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Max|mum-leterrarium

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  1. Chypre : un lieu de reproduction pour tortues à protéger coûte que coûte Chypre est une île qui abrite plus de 30% des nids de tortues vertes et près de 20% des caouannes en Méditerranée. Or, ces deux espèces sont en danger selon l'IUCN (International Union for Conservation of Nature), d’où l’importance de protéger les tortues fraîchement nées. A la fin de l'été, des centaines de bébés tortues de mer naissent sur les côtes chypriotes. Pourtant, "seul un bébé tortue sur mille réussit à atteindre l'âge adulte, alors on essaie d'augmenter au maximum leurs chances de survie", explique Sara Toule, diplômée de biologie à l'université écossaise d'Aberdeen. Cette scientifique travaille actuellement avec la Society for Protection of Turtles (Spot), une association de protection des tortues implantée à Alagadi, une plage du Nord de Chypre. Aujourd'hui, de nombreux volontaires, dont des touristes, participent à une action permettant de donner toutes leurs chances aux jeunes tortues vertes (Chelonia mydas) et caouannes (Caretta caretta) de l’île de Chypre. En amont de l'éclosion, des grilles sont placées sur les nids pour les protéger. Sans cela, "60 % des œufs seraient dévorés, principalement par les renards", souligne Chelsea Crossingham, étudiante en zoologie à l'université d'Exeter et volontaire au Spot citée par l'AFP. Puis les bébés sont recueillis au fond de leur nid sous un demi-mètre de sable. Dans un second temps, les petits qui n’excèdent pas les cinq centimètres sont posés sur le sable et cherchent à rejoindre la mer en battant frénétiquement des nageoires. Mais tous n'ont pas la même vitalité et certains restent inertes avant d'être emportés par les flots. Habituellement, dans la nuit, les bébés tortues détectent la mer grâce aux reflets de la lune. Lorsque ceux-ci sont trop faibles, la lampe frontale de l'un des volontaires de Spot qui se tient assez loin dans l'eau fait l’affaire. L’action de cette société est ainsi essentielle car Chypre héberge en moyenne plus de 30% des nids de tortues vertes et près de 20% des caouannes en Méditerranée. Or, ces deux espèces sont en danger selon la classification de l'IUCN (International Union for Conservation of Nature), principalement à cause de la pêche intensive. Des tortues menacées par un tourisme de masse Une des difficultés à protéger les tortues est la nécessité de mettre en place des politiques sur le long terme. En effet, les tortues, une fois atteint l'âge de la reproduction, reviennent pondre là où elles sont nées de 20 à 40 ans plus tôt, "principalement grâce aux forces géomagnétiques qui leur fournissent une sorte de GPS", expliquent M. Demetropoulos et Mme Hadjichristophorou, responsables du projet gouvernemental de protection des tortues de la République de Chypre. Ainsi, les organisations environnementales se battent pour faire protéger les plages de nidification chypriotes et empêcher les constructions et le tourisme de masse, qui menacent les nids ou leurrent les bébés tortues loin de la mer avec les lumières artificielles. Comme l’indique Robin Snape, doctorant au centre d'Ecologie et de Protection animale de l'université d'Exeter et volontaire au Spot, "la Grèce, la Turquie et Chypre sont des destinations de tourisme de masse, et c'est principalement sur ces plages que les tortues pondent". L’idée serait donc de "développer l'éco-tourisme, cela donnerait du travail aux gens de cette partie de l'île, mais pour le moment, ils s'intéressent plus aux stations balnéaires et aux casinos", déplore Robin Snape. Source
  2. J'ai vu le message mais en ce moment, je suis en exposition donc je ne peux pas prendre le temps de te répondre. J'essaye de faire ça dans les prochains jours. Bienvenue sur le forum
  3. Tu l;es manipules fréquemment et un moment donné, ça va devenir normal pour eux (façon de parler)
  4. Effectivement, on ne les voit pas aussi beau qu'ils devraient. Je suis par contre certain que tu les adores quand même
  5. Trogloraptor, une nouvelle araignée aux griffes impressionnantes Une nouvelle araignée vient d’être découverte au sein de cavités dans l'ouest des États-Unis. Mesurant 4 cm de large, la voleuse des grottes Trogloraptor marchingtoni se caractérise par d’impressionnantes griffes à l’extrémité des pattes. D’autres caractères uniques ont nécessité la création d’une nouvelle famille, celle des trogloraptoridés, pour pouvoir la classer. La grande classe des araignées, 3.600 espèces rien qu’en Amérique du Nord, compte désormais un membre supplémentaire dans ses rangs. Trogloraptor marchingtoni, décrite par des spécialistes de la California Academy of Sciences (CAS) dans la revue Zookeys, a été découverte par des amateurs dans des grottes du sud-ouest de l’Oregon aux États-Unis. D’autres spécimens ont par la suite été trouvés au sein de forêts californiennes, les old-growth redwood forests, par des scientifiques de la San Diego State University. Une nouvelle famille a dû être créée tant la nouvelle araignée est unique, un événement peu fréquent. La voleuse des grottes, son nom vulgarisé, mesure 4 cm de large lorsque ses pattes sont étendues. Elle possède 2 ou 3 impressionnantes griffes, comparées en apparence à celles des raptors, à l’extrémité de ses pattes. Trogloraptor marchingtoni serait donc, selon des suggestions émises par les scientifiques, un prédateur actif pouvant cibler précisément ses proies. Il n’est cependant pas possible de l’affirmer car aucune araignée n’a été observée en train de chasser ou même de manger, malgré plusieurs tests réalisés en laboratoire. Les trogloraptoridés seraient des représentants primitifs du groupe des dysderoïdés. Plusieurs éléments rapprocheraient d'ailleurs les voleuses des grottes des araignées gobelins, ces arachnidés ne mesurant que quelques millimètres de long. L’anatomie de cette nouvelle espèce, composée de nombreux caractères ancestraux mais aussi d’un certain nombre de nouveautés, pourrait être à la base d’une révision de l’histoire évolutive des araignées. La conclusion revient aux auteurs : « Si des araignées aussi grosses et bizarres ont pu vivre si longtemps sans être découvertes, qui sait ce qui peut encore se cacher dans cette remarquable partie du monde [NDLR, en Amérique du nord] ». Source
  6. Yamoussoukro: Les caïmans dévorent leur vieux ‘’nounou’’ Yamoussoukro – Dicko Toké, septuagénaire, chargé depuis plusieurs décennies de nourrir les caïmans, crocodiles, et autres alligators des lacs de Yamoussoukro sur la berge artificielle du lac principal près du palais présidentiel, a été dévoré, lundi, en fin d’après-midi, par ces reptiles, a constaté l’AIP sur place. Comme de coutume, il est 17h lorsque ce vieil homme, ‘’ami’’ des reptiles des lacs de la capitale est allé s’acquitter de son devoir quotidien de les nourrir. Mais des touristes, voulant des photos souvenir inédites et osées, demandent au septuagénaire d’aller plus près des reptiles pour des prises de vue, ce qu’il accepte, ignorant qu’il prenait ainsi rendez-vous avec la mort. Après avoir offert le spectacle osé aux nombreux visiteurs locaux et touristes de jour férié, le vieil homme tentait de regagner le rive lorsque subitement, un des reptiles s’empare d’un bout de son boubou. Même s’il a plusieurs fois survécu à cette situation, ’’l’ami’’ des caïmans, se saisissant cette fois de sa machette pour se défaire de la prise du reptile menaçant, servira de festin en ce jour d’après Ramadan. Ayant glissé dans sa tentative de se défaire de la bête, le vieux Dicko Toké, se retrouvera dans la gueule du plus colosse et plus anciens des caïmans affectueusement surnommé ‘’Le chef de cabinet’’ qui, au lieu de défendre son vieil ‘’ami’’, le trainera en eau profonde où lui et ses compagnons en firent leur festin sous les regards impuissants et hagards des nombreux visiteurs. Toute la ville de Yamoussoukro est sous le choc, et les autorités politiques, de la police et de la gendarmerie nationale se sont rendues sur les lieux du drame avant d’aller en conclave dans la cour du palais présidentiel. (AIP) Zgrp/tm Source
  7. Pradines Au temps des chasseurs de vipères Le métier de chasseur de vipères a survécu jusqu’au XX e siècle, chaque canton possédait son propre chasseur. Tout d’abord le chasseur de vipères débarrassait les terrains de cet animal considéré comme fortement nuisible dans des temps reculés mais il allait aussi à la traque, connaissant le mode de vie, de reproduction de cette "bête à venin". Les bons chasseurs pouvaient en capturer mille par an rémunérés 20 centimes pièce en 1910. La chair de la vipère était connue et utilisée pour fabriquer un contrepoison : la Thériaque. La tradition populaire revêtait à la chair de ce serpent des effets revigorants, pour cela il fallait l’ingérer mais indirectement. Les morceaux de chair de vipère étaient distribués en ripailles à des volailles qui elles-mêmes servaient de repas à des nobles ayant les moyens de se payer cette fantaisie. Plus tard les chasseurs de vipères furent employés par les laboratoires pharmaceutiques, le venin étant injecté à des chevaux qui fabriquaient un antidote naturel. Aujourd’hui, les antidotes sont artificiels et les chasseurs de vipères sont rentrés dans la légende des métiers de traditions populaires que les temps modernes ont effacés des mémoires. Source
  8. Environnement. Une soirée auprès des tortues marines Il est 20 heures. Seule la lune pleine éclaire encore la plage de Grande-Anse, à Trois-Rivières. Un petit groupe d’animaux se présente dans la pénombre. Ce sont des humains qui viennent « patrouiller » pour regarder les tortues pondre. Equipé d’une lampe à lumière rouge, le chef de cette bande d’indiscrets commande : « Pour éviter de faire fuir les tortues, nous n’allumons pas de lampe torche à lumière blanche et nous restons groupés. Si nous voyons une tortue, nous ne bougeons plus et nous restons à distance. » Bryan est l’un des éco-volontaires de l’association Kap’Natirel. Il guide notre groupe de curieux venu découvrir la ponte des tortues, qui a lieu de mai à fin août. Ce n’est pas seulement une sortie contemplative. Les patrouilles de nuit ont un but scientifique : « Compter sur un site le nombre de femelles par espèce, le nombre de pontes par femelle, l’intervalle entre deux pontes, entre deux saisons de ponte, la distribution des tortues en mer ou leur durée de vie. » Le réseau tortues marines a défini un protocole d’étude, et des éco-volontaires sont formés chaque année. « Le protocole prévoit des patrouilles entre 20 heures et 0 h 30. Et comme nous estimons qu’une tortue met 45 minutes minimum pour sortir de l’eau, creuser son nid, pondre et retourner à l’eau, nous faisons en sorte d’être au même point toutes les 45 minutes », explique Olivia Giuliani, permanente de Kap’Natirel. Ce soir-là, après six allers-retours sur la plage, les « patrouilleurs » repartent bredouilles. « Une tortue pond 100 à 200 œufs dans un nid. » Quelques jours plus tard, les plus motivés sont de retour sur la même plage, à la même heure. Leur patience sera récompensée. A la troisième patrouille, l’éco-volontaire Bryan s’agenouille soudain dans le sable mouillé. Une trace fraîche de 80 centimètres de large sort de la mer et monte vers le sous-bois. Au bout, une tortue imbriquée est en train de piocher dans le sable. « Nous l’observons de loin jusqu’à ce qu’elle arrête de creuser. Nous attendrons deux minutes, puis nous approcherons », explique le jeune homme. A 21 h 30, la tortue creuse un premier trou, puis un deuxième, sans pondre. Au troisième, elle est dérangée par un passant bruyant. Au quatrième, n’y tenant plus, elle dépose sa progéniture. « Une tortue pond 100 à 200 œufs dans un nid. Après une vingtaine d’œufs, elle a une telle montée d’hormones qu’on peut s’en approcher sans qu’elle s’en rende compte. » Les éco-volontaires en profitent pour mesurer la carapace, prélever un échantillon de peau pour des recherches génétiques et poser une bague numérotée sur une patte avant. En un quart d’heure, la tortue karet achève son office. Les spectateurs ont tout vu, et de près. Ils sont autorisés à s’asseoir à quelques mètres du nid à condition de ne plus bouger. « Elle va prendre vingt bonnes minutes pour recouvrir ses œufs et brouiller les traces autour d’elle », dit une éco-volontaire. Vingt-cinq minutes, top chrono. A 23 h 30, le reptile se traîne jusqu’à l’océan, après deux heures de travail. Au cours de cette soirée à succès, les éco-volontaires verront un peu plus loin une tortue verte en pleine ponte. Ils sont étudiants en métropole en biologie, ou en école d’infirmière, et sont venus, le temps des grandes vacances, observer les tortues guadeloupéennes. Ils ont suivi une formation à Marie-Galante, le rendez-vous incontournable des tortues marines, où ils ont appris à « reconnaître les traces, à distinguer les différentes espèces, à baguer, à faire un prélèvement ADN ». La saison 2012 est presque terminée et les éco-volontaires vont retourner à leurs études, après avoir servi la science et guidé le public guadeloupéen pendant de longues nuits. Où et quand ? La saison de la ponte des tortues se termine fin août. Pour prendre contact avec une association du réseau, rendez-vous sur www.tortuesmarinesguadeloupe.org. Le long voyage des tortues En Guadeloupe, toute l’année, il suffit de se munir de palmes, d’un masque et d’un tuba pour observer les tortues marines. Les vertes broutent dans les herbiers peu profonds. Les imbriquées mangent des éponges sur les récifs coralliens. Mais selon les observations du réseau tortues marines, ce ne sont pas ces tortues-là que l’on voit monter sur les plages pour pondre. « Les tortues de la baie de Malendure, par exemple, ne sont pas en âge de se reproduire, assure une éco-volontaire. Par contre, nous avons observé la ponte d’une tortue du Nicaragua, qui a fait 2 500 km pour venir pondre en Guadeloupe. » Selon cette hypothèse, les tortues adultes emménageraient loin de leur lieu de naissance, où elles reviendraient tous les deux à quatre ans pour déposer leurs œufs. Le réseau tortues marines Le réseau tortues marines regroupe plusieurs associations réparties sur tout le littoral de l’archipel : entre autres, Kap Natirel patrouille de Vieux-Fort à Goyave, Evasion Tropicale sur la côte Sous-le-Vent, La Gaïae à Deshaies et Aeva sur l’est de la Grande-Terre. A Marie-Galante, terre de prédilection des testudines, l’association Ecolambda dirige les observations. De nombreux clubs de plongée sous-marine sont également partenaires du réseau. Ils participent au protocole de suivi des tortues marines en alimentation, assurent une veille ou partagent leurs photographies. Les contacts de toutes ces structures sont disponibles sur le site internet www.tortuesmarinesguadeloupe.org. On y trouve aussi : la présentation des actions du réseau, une banque d’images et de documents techniques, des jeux et des activités pédagogiques… Source
  9. Huit espèces françaises méconnues en voie de disparition ANIMAUX - Panda, tigre, beluga, gorille… En matière d'espèces menacées, ce sont les premiers noms qui nous viennent à l'esprit. Des espèces parmi les milliers d'autres dont on ne parle jamais, ou presque, et qui pourtant figurent sur la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). En France aussi, la faune et la flore sont en danger. Le ministère de l'Ecologie prépare depuis le début de l'été des plans nationaux d'actions (PNA) pour éviter la disparition de huit espèces menacées dans l'Hexagone. Objectifs : "organiser un suivi cohérent des populations des espèces concernées", "mettre en œuvre des actions coordonnées favorables à la restauration de ces espèces ou de leurs habitats", et la sensibilisation du public. Présentation des futurs bénéficiaires. La vipère d'Orsini Discrète, sédentaire, peu agressive, la vipère d'Orsini vit dans les Alpes du Sud. Mais les perturbations de son habitat, comme le tourisme ou la sylviculture, la menacent aujourd'hui. L'espèce subit "un déclin important de la population depuis une vingtaine d’années avec un risque d’extinction très fort", explique le Syndicat mixte d'aménagement et d'équipement du mon Ventoux. Sur la liste rouge mondiale de l'UICN, elle est protégée par de nombreuses conventions internationales. Le PNA en faveur de la vipère d'Orsini fait suite au programme de conservation LIFE, engagée en 2006 et terminé en 2011. Avec un budget réduit toutefois : 30 000 euros par an, pendant cinq ans, souligne Marc-Antoine Marchand, coordinateur du PNA, contacté par FTVi. "La disparition de cette espèce contribuerait à la perte de la biodiversité, enjeu écologique clairement énoncé à une échelle mondiale", explique-t-il. Et d'ajouter que la disparition d'une espèce aussi sédentaire que la vipère d'Orsini "serait un marqueur évident de perturbations à une échelle locale". Lézard ocellé et des Pyrénées De l'est des Pyrénées-Atlantiques à l'est de l'Ariège, entre 2 000 et 3 000 m d'altitude, trois espèces endémiques sont aujourd'hui menacées par le réchauffement climatique et la destruction de leur habitat (stations de ski, barrages…) : le lézard de Bonnal, le lézard du Val d'Aran et le lézard d’Aurelio. "Inadaptées aux environnements plus chauds", dit le ministère de l'Ecologie, avec une aire de répartition peu étendue, "cela signifie une probabilité de recolonisation faible ou nulle en cas d’extinction locale", estime le projet de PNA (PDF). En Provence, la plaine de la Crau est l'un des viviers les plus importants d'un autre reptile menacé : le lézard ocellé, "le plus grand lézard français", note le ministère. "Perte et fermeture des habitats favorables", baisse du nombre de lapins de Garenne, pourtants essentiels dans son écosystème (ils partagent le même terrier)… "Sans la mise en place de mesures efficaces, un déclin rapide des populations existantes est à craindre", pointe le projet (PDF). Parmi les idées avancées : le "maintien ou le rétablissement des corridors biologiques" pour permettre aux lézards de se déplacer. L'Emyde lépreuse Son nom n'est pas très engageant, mais l'animal est plutôt gracieux. II s'agit d'une petite tortue peuplant les cours d'eau des Pyrénées orientales. En France, l’espèce est protégée, ainsi que son habitat. Comme pour les lézards des Pyrénées, c'est son aire de répartition très restreinte qui la menace d'extinction. Ça et la pollution chimique de l'eau, l'assèchement de certaines zones et la destruction de son habitat naturel. "Avec actuellement peu de stations où l’espèce se reproduit, l’Emyde lépreuse justifie son statut d’espèce 'en danger' sur la liste rouge nationale de l’UICN", explique le projet de PNA (PDF). La moule perlière d'eau douce Principalement réparties dans le Massif central et armoricain, les moules perlières d'eau douce sont aussi présentes dans le Morvan, les Vosges ainsi que les Pyrénées. Mais sur les 80 rivières françaises où on peut les trouver, "une petite dizaine seulement hébergent toujours des populations en bonne santé (…) dans le Morvan et le Massif central", indique le projet (PDF). Protégée au niveau européen, son mode de vie est fragile. Très sensible à la qualité et la fraîcheur de son environnement, l'aménagement de rivières, les cours de plus en pollués et le réchauffement climatique et de l'eau la menacent d'extinction. En outre, elle pond des larves qui doivent rapidement parasiter des poissons-hôtes pour survivre, mais ces derniers se font rares. Si ce n'est plus le cas aujourd'hui, ces moules ont par ailleurs été surpêchées au cours des siècles précédents pour leurs précieuses perles. La Grande Mulette Autrefois présente dans la quasi-totalité des grands et moyens cours d'eau en Europe, 90% de la population totale de cette moule d'eau douce se trouve aujourd'hui en France, note le ministère. Présente notamment dans la Vienne, la Creuse, et la Charente, ce mollusque de 20 cm subit les mêmes désagréments que la moule perlière d'eau douce : surpêche, pollution des eaux, changement climatique, raréfaction des poisson-hôtes - notamment l'esturgeon d'Europe, indispensable aux larves de la Grande Mulette et quasi disparu des cours d'eau français. Les plantes aussi sont en danger Deux espèces végétales sont menacées en France : le Panicaut vivipare et l'Aster, emblématique des montagnes pyrénéennes. La première,"une espèce endémique de la côte atlantique", note le ministère, est même considérée en danger d'extinction dans la liste rouge mondiale de l'UICN. "En quelques décennies, à cause de l'urbanisation et de l'abandon des pratiques agro-pastorales anciennes, elle a quasiment disparu du territoire français", écrit Le Télégramme. Le Panicaut vivipare a été aussi victime du "changement d'affectation des sols" (urbanisation, agriculture), précise le projet (PDF), et "ne subsiste plus que dans une seule station" protégée, à Belz, dans le Morbihan. L'Aster des Pyrénées est une autre plante endémique protégée dans l'Hexagone, qui accueille sur son territoire "11 des 14 stations" où on peut la trouver, indique le ministère. D'après la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement du Midi-Pyrénées, trois facteurs principaux la menacent d'extinction: la cueillette excessive par le passé et le risque d'arrachage en bord de route ; "les risques liés aux travaux", notamment hydroélectriques, courants en montagne ; et, comme pour le Panicaut, la "disparition de l'usage pastoral", qui provoque notamment l'apparition ou l'augmentation de plantes plus dynamiques qui finissent par étouffer les plus faibles. Source
  10. Samer : un serpent retrouvé dans un jardin Dimanche, en milieu d'après-midi, les sapeurs-pompiers de Desvres ont été appelés par un habitant de la commune de Samer. Ce dernier, résidant route de Carly, a eu la surprise de découvrir un serpent dans son jardin. L'animal, qui mesure très exactement 1,27m, a été capturé par les secouristes. Le serpent a ensuite été remis à Jérémie Marion, du service Opale Capture. "Je pense que cet animaldevenait un peu trop envahissant pour ses propriétaires, affirme Jérémie Marion. Il a dû être abandonné. A moins qu'il se soit sauvé, mais je ne crois pas trop à cette seconde hypothèse". L'impressionnant reptile a été transféré lundi vers le centre de sauvegarde de Calais. Source
  11. Cambrai: Ils menacent un ami avec un serpent pour lui voler son argent Après avoir tenté de l'endormir à l'aide de somnifère, c'est avec un serpent et un couteau que ces Cambrésiens ont menacé leur ami pour l Une banale soirée autour d'un barbecue, et l'envie soudaine de voler l'argent de leur ami. Jérôme et Stéphane comparassaient le jeudi 9 août devant le tribunal correctionnel de Cambrai pour violence. La victime ayant une somme importante de liquide sur elle, les deux frères tentent de l'endormir à l'aide de somnifères, sans y parvenir. Ils emploient alors la manière forte, en le menaçant avec un couteau.. et un serpent. Tous les deux sont condamnés par le tribunal.ui voler son argent. Source
  12. La tortue de Kemp Populations et menaces La tortue de Kemp, Lepidochelys kempii, est une espèce en danger critique selon le livre rouge de l’UICN jusqu’au milieu du XXe siècle, des arrivées massives de plusieurs dizaines de milliers de femelles sur des plages, en particulier celle de Rancho nuevo, pour pondre sont connues. Répartition et biotope Cette espèce, inféodée au golfe du Mexique fréquente les baies et estuaires de rivières riches en crustacés. On connaît encore mal les raisons de sa présence sporadique le long des côtes européennes et ouest-africaines. Biologie Le régime alimentaire est composé essentiellement de crabes, crevettes et mollusques. Elle ne se reproduit pas en Afrique. La ponte, diurne, n’est observée que sur des plages du golfe du Mexique. Description La tortue de Kemp est la plus petites des tortues marines avec une taille de 52 à 75 cm pour un poids variant de 30 à 49 kg. Sa dossière est ronde, la largeur représentant chez l’adulte 95 % de la longueur. Sa tête est moyenne. Elle présente une griffe unique sur les pattes antérieures. Dorsalement, l’ensemble du corps est gris olive ; les parties inférieures sont blanchâtres ou jaunâtres Source
  13. Un étang du Gers vidé, mort des poissons Des centaines de milliers d'alevins, des milliers de carpes et d'anguilles, ainsi que des tortues sont mortes dans l'étang du Moura à Averon-Bergelle (Gers) après que des vandales eurent vidé l'eau en cassant la vanne de vidange, a-t-on appris lundi auprès du Conseil général. L'étang s'est vidé "en quasi totalité" dans la nuit de samedi à dimanche après la détérioration des vannes, provoquant la mort de "centaines de milliers d'alevins, de milliers de carpes, d'anguilles, de tortues", a précisé dans un communiqué l'assemblée départementale, propriétaire des lieux. Le Conseil général a dénoncé un désastre environnemental et patrimonial "considérable" sur ce site inscrit au programme Natura 2000 et qui possède une biodiversité remarquable, avec notamment une petite tortue d'eau douce, la cistude d'Europe, considérée comme en voie de disparition. Les vandales ont par ailleurs mis le feu à une cabane de pêche construite au XVIIIe siècle par des moines cisterciens. Le président du Conseil général, Philippe Martin, a décidé de déposer plainte contre X "pour que soient retrouvés et sanctionnés les auteurs de ces dégradations inacceptables et qui devront être condamnés avec fermeté", selon le communiqué. L'étang du Moura, le plus grand de l'Armagnac, s'étend sur 17 hectares. Il est classé en ZNIEFF (Zones Naturelles d'Intérêt Ecologique Floristique et Faunistique). La pièce d'eau a été créée au Moyen Âge par des moines cisterciens qui désiraient y élever des poissons. Un vaste plan de gestion écologique - restauration du site, valorisation pédagogique... - y avait été décidé par le Conseil général. Source
  14. Quand Britney Spears se demande si son serpent est toujours vivant sur Twitter En 2001, Birtney Spears chantait I'm a slave 4 you avec un serpent autour du cou aux MTV Music Awardss. Après avoir lancé un appel sur Twitter, la chanteuse a eu des nouvelles de son ancien ami ! L'avantage des réseaux sociaux c'est qu'ils permettent de belles choses : d'où l'idée de Facebook de créer FacebookStories d'ailleurs. Cette fois, c'est Britney Spears, qui grâce à un appel sur son compte Twitter a eu des nouvelles du serpent qui l'avait accompagné dans son interprétation de "I'm a slave 4 you". Ce week-end, la chanteuse qui s'apprête à lancer son nouveau parfum s'est demandé dans un tweet : "Parfois je me demande ce qu'est devenu ce serpent. Quelqu'un sait il où il est ? ". Dès le lendemain, Brintey Spears a eu des nouvelles de son ami d'une autre époque et les a partagées sur son compte Twitter : "Mise à jour concernant le serpent : On m'a fait savoir qu'elle est en vie et en bonne santé et qu'elle s'appelle Banana. Cela me fait sourire". Une anecdote amusante mais qui ne rajeunit pas la chanteuse : c'est il y a plus de 10 ans que Britney Spears chantait "I'm a slave 4 you", pour les MTV Music Awards, Banana autour du cou ! Source
  15. Le serpent retrouvé dimanche à Samer est américain On en sait plus sur le serpent retrouvé dimanche à Samer. Il s'agit d'un élaphe, reptile non venimeux, mais qui peut être impressionnant par sa taille et sa couleur. Source
  16. Alerte aux scorpions ! SAHARIDJ ILS ENVAHISSENT ROUTES ET RUELLES DÈS LA TOMBÉE DE LA NUIT C’est un phénomène assez inquiétant observé depuis une dizaine de jours. Dès la tombée des premières ténèbres du crépuscule, les scorpions quittent leurs refuges et commencent à circuler…dards au clair en ciblant les routes goudronnées, ils sont de toutes les tailles et de toutes les couleurs, aussi terrifiants les uns que les autres et en nombre impressionnant. Un phénomène jamais observé dans la région que les personnes âgées imputent à la chaleur torride aggravée par d’innombrables incendies qui font rage. Même si jusqu'à présent aucune piqûre de ces indésirables bestioles n’a été à notre connaissance enregistrée, toujours est-il que la prudence est vivement recommandée aux citoyens qui doivent procéder à une vérification de leurs literies avant de se coucher, le scorpion n’étant pas spécialement agressif mais devient néanmoins dangereux quand il se sent en danger Le fait que ces dangereux insectes pullulent au sens le plus large du terme, a fait que des jeunes de la localité Aggach dans la commune de Saharidj s’amusent à les regrouper et arrivent même à provoquer des combats entre des scorpions adultes de différentes couleurs. Des combats qui se terminent toujours par la mise à mort du vaincu par le vainqueur. Un jeu qui a permis à ces jeunes de constater une étrange réaction du scorpion qui, se sentant pris et face à un danger, se donne carrément la mort en se piquant de son propre dard à la tête. Ces jeunes qui en ont fait un passe temps, placent un scorpion au centre d’un cercle de feu, l’insecte après avoir cherché en vain une issue pour s’échapper se suicide sans hésitation, une expérience répétée à plusieurs reprises et qui se termine toujours de la même façon, c’est à dire le suicide. Fait rassurant cependant, une piqûre de l’espèce du scorpion qui vit dans la région n’est pas mortelle comme celle du Sud, sinon qu’elle provoque des nausées doublées d’une forte fièvre mais reste néanmoins loin d’être négligeable et dicte à la victime d’une piqûre de se rendre immédiatement dans un centre hospitalier. Reste à espérer que ce dérèglement climatique ne provoque pas la même manifestation des serpents qui subissent les mêmes effet de la chaleur, toujours est-il que la précaution est de mise notamment chez les mères qui doivent user de vigilance et prémunir les nourrissons de ce genre de menace dont personne n’est à l’abri, un danger qui persisterait jusqu'à la fin de la saison chaude, soit jusqu’au moment où ces reptiles à sang froid entreront en hibernation. Source
  17. UN CHINOIS AURAIT MANGÉ PLUS DE 30.000 SCORPIONS Le Chinois Li Liunqun assure avoir mangé plus de 30.000 scorpions ces 30 dernières années et en serait même devenu dépendant. La première rencontre de cet homme avec les scorpions n’est pas des plus banales. « J’ai senti une piqure, et pris de colère, je n’en ai fait qu’une bouchée. Il était si savoureux, comme un goût de haricot frit ». Depuis la découverte de son appétence pour ces petits arachnides, ce Chinois est désormais capable de manger entre 20 et 30 scorpions par jour et serait donc complètement immunisé contre leur venin souvent mortel. « Les scorpions me piquent presque toujours mais je ne sens plus rien » a précisé l’homme qui a aujourd’hui 58 ans. Les médecins interrogés à ce sujet, pensent même que Li est devenu accro au venin de scorpion, habituellement utilisé dans la médecine chinoise traditionnelle en petite quantité comme un analgésique. Source
  18. La petite a grandi et a prit de la couleur
  19. Max|mum-leterrarium

    Baltazar

    J'ai depuis peu de temps un pensionnaire à la maison suite à un coup de coeur de ma blonde. Elle est passé dans un animalerie et elle est tombé amoureuse de ce petit Uromastyx du Niger. Elle m'en a parlé pendant que j'étais au travail et j'ai donné mon accord pour le garder chez moi. On s'est rejoint là bas et le petit conseillé m'a informé qu'il ne mangeait pas. Ma copine m'a répondu je le veux vraiment et je pense que chez toi il va être entre bonnes mains. On l'a prit, on l'a installé. On lui a donné sa chaleur nécessaire et ses UV, Ça prit 3 jours et il mangeait super bien. Il était pas mal trop calme à son arrivé. Maintenant, il court partout et est très actif. Ça quand même été simple à régler, juste lui donner ses bons paramètres.
  20. J'ai profité de l'appareil-photo de ma copine pour tenter quelques photos mais malheureusement un peu trop d'éclairage je crois.
  21. Voici une nouvelle photo de cette petite poubelle rampante. Oui, ce surnom vient du fait que j'ai l'impression qu'il n'a pas de fond.
  22. Quand je me pointe dans ce terrarium avec un appareil-photo, c'est toujours la première à arriver comme si elle attendait que ça de se faire prendre en photo. Elle reste quand même photogénique.
  23. Dernièrement, je vous avais présenté une iguane verte de coloration orangé qui m'avait été amené. On m'en a amené trois autres mais il en reste seulement une des trois qui est encore ici. C'est une iguane verte qui est vraiment verte. Elle est timide la pauvre. Elle n'aime pas qu'on la prenne ni qu'on la dérange. Elle est de moins en moins pire. Je réussis maintenant à la nourrir à la main mais je dois encore me battre avec elle quand j'ai besoin de la sortir. Voici quelques photos de la grosse brute.
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