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La Chine

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Messages posté(e)s par La Chine


  1. @Rudy a écrit:
    Salut,
    On voit déja aussi bien pire en terme de maintenance aussi bien pour les poissons rouges que pour les autres poissons de ce bac.


    Chacun est libre de ses opinions, je trouve juste dommage que manifestement tu raisonnes d'après des infos livresques, jamais mises à l'épreuve des faits, mais néanmoins répétées comme un mantra par des gens qui ne font pas avancer le schmilblick (voui, j'ai bien compris que tu avais lu le dernier aquarium à la maison qui propose un bac d'eau froide avec le poisson dont tu as recopié le nom et qui atteint, ce que l'article ne dit pas, 60 cm adulte).

    Pour le surplus, et tant pis si je fais pédante, mais comme dans le Petit Prince, je me sens responsable de ce que j'ai apprivoisé. Je ne laisse donc se dérouler une expérience que si elle se passe bien (j'aurais probablement mis en service un troisième bac pour reloger les malheureuses victimes de mes essais, s'il l'avait fallu).

    A mon sens, il y n'a pas assez de saint Thomas en aquariophilie mais trop d'ayatollahs qui s'empressent d'asséner des vérités révélées (n'apportant rien à toute une catégorie de "consommateurs" de poissons qui continuent de peupler leur 96 litres de pléco et autres loches clowns, et rien non plus aux aquariophiles avertis puisque chacun reproduit ce que fait son voisin).

    Sans rancune et en espérant que tes poissons vivent longtemps dans tes bacs.

  2. @Rudy a écrit:
    e le plus dur en communautaire c'est de respecter les condition de tout le monde.
    Or 24°C c'est pas un peu chaud pour de PR, froid pour les Yasuhikotakia modesta et limite pour les Trichogaster leerii et Trigonostigma heteromorpha ?


    Pas d'accord avec les 24 ° un peu chaud pour des PR.
    Même si beaucoup de forums, qui se recopient les uns les autres, nous parlent d'un optima à 22°, la vérité c'est que les formes de PR très sélectionnées, comme les ryukins, incapables de vivre en extérieur hors les mois d'été, ne sont vraiment à l'aise qu'à partir de 23,5 °/24 °, adoptant un comportement "léthargique" en deça de cette température.
    A la limite, une température de 24 ° accélère peut-être leur métabolisme et réduit leur espérance de vie, mais du moins ont-ils la chance de grandir et de se reproduire, ce que ne font pas une multitude de poissons, et a fortioiri de PR, maintenus en aquarium.

    Pour les leeri, je suis d'accord : hors en été, lorsque la température monte naturellement, ces poissons ne tentent jamais de se reproduire dans le bac d'ensemble.

    Cela étant, les leeri vont entrer dans leur quatrième année, et les rasboras (dont je ne connais pas l'espérance de vie) ont plus de deux ans . Du coup, pour eux comme pour beaucoup d'exotiques de mes bacs (rescapés ramenés à l'animalerie par des clients plus ou moins responsables), je préfère leur offrir un bac peut-être pas idéal mais leur permettant de mener une vie normale (en exceptant la repro, au demeurant possible en bac séparée) plutôt que de tabler sur la bonne volonté et la compétence d'un nouveau client de l'animalerie.

    En gros, j'estime qu'à partir du moment où l'on fait vivre des poissons en aquarium, il est parfaitement illusoire de vouloir en tout reproduire leur biotope, le vrai "fil rouge" du bac communautaire où, de toute façon, il est exclus de faire reproduire toutes les espèces maintenues, étant à mon sens la capacité du bac à vieillir avec ses occupants.

  3. Bonjour Nicole,

    Difficile d'identifier la maladie de ton Oranda.
    Il pourrait s'agir de vers de peau, les orandas en ont fréquemment au niveau de leur "choucroute".
    En principe, la présence de quelques uns de ces vers n'est pas problématique mais, en cas d'affaiblissement du poisson (ce qui doit être le cas de ta femelle, du fait de ses pontes), ils peuvent se multiplier et rendre malade le poisson. Le poisson se frotte alors au décor et présente un comportement effarouché.

    L e traitement avec des médicaments à base de PRAZIQUANTEL marche bien mais détruit les bactéries utiles au cycle de l'azote.

  4. @kiki83 a écrit:
    re=)

    le KH c' est mathématique il ne pourra jamais être supérieur au GH puisque GH=KH+PH ..

    .


    Le principe serait exact si les test KH mesuraient effectivement les seuls carbonates calcium (CA²) et Magnésium (Mg²). Or les tests mesurent aussi les autres carbonates, notamment sodium (Na²) quand ils sont présents en quantité importante.
    d'où GH = teneur des ions calcium et magnésium
    et KH = la seule partie de GH qui est carbonatée mais PLUS, le cas échéant, les carbonates autres que calcium et magnésium.
    C'est d'ailleurs pourquoi l'eau du lac Tanganyika riche en sodium (se rapprochant de l'eau de mer) a un KH supérieur au GH mesuré.

    www.destin-tanganyika.com/.../mineralite-tanganyika.htm
    (Pour ceux que ça intéresse : l'adresse et non le lien vu que je ne sais pas comment en insérer un).

    En définitive, le principe n'est vrai que si l'eau n'est pas "saline" (pH inférieur à 8,3), faux dans le cas contraire.

    Cela étant, le fait que le KH = le GH ne pose a priori pas de problèmes particuliers, d'après mon expérience (dans mon bac : GH = KH = 14).

  5. Superbes, les photos de la ponte. C'est la première fois que j'en vois pour des oscars.
    Du coup, les "hoquets" que tu signalais il y a peu ont toutes les chances d'être liés à un comportement de repro : bon à savoir.
    Tiens nous au courant.

  6. A ce jour, on ne sait pas reproduire les botia en aquarium, en dépit de quelques témoignages rarissimes et non documentés.
    Ces poissons sont reproduits dans des fermes d'Asie, où ils sont maintenus à l'état semi-sauvage, uniquement grâce à des injections de substances hypophysaires. On pense que leur reproduction dans leur milieu naturel se fait à l'occasion d'une migration, impossible dans nos bacs.
    Aucun cas d'hybridation, a priori impossible, entre botia lohachata (loche yoyo) et botia macracantha (loche clown) n'a été rapporté.

    Les loches aussi bien clown que yoyo sont des poissons grégaires pour lesquels les relations intraspécifiques sont fondamentales : ils s'organisment en groupes hiérarchisés qui a son individu alpha.

    250 litres est à mon avis un strict minimum pour les yoyos et pas moins de 600 litres pour les clowns, le nombre minimum d'individus se situant à 3 par groupes (5 étant beaucoup mieux).

    Quand ils sont maintenus en nombre insuffisants, les botias passent leur temps terrés dans une cachette, voire ils s'enterrent.

    Le comportement que tu décris ressemble beaucoup à celui d'un botia qui se cache et ta loche yoyo, s'il n'y a pas d'autres cachette qui lui convienne, doit guetter la vacance de l'endroit qu'elle convoite.

  7. Ca ne m'étonne pas !

    Gloups ! Fautes de frappe et corrections destinées à la suppression et passées à l'état définitif.
    Je ne suis tout simplement pas habituée à me relire à l'écran puisque dans mon boulot de rédactrice juridique (j'aggrave mon cas), je ne me corrige qu'au stade de l'impression.

  8. Je vous présente Barth la canaille, chat persan assez peu affectueux que son éleveuse m'a laissée pour le prix de ses vaccins après qu'une première acquéreuse le lui ait ramené.

    C'est un chat mal élevé, arrivé chez moi à 9 mois avec la fâcheuse habitude de faire ses besoins indifféremment dans sa litière, votre baignoire ou les toilettes, habitude qu'il n'a - hélas- pas perdu. Bon, du moins choisit-il des endroits faciles à nettoyer...et, d'un autre côté, je ne vous propose pas de l'adopter.

    Barth est aussi cascadeur : dans la maison où je vis actuellement avec des pièces à vivre situées au premier étage, il saute allégrement de celles-ci pour se retrouver direct dans le jardin et ce, après être tombé du 4ème étage de mon précédent appartement (sonné tout de même et avec quelques dents cassées).

    Voici donc la Canaille.














    5 5GROGGY5sans autre mal rETCE . la véranda u balcon (caves en R 'on rejoint au je puisqu'il a réussi à descesuate à mon ancienne adresse, au 4ème étage (acdeur erth ;;;;..; et dU dU MOINS le êa qui éeveué mais toujhpurs? CHAT ert


  9. @gould a écrit:

    Es-tu sure que la femelle leeri attrape les excréments des poissons rouges car chez moi une femelle ranchu mange les oeufs de la femelle oranda directement dès la sortie. Lorsque je la vois ainsi le nez collé je retrouve toujours quelques oeufs sur les feuilles ce jour là et ce n'est pas les excréments.


    J'en suis malheureusement certaine puisque tous les PR de mon bac, hors les trois petits non encore sexables, sont des mâles (mes deux femelles reproductrices sont mortes).


    Les fameux "boutons de noce" des PR mâles qui se présentent sous le forme de petits "grains de sel" parsemant le premier rayons des pectorales, les opercules et, ici sur l'oranda, le pourtour de l'oeil.

    Bien d'accord avec Jean-Mi, les PR n'étant presque jamais maintenus correctement, ces poissons restent finalement assez méconnus.

    Les miens sont réellement des animaux domestiques qui viennent systématiquement "téter" mes doigts quand je dois intervenir dans le bac et s'amusent à se frotter contre ma paume, évidemment à la recherche de nourriture, quand il n'y a rien au niveau des doigts. Ils sont si familiers que je dois faire très attention quand je passe la raclette à vitre, les PR participant à leur manière.

    J'ai en outre remarqué que les PR ont un effet "rassurant" sur d'autres espèces : les gouramis sont moins timides maintenus avec les PR et les botia modesta (d'origine sauvage) ne se montrent pour leur part au moment des repas que lorsqu'ils peuvent s'aventurer à découvert, mais plus ou moins cachés par les PR.






    Le modesta est bien là, entre les deux PR !





  10. Bonjour à tous.

    En bref, l'idée de ce bac, c'est de mettre à l'épreuve des faits, le dogme selon lequel les poissons rouges ne pourraient vivre qu'entre eux (je parle uniquement des variétés fantaisie, les communs étant plus à leur place en bassin).
    J'ai donc tenté un communautaire autour du poisson rouge, avec tout de même les réserves suivantes : 2 m de façade, de la profondeur (70 cm) pour que les poissons puissent vivre à des niveaux différents, une filtration surdimensionnée (décante externe de 160 litre + filtre interne de 600 litres à l'heure), un brassage important (aquaball) et un entretien rigoureux.

    Les paramètres : température à 24 degrés, ph de 7,6, dureté carbonatée de 14 dgh.

    Je n'exclus pas à terme de devoir procéder à certains ajustements mais, à ce stade, je n'ai pas de problèmes de cohabitation tout ce petit monde vivant sans vie sans trop s'occuper du voisin.
    Deux phénomènes curieux que j'ai constatés :
    - l'une des femelles leeri qui a pris l'habitude de suivre les poissons rouges pour les débarrasser de leurs excréments, les mâchouiller et les recracher,
    - l'infinie patience des loches envers les PR qui supportent gentiment d'être écrasées par les roulades de ces goinfres lorsqu'ils se nourrissent au sol ensemble.

    Vue d'ensemble











    Les poissons rouges











    Portraits individuels

    Le Chef, 3 ans





    Microbe, l'acolyte du chef 3 ans également





    Apache, deux ans acheté pour remplacer ma femelle décédée et qui s'est avéré être un mâle !





    Mes trois petiots qui n'ont pas encore de nom en espérant que l'un au moins sera une demoiselle











    Et mes deux orandas que je devrais reloger pour cause de surpopulation si tout le monde devient adulte dans ce bac : Tom 2 ans et son fils de 10 mois Zébulon





    Les cohabitants































    Voilà, voilà, à bientôt.

  11. @RogerWater a écrit:
    est-ce ce poisson que l'on appelle aussi "pleco" ?



    Le genre glypto vient d'être revu, on s'y perd ... Pour faire simple, ce poisson n'appartient ni à la même espèce, ni au même genre que le pleco. En revanche, il appartient comme lui à la famille des (grands) poissons de fond sud américains.
    J'ai d'ailleurs vu des magasins d'aquariophilie vendre des glypto sous l'étiquette pléco royal.

    Tes vendeurs sont dans leur tort, aucune vente n'est régulière faute d'accord sur la chose vendue (encore faut -il avoir conservé le ticket de caisse et que celui-ci fasse mention du nom du poisson vendu). Somme toute, le plus simple en cas de difficultés est encore de suivre la méthode indiquée par Angélique.

  12. Je rectifie "joselimaian" et non "joselimamian".
    J'en profite pour rajouter que, sa taille mise à part, ce poisson est sympa à maintenir : il ne craint pas trop la lumière, se montre régulièrement, va parfois chercher sa nourriture en surface et n'abîme pas les plantes (j'en ai un jeune qui, à terme, rejoindra un bac de 1200 litres).

  13. @Roland a écrit:
    Bonjour,

    Ce n'est pas un Peckoltia mais apparemment un jeune Pterygoplichthys gibbiceps qui atteint à l'âge adulte la modeste taille de 45 cm Shocked

    Roland


    C'est effectivement un glyptoperichtys, mais à mon avis plutôt de l'espèce joselimamian.



    Les boutiques d'aquariophilie en vendent régulièrement actuellement, alors que ce poisson était jusqu'ici presque introuvable (non référencé dans les deux premiers tomes du Mergus). Il est un peu plus petit que le gibbiceps, se "contentant" de 40 cm maxi au lieu des 60 du gibbiceps.
    Dans tous les cas , ce poisson n'a rien à faire dans la majorité de nos bacs et ne devrait pas être vendu sans aucune information.

  14. Bonjour,
    mes repros :
    - poissons rouges ryukin et oranda,
    - trichogaster leeri,
    - macropodus opercularis,
    et très régulièrement mais sans que j'y sois pour rien :
    - otocinclus affinis + d'une variété inconnue vendue comme du "rio negro",
    - ampullaires.

  15. @botia34 a écrit:
    je cherche à me débarasser de mes scalaires.

    Mais je peux pas les noyer quand même.


    J'aime bien ton sens de l'humour.
    Sinon désolée de pourrir ton post, mais depuis que je parcours ce forum je ne lis rien sur les botia. Compte tenu de ton pseudo, et sauf si tu as noyé les tiens, j'aimerais bien que tu nous fasse partager ton expérience.
    A plus.

  16. 22 ° c'est suffisant pour les alevins.
    En général, le frai des PR dure quelques semaines (au minimum 3 pour les miens) et durant tout ce temps la femelle lâche des oeufs (avec un pic, puis une décroissance du nombre d'oeufs produits). Soit donc ton ranchu continue d'inciter la femelle à pondre, soit effectivement il mange les oeufs dès leur sortie.
    A bientôt.

  17. [quote="gould"]Ce matin, j'ai récolté 10 oeufs de mes poissons rouges chinois.
    cheers C'est super !
    Quel est le type de pondoir que tu utilises ?
    Mieux vaut de beaucoup les pondoirs-filets qui laissent passer l'eau et permettent de nourrir les alevins sans pollution excessive.
    Les oeufs de poissons rouges n'aiment pas trop la lumière et comme dans un pondoir ils se retrouvent forcément plus près des lampes, je te conseille de couvrir la surface du pondoir de lentilles d'eau. Pour ma part j'utilise des limnobium ou des pistia. En outre, cela devrait accélérer le le développement des infusoires dont, si si tout marche bien , tu vas vite avoir besoin (5 jours maxi pour l'éclosion à 20 degrés, 3 Jours seulement à 24 ° + 3/4 jours avant que les petits ne résorbent leur sacs vitelins et qu'il ne faille les nourrir);
    Je te recommande aussi d'utiliser e-sha (dose indiquée sur leur notice) ou tout produit équivalent, type bleu de méthylène, pour éviter la pourriture des oeufs rassemblés en pondoir.


  18. Les deux masses nettement visibles sur ta photo ne sont pas des oeufs de poissons rouges. Ceux-ci sont bien ronds et il n'est pas possible d'y voir des trous tant il sont petits (taille approximative celle d'un oeuf de lumph, ce truc qu'on tarine aux apéros). Idem pour les alevins à la naissance, à peine un fils gris/noir que je serais incapable de répérer s'ils n'étaient pas placés à part dans un pondoir(tous les poissons rouges naissent gris, avec deux points noirs pour les yeux,sauf les calicos qui naissent blancs/roses).

    Si tu trouves de petits oeufs bancs éparpillés et transparents, essaye de les récupérer délicatement (le plus facile c'est de racler une feuille large, type anubias) pour les faire tomber dans un petit récipient à part directement placé dans l'aqua et, si possible, traversé par son eau : les faire éclore et le seul moyen d'être sûre de ce à quoi tu as à faire.

  19. Il n'y pas de règle absolue avec les poissons rouges, même "fantaisie". Mes propres orandas, plus petits que ceux de Gould, dévorent tous les alevins qu'ils peuvent attraper. S'ils manquent de rapidité ils ne manquent pas d'opportunités, vu que dans un bac communautaire de dimensions moyennes, les alevins passent nécéssairement régulièrement à leur portée. L'une de mes ryukin a par ailleurs réussi à gober un corydoras panda juvénile et, l'ayant vu faire, elle m'a donnée l'impression de l'avoir guetté s'étant précisément postée au sortir de sa cachette.
    En fait, je pense que, sans être aucunement prédateurs, les poissons rouges, portés à tout goûter, découvrent parfois que les alevins ça se mange aussi et à partir de là ils s'intéressent fortement à cette nourriture improvisée.

    Pour les alevins de poissons rouges, ceux que j'ai pu observer ne se tenaient pas nécessairement au fond du bac, mais effectivement ceux-là avaient plus de chance de survivre quelque temps, ls autres ayant eu la mauvaise idée d'aller naviguer en surface se faisant vite dévorés.

    Pour une repro, dès lors que la présence d'oeufs est repérée, il faut les prélever manuellement et les mettre, par exemple, dans un pondoir filet du même bac. S'ils ont été fecondés (couleur translucide et non pas laiteuse), ils éclosent en deux/ trois jours pour une température de 24 ° (et qui doit rester inférieure à 26 °, sinon les oeufs n'éclosent pas ou donnent naissance à un certain nombre d'alevins malformés).
    A partir de là, on peut les nourrir avec des infusoires les 7 premiers jours (granulés de culture directement placé dans le filet) puis avec de la nourriture en paillettes du commerce finement réduite. Avec cette méthode très artisanale mais vraiment pas compliquée, on peut sans problème faire grandir 15/20 alevins pendant un bon mois. A ce stade, il faut par contre impérativement leur donner de l'espace pour qu'ils puissent grandir convenablement : bac à part ou lâcher dans le communautaire avec les adultes, sachant que certains peuvent survivre.
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