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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. L'identification de la tortue échouée en cours Les spécialistes de Picardie Nature et Nausicaa tentent d'identifier la tortue récemment échouée près de Cayeux (80). Cette tortue luth a été découverte entre Cayeux et Ault en fin de semaine dernière par un promeneur. Il s'agit d'une femelle de plus d'1m50, morte et poussée sur les rivages par les grandes marées. Une puce électronique a été retrouvée sur l'animal : "ces transpondeurs sont posés sur des femelles qui ressortent à terre pour pondre, donc on saura où elle a pondu", précise Laetitia Dupuis de Picardie Nature. Un appel a été lancé dans le monde entier à tous les centres scientifiques susceptibles de l'avoir posée. Seule certitude : c'est un modèle ancien, probablement posé avant 1995. Une autre tortue luth a été trouvée quelques jours plus tard dans le Pas-de-Calais. L'autopsie réalisée à Nausicaa à Boulogne-sur-mer (62) n'a cette fois pas révélé la présence d'une puce. Les tortues luth s'aventurent rarement dans la Manche Les tortues luth pondent sur les plages en Australie, en Floride, en Guyane. A l'éclosion elle sont toutes petites (à peine 7 à 8 centimètres) pour atteindre 1m80 et 500kg à l'âge adulte. Selon Pierre Morinière, responsable du Centre d'études et de soins des tortues marines,"quand elles ne sont pas sur les sites de ponte, elles explorent l'ensemble de l'océan. Il y a eu des suivis par balise Argos et on voit bien les tortues qui explorent l'atlantique nord.". Les tortues luth disposent en effet d'une couche de graisse plus importante et peuvent supporter des mers plus froides que les autres tortues (mais rarement dans la Manche). Source
  2. Trois tortues luth échouées sur les côtes françaises INFOGRAPHIE - Malgré trois corps retrouvés ces derniers jours sur des plages françaises, la population de tortues luth qui sillonnent l'Atlantique se porte très bien. En quelques jours, les corps de trois grosses tortues luth (jusqu'à 1,80 m de long et 200 kg) ont été retrouvés sur les côtes atlantiques: en baie de Somme, sur une plage du Pas-de-Calais et à Saint-Palais en Charente-Maritime. Une mauvaise nouvelle qui ne doit pas obérer la bonne: si globalement l'espèce est classée par l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) en «danger critique d'extinction», cela est surtout dû aux populations du Pacifique. «Les populations de tortues luth en Atlantique se portent très bien. Leur nombre est en augmentation depuis une dizaine d'années», précise Jean-Yves Georges, chercheur CNRS au département d'Écologie de l'IPHC (Institut pluridisciplinaire Hubert Curien) de Strasbourg. «Cela pourrait s'expliquer par plusieurs choses: les tortues luth se dispersent plus dans l'Atlantique que dans le Pacifique réduisant les risques de captures accidentelles par les pêches industrielles qui sont par ailleurs moins abondantes en Atlantique que dans le Pacifique», poursuit le scientifique. «La nourriture est également plus abondante dans l'Atlantique. Ce peut-être également le fruit des actions de conservations», ajoute-t-il. Des prélèvements sur les corps des animaux ont été effectués et adressés au CESTM (Centre d'études et de soins pour les tortues marines) à La Rochelle. De quoi obtenir des informations sur l'âge, le poids, le sexe des animaux et si possible la raison de leur mort. «Sans que l'on puisse établir systématiquement un lien de cause à effet, on a retrouvé du plastique dans l'estomac de la moitié des tortues autopsiées jusqu'à présent», précise Pierre Morinière, le responsable du CESTM, mais il peut également s'agir d'accidents liés à la pêche. Si les tortues luth mâles restent sur les côtes américaines, les femelles traversent l'Atlantique et passent le long de nos rivages en cette période de l'année. «Une fois leurs œufs pondus (tous les deux ou trois ans) sur certaines plages des Caraïbes ou de Guyane, elles se lancent dans une grande migration toujours dans le même sens. Elles frôlent les 50°, 52° Nord avant de redescendre vers nos rivages plus au sud et de recommencer la boucle qu'elles peuvent effectuer plusieurs fois d'affilée avant de retourner sur leur lieu de ponte», raconte Jean-Yves Georges. Une chose est sûre: les tortues luth ne sont pas cantonnées à certaines régions. On en trouve dans tous les océans, y compris dans les eaux froides «à l'exception des pôles», poursuit le spécialiste qui suit leur reproduction en Guyane. Le spécimen retrouvé en baie de Somme, une femelle, était équipé d'une puce d'identification ce qui permettra de reconstruire précisément son parcours. Sur les côtes françaises, la tortue luth est principalement recensée entre l'île de Ré et la côte (des Sables-d'Olonne à La Rochelle). Elle y trouve en abondance son mets préféré: les méduses. «Au milieu des années 1990 on a eu quelques alertes avec une forte augmentation de ces animaux marins retrouvés morts sur nos plages, jusqu'à 60 en 1996», raconte encore Pierre Morinière. Mais depuis le nombre de tortues échouées est d'une dizaine par an. Il est en revanche beaucoup plus plaisant de les voir en mer. Tout un chacun peut s'il le souhaite devenir pour le compte du CESTM ou du CRMM (Centre de recherche sur les mammifères marins de l'université de La Rochelle) «observateur de l'Atlantique» et recenser, outre les tortues, les cétacés, les poissons-lunes ou encore les requins-pèlerins. Autant d'indicateurs du bon état écologique des océans. Source
  3. Pologne: découverte des plus vieux fossiles de tortue du monde L'Institut de Paléobiologie de Varsovie en Pologne confirme avoir découvert les fossiles de tortue les plus vieux du monde, soit 215 millions d'années.
  4. Tu sais qu'ils sont à 70% frugivores?
  5. Trembler. Donnes tu des multivitamines et du calcium à tes lézards?
  6. Tout a été désactivé je crois. C'est un vieux poste d'il y a quelques années. Je ne l'aurais pas mis à l'époque si ça ne fonctionnait pas.
  7. Je ne trouve pas moi. J'ai deux espèces en tête donc j'attends juste de savoir la région pour savoir c'est quelle espèce. Comme il ou elle ne répond pas...
  8. Japon: des escargots se coupent en deux pour échapper aux serpents Un scientifique japonais a découvert une espèce d'escargot du sud tropical du Japon capable de séparer la partie arrière de son corps pour échapper aux prédateurs. Une faculté qui porte un nom : l'autotomie. Cette capacité d'autotomie, que l'on rencontre également chez les lézards, les crabes ou les vers de terre, n'avait jamais été observée auparavant chez les escargots, selon l'étude de Masaki Hoso, membre de la Société du Japon pour la promotion de la science, dont les conclusions ont été mises en ligne mercredi sur son site. Son étude a par ailleurs été publiée par une académie scientifique basée à Londres. Hoso a pu constater cette particularité des "isshikimaimai" (Satsuma caliginosa caliginosa), qui vivent dans les îles Ishigaki et Iriomote (archipel d'Okinawa), à force de nourrir des serpents avec ces petits gastéropodes. "On a observé que les isshikimaimai échappaient souvent à leur prédateur en détachant la partie arrière de leur corps", pouvant ainsi rentrer totalement à l'intérieur de leur coquille, le temps que la partie amputée repousse "au bout de quelques semaines", indique le scientifique sur son site internet. Pour confirmer ses observations, Masaki Hoso a mis la même variété de serpents mangeurs d'escargots avec une autre espèce d'escargot provenant d'une autre île de l'archipel à 120 km à l'ouest de l'île d'Ishigaki, où justement il n'y a pas de reptile mangeur d'escargots. "Ces escargots ne pratiquent pas l'autotomie et ils ont tous été mangés", conclut-il. Chercheur associé dans un centre de recherche sur la biodiversité à Leiden, aux Pays Bas, Masaki Hoso attribue cette faculté d'autotomie de cette espèce d'escargot à une lente adaptation pour se défendre de son prédateur naturel. Le scientifique n'a en revanche pas réussi à déterminer la façon dont l'escargot se sépare de la partie arrière de son corps, alors que la structure de la queue du lézard s'y prête facilement. "Il faut encore résoudre le mécanisme d'autotomie" chez cet escargot, a-t-il indiqué. Plus étrange encore, d'autres scientifiques avaient déjà remarqué que le serpent ennemi de cet escargot avait au fil de son évolution développé des mâchoires asymétriques, l'une plus puissante que l'autre, pour pouvoir venir à bout plus facilement de la coquille en spirale. Source
  9. Un venin de serpent pour remplacer la morphine ? La Nature réserve encore son lot de bonnes surprises et s'impose comme un réservoir de cures naturelles. Le venin du mamba noir, un redoutable serpent africain, contient des substances anti-douleur capables de rivaliser avec la morphine mais avec beaucoup moins d'effets secondaires, indiquent mercredi des chercheurs français. Un «serpent des savanes» au puissant venin Dans leur quête d'antalgiques de nouvelle génération, Sylvie Diochot et Anne Baron, de l'Institut de pharmacologie moléculaire et cellulaire (CNRS/Université de Nice-Sophia Antipolis), ont étudié le venin du mamba noir (Dendroaspis polylepis polylepis) qui vit aussi bien en Afrique de l'Ouest qu'en Ethiopie ou en Afrique du Sud . Depuis la fin des années 1990, les scientifiques ont mis en évidence l'existence d'une famille de protéines, les ASICs, impliquées dans la sensation de la douleur, essentiellement présentes dans la membrane des neurones. Le rôle des ASICs et surtout les substances capables de bloquer leur action constituent donc des pistes privilégiées pour trouver de nouveaux traitements anti-douleur. Un venin mortel mais avec des protéines anti-douleurs Le venin de ce serpent, l'un des plus grands d'Afrique, n'est pas fulgurant chez l'homme mais presque toujours mortel si la morsure n'est pas traitée. Les chercheurs français ont analysé les composants de ce venin et ont isolé deux peptides, des protéines courtes, qui sont capables de supprimer la sensation de douleur en inhibant certains ASICs. «Ces peptides, que nous baptisons «mambalgines», ne sont pas toxiques chez les souris mais démontrent un puissant effet analgésique», à la fois au niveau local et sur le système nerveux central, «qui peut être aussi fort que celui de la morphine», expliquent-ils dans leur étude publiée mercredi dans la revue britannique Nature. Selon l'étude, ces mambalgines présentent beaucoup moins d'effets indésirables que les opiacés: aucun signe de dépression respiratoire n'a été constaté chez les souris testées, avec un phénomène d'accoutumance bien inférieur à celui de la morphine. «Il est essentiel de mieux comprendre les mécanismes de la douleur pour développer de nouveaux analgésiques. Les peptides découverts chez le mamba noir ont le potentiel pour remplir ces deux objectifs», estiment Sylvie Diochot et Anne Baron. Avant d'introduire un jour le remède dans les hôpitaux ? Source
  10. 2 tortues luth sans vie en baie de Somme Les corps de deux tortues luth ont été retrouvés en l'espace de cinq jours en baie de Somme et sur une plage du Pas-de-Calais, ce qui est rarissime dans cette zone ,selon le Centre national de la mer Nausicaa de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). La dernière tortue -mesurant 1,20 mètre et pesant 100 kilos- a été trouvée mardi sur la plage d'Equihen, à Ecault (Pas-de-Calais), et remise à Nausicaa pour autopsie. Vendredi, c'était une tortue de la même espèce -classée en danger critique d'extinction- de 200 kg et 1,80 mètre qui avait été découverte sur une plage près d'Ault (Somme), en baie de Somme. Elle était porteuse d'un transpondeur (puce d'identification) qui devrait permettre de connaître son périple. Dans les deux cas, la dégradation des corps ferait remonter la mort à plusieurs semaines. Source
  11. Il réussit à s’échapper des mâchoires d’un crocodile ! Cette histoire a lieu en Malaisie, dans l'Etat du Sarawak, sur l'île de Bornéo. Vendredi, un jeune ouvrier a profité de la pause pour se baigner dans une rivière… sous un pont. Il allait repartir, lorsqu’un crocodile est arrivé derrière lui et l’a mordu à la fesse ! Grâce à son instinct de survie, Il a eu le réflexe d’envoyer un coup de poing dans l’œil de ce crocodile de 2 mètres… cela a suffi à faire lâcher prise à l’animal et surtout à le faire fuir ! Il a trouvé ensuite la force de courir, malgré la douleur, pour appeler à l’aide… Les agressions de crocodiles ne sont pas rares en Malaisie… Elles ont fait plusieurs morts ses dernières années… Source
  12. Des nouvelles de la Tortue Luth échouée sur une plage de Camargue Originaire de Trinidad et Tobago, le reptile avait parcouru 4.300 milles pour rejoindre la Méditerranée début août. La tortue a été relâchée et poursuit aujourd’hui son périple. Elle a défrayé la chronique de l’été en s’échouant début août sur une plage de Camargue. Figaro Nautisme a pris de ses nouvelles un mois après cette rencontre insolite pour les promeneurs qui l’avaient découverte : la tortue Luth était en fait originaire des Caraïbes, et son long voyage pour rejoindre l’embouchure du Rhône, où elle a été repêchée au début du mois d’août, avait commencé un an plus tôt sur les rives de Trinidad et Tobago, au large du Vénézuela, selon le Centre d’études et de sauvegarde des tortues marines en Méditerranée (le CestMed est basé au Seaquarium du Grau-du-Roi dans le Gard). Sur sa patte avant-droite était plantée une bague renvoyant au numéro d’identification d’une association locale de protection de la nature baptisée Nature Seekers, en charge de la protection des tortues depuis un peu plus de vingt ans sur l’archipel, où environ 6.000 spécimens nichent tous les ans, ce qui en ferait la deuxième colonie mondiale. Animal que l’on croise rarement en Méditerranée -où les tortues caouannes sont plus courantes-, la tortue luth vit habituellement loin des côtes. De plus, c’est la première fois qu’une tortue baguée à Trinidad est repérée le long des côtes méditerranéennes françaises. Si l’on est à peu près certains de la date à partir de laquelle le reptile de 320 kilos s’est pris de traverser l’océan c’est que l’animal bagué en 2009, a été repéré près de sa zone de ponte en avril 2011 par Nature Seekers. Cette tortue vagabonde a donc parcouru, portée par le Gulf Stream, aux alentours de 4.300 milles nautiques, soit environ 8.000 km pour rejoindre la Camargue des Bouches-du-Rhône où elle a été repérée par des baigneurs. Relâchée dès le lendemain, au large du Grau du Roi, par les hommes du CestMed, assurés de sa bonne santé, la tortue luth –un animal protégé- a repris une route dont elle seule connaît le tracé… Le Centre d'Études et de Sauvegarde des Tortues marines en Méditerranée (CestMed) est une association créée en 2003 à l’initiative du Seaquarium du Grau-du-Roi (Gard). Le centre de soins, tout comme le secrétariat, est ouvert tout au long de l’année de façon à faire face à toutes les situations d’urgence (tortues trouvées blessées ou malades). Le CESTMed prend en charge les tortues marines de tout le littoral méditerranéen français. Source
  13. Une tortue luth s'échoue à Equihen-Plage Ce mardi, vers 17 heures, les sapeurs-pompiers, la police municipale et le service animalier Opale Capture sont intervenus sur la plage d'Equihen-Plage (Pas-de-Calais), juste devant le poste de secours. Une tortue luth, morte, s'est échouée après être restée plusieurs jours dans l'eau. Elle avait notamment été signalée à hauteur de la baie de Canche, la semaine dernière. Identifiée par le centre des mammifères marins de La Rochelle, l'animal provient des Caraïbes. On ignore encore comment elle a pu arriver jusqu'à nos côtes. Les scientifiques du centre de La Rochelle devraient expertiser très prochainement le cadavre de l'animal, pour espérer avoir davantage d'informations. Source
  14. Un très gros lézard noir et blanc découvert dans un fossé ! Cela se passe à Beauzelle dans la Haute-Garonne. Lundi, un agent de l’Equipement nettoyait un fossé à la sortie du village, lorsqu’il a été surpris par un gros reptile noir et blanc qui est passé entre ses jambes ! Pompiers et gendarmes ont été dépêché sur les lieux pour tenter de retrouver cette bête dont personne ne connaissait l’espèce ! C’est dans une buse d’évacuation des eaux qu’ils l’ont retrouvée et faite sortir… la piégeant ensuite avec un gros collet pour l’immobiliser… Un vétérinaire a d’abord pensé que c’était un varan d’Indonésie… C’est un gros lézard qui fait 1,10 mètres de long. Il a passé une nuit à l’école vétérinaire puis il a été transporté au reptiland de Martel (Lot) qui abrite déjà plus de 230 reptiles… Finalement, « ce n'est pas un varan mais un Téju d'Argentine» ! Il est peu dangereux pour l’homme, risquant seulement de le mordre par réaction de défense… Comme souvent, on pense que son propriétaire, dépassé par l’évolution de la taille de l’animal, s’en est débarrassé en bord de route… Source La Dépêche Un reptile exotique de près de 15 kg capturé à Beauzelle Un très gros lézard a été attrapé lundi par les pompiers à la sortie de Beauzelle. Un téju d'Argentine noir et blanc de plus de 1,10 de long. Un animal sans papier ! Les agents de l'Équipement ont l'habitude des mauvaises surprises quand ils travaillent à l'entretien des fossés. Seulement lundi en fin de matinée, à la sortie de Beauzelle en direction de Seilh, un agent a été très surpris quand un gros reptile blanc et noir lui a filé entre les jambes. Appelés à la rescousse, les pompiers rejoints par les gendarmes sont partis en chasse, tentant de débusquer cet animal dont personne ne connaissait l'espèce. Dans une buse réservée à l'évacuation des eaux, les pompiers ont repéré la Bête. En bloquant un accès, les soldats du feu devenus des attrapeurs de reptile ont poussé l'animal vers la sortie. Un collet, en principe réservé aux gros chiens errants, a ensuite permis d'immobiliser l'animal. En pension au Reptiland, dans le Lot Dans un premier temps, un vétérinaire attaché au service départemental d'incendie et de secours a estimé qu'il s'agissait sans doute d'un varan, un gros reptile qui prospère notamment en Indonésie. L'animal de bon poids et d'environ 1,10 m, a été confié à l'école vétérinaire «pour la nuit». Et hier un membre des services vétérinaires l'a transporté jusqu'à Martel, dans le Lot, où il a été confié au Reptiland, fort de 250 reptiles plus quelques araignées… «Ce n'est pas un varan mais un Téju d'Argentine», affirme Christophe Gouygou, fils de «Pancho», le créateur du lieu. «Ces reptiles se vendent dans certaines animaleries. Pour en posséder un, il faut une autorisation», prévient ce spécialiste. Une autorisation, de la place et de l'argent parce que l'animal est du genre vorace si on en croit les échanges sur le sujet sur internet. «Cela mange un peu de tout, notamment des petits rongeurs, souris, rat, ou des lapins», précise Christophe Gouygou. Pas dangereux pour l'homme, cela peut mordre. «Une réaction de défense», estime le spécialiste. Placé en quarantaine, le Téju d'Argentine est déjà visible au Reptiland de Martel. Il s'agirait d'un mâle. Comment est-il arrivé à Beauzelle ? Sans doute abandonné par son propriétaire, dépassé par la croissance de l'animal. «Avant on trouvait des chiens au bord des routes, déplore Christophe Gouygou. Maintenant, ce sont des reptiles…» Source
  15. Le serpent se baladait en ville SAINT-QUENTIN - Imaginez. Vous vous promenez tranquillement rue Pompidou quand soudain vous croisez… un serpent. Ce n'est pas le scénario d'un nouveau roman mais la mésaventure vécue mercredi par des passants. Mercredi, en fin d'après-midi, ils ont aperçu un serpent de 40 centimètres coincé sous une fenêtre d'une des habitations du début de la rue. Vers 18 h 30, les sapeurs pompiers sont donc intervenus pour récupérer l'animal. Le propriétaire s'est manifesté dans le même temps, expliquant que le reptile s'était échappé de son enclos quelques minutes auparavant. En attendant qu'il puisse le récupérer, le serpent a été pris en charge par un vétérinaire. Visiblement, aucun autre animal de ce type ne s'est échappé. Les riverains peuvent dormir tranquille. Source
  16. Fausse alerte sur la présence d’un serpent devant Sorano Des sapeurs-pompiers, appelés au secours pour débusquer un reptile signalé dans un véhicule, sont retournés en caserne bredouilles de leur battue sur le Boulevard de la République à Dakar, a constaté vendredi en début de soirée un reporter de l’APS. es secours intervenaient sur appel d’un jeune automobiliste qui avait bruyamment annoncé la présence d’"un petit serpent" à l’intérieur de sa voiture stationnée sur le parking du Théâtre national Daniel Sorano. Sur place, les curieux guettaient le spectacle du "serpent en centre-ville". Arrivés à bord d’un camion-citerne, les pompiers ont ouvert le capot, aspergeant de l’eau, puis un pesticide, mais sans succès. Ensuite, ils sont passés à l’intérieur du véhicule, soulevant coussins et tapis, avant d’aller à l’arrière pour enlever la boîte à outils et divers bagages. Après quelques dizaines de minutes, rien de rampant n’est sorti. De guerre lasse, les sapeurs ont plié bagages pour retourner en caserne, laissant sur place un conducteur encore sous le choc. Pendant l’opération, la victime s’était mise à l’écart, à trois mètres près, derrière la foule. Source
  17. Madagascar : la filière crocodile toujours en suspens Madagascar toujours interdite d’exporter les peaux et viande de crocodiles. La Cites (Convention sur le commerce international des espèces menacées d’extinction) a reconduit récemment l’embargo international. Elle considère que les crocodiles du Nil à Madagascar sont en danger. La filière, qui faisait vivre près de 400 familles, est en difficulté. Reportage dans une ferme d’élevage, qui était l’une des trois plus grandes fermes d’élevages de crocodiles en Afrique. « Ici ce sont nos bassins d’élevage. Là, les crocodiles âgés de 6 mois, il y en a 2000 ». De 6 000 crocodiles, l’élevage de cette ferme est passé à 2 000. L’activité est ralentie depuis l’interdiction d’exportation. Une interdiction justifiée, concède Zoly Randrianantoandro, directeur technique de la ferme Crocfarm : « L’espèce est menacée à Madagascar, on en trouve de moins en moins. En fait, la plupart des artisans sont le secteur informel. Donc, il n’y pas de suivi, il n’y a pas de règles, on va dire ». Auparavant, la ferme collectait des œufs en brousse, et en relâchait environ 10 %. Aujourd’hui, ces collectes sont arrêtées, faute de moyens et de débouchés, si bien que paradoxalement, l’interdiction accentue la pression sur l’espèce, selon Zoly Randrianantoandro : « Dans les sites, y en a presque plus. Avant, on faisait des relâchages. Maintenant, ceux qui meurent ne sont pas remplacés. Sans les collectes, les gens détruisent les œufs et tuent les crocodiles juste pour se défendre ». Le mois dernier, l’interdiction a été reconduite, Madagascar ne répondait toujours pas aux exigences. Il faut dire que le suivi du dossier est difficile à assurer car depuis trois ans, quatre ministres se sont succédé à la tête du ministère de l’Environnement et aujourd’hui, c’est le Premier ministre qui assure la fonction. Source
  18. Exposition itinérante : La tortue cistude, sa réintroduction Une exposition disponible en prêt gratuit auprès de la Galerie Eurêka Présentation L’histoire et les modes de vie de cette tortue fort discrète, dont les premiers spécimens savoyards étaient encore présents dans les eaux du lac du Bourget jusque dans les années 50. Elle a été réintroduite au sud du Lac du Bourget au printemps 2000. Thèmes abordés • Milieu humide • Zoologie • Dégradation des milieux • Restauration de milieux Liste des panneaux : • Histoire et répartition de la Cistude • Une vie surtout aquatique • Un animal à sang froid • La reproduction • Une espèce en danger • Une cousine gênante : la tortue à tempes rouges • La réintroduction de la Cistude au lac du Bourget • Un protocole pour la réintroduction • Une gestion conservatoire des sites à Cistudes Conception Conservatoire des espaces naturels sensibles de la Savoie Date de création 2000 Public Tout public Descriptif technique 9 panneaux (80 cm x 120 cm) Conditionnement Tubes cartonnés rigides Conditions de présentation dans la structure d’accueil 15 mètres linéaires Renseignements réservation : Mary MOISSONNIER Documentaliste Galerie Eurêka BP 1105 73011 CHAMBERY CEDEX Tél. : 04 79 60 04 38 Fax : 04 79 60 04 26 documentation@ccsti-chambery.org Source
  19. Le Puy-en-Velay : au fil des araignées : le 10 000e visiteur vendredi L'exposition "Au fil des araignées" a accueilli vendredi son 10 000e visiteur à l'Hôtel-Dieu.Il s'agit d'un Stéphanois, Stéphane Dauphin, qui avait entendu parler de l'évènement sur radio Scoop et qui faisait le déplacement accompagné de ses deux enfants et de son filleul.Le député-maire de la ville, Laurent Wauquiez et le président de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay, Michel Joubert, les accueillaient en début d'après-midi. Des livres et des peluches leur étaient remis avant d'entamer la visite.L'exposition a connu un immense succès au Muséum national d'histoire naturel de Paris avec, notamment, la mygale "Theraphosidae américaine". Le parcours est conçu comme une découverte progressive du monde des araignées, " sans rien omettre sur la peur qu'elles inspirent ". Le visiteur est averti dès qu'il s'aventure dans les parties les plus effrayantes de l'exposition. Le sujet est abordé de manière ludique, artistique et scientifique. " C'est une exposition qui est moins ciblée sur les touristes que sur le public familial et les écoles. Il s'agit de se cultiver en s'amusant, mais avec une réelle exigence scientifique " explique Laurent Wauquiez. L'objectif est de dépasser les 20 000 visiteurs (l'équilibre financier étant atteint vers 15 000 visiteurs), ce qui parait réaliste puisque l'exposition va se poursuivre jusqu'au 6 janvier avec la visite de nombreux scolaires et d'associations. La prochaine exposition à l'Hôtel-Dieu devrait concerner l'art contemporain ou l'égyptologie.Notons enfin qu'une ouverture nocturne est programmée à l'occasion du grand trail du Saint-Jacques le 22 septembre prochain. Renseignements : Hôtel-Dieu, 04 71 07 00 00. Source
  20. Les espèces d'invertébrés, ingénieurs de la biodiversité, sont menacés De nombreuses espèces d'invertébrés sont de plus en plus menacées par le changement climatique et la pression de la croissance démographique mondiale, alors même que ces espèces sont essentielles pour la survie des êtres humains. Le travail essentiel effectué par des petits « ingénieurs » tels que les vers de terre qui recyclent les déchets ou les abeilles qui pollinisent les cultures est menacé, avec près d'un cinquième des espèces invertébrés en danger d'extinction, d'après ce qu'a montré une étude publiée vendredi. La croissance de la population humaine exerce une pression sans précédent sur les « créatures invertébrées qui régissent le monde », y compris les limaces, les araignées, les méduses, les homards, les coraux ou les insectes, d'après l'étude. « Un invertébré sur cinq (créature sans squelette) semble être menacé d'extinction » a déclaré Ben Collen de la Zoological Society of London (ZSL) à propos d'un rapport de 87 pages écrit avec l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). « Les invertébrés sont les ingénieurs de l'écosystème » a-t-il déclaré. « Ils produisent beaucoup de choses dont les hommes dépendent et ils les produisent gratuitement ». Le rapport indique que les invertébrés sont confrontés à une disparition de leur habitat, à la pollution, à la surexploitation et au changement climatique, autant de facteurs qui conduisent à leur déclin. Les « services » qu'ils fournissent -en aidant les êtres humains dont le nombre croissant menace leur survie- sont par exemple la purification de l'eau, la pollinisation, le recyclage des déchets, et le maintien de la productivité des sols. La valeur de la pollinisation des cultures par les insectes a été évaluée à 153 milliards d'euros par an, d'après l'étude. Une étude réalisée en 1997 évalue la valeur économique de la biodiversité des sols -grâce aux invertébrés tels que les vers de terre, les scarabées et les mites- à 1500 milliards de dollars par an. L'étude indique que le degré de menace est similaire à celui auquel sont confrontés les vertébrés -les créatures dotées d'un squelette interne- tels que les mammifères avec les baleines bleues et les lions, ou encore les reptiles et les oiseaux. Une étude de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) publiée en 2010 montrait qu'un cinquième des vertébrés étaient en danger. Ben Collen a déclaré que les individus avaient tendance à tort à ignorer les créatures invertébrées, en les considérant comme petites, abondantes et insensibles aux pressions humaines. Jusqu'à présent, les dépenses pour la conservation se sont concentrées sur des espèces telles que les aigles, les tigres et les ours polaires. « Ce rapport essaye de remettre sur la carte les invertébrés » a-t-il indiqué. Les invertébrés représentent environ 80% des espèces mondiales. Le rapport se concentre sur leur état actuel sur la planète Terre. L'augmentation prévue de la population humaine pour passer de 7 milliards d'habitants aujourd'hui à 9 milliards d'ici 2050 et d'autres facteurs tels que le changement climatique pourraient encore aggraver la situation de ces espèces invertébrées. Le rapport, qui évalue 12000 espèces de la Liste Rouge des espèces menacées de l'UICN, exhorte à une transition vers « une prise en compte verte » pour garantir que les bénéfices des services fournis par les petites créatures soient pris en compte dans les grands indices mondiaux tels que le PIB. Source
  21. Des serpents aperçus à Brignoles Deux sœurs de Saint-Jean, à Brignoles, ne s'attendaient pas à pareille apparition. En descendant dans leur cave, elles se retrouvent nez à nez avec un… serpent. « Impressionnant !», racontent-elles. « Il faisait cinquante centimètres, était rouge avec des anneaux noirs ». Le reptile leur fait face. Pas le temps de réciter un pater nostrum… Les sœurs s'arment de courage. L'une s'empare d'un balai, l'autre d'un marteau. Alors qu'elles essaient de l'éloigner, le reptile se dresse… Heureusement, au deuxième essai, l'une le touche avec le marteau. « La bête » est assommée. Vient alors le coup de grâce. Et le soulagement des religieuses. Qui jamais, dans cette histoire, n'auront craint d'être aux prises avec le serpent biblique, initiateur du mensonge. « Cela fiche la trouille » Depuis, les sœurs craignent de redescendre dans leur cave qui donne sur le parking des Douves. « Cela fiche la trouille, confie l'une d'elles. On s'imagine qu'il y en a d'autres cachés. Ils cherchent des coins humides et chauds». Car les religieuses ne sont pas les seules dans ce quartier du centre-ville de Brignoles à avoir croisé la route d'un serpent. Rue Saint-Joseph, un père avec sa fille en a vu un ramper dans le caniveau. L'artiste Jean-Joseph Chevalier, qui habite rue Tourvieille, en a aussi fait fuir un qui se faufilait dans sa cave « avec les mêmes anneaux de couleurs sur le corps». Mais celui-là mesurait environ 80 centimètres. « Et dernièrement, mes enfants ont vu un tout petit dans les canalisations. Ils ont voulu jouer avec lui… Heureusement, j'ai pu les en empêcher». Un Okeetee inoffensif ? L'histoire se répète. Et commence à inquiéter. «Je ne suis pas rassurée», confiait une voisine. Surtout que personne ne sait vraiment de quel type de serpent il s'agit. Les sœurs ont effectué des recherches sur Internet. «Malheureusement, nous avons jeté à la poubelle celui que nous avons tué, mais ils ressemblent au Corail», confient-elles. Une espèce que l'on trouve généralement dans les pays chauds. Et qui fait partie des plus venimeuses au monde. Pour Jean-Joseph Chevalier, il s'agit plutôt d'un Okeetee qui ne serait pas dangereux. Quoi qu'il en soit, la méfiance est de mise. « Il ne faut pas tomber dans la psychose », préfère apaiser Jean-Joseph Chevalier. « Il y a des enfants dans le quartier, il faut que tout le monde fasse attention». Source
  22. Angoulême : un serpent sur la table du Quick! Les clients et les employés du Quick, le fast-food de la place de l'hôtel de ville d'Angoulême, ont fait une surprenante rencontre, lundi soir aux alentours de 17 h 30. Un serpent, manifestemment un aspic d'une vingtaine de centimètres, se faisait dorer la pillule sur l'une des tables du restaurant, en terrasse. Comme ça n'est pas un endroit convenable pour un serpent, les sapeurs pompiers, prévenus par la manager de l'établissement, sont intervenus en vue de le déloger. Mais contrarié qu'on mette si prématurément fin à sa séance de bronzette, l'animal a rampé jusque dans un massif enherbé, entrainant les soldats du feu dans un petit jeu de cache-cache qui aura tout de même duré un bon quart d'heure. Les pompiers ont fini par capturer la bestiole sans dommages. Source
  23. Ils sauvent un python de près de quatre mètres qui avait englouti un chien Un python de 3,6 mètres a été sauvé dimanche d'une mort certaine après qu'il avale un chien dans un champ de cannes à sucres à Nehru Nagar en Inde, rapporte le Deccan Chronicle. Le reptile, en provenance d'une forêt voisine, est demeuré immobile dans ce champs de cannes à sucre pendant presque 72 heures l'estomac complètement saturé, incapable de digérer sa proie. Prévenus par des riverains, des représentants de la "Save our Snakes Association", une organisation de protection de serpents et des gardes forestiers locaux sont venus en aide à l'animal, qui a vomi le chien pendant que ceux-ci lui portaient secours. Epuisé, le python s'est occasionné plusieurs blessures en ingérant le chien. Actuellement pris en charge, il sera relâché dans la forêt dès que son état de santé le permettra. Source
  24. Bestioles communes pourtant méconnues Chaque fin de saison, les gens découvrent des insectes qu’ils n’ont jamais vus et qui leur semblent exotiques. Toutefois, en y regardant de plus près, on découvre qu’il s’agit bel et bien d’insectes et d’araignées d’ici, qui sont à l’apogée de leur développement ou qui arrivent simplement à la fin de leur vie. Voici trois bestioles du Québec qui gagnent à être connues. Un son «électrique» Depuis le mois de juillet, on peut entendre dans plusieurs arbres un bruit ressemblant à celui perçu sous les lignes de haute tension : le chant des cigales mâles. À Montréal, l’espèce qu’on entend est la cigale caniculaire (Tibicen canicularis). Cette dernière porte bien son nom puisque ses activités aériennes coïncident avec les canicules annuelles ou, du moins, les épisodes de chaleur. Après une vie larvaire dans le sol allant jusqu’à trois ans, les cigales ne manquent pas une occasion de se faire remarquer par les femelles afin de se reproduire. À la fin de l’été et de leur cycle de vie, les gens trouveront ces «mouches géantes» au sol et seront bien impressionnés. Ils trouveront également les «carapaces» (exosquelettes) des nymphes collées à la base de certains troncs d’arbre. Lorsqu’elles sont prêtes à devenir adultes, les nymphes sortent du sol et grimpent aux arbres pour en tirer la sève et se transformer en adultes. Notre faune entomologique compte trois espèces de cigales que nous entendons souvent, mais que nous n’observons qu’en de rares occasions. L’araignée banane Quoiqu’elles ne fassent pas partie de la même classe que les insectes, les araignées (classe : arachnides) sont également dignes de mention. C’est le cas de l’argiope (Argiope aurentia), une grosse araignée noir et jaune souvent décrite comme «araignée banane». À l’automne, les femelles de cette espèce peuvent atteindre trois centimètres de diamètre; leur taille et leurs couleurs ne trompent pas! L’argiope s’observe souvent au centre de sa toile, qui est traversée par un gros zigzag de haut en bas. Même si on ne connaît pas avec certitude l’utilité de cette structure qui servirait littéralement de piège à insectes, on sait que seules les espèces appartenant au genre Argiope la construisent. Malgré leur taille impressionnante, les argiopes ne sont pas dangereuses. Ailleurs dans le monde, quelques araignées produisent un venin qui représente un risque pour la santé humaine. Toutefois, ici au Québec, elles ne comportent aucun risque pour les humains. La célèbre mante religieuse Bien que présente au début de l’été, la mante religieuse (Mantis religiosa) s’observe surtout au mois d’août. La raison? Les mâles cherchent activement les femelles qui, lorsque fécondées, recherchent des endroits où laisser leur oothèque (masse d’œufs se comparant à du papier mâché dans laquelle les œufs seront protégés des intempéries de l’hiver). Vous avez déjà observé une mante religieuse de plus de 10 centimètres? Il s’agissait fort probablement de la mante chinoise (Tenodera aridifolia sinensis), également présente au Québec. En effet, notre entomofaune ne compte pas une, mais deux espèces de mantes! Digne de mention Il n’est pas rare d’observer sous la lumière du balcon une araignée dont le bout du corps est brun et gros comme l’extrémité d’un pouce d’adulte. Souvent, vous trouverez cette araignée dans une belle toile en spirale. L’épeire diadème (Araneus diadematus) ne laisse personne indifférent. Toutefois, malgré sa grosseur, elle ne représente aucun danger. Si vous les observez en grand nombre, c’est qu’elles ont de quoi manger. Mouches, «mannes», papillons et autres insectes font parti de leur menu… Peut-être votre balcon est-il très éclairé et attire-t-il ces insectes en quantité? Source
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