Caro18
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De nouvelles allégations Mise à jour le lundi 30 novembre 2009 à 10 h 36 De nouvelles allégations font surface, quatre jours après la descente à la Humane Society de Toronto: les chats soignés au refuge auraient été nourris avec de la nourriture périmée depuis six ans et les fournisseurs n'auraient pas toujours été payés pour les services rendus. Ces nouvelles allégations font suite à celles de la fin de semaine, selon lesquelles les dons versés à la Société protectrice serviraient à payer les frais de justice des cinq dirigeants accusés de cruauté envers les animaux. Les enquêteurs ont passé le refuge au peigne fin tout au long de la fin de semaine. Ils tenteront de prolonger leur mandat de perquisition au-delà de mardi en raison, disent-ils, de l'abondance de preuves qui s'y trouvent. Un porte-parole de la Humane Society de Toronto estime que les enquêteurs vont trop loin en saisissant les rapports financiers de l'établissement. Selon Ian McConachie, l'enquête ne devrait s'intéresser qu'aux animaux. http://www.radio-canada.ca/regions/Ontario/2009/11/30/003-allegations-animaux.shtml Qui va payer en bout de ligne... encore les animaux, car les gens avec ce genre d'histoire ne voudront plus rien donner
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Réseau de braconnage démantelé: une distribution bien organisée http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/200911/26/01-925528-reseau-de-braconnage-demantele-une-distribution-bien-organisee.php Marc Larouche, collaboration spéciale Le Soleil L'opération Balbuzard a nécessité la mobilisation de 155 agents québécois au Bas-Saint-Laurent, mercredi. Photo François Drouin, InfoDimanche.com (Rivière-du-Loup) La viande de bois prise illégalement par le réseau de braconnage démantelé mercredi au Bas-Saint-Laurent n'était pas distribuée que dans l'Est-du-Québec. Selon François Dessureault, Directeur régional de la protection de la faune du Bas-Saint-Laurent, plusieurs particuliers de diverses régions en profitaient. «Les suspects rencontrés ont avoué qu'ils mangeaient une partie de cette viande et vendaient le reste. Selon ce que nous avons pu apprendre jusqu'à présent, la viande prise illégalement était vendue à des particuliers de Notre-Dame-du-Lac, Rimouski, Drummondville, Lévis et Ville Sainte-Catherine, dans la région de Montréal», raconte M. Dessureault. La viande était souvent prête à être cuite : coupée en parties, mise dans des sacs et congelée en morceaux individuels. Du matériel servant à la transformation a aussi été saisi. Autant que ceux qui leur ont vendu, les clients qui ont acheté cette viande illégale pourraient aussi faire face à des accusations. D'un côté comme de l'autre, l'amende prévue est de 1825 $. Selon le commandant Dessureault, aucun commerce ni de gros ni de restauration ne faisait partie des clients de ce réseau de braconnage. Aucune accusation n'a encore été portée contre personne. Les agents de la faune prévoient rencontrer au total une soixantaine de personnes suspectées de se livrer à des activités de braconnage au Bas-Saint-Laurent. Si les preuves recueillies sont suffisantes, ces dernières recevront toutes une sommation à comparaître, qui comprendra les chefs d'accusationsappropriés. Ils devront ensuite se présenter devant le tribunal pour comparaître et être jugés. De la véritable tourtière à Noël! Après avoir prélevé des échantillons des 1200 kilos de viande saisis (plus de 2000 livres), l'avoir pesée et photographiée, la viande, déjà découpée et enveloppée en sachets, sera rapidement distribuée par les agents de la Faune à des organismes communautaires de la région. C'est dire que plusieurs personnes dans le besoin pourront probablement déguster de l'omble de fontaine et de la perchaude, mais aussi de la vraie tourtière faite de véritable viande de bois : orignal et chevreuil, pour le temps des Fêtes! Preuve que le malheur des uns fait le bonheur des autres. L'opération Balbuzard, lancée il y a deux ans par les agents de la Faune des bureaux de Pointe-au-Père et de Notre-Dame-du-Lac, a mobilisé mercredi au Bas-Saint-Laurent pas moins de 155 agents venus de partout au Québec en renfort. Jusqu'ici, plus de 400 chefs d'accusation ont été comptabilisés. Les agents invitent ceux ou celles qui seraient témoins d'actes de braconnage ou auraient des informations à divulguer à composer sans frais le 1 800 463-2191. Ce service est gratuit et confidentiel.
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Mettez fin à l'utilisation des animaux dans les cirques
Caro18 a posté un sujet dans Pétitions-Sondages-Suggestions
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Help Protect Black Bears in Québec Aider à protéger l'ours noir au Québec Le gouvernement et le Plan de gestion de l'ours noir 2006-2013 While it has not been very public about it, the government of Québec, Canada, has been developing the Black Bear Management Plan 2006-2013 to “... optimize the value of the bear as a resource in each of the regions in which it is found throughout the province.” By “value” is meant the value of dead black bears. Québec is looking at: Re-introducing fall bear hunts (they were previously stopped because of low numbers of bears); Re-introducing the cruel use of dog packs to hunt bears; An increase in trapping and hunting to resolve “nuisance” bear conflicts; Legalizing hunting where bears are now illegally being poached, although the government claims the number of bears that are poached is “insignificant”; Allowing trapping of bears attracted to bait used for deer and moose, to protect the bait. Meanwhile, the policy of the Québec government remains to not allow wildlife rehabilitators to care for orphaned cubs, a practice that has proved to work in neighboring Ontario. If the increasing in killing being proposed happens, you can be sure more bears will suffer, more bears will die, and more dependent young bears will be orphaned. We urge everyone who lives in Québec, or in a state or province that is adjacent to Québec, to write to: Nathalie Normandeau Ministère des Ressources naturelles et de la Faune Édifice de l'Atrium 5700, 4e Avenue Ouest Bureau A-308 Québec (Québec) G1H 6R1 Canada Letters, not emails, especially from the States, will have the greatest impact. Just a few lines are all that are needed. Please tell her, in your own words, not to reduce current levels of protection for black bears in Québec, to promote the rehabilitation of orphaned cubs, and to prevent the cruel use of dogs to hunt bears. Please use this letter as the model for your own mailed letter. https://secure3.convio.net/bfusa/site/Advocacy?pagename=homepage&page=UserAction&id=496 Please, no emails. We know that the Québec government does not want this proposal to become widely known. While it may gain Premier Jean Charest some votes in his rural riding, much of Québec (and conservationists and humanitarians everywhere) opposes it, so be sure to share this alert with others and make your compassionate views known. Thank you for investing your time on this action vital to black bears in Québec. This action alert is for residents of the following states only: Maine, New Brunswick, New Hampshire, Newfoundland and Labrador, New York, Ohio, Ontario, Pennsylvania, Quebec, Vermont MODÈLE DE LETTRE Sujet: Please encourage protection of black bears in Quebec This is tell you how shocked I was to learn of Premier Charest's plans to change the law protecting black bears in your Quebec in order to attract more American hunters. I oppose the reintroduction of fall bear hunts, the use of dogs to hunt bears, and the proposed increase in hunting and trapping to resolve "nuisance" problems. I would encourage Quebec not to move backwards, but to take a more progressive stance: encourage protection of bears and discourage practices that lead to cruelty and suffering in animals. I believe that Quebec should seek to attract, as tourists, the majority of people who oppose animal cruelty and cherish the natural environment. I would also encourage cooperation with humanitarians to produce the ability of Quebec to rehabilitate orphaned bears. And I strongly urge you to resist any effort to allow trade in bear galls or paws. Please protect the bears. Sincerely, [Your Name] [Your Address] [City, State ZIP]
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Demandez au ministre de la justice d'améliorer les lois en matière de protection des animaux La HSI et la SPCA LL font appel aux gouvernements fédéral et provinciaux pour mettre en œuvre des lois plus solides en matière de protection des animaux. Curious about the rescuers.© Karla Goodson Le sauvetage de presque 100 chiens négligés de traîneau par la société humanitaire internationale/Canada et Le SPCA Laurentide-Labelle accentuent le besoin d'avoir des lois plus sévères pour protéger les animaux au Canada. La misère endurer par les chiens de traîneau, les abus et la négligence, les horribles usines à chiots, les actes de cruauté non punis etc.,. nos compagnons ont désespérément besoin d'aide! Pour protéger tous les animaux au Canada, il faut adopter des lois plus sévères avec des pénalités plus fortes afin de décourager les abuseurs à perpétrer envers les animaux des mauvais traitements Veuillez prendre un moment pour contacter le ministre de la justice, afin d' exigez qu'il agissent en faveur des animaux. Une lettre déjà rédigée à envoyé : https://secure.humanesociety.org/site/Advocacy?cmd=display&page=UserAction&id=4295 Rappel des faits: La HSI et la SPCA Laurentides-Labelle sauvent près de 100 chiens de traîneau négligés 17 novembre 2009 Sainte-Agathe-des-Monts, le 17 novembre 2009 – La Humane Society International et la SPCA Laurentides-Labelle ont collaboré pour secourir 100 chiens de traîneau négligés dans la région des Hautes Laurentides. Le propriétaire n’était pas en mesure de s’occuper adéquatement des chiens et en a cédé la garde à la SPCA LL. « Les chiens étaient enchaînés à l’extérieur sans avoir un accès facile à de la nourriture adéquate, à de l’eau propre ou à un abri, dit Nikolas Gour, directeur de campagne pour HSI Canada. Ils avaient désespérément besoin de notre aide et la Humane Society International est fière de contribuer à leur offrir une meilleure vie. » « Ce sauvetage évitera que la situation se détériore : parmi les chiens que nous avons recueillis, environ 30 femelles étaient enceintes, dit Corinne Gonzalez, directrice générale, SPCA LL. Sans notre intervention, le propriétaire aurait facilement pu se retrouver avec 150 chiots de plus alors que l’hiver approche. La SPCA LL fait appel à la population pour l’aider à défrayer une partie des coûts de la nourriture et des frais vétérinaires pour ces chiens durant leur séjour à Val-Morin. » L’équipe a rapidement retiré les chiens du site et les a transportés dans un refuge d’urgence situé à Val-Morin, où ils recevront tous des traitements vétérinaires, de la nourriture, de l’eau et des soins. Dès que possible, ils seront acheminés vers des organismes de secours animal au Canada et aux États-Unis, où ils seront stérilisés et mis à l’adoption dans des foyers aimants et permanents. L’organisme United Animal Nations a déployé une équipe de bénévoles qui vient compléter celles de HSI et de la SPCA LL. « Les bénévoles de United Animal Nations sont des experts dans la gestion de refuges temporaires et dans le soutien aux communautés qui sont dépassées lors de l’arrivée d’un grand nombre d’animaux, dit Janell Matthies, directrice des services d’urgence à UAN. Ils travailleront sans relâche pour offrir à ces chiens un chenil propre, de la nourriture, de l’eau et de l’attention comme ils n’en ont jamais eus auparavant. » Hélas, cette situation n’est pas unique puisque l’on fait régulièrement état de cas de négligence de chiens de traîneau au Canada. HSI et la SPCA LL font appel aux gouvernements fédéral et provinciaux pour mettre en œuvre des lois plus solides en matière de protection des animaux afin d’assurer la protection de tous les chiens. Pour les chiens de traîneau, la stérilisation et la planification des soins à leur apporter durant les huit mois de basse saison touristique devraient être des priorités. Plus tôt cette année, la Humane Society of the United States, le partenaire américain de HSI, a livré 25 000 livres de nourriture pour chiens à des villages reculés de l’Alaska pour aider des chiens de traîneau et leurs propriétaires qui étaient touchés par le débordement de la rivière Yukon. La Humane Society International/Canada mettra à la disposition des médias des vidéos et des photos de haute résolution de cette opération, pour téléchargement, à l’adresse video.hsus.org. Vidéo: http://www.hsicanada.ca/companion_animals/husky_rescue_111709.html
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Chien jeté d’un pont : le web se révolte
Caro18 a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Chien jeté d’un pont : le web se révolte LA VIDÉO: http://www.liveleak.com/view?i=f04_1258418085 Mercredi 18 Novembre 2009 | Actualité | Société Depuis hier, une vidéo d’une violence extrême traumatise l’ensemble de la communauté web. Dans cette vidéo amateur on voit un jeune homme jeter un chien vivant par-dessus un pont. Comment est-ce possible ? Internet est le lieu de tous les exploits, du pire comme du meilleur. Aujourd’hui on n’hésite plus à exposer au reste du monde les moindres détails de sa vie… même si ce sont parfois les aspects les plus inhumains. Il semblerait que cette vidéo a été filmée par de jeunes lituaniens. On les voit marcher sur un pont en riant. L’un d’entre eux tient un chien sous son bras. Il s’arrête, prend le chien dans ses mains et le soulève au dessus de la rambarde. Il rit et l’on pense qu’il ne s’agit que d’une mauvaise blague. Non ! Il regarde la caméra puis jette violemment le chien par-dessus le pont. La pauvre bête s’écrase plusieurs mètres en contrebas et on l’entend nettement gémir de douleur. Wamiz a choisi de ne pas diffuser cette vidéo, extrêmement honteuse, révoltante et insupportable à regarder. Certains jeunes spectateurs pourraient être terriblement choqués… tout comme les plus grands. La communauté web se révolte Nous ne savons pas si les jeunes tortionnaires sont ceux qui ont mis la vidéo en ligne. Peut-être voulaient-ils montrer au monde entier l’exploit de la bêtise humaine ? Le fait est que des petits malins du net, que l’on peut présenter comme des « Robins des bois du web », ont fait tout leur possible pour retrouver le responsable de cet acte de maltraitance animale. Et ils y sont parvenus ! Grâce au piratage informatique, ils ont trouvé son nom, son prénom, son âge (il aurait 29 ans !), son adresse, son adresse email, et ont dévoilé les comptes de ses réseaux sociaux dont son profil Facebook… Un groupe Facebook http://www.facebook.com/group.php?v=wall&gid=201469312245 créé hier pour supporter le chien regroupe déjà presque 2 000 membres, et il paraîtrait que la police est activement à la recherche du tortionnaire. Le chien est-il toujours vivant ? Selon la PETA (une association de défense des animaux américaine) le chien serait toujours en vie même s’il est sérieusement blessé et qu’il souffre de nombreuses fractures. Mais l’information vient d’un site lituanien et est difficilement vérifiable… Nous ne manquerons pas de vous tenir au courant dès que possible pour vous donner des nouvelles de cette pauvre bête. Des précédents… Ce n’est pas la première fois que la communauté web se mobilise pour la protection des animaux. Il y a plusieurs mois, un jeune américain de 14 ans s’est filmé, cagoulé, en train de frapper et de jeter violemment son chat Dusty contre le mur. Il a ensuite posté la vidéo sur le site de partage Youtube et les internautes se sont immédiatement mobilisés devant la cruauté des images et l’inconscience du jeune homme. En retrouvant ses informations personnelles, les internautes ont permis l’arrestation de Kenny Glenn et ont sauvé Dusty des mains de son cruel maître. En France, la mobilisation la plus marquante est celle qui a suivi la torture de mambo, le petit pinscher brulé vif. Les pétitions et groupes Facebook se sont multipliés pour que la peine de son bourreau soit exemplaire (il sera jugé en décembre), et que de tels actes de cruauté envers les animaux ne se produisent plus ! Face à de tels actes de barbarie, il est tout de même réconfortant de voir un brin de solidarité humaine en faveur de la cause animale. http://wamiz.com/chiens/actu/chien-jete-d-un-pont-le-web-se-revolte-0352.html -
Behind Closed Doors Visection that continues today behind closed doors. See current trauma training videos on monkeys and goats from Fort Sam in 2009 (Visit BetterMilitary Medicine.org to watch video of trauma training... Visection that continues today behind closed doors. See current trauma training videos on monkeys and goats from Fort Sam in 2009 (Visit BetterMilitaryMedicine.org to watch video of trauma training on goats and learn more about improving military medical training.) and http://www.pcrm.org/newsletter/sep09/military_medicine.html See Lifeforce info re: trauma training on pigs at Vancouver General Hospital in 2009. http://www.lifeforcefoundation.org Des tests de brûlure sur des cochons vivants Vidéo: The U.S. militarys combat trauma training courses use approximately 9,000 goats and pigs each year. This use is suboptimal due to, among other issues, the animals anatomical and physiological differences from humans. Compared with humans, goats and pigs have smaller torsos and limbs, thicker skin, and important differences in anatomy of the head and neck, internal organs, rib cage, blood vessels, and airway. The most important elements of combat trauma training are human-specific injuries and treatments, volume of trauma exposure, and team building. The ideal training paradigm combines medical simulators, immersive simulated combat environments, and military or civilian trauma center training.
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Vive GEORGES LARAQUE! Le blogue de Georges - 9 novembre 2009 Bonjour tout le monde! Bon, pour commencer, je voudrais d’abord remercier tous ceux et celles qui m’ont montré leur soutien le mois dernier. Je continue de recevoir vos messages d’encouragement en ce qui concerne ma nouvelle passion pour la défense des animaux et mon engagement dans la voie du végétalisme. J’ai reçu des tonnes de courriels provenant de partout dans le monde entier. Je n’ai malheureusement pas eu la chance de tous vous répondre, mais je veux que vous sachiez que votre appui m’a vraiment touché. Je tiens aussi à remercier tous ceux et celles qui m’ont fait parvenir de l’information sur la cruauté envers les animaux ou des conseils concernant mon régime végétalien. Bon nombre de ces renseignements m’ont été utiles et le sont toujours. [b]Ce mois-ci, j’ai participé à plusieurs événements de bienfaisance pour les animaux qui ont été, à mon avis, un succès[/b]. Si, d’une façon ou d’une autre, je peux toucher ou informer une seule personne parmi des centaines, je considère ça comme une réussite. Si je me base sur la réaction que j’ai reçue, beaucoup de gens ont changé leur style de vie après avoir participé à un de ces événements. Mon but n’est pas de faire en sorte que le monde entier devienne végétalien. Je comprends que, pour certaines personnes, c’est impossible à cause de différentes raisons, telles que des allergies ou la région qu’ils habitent... Même en n’étant pas végétalien, vous pouvez toujours aider les groupes défenseurs des droits des animaux. Vous pouvez toujours lutter contre les usines à chiots, les cirques, n’importe quelle situation où les animaux se trouvent maltraités... Ce mois-ci, j’ai eu le plaisir d’accueillir à Montréal Shaun Monson, le producteur de Earthling . Ce gars a réalisé le documentaire qui a non seulement changé ma vie, mais la vie de milliers de personnes. Puisque la narration du film était en anglais, nous avons tous les deux eu l’idée d’en faire une version française. Il a fallu environ 20 heures pour compléter le projet et plusieurs personnes ont dû y participer, mais, en fin de compte, ça a été une réussite. Le lancement de la version française, Terriens, aura, bien entendu, lieu, ici, à Montréal, mais le film sera disponible également dans les pays francophones du monde entier. De plus, j’ai eu le plaisir d’organiser une séance de projection avec Shaun au Cinéma Guzzo durant laquelle 200 personnes ont pu voir son film. J’ai l’intention de répéter l’expérience chaque mois. Les gens qui étaient présents ont découvert des choses (de la même manière que moi) qu’ils croyaient inexistantes dans notre société. Comme moi, ils feront des changements dans leur vie pour améliorer les conditions de vie des animaux. Shaun, je ne sais pas comment te remercier pour tout ce que tu as fait. Tu as ouvert les yeux du monde entier. Tu es comme un dieu, et nous sommes tes disciples. Drôle de comparaison, mais je suis sûr que vous pouvez voir le rapport. LA PUB! Deuxièmement, j’aimerais remercier les milliers de personnes qui m’ont envoyé des courriels pour me montrer leur appui en ce qui concerne la publicité d’une boisson énergisante à laquelle j’ai participé. J’ai reçu des courriels de toutes sortes de gens, mais, en raison du problème qui a résulté de cette publicité, j’aimerais remercier tout particulièrement les femmes de diverses organisations féminines pour leurs mots d’encouragement, et j’en ai reçu des tonnes! Beaucoup d’entre elles ont expliqué que les plaintes ne venaient pas de leur groupe et qu’elles ne voyaient rien qui aurait pu justifier l’histoire que les médias ont créée. Elles ont ajouté qu’il y avait des choses qui étaient cent fois pires et que certaines personnes auraient dû garder l’énergie dépensée à propos de cette affaire pour régler les vrais problèmes qui touchent les femmes. Encore une fois, il y a des gens qui ne vivent que pour faire la manchette; ils préfèrent s’entendre et se voir dans les médias plutôt que de confronter les problèmes actuels, les enjeux réels. Je ne veux pas discuter de cela encore une fois parce que, si je disais ce que je pense, ça me causerait de sérieux ennuis. Je suis tout de même content de voir que la majorité des gens peuvent différencier le bon du mal et qu’ils sont en mesure de juger par eux-mêmes des situations sans être influencés par quelques esprits négatifs qui ont besoin de la publicité pour s’épanouir. À vous tous et vous toutes, merci. En fin de compte, cette annonce était un acte de bienfaisance de ma part. Je ne l’ai pas fait dans l’intention d’être payé. D’ailleurs je n’ai pas reçu un seul sou pour cette publicité. Beaucoup d’entre vous me connaissent, vous savez qui je suis, une personne et non un bagarreur; quelqu’un qui tient la communauté à cœur et qui s’engage à fond auprès de toutes sortes d’organismes de charité. Je sais que je suis un modèle de comportement pour un grand nombre de personnes et j’essaie de vivre ma vie en gardant cette pensée en tête tous les jours, sans exception. AUSSI Découvrez G. Laraque, le végétalien Vous connaissez Georges Laraque, l'homme fort. Mais connaissez-vous Georges Laraque, le végétalien et le protecteur des animaux ? ... http://www.rds.ca/canadien/chroniques/285459.html
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Elle et son mari pourraient faire tellement pour les animaux! Depuis qu'elle est maman, ........ je m'arrête ici Lutte à la pauvreté Julie Snyder co-présidente d’honneur de la Table de l’espoir Julie Snyder et Mila Mulroney co-présideront le 3 mai prochain l’événement La Table de l’espoir au profit de la Fondation Partageons l’espoir. Ce dîner-gala présentera à la fois les meilleurs restaurants de Montréal ainsi que les meilleurs vins et spiritueux. Bien que ses obligations familiales l’empêchent de s’impliquer au sein de multiples événements-bénéfices, Julie Snyder a accepté avec grand plaisir de se prendre part à l’activité. «C’est madame Mulroney qui m’a forcé la main!», plaisante-t-elle. Ayant par le passé participé à titre de co-chef de Normand Laprise, du restaurant Toqué!, l’animatrice s’est dite familière avec l’événement, autrefois nommé La Table du partage: «Je trouvais que c’était une belle soirée parce que pour 100$, et un reçu d’impôt de 65$, tu goûtes à tout ce qui se fait de mieux à Montréal. Les grands chefs y sont.» Découvertes pour végétariens Végétarienne depuis maintenant 18 ans, une telle soirée garantit donc son lot de découvertes: «Je suis végétarienne et j’aime découvrir qui fait de bons mets végétariens», raconte celle qui confie ne pas exceller dans la cuisine. «Mais je fais de bons croque-monsieur végétariens!» s’empresse-t-elle d’ajouter. «J’ai décidé de devenir végétarienne parce que c’est aussi une façon de lutter contre la faim dans le monde. Pour faire une livre de viande, il faut donner des milliers et des milliers de livres de céréales et de litres d’eau aux animaux. On déforeste l’Amazonie pour créer des pâturages. Ça aiderait à la redistribution des ressources à travers le monde si plus de gens étaient végétariens.» Son conjoint, Pierre-Karl Péladeau, et toute la petite famille ont adopté ce mode de vie. «À la maison, Pierre-Karl est végétarien, mais je ne l’ai jamais forcé. Nous avons fait un compromis: lui et les enfants mangent du poisson.» Partageons l’espoir Mise sur pieds en 1990, la Fondation Partageons l’espoir lutte contre la faim chez les enfants à travers différents programmes. En plus d’offrir des fournitures scolaires à 14 000 étudiants dans 23 écoles de Montréal, elle prépare et livre des aliments nutritifs aux enfants affamés tout en offrant des programmes de travail pour les bénéficiaires de l’aide sociale et les jeunes contrevenants. Tous les profits de La Table de l’espoir seront versés à la Fondation. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2009/10/20091028-224053.html La soirée sera l'occasion de présenter les meilleurs restaurants de Montréal et leur chef. À l'Hôtel Fairmont Le Reine Élizabeth, le 3 mai 2010. http://fr.video.canoe.tv/video/actualites/societe/14362409001/julie-et-mila-vous-invitent-à-manger/46798821001 Pour vraiment aider, elle aurait dû s'impliquer avec Food for life, elle aurait été un peu plus cohérente! http://www.ffl.org/
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Elle aurait peut-être dû faire croire qu'elle donnerait la somme demandée, au moins, elle aurait eu contact avec la personne qui détient supposément son chien? C'est un risque à prendre! On ne dit pas le montant demandé, mais j'imagine Il n'étais pas possible de retracer l'appel? C'est du chantage et de l'extorsion, peut-être que la police pourrais faire quelque chose, même si je sais que pour la police, c'est loin d'être important et prioritaire! C'est bien triste cette histoire! Je deviendrais folle de perdre mon bébé! Il n'a pas de prix!
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Publié le 09 novembre 2009 à 08h33 | Mis à jour à 08h35 Le trappeur amoureux des castors Charles Thériault Le Droit Après un parcours peu habituel, Michel Leclair a trouvé une cause importante à défendre : celle des castors du parc de la Gatineau qui jouent un rôle important dans leur environnement. LeDroit et Radio-Canada honorent son travail en lui remettant le titre de Personnalité de la semaine. Michel Leclair a consacré sa vie au contrôle des castors et toutes les connaissances acquises au fil des ans lui ont aidé à monter le projet Éco-Odyssée. Trappeur professionnel depuis plusieurs années, Michel Leclair a été honoré, la semaine dernière, par l'Association canadienne de l'industrie touristique, qui lui a décerné le Prix de la nouvelle entreprise de l'année 2009. Son entreprise, Éco-Odyssée, a attiré 6000 visiteurs cette année. Éco-Odyssée est un labyrinthe construit dans un marais, à La Pêche, près de la station de ski Edelweiss. Les visiteurs explorent le labyrinthe d'eau de 6,5 kilomètres de longueur et 64 intersections, en pédalo. L'exploration du labyrinthe prend la forme d'un rallye puisque les gens peuvent partir avec un questionnaire qu'ils doivent remplir en trouvant des indices tout au long de leur promenade. En cours de route, ils peuvent rencontrer des castors, des rats musqués, des canards et plusieurs variétés d'oiseaux. Michel Leclair est aussi le grand responsable de la gestion des populations de castors dans le parc de la Gatineau et dans plusieurs municipalités de la région. Un gars de la ville Originaire de Longueuil, M.Leclair a grandi en milieu urbain et rien ne le destinait à devenir trappeur, mais il aimait beaucoup la pêche. «Je vivais assez près du fleuve Saint-Laurent et j'allais souvent à la pêche mais je n'avais jamais chassé. Mais j'avais la forêt en moi. Je suis un décrocheur. Je n'ai pas terminé mon Secondaire III et j'ai travaillé un peu avant de partir pour la Colombie-Britannique, à 20 ans. J'ai travaillé dans une manufacture de plywood (contreplaqué). Lorsque je suis revenu au Québec, j'ai traversé le pays en motocyclette et j'ai subi un accident qui m'a forcé à l'inactivité durant plusieurs mois. Mais je savais que je ne voulais pas revenir vivre en ville. La forêt m'attirait», raconte M.Leclair. De retour au Québec, on lui offre un poste de gardien dans un club privé de chasse et de pêche, au sud de Parent. À cette époque, les clubs privés existaient encore. Ils ont été abolis et remplacés par les Zones d'exploitation contrôlées (ZEC) en 1978. Il est donc allé s'installer en forêt avec sa copine et il y a passé plusieurs mois. «Je ne connaissais rien à la chasse mais j'étais bien dans le bois et je me suis vite adapté. J'ai participé à une première expédition de chasse à l'orignal dans la Réserve faunique de La Vérendrye. À cette époque, un cours de guide de chasse et pêche se donnait à Maniwaki et je suis devenu trappeur», ajoute-t-il. Son travail l'a amené à chasser les loups et les coyotes à la suite de plaintes d'agriculteurs mais souvent, les chiens errants étaient les pires prédateurs, a-t-il observé. «Parfois, les chiens des fermiers se joignaient aux chiens errants pour faire des ravages. Je suivais les pistes et elles me menaient directement aux maisons des gens du voisinage. Alors j'avertissais les gens de ne pas laisser les chiens en liberté», se souvient Michel Leclair. Toutes ces expériences de chasse, de trappage et de contrôle des animaux, l'ont amené à entrer au service du parc de la Gatineau, vers 1978. Le parc de la Gatineau abrite quelque 1300 castors et leur présence cause parfois bien des soucis. Ils peuvent inonder des chemins, des terrains privés et détruire des sentiers lorsqu'ils construisent des barrages un peu partout. Disparus du territoire à la fin du xixesiècle après trois siècles de chasse intensive, les castors ont été réintroduits dans le parc de la Gatineau au courant des années 1940. Ils se sont rapidement adaptés et se sont reproduits dans cet environnement favorable. Le castor «Le castor est la pierre angulaire de la vie dans la nature. Le castor est le seul animal à créer son habitat. Lorsqu'il construit ses barrages, il créé un étang qui donne de la nourriture aux autres animaux, notamment les oiseaux. Le retour des castors a entraîné le retour de nombreuses espèces animales. Malheureusement, durant de nombreuses années, on a construit des routes et des villages sans tenir compte des castors parce qu'il n'y en avait presque plus. Or, la présence de tous ces barrages a un impact important car tout barrage va finir par céder un jour, emportant des routes et même parfois des maisons, si le barrage est situé haut en montagne. Mais l'affaissement soudain d'un barrage de castors est aussi une source de vie car il attire des prédateurs qui vont se nourrir des castors sans défense et des poissons coincés dans le lac asséché», fait-il remarquer. Selon Michel Leclair, en oubliant le rôle du castor comme régulateur du niveau des eaux, la société a commis des erreurs importantes dans la construction des villes. Aujourd'hui, les villes sont forcées de recréer des étangs, (appelés bassins de rétention), pour contrôler le niveau des ruisseaux urbains, principalement lors des gros orages. Dans le parc de la Gatineau, Michel Leclair a développé une technique de contrôle des niveaux d'eau, permettant de prévenir les inondations sans détruire les barrages et sans tuer les castors. Des drains sont installés dans les barrages de castors et il trouve des façons d'empêcher les castors de remplir ces drains. «Lorsqu'il y a un tuyau de drainage sous une route, il faut s'assurer que le castor ne bouchera pas ce drain. On peut alors construire un barrage, tout juste en amont, afin que le castor utilise le tuyau comme passage et ainsi on est certain qu'il ne le bouchera pas». Malgré la popularité d'Éco-Odyssée, Michel Leclair continue à s'occuper des castors du parc de la Gatineau et d'ailleurs et à vérifier l'état des barrages afin de prévenir les dégâts. Il aimerait aussi diffuser les connaissances acquises au fil des ans afin que les responsables de la gestion des castors comprennent mieux cet animal fascinant et qu'ils soient en mesure de prévenir les dégâts, sans avoir à tuer ces animaux. Vous pouvez entendre la Personnalité de la semaine ce matin, à 8h40, à l'émission Bernier et Cie animée par Carl Bernier et diffusée à la radio de Radio-Canada au 90,7 FM, ainsi qu'à 18h au Téléjournal Ottawa-Gatineau présenté par Michel Picard, à la télévision de Radio-Canada. http://www.cyberpresse.ca/le-droit/personnalite/200911/09/01-919813-le-trappeur-amoureux-des-castors.php
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LeMonde.fr LeMonde.fr Des vaccins contre le H1N1 produits à base de reins de chiens Le groupe pharmaceutique suisse Novartis a reçu l'autorisation des autorités allemandes de commercialiser son vaccin Celtura contre la grippe A(H1N1), un vaccin produit à partir de cultures cellulaires à base de reins de chiens plutôt qu'à base d'oeufs de poules. Le vaccin, comprenant l'adjuvant MF59, est recommandé pour des enfants à partir de 6 mois et les adultes, a précisé le laboratoire bâlois dans un communiqué. Cette technique cellulaire, dont Novartis affirme qu'elle a déjà été brevetée en Europe pour la production de vaccins contre la grippe saisonnière, permet une production plus rapide du vaccin que la méthode classique de culture du virus dans des oeufs de poule. Novartis s'attend maintenant à recevoir l'homologation 'd'autres grands pays, notamment le Japon et la Suisse' pour le Celtura. L'autorité sanitaire helvétique avait jusqu'à présent réservé sa décision quant à la demande d'autorisation de ce vaccin anti-H1N1 de Novartis, fabriqué par culture cellulaire. Le groupe avait démenti fin octobre que son vaccin puisse être refusé en raison de contaminations par des bactéries, après des révélations dans la presse suisse. http://fr.news.yahoo.com/64/20091105/twl-le-vaccin-anti-h1n1-produit-base-de-acb1c83.html
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Pauvres petis veaux, c'est à vomir! Imaginez maintenant ce qui se passe dans nos abattoirs québécois Dites à l'USDA de protéger les veaux des maltraitances S.V.P demandez au Ministère de l'agriculture des États-Unis de prendre des mesures afin d'empêcher de se reproduire ce genre d'abus. Cliquez ici http://action.humanesociety.org/site/R?i=PHcha-F74DhLoxuL-mh8uQ.. pour envoyer automatiquement une lettre au secrétaire de l'agriculture Tom Vilsack au sujet du traitement inhumain des veaux d'abattage. Avec votre aide, l'USDA agira sur ses politiques et procédures pour donner la protection à ces animaux maltraités. Merci pour les veaux!
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Le problème c'est que ce sont eux (chasseurs,trappeurs...) qui gèrent tout. Ils ont des dizaines d'assos, de feds, des pourvoiries, des zecs, etc. sur tout le territoire québécois ... On leur accorde même leurs propres émissions de télé, de radio, pour faire la promotion de leurs «sports», leurs propres chroniques dans les journaux les plus lus, sans parler des publicités pour la vente d'équipements de chasse et de trappe (armes à feu, armes blanches, vêtements, etc... ) qui ont toujours une place dans les journaux, etc. Et n'oublions pas qu'ils sont aussi «backés» par l'industrie de la fourrure canadienne, .... C'est une très très grosse «business» au Québec ... Quoi dire de plus, c'est tellement vrai!
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Publié le 27 octobre 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Ruée vers les permis d'abattoirs Québec) Sans statut légal depuis plus de 30 ans, les petits abattoirs régionaux se ruent sur les nouveaux permis offerts par le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ), qui promet pourtant de surveiller leurs activités de plus près. En adoptant la Loi visant la régularisation et le développement d'abattoirs de proximité, cet été, l'ex-ministre de l'Agriculture, Laurent Lessard, se réjouissait dans les pages de la Terre de chez nous d'avoir «réglé le plus vieux dossier au ministère». En 1977, dans la foulée du scandale de la viande avariée mis au jour par la Commission d'enquête sur le crime organisé (CECO), Québec privilégiait le recours aux abattoirs provinciaux sous inspection permanente, dits de type A, où vétérinaires et inspecteurs sont toujours présents pour surveiller les activités. Pour ne pas déstabiliser complètement le marché, le gouvernement avait accordé une exemption de permis aux petits abattoirs régionaux déjà existants, dits de type B, qui se comptaient par centaines à l'époque. En fait, le permis était attaché au propriétaire et non à l'établissement, de façon à ce que les activités ne se poursuivent pas au-delà d'une génération. Mais en juin 2009, il y avait encore 81 de ces abattoirs qui opéraient au Québec. Même si cela était interdit, plusieurs ont été vendus ou repris par des membres de la famille. Pire, de nouveaux établissements ont ouvert leurs portes pour répondre à la demande grandissante pour la vente directe et les produits locaux. Après 32 ans de no man's land, Québec a donc décidé de régulariser le statut des petits abattoirs et de les soumettre à des inspections plus fréquentes et plus serrées. Désormais désignés comme des «abattoirs de proximité», ceux-ci auront le droit d'abattre des animaux pour fournir leur propre boucherie ou leur propre restaurant, d'abattre à forfait les animaux d'un consommateur pour lui remettre les viandes et de préparer à forfait des viandes de gibier sauvage. En contrepartie, ils devront fournir leur horaire d'abattage aux inspecteurs, qui se rendront plus régulièrement sur les lieux et étendront leur surveillance aux activités ante et post-mortem, donc aux animaux vivants aussi bien qu'aux carcasses. «Ça va demeurer variable d'un établissement à l'autre parce qu'on privilégie une inspection basée sur le risque», précise Geneviève Godbout, conseillère à l'inspection des aliments et médecin vétérinaire au MAPAQ. Les propriétaires d'abattoirs devront également s'assurer que leurs locaux et leurs équipements respectent une série de normes édictées par le MAPAQ. Pour financer la modernisation, un programme d'aide a été mis en place tout récemment, subventionnant jusqu'à 90 % de certains travaux. Exactement 63 abattoirs de type B et 23 de leurs «descendants» - repris malgré la vieille interdiction, voire carrément clandestins - ont déposé une demande de permis transitoire leur permettant d'espérer le nouveau statut d'abattoir de proximité. Le MAPAQ se donne jusqu'en juin pour s'assurer que les installations respectent quelques normes minimales et accorde trois ans aux demandeurs pour prouver leur conformité totale. Un autre dossier complètement nouveau a également été déposé. http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/200910/26/01-915345-ruee-vers-les-permis-dabattoirs.php
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Les Inuits du Canada sont en colère contre le gouvernement américain qui veut éliminer presque tout le commerce lié à l'ours polaire. Photo: http://blstb.msn.com/i/14/31779BE3AF84DD94EE413297743920.jpg L'Inuit Tapiriit Kanatami, principale organisation inuite canadienne, a critiqué vendredi une décision des États-Unis de proposer que l'ours polaire soit classé espèce menacée lors de la prochaine conférence de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES) qui se tiendra à Doha en mars prochain. L'ours polaire passerait ainsi de l'Annexe II, qui regroupe les espèces en danger (dont le commerce international est strictement réglementé) à l'Annexe I, qui regroupe les espèces menacées d'extinction (dont le commerce international est interdit, sauf à des fins scientifiques). Les États-Unis allèguent que la survie de l'ours blanc est déjà lourdement menacée en raison du réchauffement de l'Arctique et qu'il vaut mieux arrêter de le chasser pour éviter sa disparition. Il s'agit d'« une attaque directe contre nos droits, notre culture, nos pratiques de chasse, nos accords de protection et d'aménagement, et contre les économies locales des peuples autochtones de l'Arctique », affirme Mary Simon, présidente de l'Inuit Tapiriit Kanatami. Les États-Unis allèguent que la survie de l'ours blanc est déjà lourdement menacée en raison du réchauffement de l'Arctique et qu'il vaut mieux arrêter de le chasser pour éviter sa disparition. Il s'agit d'« une attaque directe contre nos droits, notre culture, nos pratiques de chasse, nos accords de protection et d'aménagement, et contre les économies locales des peuples autochtones de l'Arctique », affirme Mary Simon, présidente de l'Inuit Tapiriit Kanatami. http://actualites.ca.msn.com/galeriedephotos.aspx?cp-documentid=22339301&page=5
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H1N1 Les médecins n'ont pas le droit de déconseiller le vaccin La Presse Canadienne 20/10/2009 15h58 QUÉBEC | Le ministre de la Santé et des Service sociaux, Yves Bolduc, prévient les médecins qu'ils n'ont tout simplement pas le droit de recommander à leurs patients de refuser la vaccination contre la grippe A(H1N1). Selon lui, cela contreviendrait à leur code déontologique. M. Bolduc a réagi ainsi mardi aux sorties publiques de certains médecins spécialistes contre la campagne de vaccination qui se mettra bientôt en branle. Les médecins ont bien sûr droit à leur opinion, a reconnu le ministre de la Santé. Mais il les a sérieusement mis en garde contre la tentation d'amener leurs patients à rejeter le vaccin. Yves Bolduc a souligné qu'un article de leur code de déontologie stipule qu'ils doivent exercer leur profession dans le respect des données scientifiques reconnues. Il a ajouté que la littérature médicale démontre très clairement que la vaccination constitue le meilleur moyen de contrer la grippe A(H1N1). Par ailleurs, le ministre ne s'est guère montré inquiet devant un sondage laissant croire qu'à peine le tiers des Québécois ont l'intention de se faire inoculer contre le virus. D'après M. Bolduc, plus le moment de la vaccination approchera, plus les gens seront conscientisés. Ils ne font qu'hésiter, pour l'instant, croit-il, et finiront par prendre «la bonne décision». M. Bolduc a souligné que les experts, à l'échelle provinciale, nationale et même planétaire, sont unanimes: il faut se faire vacciner. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/10/20091020-155802.html#