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Encore un crocodile dans une rivière au centre-ville de Shanghai ! Un crocodile a été identifié par des passants le 6 août dans une rivière près de Gaoqing Lu à Pudong, à Shanghai. Il a été capturé 2 heures plus tard et transporté dans une station forestière. « L'animal faisait environ 1 mètre de long et flottait sur l'eau avec sa tête partiellement exposée comme un morceau de bois pourri » explique M. Wang, qui habite aux environs de la rivière. Il semblerait que ce soit la troisième fois qu'on trouve un crocodile dans cette rivière qui traverse les quartiers résidentiels. Des habitants supposent que ces reptiles pourraient être des animaux de compagnie, les autres croient plutôt qu'ils se sont probablement échappés d'un restaurent proche. D'où qu'ils proviennent, ces crocodiles découverts en plein cœur de la ville ont déjà plus ou moins paniqué les gens. La police est train d'essayer d'identifier la provenance des animaux. Source

Pourquoi les serpents muent Les écailles sont produites par la peau des reptiles, comme les plumes par celle des oiseaux. Les écailles du serpent, qui protègent son corps, sont soudées les unes aux autres. Pour grandir, l’animal doit changer cette enveloppe d’écailles trop petite.... Source

les 10 animaux les plus dangereux pour l'homme Alors que l'on parle beaucoup ces dernières semaines d'attaques mortelles de squales, ces derniers sont-ils réellement les animaux les plus dangereux pour l'homme ? Surprise à la tête du classement : la palme de l'animal le plus dangereux pour l'homme revient au... moustique ! Oui, à ce petit être insignifiant qu'on se plaît tant à écraser l'été ! Il faut dire que le moustique véhicule tout un tas de maladies dont on se passerait bien : chikungunya, fièvre jaune, dengue... Sans oublier le paludisme, qui tue une personne toutes les trente secondes à travers le monde. Résultat, chaque année, le moustique est responsable de 2 à 3 millions de décès. C'est sûr, on ne verra plus jamais cette petite chose de la même façon ! En deuxième position, ça ne pique plus mais ça mord : le serpent. Bon, là encore, c'est une histoire de venin. Mais il faut le savoir : le serpent attaque rarement gratuitement. Généralement non volontaire, la morsure est en effet un réflexe d'auto-défense dû à la peur ou la surprise. Résultat : plus de 100 000 décès par an. de nombreuses surprises, donc. 5000 victimes tous les ans : tel est le triste palmarès du tant redouté scorpion, qui arrive en troisième position. D'après les statistiques, plus d'un million de personnes sont piquées tous les ans. L'action du venin, tout comme les méduses, est très rapide. Et fait beaucoup de victimes chez les personnes âgées et vulnérables. Les scorpions les plus dangereux se trouvent au Sahara Sans surprise, le crocodile arrive à la quatrième position, avec environ 2000 victimes tous les ans. Donc ne vous amusez pas à jouer les "Crocodile Dundee"; Si vous voulez survivre, une seule solution : parvenir à lui fermer sa gueule. D'une simplicité enfantine, surtout dans l'eau, cela va de soit. Sur la terre ferme, il vous reste la possibilité de vous mettre en hauteur. Mais soyez prévenus : le crocodile est un animal très patient. En 2007, un Australien a ainsi passé une semaine entière perché sur un arbre pour échapper à un crocodile. A la cinquième position du classement, l'éléphant, qui tue plus de 600 personnes tous les ans. Un nombre à priori surprenant, mais imaginez-le en train de vous charger, avec ses six tonnes. C'est sûr, on fait moins les malins, là. Un conseil de guide, évidemment impossible à suivre : restez calme. Elle vous fait peur surtout pour ses piqûres, alors qu'elle est tout de même responsable de plus de 400 décès tous les ans. L'abeille apparaît à la sixième position de ce classement. Et pour cause : pour les personnes fragiles ou allergiques, son venin peut être mortel. On est loin de la gentille maya l'abeille, donc. Oh que c'est mignon... En photo ! Lions, tigres, panthères et autres grand félins occupent la septième place de ce classement. Chaque année, plus de 250 personnes sont ainsi tués par des Simba en puissance. Et face à la raréfaction de leurs proies, ces derniers n'hésitent plus à s'attaquer à l'homme. D'autant qu'ils en aiment la chair. Prudence en safari, donc. Les guides donnent toujours deux consignes : en cas de rencontre inopinée, évitez de leur tourner le dos ou de les regarder dans les yeux. Euh... on fait quoi du coup alors ? Un hippo ? C'est rigolo, pensez-vous ! Mais que nenni ! L'hippopotame est en effet un redoutable animal, responsable de 200 morts environ par an. Il pose souvent la gueule ouverte sur les photos, donnant l'impression de bâiller ? Mais en réalité, il vous attaque oui ! Car cette espèce de grosse vache marine, bien qu'elle soit herbivore, n'hésite pas à attaquer si vous pénétrez sur son territoire. Et ses canines font en général 50 cm de long. Et une fois sur la terre ferme, l'hippopotame est capable de charger à 45 km/h. Soit beaucoup plus vite que l'homme C'est bien connu, personne n'aime les méduses : transparentes et visqueuses, on les voit rarement arriver. Mais c'est surtout beaucoup plus dangereux qu'on pourrait bien le croire. Les méduses, et en particulier les "cuboméduses" (plus communément appelés "guêpes de mer") qu'on trouve principalement dans l'océan Indien, sont responsables d'environ 100 décès tous les ans. Rassurez-vous : la mort est très rapide. Contre toute attente, c'est le requin qui termine à la dixième position des animaux les plus dangereux pour l'homme. On dénombre en effet "seulement" 30 à 80 attaques mortelles de squales tous les ans. Ces dernières passent toutefois rarement inaperçues et sont deux fois plus nombreuses aujourd'hui que dans les années 80. A la Réunion, où les attaques se multiplient ces dernières semaines, les requins bouledogues et tigres sont dans le collimateur des autorités. Source

Espèce en voie de disparition, la tortue marine se vend au marché de Moknine ? Aussi inattendu que grave, le phénomène de la capture de la tortue de mer qu’on massacre et propose à la consommation suscite pour le moins l’indignation. C’est le site « Mramdhen » qui a diffusé l’information avec photo à l’appui, faisant état du commerce dans plusieurs régions de cette espèce animale maritime. Il semblerait que ce phénomène ne soit pas récent et qu’il daterait depuis le 14 janvier 2011. Le kilo de la tortue marine se vend à huit dinars le kilo, croyons-nous savoir. Est-il besoin de préciser que cette espèce animale est protégée par des conventions internationales (comme le protocole de la convention de Barcelone) que la Tunisie a signées en juin 1995. La photo diffusée sur les réseaux sociaux et relayée par le site « Mramdhen » serait celle du marché municipal de la ville sahélienne de Moknine. La chair de la tortue de mer se vend don au su et au vu des autorités qui ne réagissent pas. Ceci est d’autant plus étonnant que la capture de ces espèces rares, importantes pour l’équilibre de l’écosystème, constitue un délit passible d’une peine de six mois de prison et d’une amende de huit cents dinars, si l’on en croit le même site. Source

Des bébés tortues en perdition Désorientées bien souvent par l'éclairage public, les nouveaux-nées n'arrivent pas à retrouver le chemin de la mer. Un scénario qui se répète à chaque éclosion comme ce fut le cas dans la nuit de lundi au quartier Fond Bernier à Schoelcher. Attirées par l’éclairage public, elles sont nombreuses ces nouveaux-nées à prendre le chemin des terres au lieu de rejoindre leur milieu naturel : la mer. Désorientées, ces petites tortues s’exposent à multiples dangers, les prédateurs d’abord mais aussi des embûches et des pièges… Dans un élan de bonne volonté et de compassion face à ces nourrissons, les riverains sont tentés d’intervenir. Tel a été le cas ce soir-là à Fond Bernier, une vingtaine de tortues égarées ou pris au piège des filets jonchaient à même le sol . Elles ont été prises en charge par des habitants du quartier. Un réflexe qui part d’un bon sentiment mais un comportement contraire à la législation. En effet, les tortues marines sont une espèce protégée et ne doivent être en aucun cas manipulé. La règle est stricte : quelle que soit l’urgence de la situation, appelez le Réseau Tortue Marine 0696 23 42 35 / 0596 71 94 36 et alertez le Service de police Mixte de L’Environnement 0596 70 41 42. Pour mémoire, toute atteinte à la préservation des tortues marines est un délit passible d’une amande de 15000€ et d’un an de prison. Source

Le palmarès des animaux tueurs 1- Le moustique Plus de deux millions de personnes meurent chaque année à cause des maladies transmises par le moustique. Le paludisme tue une personne toutes les 30 secondes. 2- Le serpent Le reptile est la cause de 100 000 décès par an. 3- Le scorpion Il tue 5000 personnes chaque année. Les enfants et les personnes âgées sont les plus exposées. 4- Le crocodile Plus de 2 000 personnes trouveraient la mort sous les morsures du crocodile. 5- L’éléphant Il tue 500personnes par an. 6- L’abeille Sa piqûre n’est en soi pas mortelle. Mais certaines personnes sont allergiques et son venin serait fatal pour 400 d’entre elles. 7- Le lion Plus de 250 personnes trouveraient la mort à cause du « roi de la jungle ». 8- L’hippopotame Avec ses canines de 50 centimètres, il ferait plus de 200 victimes par an. 9- La méduse Les méduses provoquent la mort de cent baigneurs chaque année. 10- Le requin Il tue dix fois moins que les méduses. Source

Découverte d'un reptile marin de 180 millions d'années dans le Rhône SCIENCES - C'est une première en France. Une équipe de paléontologues français, anglais et estoniens a découvert le fossile d'un ichtyosaure, un reptile marin de 180 millions d'années, en parfait état de conservation, dans une carrière de calcaire du Beaujolais. Cette trouvaille est le résultat d'une fouille organisée chaque année dans cette carrière exploitée par le cimentier Lafarge et située à une trentaine de kilomètres de Lyon, au milieu d'une ancienne exploitation viticole. Exposition prévue en 2014 L'ichtyosaure, qui mesure trois mètres de long, est enroulé sur lui-même. Il est aujourd'hui prisonnier d'un nodule, sphère minérale d'une demi-tonne qui a assuré sa parfaite conservation pendant 180 millions d'années. Ce nodule a pu être détaché de la carrière avec l'aide du cimentier. Le public devrait profiter de cette découverte scientifique. Le futur musée des Confluences, à Lyon, qui finance la campagne de fouilles, devient en effet propriétaire de l'ichthyosaure, qui pourrait être exposé à l'ouverture du musée, au printemps 2014. Source

Projet de plan national d'actions en faveur du Lézard ocellé Dans le cadre de l’application des directives européennes « Habitats » et « Oiseaux » qui fixent des exigences de bon état de conservation des espèces d’intérêt communautaire, la protection des espèces menacées d’extinction (dont le classement est assuré par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature) est une priorité. En parallèle des mesures de protections strictes visant la non-dégradation des populations et des habitats de ces espèces (art L 411-1 du Code de l’Environnement), des Plans Nationaux d’Actions (ou plans de restauration) visant les espèces les plus menacées (ainsi que d’autres espèces d’intérêt particulier) ont été mis en œuvre en France depuis 1996. Les Plans Nationaux d’Actions visent à organiser un suivi cohérent des populations de l’espèce ou des espèces concernées, à mettre en œuvre des actions coordonnées favorables à la restauration de ces espèces ou de leurs habitats, à informer les acteurs concernés et le public et à faciliter l’intégration de la protection de ces espèces dans les activités humaines et dans les politiques publiques. Dans certains cas, lorsque les effectifs sont devenus trop faibles, des opérations de renforcement ou de réintroduction de populations s’avèrent nécessaires et sont prévues dans le cadre des plans nationaux d’actions. Le Lézard ocellé Timon lepidus est le plus grand lézard français. Cette espèce est caractéristique des milieux ouverts méditerranéens du sud-ouest de l’Europe. En France, on le rencontre dans l’aire bioclimatique méditerranéenne, sur les Causses lotois et sur la côte atlantique du bassin aquitain. Cette espèce est actuellement menacée, tant à l’échelle de la France que de l’Europe. Les causes de ce déclin sont nombreuses : perte et fermeture des habitats qui lui sont favorables, déclin du lapin de garenne dont il utilise les terriers, urbanisation et aménagements... Le projet de PNA en faveur du Lézard ocellé comporte trois aspects : 1.un état des lieux de la connaissance sur cette espèce et sur ses habitats, 2.la stratégie de conservation à long terme de cette espèce, 3.la liste des actions de connaissance, de communication et de sensibilisation ou de protection réglementaire envisagées. Chaque plan fait l’objet d’un comité de pilotage qui comprend l’ensemble des acteurs concernés par ces espèces, leurs habitats et les activités anthropiques qui les impactent. Le plan a une durée de 5 ans. Source

Ce serpent n'en est pas un ! Récemment, Francesca a eu l'idée de préparer un cake en forme de python jaune, en compétition avec sa fille. Et cette Britannique est visiblement douée puisque son oeuvre ressemble à s'y méprendre à une reptile. En regardant ces photos, il est facile de croire qu'il s'agit d'un serpent. Et bien vous avez tord ! Rapportés par le site MSN, ces clichés montrent en réalité un gâteau des plus savoureux. C'est Francesca, une jeune Britannique, qui a eu l'idée ingénieuse de réaliser un cake en forme de serpent. Plus exactement en forme de python, de couleur jaune. Pour sa fille, elle a ainsi concocté un cake ressemblant à un serpent en utilisant de la génoise. Selon nos confrères de Gizmodo, visiblement inspirés par cette oeuvre culinaire, le tout serait recouvert d'un glaçage et d'un "usage minutieux de colorants alimentaires". Ils pensent également y voir de la pâte d'amande. Quoi qu'il en soit, ce SnakeCake semble avoir été du goût des invités puisqu'une grande partie du reptile a été dévoré ! Source

Une tortue sauvée des eaux polluées de la Papeava Sauvetage insolite, hier après-midi, dans la Papeava, à Papeete. Une rivière certes polluée depuis de longues années, mais une équipe de techniciennes de surface de la société Aquanet a fait une découverte des plus surprenantes, alors qu’elle intervenait sur un chantier proche de la rivière. Une tortue nageait dans le lit du cours d’eau avec des poissons et une des employées n’a pas hésité à descendre pour récupérer l’animal toujours vivant et le mettre dans un seau d’eau. “Il s’agit d’une tortue de Floride Trachemys Scripta”, a confirmé, hier, à La Dépêche, Olivier Betremieux, vétérinaire à la clinique Fariipiti Iti de Mahina, et spécialiste des reptiles : “Il s’agit d’une espèce invasive qui représente un danger pour la faune locale d’eau douce. Il ne faut jamais remettre ces tortues en pleine nature…” Source

Des médecins retirent une araignée logée dans l’oreille d’une femme Une femme qui se plaignait de démangeaisons sur le côté gauche de la tête a appris des médecins de l'Hôpital de Changsha en Chine que l’irritation provenait d’une araignée logée à l'intérieur de son oreille depuis cinq jours. Les médecins ont utilisé une solution saline pour asperger l'araignée et l’expulser de l’oreille avant que celle-ci ne s’enfonce plus profondément dans le canal ou ne la morde. La technique a été fructueuse et la femme s’est effondrée en larme en apprenant que l'araignée avait été retirée. Les médecins pensent que l'araignée s’est introduite chez cette femme alors que sa maison était en rénovation et qu’elle se serait glissée dans son oreille pendant qu'elle dormait. Un article publié par CNN indique que les araignées et d’autres insectes apparaissent en très grand nombre cet été en raison de la canicule qui s’abat sur de nombreuses régions du globe. Jim Fredericks, un entomologiste de la National Pest Management Association, explique que "les insectes ont le sang-froid et en ces temps de chaleur extrême, ils se reproduisent beaucoup plus rapidement, ce qui se traduit par une présence accrue comparée aux étés précédents". Source: yahoo.fr Source

Une femme mordue par une vipère dans sa propre cuisine à Takhmaret Le nombre impressionnant de reptiles constaté dans la localité d’El Melaàb, à quelques 9 km du chef lieu de la commune de Takhmaret, n’a suscité aucun intérêt ni a attiré aucune intention et quoique le nombre de vipères est en perpétuelle prolifération, aucune escale de réflexion n’a été signalé. Les morsures de serpents toutes catégories confondues sont fréquentes dans cette localité mais aucun cas mortel n’a été signalé. En effet, le 7 aout 2012, aux environs de 21 h, une femme mariée et âgée de 30 ans, résidante à El Melaàb a été mordue par une vipère très dangereuse, le temps où elle s’apprêtait à rejoindre sa chambre et en allumant les feux de la cuisine, la victime a pu voir le serpent qui a pris une autre destination et quelques secondes après, elle s’est prise d’un malaise suite aux douleurs de la morsure. Elle a été admise à la polyclinique de Takhemaret où elle a reçu les premiers soins pour rejoindre le domicile familial. Aek Berrebiha Jeudi 9 Août 2012 INFO OUEST Source

Trafic de tortues malgaches Beaucoup de trafic, peu d'arrestation - Cinq espèces de tortue sont menacées de disparaître. Le nombre de personnes arrêtées ne semble pourtant pas proportionnel à l'ampleur du trafic. «En octobre 2011, six personnes ont été emprisonnées dans le district de Belo sur Tsiribihina pour trafic de tortues. Au mois de mars, la police a arrêté trois personnes, dont deux dans la capitale. Et ce mois-ci, une personne a été prise en possession illégale de tortues », a relaté Herilala Randriamahazo, responsable de Turtle survival alliance, hier, à Nanisana. C'était en marge de la présentation du Plan et stratégie de conservation de tortues à Madagascar. À entendre ce responsable, ces arrestations ne sont que le sommet de l'iceberg. « Sur ces quelques personnes arrêtées, au moins une centaine sont impliquées dans le trafic de 60 000 individus par an. Faute de moyen, pourtant, notamment le manque d'effectif des forces de l'ordre, beaucoup de braconniers et de trafiquants arrivent toujours à s'échapper des mailles du filet », explique-t-il. Mais l'adversaire semble plus ailleurs que parmi les petits trafiquants locaux. La tortue radiée, ou Astrochelys radiata, et la tortue araignée, Pyxis arachnoides, espèces endémiques du Sud et du Sud-Est, profitent aux marchés noirs où « elles sont vendues à environ 4 800 dollars l'unité, pour les tortues radiées », stipule le rapport sur le commerce des reptiles et des amphibiens malgaches en Thaïlande, inscrit à l'annexe I de la convention sur le Commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES). Démantèlement Afin de réduire les dégâts causés par les trafiquants, la stratégie nationale insiste sur trois points. « Que les tortues ne sortent pas de leurs habitats naturels. Leur détention contribue à la survie de l'espèce. Et les lâchers de tortues en milieu naturel se font dans les normes », souligne-t-elle. Une tentative de démantèlement de réseau de trafic est également en cours. « Trois dossiers sont entre les mains du tribunal, aujourd'hui, pour remonter jusqu'aux sources de ce trafic », conclut Herilala Randriamahazo. Par Vonjy Radasimalala L'Express de Madagascar/09/08/2012 Source

Idéalement oui et faire bien sécher et évaporer avant d'utiliser.

Je te conseillerais une espèce d'Uromastyx ou un Chuckwalla. Par le fait même, bienvenue sur le forum Sarah.

Je te souhaite bonne chance

Le nom commun est tiger legs

Je pensais que tu t'étais rendu compte que ce n'était pas la bonne semaine pour aguicher ta blonde

Galapagos : la mort de la tortue "Lonesome George" enfin élucidée En juin dernier, la tortue "Lonesome George" a trouvé la mort de manière inattendue, une centaine d'année avant l'âge requis. Pourtant, il semblerait bien qu'elle soit décédée naturellement, emportant avec elle tout espoir de voir perdurer son espèce. C'était en juin dernier : la fameuse tortue géante "Lonesome George", nommée d'après l'acteur américain George Gobel, rendait l'âme de manière inattendue sur les îles équatoriennes des Galapagos. Mais plus que ce spécimen, avec cette mort, s'est éteinte toute une espèce Chelonoidis abingdonii, puisqu'elle en était la dernière représentante alors que de nombreuses tentatives de reproduction avaient été faites. Si son décès restait jusqu'à aujourd'hui mystérieuse, l'autopsie de son corps a enfin été réalisée, permettant d'en savoir plus sur sa mystérieuse disparition. C'est Marilyn Cruz, vétérinaire et coordinatrice de l'association Agrocalidad in Galapagos, l'agence gouvernementale dédiée aux normes agricoles et à la biosécurité des îles qui a réalisé l'autopsie commandée par la constitution équatorienne, la première au monde à accorder les mêmes droits aux animaux et aux hommes. L'étude du corps visait ainsi à comprendre pourquoi cette tortue est morte à un peu plus de 100 ans, alors que les animaux de son espèce vivaient plutôt jusqu'à 200 ans. La vétérinaire Marilyn Cruz a déclaré avoir "ressenti une confusion d'émotions" lors de l'opération. En tant que native des Galapagos, plus exactement de l'île Floreana, elle a en effet confié avoir éprouvé une grande tristesse lors de la perte de l'animal centenaire, considéré comme un trésor national. Mais elle a dû mettre ses sentiments de côté pour ouvrir le plastron de la tortue (son ventre recourbé). Elle explique : "Ce n'était pas quelque chose que je voulais faire, mais c'était quelque chose qui devait être fait". Tous les organes ont été inspectés mais rien d'anormal n'a été observé dans le corps de l'animal décédé, mis à part la couleur étrange de son foie, surement due à l'âge. Il semblerait donc que Lonesome George soit décédé de mort naturelle. Maintenant que l'autopsie a été faite, le corps de la tortue va être embaumé puis exposé. En effet, le gouvernement équatorien veut ériger Lonesome George comme un symbole de la lutte pour la protection d'un "écosystème fragile dont la conservation est de la responsabilité de tous". Source

Une tortue géante découverte sur une plage en Camargue Une tortue luth de 320 kg et 2 mètres de long, baguée à Trinidad-et-Tobago dans les Caraïbes, a été retrouvée lundi matin par des vacanciers sur une plage de Salin-de-Giraud dans les Bouches-du-Rhône, en Camargue. La surprise a été de taille pour ces vacanciers. Une tortue géante de de 320 kg et 2 mètres de long, baguée à Trinidad-et-Tobago dans les Caraïbes, s'est échouée sur une plage en Camargue. "A priori, c'est un bateau de pêche qui l'a prise dans ses filets et l'a ramenée sur la plage, où des campeurs l'ont maintenue en vie en creusant un grand trou protégé par des bâches", a expliqué un des pompiers appelés sur place vers 8 heures. Des spécialistes du centre d'études et de sauvegarde des tortues marines en Méditerranée (CESTMed), venus examiner l'animal, ont décidé de le remettre à l'eau à la mi-journée. "En espérant qu'il ne s'échoue pas en mer de nouveau d'ici 24 à 48 heures", a souligné Jean-Marc Groul, directeur du "Seaquarium", aquarium géant du Grau-du-Roi (Gard) qui héberge le centre. La tortue ne souffrait que de blessures superficielles, a-t-il précisé. Les tortues luth, qui ne possèdent pas d'écailles mais un dos dit cuirassé, peuvent vivre une cinquantaine d'années, mesurer jusqu'à 2 mètres et atteindre 500 kg, voire 800 kg. En voie de disparition, elles sont "très rarement observées" en Méditerranée, où elles effectuent des passages pour trouver de la nourriture, en particulier des méduses, selon Jean-Marc Groul. La population des tortues luth, l'une des plus anciennes espèces du monde, est restée relativement stable dans l'Atlantique, mais a décliné de façon inquiétante dans le Pacifique. Une diminution attribuée aux prises accidentelles des chalutiers et à la disparition de leurs zones de reproduction en raison de l'urbanisation des côtes. Source

Un serpent retrouvé place de l'Opéra L'image d'un serpent qui se promenait cet après-midi place de l'Opéra tourne sur les réseaux sociaux. Il s'agit d'une couleuvre d'esculape, une espèce non-venimeuse. Et la scène n'est pas si rare dans la capitale. Paris, cette jungle urbaine. Après la découverte d'un piranha la semaine dernière dans le canal Saint-Martin, c'est un serpent découvert place de l'Opéra qui fait le buzz aujourd'hui sur les réseaux sociaux. "J'étais en Vélib, arrêté au feu rouge, quand je l'ai aperçue entre le terre-plein de la place de l'Opéra et le café de la paix, explique @bixente, qui a posté la photo sur Instagram. Au départ je croyais qu'il était mort, mais le cycliste à côté de moi lui a roulé dessus et il a bougé. Il n'avait pas l'air très en forme". Selon Karim Daoues, responsable de la ferme tropicale, il s'agit d'une jeune couleuvre d'esculape. "C'est l'une des espèces les plus répandues en France, explique le spécialiste. Il n'est pas très surprenant de la retrouver à Paris. Elle a pu par exemple se cacher dans un pot dans une jardinerie du coin". Et pas d'inquiétude à avoir : la couleuvre, qui mesure à peine 60 cm, n'est pas venimeuse. Source

Faire face à des morsures de serpent Les mordus de nature profitent des vacances pour explorer de nouveaux chemins. Que fait-on si on est mordu ou piqué par un serpent ou un insecte ? C’est vrai que les mauvaises rencontres sont possibles mais je tiens d’abord à rassurer: la grande majorité des animaux venimeux ont peur de l’homme… La probabilité de se faire piquer par un scorpion ou mordre par un serpent est inférieur à 1 pour 10 000 personnes par an. Mais au cas où cela arrive, qu’est-ce qu’on fait ? Première chose on ne panique pas, on essaie d’identifier quel est l’animal qui vous a attaqué, ou plutôt que vous avez dérangé par mégarde… Par exemple, en France, il vaut mieux savoir faire la différence entre une morsure de vipère et celle d’une couleuvre qui ne sera pas venimeuse. La morsure de la vipère se caractérise par deux piqûres, comme si deux crochets s’étaient plantés dans votre peau. Dans ce cas la morsure est venimeuse, alors est-ce qu’il faut faire un garrot ? Sucer la plaie ? Non surtout pas, il vaut mieux éviter d’une façon générale les traitements façon Indiana Jones… Si c’est possible on nettoie soigneusement la plaie à l'eau et au savon, et on applique un antiseptique. Et surtout on appelle le SAMU. Mais rassurez vous, les morsures mortelles de vipère sont très très rares en France. Et si on est à l’étranger, il existe d’autres serpents plus dangereux ?En prévention, il faut se renseigner sur les anti-venins disponibles avant de partir, et une fois sur place, on peut se les procurer avant de partir à l’aventure. Et pour les amateurs de baignade, quels sont les dangers ? C’est vrai que le plus fréquent pendant les vacances, ce sont les problèmes avec les méduses. Elles prolifèrent sur la planète et gênent les pêcheurs comme les baigneurs. Et certaines variétés peuvent être mortelles... Mais, heureusement, pas le long de notre littoral ! Mais quels sont les bons réflexes à avoir ? Enlever les cellules urticantes. Rincer la zone touchée par de l’eau de mer ou du sérum physiologique mais surtout pas d’eau douce… Et inutile d’uriner sur la victime, cela favoriserait l’infection de la plaie ! Et contre les piqûres très douloureuses des vives, qu’est-ce qu’on fait ? Dans ce cas, il faut appliquer le plus tôt possible une source de chaleur à proximité immédiate de la plaie, en évitant de brûler la victime. Le venin est détruit par une chaleur supérieure à 40°C. On conseille généralement de laisser tremper son pied pendant une demi-heure dans un seau d’eau chaude et de retirer les épines de la vive à la pince à épiler. Source

Plus de 900 cas de piqûres de scorpion depuis le début de l’année à Laghouat et Naâma Pas moins de 931 cas de piqûres de scorpions ont été enregistrés depuis le début de l’année à travers les wilayas de Laghouat et de Naâma, selon le bilan de la direction locale de la Santé, de la population et de la réforme hospitalières (DSPRH). Un total de 562 cas d’envenimation scorpionique, dont un décès (un nourrisson), est signalé dans la wilaya de Laghouat, touchant pratiquement toutes ses communes, excepté celle de Oued M’zi, avec une plus forte prévalence dans la commune de Gueltet Sidi-Saâd (91 cas), suivie de Ksar El-Hirane (79) et Laghouat (45). Dans la wilaya de Naâma, sont enregistrés 371 cas de piqûres de scorpions (sans décès), un nombre en baisse par rapport à la même période de l’année dernière où avaient été signalés 462 cas, dont trois décès aux mois de juillet et août. Le plus grand nombre de cas d’envenimation est relevé dans les communes de Tiout et Asla qui cumulent 213 cas, suivies de celles de Djeniène Bourezgue (67) et Mekmène Benamar (39), a-t-on fait savoir. Source

Un Boa Constrictor en liberté à Jonquière Un boa constrictor est en liberté da le secteur de Jonquière, près du Dépanneur St-Hilaire sur la rue Du Roi. Le serpent de quatre pieds n’est par contre d’aucun danger pour l’être humain. Hier soir, le propriétaire a eu un moment d’inattention et le serpent en a profité pour s’enfuir. Ce dernier devrait se déplacer plus lentement dû à la température plus fraîche de la nuit dernière. La société protectrice canadienne des animaux (SPCA) de Saguenay rassure la population. « Ce genre de serpent n’est pas dangereux pour l’humain, sinon il ne serait pas en vente dans les différentes animaleries. Par contre, les oiseaux, les rongeurs où les animaux domestiques pourraient se faire surprendre s’ils ne sont pas alertes. Le serpent les étouffera pour ensuite les dévorer». Le reptile se réfugiera probablement dans un endroit chaud. Il pourrait revenir à son domicile, car le propriétaire possède un abri conçu pour le serpent. Par contre, la Sécurité publique de Saguenay demande à la population de rester vigilant et d’alerter soit la SPCA au 418-695-5055 ou la police pour que les mesures de capture soient rapidement effectuées. Source

En le mettant devant le terrarium de l'autre tégu et lui donner des oeufs quand il n'a aucun moyen d'entrer dans le terrarium pour lui voler Bon ok terminé la torture, on entre à la maison