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Julie Van Sickle

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Tout ce qui a été posté par Julie Van Sickle

  1. Bonjour, Il y a environ un mois, j’ai acheté des bottes pour chiens de marque Muttlucks pour Camille, un Caniche standard. En peu de temps et malgré un entretien régulier, j’ai remarqué que les semelles se faisaient peu à peu endommager par la friction avec l’asphalte et par le sel. De plus, lorsque nous descendons une côte ou une colline, Camille dérape et glisse. Québec, comme vous le savez, composé d’une grosse côte (!) et il est difficile pour mon chien de marcher avec ses bottes. en toute quiétude. Cependant, ces bottes semblent confortables et elles sont très faciles à enfiler aux pattes de Camille. Elle ne les perd pas trop souvent. Tout va bien à part la semelle qui s’use. Quelqu’un m’a suggéré de faire poser une semelle supplémentaire en cuir et de faire retirer cette semelle une fois usée. Ce n’est pas bête! J'ai déjà vu des bottes Granite Gear mais elles étaient vraiment courtes et, puisque nous marchons souvent dans la neige, elles vont peut-être rester collées dans le banc de neige! Connaissez-vous ces bottes? Donc, ici, on parle des : Bottes Muttlucks Bottes chez Wal Mart New Paws Bottes pour mushers (en page 1) En connaissez-vous d'autres?
  2. En effet, ce texte (j'en suis rendue à ma quatrième version et je vous gage qu'il y a encore des fautes là-dedans!!!) pourrait s'appliquer à tous les chiens. La véritable révélation au sujet des molosses m'est apparue après avoir lu un livre tout simple intitulé "So Your Dog Is Not Lassie". On traitait du sujet de l'éducation des chiens indépendants. J'ai bien aimé ce livre. On peut l'emprunter à la Bibliothèque Centrale. Et vous, que pensez-vous des molosses? - Cane Corso - Mâtin de Naples - Mastiff c'est peut-être préférable de lancer un sujet pour ces races sur Races de chiens, s'il n'y en a pas déjà! N.B. Je bavarde mais j'essaie de ne pas m'écarter du sujet "molosses" que j'ai lancé. Je divague, je divague et je fais des vagues!!!!
  3. Bonjour, Les rédacteurs, traducteurs et même les ex-traducteurs comme moi sont, par leur nature même, perfectionnistes. Dans mon domaine, on se fait crucifier, lapider et flageller si on omet une simple virgule dans un texte! De plus, les traducteurs peuvent être durs envers leurs collègues paresseux. Pour moi, la langue française a longtemps été un gagne-pain! Cependant, depuis quelques années, mon français écrit s'est détérioré et je dois faire attention pour ne pas perdre la main. C'est un peu comme si on parlait d'un avocat qui oublie lentement le code civil ou d'un médecin qui oublie la biologie. Une chance que l’on ne se fait pas défendre ou opérer par un traducteur ! Fidèle à moi-même, j'ai révisé et fait révisé tout le texte « Sous le masque des molosses »! En date du 7 janvier, vous aurez droit à une toute nouvelle version! On est perfectionniste ou on ne l'est pas!!!
  4. Zut et zut, j'ai encore trouvé des fautes de frappe dans mon texte... Je l'ai révisé. Parfois, j'effectue les opérations "copier-coller" ou "backspace" et j'ampute des mots. Avec une vue qui est loin d'être parfaite, je dois être très attentive!
  5. Sous le masque des molosses Lors d’une soirée passée chez Isabelle et Monique, propriétaires de Dogos Argentinos, j’ai bien pris le temps d’observer mes réactions lors de mes interactions avec Shirka et Maddison. Ce sont deux grandes chiennes très douces et puissantes. J’ai ensuite songé à mes interactions avec Diane, le Rottweiller que mon oncle avait acheté en 1979. Diane était aussi une grande chienne très douce et puissante dont la personnalité extraordinaire mais trop souvent incomprise a beaucoup marqué ma relation avec les chiens. Je suis bien consciente que le Dogo Argentino et le Rottweiller sont de races différentes. Cependant, je suis en mesure de faire quelques parallèles entre Shirka, Maddison et Diane car elles sont des chiennes de type molossoïde. En tante que molosses, je trouve que ce sont des chiennes franches, honnêtes, calmes et réfléchies. Selon moi, un chien franc est un animal qui exprime son attachement et son adoration pour son maître sans fausse pudeur. Il aime et veut être aimé par sa famille et c’est tout ce qui lui importe. Un chien honnête offre toute sa présence, ses attributs et son affection à son maître sans essayer de le manipuler ou de le tromper pour tirer un gain quelconque de cette relation. Par contre, les molosses ne sont pas des races « esclaves » et s’attendent au même niveau de tendresse, de compréhension et de respect de la part de leur famille. Les molosses auxquels on manque de respect et de constance de façon flagrante seront suffisamment honnêtes pour nous le faire savoir de façon claire mais non violente. Les molosses sont calmes, une qualité qui me plaît beaucoup. Ils savent faire la différence entre un événement un peu curieux et une véritable menace. Lorsqu’ils entendent un bruit étrange, ils ne se mettent pas à aboyer à tue-tête ou à sauter dans tous les sens. Même s’ils affichent parfois un air flegmatique, ils sont toujours attentifs à ce qui les entoure. Ils gardent un œil sur leur famille, leur univers. Ils savent aussi reconnaître le danger et les injustices. Ils agiront en conséquence mais de façon réfléchie, sans perdre la tête. Lorsque j’avais huit ans, mon oncle a fait une petite expérience. Sans me prévenir, il m’a plaquée contre la porte de la cuisine et a fait semblant de me gifler et de me frapper à coups de poing. Diane s’est alors gonflée et a semblé croître de plusieurs centimètres. En fixant mon oncle du regard et en montrant tous ses immenses crocs, elle a poussé un grognement très sourd. Elle avait un maître, mon oncle, et elle le respectait malgré sa personnalité parfois bizarre. Cependant, il s’en prenait à un enfant. Diane l’a clairement averti de se calmer. Curieusement, mon oncle semblait satisfait de la réaction de son chien. Quant à moi, j’étais demeurée perplexe. Aujourd’hui, je comprends qu’un molosse n’accepte pas les injustices. Je comprends surtout que Diane m’aimait à la folie. Tous les chiens possèdent des attributs fascinants. Les molosses ont en plus un corps d’acier et un cœur d’or. Cependant, ils ne doivent pas être adoptés pour les mauvaises raisons et tomber entre toutes les mains. Lorsque j’habitais Montréal, j’ai connu de jeunes adolescents qui vivaient en grandes bandes dans le centre-ville, sans domicile fixe et sans emploi. Plusieurs d’entre eux ont des chiens. Beaucoup d'entre eux aiment leurs chiens. Ils les gardent pour plusieurs raisons, y compris pour rendre leur arrestation plus compliquée. En effet, les policiers ou autres personnes détentrices d’une autorité judiciaire ne peuvent mettre un jeune qui a un chien en état d’arrestation ou le faire incarcérer sans avoir pris leurs dispositions avec la SPCA afin d’éviter que le chien ne soit livré à lui-même après l’arrestation de son maître. Bien que plusieurs jeunes traitent leur chien avec considération et en prennent soin du mieux qu’ils le peuvent, certains d’entre eux considèrent leur chien comme un prolongement de ce qu’ils sont ou de ce qu’ils voudraient être. Plus précisément, ils perçoivent un chien puissant et menaçant comme un gage et une preuve de leur force, leur courage, leur virilité et leur marginalité. Ce type de maître peut prendre les marques d’affection de son chien envers les étrangers d’un mauvais œil car ce chien devrait être comme lui : fort, fier, indépendant, féroce, méfiant et sardonique envers les membres de la société. L’adoption d’une telle attitude envers un vrai molosse est, selon moi, une erreur monumentale. Avant de poursuivre mon texte, je tiens à préciser que j’exprime ici mes impressions et que les propriétaires de molosses sont mieux placés que moi pour s’exprimer au sujet de ces chiens. Cependant, avec un regard extérieur, certains éléments intéressants peuvent quand même surgir. D’après moi, il faut éviter d’adopter trois attitudes envers les molosses. Premièrement, il faut éviter de les sous-estimer. Hier, Shirka était couchée près de moi, sur le dos, les quatre pattes en l’air. Son museau était collé tout contre mon genou. Elle offrait son beau gros ventre à mes caresses et s’abandonnait sans maniérismes aux douceurs de la vie. Cependant, si je brutalisais, brisais et fracassais Shirka, c’est-à-dire si j’utilisais la force au lieu de la douceur et de la coopération et si je trahissais sans relâche ce grand cœur si brave et doux en criant, en frappant, en punissant et en isolant ce chien, Shirka aurait la force nécessaire pour me pulvériser le bras. Mordre est la dernière chose qu’elle ferait. Cependant, si je sous-estimais cette belle et tendre chienne, si je la traitais comme un torchon ou si je la forçais à être ce qu’elle n’est pas, c’est-à-dire un chien méfiant, agressif et révolté, je risquerais non seulement de détruire cette chienne mais de me retrouver avec de sérieux problèmes. La deuxième attitude à éviter avec les molosses est de les surestimer. On peut avec raison les considérer comme des chiens très forts. On peut admirer leur instinct de chasse et de garde. Cependant, il faut se rappeler que sous leur forte taille et leur allure impressionnante se cache un chien comme les autres. Un Caniche standard pourrait attirer plus de sympathie de la part d’un passant qu’un mâtin de Naples mais, dans sa tête, le mâtin ne fait pas la différence entre l’effet produit par son faciès impressionnant et l’allure inoffensive d’un Caniche. Il veut lui aussi être aimé. Et lui aussi peut souffrir et avoir peur. Même un jeune molosse de 50 kilos peut avoir peur du bruit produit par un gros camion, un lave-vaisselle ou un avion qui perce le ciel. Il a aussi besoin de notre compréhension lorsqu’un passant ouvre brusquement son parapluie et l’effraie un peu. Les molosses ont eux aussi besoin de renforcement positif, de caresses, de socialisation, de petits soins et de beaucoup, beaucoup de tendresse et de patience. Tous les chiens ont besoin de douceur, même les plus gros, même les plus forts. La troisième attitude à éviter avec les molosses est de se surestimer en tant que « maîtres ». Pour accorder leur amour inconditionnel à leur maître et guide et pour être prêts à mourir pour lui, les molosses imposent et exigent le respect. D’ailleurs, on dit souvent que le respect se mérite. Si je fais « travailler » et obéir mon molosse exclusivement pour satisfaire mes propres besoins et que je m’impose comme le centre de son univers au lieu de lui apprendre à travailler avec moi, sa partenaire et guide, je risque franchement de le décevoir. De plus, si je crois que mon molosse vit exclusivement pour me faire plaisir, je risque d’être franchement déçue. On a créé et développé la plupart des molosses pour qu’ils soient en mesure de prendre leurs propres décisions et pour qu’ils travaillent de façon autonome. Par exemple, les meutes de Dogues du Tibet devaient garder des troupeaux de yaks ou des villages entiers. Les Bullmastiffs devaient immobiliser des braconniers jusqu’à l’arrivée de leur maître. Les Bergers des Pyrénées avaient tout un troupeau de moutons à leur charge et devaient le défendre contre toutes sortes de prédateurs. Ces chiens ont longtemps travaillé « à côté » de leur maître et non exclusivement avec ou pour leur maître. Ils ne sont donc pas toujours « branchés » sur les désirs et les ordres de leur maîtres. Les molosses ne sont pas des chiens « esclaves » qui se plieront sans cesse à tous nos désirs et caprices. Il faut prendre cette force de caractère en considération. Cependant, ils demeurent des chiens qui sont prêts à mourir pour un maître qui les aiment et le respectent pour ce qu’ils sont. Les humains ont créé des races de chiens de façon égoïste pour satisfaire leurs propres besoins, goûts et préférences. Les préférences des uns diffèrent souvent de celles des autres. Par exemple, ma mère adore mon Caniche à la folie mais ne s’approcherait pas spontanément d’un Mastiff. Les molosses ont malheureusement une mauvaise réputation auprès de trop de personnes. À mon avis, et selon mes goûts et préférences, les molosses remportent la palme de l’honnêteté, de la franchise, du calme et de l’esprit de la répartie. Il ne faut pas avoir peur de lever le masque qui couvre le vrai visage de certains chiens vraiment intéressants. À nous de les découvrir sous leur vrai visage!
  6. Québec, le 5 janvier 2006 Dans ma vie, j'ai eu quelques "rencontres canines" qui m'ont marquées. L'une d'entre elles fut entre un grand Barzoï de neuf ans et moi lors d'une journée de canicule à Montréal. Je me suis promise que, avant ma mort (que je suis solennelle!), j'aurai l’honneur d’adopter un de ces superbes chiens! - En avez-vous déjà eu un? - si oui, quel est leur caractère? - Connaissez-vous des élevages de Barzoï au Québec et en Ontario? N.B. J'en ai vu deux à Montréal, dont mon beau Ralph! Bonne journée, Une propriétaire de Caniche!
  7. Connaissez-vous l'élevage Cornouailles? Connaissez-vous l'élevage Nichea? Connaissez-vous un élevage de Caniches standard sur la Rive-Sud de Québec? Connaissez-vous l'élevage de Diane Bédard, à Beauport?
  8. Bonjour, Camille, mon Caniche standard de cinq ans, provient en effet de l'élevage Aldenter. Quand je l'ai acheté Camille (500 $ pour une chienne adulte rejetée par ses propriétaires après cinq ans de vie commune), j'ai choisi un chien et non un élevage. Je ne chosirai pas un chiot chez Aldenter car ma philosophie diffère de la leur. J'aimerais plutôt trouver un éleveur qui comprend et appuie l'alimentation BARF/crue comme Danielle Gauthier (Golden Retrievers) et l'élevage Cornouailles (Caniches standard) et qui garde moins de chiens sous le même toit. Je pense aussi que les chiens doivent jouer avec les autres chiens (voir rubrique Comportement Chiens à humains/chiens à chiens????) Il s'agit d'une pure question de philoshphie, de préférences Dans le choix d'un élevage, je crois qu'entre autres, il faut plutôt écouter sa conscience et ses tripes (important!) et choisir un élevage avec lequel ON SE SENTIRAI TOUT À FAIT À L'AISE DE RETOURNER SON CHIEN SI ON NE PEUT PLUS LE GARDER (ex : supposons que l'on me diagnostique un cancer ou que j'ai un très grave accident d'auto et que je ne peux plus garder mon chien). On ne sait jamais ce que la vie nous réserve! Les bons élevages offrent des politiques de retour. Cependant, que faire si on ne veut pas retourner le chien chez cet éleveur? Lorsque l'on a négocié le prix d'achat de 500 $, c'était nébuleux et je suis mécontente au sujet de cette procédure. Je l'ai fait savoir à l'éleveur. 1 - Je m'informe pour un chiot et, par hasard, on me parle d'un adulte disponible 2 - Je demande une photo et une description par Internet. Je reçois quelques lignes et une photo 3 - Deux long appels téléphoniques 4 - Un troisième appel et des questions très précises 5 - Je me déplace pour voir le chien. j'ai une liste béton de questions. On me parle alors d'un prix allant de 400 $ à 500 $. On refuse fermement de me dire quel est le prix payé par l'éleveur pour avoir récupéré le chien de 5 ans. 6 - Je réfléchis. Donc, on a pas parlé d'argent. "Ma fille s'occupera du contrat". 7 - Je retourne voir le chien. J'aime le chien. Je veux le chien. Et voici le contrat, quand je suis attachée au chien. À la dernière minute, on me met un contrat écrit sous le nez. Prix de vente : 500 $. Prix d'achat aux anciens proprios : 100 $. À ce stade-là..­ je signe ou je ne signe pas le contrat. Ensute, je dépense environ 250 $ en frais de consultation avec des comportementalistes. On ne sauve jamais d'argent avec un chien adulte. Ce n'est pas une question d'argent. Il y a cependant un bon "service après vente" et j'ai déjà demandé des conseils. On prend le temps de me parler, ce qui est bon. En effet, les chiens sont beaux et ils vivent à l'intérieur même s'il y en a beaucoup. Mais le prochain coup, j'irai vers autre chose, d'autres valeurs.
  9. Le 28 décembre 2005 Bonjour, Connaissez-vous quelqu'un qui fait un aller-retour Québec-Montréal (départ de Québec) pendant le temps des fêtes et qui pourrait offrir un "lift" à un Caniche et à une gentille handicapée visuelle (moi) ? Je partagerai les frais d'essence. Voici la situation : J'habite à Québec. Je veux visier une chambre à louer à Montréal et je dois apporter mon grand Caniche Camille sur place pour m'assurer qu'elle s'entende avec les chiens qui vivent dans l'appartement. Le hic, c'est que Camille, qui n'est pas un chien-guide, ne peut pas utiliser les transports en commun et que Allo Stop, le système de covoiturage, n'accepte aucun animal dans les voitures de ses conducteurs. Je suis donc coincée sans transport qui accepte les chiens. Je pourrai partir n'importe quand à partir d'aujourd'hui! On peut me joindre au (418) 929-0906 ou au julieqc30@yahoo.ca Merci!
  10. Bonjour, Quand je prononce les paroles "handicap visuel", j'ai conscience du fait que ces paroles sont sujettes à diverses interprétations. Est-ce que Julie voit les visages? Est-ce que Julie voit les autres chiens qui passènt à côté de Camille? Est-ce que Julie peut surveiller son chien et les autres chiens qui courent partout dans un parc? Est-ce que Julie peut intervenir à temps quand les chiens perdent un peu le contrôle et quand il faut les distraire/séparer? Les personnes de Québec et de Mtrl me connaissent peu et connaissent peu ma maladie de l'oeil. Oui, je vois les visages mais seulement quand il y a suffisamment de lumière. J'ai ce que l'on appelle une cécité nocturne, donc je vois très mal après le coucher du soleil. Il m'arrive parfois de ne pas voir tout ce qui se passe dans un parc à chiens le soir. Donc, je n'y vais pas car je me retrouverai dans l'impossibilité de faire mon travail de GUIDE. Ce n'est pas mon chine qui me guide mais moi qui guide mon chien. Les jeux du soir se font avec des chiens que je connais. Le jour, nous faisons à peu près ce que nous voulons car je peux travailler pour Camille et avec Camille. Voilà comment je m'y prends pour que mon handicap ne devienne pas un handicap pour le chien. Petite anecdote : quand on me demande si Camille est un chien guide, je réponds, non, non, elle est un chien-chien! Et elle a la vie d'un chien-chien : manger, jouer, dormir, se promener, jouer avec ses Kongs, faire des promenades en voiture... Une vie de chien, quoi! Youpi!
  11. Le 24 décembre J'ai deux autres questions à poser : Où peut-on acheter la nourrture Evo de Innova dans la ville de Québec? J'ai trouvé beaucoup, beaucoup de magasins où on peut trouver cette nourriture à Mtrl (j'adore cette ville...) mais, à Qc centre-ville, c'est le désert du Sahara. On me dit qu'il y a un endroit à Cap-Rouge où on peut en trouver. Je me demandais aussi si on peut nourrir notre chien au Evo et au cru simultanément. J'ai entendu dire que oui, on le peut, mais je voulais confirmer cette information. Merci!
  12. Le 24 décembre Oui, oui, je suis sur Internet pendant Noël! La raison est simple. Je suis un peu malprise car je ne sais pas où trouver des os à carcasse (terminologie de Danielle Guathier) et d'os à viande à Québec, centre-ville. L'automne dernier, j'ai reçu une magnifique livraison d'os d'une ferme bio mais ce n'est plus possible maintenant. Puisque ma forte myopie m'empêche de conduire un véhicule et que je connais peu de personnes à Québec, j'ai dù me contenter des os porteurs de boucherie mais ils rendent mon chine malade. Camille a de la difficulté à tolérer la moelle. Elle a été très malade et a perdu 3-4 livres en une semaine. N.B. Je n'ai pas encore de gros congélateur. Savez-vous où on peut trouver des beaux os à Québec? Est-ce posssible de partager une commande d'os avec une personne qui va en acheter en grandes quantités? Combine de fois par semaine donnez-vous des os à votre chien? Quel type d'os utilisez-vous? Camille mange la nourriture Karnivor. Pour qu'elle ait un régime équilibré, on me suggère : Cinq jours de viande Un jour d'os Un jour de jeûne Puisque Camille est maigre et encore anxieuse (pas facile, la transition de propriétaire!), je la fais jeûner aux dix jours. Merci et joyeux Noël!
  13. Mireille, Honnêtement, je crois que ma vue n'a vrainent rien à voir avec les commentaires de mon éleveure. Elle ne l'a pas mentionné et ses propos n'avaient rien avoir avec cela. Les choses sont claires pour elle. Camille n'aurait pas du tout besoin de jouer avec d'autres chiens, un point c'est tout. C'est ce qu'elle recommane à ses élèves et à un autre proprio de Caniche. J'ai fait une petite expérience et j'ai posé a même question : Camille joue avec deux autes Caniches. Recommandez-vous ces jeux. Si oui, combien de fois par semaine? Réponse : jamais. Pouet-pouet... C'est mon chien après tout! Une question de basse vision et de "contrôle" d'un chien n'est pas une question qui pose des problèmes, surtout quand la personne ayant une basse vision a voyagé dans le désert australien, a escaladé le plus gros monolithe au monde et a vécu seule à Moscou pendant huit mois. Bref, e peux m'occuper d'un Caniche.
  14. Aldenter? Camille provient justement de cette élevage et a été retournée à ce dernier puis cédée pour un certain montant (500 $) à votre humble serviteur (moi). Un Rescue Deluxe, bref!
  15. Bonjour, Pas grave pour les divergences! Ce qui n'aide pas du tout, mon Malade Imaginaire à Pompons, c'est que je suis coincée chez ma mère à cause d'incessantes rénovations dans appartement. Tout allait sur des roulettes parce que ma mère était PARTIE EN FLORIDE PENDANT UN MOIS !! HIIIIII! PARTY IN THE HOUSE! Non, pas si pire mais c'était quand même agréable d'AVOIR LA PIAULE DANS LE QUARTIER MONTCALM à ma disposition! Le hic, c'est ... que ma mère et revenue et qu'elle "minouche", "taponne", flatte et gâte constamment le cabot... et n'arrête pas de le faire malgré mes explications et, oui, mes menaces. Camille commence donc à me faire du sacré chichi à cause de cela et Madame Princesse Caniche exige de l'attention. Merdium, comme diraient les Romains. Avec moi, elle ne peut pas faire son cinéma mais avec ma mère... Ma mère et le chien ont deux choses en communn: une maudite tête de cochon mais je les aime toute les deux et je dois les "dresser" toutes les deux en ce qui concerne la tolérance à la frustration. Une grande dame du monde canin a déjà prononcé ces célèbres paroles : "Entraîner un chien prend cinq minutes à peine. Avec les humains, c'est beaucoup plus long". Ouain, dresser ma mère s'avère être une tâche quasi impossible... mais je ne perds pas espoir! Cependant, je ne peux pas utiliser le clicker avec une femme de 61 ans... Je pars dans une semaine et demi dans ma petite chambre chez un coloc qui, lui, chose incroyable, comprend le principe de tolérance à la frustration. PARFAIT!
  16. Québec, le 13 décembre 2005 Caniche malade imaginaire... Voici des petites anecdotes intéressante au sujet des comportements affichés par mon chien dans le but de, je crois, attirer mon attention, mes soins et, oui, ma pitié. Il y a deux mois et demi, Camille a fait une grosse colique qui a duré pendant une bonne partie de la nuit et de la journée suivante. Mon colocataire et moi étions très inquiets et ne comprenions pas ce qui se passait. Camille a alors reçu toute notre attention. Ensuite, elle a vomi deux ou trois fois. Cela se passait toujours pendant la nuit. Je me levais alors, craignant autant pour la santé de mon chien que pour les tapis très pâles et fournis de ma chambre. Camille a dû remarquer cela… Chien tousse et vomit = Julie se réveille Chien continue de tousser = Julie a peur de marcher dans une flaque de vomi et se lève pour ramasser le dégât Chien tousse encore = Julie fait sortir chien pour lui faire prendre l’air à 1 heure du matin Maintenant, le matin, lorsque je traîne un peu au lit, Camille se met à tousser, tousser et tousser. Si elle ne tousse pas, elle fait de drôles de bruits, comme si elle essayait de déglutir quelque chose de vraiment gluant (shhhrlip-shhhrlippp!!). Quand je me lève, elle arrête tout cela net et a l’air toute contente de me voir debout. Quand je suis en train de travailler à l’ordinateur ou quand elle veut se promener dehors, elle recommence son petit ménage et arrête de tousser lorsqu’elle a de l’attention. Petite coquine… mais maintenant, je l’ignore. The party is over, puppy! Vos chiens affichent-ils ce même genre de comportement (faire semblant de boiter, tousser, se donner un air piteux) lorsqu’ils trouvent votre vie trop ennuyeuse et veulent votre attention? Je suis curieuse de le savoir… car je crois que les chiens ont un bon sens de l'observation et savent comment nous faire marcher sur les oreilles!
  17. Québec, le 12 décembre 2005 Avez-vous acheté un Caniche standard chez un éleveur que vous aimez et respectez? Connaissez-vous des éleveurs de cette race dans la région de Québec et de l'Ontario? J'aimerais mieux connaître la race Caniche standard et obtenir les coordonnées d'éleveurs de Caniches que vous connaissez. Cela m'aiderait à connaître la race, ainsi que d'autres proprios de Caniches standard. Comme quelques-uns d'entre vous le savez déjà, je suis propriétaire de ce que j'appelle un RESCUE DELUXE!!! Oui, j'ai acheté une femelle Caniche standard flushée par ses anciens proprios après cinq ans de vie commune. Elle n'a pas passé de très beaux moments avec ses anciens priorios (voir message Mauvaises nouvelles Le triste passé de Camille) mais je crois que tout cela est (presque) derrière elle maitenant. Merci!!!
  18. Bonjour, Merci pour vos nombreuses réponses et nombreux commentaires! J'ai parlé de mon message à Isa et Corky (Dogos Argentinos!!!) et elles m'ont donné leur opinion à ce sujet. On utiliserait cette approche de "chiens à humains" pour obtenir des "résultats" de la part des chiens qui représentent leur élevage lors des compétitions d'obéissance et des expositions canines. On voudrait que le chien n'éprouve aucune attirance envers les autres chiens et offre une performance de pointe dans le ring. Certains éleveurs utiliseraient cette approche en France, entre autres. Quant à moi, j'ai un Caniche de cinq ans qui se mord la queue pour nous faire rire et qui dort sur son coussin quand la vie est trop plate. Je ne suis pas du tout intéressée à être le centre de l'univers pour Camille car je veux un simple chien qui ronge ses os, qui court partout et qui aime les humains qui lui veulent du bien. Donc je vais continuer à faire ce que mon coeur et mes tripes me disent de faire. Pauvre Camille! Tu as perdu ton meilleur compagnon de jeu pour qu'il devienne un chien d’obéissance... Bref, chacun suivra son chemin. Cependant, Camille s'ennuie de son petit bébé Caniche qui s'en va en Base III ou CD. Je vais lui trouver un autre petit copain dans le voisinage! Julie et Camille en peine d'amour...
  19. Bonjour, Le but de mon message n'est pas du tout de m'attaquer aux éleveuses de Camille ni de dénigrer leurs conseils mais de COMPRENDRE en quoi les jeux fréquents avec d'autres chiens pourraient, selon elles, aller à l'encontre de l'attachement que Camille éprouve envers moi et envers les autres humains. C'est bel et bien de cela dont il est question dans ce conseil : Un chien qui passe trop de temps avec d'autres chiens est moins réceptif et attaché à son humain (chien à chiens) versus un chien qui passe beaucoup de temps avec son humain et qui lui porte plus d’attention (chien à humains) Solution : restreindre les jeux avec les autres chiens pour créer et développer un "chien à humains". Je vais continuer de dénicher de bons amis canins pour Camille car elle adore jouer et elle joue beaucoup pour une chienne de cinq ans. Cependant, je n'ai jamais négligé et je ne négligerai pas les contacts privés entre moi et ce chien et je ne me délesterai pas sur les autres chiens pour "brûler l'énergie" de Camille.
  20. Québec, le 9 décembre 2005 Que de beaux commentaires! Encore merci!!
  21. Québec, le 9 décembre 2005 Bonjour, J’ai acheté Camille, un Caniche standard de cinq ans, à l’élevage Aldenter (prononcer Al dente). Lors de l’achat de ce chien adulte, les éleveuses m’ont déconseillé de laisser Camille jouer dans les parcs à chiens. Elles s’inquiétaient surtout au sujet des risques de « batailles de chiens ». Deux mois et demi après l’achat, les éleveuses sont allées plus loin en me disant d’éviter de laisser Camille jouer trop souvent avec d’autres chiens. Selon elles, si je la laisse jouer trop souvent avec ses congénères, « elle deviendra un ‘chien à chiens’ et non un ‘chien à humains’ ». Bref, Camille développerait un attachement plus fort aux chiens qu’à moi. J’ai aussi appris que les éleveuses, qui ont créé un club d’obéissance appelé le Club amical canin, prodiguent ces mêmes conseils à leurs clients et élèves. J’ai fait fi des conseils au sujet des jeux dans les parcs à chiens et, à part quelques rencontres malencontreuses que j’ai ensuite évitées, la plupart des chiens dans les parcs sont vraiment chouette. Quant aux jeux fréquents avec d’autres chiens, comment Camille peut-elle être à l’aise avec ses congénères si elle est isolée et à l'écart? Je crois savoir quelle vont être les réactions et les opinions des membres de ce forum au sujet de ces conseils. Beaucoup de personnes croient (à mon avis, avec raison) en des idées telles que l’alimentation naturelle et la socialisation. Cependant, j’ai encore peu d’expérience dans le domaine canin et j’aimerais me faire expliquer ce que les éleveuses veulent dire par des « chiens à humains » et des « chiens à chiens ». Je leur ai demandé mais leurs concepts sont très éloignés des miens. Franchement, je n’y comprends que dalle… Camille jouait avec un chiot Caniche de six mois né à cet élevage et bénéficiait grandement de cette belle relation. Hier, les propriétaires du petit Caniche m’ont annoncé qu’ils désirent restreindre les périodes de jeux avec mon chien et, si nécessaire, les éliminer. Tous, y compris les propriétaires de chiens, sont pénalisés par une telle approche lorsqu’elle est appliquée. Qu’en pensez-vous?
  22. Merci pour vous nombreuses réponses! Camille et moi avons encore beaucoup de choses à vivre car nous avons du temps à mettre sur notre relation. Ensuite, quand tout sera solide et flexible à la fois, je verrai si elle aime beaucoup le contact avec plusieurs types de personnes. Elle est très, très socialble, une véritable "éponge" canine! Elle aurait peut-être du potentiel mais il faudrait une évaluation objective et poussée en temps et lieu. Si je ne travaille pas avec elle, je travaillerai un de ces jours avec un autre chien. Un dossier à suivre!
  23. Québec, le 1er décembre 2005 Bonjour! J'ai deux questions à poser au sujet de la "pratique de base" en zoothérapie avec les chiens au Québec. Par "pratique de base", je veux surtout parler de visites de foyers pour personnes âgées, de visites d'hôpitaux, etc., avec des chiens parfaitement socialisés aux humains et aux autres ciens, très socialbes et doux. Depuis quelques années, je songe à mettre du solei dans les journées de personnes malades ou isolées à l'aide d'un très bon toutou qui aime les câlins. Voici donc mes questions : 1 - Savez-vous quelles sont les exigences au niveau comportement canin pour être autorisé à faire des visites dans les foyers et les hôpitaux avec nos toutous? Je suis bien consciente que cela ne s'improvise pas et qu'il y a des règles. Quelles sont elles? 2 - Existe-t-il des programmes ou des équipes de zoothérapie dans la province de Québec? Si c'est le cas, avez-vous les coordonnées de ces équipes? Dans l'état où elle est, Camille ne serait pas une bonne candidate comme chien de zoothérapie car elle a de la difficulté avec certains chiens et son obéissance n'est pas à point. Il faudrait qu'elle passe le test Bon citoyen canin haut la main! Cependant, même si ce n'est pas avec elle que je pourais faire des visites de zoothérapie, j'aimerais le faire un des ces jours avec un super chien sociable! Troisième question (tant qu'à y être!) 3 - Lorsque je faisais un stage en ressources humaines à Melbourne, en Australie, j'ai fait la connaissance d'un gestionnaire de programme de zoothérapie. Cette pratique est non seulement autorisée en Australie, mais elle est valorisée, reconnue et populaire. Qu'en est-il du Québec? Merci de votre aide!
  24. Bonsoir, Pouet-pouet... j'ai tout raté...Ouain....
  25. Dinde au whisky Bon appétit !! RECETTE DE DINDE AU WHISKY Etape 1 : Acheter une dinde d'environ 5 kg pour 6 personnes et une bouteille de whisky, du sel, du poivre, de l'huile d'olive, des bardes de lard. Etape 2 : Barder la dinde de lard, la ficeler, la saler, la poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive. Etape 3 : Préchauffer le four à 350 pendant dix minutes. Etape 4 : Se verser un verre de whisky pendant ce temps-là. Etape 5 : Mettre la dinde au four dans un plat à cuisson. Etape 6 : Se verser 2 autres verres de whisky. Etape 7 : Mettre le vour à 400 pendant 20 binutes pour la zaisir. Etape 8 : Se bercer 3 berres de whisky. Etape 9 : Après mettons une debieurre, fourrer l'ouvrir et surbeiller la puisson de la tinde. Etape 10 : Brendre la pouteille de biscuit et s'enfiler une bonne rasade derrière la brabate - non - la trabate! Etape 11 : Après environ, bouof... une debieurre de blus ou moins,pencheren direction du vour et s'y rendre. Oubrir la criss de borte du pour et rebourner, mettre l'autre bord- l'asti de guinde. Mettons. Etape 12 : Se pruler la main -fuck- avec la taarnak de borte du vour en larafermant - ciboère de batard. Etape 13 : S'ass... -woyons- s'ass... -ben woyons- s'ass... -woyons, c'qu'al'est, sti! - s'asse...woere -bon!- s'a griss de chaise et se reverder 5 ou 6 whisky de verre... ou le gontraire -ou... cares. Etape 14 : Buire -non- suire -non- cuire -non- ah ben oui, c'est ça: -cuire- la bingue bandant 4 heures. 4 heures. Z'est ça. Etape 15 : Et hop....pelay.......e, 5 berres de plisse! Ca vait du bien barou ça passe. Etape 16 : tttttttttttirer le four-re de la dinde. Etape 17 : Se rebercer une tite corchée de puisky -bas trop- tention, Zussun droigt -wopatention- wopolaymerciderien. Etape 18 : La mon chum, on vazzayer de -suimoabenlà- zortir le bour de la -woyons- de câliss m'as tu l'dire -de woyons- de pinde, ça y est! S'cuse, voulais pas dire "de pinde", cevoulais dire, c'est: zordir le dinde de- c'est ça: de dinde -de dinde de nouveau, parce que, laisse-moé fairelà, non laisse- moé faire, non gar-moé ben, bon OK, fais-le donc. Etape 19 : Rabasser la dinde qui est, hoonnnn, tombée bar derre. L'ettuyer avec une.. -non, l'aut' porte- avec un linge a vesselle et ladéposéchappéwopelayeoke sur un blat, ou une assiette, ou on s'en criss... Etape 20 : Se peter la gueule à cause du gras sur le crissdekontware -non- les tuiles de chose là -de brelart, genre de zéremiquecommonpourraitdire-anyway le plancher sti de la puisine et essayer de se relever pour serass... -woyons-se rass... -s'ra pas long- se rassss...ssayer. Pas grave. Etape 21 : Décider qu'on est aussi ben à terre, ah pis venir la pouteille debouisky, quins. Etape 22 : Ramper jusqu'au lit et torpir ziss un tipeu, pôlontan, issintipeupimouettkerect. Etape 23 : Le lendemain midi, manger la dinde froide avec une bonne mayonnaise et prendre l'après-midi pour nettoyer l'esti d'bordel que t'as fait dans la cuisine la veille.
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