'autorisant à appeler à la retenue quand c'est nécessaire. Ses tentatives de manipuler l'opinion publique montrent qu'elle a en réalité joué le rôle de promoteur du nucléaire. C'est un problème extrêmement grave. Je dois dire que le gouvernement n'a jamais tenu compte de l'opinion publique pour la mise en oeuvre de sa politique nucléaire. Le principal problème derrière le scandale de manipulation est que la NISA dépend juridiquement du ministère de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie, le METI lui-même chargé de promouvoir le nucléaire. Radio-JaponL'Agence internationale de l'énergie atomique, l'AIEA, a depuis longtemps demandé au Japon d'assurer l'indépendance de la NISA et de clarifier ses missions. Pourquoi ce problème n'a jamais été traité ? Noriyuki Mizuno Au Japon, les réformes administratives sont difficiles. Pour les réaliser, il faut souvent un facteur déterminant. Séparer un service d'un ministère se traduit par une forte baisse du budget et des ressources humaines du ministère en question. Les fonctionnaires de l'administration concernée s'opposent souvent à de telles changements. Cela dit, la catastrophe du 11 mars a incité le gouvernement à envisager la séparation de la NISA du METI. Il prévoit maintenant de créer un nouvel organe de contrôle qui serait placé sous l'autorité du ministère de l'Environnement. Radio-JaponEst-ce que retirer la NISA du METI suffira pour assurer la sûreté nucléaire ? Noriyuki Mizuno Non. L'agence a recours à une centaine d'experts des compagnies d'électricité et du secteur industriel pour mener ses inspections. Le gouvernement doit former des experts qui ne dépendent que de la nouvelle agence. En ce sens, il pourrait s'inspirer de la Commission américaine de régulation nucléaire. Elle emploie 4000 experts de très haut niveau. Son centre de formation est équipé de simulateurs conçus pour étudier le fonctionnement des centrales. Les inspections menées par ces experts ont permis de réduire le nombre des incidents. Le taux de fonctionnement des centrales américaines dépasse les 90 pour cent, 20 points de plus que celui du Japon avant la catastrophe du 11 mars. NHK 05/08/2011
  4. Une enquête est ouverte sur les accusations de manipulation dans le secteur nucléaire japonais Une commission indépendante a ouvert une enquête sur les allégations selon lesquelles l'Agence de sûreté nucléaire et industrielle, la NISA, a tenté à plusieurs reprises d'influencer les participants lors de symposiums sur l'utilisation du nucléaire. Vendredi, le ministre de l'Industrie Banri Kaieda a déclaré à la presse qu'une équipe indépendante devait déterminer si la NISA avait influencé les débats de réunions organisées dans certaines villes, avec l'aide de compagnies locales d'électricité. Selon M. Kaieda, la commission va enquêter en profondeur sur le comportement des compagnies d'électricité du Chubu et du Shikoku. Ces deux entreprises auraient sélectionné des gens et leur auraient demandés de poser des questions rédigées à l'avance et orientées en faveur du nucléaire, le tout sur instruction de la NISA. Le ministre a précisé que les autres compagnies d'électricité seraient également soumises aux investigations pour voir si, elles aussi, ne se sont pas livrées à de tels actes douteux. NHK05/08/2011
  5. Des informations sur la belle minette récupérée hier... Alors qu'elle me semblait pleine, ventre arrondie et tétines saillantes. Le vétérinaire en charge de la stériliser a constaté qu'elle l'avait déjà été... Et qu'elle est identifiée... par un tatouage... Oui elle se laissait caresser et prendre dans les bras, mais pas au point de se laisser examiner par des inconnues sous toutes ses coutures... Ce qui explique nous n'avions pas vu qu'elle était identifiée. Il y a quand même un "hic"... L'association qui l'a prise en charge n'arrive pas à retrouver ses propriétaires... J'ai une photo sur mon portable, dès que j'arriverai à la transférer je la mettrai sur le forum... On ne sait jamais... Cela dit, l'association a décidé de la garder chez une des bénévoles (elle n'a pas de refuge) en attendant et si personne ne se manifeste ou qu'on ne retrouve pas trace de ses propriétaires elle sera mise en adoption... Elle devrait avoir toutes ses chances, même parmi les jeunots, car elle est belle et douce...
  6. Les petits bouts se portent bien et mes vieux loulous aussi bien que possibles. Je viens aujourd'hui vous parler de la maman de Foxe et de Yukki (et maman adoptive aussi de Giro)... Alors qu'elle était à l'abri et bien soignée depuis fin frévier / début mars... Elle a des ennuis de santé... Elle a été stérilisée le 5 juin... Et depuis rien ve va plus. Les grosseurs aux mammelles étaient dues à un "trop plein" de lait... Donc rien de grave de ce côté-là... J'ai été appelée à plusieurs reprises pour venir en aide à ma voisine, la conseiller, lui donner mon point de vue... Elle a été conduite à plusieurs reprises aussi chez le vétérinaire qui au final a diagnostiqué un CALCIVIRUS... En dépit de soins, injections d'antibiotiques et d'anti-inflammatoires (cortisone).. Elle n'allait pas mieux... Je lui ai même fait une de ses piqûre (faut dire qu'avec l'épisode Cheyenne... je suis rôdée). Elle continuait à maigrir... Le vétérinaire lui a alors dit de relâcher la belle dans la nature dans "son" territoire. Ma voisine qui avait recueilli Nénette (moi je l'appelle Nanou), ne voulait pas s'y résoudre car elle si était attachée... Jusqu'au jour de la semaine dernière, voyant qu'elle ne bougeait plus, ne s'alimentait quasiment plus, a fini par céder... Elle a remis Nénette à l'endroit où elle l'avait capturée... Et.. Miracle : elle s'est jetée aussitôt sur la nourriture et s'est mise à courir... Enfin heureuse de retrouver sa liberté ! Si j'arrive à transférer la photo reçue sur mon téléphone portable, je la mettrai... Voilà maintenant, depuis hier soir, plus rien ne va plus... Elle a de nouveau du mal à se nourrir, bave abondamment, aimerait bien s'approcher de nous... mais elle fuit... Maintenant ce n'est plus ma voisine qu'elle suit, mais moi... Ca me fend le coeur de la voir comme ça... C'est triste !!! Elle me suit... mais dès qu'il y a du bruit ou quelqu'un dans les parages, elle fuit. Si je m'approche trop près d'elle : elle fuit et pourtant elle vient assez près... Et au moindre geste, même pour la caresser, elle fuit... Et nous devons faire attention car c'est en bas de mon immeuble, sur un parking, qu'aucune voiture ne passe au mauvais moment lorsqu'elle s'enfuit... Je vous remercie de bien vouloir me donner vos idées et suggestions pour venir en aide à la belle....
  7. Sur Internet vous pouvez trouver les sites des principaux assureurs d'animaux domestiques. Ce qui vous laisse le loisir d'étudier avec soin les tarifs et les modalités de prise en charge. Voici quelques sites d'assureurs : - www.eca-assurances.com - www.santevet.com - www.mutuellechienchat.com - www.chienchatsante.com Tous ces sites présentent le niveau de garantie proposé et la gamme des prix. Certains mettent en avant des prestations annexes : remboursement des frais de pension de votre animal si vous êtes hospitalisé plus de 48 heures, service de conseils téléphoniques... Dans tous les cas, pensez à lire même les plus petites lignes, afin de ne pas avoir de mauvaise surprise le moment venu. Interrogez également votre banque, il se pourrait qu'elle soit en mesure de vous proposer une assurance santé pour votre animal... A des tarifs identiques, proches, voire mon chers, que des assureurs spécialisés dans ce domaine... Dans tous les cas, l'idéal est de demander un devis précis et de comparer les garanties proposées, les taux de franchise éventuels, de bien vérifier ce qui est exclu ou non (ce qui est couvert ou non), avant de conclure... Nous ne faisons pas suffisamment jouer la concurrence pour faire baisser le tarif des cotisations. Attention : pour les assureurs hors du territoire national, hors Europe, etc... Soyez prudents car en cas de recours ou de contentieux, vous risquez d'aller au-devant de déboires. En France, l'encadrement des assurances est assez strict. En cas de soucis, il existe un fonds d'assurances pour suppléer à un assureur défaillant. - Vérifiez bien l'existence réelle de la compagnie (ou banque) à laquelle vous vous adressez.. - Si vous avez affaire avec un intermédiaire (courtier par exemple), vérifiez ensuite auprès de la compagnie sensée couvrir votre animal que votre contrat a bien été déclarée et enregistrée auprès de celle-ci... Cest un boulot supplémentaire mais qui vous prémunira contre une certaine forme d'indélicatesse (pour rester polie). Avant de souscrire une assurance, il faut peser le pour et le contre. Vous pouvez en discuter avec votre vétérinaire pour mûrir votre décision ou même votre éleveur... Ces derniers connaissent votre animal et ses éventuelles fragilités. Si l'un d'eux vous propose directement une assurance santé... Si votre éleveur, par exemple, vous propose une assurance santé, ne signez rien au moment de la remise de votre animal... prenez la précaution de bien lire le contrat, y compris les petites lignes, sans oublier de lire aussi tous les renvois d'un article à un autre... Il y a parfois des surprises quand ce ne sont pas des contradictions... Certes, une assurance santé pour son (ses) anima(ux)l constitue un véritable investissement mais il vous met à l'abri d'avoir à débourser une forte somme en cas de gros souci de santé de votre compagnon... Sachez qu'il peut y avoir des limites des prises en charge. Les compagnies fixent souvent un plafond annuel de remboursement par animal (par exemple : 1 500 ou 2 000 €). Le jeu des franchises peut également réduire la part des dépenses remboursées (elles sont toujours plafonnées, mais peuvent s'élever tout de même à 20 ou 30 % des frais indemnisés...). Les exclusions : selon certains contrats, les vaccins ne sont pas remboursés, ni les opérations que j'appellerai de confort... Faites-vous les préciser ... (J'ai une de mes amies qui s'est vue refuser le remboursement pour une stérilisation...), le plus souvent : un seul vaccin (le rappel) est remboursé... et encore selon le type de contrat, il peu y avoir une franchise... A savoir, mais je suis certaine que vous vous en doutiez, plus la cotisation mensuelle (ou annuelle) est élevée, plus vous avez la chance d'obtenir une meilleure couverture santé (et donc de remboursement) pour votre petit protégé... et encore pas toujours... il faut bien épucher toutes les clauses... sans oublier de comparer aussi les services annexes offerts... .Planète.fr
  8. Vous pouvez assurer chats et chiens, bien sûr, ainsi que, parfois, lapins, furets et petits rongeurs (hamsters). Mais pas les oiseaux, ni les poissons... Les contrats prévoient souvent un âge limite pour souscrire (en général, 10 ans pour un chien). Une fois inscrit, il est en principe couvert à vie. Le prix dépend du niveau de couverture choisi et, souvent, de l'âge de l'animal. Pour un chat, il est possible de trouver des assurances entre 5 et 15 € par mois (entre 7 et 20 € pour un chien). A partir du 2e animal assuré, des réductions sont possibles. A nous de faire jouer la concurrence entre les assureurs... sans oublier les banques... Bien sûr, comme pour n'importe quel contrat d'assurance, il faut vérifier les conditions d'adhésion, les franchises, le plafond annuel de garantie, le taux de remboursement (100 % ou moins), les soins pris en charge, le délai de carence...... et les exclusions...
  9. On peut assurer son chien ou son chat et éviter de grosses dépenses en cas d'accident. Les tarifs varient selon la couverture choisie... D'autres espèces animales peuvent également bénéficier d'une assurance santé, renseignez-vous auprès des compagnies d'assurances. On parle plus volontiers des assurances pour toutous et minous parce que les plus représentés en tant qu'animaux de compagnie... Les contrats ne couvrent pas tout. Si les soins courants de vétérinaires (tels les vaccins) sont prévisibles et peuvent être budgétés, il en va autrement des accidents ou des ennuis de santé. Ainsi, si votre chien est percuté par une voiture et souffre de fractures, la note pour le soigner peut allégrement dépasser les 1 000 €, entre les honoraires, les examens, l'anesthésie, l'intervention chirurgicale... Même chose si votre chat, très malade, doit être hospitalisé et opéré. Pour se prémunir de telles dépenses exceptionnelles, vous pouvez souscrire une assurance pour votre compagnon à quatre pattes. Celle-ci peut rembourser en totalité ou en partie vos frais de consultation, de pharmacie, d'intervention chirurgicale, de laboratoire, de radiologie... et même d'euthanasie... Tout dépend de la couverture choisie... et donc de la cotisation...
  10. Je vais commencer par une petite manie d'Océane, ma petite reine, une minette sauvée à l'âge de trois semaines (en compagnie de ses 5 soeurs) vouée à une mort certaine... Toute petite, ma fille lui a appris des tours, jouant sur ses aptitudes... En devenant adulte... Elle a conservé à mon égard certaines des habitudes qu'elle avait avec ma fille... Par exemple, petite, Océane sautait dans ses bras à son ordre, avec des gestes explicites... Elle lui a appris aussi à faire des petits bisous... Jusque là rien d'embêtant... Bien au contraire... Sauf qu'avec moi, elle avait tendance à me sauter dessus à l'improviste... et quand on n'a pas grand chose dessus ou que le vêtement est glissant... Ouille ouille, les griffes qui se plantent pour qu'elle ne tombe pas... ça fait mal... Plus tard, cela est devenu un peu plus gênant... parce qu'en tenue de travail, un uniforme de couleur bleu-marine... sur lesquels des poils blancs et roux sont visibles comme un cheveu dans la soupe ! Bon c'est de ma faute... car je ne l'avais jamais empêchée, trouvant auparavant ce comportement plutôt attachant... Dites-vous bien qu'aujourd'hui ce comportement me manque car avec l'âge, 16 ans, et la maladie, elle ne peut plus le faire... Mais fut une époque où cela m'embêtait beaucoup... Vous aussi, racontez vos anecdotes....
  11. Je m'explique : un comportement de votre animal de compagnie, quel qu'il soit, vous horripile-t-il tant que parfois vous aimeriez pouvoir le confier à quelqu'un d'autre... Mais vous ne pouvez pas car, au fond, cela vous agace... mais vous l'aimez ou sa présence vous est indispensable ?
  12. Oscar, le chat, a sans doute perdu l'une de ses neuf vies, mais il y aura gagné l'occasion de devenir le premier félin bionique au monde, équipé de prothèses de pattes arrière en métal, implantées à même l'os. Le docteur vétérinaire, Noel Fitzpatrick, chirurgie en neurologie orthopédique, a présenté cette intervention comme une première médicale. Il s'est associé avec des experts en ingénierie biomédicale pour concocter deux nouvelles pattes sur mesure à Oscar: les implants de métal se terminent par deux extrémités articulées et équipées de coussinets, qui reproduisent de leur mieux la souplesse de la démarche si particulière des félins et, chic extrême, sont noirs comme le poil du chat... L'extrémité métallique de chaque patte a été visée à même l'os au niveau du moignon, amputé au niveau des chevilles, et recouverte d'un produit qui aide les cellules osseuses à se reconstituer autour. La peau du chat a repoussé par dessus, formant comme un manchon naturel qui évite les infections, explique le docteur Fitzpatrick. "Cela lui donne une démarche normale, et Oscar peut maintenant courir et sauter partout comme un chat doit faire", ajoute-t-il. "C'est vraiment un sacré veinard de chat", a estimé Mark Johnston, porte-parole de l'Association vétérinaire de Grande-Bretagne. "Fabriquer des membres artificiels pour un chat est une solution novatrice". Et de noter que si la planète compte bon nombre de chats et chiens "parfaitement heureux" de cavaler sur trois pattes, les animaux ayant perdu deux pattes ne s'en sortent habituellement pas aussi bien. Si les chiens gèrent à peu près des espèces de "chaises roulantes" pour remplacer leurs pattes arrière, les chats ne s'adaptent pas vraiment: "Si un chat a deux pattes endommagées, c'est très dur de l'aider à continuer. En général, nous euthanasions les chats dans cette situation", a ajouté le docteur Johnston. Tout en disant douter que cette nouvelle technique puisse être généralisée en raison de son coût. Gordon Blunn, responsable de l'unité d'ingéniérie biomédicale de l'University College de Londres, qui a dirigé l'équipe ayant fabriqué les pattes d'Oscar, précise qu'elles ont coûté environ 2.000 livres (2.996 dollars, euros). Sans compter l'intervention chirurgicale. L'année à venir sera cruciale pour Oscar, note Mark Johnston: le chat devra être suivi de près pour s'assurer que les prothèses fonctionnement correctement, qu'il n'y a ni plaies ni infection. "Ca ne durera peut-être pas toujours, mais donner au chat quelques années de mobilité sans douleur, ça en vaut sans doute la peine", ajoute-t-il. .Nouvel observateur
  13. D'accord l'actualité est ancienne... mais le forum n'existait pas... Je trouve simplement à cette information un côté humoristique burlesque... avec toutefois des propos sensé de la part de la mannequin mise en cause... L'ange du Peta provoque la colère des catholiques L'association de défense des droits des animaux a lancé une campagne visant à promouvoir l'adoption des animaux et utilisant un mannequin de Playboy déguisé en ange. L'association de défense des droits des animaux Peta a déclenché une nouvelle polémique avec sa campagne de publicité de Noël dans laquelle un mannequin est déguisé en ange, habillé uniquement d'un crucifix. Cette campagne a pour but de favoriser l'adoption plutôt que l'achat d'animaux pour Noël, avec comme slogan: "Soyez un ange pour les animaux. Adoptez toujours, n'achetez jamais". L'ange en question est incarné par Joanna Krupa, mannequin connu notamment pour avoir fait la une du magazine Playboy et pour avoir participé à une émission de télé-réalité. Colère des catholiques Le cliché a déclenché la colère de nombreux catholique, dont Bill Donohue, président de la Ligue catholique américaine. "Le fait est que les chats et les chiens sont bien plus en sécurité dans les animaleries qu'ils ne le sont entre les mains des employés du Peta", a-t-il déclaré. De son côté, Joanna Krupa, qui affirme être une "catholique pratiquante", s'est dit "choquée" par la réaction de la Ligue catholique. "Je fais ce que l'Eglise catholique devrait faire", affirme-t-elle, "travailler à faire cesser la souffrance inutile des animaux, la création de Dieu la plus vulnérable". .Nouvel observateur
  14. La Corée du Sud comptait s'assurer de la pureté de l'eau coulant dans ses toilettes lors du sommet des dirigeants des principaux pays riches et émergents (G20), en novembre 2010, à Séoul, en utilisant... des poissons rouges, au grand dam des défenseurs des animaux. Les autorités sud-coréennes ont indiqué que, outre le déploiement de dizaines de milliers de policiers afin d'assurer la sécurité du sommet, ils comptaient placer six poissons rouges dans les réserves d'eau des toilettes du vaste complexe afin de s'assurer de sa pureté. L'organisation de défense des animaux basée aux Etats-Unis PETA a dénoncé le projet, expliquant que les poissons rouges sont sensibles à la douleur tout comme peuvent l'être les chiens ou les chats. "La protection des dirigeants du monde est une chose très sérieuse, mais il en va de même de la protection des animaux qui souffrent tout comme les personnes", a indiqué une responsable de l'organisation, Tracy Reiman. "Il existe un grand choix de méthodes scientifiques qui protégeraient mieux les dirigeants du monde et éviteraient aux poissons d'agoniser en raison d'une eau contaminée", a-t-elle écrit dans une lettre adressée aux autorités sud-coréennes. .Nouvel Observateur
  15. Une Russe, en état d'ébriété, a appelé la police vendredi 12 novembre 2010 en affirmant que son son chat était porteur d'une bombe, ont indiqué les forces de l'ordre de Saint-Petersbourg dans le nord-ouest de la Russie. "Une femme âgée de 45 ans a appelé la police vers 4h pour dire que son chat contenait des explosifs. Les policiers se sont rendus sur place et ont interpellé la dame qui était en état d'ébriété", a indiqué le service de presse de la police locale dans un communiqué. Malgré l'absurdité de la situation, les policiers ont fouillé l'immeuble et ses environs immédiats afin de s'assurer qu'aucun explosif n'y avait été caché. "Le chat est sain et sauf", a conclu la police. La consommation abusive d'alcool et de liquides frelatés tue un demi-million de personnes chaque année en Russie. .Nouvel Observateur
  16. Le 11 aout 2011 Journée de soutien aux animaux martyrs Pour participer,il vous suffit de porter un ruban blanc ACCROCHE A LA VOITURE, AU SAC, AU VÉLO, partout ou l'on peut l'accrocher. Montrons que nous sommes là pour eux!!! En mémoire de Hope, Croc Blanc, Lola et tellement d'autres...qui sont morts à cause de la cruauté humaine. N'hésitez pas à diffusez l'affiche,c'est un signe solidaire,il faut que nous soyons nombreux à être mobilisé le 11 aout!!! Petite info pour ceux qui se demandent pourquoi la journée du 11 aout? Le 11/08/2009 un petit chien MAMBO a été brulé au 3eme degré et depuis cette date est synonyme de défense du droit des animaux et de tous ceux qui ont perdu la vie. MAMBO a été le déclencheur de cet initiative. .Journée de soutien du 11 août
  17. VIGILANCE à Angoulême (16) : un fourgon blanc , grilles à l'arrière à la place des vitres, immatriculé 44, a été vu à plusieurs reprises rôdant très lentement dans les quartiers bas d'Angoulême, en s'arrêtant devant les maisons où il y a des animaux. Source : .CauseAnimale Isère-veroniquechaixayadi
  18. Projet de fusion entre Hitachi et Mitsubishi Heavy Industries Les géants japonais de l'industrie Hitachi et Mitsubishi Heavy Industries ont convenu d'entamer des négociations pour la création d'une nouvelle firme. Les activités que les deux entreprises prévoient de fusionner devraient ouvrir la voie au développement de villes écologiques ayant recours aux énergies renouvelables. NHK 04/08/2011
  19. Projet de fusion entre Hitachi et Mitsubishi Heavy Industries Les géants japonais de l'industrie Hitachi et Mitsubishi Heavy Industries ont convenu d'entamer des négociations pour la création d'une nouvelle firme. Les activités que les deux entreprises prévoient de fusionner devraient ouvrir la voie au développement de villes écologiques ayant recours aux énergies renouvelables. NHK 04/08/2011
  20. Le maire de Nagasaki appelle à la dénucléarisation du Nord-Est asiatique Le maire de Nagasaki invite le gouvernement japonais à promouvoir la dénucléarisation de la planète en commençant par le Nord-Est asiatique. Tomihisa Taue a rencontré le ministre japonais des Affaires étrangères Takeaki Matsumoto, mercredi à Tokyo. M. Taue a déclaré qu'il avait pu réunir les signatures d'élus locaux dans tout le pays pour une pétition appelant à la dénucléarisation du Nord-Est asiatique. A ce jour, plus d'une centaine de signatures auraient été collectées. "Le gouvernement japonais devrait soutenir notre initiative en vue d'entamer les efforts de dénucléarisation", a-t-il déclaré. Le ministre des Affaires étrangères a évoqué l'appel du président américain Barack Obama en faveur d'un monde liébéré du nucléaire, ainsi que les efforts conséquents du gouvernement japonais pour le contrôle des armements nucléaires et la non-prolifération. "Il ne sera pas facile de créer un monde dénucléarisé mais le gouvernement va tenir compte de la volonté des élus locaux", a déclaré Takeaki Matsumoto. NHK 04/08/2011
  21. Tepco utilise des tuyaux d'arrosage pour améliorer le système de filtrage de l'eau contaminée L'opérateur de la centrale Fukushima Dai-ichi prévoit d'utiliser des tuyaux d'arrosage pour améliorer l'écoulement de l'eau au niveau du système de filtrage du liquide contaminé. La Compagnie d'électricité de Tokyo, Tepco, s'efforce de filtrer l'eau hautement contaminée de la centrale pour en extraire le sel et les particules radioactives. L'eau filtrée est ensuite réinjectée dans les réacteurs, sous forme de liquide de refroidissement. Toutefois, les filtres n'ont fonctionné qu'à 35 pour cent de leur capacité, les tuyaux reliant les réservoirs étant vraisemblablement obstrués par la boue. Ce jeudi, Tepco prévoit donc d'interrompre le système durant une douzaine d'heures pour fixer des tuyaux d'arrosage en 2 endroits. Il s'agit d'améliorer l'efficacité du système de filtrage pour que l'eau contaminée se trouvant dans les parties inférieurs des bâtiments retrouve un niveau raisonnable le plus rapidement possible. NHK 04/08/2011
  22. Fukushima : les conseils d'évacuation pourraient être annulés dans un rayon de 20 à 30 km autour de la centrale Le gouvernement japonais compte annuler, d'ici quelques semaines, les conseils d'évacuation dans un rayon de 20 à 30 km autour de la centrale Fukushima Dai-ichi. Selon un nouveau calendrier rendu public mercredi, les consignes d'évacutation pourraient être levées d'ici la fin du mois ou début septembre, la situation de la centrale étant en cours d'amélioration. Ces dispositions concernent les zones situées entre 20 et 30 km autour de la centrale, où les résidents sont actuellement invités à se calfeutrer à domicile et à anticiper d'éventuelles évacuations d'urgence. De nombreuses personnes ont dû quitter les lieux, où les établissements scolaires et les hôpitaux restent fermés. Le gouvernement a précisé qu'il entamerait en fin de semaine des négociations avec les municipalités locales, lesquelles sont invitées à plancher sur des projets de reconstruction. Ces mesures concerneraient notamment la réouverture des hôpitaux et d'autres services publics, ainsi que la décontamination des cours d'écoles. NHK 04/08/2011
  23. Le gouvernement japonais pourrait limoger trois hauts responsables de la filière nucléaire Le gouvernement japonais envisage de limoger trois hauts responsables de la politique nucléaire, en raison de leur mauvaise gestion des accidents survenus à la centrale Fukushima Dai-ichi. L'annonce a été communiquée jeudi par le ministre de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie Banri Kaieda, lors d'une conférence de presse de dernière minute. M. Kaieda a déclaré que son ministère effectuerait prochainement un profond remaniement du personnel, ajoutant qu'il y songeait depuis près d'un mois. Les trois responsables en question sont le vice-ministre de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie Kazuo Matsunaga, le directeur général de l'Agence de sûreté nucléaire et industrielle Nobuaki Terasaka et le directeur général de l'Agence des ressources naturelles et de l'énergie, Tetsuhiro Hosono. A noter que le ministère supervise les deux agences. NHK 04/08/2011
  24. Avant de lire cet article, j'avoue que j'ignorais totalement ce fait. J'ignorais qu'il était possible de faire bénéficier nos petits loulous des avancées technologiques humaines en la matière... Comme le dit si justement l'article : c'est un juste retour des choses... En revanche, je ne sais pas si cette pratique est réservée aux animaux des Etats-Unis ou si elle est aussi possible ici, chez nous, en France... Cela dit, l'idée de collecter les pacemakers inutilisables, ensuite de les revendre pour une somme modique dont les recettes sont utilisées pour la recherche en cardiologie animale m'apparaît une bonne idée... Sous réserve que les animaux n'en fassent pas les frais...
  25. WEST LAFAYETTE, Indiana (AP) — C'est une nouvelle tendance aux Etats-Unis: de plus en plus de chiens souffrant de problèmes cardiovasculaires reçoivent un pacemaker, un stimulateur cardiaque hier encore réservé aux seuls humains. Quelques milliers de chiens ont eu la vie prolongée ces 20 dernières années grâce à cet appareil dont le nombre est passé de 100 à 200 par an dans les années 90, à 300 à 500 actuellement, selon David Sisson, professeur de cardiologie à l'Université de l'Oregon. Pionnier dans ce domaine, David Sisson, qui a posé son premier pacemaker sur un chien dans le milieu des années 80, estime qu'il s'agit d'un juste retour des choses, les animaux ayant servi de cobayes dans les années 40 au moment des premiers essais cliniques qui ont débouché sur la naissance de ces petites prothèses. Grommit, un labrador sable âgé de 8 ans, a été opéré en 2006, après un examen montrant que les malaises dont il avait été victime étaient dus à une anomalie du rythme cardiaque l'exposant à un risque de mort subite. Sa maîtresse, Molly Hare, 41 ans, n'a pas réfléchi longtemps avant d'autoriser le Dr Green, professeur associé de cardiologie à l'Université Purdue, à opérer Grommit, un intervention à 2.000 dollars (1.500 euros): "l'autre option était de rentrer à la maison et de le retrouver mort par terre". L'opération a duré deux heures, temps habituel pour la pose d'un pacemaker: le Dr Green a introduit deux fils dans la veine jugulaire du chien jusqu'au coeur, dans une position qui permette des impulsions électriques normales. Puis le pacemaker, un ordinateur et une batterie miniatures placés dans une enveloppe en métal, a été implanté sous la peau à l'arrière du cou, et les fils ont été agrafés. Les chiens opérés ne restent qu'un jour ou deux à l'hôpital. Mais leur convalescence est d'environ un mois, période pendant laquelle ils doivent rester calmes pour que les fils cicatrisent correctement et ne se déplacent pas. Le dernier examen de Grommit a montré que le pacemaker posé il y a quatre ans continue à délivrer les impulsions électriques nécessaires pour que son coeur batte entre 50 et 180 fois par minute, selon l'effort. Le premier pacemaker a été implanté chez un chien en 1968. Mais l'intervention a mis du temps à prendre, en partie à cause de son coût et du manque de disponibilité des appareils sur le marché. Les choses ont changé dans les années 80, quand les funérariums ont commencé à donner aux vétérinaires des pacemakers provenant de patients décédés. Mais l'augmentation des cas de VIH/Sida a soulevé des inquiétudes quant à la transmission du virus et les vétérinaires se sont limités aux pacemakers jamais utilisés, a souligné Sisson. A l'heure actuelle, tous les pacemakers implantés sur des animaux, notamment sur les chiens, les chats ou les chevaux, proviennent de fabricants qui se débarrassent d'appareils jugés inutilisables chez l'homme. Les pacemakers donnés gracieusement, d'une valeur de 5.000 à 10.000 dollars (3.600 à 7.200 euros), sont acheminés vers les entrepôts de la Companion Animal Pacemaker Registry and Repository (CanPacers), fondée par Sisson en 1991. Cette société à but non lucratif vend les appareils aux vétérinaires pour 500 dollars (360 euros) environ, les recettes allant à la recherche animale en cardiologie. Nouvel observateur
×
×
  • Créer...