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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Un animal inoffensif Le boa constrictor imperator qui s’est échappé lundi soir à Bourg-en-Bresse n’est pas dangereux. Il ne se nourrit que de petits animaux, souris, lézards, au mieux de rats et peut rester des semaines sans s’alimenter. Si à sa taille adulte, il peut mesurer jusqu’à 3 mètres, celui-là était avec ses 1,40 m de petite taille, et c’est ce qui lui a permis de s’enfuir par le conduit d’aération de l’appartement. Depuis la loi du 10 août 2004, la détention à son domicile de serpents comme de nombreux NAC – nouveaux animaux de compagnie – peut être soumise à autorisation, via l’obtention d’un certificat de capacité, cela ne semble pas être le cas pour ce serpent. « La loi est assez complexe, tout dépend du nombre d’animaux hébergés, de la race exacte de ce serpent. Là, on sait que c’est un boa, a priori son propriétaire était en règle » estimait hier la préfecture. Source
  2. La planète où les crocodiles sont rois depuis 4 ans “ La planète des crocodiles ” souffle ses quatre bougies. Depuis 2008, le site tient le cap voulu par son directeur : respect des espèces et l’humain. Aujourd'hui, les visiteurs qui passeront les portiques d'entrée de « La planète des Crocodiles » à Civaux ne s'apercevront pas que ce sera un jour anniversaire. Quatre ans, jour pour jour, que cette planète propose un voyage original, sous un dôme en verre, de l'Afrique à la Chine en passant par l'Australie ou la Louisiane. A « l'ombre » des deux mastodontes de béton de la centrale nucléaire, le site abrite neuf espèces de crocodiles, alligators et gavial. Au total plus de 200 crocodiliens s'ébattent très tranquillement dans des eaux rendues claires grâce à la présence de nombreux poissons et sous une végétation à la fois luxuriante, odorante et porteuse de jolis fruits. Préserver un écosystème Aux commandes de ce vaisseau de verre, Thierry Bordat, un passionné qui a su insuffler à son équipe sa volonté de devenir « moteur dans des démarches de développement durable ». « Nous ne prélevons aucun animal dans la nature et notre rôle est de pouvoir les réintégrer. Nous n'introduisons aucun produit chimique pour préserver un " écosystème ". Et par ailleurs, nous privilégions le côté humain en allant à la rencontre des visiteurs tout en travaillant sur la diminution de nos déchets. » Le jetable a été remplacé par le durable puis la récupération, l'utilisation du végétal à des fins divers, les aliments « équitables » ont largement contribué à diminuer les détritus de 6 à 2 containers. Le Dieu égyptien Sobek (à tête de crocodile), dessiné sur les murs d'un mini-temple, y veille quotidiennement. Tout comme Thierry Bordat qui partage entre son temps le monde des crocodiles et celui des serpents à La Trimouille. http://www.planete- crocodiles.com Source
  3. Genève: à la découverte de la seule tortue indigène de Suisse L'ASPO/BirdLife Suisse organise le 11 août une excursion dans la campagne genevoise à la découverte de la seule espèce de tortue indigène. Le public pourra observer la cistude d'Europe en liberté dans son milieu naturel dans la réserve du Moulin-de-Vert. Les participants auront l'occasion d'assister au travail des scientifiques qui capturent ces tortues et étudient leur génétique dans le cadre du suivi de leur population en Suisse. Avec un peu de chance, ils pourront également admirer d'autres reptiles présents au Moulin-de-Vert. Cette visite sera guidée par l'un des spécialistes du KARCH. Ce Centre de coordination pour la protection des amphibiens et des reptiles de Suisse est chargé de la réintroduction de la cistude en Suisse. L'inscription est indispensable, indique L'ASPO/BirdLife Suisse dans un communiqué. Consommées en grande quantité Depuis l'époque romaine au moins, les cistudes ont été consommées en grandes quantités dans toute l'Europe. Faciles à piéger au moyen de nasses, elles ont ainsi fortement diminué jusqu'au début du 20e siècle. Ensuite, c'est surtout la destruction des zones humides qui a donné le coup de grâce aux populations helvétiques. De minuscules effectifs ont subsisté au Tessin, en Argovie (Hallwilersee) et dans la région genevoise. Dans ce dernier canton, une population conséquente d'environ 350 individus est présente dans la réserve du Moulin-de-Vert. Ces animaux proviennent toutefois de lâchers clandestins. Chances de survie Pratiquement disparue de Suisse, la cistude d'Europe a pourtant aujourd'hui de bonnes chances de survie grâce aux projets de réintroduction coordonnés par le KARCH, notamment en Suisse romande. L'ASPO/BirdLife Suisse soutient cette démarche. Son exposition sur la tortue cistude est ainsi encore visible jusqu'au 4 novembre au centre-nature ASPO de La Sauge à Cudrefin (VD). (ats) Source
  4. La tortue servait de potiche: le service du bien-être animal l'a fait retirer Un commerce abritait une tortue et des poissons d'étang pour mettre en valeur son matériel de jardin. Les animaux n'étaient pas maintenus selon les normes. Le service bien-être animal s'est rendu sur place et a exigé le retrait du reptile. À la mi-juillet, une personne signalait à notre rédaction, via notre formulaire Alertez-nous, les conditions de vie, qu'elle ne pouvait imaginer "conforme avec la réglementation en vigueur", d'une tortue et de poissons dans un magasin de la région de Charleroi. Elle nous citait notamment la saleté et l'exiguïté de l'espace, une eau trouble, un manque de lumière. Prévenu par cette même personne, le service Inspection du bien-être animal s'est rendu sur place vers la fin du mois de juillet. Les animaux n'étaient pas mis à la vente mais destinés à mettre en valeur du matériel de jardin. Les inspecteurs ont constaté que la tortue n'était en effet pas détenue dans des conditions correctes. Ils n'ont par contre émis aucun avis sur les conditions de vie des poissons car, comme nous l'a précisé le Dr Bernard du Bien-être animal Wallonie jointe au téléphone, aucune norme n'encadre les poissons d'étang (carpes koï,...) dans les commerces. On peut se demander s'il n'y a pas là une carence législative. Il a été demandé au gérant du magasin de retirer la tortue. L'homme a admis son erreur, reconnaissant sa méconnaissance des normes à respecter. Source
  5. Hors d’atteinte, le boa constrictor dort probablement dans un galandage Bourg-en-Bresse.L’escapade du serpent a provoqué des réactions en cascade à la limite de la psychose. Comment le récupérer ? Et qui du reptile, du propriétaire ou des riverains a le plus peur de l’autre ? Le serpent fascine et terrorise. Il a suffi d’un mot laissé à ses voisins par le propriétaire d’un boa, pour mettre le quartier de la gare de Bourg en émoi. « Suite à un incident, mon serpent inoffensif s’est échappé par un trou dans les conduits de ma salle de bains. Pour information, le serpent n’est pas venimeux. Les pompiers sont intervenus. Pour plus de détails, appelez-moi au… Vérifiez chez vous s’il n’y a pas de trou ». La mise en garde part d’un louable sentiment de prévenance. Le jeune homme de 20 ans aurait-il écrit ces lignes s’il avait su ? L’information s’est répandue comme une traînée de poudre, engendrant des réactions à la limite de la psychose. Une brave dame nous a avertis qu’elle se posterait devant son immeuble de la rue du général Delestraint « pour prévenir les passants ». À reptation de boa, ladite rue se trouve pourtant relativement éloignée de la rue Alphonse-Baudin, d’où a disparu l’animal. Un peu plus proche, une riveraine certifie l’avoir aperçu dans la basilique du Sacré Cœur ! Quant au malheureux propriétaire du reptile de deux ans nommé Astrid, il ne répond plus, harcelé par les coups de fils incessants. « Du délire ! » estime Mathieu Dodard, le patron du bar en bas de l’immeuble. « Heureusement, « ils » (Ndlr : les télés) sont partis et le calme est revenu. Ce que je souhaite c’est que le serpent s’en sorte. Après tout, ce n’est qu’une pauvre bête inoffensive ». Selon le tenancier, « les clients n’ont pas changé leurs habitudes ». Pour les sapeurs-pompiers, l’adjudant Béréziat précise et relativise. « Non, le boa ne se balade pas dans les rues de Bourg ! Il est toujours dans son contexte d’habitation. Il vit habituellement dans un terrarium. Lundi, son propriétaire l’a sorti dans la salle de bains et lui a donné un rat à manger. Il l’a laissé digérer. Mais quand il est allé pour le récupérer, il s’est aperçu que le serpent s’était enfilé dans un trou de maçonnerie, à côté des canalisations ». 40 cm de « constrictor imperator » dépassaient encore du mur. Le jeune homme a bien essayé de tirer dessus pour récupérer le mètre manquant. En vain. L’animal a disparu dans le galandage. Grâce à leur caméra flexible, les pompiers l’ont aperçu et tenté de le récupérer. Le boa s’est faufilé un peu plus dans les doublages. C’est là qu’il se trouve encore, « à moins qu’il ne soit passé sous le plancher » s’interroge l’adjudant Béréziat. Selon les experts de la section « NAC » (nouveaux animaux de compagnie) du Sdis (Service départemental d’incendie et de secours), le serpent dort sans doute du sommeil du juste et ne se réveillera qu’après sa digestion. C’est-à-dire dans deux ou trois semaines ! À ce moment, les spécialistes l’appâteront pour essayer de le faire sortir. Issue aussi incertaine que la réponse à la question principale. Qui, du reptile, du propriétaire ou des riverains a le plus peur de l’autre ? Source
  6. Une espèce rare d’amphibien sans yeux dénichée en Amazonie Rapportée par le DailyMail, la découverte, par les ingénieurs d’un barrage d’Amazonie, de plusieurs animaux étranges et aveugles, ressemblant à des serpents, a permis aux biologistes de préciser l’identité zoologique de ces amphibiens, très rarement aperçu depuis près de 45 ans. C’est en drainant une rivière près d’un barrage hydroélectrique sur le fleuve Madeira, dans le Rondonia, en Amazonie brésilienne, que des ingénieurs ont fait une étrange rencontre. En effet, en novembre 2011, sur le lit asséché du cours d’eau, ils sont tombés nez à nez avec 6 créatures à l'aspect plutôt spécial. Oblongues et d’un mètre de longueur environ, ces spécimens étaient dépourvus d'yeux apparents. Si les biologistes ont été particulièrement surpris au premier abord, de longues recherches ont permis d'identifier l’animal. Il s'agit d'Atretochoana eiselti, un amphibien aperçu seulement de façon sporadique depuis sa découverte en 1968. Mais en dépit de leur ressemblance avec des serpents, ces spécimens ne sont pas des reptiles et ils sont plus étroitement apparentés aux salamandres et aux grenouilles. "Sur les six que nous avons recueillis, un seul est mort, trois ont été relâchés dans la nature et deux autres ont été gardés pour les études", a ainsi détaillé Julian Tupan, biologiste au sein de la compagnie qui gère le barrage. Aujourd'hui, l'animal peu rencontré garde un grand nombre de mystères. Les spécialistes comptent donc bien observer les spécimens pour en apprendre plus sur la fameuse espèce. "Nous pensons que l'animal respire par la peau, et se nourrit probablement de petits poissons et de vers, mais il n'y a toujours rien de prouvé. L'Amazonie est une boîte à surprises quand il s'agit de reptiles et d'amphibiens. Il y a encore beaucoup de choses à découvrir", a encore expliqué le biologiste. Source
  7. Comment venir à bout du champignon tueur de grenouilles ? On estime à l’heure actuelle qu’un tiers des 6260 espèces d’amphibiens connues est menacée ou éteinte. Epargnés lors de l’extinction des dinosaures, les amphibiens -grenouilles, crapauds, salamandres, tritons- sont victimes d’une conjugaison de plusieurs maux, au rang desquels l’activité humaine, les changements climatiques et les maladies. Et chez les amphibiens, les grenouilles sont tout particulièrement victimes d’un champignon microscopique. Du nom de Batrachochytrium dendrobatis, ce « champignon tueur » occasionne des mycoses, provoquant des arrêts cardiaques ou des asphyxies chez ces animaux. Ayant parcouru étangs, mares et ruisseaux, les chercheurs tirent aujourd’hui le signal d’alarme : Les amphibiens n’ont jamais été autant menacés d’extinction. Et les causes de ce déclin rapide sont multiples. Andrew R. Blaustein, spécialiste de ces animaux mi-aquatiques mi-terrestres, a indiqué pour les Annales de l’académie des sciences de New York que « les amphibiens sont touchés par un ensemble de maux qui s’abattent sur eux en même temps et auxquels ils auraient pu faire face en cas d’agression séparée et distincte ». En cause, évidemment, la pollution ou les changements climatiques… mais l’ennemi le plus redoutable des grenouille est le chytride, cette « moisissure des marais » qui décompose la matière organique morte. Les amphibiens sont contaminés lorsqu’ils sont dans l’eau : le champignon (Batrachochytrium dendrobatidis) qui s’y trouve à l’état de spore pénètre dans leur peau, en la rendant épaisse, et finit par y former des zoosporanges, occasionnant par la suite des zoospores. Les grenouilles deviennent ainsi plus sensibles à l’augmentation des ultraviolets en raison du recul de la couche d’ozone. Comme l’a relaté Slate.fr, une biologiste américaine du nom de Karen Lips qui menait un travail d’observation au Panama a témoigné des effets du champignon sue nos petits compagnons verts si prisés dans les livres d’enfants : « Je sortais le matin et voyais les grenouilles assises par terre le long du ruisseau. Elles avaient l’air parfaitement vivantes, comme si elles dormaient. Mais les grenouilles, dont la couleur avait pâli, étaient mortes et toutes rigides. Leur peau souple avait durci comme du cuir séché ». Le site Oregonlive.com qui, en plus du déclin de la population des amphibiens, a observé des cas de malformation chez les grenouilles (certaines, notamment, étant nées avec une cinquième patte) a interrogé le professeur Andrew Blaustein, professeur de zoologie à l’Oregon State University. Pour ce dernier, « le système immunitaire des amphibiens pourrait être attaqué par l’effet conjugué de la présence du champignon tueur de la plus grande sensibilité aux ultraviolets. Et les cas de malformations pourraient être causées par un vers parasite, le trématode, drainé par des escargots ». Le champignon tueur n’a été découvert qu’en 1998, mais semble s’étendre aux points d’eau du monde entier. Pour David Green, directeur du Redpath Museum de l’Université McGill de Montréal, des études plus approfondies devront être menées pour percer cette menace qui plane sur les grenouilles. Source
  8. Max|mum-leterrarium

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    4 jours ne sera pas dramatique si ce n'est pas à chaque semaine comme ça
  9. Un boa s’est échappé en centre-ville et reste introuvable Bourg-en-Bresse. Lundi soir, le reptile s’est évadé de l’appartement de son maître par une conduite d’aération. Mais où donc est passée Astrid ? Depuis lundi soir, le boa constrictor imperator âgé de deux ans a faussé compagnie à son propriétaire, un jeune homme de 20 ans. En rentrant chez eux, les habitants du 20, avenue Alphonse-Baudin, un petit immeuble de quatre étages dans le quartier de la gare, ont retrouvé un petit mot sur leur porte. « J’ai perdu mon boa, il n’est pas venimeux. Vérifiez chez vous s’il n’y a pas de trou… » Un petit message qui se veut rassurant, mais qui n’a toujours rien donné. L’animal, une femelle d’1,40 m que son propriétaire possédait depuis deux ans, s’est échappé de l’appartement en passant par un conduit d’aération de la salle de bains et aujourd’hui, personne ne sait quand et ou il ressortira. Chez lui… Ou ailleurs. En préfecture, on confirme avoir été alerté et on insiste aussi sur le fait que le reptile n’est absolument pas dangereux pour l’homme. À part pour le cœur de celui qui se retrouverait nez à nez avec lui dans sa salle de bains. Il venait de manger un gros rat de 500 grammes. Repu, il est sans doute endormi actuellement, et peut très bien ne pas réapparaître avant plusieurs semaines. Tout a été fait pour le retrouver. Mardi, les policiers, l’adjoint au maire de permanence, Pascal Borgo, les pompiers, dont certains sont formés à attraper ces NAC (nouveaux animaux de compagnie) ont fouillé les appartements de fond en comble et les abords de l’immeuble. Sans résultats. En tous cas, au café-restaurant en bas de l’immeuble, on ne parle plus que de ça. « Quand j’ai vu les policiers dans la montée d’escalier, je leur ai demandé ce qui se passait. Au début ils n’ont pas voulu me le dire, sûrement pour que je ne panique pas. Puis, ils m’ont expliqué qu’ils cherchaient un boa, et qu’il n’y avait pas de danger », raconte Mathieu Dodard, le patron. « Je suis descendu à la cave chercher un fût de bière. Je n’avais pas éclairé. J’ai mis le pied sur quelque chose de mou, j’ai eu une belle trouille, j’ai cru que je lui marchais dessus. C’était un pot de fleur », rigole son père. Bref, en ces temps où il ne se passe pas grand-chose en ville, la disparition d’Astrid fait causer. Source
  10. Max|mum-leterrarium

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    Oui, ça existe! Tu peux aussi tout simplement demander à un ami aussi de le garder
  11. A Beauvoir : Alligator Bay, refuge des reptiles A Beauvoir, près du Mont-Saint-Michel, Alligator Bay donne à voir et fait aimer les reptiles.Il est dans ce domaine le premier parc animalier en France. Toutes les tortues du monde Alligator Bay, à Beauvoir, c'est l'oeuvre, l'univers et la passion de la famille Macé. Depuis 1994, cette famille vit avec et pour les reptiles à qui elle a consacré 10 000 m2. Première étape pour le visiteur : la ferme des tortues. Un parc arboré où vivent plus de 300 tortues terrestres, herbivores ou aquatiques. La plus petite ne pèse que 1 200 g, un poids plume par rapport à sa cousine des Seychelles qui peut atteindre les 150 kg. A la rencontre de Sally Ensuite, plongeon dans le labyrinthe des dragons. Plus de 200 sauriens et ophidiens, une des plus belles collections de lézards et serpents d'Europe : boas, pythons, anacondas et varans. Des varans géants dont le doyen Sally est un mâle qui affiche une belle longueur de 2 m et pèse 70 kg. Qu'il soit de Komodo ou de Malaisie, le varan, qui souffre d'une réputation d'animal féroce, sait se montrer attachant. Dans des espaces aménagés, le visiteur peut les approcher et les admirer. 200 alligators, crocodileset caïmans Direction la serre des alligators. 2 500 m2 qui permettent au visiteur de se glisser dans la peau d'un explorateur. Deux espaces réalistes recomposent des milieux naturels qui abritent près de 200 alligators, crocodiles et caïmans. Un parcours sur des pontons en bois, un mirador d'observation et des tunnels, où petits et grands rampent, permet de s'approcher au plus près des animaux. Frissons assurés. Tous les jours, Alligator Bay doit nourrir tout ce petit et grand monde. Les premiers servis sont les iguanes à 10 h 30 suivis des tortues à 14 h 30. A 15 h 30, c'est au tour des serpents et lézards. Les crocodiles mangent à 11 h 30 et 16 h 30. A comme alligator et albinos Alligator Bay est aussi un centre de reproduction qui participe ainsi à la préservation des espèces menacées. Plus de 200 naissances y ont lieu chaque année. En avril, trois alligators albinos, deux femelles et un mâle venus de Louisiane, sont arrivés à Beauvoir. C'est nouveau et unique en Europe. Le trio s'est bien acclimaté, ils s'entendent bien et sont de moins en moins craintifs avec leurs nourrisseurs. Albinos, ils ne peuvent s'exposer à la lumière tandis que leurs congénères séjournent de longues heures au soleil pour réguler la température de leurs corps. Âgés de 7 ans pour les femelles et de 6 ans pour le mâle, ils sont en âge de se reproduire. Des naissances attendues et espérées par Alligator Bay. Alligator Bay, 62, route du Mont-Saint-Michel, 50170 Beauvoir. Rous les jours de 10 h à 19 h. Adultes : 11,50 €, de 13 à 18 ans : 9,50 €, de 3 à 18 ans : 7,50 €. Tél. 02 33 68 11 18. Source
  12. L’iguane perdu a retrouvé sa maison Samedi, en fin d’après-midi, un iguane avait été capturé par les sapeurs-pompiers de La Tour-du-Pin, alors qu’il gambadait librement dans le chemin des Rives, à Cessieu. Par l’intermédiaire de l’article publié dans notre édition de dimanche, son propriétaire était invité à se manifester auprès de la caserne turripinoise. Ce qui fut fait hier : ce lecteur du Dauphiné Libéré, habitant à Cessieu, a en effet reconnu son animal dans nos colonnes, alors que la bête avait pris la poudre d’escampette depuis près de trois semaines. Il est donc venu le chercher et tout est rentré dans l’ordre. Source
  13. L’araignée sauteuse Maratus et ses spécificités L’araignée sauteuse Maratus est de la famille des Salticidae qui est une famille d’araignées aranéomorphes. Ces araignées sauteuses sont très colorées et les mâles ont une coloration irisée de bleu, vert et rouge. La tête de ces araignées ainsi que les pattes sont généralement de couleur brun foncé à noir avec des rayures rouges, mais l'abdomen verdâtre supérieure est modelée avec des rayures rouges et bleues. Les femelles ainsi que les bébés araignées des deux sexes sont ternes. Une araignée mature reste très minuscule et atteint une longueur qui peut varier entre 4 à 5 mm. Maratus peut être trouvée généralement dans le Queensland et le New South Wales, régions orientales de l’Australie. L'araignée mâle a deux extensions au niveau de l’abdomen qui sont comme des rabats de chaque côté repliés vers le bas. Comme toutes les autres araignées, le Maratus peut détecter sa proie à plus de 20 cm et ses belles couleurs ne lui ont pas valu la nomination d’araignées Paon pour rien. Le Maratus mâle utilise sa belle palette pour attirer les femelles. Il soulève son abdomen à la verticale, élargit ses volets et les affiche comme une belle queue de paon. Il soulève également ses pattes qui ont un pinceau de poils noirs et les extrémités en pointes blanches. En plus de ses pattes surélevées vibrantes et la queue en couleur, l’araignée se met à danser d'un côté à un autre en s'approchant de la femelle. Plusieurs personnes pensent que ces araignées peuvent voler, mais ceci n’est qu’un mythe urbain. Elles utilisent leurs volets pour faciliter le saut et glisser sur de courtes distances dans l’air. Source
  14. Max|mum-leterrarium

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    Tu ne peux pas le faire garder?
  15. Un fossile qui éclaire l’évolution des serpents Publiée dans Nature, l’étude, par des chercheurs américains, des fossiles d’un serpent primitif du Wyoming vieux d’environ 70 Ma, renseigne les biologistes sur l’apparition de certains caractères chez cette lignée, qui a divergé de celle des lézards. "La genèse des Serpentes [le sous-ordre zoologique qui regroupe tous les serpents] a commencé avec l'évolution d'un nouveau moyen de locomotion, suivie par des adaptations facilitant l'ingestion de proies toujours plus grandes, ce qui permet aux serpents d’exploiter un large éventail de niches écologiques", expliquent les chercheurs de l’équipe de Nicholas Longrich, de l'Université Yale (Connecticut). Pour mener leur étude, ces scientifiques ont utilisé des fossiles, provenant du Wyoming, d’un des serpents les plus primitifs jamais trouvés, Coniophis precedens, vivant il y a 65 à 70 millions d'années. Une aubaine, car les fossiles de transition entre la lignée des serpents et celle de leurs cousins les lézards sont rares. D'autant plus qu'on ignore où et comment cette transition s'est réellement produite. D'où l'importance de la découverte des chercheurs américains. En effet, selon leurs observations, l’animal mis au jour aurait vécu dans un environnement de plaines inondables et serait dépourvu d’adaptations à la locomotion aquatique. Autrement dit, ceci suggère que les reptiles "rampants" seraient plutôt d'origine terrestre qu'aquatique. De petite taille, probablement doté de petites pattes, Coniophis possède une colonne vertébrale dont les caractéristiques suggèrent qu'il était fouisseur. Sans avoir les mâchoires ‘désarticulées’ et souples de ses cousins actuels, il devait pouvoir avaler des proies déjà relativement grandes. "Un serpent de transition, la combinaison d'un corps en forme de serpent et d’une tête de lézard", concluent ainsi les scientifiques. Source
  16. Un homme jugé pour avoir nourri l'alligator qui l'a amputé Le capitaine d'un bateau touristique des Everglades, en Floride, avait vu sa main arrachée alors qu'il tentait d'attirer l'animal avec du poisson. Une infraction en Floride. Un capitaine de bateau de la ville d’Everglades City, en Floride, ayant perdu une main dans une attaque d'alligator le mois dernier, a été interpellé et doit être jugé pour avoir nourri de manière "illlégale" la bête qui l’a amputé. Arrêté vendredi, Wallace Weatherholt a en effet été libéré contre le versement d’une caution de 1.000 dollars et comparaitra le 22 août devant un tribunal qui devra déterminer si ce capitaine de navire touristique a oui ou non nourri illégalement l’alligator qui lui a emporté la main. Concrètement, il n’est pas véritablement reproché au capitaine d’avoir alimenté les animaux avec sa propre chair, mais plutôt d’avoir provoqué l’accident en essayant de les attirer avec de la nourriture. En effet, lors des faits, qui se sont produits le 12 juin dernier, Wallace Weatherholt faisait visiter le parc national des Everglades à une famille de touristes. Or, selon les passagers, le capitaine était en tain d’accrocher un poisson sur le côté de son navire lorsqu’un alligator a surgit et lui a arraché la main. Si l’infraction est confirmée, Wallace Weatherholt risque jusqu’à 500 dollars d’amende. L’apparente sévérité de cette procédure s’explique par le danger réel que représentent les alligators dans cette région. Ces animaux ont en effet, par nature, peur de l’homme. En revanche, dès qu’ils sont nourris par un être humain, cette crainte disparait. Source
  17. Pourquoi tuer les animaux qui attaquent des humains? L’idée que l’animal mangeur d’hommes est un totem innocent de la nature et que l’homme est l’intrus qui le paye de sa vie ne résiste pas à l’analyse. Kaleb Langdale, un jeune américain de 17 ans nageait non loin du lac Okeechobee, en Floride, il y a quelques semaines quand un alligator l’a attaqué. L’alligator, qui mesurait plus de trois mètres de long, s’est jeté sur lui pour le dévorer. Kaleb a réagi de la manière qui, bien souvent, fait la différence entre la vie et la mort pour les humains pris pour cible par de grands prédateurs. Il l’a laissé manger un de ses bras, afin de sauvegarder les parties plus vitales de son anatomie et s’est échappé comme il a pu. Le gros alligator lui a donc sectionné le bras au niveau du coude et l’a avalé tandis que Kaleb tentait de revenir à la surface en hurlant «appelez les médecins, j’ai perdu mon bras!» Il a survécu. Vengeance La culture occidentale a un regard particulier sur les animaux qui tuent des êtres humains. La plupart d’entre nous ne passent pas beaucoup de temps en pleine nature et ne tombent que rarement nez à nez avec des animaux sauvages, et notre vision de la nature sauvage est généralement influencée par une combinaison de dessins-animés et de télé-réalité. Notre vision des animaux potentiellement dangereux est grandement influencée par le fait que la plupart des espèces dangereuses pour l’homme sont ou ont été elles-mêmes en voie d’extinction, ce qui tend à nous les faire davantage considérer comme des victimes que comme des agresseurs potentiels. L’alligator d’Amérique, autrefois sur la liste des espèces en danger, est une des plus belles réussites de la loi sur les espèces en danger. Les alligators pullulent à nouveau en Floride et en Louisiane, comme le cerf à queue blanche dans le nord-est. On les trouve en grand nombre le long de la côte du Golfe du Mexique et jusqu’en Caroline du Nord, et même en Virginie. En cette époque de réchauffement climatique, avoir le sang froid est un atout. Comportement humain irréfléchi Lorsque les alligators n’étaient plus très nombreux, les environnementalistes et le gouvernement tentaient de les présenter sous un jour sympathique: mal compris, pourchassés et ne faisant pas réellement peser de menace sur les êtres humains. Il était peut-être nécessaire de construire certains mythes. Les attaques contre les humains ont été souvent «oubliées» quand elles n’étaient pas présentées comme la conséquence des actions des victimes. De fait, un comportement humain irréfléchi est souvent la cause des attaques d’alligators. Environ 35% des attaques d’alligators en Floride touchent des humains ayant délibérément cherché le contact avec ces animaux. Tenter de capturer, de déplacer voire de lutter avec un alligator se termine souvent de manière très violente. Une des dernières victimes de ces grands prédateurs avait décidé de nager dans un canal à 2 heures du matin, en pleine obscurité. Les récits des attaques d’alligators font souvent penser à des épisodes de la série Cops. Mais de nombreuses victimes n’avaient rien à se reprocher. Dans certains endroits, le simple de fait de marcher près de l’eau peut faire de vous une victime des alligators. L’alligator qui a dévoré le bras de Kaleb Langdale a été immédiatement tué par des gardes forestiers. Le bras a été récupéré dans l’estomac de l’animal et ramené à l’hôpital, mais les médecins ont été incapables de le rattacher. La mort de l’alligator a provoqué un torrent de commentaires négatifs sur Internet. En voici un, parmi tant d’autres: «Très bouleversé qu’ils aient tué un alligator qui n’avait qu’un comportement normal et faisaient ce que font les alligators. Le jeune homme a deux jambes – il n’avait qu’a rester sur la terre ferme au lieu de s’aventurer dans le territoire des alligators.» Pourtant, tuer des animaux –même en danger d’extinction– qui attaquent des humains est sans doute un mal nécessaire pour la protection de ces espèces. Le délai est bref qui peut permettre de capturer ou de tuer un animal juste après une attaque. Si les autorités hésitent à intervenir, les habitants ont tendance à prendre les choses en main et quand les habitants se font justice, façon milice d’auto-défense, ils font rarement dans le détail. Après la mort de Steve Irwin, tué par une raie pastenague qui l’avait frappé en plein cœur, des pécheurs furieux se sont mis à massacrer les raies par milliers (soit exactement l’inverse de ce que Steve Irwin aurait voulu). Ces dernières décennies, à chaque fois que des lions attaquent des humains en Afrique, toutes les personnes armées d’un fusil se mettent à tirer à vue sur ces félins. Ils le font parce que ces lions ou ces raies pourraient être l’animal qui a tué. L'exception pas la règle Lorsque le coupable est attrapé et tué, chacun considère que l’affaire est terminée. Le fait de tuer un animal s’étant rendu coupable d’une attaque montre que les animaux mangeurs d’hommes (ou tueurs d’hommes, dans le cas de Steve Irwin) est une exception. Quand un animal tueur peut repartir librement dans la nature, le message adressé au public est celui-ci: «l’animal a agi selon sa nature.» Il est indéniable qu’il est dans la nature des prédateurs de chasser et de tuer. Mais la rareté des attaques contre les hommes est bien la preuve que le fait d’attaquer des humains est l’exception, pas la règle. On recense 225 cas de morsures importantes par des alligators en Floride depuis 1984. Voilà un total relativement faible pour un Etat avec une population d’environ un million d’alligators et de 19 millions d’habitants. Les animaux mangeurs d’hommes ont tendance à transformer un coup d’essai en habitude. Un petit nombre d’animaux sont responsable d’une nombre impressionnant d’attaques. Le célèbre léopard de Panar, dans le Nord de l’Inde, aurait tué et dévoré 410 êtres humains avant que le célèbre chasseur Jill Corbett ne mette un terme à sa carrière en 1910. Au Burundi, un seul crocodile géant aurait mangé près de 300 personnes (ce bilan date de 2008). «Gustave» est sans doute toujours en vie. Un Français, Patrice Faye, a passé près de 15 ans à tenter de l’attraper vivant. Le cas de Gustave est l’illustration parfaite de la méthode consistant à laisser la vie sauve à des animaux tueurs. Malgré le bilan terrifiant de cet animal, Faye et un groupe de biologistes, dont l’herpétologue Brady Barr en passé des années à tenter de capturer l’animal plutôt que de le tuer. Leur objectif était d’œuvrer pour la protection des crocodiles du Nil. Mais comme Barr l’a avoué au National Geographic: «Les gens doivent avoir accès à l’eau, y laver leur linge et y pécher des poissons. Si un croco attaque un villageois, les autres membres de la communauté vont massacrer quelques crocos après l’attaque – assez pour avoir l’impression d’avoir fait quelque chose – et retourneront à leur vie quotidienne.» Combien de crocodiles innocents ont été ainsi tués en réponse aux attaques de Gustave alors que Faye et Barr se baladaient dans les marais avec leurs cages et leurs pièges au lieu de le tuer? Tout ceci n’avait rien de bon, ni pour les crocodiles, ni pour les humains. Des performances répétées sont typiques de certains animaux mangeurs d’hommes. Les ours, les lions, les tigres, les léopards, les alligators, les crocodiles et les couguars. Peut-être même les requins, si l’on considère que les attaques de requins de 1916, qui ont inspiré le film «Les dents de la mer» sont effectivement dues à un seul requin. Mais l’animal mangeur d’hommes est exceptionnel. Il n’est pas un prédateur normal. L’idée que l’animal mangeur d’hommes et un totem innocent de la nature et que l’homme est l’intrus qui paie son ingérence de sa vie ne résiste pas à l’analyse. A moins que les espèces soient à tel point en danger que la diversité génétique soit mise en péril, nous n’avons aucun intérêt à ce qu’un Gustave demeure en vie. Les conséquences de l’existence d’un animal mangeur d’hommes en liberté, qu’il s’agisse de l’ours qui dévora Timothy Treadwell ou l’alligator qui a arraché le bras de Kaleb Langdale sont terribles. Jackson Landers Traduit par Antoine Bourguilleau Source
  18. Cessieu: On recherche le propriétaire d'un iguane trouvé Personne n'est encore venu réclamer l'iguane découvert samedi à Cessieu. Pour l'instant, il est chouchouté par les pompiers qui attendent le feu vert de la Direction Départementale de la Protection Civile pour le rendre à son propriétaire s'il se manifeste ! (source radio isa) Source
  19. Sauvetage in extremis de Sophie OREDE La plus imposante des tortues sur terre porte le nom de "géante des Seychelles" et ne survit plus que sur l'atoll d'Aldabra dans ledit archipel. Cette espèce est la dernière tortue géante de l'océan Indien. Dans ce sens, l'atoll a été désigné récemment comme World Heritage Site et est en permanence surveillé par une équipe de biologistes. Cette protection accrue et la restriction du commerce relatif aux chéloniens ont limité l'accès à ces animaux et ont conduit le gouvernement des Seychelles à proposer l'accès de l'atoll à de petits groupes de touristes seulement afin de préserver au maximum la survie de l'espèce. Pourtant, l'une des femelles née là-bas n'a pas toujours coulé des jours heureux… dans l'Hexagone ! Sa survie aujourd'hui elle la doit à l'équipe de la Vallée des tortues. Récit du sauvetage de la tortue Sophie par Sarah Monteillet, animalière. Une carapace irrémédiablement déformée Cette dernière revient sur le sujet avec émotion : "Sophie, petite femelle tortue des Seychelles de 40 ans est née comme les autres membres de son espèce sur l'atoll d'Aldabra, dans une population sauvage de tortues éléphantines. Un jour Mme Vuillemin, auteur de nombreux ouvrages sur les chéloniens, décide de la ramener en France comme animal de compagnie. L'animal effectue alors un trajet en avion, et atterrit à Paris, où pendant 23 ans il séjourna dans la cuisine d'un appartement. Sophie était principalement nourrie de riz, de pâtes, de pain, de viande, alors qu'une tortue terrestre est principalement herbivore. Victime de carences alimentaires, Sophie voit se déformer de façon irrémédiable sa carapace. Celle-ci ne forme pas un dôme bombé mais semble plutôt écrasée. En vivant pendant longtemps sur un sol lisse et plat, la tortue a fini par perdre l'habitude de marcher, et les muscles de ses pattes avant et arrière se sont atrophiés. Arrivée en 2006 à la Vallée des tortues, Sophie ne savait plus du tout marcher : elle rampait. Depuis, au parc, elle a fait sa rééducation, et ne parvient que depuis quelque temps à se déplacer toute seule. Malheureusement elle conserve toujours une certaine raideur au niveau des membres. Comment Sophie est venue se faire soigner au sein de notre parc ? Tout simplement car sur son testament Madame Vuillemin avait spécifié que la petite tortue rejoigne spécifiquement la Vallée des tortues et aucun autre parc". Source
  20. Collecte d'information sur les tortues CHIBOUGAMAU, QC, le 30 juill. 2012 /CNW Telbec/ - Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) invite la population de la Jamésie à lui communiquer toute observation actuelle et antérieure de tortues pour des fins de recherche visant à documenter la présence de tortues sur le territoire du Nord-du-Québec. Ces observations doivent contenir une description physique de l'animal ou une photographie ainsi que des détails sur le lieu d'observation (préférablement les coordonnées géographiques). De plus, le nombre d'individus observés, la date, l'heure ou la période de la journée, le type d'habitat et les coordonnées de l'observateur doivent accompagner la mention d'observation. Rappelons que plusieurs espèces de tortues présentes au Québec sont en situation précaire. La première étape pour sauvegarder ces populations animales consiste en une meilleure connaissance de la répartition et de l'abondance des espèces visées. Les espèces susceptibles d'être présentes sur le territoire du Nord-du-Québec sont : la tortue serpentine (Chelydra serpentina), la tortue peinte (Chrysemys picta), la tortue des bois (Glyptemys insculpta) et la tortue mouchetée (Emydoidea blandingii). Ces tortues peuvent se trouver dans une grande variété de milieux aquatiques. Elles aiment particulièrement prendre des bains de soleil sur des roches ou des souches qui émergent de l'eau. Au printemps, il peut arriver qu'une observation soit faite en forêt lors de la migration des individus de leur site d'hibernation à leur site estival de reproduction et de ponte. Les sites privilégiés pour la ponte sont les endroits sablonneux et dépourvus de végétation. Pour obtenir de plus amples renseignements ou des fiches d'observation, veuillez communiquer avec Mme Marie-Mélissa Kalamaras, biologiste, soit par téléphone au 418-748-7701, poste 252, ou par courriel à l'adresse Marie-Melissa.Kalamaras@mrnf.gouv.qc.ca. Source : Lydie Brouillette Conseillère en communication Direction générale du Nord-du-Québec Ministère des Ressources naturelles et de la Faune Tél. : 819 755-4838, poste 400 Information : Marie-Mélissa Kalamaras Biologiste Direction générale du Nord-du-Québec Ministère des Ressources naturelles et de la Faune Tél. : 418 748-7701, poste 252 Source
  21. La tortue olivâtre Populations et menaces Espèce vulnérable selon le livre rouge de l’UICN, son statut est préoccupant dans l’océan Atlantique. D’importantes captures accidentelles par les crevettiers et autres chalutiers industriels pourraient expliquer les très fortes chutes de populations. Leur petite taille et leur faible poids font des femelles des tortues faciles à capturer sur une plage. L’exploitation dramatique des œufs est cause d’un impact certain sur le renouvellement des générations. Répartition et biotope L’espèce présente une distribution exclusivement tropicale, du 34°S jusque vers le 21°N dans l’Atlantique. Elle aime fréquenter les estuaires riches en sédiments et en invertébrés. Elle pond habituellement de nuit sur les plages continentales, plus rarement en milieu insulaire, sauf en Afrique. Ses sites majeurs sont trouvés dans l’archipel des Bijagos, sur les îles de Bioko et São Tomé, au sud Gabon, au Congo, en Angola (y compris Cabinda) et les sites mineurs en Sierra Leone, au Libéria, en Côte d’Ivoire, au Ghana, Cameroun, sur la partie continentale de la Guinée équatoriale. En Afrique orientale, les sites majeurs sont au Mozambique. Biologie Son régime alimentaire est très opportuniste, composé de petits poissons, de crabes, de gastéropodes, de crevettes, de méduses et d’autres invertébrés marins. La maturité sexuelle est probablement vers 7-9 ans. L’espèce est assez fidèle à un site de ponte. Le cycle reproductif est annuel, avec un ou deux nids par saison et 50 à 170 œufs par ponte. Description La tortue olivâtre, Lepidochelys olivacea, mesure de 63 cm à 75 cm pour un poids variant de 36 à 50 kg. Le nouveau-né mesure en moyenne 4,3 cm pour un poids de 19 g. Sa dossière est souvent plus large que longue. Ses plaques sont juxtaposées, souvent desquamées. Le polymorphisme de l’écaillure de la dossière est typique de cette espèce avec de cinq à dix costales de chaque côté, très souvent asymétriques, et un nombre de vertébrales pouvant varier de quatre à neuf. Sa tête est de taille moyenne, subtriangulaire en vue dorsale. Les membres antérieurs sont courts avec généralement une seule griffe visible à chaque patte antérieure chez l’adulte. Chaque membre postérieur présente deux griffes. Sa dossière est de couleur vert olive terne à ocre brun, jaune pâle à crème verdâtre sur les côtés de la tête, les parties molles, les pattes et sur la face ventrale. Les becs sont lisses de couleur jaune. Auteur : Jacques Frétey pour le Manuel des aires protégées d’Afrique francophone (extrait) Source
  22. Luth, une tortue géante au muséum Cet été, La Provence vous emmène dans la réserve du muséum d'histoire naturelle. Là, dans ce quartier excentré de la ville, et cachés aux yeux du public, reposent de vrais petits bijoux. Première invitée de cette chronique Elle est arrivée en toute discrétion. Pourtant, ses mensurations ne passent pas a prioriinaperçues... La plus grosse tortue marine au monde a pris ses quartiers à la réserve du muséum d'histoire naturelle d'Aix. Son petit nom ? Dermochelys coriacea, ou, pour les intimes, tortue Luth. Soit une demoiselle d'1,65 mètre pour à peu près 300 kg. En août 2010 , cet immense reptile tâcheté de blanc, avait été retrouvé mort dans les filets d'un pêcheur de Marseille. Une découverte qui avait défrayé la chronique, tant il est rare de trouver ce spécimen dans les eaux méditerranéennes. En général, ces tortues géantes fréquentent plutôt les océans. Elles longent notamment les côtes d'Amérique centrale. Une espèce de tortue sans écailles pouvant aller jusqu'à 800kg Si à la naissance, elles tiennent à peine dans la paume de la main, elles peuvent atteindre, adultes, jusqu'à 800 kg . La particularité de Luth ? Elle n'a pas d'écailles. Mais la tortue possède une peau aussi dure qu'une cuirasse. Elle se nourrit, entre autres, d'algues et de méduses... En Méditerranée, ces dernières envahissent nos côtes. Ainsi, certaines tortues Luth s'éloignent de leur trajet habituel pour trouver de la nourriture ... C'est peut-être le cas de notre malheureuse. À la suite de la découverte de son corps, une autopsie avait été réalisée au muséum d'histoire naturelle. Un examen qui n'avait pas permis, alors, de comprendre exactement les circonstances de la mort de l'animal. Ce dernier a sans doute péri asphyxié entre les mailles du filet du pêcheur. Gravement menacée, la tortue Luth figure sur la liste de l'Union internationale des espèces en voie de disparition. Pour l'heure, sa carcasse est conservée dans le frigo de la réserve. Et son moulage y est arrivé le mois dernier. Dès que l'occasion se présentera, les visiteurs pourront contempler cette majestueuse tortue Luth. Espérons, le plus vite possible... Le Muséum d'histoire naturelle est ouvert tous les jours de 10h à 12h et de 13h à 17h. Il est installé dans l'Hôtel Boyer d'Eguilles, 6, rue Espariat à Aix. Source
  23. Bangladesh : les gardes-frontières ont arraché les tortues des mains de contrebandiers Les gardes-frontières au Bangladesh ont arrêté plus d'un millier de tortues vivantes, qui tentaient de faire sortir clandestinement de l'Inde. Deux malfaiteurs sur une moto ont essayé de faire passer les animaux à travers la frontière dans un sac, mais ils l'a jeté en tentative d’être arrêtés. Selon les experts, les contrebandiers se dirigeaient en Asie du Sud, où les tortues sont très populaires comme des animaux de compagnie et utilisées à des fins médicales. Les écologistes disent que le Bangladesh est devenu un point de transit de plus en plus populaire pour le transport illégal d'animaux. Source
  24. Max|mum-leterrarium

    Besoin d'aide!! svp

    Tu peux tout simplement refaire un couvercle aussi non?
  25. Max|mum-leterrarium

    Besoin d'aide!! svp

    Je me trompe ou il semble avoir possibilité de fuite par le haut?
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