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La Chine

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Messages posté(e)s par La Chine


  1. Merci pour les dimensions exactes du bac.
    Pour celui qui a acheté tel modèle de telle marque, c'est une évidence, mais j'ai pris le parti de ne pas jouer le jeu du commerce et de raisonner en valeurs universelles.

    61 cm de long, c'est beaucoup trop peu pour les coeurs saignants.

  2. Bonsoir,

    Juste pour faire ma chieuse (en même temps, ce sont les paramètres sur lesquels je me renseigne par priorité même sans jouer la ch.....). Ta température, les dimensions de ton bac (L X H X l), parce qu'à volume égal, on ne fera pas vivre les mêmes espèces selon qu'elles ont besoin d'espace de nage, au sol ou plus rarement de hauteur ?

    Ceci dit, même en supposant ton bac assez haut et pas très long (peut-être un peu juste pour les coeurs saignants), ta population paraît bien pensée.

    J'adore les tétras et les leucomélas sont magnifiques. Hâte de voir comment tout cela vieillit, y compris le décor : nickel comme les photos aujourd'hui.

  3. Merci Very Happy
    Tranquilles, c'est vrai, limite trop discrets...

    Et pourtant ils font du très bon boulot niveau consommation algues (évidemment, à proportion de leur taille !). J'en recherche d'autres, si possible eux aussi identifiés comme "sp negro" mais cela fait plus de 2 ans que je n'en vois plus à proximité de chez moi.
    D'après le vendeur de mon animalerie, une grosse majorité (tous ?) de ceux qu'on trouve dans le commerce sont d'origine sauvage.

    Petite recherche faite sur le net, le nom commercial de ces poissons n'a rien à voir avec le Rio Negro. Selon Planet catfish, ils viendraient du Paraguay (bassin du Piribebuy) et auraient pour nom Otothyropsis Piribebuy (même pas des otocinclus stricto sensu). Par contre, ils sont effectivement exclusivement importés.

    Clin d'oeil à Tyrano qui en maintenait : pour les sexer, en plus de la nette différence de taille à l'âge adulte (femelles plus grosses), le mâle aurait une papille urogénitale, juste derrière l'anus, absente chez la femelle.


  4. Il y a eu une époque où j'avais régulièrement de jeunes otocinclus vendus comme "negro".
    En trois mois, plus d'une quinzaine étaient nés et avaient survécu dans le 840 litres des PR (à PH de 7,8, dGH 14 et 23/24 °). Les parents pondaient systématiquement dans la partie creuse d'un diffuseur d'air tout en longueur. Je m'étais donc dit qu'ils devaient apprécier une bonne oxygénation.

    Deux déménagements plus tard, il m'en reste quelques uns, outre des O. affinis, mais plus de repros apparentes.

    D'où ma surprise : en intervenant dans la décante externe de l'actuel 700 litres des PR je trouve un microbe dans le dernier compartiment où se trouvent la pompe de renvoi et l'un des combinés chauffants (l'eau est à plus de 26 ° dans ce petit compartiment et l'oxygénation faible).


    Après acclimatation à l'eau et à la température de mon autre bac (où je vais le relâcher puisqu'il y a aussi des oto et moins de grosses bouches), des photos du petit (moins de 2 cm avec la queue).
    En attendant avec une eau désormais légèrement acide et très faiblement minéralisée, me voilà dubitative quant à ce qui convient pour la repro de ces poissons. Question




  5. Belle aventure, surtout s'agissant d'une première.

    On rêve tous d'un "bac-gravure de mode", mais si l'on n'opte pas carrément pour le jardin aquatique ou semi-aquatique (et il y en a de magnifiques sur ce site), bref si on continue à donner la priorité aux poissons, ton bac est super en l'état puisque tes corys s'y sentent bien et qu'esthétiquement, même s'il est perfectible, il demeure sympa. On attend la suite !

    Quant à inoculer le virus aux jeunes voisins, si c'est pas une tentative d'endoctrinement ça Neutral Mais ça donne parfois des résultats qui passent l'espérance ...


  6. Non, le stérilisateur UV n'est aucunement dangereux (bien installé) pour les poissons, même si je ne suis pas personnellement pour son usage permanent (à force de faire vivre ses poissons dans une eau débarrassée de la plupart des germes qu'elle contient naturellement, j'ai tendance à croire qu'on affaiblit leurs défenses en cas de retour à un bac "normal").

    J'ai eu ce problème d'eau verte qui, en matière d'algues (ici des unicellulaires microscopiques), est atypique.

    Pour être sure que c'est bien de cela qu'il s'agit, tu vas être vite fixée : outre la couleur, cela résiste aux changements d'eau (renouvellement exponentiel des unicellulaires) et souvent au black-out.

    La méthode la plus efficace pour sen débarrasser, c'est en effet le filtre à UV (que tu peux te contenter d'emprunter à quelqu'un pour quelques jours). Certains ont eu des résultats avec des filtres à diatomées (par contre pour la méthode naturelle des daphnies qui consomment les algues en suspension responsables, c'est difficile sauf à élever momentanément une quantité énorme de ces petites bêtes).

  7. Vu mes chouchous (les PR pour qui l'oxygénation de l'eau est une clef de la réussite) et par histoire personnelle (un filtre qui tombe en panne en mon absence dans le "petit" aquarium des exotiques, mais une grosse aération qui, elle, a continué de fonctionner, ce qui m'a permis de sauver une majorité de poissons), mes bacs sont suréquipés niveau brassage et aération (duc coup, inutile d'investir dans un système de diffusion de CO 2°).

    C'est un choix qui impose ses limites (pas la peine de penser faire pousser des plantes délicates), mais a aussi ses bons côtés. Je ne vois quasi jamais les corys remonter en surface chercher des bulles d'air et, comme Yann, il m'arrive de retrouver de jeunes corys grandis alors que j'ignorais leur présence sous 70 cm d'eau ! (ceux que je retrouve dans le 700 litres issus d'un oeuf passé avec de la cératophyllum d'un bac à l'autre).

    J'ai donc tendance à en déduire que plus le niveau d'oxygénation de leur aquarium de croissance est élevé, plus les jeunes corys sont susceptibles de survivre même sous hauteur d'eau importante (mais sans doute, Nicole, en moins grand nombre et donc pas d'une manière appropriée pour qui veut en faire l'élevage).

    A préciser au vu des expériences des uns et des autres.

  8. Merci pour ces précisions, Nicole : 2 ans ce n'est quand même pas super tôt (heureusement pour toi d''ailleurs, si je comprends bien ta situation).

    D'une espèce de cory à l'autre, c'est peut-être différent. En tout cas, pour les C. panda, j'ai quand même une grosse régulation naturelle dans mon bac (pas plus d'un ou deux qui survivent par ponte).

    Au stade des oeufs, les planorbes s'en font un festin (dernier ex, une vingtaine d'œufs isolés en nurserie flottante pour suivre de près l'évolution des œufs puis des larves, 2 jours plus tard une poignée de planorbes et 2 œufs seulement épargnés).

    Puis, au stade des larves, les parents eux-mêmes (qui les mangent alors qu'ils ne touchent pas aux œufs) et les cohabitants du bac (rasboras, hyphessobrycons, sans parler des PR quand il y en a).


  9. Merci pour les commentaires.

    Les PR blancs (oui, l'expression est bizarre) ne sont pas si rares. Quant à en vouloir un, histoire de goût et de couleur précisément et puis, aussi, la volonté de me ménager un plus grand suspens pour mes futures repros (sur plus d'une vingtaine élevée : quasi que des rouges et quelques rouges et blancs).

    Et par ailleurs, aucun calico malgré un poisson de cette couleur : j'ai beau connaître quelques règles basiques de génétique, je suis tout de même surprise (moins que je le voudrais d'ailleurs !).

  10. Super Nicole. Smile

    Les panda survivent très bien en bac d'ensemble, sans intervention aucune de leur soigneur : tu vas probablement en découvrir d'autres au fil des mois, maintenant que les parents sont décidés à l'être.
    Mais quel âge ont les tiens, justement ?

    Moi et quelques autres avons constaté que pour les panda (et aussi les sterbais), quand on ne cherche pas spécialement à les reproduire, ils s'y décident spontanément dès lors qu'ils sont à l'aise dans leur bac. Mais, en prenant leur temps : souvent autour de 3 ans.

    Qu'en est-il pour les tiens ?


  11. Après des vues d'ensemble, quelques photos des cohabitants de longue durée des poissons rouges. (j'insiste sur le longue durée -déjà 4 ans révolus- parce qu'à mon sens, il est faux de soutenir que les PR sélectionnés ne peuvent pas cohabiter en aquarium avec quelques autres exotiques, sans mécontenter ou condamner les uns ou les autres : évidemment, pas dans n'importe quelles conditions, mais si au moins, cela pouvait en décider quelques uns à maintenir des PR correctement, c'est-à-dire dans des volumes de 500 litres mini, en se disant bien que tout ce volume est "utilement investi" puisqu'il permet les PR, des plantes et quelques autres poissons).

    Quelques questions aussi...





    Outre les échinodorus, les vallisnérias, les anubias (notamment) auxquelles les PR ne touchent pas (mais en leur donnant régulièrement à manger des lentilles d'eau), une plante qui a remarquablement prospéré dans cet aqua : le nymphéa lotus tigré rouge (j'ai un tas de rejet).





    Les Trichogaster déjà entr'aperçus.

    Les leeri (bientôt 5 ans pour ceux qui ont survécu à deux déménagements, dont l'un mortel pour eux -et pour tous mes anciens macropodes-). A force de vouloir bien faire, c'est connu, on arrive au résultat inverse.

    Donc, lors de l'un de ces déménagements, on me conseille un comprimé à rajouter dans l'eau des sacs de transport, supposé assuré le maintien d'une oxygénation maximale (j'ai malheureusement oublié le nom du produit). A priori, les labyrinthidés n'en ont pas trop besoin mais j'en utilise malgré tout dans leurs sacs de transport.

    Le résultat : tous les poissons de cette famille (sauf 3 leeri) sont morts moins de 3/4 d'heures après avoir été mis en présence de ce produit et ceux qui ont survécu ont dû être repêchés d'urgence pour être placés dans le bac non encore déménagé. Alors pour les poissons dotés d'un système annexe de respiration aérienne, je recommande la prudence et j'aimerais aussi savoir si d'autres ont Vécu une expérience semblable.

    Les trois rescapés.

    Le mâle.





    Ses compagnes.





    Ensemble.



    Les 2 T. pectoralis qui, eux, n'ont déménagé qu'une fois (la seconde, sans problème). Plus de 20 cm chacun et sans cesse en train de se chamailler l'un l'autre. D'où ma deuxième question : comment les sexer vraiment ? Les infos des forums consultés ne sont pas fiables et d'ailleurs aucun site ne publie deux photos conjointes clairement différentes d'un mâle et d'une femelle.





    Et les crossocheilus siamensis.

    Je les vois souvent se ruer sur la nourriture distribuée alors que pour les algues c'est moins évident. Au bénéfice du doute quant à leur qualité de mangeur d'algues, je dois dire que, du moins, a part sur les anubias, il n'y a pas d'algues dans ce bac.






  12. Dans mon conseil, le sel était destiné à l'eau de l'aquarium où se faisait le pic de nitrites (si les poissons y étaient laissés), pas au bac de quarantaine. C'est qu'en effet le cycle de l'azote en était à sa phase la plus toxique dans ton aqua (nitrites) et pas dans le bac de quarantaine qui, même rempli de l'eau de l'aqua de départ pour 50 %, aurait rapidement fini par ne plus contenir de nitrites en proportion dangereuse du fait d'un changement de 50 % chaque jour.

    Très schématiquement, le cycle de l'azote se déroule sur au moins 24 jours, la matière organique introduite dans le bac suscitant d'abord le développement d'une première colonie de bactéries qui dégrade cette matière en composés ammoniaqués, puis d'une seconde dégradant les composés ammoniaqués en nitrites et, enfin, d'une dernière qui dégrade les nitrites en nitrates (ces derniers, seuls sans danger en quantité raisonnable). Quand le cycle est en place, toutes les étapes se déroulent en même temps et tu ne dois enregistrer au final que des nitrates et rien d'autre. Ce petit laïus pour te dire qu'avec une eau neuve, tu ne peux pas avoir d'emblée un taux de nitrites problématique : le maximum de composés ammoniaqués est théoriquement atteint vers le 7ème jour après le démarrage (si ton PH est inférieur à 7,6, ces composés sont relativement inoffensifs, se présentant sous la forme d'ammoniac et non d'ammonium), celui des nitrites, vers le 17ème.

    La première chose à faire, c'est donc de tester l'eau de ton bac principal pour savoir où tu en es de ce pic de nitrites qui tue les poissons plus immédiatement qu'une crise de points blancs.

    S'il n'est pas fini, tu fais un nouveau changement de 50 % du bac de quarantaine ce soir et un autre demain matin pour éliminer suffisamment de Général Tonic qui ne convient pas pour traiter la maladie des points blancs. A ce stade (demain) tu achètes du Contralk de la marque Tetra (ou un autre traitement contre l'ichthyophthirius) et tu traites à demi-dose (dès lors que vert de malachite dans la composition) pour être sure de ne pas prendre de risques avec les corys et l'ancistrus (que tu mets, eux aussi, dans le bac de quarantaine). Le traitement devra durer 15 jours (plus long à ce dosage) avec maintien des 50 % de changement d'eau chaque jour (et rajout de la quantité du produit de traitement ainsi retiré) mais cela devrait marcher à terme et ton bac principal être prêt de son côté à recevoir ta population (en espaçant les réintroduction d'au moins 3 jours et en ayant continué de chauffer l'eau de ce 100 litres sans poissons pour se débarrasser des formes libres du parasite).

    Maintenant, une petite photo des points blancs serait bienvenue pour confirmer qu'il s'agit bien d'ichthyo.

    P.S : avec tous ces changements d'eau à venir (mais cela prouvera que tu les aimes tes poissons et ce sera ta punition pour n'avoir pas pris de renseignements sur l'attente nécessaire liée au cycle de l'azote ), tu ne t'emmerd... pas à déchlorer l'eau, tu achètes aussi un conditionneur d'eau (biotopol de chez JBL par ex) INDISPENSABLE qui élimine le chlore instantanément (et neutralise aussi son substitut, les chloramines qui ont fait bien des dégâts dans mon entourage chez les inconditionnels du simple "laissez-reposer l'eau" et je ne parle pas des métaux lourds...).

  13. Je pensais à l'hydrocotyle commune, la leucocephala. Mieux avec une température haute de l'ordre de 25 °, mais supporterait jusqu'à 28 °.

    La plante, notamment à l'extrême gauche de la photo.



    Pour le déséquilibre visuel, ce n'est pas forcément la HZ qui n'est pas à sa place (tu peux réduire sa hauteur) mais sans doute aussi le fait que les gazonnantes à droite n'ont pas (encore) suivi le même mouvement en termes de densification.


  14. Les petits massifs ont tôt fait de s'écarter de leurs formes souhaitées. Alors on coupe et on bouture, le rouge des ludwigies réapparaissant dans les 2/3 jours.

    Voilà de quoi mieux voir les C. pandas.













    Et un jeune poisson rouge qui finit de grandir avant de changer de bac : celui-là n'est pas né chez moi, c'est que j'en voulais un tout blanc !


  15. Les racines et les pierres structurent bien ce très joli aquarium.
    Je verrais bien de l'hydrocotyle grimpant sur les racines de droite à la place de l'anubia.

    Mais bon, c'est un peu une idée fixe en ce moment : je crois que je vais m'en procurer pour mes propres bacs Cool


  16. Dans l'idée d'avoir un jour un bassin et parce que je n'ai pas eu le coup de foudre pour les variétés communes de poissons rouges, je garde un œil sur ce qui ce qui se fait d'un peu différent en terme de population gardant une taille adulte raisonnable.

    J'avais donc déjà repéré ces deux espèces mais je ne trouve quasiment aucun retour d'expérience concernant leur maintenance en bassin en France. Avis aux éventuels amateurs...

    Voici les petites merveilles.

    Cyprinella (ex Notropis) lutrensis.

    Mieux connu sous son nom vernaculaire de Red Shiner, ce poisson de la famille des cyprinidés vient des régions Centre et Est des Etats-Unis. Il atteint 8 cm, vit environ 3 ans et se plaît entre 15 et 25 °. Bien qu'il soit réputé préférer les milieux énergiquement brassés et oxygénés, il se contente souvent de milieux difficiles pour d'autres au point d'être considéré comme invasif dans certains pays.

    A priori, il peut vivre en bassin avec un minimum d'1 mètre de profondeur dans les régions froides (80 cm sous un climat plus clément).



    http://bassin.tropical.free.fr/index.php?post/Cyprinella-lutrensis

    Tamasaba sabao.

    Alors, ce poisson, moi qui adore les ryukins, c'est sûr que je me donnerai les moyens de le maintenir un jour, quitte à le faire venir du Japon.

    C'est une variété de PR, exclusivement rouge et blanche, qui a été créée par des éleveurs japonais de koïs dans la région de Nigata. Il est issu d'un croisement entre une variété de PR à queue simple dite Syounai ayant la particularité d'être résistante au froid et la variété ryukin.

    Il est donc adapté à l'eau froide et se mélange bien aux koïs.


  17. Je n'ai jamais maintenu de tanichthys albonubes mais je connais pas mal de fans de PR forme voiles qui les maintiennent durablement (avec les PR) à une température de l'ordre de 23 °.

    Donc oui, çà devrait le faire, en essayant de ne pas dépasser des semaines durant 26 ° en été.

  18. Très joli ton bassin, Nicolas.
    Mais, il conviendrait mieux à des poissons rouges communs ou comètes

    Pour des koïs (qui vivent longtemps et doivent être bien nourries les mois d'activité), c'est 1 mètre cube par poisson (contre 100 litres pour des PR).

  19. Le plus simple Pascaline, c'est de laisser le cycle se faire en retirant de ton 100 litres actuels tous les poissons qui s'y trouvent.

    Comme c'est un 100 litres, tu dois pouvoir recaser momentanément tout le monde dans une grande bassine du genre baignoire pour laver bébé (ou encore une cagette en plastique de bonne taille), le tout étant que le récipient en question n'ait pas contenu de produits potentiellement nocifs (pas de seau ayant servi à laver les sols par ex. Smile).


    Tant que les poissons sont dans ce bac provisoire, tu te contentes d'y installer un chauffage et un aérateur et tu changes 50 % de leur eau tous les jours.

    Quand le pic de nitrites sera passé (il faut tester régulièrement, plutôt avec un test en gouttes spécifique qu'avec des bandelettes, et évidemment ne surtout pas toucher aux masses filtrantes du 100 litres durant ce temps), tu pourras réintroduire progressivement tes poissons : pas tous ensemble !

    A défaut, tu te contentes de recaser l'ancistrus et les corydoras et tu traites au sel ton bac d'ensemble à raison d'1 g de sel ni fluoré, ni iodé (type sel de Guérande) avec, aussi dans ce cas, 50 % de changement de l'eau chaque jour (et rajout de la quantité de sel retiré après changement pour garder la proportion de 1g/litre).

    C'est vrai qu'un certain nombre de poissons (dont les ancistrus) ne supportent pas ce traitement au sel, mais pour ceux qui le tolèrent, c'est une aide certaine pour lutter contre les effets d'une montée de nitrites (le sel combattant l'absorption des nitrites par les poissons).

    http://www.aquabase.org/articles/html.php3/sel-choc-osmotique=1222.html


  20. Bonsoir Valentin,

    Une remarque préalable : tes poissons sont déjà bien atteints (un peu tard déjà pour réagir). Plus on observe ses poissons, plus on en apprend les signes de mal-être qui permettent d'intervenir tôt, de manière ciblée et beaucoup plus efficace.

    Maintenant, la maladie qui affecte tous tes poissons (tous genres confondus) signale incontestablement un problème général du bac.

    @FlaX a écrit:
    surpopulation , manque d'hygiene du bac et des discus non rien a faire dans 200L


    Avis partagé, reste qu'au-délà de ces mauvaises conditions de maintenance qui ont constitué un terrain très favorable à l'apparition de la maladie (et qui devront être résolues, sauf à traiter en permanence la bac de ta mère avec d' inévitables pertes), la mycose très apparente de tes photos me semble n'être que le symptôme dérivé d'une autre affection, parasitaire ou bactérienne .... Oui, mais laquelle ?

    Je suis incapable de te répondre : le Général Tonic de Tétra est très bien (sur 5 jours pleins au moins) dans ces cas-là, compte tenu de son champ "large". Mais, pour se donner les meilleures chances de sauver des poissons gravement atteints, on peut le combiner à un traitement supplémentaire avec un antibio Gram- à large spectre, genre Furanol 2 MAIS , pour ce traitement supp., EN BAIN SEPARE DE COURTE DUREE (30 mn en bac hôpital - un saladier peut suffire- avec aération impérative) .
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