Max|mum-leterrarium

Voici une petite femelle que j'ai reçu dernièrement suite à une séparation. La jeune demoiselle m'a apporté le serpent après quelques mois sans nouvelle de son ex conjoint. Le serpent semble en santé mais il est passé par la quarantaine comme tout le monde. Voici quelques photos d'elle.

Je mets quelques photos pour Johanne. Les photos datent un peu mais mon appareil-photo est mort alors je ne pouvais pas en prendre des nouvelles. Le petit est né chez elle. Il a perdu sa queue chez la personne qui l'avait avant moi. Sa queue a quand même bien repoussé. Je dois l'engraisser un peu par contre. Il se porte bien pour le moment.

J'ai pris quelques photos de ma bête alors je partage.

On m'a demandé un update photo alors pour la personne à qui je l'ai promis, voici les photos. C'est rare qu'on les voit comme ça. Ils sont pas mal toujours caché dans le feuillage sinon.

Dernièrement, je suis allé dans un animalerie peut fréquentable selon moi avec ma blonde et des amies. Nous avons fait le tour et comme vous me connaissez, je me suis arrêté attentivement devant le coin reptiles. Ce n'était pas fameux mais j'ai aimé la réaction du gars. Je suis allé le voir pour lui demander s'il était ouvert à la critique et il m'a dit oui. J'ai répondu, je ne veux pas te taper sur les doigts juste t'éduquer et aider les animaux qui sont là. Il m'a répondu, je suis là pour apprendre, je fais de mon mieux. Il a écouté tout ce que j'ai dis et il a fait ce que je disais sans hésiter. Un seul lézard a fait en sorte m'inquiétait sur place. Un terrarium était écrit varan à queue bleue au prix de 24,99$. Le lézard est hyper nerveux fait environ 30 cm de long mais un infection est prise dans le bout de la queue dut à une partie sectionnée. Je pose des questions au gars et il ne sait rien puisqu'il travaille là depuis un mois et ils l'avaient avant son arrivé à l'animalerie. J'ai pris le lézard pour le soigner. Il est quand même agressif et a une bonne morsure pareil pour sa taille. Le hic, c'est que je ne sais toujours pas ce que c'est. Ce n'est pas un varan à queue bleue c'est certain. Par contre, je n'ai pas identifié l'espèce. J'ai pensé à une forme d'Ameiva mais sa tête semble trop allongé pour ça. Une sorte d'Agamidae? Je ne sais pas. Si quelqu'un peut m'aider, ça serait apprécié. Voici quelques photos en espérant que quelqu'un pourra m'aider.

Le scorpion venait du sud de la france Il avait piqué d'effroi une festivalière de la fête du Bruit, dimanche matin. Le mystère s'est depuis éclairci sur la présence d'un scorpion dans une tente du camping du festival de Landerneau (29). Il ne s'agit pas d'une espèce commune du Sahara mais, moins exotique, du Sud de la France. Le scorpion aurait donc voyagé en clandestin dans une tente repliée après un séjour dans le Midi. Neutralisée par la Croix-Rouge qui l'a confiée aux pompiers de Landerneau, la bête de 10-15cm de long a été prise en charge par un vétérinaire, lequel tentait de lui trouver un refuge plus durable. Une spécialiste d'une animalerie du Froutven (Guipavas), qui a vu le scorpion, précise que la piqûre peut s'avérer douloureuse, provoquer de fortes fièvres et même entraîner la mort si la personne est de santé fragile. Source

La découverte d’un nouveau lézard cuirassé dans une zone criblée de mines terrestres Un nouveau lézard a été découvert dans une zone déchirée par la guerre en République Démocratique du Congo (RDC). D’après un article paru dans le Journal Africain d’Erpétologie (African Journal of Herpetology), cette nouvelle espèce a été trouvée cachée sous un rocher, dans les hautes prairies du Plateau du Marungu, une zone connue pour ses mines terrestres. En recherchant des traces de l’espèce Cordylus marunguensi à travers le plateau où elle a été découverte, les chercheurs ont remarqué que ce lézard semblait être bien implanté dans le milieu malgré les impacts de l’activité humaine telle que l’agriculture, l’élevage de bétail, et la guerre. "Le Plateau du Marungu a été la scène de lourds combats au cours d’un conflit qui s’est étendu à l’est de la RDC, au tournant du vingt-et-unième siècle, et, en conséquence, une large zone tout autour du milieu type pour le Cordylus marunguensis est recouverte de mines terrestres et d’obus d’artillerie qui n’ont pas explosé", ont écrit les scientifiques. Ils préconisent une plus grande recherche sur cette espèce afin de déterminer si elle est menacée. Les scientifiques ont aussi relevé que le Plateau du Marungu "est peut-être sous-estimé en tant que site de préservation d’importance", d’autant que, par le passé, des chercheurs ont décrit plusieurs espèces d’oiseaux qui pourraient être endémiques à ce plateau. "Bien que le Plateau du Marungu ait été lourdement endommagé par la guerre et la destruction de son habitat, ce nouveau lézard montre qu’il n’est pas trop tard pour mettre en oeuvre des efforts de préservation," a dit Eli Greenbaum, le responsable des auteurs de l’article, dans un communiqué de presse. Le plateau, qui se trouve à environ 2000 mètres (6500 pieds) au-dessus du niveau de la mer, était aussi l’habitat d’une population de chimpanzés, mais les scientifiques pensent que la déforestation y a provoqué leur extinction. Source

Le 26 août, à côté de la bourse, deux conférences pour apprivoiser les reptiles La bourse aux reptiles, c'est le 26 août à la salle Olof-Palme. Le moyen pour les passionnés de réussir leurs premiers pas ou de se perfectionner. En parallèle, une conférence comptera pour l'obtention du « certificat de capacité ». Décryptage avec le Dr Vlaemynck, conférencier. Il arrive un peu en retard au Béthunarium mais c'est que la route entre la métropole et Béthune est encombrée cet été. La métro, c'est là que Frédéric Vlaemynck a ouvert sa première clinique avec ses associés. « L'activité y vouée à 80 % aux NAC. » Nouveaux animaux de compagnie : araignées, tortues, serpents... L'engouement ne se dément pas, si bien qu'il ouvre un nouveau centre dans l'Arrageois, 100 % dédié celui-ci. Comme lui, ils ne sont « même pas dix vétérinaires en France » à se pencher sur les maux de ces créatures plus exotiques que le chien et le chat qui colonisent les foyers citadins. « Ça fait une trentaine d'années que le phénomène existe mais ça explose depuis dix ans : ce n'est plus un effet de mode ! » L'imaginaire collectif colle aux propriétaires de NAC des images de tatoués avec un serpent autour du cou. « Il y en a encore... Mais de plus en plus, les propriétaires sont des citadins qui n'ont pas le temps d'avoir un chien ou un chat, qui cherchent un peu d'exotisme et croient, à tort, qu'un NAC exigera peu d'entretien. » Les profils varient : les jeunes qui trouvent dans l'animal exotique un moyen de se démarquer (même principe que pour le chien type staff) ; ceux qui ont « des coups de coeur pour l'animal, souvent des tortues, des iguanes... Mais j'ai déjà vu un propriétaire amoureux de son boa - en tant qu'individu et non comme espèce ! » ; les « collectionneurs » en quête de rareté, plutôt des hommes ; et « les éleveurs ». Depuis dix ans aussi, le vétérinaire constate une réelle demande de soins. « Avant, les gens n'étaient peut-être pas conscients qu'on pouvait en faire autant que pour un chien ou un chat. » Puisqu'on parle de bourse aux reptiles, ces derniers sont-ils fragiles ? « Ils sont archaïques, supposés résistants, mais ils restent conditionnés à un certain milieu de vie même s'ils ne l'ont pas connu. » Bref, « si on ne recrée pas leur biotope, leur système immunitaire s'en trouve fragilisé. » Pas facile pour un novice de repérer qu'un serpent ou une tortue est patraque. « C'est un autre langage que le chien et le chat, il n'y a pas que l'examen clinique. » Ce qui fait que Frédéric Vlaemynck travaille à un autre rythme que ses confrères. « On est plus dans l'urgence. On ne vient quasiment jamais à temps en consultation : il y a une phase asymptomatique ; après, l'état se dégrade d'heure en heure. On doit d'abord stabiliser l'animal avant de passer à la prévention. » C'est peu dire qu'il reste beaucoup à faire en matière « d'éducation » du public. « Ça passe par des clubs comme le Cercle aquariophile et terrariophile Flandre Artois, la formation des vendeurs, les conférences... » Les conférences, tiens. Le 26 août, jour de la bourse, il sera l'un des animateurs des deux prévues. Et le temps que ceux qui s'y inscriront passeront à les écouter « comptera pour l'obtention du certificat de capacité ». Autrement dit pour « l'autorisation préfectorale de détenir, vendre et/ou exposer des animaux domestiques ou non domestiques ». Selon un classement très complexe que nul n'est supposé ignorer. Dura lex... De ces conférences accessibles à tous, l'une portera sur « la sélection des couleurs » ou comment des apprentis sorciers de la génétique des reptiles impactent sur l'espèce. L'autre apportera « les bases de l'aménagement d'un terrarium. L'importance de l'aération, de l'humidité... » Des conseils utiles à quiconque veut adopter un animal exotique. « Selon les statistiques, ils sont 1,4 millions en France, mais on peut miser sur trois fois plus ! » Les lézards, les pogonas en particulier, ont le monopole du coeur. Les serpents ? « Les plus détenus sont le python royal, une mauvaise idée pour débuter, ou le serpent des blés, plus recommandé. » Et puis il y a les tortues. De Floride ou assimilées, ou grecques. Indémodables, souvent hélas illégales. « À cause de trafics ou par méconnaissance » de règles variables d'un pays à l'autre. Mais aux yeux de la loi, pas de carapace qui vaille : le risque, c'est une amende et du sursis. Source

Les pythons géants envahissent les Everglades américaines Il fait plus de cinq mètres de long et pèse près de soixante-quinze kilos. Un énorme python de Birmanie a été capturé dans les Everglades, en Floride, un record pour cette espèce colonisatrice. Des pythons de Birmanie géants se promèneraient en liberté en Floride, aux Etats-Unis ? Eh oui, c’est bien réel. Un spécimen de plus de 5 mètres de long et de près de 75 kilos a été capturé dans les Everglades et conduit à l’Université de Floride pour être étudié, selon les informations de CNN. 87 bébés pythons géants étaient en route Le plus préoccupant est que ce reptile géant était porteur de 87 œufs. « Il est énorme, il fait plus de 30cm de large » explique Kenneth Krysko, responsable de la collection d’erpétologie du musée, dans un communiqué de presse de l’Université de Floride. « Cela signifie que rien ne les arrête et que les animaux locaux ont du souci à se faire. » Le serpent a été disséqué et sera étudié par des scientifiques, puis exposé au musée de l’Université de Floride. Dans la vidéo de sa capture, il semble « contrarié », ce qui est compréhensible. La capture de la bête Ces pythons de Birmanie ne sont pas originaires du sol américain, cette espèce a été importée du sud-est de l’Asie par des trafiquants d’animaux opportunistes. Malgré leur taille monumentale, les pythons de Birmanie sont souvent considérés comme de bons animaux de compagnie de par leur docilité - un attrait certain aux yeux des amateurs d’animaux sauvages. Déposer son python de compagnie sur le bord de la route Mais avoir un énorme serpent affamé dans sa maison est un hobby dont beaucoup se lasseraient rapidement : de tels animaux auraient été relâchés ou se seraient enfuis et réfugiés dans les Everglades depuis au moins 1979. Ils y auraient alors établi joyeusement leur nouvel habitat. L’Université de Floride révèle que de tels serpents sont des chasseurs opportunistes qui se nourrissent de tout ce qui leur passe sous la « main » : biches, lynx, oiseaux, voire même alligators, comptent ainsi parmi leurs proies. Chasseur de python, activité amércaine En réponse à ce problème reptilien, la Floride dispense désormais des permis de chasse de pythons de Birmanie, pour ceux qui souhaiteraient passer des vacances bien viriles. Les chasseurs sont autorisés à revendre la peau et la viande, mais une consommation humaine n’est pas recommandée, du fait de taux élevés de mercure dans la chair. Dommage. Le National Geographic affirme qu’à l’état sauvage un python de Birmanie peut atteindre six mètres de long et peser plus de 90kgs. Ils sont en plus d’excellents nageurs et peuvent rester sous l’eau plus de 30 minutes sans avoir à remonter à la surface pour respirer. Source

Une famille d'araignées inconnue découverte aux Etats-Unis Surnommées "voleuses des grottes", elles ont connu une telle évolution que ce n'est pas une mutation génétique ou une nouvelle espèce Une équipe d'explorateurs amateurs a découvert une nouvelle famille d'araignées dans grottes et forêts de Californie et de l'Oregon, deux Etats de l'ouest des Etats-Unis, selon une étude publiée vendredi dans le magazine ZooKeys. Les entomologistes de l'Académie des sciences de Californie ont indiqué que ces araignées, surnommées "voleuses des grottes", avaient connu une telle évolution que ce n'était pas seulement une mutation génétique ou une nouvelle espèce, mais qu'il s'agissait d'une nouvelle famille d'araignées. Une telle découverte est assez rare, précise l'étude. La "voleuse des grottes" mesure 4 cm de large lorsque ses pattes sont tendues. Elle possède deux impressionnantes griffes à l'avant "suggérant qu'elle est un prédateur féroce et qui cible" ses proies, même si les scientifiques n'ont pas encore déterminé de quoi elle se nourrit et comment elle tue. Découverte au fin fond d'une grotte de l'Oregon Ces araignées ont été mises au jour dans des grottes au sud-ouest de l'Oregon, ainsi que dans certaines forêts du nord-ouest de l'Etat voisin de Californie. Les forêts dans ces régions côtières de Californie ou de la province canadienne de Colombie britannique sont connues pour abriter des spécimens uniques et anciens. "Si des araignées aussi grandes et bizarres ont pu vivre si longtemps sans être découvertes, qui sait ce qui peut encore se cacher dans cette remarquable partie du monde", conclut l'étude. Source

Un python dans les bagages ! Drôle de trouvaille pour les douaniers à Bâle ! La fouille des bagages d’un Français de 23 ans a permis de trouver lundi un python royal. Le serpent se trouvait dans une boîte en plastique qui a attiré l’attention des douaniers. Ces derniers ont retrouvé le reptile enroulé sur lui-même. Le python a été confisqué, puisque le ressortissant français ne possédait pas de permis d’importation, indispensable pour ce genre d’animal. Le serpent a été remis au Contrôle des marchandises de Bâle. Le python royal vit sous les tropiques d’Afrique de l’ouest et centrale. Il peut atteindre deux mètres de long. C’est un petit gabarit par rapport à d’autres serpents de ce genre qui peuvent atteindre 7,5 mètres. /fra Source

Un serpent se promène en pleine rue SAGUENAY – Les policiers de Saguenay sont intervenus jeudi soir sur un événement pour le moins inusité. Deux hommes ont fait appel aux autorités après avoir découvert un serpent en pleine rue dans l’arrondissement de Chicoutimi, face à la marina, sur le boulevard Saguenay. Le reptile de couleur noire et mesurant un peu plus d'un mètre a dû être capturé par le Refuge des animaux de Chicoutimi. « Je suis habitué de voir des chiens et des chats errants, mais un serpent errant, c'est la première fois en 18 ans de carrière que je vois une telle situation », a affirmé le propriétaire du refuge, Marc Villeneuve. Même si l'animal ne semblait pas agressif, selon M. Villeneuve, l'opération pour le récupérer n'a pas été de tout repos. « Si tu avais mis un chien incontrôlable devant moi, j'aurais été moins stressé. Disons que je n'ai pas beaucoup de connaissance avec ce type d'animal », a-t-il expliqué en souriant. Étant donné sa méconnaissance des serpents, le Refuge des animaux a contacté vendredi matin un spécialiste pour identifier le reptile. Tout porte à croire qu'il s'agirait d'un Black Kingsnake. Après vérifications, ce type de reptile serait vendu en animalerie. Le serpent a-t-il échappé à la vigilance de son propriétaire ou a-t-il été mis volontairement en liberté? Chose certaine, sa ballade en pleine ville est terminée. Le Refuge des animaux recherche son propriétaire. Source

Un serpent s'échappe dans un appartement Les pompiers ont été appelés pour récupérer l'animal à Maurepas. Un Élaphe Guttata, pas venimeux et très répandu en captivité. C'est le propriétaire qui, manifestement, a alerté les pompiers, vers 8 h 15, hier. Son serpent s'était échappé de son vivarium... devenu trop petit. Et rampait quelque part dans son appartement. L'équipe animalière de la caserne Saint-George a donc débarqué avec la grande échelle, dans cet immeuble de la rue de la Marbaudais, à Maurepas. Et vite capturé le reptile. Pas un petit animal. Un serpent d'1,50 m quand même ! Un Élaphe Guttata, dit aussi « serpent des blés ». Ce serpent n'est pas venimeux en théorie et connu pour être facile à élever à cause de sa nature docile. Très populaire chez les terrariophiles, il est très répandu en captivité. Le serpent a été ramené à la caserne Saint-Georges, où l'équipe animalière des pompiers dispose de matériel pour accueillir provisoirement les reptiles. Il devrait y rester tant que son propriétaire ne se procure pas un vivarium plus grand. Pour les pompiers, c'est une opération banale : « Des serpents, on en ramasse quasiment tous les jours, assure l'un d'entre eux. Et puis, ce n'était pas non plus un anaconda se baladant en ville. » Source

Cette araignée chasse un laser comme un chien Au lieu d'écraser cette araignée présente sur son plafond, un homme a préféré jouer avec elle à l'aide d'un laser. Étrangement, l'arachnide s'est mise à suivre ce point rouge tel un chien pourrait le faire. On connaissait la tendance des animaux à suivre la lumière d'un laser. Récemment, la rédaction de Gentside avait publié la vidéo d'un chien et d'un enfant se disputant cette lumière rouge et la vidéo de canards suivant aussi cette même lumière. Mais, plus étonnant, il s'agit, ici, d'une araignée ! Qui aurait pu prétendre que les araignées pouvaient être joueuses ? La plupart des personnes ont peur de ces arachnides et lorsqu'une de ces bêtes à huit pattes se présente au plafond ou sur un mur, on a vite fait de l'écraser ! Mais, cet internaute a préféré s'amuser avec elle non pas en la manipulant mais en émettant une lumière d'un laser rouge au plafond. Aussi surprenant que cela puisse paraître, l'araignée s'est de suite mise à suivre ce point rouge. Alors que l'internaute bouge son laser à droite et à gauche, l'invertébré le suit comme un chien pourrait le faire. Alors peut-être que la prochaine que vous croiserez le regard d'une de ces aranéides, vous préférerez jouer avec elle plutôt que de l'écraser avec votre chaussure ! Source

Les cavales de serpents en hausse (La Tuque) La Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) est appelée à intervenir de plus en plus pour régler des problèmes avec des serpents. Uniquement depuis le mois de mai, l'organisme a requis les services d'un spécialiste des reptiles pour attraper quatre serpents en libertés ou abandonnés. Plus au nord, la Ville de La Tuque, qui interdit la possession de reptile sur son territoire, a dû vendredi dernier saisir un piton de Birmanie d'une longueur de 12 pieds et d'un poids de 120 livres. «Nous notons une augmentation de ces cas dans la région», note la coordonnatrice de la SPAM, Marilou Durand. La Ville de La Tuque interdit sur son territoire depuis l'an 2000 tout type de reptile. Cela inclut bien sûr les serpents, iguanes, lézards et crocodiles. Or, à la suite d'une plainte anonyme d'un voisin, la Ville n'a eu d'autres choix que d'intervenir auprès de la propriétaire d'un python de 120 livres. Lors de l'arrivée des responsables de la fourrière municipale, l'animal était en liberté dans l'appartement. «C'est une situation vraiment exceptionnelle. Nous ne faisons pas face tous les jours à ce type d'animal», avoue le greffier de la Ville de La Tuque, Jean-Sébastien Poirier. La Ville a demandé la saisie de l'animal et son hébergement à la fourrière municipale. «Nous le gardons jusqu'à ce que la dame trouve une solution», soutient M. Poirier. La propriétaire devra donc trouver un endroit autre que La Tuque pour héberger son serpent. Il n'est toutefois pas question d'euthanasie l'animal. «Nous le gardons le temps que ça prendra», ajoute le greffier municipal. Un piton de Birmanie se nourrit de proie pesant de 15 à 20 livres. En mai dernier, un serpent des blés, une espèce non venimeuse qui pèse trois livres, avait été trouvé dans une poubelle de la rue Sainte-Angèle à Trois-Rivières. Quelques semaines plus tard, deux autres serpents ont été découverts dans un logement vide par le propriétaire de l'immeuble. Une situation similaire a eu lieu à Shawinigan lorsqu'un locataire a laissé son serpent dans son appartement inoccupé. La semaine dernière, le propriétaire d'un boa constrictor de près d'un mètre était à la recherche de son animal. Celui-ci est en liberté dans le secteur de Jonquière à Sagnenay. Source

Un python royal passé en fraude Bâle (Sipa) Les gardes-frontière suisses ont pincé lundi dernier à Bâle un Français de 23 ans qui avait dissimulé un python royal dans ses bagages. Comme il ne disposait pas de l'autorisation nécessaire pour importer cette espèce protégée, le serpent a été saisi. Si les documents ne peuvent pas être fournis par l'intéressé, l'animal sera placé définitivement. Le serpent était roulé en boule dans une boîte en plastique, se trouvant elle-même dans un sac, a précisé mercredi l'Administration fédérale des douanes. Contrôlé à la gare française de Bâle, le fraudeur se rendait dans la cité rhénane avec un train régional français. Le python royal (python regius) est l'un des plus petits pythons africains. Son nom viendrait de l'habitude que la reine Cléopâtre avait de porter ces serpents autour de ses poignets. On l'appelle aussi python boule à cause de sa tendance à s'enrouler lorsqu'il se sent menacé. SIPA fr Source

Un serpent au venin foudroyant et mortel capturé sur un parking près de Montpellier Un serpent exotique, long de 45 centimètres, à la morsure mortelle, a été capturé sur le parking d'un hypermarché de Juvignac, à l'ouest de Montpellier (Hérault). C'est une cliente venant récupérer sa voiture qui a eu la plus grosse frayeur de sa vie, en découvrant ce serpent dit "mucrurus", de couleur rouge, orange et noire, qui vit en forêt amazonienne, au Mexique et en Amérique centrale, et dont la morsure entraîne une mort foudroyante, en raison d'un puissant venin. Selon le Midi Libre qui a rapporté l'information, la police municipale de Juvignac a récupéré le serpent, qui n'a toujours pas été réclamé. Il pourrait s'être s'échappé du domicile d'un collectionneur d'animaux exotiques rares, un amateur de NAC, les "nouveaux animaux de compagnie". Source

L’agglomération ne veut pas du python En entrevue mercredi midi à la radio locale, la propriétaire du python de Birmanie de 120 livres et 12 pieds a fait état de la façon dont elle prenait soin de son «bébé». Elle a aussi mentionné qu’elle voulait voir avec la municipalité de La Bostonnais si elle pouvait y déménager avec son serpent. Pas de chance puisque les municipalités de La Bostonnais et de Lac-Édouard ont déjà donné un avis de motion pour un règlement sur les animaux domestiques. Sujets : La Tuque , Lac-Édouard , La Bostonnais Les deux municipalités s’inspireront du règlement municipal de La Tuque qui indique qu’il est interdit de posséder des reptiles, crocodiles, félins, et autres animaux exotiques. À Lac-Édouard, un avis de motion avait été déjà donné avant cette saga du python au début de l’été. Du côté de La Bostonnais, l’avis de motion a été livré lors de la dernière assemblée mardi soir. Les règlements de La Bostonnais et de Lac-Édouard seront réalisés dans le même sens que celui de La Tuque. C’est donc dire qu’il sera impossible pour quiconque de posséder un tel animal sur tout le territoire de l’agglomération de La Tuque. En entrevue à la radio, la propriétaire du python a indiqué qu’il n’était pas question de faire euthanasier son serpent, et qu’elle ne le donnera pas à un zoo. Selon toute vraisemblance, la dame devra déménager de l’agglomération latuquoise. Source

Il intimide ses rivaux avec des crocodiles Un trafiquant de drogue brésilien répondant au surnom de "Lacoste" élevait deux bébés crocodiles dans une favela de Rio pour torturer ses rivaux. "Il se servait des deux bébés crocodiles pour intimider ses ennemis et les maltraiter tout comme les trafiquants qui n'obéissaient pas à ses ordres", a déclaré à la presse le policier militaire Ivan Blaz, du Bataillon d'opérations spéciales (Bope). Les animaux se trouvaient dans la maison de Wallace de Brito, alias "Lacoste", 25 ans, le chef du trafic de drogue de la favela Morro da Serrinha dans la zone nord de Rio. "Lacoste", qui doit ce surnom pour son penchant pour les crocodiles, animal du logo de la marque française de vêtements, a réussi à prendre la fuite hier lors d'une opération policière destinée à le capturer. La police offre une récompense de 500 dollars pour toute information sur ledit "Lacoste", selon le quotidien O Dia de mercredi. Durant l'opération du Bope, qui a opposé trafiquants et policiers, cinq présumés criminels ont été tués et cinq suspects arrêtés. Onze armes à feu et des munitions ainsi que de la drogue ont également été saisis. Depuis 2008, les autorités de l'Etat de Rio, un des plus violents du pays, ont entrepris de reprendre le contrôle des principales favelas aux mains des trafiquants pour assurer la sécurité de la ville en vue de la Coupe du monde de football de 2014 et des Jeux Olympiques de 2016. Source

Mariage au royaume des tortues Peu banale, la demande adressée par mail, il y a un mois, à Pierre Moisson, le directeur du centre d'élevage et de protection de la tortue, « A Cupulatta », situé à Vero. Un futur visiteur belge, Christophe, demandait s'il était possible d'organiser une demande en mariage au sein du parc, car les deux jeunes gens, prêts à sauter le pas pour prendre carapace commune, sont tous deux passionnés de tortues. Le jeune homme fournit même son message en ces termes : « Elke, wil je met mij trouwen », soit « Elke, veux-tu m'épouser? ». Le scénario proposé était le suivant : lorsque le couple se trouverait devant l'enclos des tortues rayonnées (très curieuses), un animalier lui proposerait de venir avec lui nourrir les tortues dans l'enclos. « Nous avons donc donné à Elke le plateau et lui avons demandé d'aller le poser dans un petit coin « intimiste » de l'enclos. C'est là qu'elle a découvert la banderole de cœurs avec son prénom écrit. Et la pancarte en bois flotté, créée par mon épouse Véronique, avec le message, un stylo doré et 2 cases pour « oui » ou « non ». Sans oublier la légende de sainte Lucie traduite en flamand avec deux yeux de sainte Lucie - ramassés par mes enfants, donc des vrais ! - afin de leur porter bonheur. Une bouteille de champagne, deux flûtes et un assortiment de charcuterie et fromages corses en prime ! ». Christophe a passé la bague de fiançailles au doigt d'Elke. Qui a coché le « oui »... Source

Tunisie : Politique de l’autruche face aux tortues marines Le cadavre d’une tortue de mer égorgée gisant sans son sang, sur le carrelage humide du marché au poisson de la ville de Moknine (gouvernorat de Monastir). C’est l’image choquante, diffusée sur Facebook, par certains internautes tunisiens scandalisés. Pour l’occasion, une page a même été créée en vue de dénoncer ce massacre. Quelques d’utilisateurs du réseau social ont décidé de se mobiliser, en créant la page intitulée Tous contre le massacre des tortues marines en Tunisie. «C'est une espèce protégée, les tortues marines sont en voie d'extinction. Il faut dénoncer ces barbares» lancent les administrateurs de cette page. Afin de faire le plaidoyer de leur cause, ces internautes s’appuient, notamment, sur la réglementation relative à la pêche maritime et aux aires protégées dans les pays participants au projet COPEMED. Il s’agit d’une loi établie suite à une initiative de l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Huit pays méditerranéen l’ont adopté dont la Tunisie. En à peine 24 heures, environ 550 membres ont déjà adhéré à cette cause visant à protéger cette espèce de tortues marines en voie d’extinction. Quelques photos de tortues mortes et parfois décapitées, y figurent. Simultanément, une pétition a été ouverte via le site web petition24.net. Regroupant pour le moment plus de 990 signatures, cette requête appelle à stopper ce massacre qui tue à petit feu le patrimoine maritime tunisien. «70 à 80 % des captures se font dans le golfe de Gabès» relève les auteurs de la pétition. «4000 à 5000 tortues étaient tuées chaque année, en vue de revendre leur viandes dont le prix demeure très élevé, dans les marchés au poissons situés à Gabès, Sfax et quelques villes du Sahel» martèlent-ils. Sur les Iles de Kerkennah, cette pratique semble même être de tradition. Ces tortues géantes y font généralement office d’apéritifs [kémia, en arabe dialectal, NDLR] lors de barbecues bien arrosés. Et voilà qu’un groupe de citoyens tunisiens se mobilise afin de défendre cette espèce en voie de disparition dont la commercialisation se fait en totale contradiction avec les lois en vigueur. Source

En salle aujourd'hui replongez avec Sammy la tortue dans l'Océan Une vague de chaleur frappe toute la France et quoi de mieux que de replonger dans l’Océan avec la suite des aventures de Sammy la petite tortue en salle dès aujourd’hui dans nos salles. Si Sammy a bien grandit dans ce film on retrouve des nouvelles têtes dont une petite tortue et une petite pieuvre. Le voyage extraordinaire de Sammy avait notamment fait parler de lui pour sa 3D. Si bon nombre de films d’animation consacrés aux enfants ne comportent que très peu de jaillissements et projections hors écran (contrairement à toutes les pubs en amont du film dont une pour une célèbre marque de bonbons), Sammy lui est une vrai démo du genre. D’une grande profondeur nos chers bambins seront vraiment projetés au cœur du film sans oublier les tentacules de la pieuvre géante venant nous chatouiller. Ce qui se fait de meilleur en 3D. Certes le scénario est très simpliste et pas des plus originaux, mais en même temps la cible privilégiée du film n’est clairement pas les adultes mais les enfants. Dans cette optique le contrat est rempli et Sammy devrait ravir les plus jeunes. Un peu d’humour, une belle réalisation avec des images de synthèse probantes, une grande fluidité et une multitude de personnages aquatiques, un film 3D réussi pour les plus petits. Pour conclure une petite vidéo avec la réaction des enfants et des doubleurs du film, Fred Testot et Sophia Aram: Source

Effectivement, il est beaucoup plus joli. Je pourrais prendre des nouvelles photos mais depuis que j'ai essayé le nouvel appareil photo de ma blonde, je ne veux plus rien savoir du mien alors

Une couleuvre d’ 1,4 m de long A cette période de l’année, il n’est pas rare de faire des rencontres animales insolites, c’est ce qui est arrivé à ce jusséen lors de travaux effectués sous la toiture de sa maison. Une couleuvre d’1,40m de long se faisait chauffer sous les tuiles. Pas impressionné, notre homme a pris le serpent et nous l’a présenté. Il s’agit certainement d’une espèce dénommée : Hierophis Viridiflavus, facilement reconnaissable à sa couleur verte et jaune. Couleuvre ou vipère ? Chez la couleuvre la pupille est ronde, alors que celle de la vipère est verticale. Les écailles sur le dessus de la tête de la couleuvre sont grandes et peu nombreuses, c’est le contraire chez la vipère. La couleuvre est inoffensive, ce qui n’est pas le cas de la vipère. Elles sifflent toutes les deux, ce soufflement est utilisé pour se débarrasser d’un intrus. Les couleuvres, utiles dans la nature, sont des espèces protégées en aucun cas elles ne doivent être tuées, souvent pour la seule raison d’en avoir peur… Source

Une couleuvre crée la panique à Ruynes-en-Margeride Des automobilistes circulant sur l’A75 ont appelé les secours en panique mardi midi. Une couleuvre s’était glissée dans le rétroviseur de leur voiture. La tête du serpent sortait entre la glace et le montant du rétroviseur. Les automobilistes se sont rendus dans un garage à Ruynes-en-Margeride. Le mécanicien n’a pas réussi à déloger l’animal. Il a fallu l’intervention des pompiers. Source