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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. A Cuppulata, le royaume des tortues accueille de nouveaux pensionnaires C'est la saison des éclosions. parmi les nouvelles naissances, 38 tortues léopards géantes d'Ethiopie voient le jour dans le parc pour la première fois Stigmochelys Paradalis Babcocki. Qui imaginerait qu'il s'agit d'une espèce de tortues ? Pas grand monde, si ce n'est ceux qui ont eu le plaisir de les voir au Parc A Cupulatta, à une vingtaine de kilomètres d'Ajaccio. Ce centre d'élevage et de protection de la tortue est le premier parc européen en termes d'espèces élevées : plus de 170 espèces y sont abritées. Des aménagements sont spécialement mis en place afin que les animaux retrouvent les conditions de vie qu'ils avaient dans la nature et ce confort amène de plus en plus les tortues d'A Cupalatta à se reproduire, faisant ainsi grossir les rangs du parc qui contient déjà plus de 3 000 individus. Acclimatation des tortues léopard Le vétérinaire et directeur, Pierre Moisson est ravi d'annoncer l'éclosion de trente-huit de tortues léopard géantes d'Éthiopie : « C'est très positif, c'est la première fois depuis l'ouverture du parc en 1998 que cette espèce pond. Cela veut dire qu'elle est bien installée, qu'elle a retrouvé des conditions idéales de reproduction ». Cependant, le travail des animaliers a eu une importance considérable dans cette naissance. Tout d'abord, l'aménagement: les tortues viennent de tous les continents et de milieux très différents : terrestres ou aquatiques, chauds ou froids, secs ou humides… Il a alors fallu recréer un climat éthiopien d'altitude et mettre en place des zones de ponte : « Dans l'abri, nous avons installé une plage de sable artificielle humide pour que les femelles puissent creuser leurs trous de 30 cm de diamètre et 50 cm de profondeur sans qu'ils ne se rebouchent. Cependant, un matin ensoleillé de novembre, deux tortues léopard géantes sont venues pondre leurs œufs dehors, sans l'aide fournie ». Le vétérinaire et les soigneurs ont ensuite ramassé, pesé et mesuré les œufs. Un travail délicat. Ils ont ensuite été placés en incubateurs artificiels, l'équivalent de la couveuse. Début juillet, progressivement, trente-huit petites ont ainsi sorti leurs têtes de la coquille. Les visiteurs pourront bientôt observer les nouvelles venues. Pour l'instant, les bébés aux carapaces assez moles sont encore à l'abri des prédateurs, mais en août, un groupe témoin va être installé en paddock extérieur. « Il n'existe aucun instinct maternel ou paternel chez les tortues » explique le docteur. Les parents continuent alors paisiblement à manger leurs salades sans se soucier de leur progéniture. L'été est la saison des éclosions et il n'est pas rare de voir « copuler » les cupulatta dans le parc. Le parcours de visite des 2,5 hectares du lieu est désormais aménagé sous les arbres pour accueillir les personnes en fauteuil roulant et les poussettes. La balade parmi les carapaces est rendue plus agréable encore par la fraîcheur des lieux liée au ruisseau La Vignola qui sinue le long du parcours, grâce à l'ombre des grands arbres et grâce aux brumisateurs installés récemment. Les visiteurs pourront sans doute voir, d'ici peu, les nouvelles portées de ces tortues au dos tacheté mais peu féroces. Source
  2. Les varans ont conquis l’Ancien monde depuis l’Asie Publiée dans la revue Biology Letters, une étude internationale comparant le génome de diverses espèces de reptiles a établi l’origine asiatique des varans, apparus au tertiaire pour coloniser ensuite l’Afrique et l’Océanie. Du petit Varanus brevicauda insectivore de 30 centimètres au Varanus komodoensis, le redoutable dragon de Komodo, qui atteint 3 mètres, les varans comptent pas moins de 73 espèces, réparties de l’Afrique à l’Océanie. Des espèces qui montrent certes des différences de taille mais aussi d'écologie et d'alimentation. Ainsi, parmi les 73, 27 vivent entre les îles de la Sonde en Indonésie et les îles Salomon, en passant par la Nouvelle-Guinée et l’Australie. Mais depuis des dizaines d'années, un mystère demeurait. Quel est leur berceau originel ? Sur ce sujet controversé, les chercheurs avaient émis trois hypothèses principales. L'une évoquant une origine asiatique suivie par des évènements de dispersion vers l'Afrique et l'Australasie durant le Tertiaire. Une deuxième parlant elle, d'une origine africaine suivie d'événements de dispersion vers l'Asie et l'Australasie durant le Tertiaire. Et enfin, une troisième mettant en évidence une origine gondwanienne (un supercontinent formé à la toute fin du Néoprotérozoïque vers – 600 millions d'années) suivie d'événements de séparation en différentes populations liés à la fragmentation des plaques continentales pendant le Jurassique et le Crétacé inférieur. Pour donner le fin mot de l'histoire, une équipe internationale, comprenant des chercheurs du Muséum national d’histoire naturelle et de l’Université Pierre et Marie Curie, a décidé de séquencer et comparer 5 gènes chez de nombreux lézards dont 38 espèces de varans. Publiés dans Biology Letters, les résultats montrent que les varans ne sont pas apparus, comme l’envisageait l'une des théories, durant l’ère secondaire sur le Gondwana. C’est plus tard, et en Asie, qu’est apparue la lignée des varans, qui ont colonisé ensuite l’Afrique vers -40 millions d'années (Paléogène, tertiaire), puis l’Australasie vers -30 millions d'années. Insectivores, charognards ou carnassiers selon les espèces, ces lézards – venimeux, on le sait depuis peu –, ont ainsi su conquérir toutes sortes de niches écologiques. Source
  3. Max|mum-leterrarium

    Besoin d'aide!! svp

    Je t'invite d'abord à t'éclairer dans cette fiche /t5753-rhacodactylus-ciliatus Personnellement, je n'utilise pas de vraies plantes dût à l'entretien que celles-ci. C'est une question de choix. Le terrarium doit être bien aéré à la base alors... Pour les pulvérisations, je le fais qu'une fois par jour et le soir mais j'arrose beaucoup. Le bol d'eau aura comme utilité d'augmenter le taux d'humidité puisque les geckos à crête iront boire sur les feuilles lors des pulvérisations. Pour les températures et humidité, tu es correct.
  4. Des écailles et des plumes à la ferme aux crocodiles Schwarzy, Arthur, Bernard… À la ferme aux crocodiles, chacun des pensionnaires a son petit nom… ou presque. Il faut dire que parmi les près de 1 000 spécimens qui vivent sur le site, les animaliers doivent bien distinguer leurs petits préférés. Immersion au cœur d’une jungle tropicale, peuplée d’espèces rares Le doyen des crocos, l’un des premiers arrivés sur le site lors de sa création, en 1994, est surnommé “Schwarzy”. Et “Arthur” est le merle métallique, que seuls les plus chanceux réussiront à apercevoir dans la serre de 4 000 m 2. Car parmi les crocos de toutes espèces, la ferme accueille aussi désormais, plusieurs espèces d’oiseaux exotiques, comme les hérons gardes bœufs et les spréos. De quoi reproduire un vrai coin de paradis pour la faune sauvage, qui évolue dans un habitat le plus proche possible de son milieu naturel. Les 350 crocodiles du Nil se prélassent sur les plages de sable et de rochers, au bord de l’eau. Le couple d’alligators albinos, venu de Louisiane, déambule dans une serre ombragée, spécialement aménagée, pour qu’ils ne souffrent pas de la lumière. Et pour le gavial du Gange, l’une des espèces de crocodile asiatique les plus rares, dont il ne reste que 2 600 spécimens à l’état sauvage, un espace humide et sombre a été aménagé. Une immersion au cœur d’une jungle tropicale, peuplée d’espèces animales et végétales rares, voilà ce que propose la ferme aux crocodiles. Mais le lieu est aussi un espace pédagogique à vocation éducative. Au fil du parcours, une signalisation à l’adresse des visiteurs répond aux questions les plus répandues, comme la traditionnelle : “Pourquoi les crocodiles restent-ils la gueule ouverte ?” Parmi les crocos, plusieurs semblent en effet afficher un grand sourire réjoui. « En fait, il reste la gueule ouverte des heures entières, pour réguler la température de leur corps », expliquent les guides naturalistes. Bientôt, la ferme aux crocos accueillera d’autres pensionnaires. Une seconde serre, de près de 3 000 m 2, devrait voir le jour à l’horizon 2013-2014. Elle accueillera serpents, lézards et autres reptiles. Source
  5. Max|mum-leterrarium

    Besoin d'aide!! svp

    Là étant donné la différence entre les espèces que tu nommes, je vais t'envoyer ce questionnaire /t1273-aide-de-choix-pour-un-lezard
  6. Le crocodile « tueur » porté disparu à Mbali ? « Où est passé le crocodile « criminel » qui inquiète les pêcheurs sur le lac Mbali » ? Cette question revient régulièrement ces deniers temps sur les lèvres des habitants de cette localité située à 26 kilomètres de Boali (95 kilomètres nord de Bangui). En effet, après une sentence prononcée le 10 mai dernier par le ministère des eaux et forêts, le crocodile en question devrait être tué. Une sentence rendue publique suite aux plaintes déposées contre cette bête sauvage par les familles des pêcheurs qu’il a tués. Selon le correspondant de Radio Ndeke Luka, qui a relayé l’information ce 26 juillet 2012, « c’est au moment où les agents du ministère des eaux et forêts ont voulu lancer la traque que ce crocodile a disparu. L’animal devient donc introuvable ». « Un mois avant cette chasse pour la mise à mort de la bête, les habitants de Mabali lui avaient tendu un piège avec un chien dans les environs de son crime. Profitant de l’inattention de ses bourreaux, le crocodile s’est emparé du chien et a disparu dans l’eau. Des recherches menées sont restées infructueuses. Seulement, les pêcheurs reprennent leurs activités avec prudence », a-t-il mentionné. Notons qu’entre février et mars dernier, ce crocodile avait dévoré 2 pêcheurs sur le lac Mbali. Face à ce crime, les familles des victimes avaient porté contre l’animal. Source
  7. Les araignées envahissent l’American Museum of Natural History À partir du 28 juillet, l'expo "Spiders Alive!" décortique tous les faits et légendes liés aux araignées. Un tour d'horizon complet du terrifiant monde arachnide, modèles vivants à l'appui. Si vous souhaitez grimper sur le toit du Chrysler Building comme Peter Parker, voilà peut-être venue votre chance ! L’American Museum of Natural History ouvre ce samedi une grande exposition consacrée aux arachnides, en présence d’invités velus de marque. Les spectateurs pourront en effet s’extasier (ou partir en courant) devant les représentants vivants de 20 espèces, dont l’”araignée Goliath” qui mesure jusqu’à 30cm, la venimeuse “veuve noire”, et même des scorpions du désert. Le but de cet expo qui donne froid dans le dos ? Donner un aperçu de la grande diversité des arachnides, dont on recense aujourd’hui plus de 43 000 espèces. Après un accueil de taille avec une sculpture géante de l’artiste française Louise Bourgeois, “Spiders Alive” s’emploie à démystifier les légendes qui courent sur cet animal à l’origine de tant de cris haut perchés. Divisée en plusieurs sections : “Anatomie”, “Diversité”, “Venin”, “Soie” et “Survie”, l’expo se veut informative, complète, et ludique. Le visiteur pourra même retracer l’histoire de ce monstre historique au contact de fossiles vieux de 100 millions d’années. Arachnophobes s’abstenir… Infos pratiques : “Spiders Alive!” du 28 juillet au 2 décembre 2012. À l’American Museum of Natural History, Central Park West et 79th Street, Upper West Side. Adultes 25$, étudiants et seniors 19$, enfants 14,5$. Billets en vente au musée et ici. Plus d’informations ici. Source
  8. Un vacancier mordu au doigt par une vipère Alors qu’il repliait sa tente à Tignes Brévières hier, un vacancier de 24 ans s’est fait mordre au doigt par une vipère logée dans la toile. Le jeune homme, originaire de la région parisienne, a très mal réagi à la morsure qui peut être mortelle. Alertés vers 11 h 30, les gendarmes du PGHM de la base héliportée de Courchevel l’ont transporté, en état de choc, à l’hôpital de Bourg-Saint-Maurice. Médicalisé, il a ensuite été amené à l’hôpital de Chambéry où il devait passer la nuit en observation. Source
  9. Aride, Seychelles, la faune terrestre… D’après la Fondation pour la conservation des îles, la présence d’oiseaux terrestres à Aride représente un exploit environnemental. Cinq des espèces d’oiseaux terrestres uniques aux Seychelles se reproduisent sur Aride qui abrite 80% de la population mondiale de la Rousserolle des Seychelles, introduite en 1989 après avoir frôlé l’extinction vingt ans plus tôt. La forêt naturelle qui s’est développée sur l’île depuis sa mise en réserve sert d’habitat à plusieurs autres espèces endémiques. La Pie chanteuse des Seychelles est une espèce rare et menacée d’extinction. En 1990, il ne restait que 12 spécimens sur l’île de Frégate, grâce à un programme de conservation des espèces leur nombre est en progression. On dénombre aujourd’hui 300 Pies chanteuses des Seychelles réparties sur Frégate, Cousin, Cousine et Aride. Nous avons eu l’immense joie de pouvoir observer un mère et deux de ses petits (présence tâches brunes sur les aile et plus petite taille qui les distinguent de l’adulte) soit 1% de la population. Le Foudi menacés et également réintroduits, le Pigeon bleu et le Souimanga qui ont recolonisé l’île de façon naturelle; sont les trois autres espèces uniques aux Seychelles présentes sur Aride. Aride possède une autre spécificité, les lézards. On dénombre sur cette île la plus haute densité de lézards au mètre carré. Un lézard tout les 3,5 mètre. Les plus répandus sont les Scinque de Wright (présent sur les îles abritant des oiseaux marins) et le Scinque des Seychelles. Tout deux sont des espèces endémiques et protégées. Lors de votre visite sur Aride vous pourrez aussi voir des mille-pattes ou des Bernard l’Hermite dont il existe trois espèces différentes. Il y a les orange, les brun pâle et les violet, attention ces derniers peuvent vous pincer. Source
  10. Découverte d'une couleuvre Mardi 10 juillet, un employé des espaces verts, occupé à faucher les herbes le long de la D939, a fait une drôle de découverte du côté de Baralle. Une couleuvre américaine a montré le bout de sa queue, à sa plus grande surprise. Une rencontre assez rare qui pourrait en apeurer plus d'un. Pas très grand mais plutôt effrayant avec ses yeux rouges, le reptile a sûrement dû s'égarer d'un élevage ou simplement être abandonné par son propriétaire. La mode des nouveaux animaux de compagnie (NAC) multiplie ce type d'interventions, ce qui implique la formation d'experts au sein des équipes. Les pompiers de Marquion ont été dépêchés sur les lieux, pour capturer la couleuvre. Habituée au climat du sud des États-Unis et du Mexique, la couleuvre américaine dite "des blés", n'aurait pas survécu longtemps avec notre climat. Thomas DAGBERT Source
  11. La tortue verte Populations et menaces Espèce en danger selon le livre rouge de l’UICN, la Tortue verte, Chelonia mydas, est surexploitée depuis longtemps. Sa maturité très tardive (vers 50 ans) est un facteur empêchant un renouvellement rapide des populations dans les régions où elle est encore massacrée. Cette espèce fait l’objet depuis longtemps d’une importante exploitation sur l’ensemble de son aire de distribution. S’y ajoutent aujourd’hui de nouvelles causes de mortalité comme les filets des chalutiers et autres matériels de pêche industrielle, l’ingestion de matières plastiques en mer, les pollutions marines (pétrole, DDT, PCB,…), et la destruction de leurs habitats. Répartition et biotope Sa répartition est très étendue et comprise entre les latitudes 40°N et 40°S. En Afrique occidentale, les sites majeurs de nidification sont dans l’archipel des Bijagos (Guinée Bissau) et sur l’île de Bioko. Des sites mineurs existent à São Tomé, en Guinée équatoriale continentale, en Côte d’Ivoire, au Ghana, en Angola,… Autour de Madagascar, les îles de Tromelin, d’Europa, de Grande-Glorieuse et de Mayotte sont des sites importants pour l’ouest de l’océan Indien. C’est une tortue migratrice et plutôt solitaire, sauf sur les aires alimentaires où les adultes des deux sexes se retrouvent. Biologie Les Tortues vertes nouveau-nées sont omnivores, essentiellement carnivores. Leur régime très éclectique est composé surtout d’Anémones, d’Éponges, de crevettes, de poissons. Aux stades juvéniles et subadultes, c’est le régime herbivore qui prédomine. Puis, à l’état adulte, le régime devient presque exclusivement herbivore. Il a été identifié plus de 200 plantes (Chlorophyta, Phaecophyta, Rhodophyta, Helobiae) consommées par les Tortues vertes. Les immatures vivent dans des aires côtières de croissance où elles se nourrissent, sur les rochers, d’algues et des phanérogames qui y poussent. L’assimilation de la cellulose des herbes marines est physiologiquement rendue possible par le système digestif grâce à une fermentation microbienne sélective. Les femelles adultes peuvent se déplacer sur plusieurs milliers de kilomètres entre leur site de ponte et un herbier. La femelle nidifie tous les 2 à 4 ans pour 2 à 5 pontes à chaque fois. Le nombre moyen d’œufs est d’environ 100 par ponte, avec un maximum pouvant dépasser 200. Description La tortue verte adulte mesure de 80 cm à 1,39 m pour un poids d’environ 180 kg. Le nouveau-né mesure en moyenne 5,3 cm. Sa dossière ovalaire est entièrement lisse et bombée antérieurement et est dépourvue de carènes et de marginales denticulées. Sa dossière est bleu gris, olivâtre, chamois, terne et le plus souvent unie chez l’adulte, avec quelquefois des rayures ou des taches sombres. Ses plaques sont juxtaposées. La tortue verte a une petite tête à museau court et arrondi, pourvue de grands yeux en amande. Son bec inférieur est faible et finement denticulé. Ses membres antérieurs sont robustes mais plutôt courts, couverts de grandes plaques. Le dessus de sa tête et des pattes est de couleur olivâtre, avec des écailles lisérées de jaune. Son plastron est blanc pur à blanc jaunâtre. Auteur : Jacques Frétey pour le Manuel des aires protégées d’Afrique francophone (extrait) Source
  12. Les joueurs de Manchester United portent un boa en Afrique du Sud Actuellement en préparation en Afrique du Sud, les joueurs de Manchester United ont profité de leur séjour en Afrique pour aller dans une réserve naturelle. Là bas, ils ont fait la rencontre de Fluffy, un boa constrictor plutôt imposant. C’est en Afrique du Sud que Manchester United a étrenné pour la première fois son nouveau maillot (style cochonou) pour la saison 2012-2013. Sur le terrain, les hommes de Sir Alex Ferguson ont livré une partie bien terne et ont du se contenter du match nul après avoir été menés pendant la majeure partie du match (1-1 score final). Pour la bonne humeur, c’est plutôt en dehors du terrain qu’il faut aller voir. Les joueurs ont en effet profité de leur séjour en Afrique du Sud pour se rendre au PheZulu Safari Park. Et l’un des employés de cette réserve leur a alors proposé de porter un boa constrictor. Pas vraiment rassuré, Rio Ferdinand s’est pourtant dévoué pour aider son coéquipier Javier Hernández à supporter le poids de serpent impressionnant. Source
  13. Des tortues munies d'émetteurs satellites Trois tortues marines de l'espèce Carey, menacée d'extinction, ont été relâchées mercredi sur une île du Pacifique du Salvador, munies d'émetteurs satellites dans leur carapace pour leur surveillance, a annoncé le ministère salvadorien de l'Environnement et des Ressources naturelles. Dans le cadre du «Second festival de la Tortue Carey», les trois chéloniens femelles ont été relâchées sur l'île de La Pirraya, dans le département d'Usulutan, à 140 kilomètres au sud-est de San Salvador, a indiqué le ministère dans un communiqué. Les émetteurs satellites ont été installés en vue «d'obtenir des informations sur leurs itinéraires et comportements». Cette étude se déroule depuis 2008 et des appareils ont déjà été placés sur six autres tortues femelles. Menacée La tortue Carey est menacée d'extinction dans le monde entier. On estime entre 200 et 300 le nombre de femelles entre le Mexique et le Pérou, et sur ce total, 50% se concentrent sur les 37 km de plages de la Bahia de Jiquilisco, une réserve de biosphère du Salvador. L'événement de mercredi a été organisé par le Programme Carey de la région, conformément à l'Initiative Carey du Pacifique Oriental (ICAPO), et par d'autres organismes de défense de l'environnement. La vice-ministre de l'Environnement et des Ressources naturelles, Lina Pohl, qui a participé à l'équipement et à la libération du premier chélonien, a souligné «l'importance» que revêt l'espèce marine pour l'écosystème. Jeffrey Seminoff, directeur du Programme de tortues marines pour l'Administration nationale atmosphérique et océanique américaine (NOAA), a rappelé que l'espèce est l'une des plus menacées au monde. Sa présence dans les eaux du Salvador est «encourageante» et représente «une opportunité unique pour son étude, sa conservation et son redressement dans la région», a-t-il ajouté. Source
  14. Envenimation par le scorpion à Adrar : 1.523 cas enregistrés durant le premier semestre Mille cinq cent vingt trois cas d’envenimation par le scorpion ont été enregistrés durant le premier semestre 2012 à travers la wilaya d’Adrar, et aucun décès n’a été déploré, a-t-on indiqué auprès de la direction de la santé. Pas moins de 700 cas de piqûres de scorpion ont été relevés pour la seule période comprise entre le mois de mai dernier à la mi- juillet, une période considérée comme points culminants durant l’été de la prolifération de cet insecte dangereux, a précisé le chef de service de la prévention, M. Abdelkader Oumairi. L’activité de ramassage des scorpions restera un moyen efficace dans les efforts de lutte contre l’envenimation par le scorpion, a-t-il estimé, en rappelant qu’une vingtaine d’opérations de collecte de scorpions ont été organisées cette année à travers les communes de cette wilaya, les plus touchées par ce problème. Ces initiatives ont généré des postes d’emploi au profit des jeunes de ces communes, soit 17 jeunes pour chaque opération en moyenne. Tout en signalant un manque de sérum antivenimeux, M. Oumairi a assuré cependant que des instructions ont été données aux différentes structures de la santé afin de renforcer la coordination entres elles pour garantir la disponibilité de ce vaccin. Source
  15. Toutes les araignées ne tissent pas des toiles 10 heures ce mardi 24 juillet 2012. Les portes de l'Hôtel-Dieu viennent d'ouvrir pour le premier jour de l'exposition exceptionnelle « Au fil des araignées ». Zoomdici est allé à la rencontre des tout premiers visiteurs. « On a entendu par hasard à la radio ce matin qu'il y avait cette expo et comme on était au Puy pour la journée, on s'est dit qu'on en profiterait pour faire un peu de tourisme. » Stéphane, 40 ans, et sa fille Marjorie, 15 ans, sont clermontois. Ils ont été les premiers à passer les tourniquets de l'Hôtel-Dieu ce mardi matin pour l'exposition « Au fil des araignées ». Le musée est encore vide. Le père et la fille se dirigent au petit bonheur la chance. Une guide les accostent avec un sourire : « le sens de la visite, c'est par là en fait. Mais bon, c'est surtout quand on aura des flux importants de visiteurs à gérer! » Pourquoi au Puy? L'exposition a été créée en partenariat entre l'Espace des sciences de Rennes et le Muséum d'histoire naturelle de Paris. Elle s'est d'abord tenue à Rennes sur 400m2 comme au Puy à peu près, puis à Laval, Bordeaux et une version plus développée à Paris sur 1 200m2. « Là, Laurent Wauquiez a flashé sur l'expo et il a demandé à ce qu'elle se fasse au Puy », explique Christine Rollard. Mini-aspirateurs Marjorie et Stéphane s'intéressent à tout, et font des commentaires. La jeune fille remarque : « Tiens, ça ça vient du musée Lecoq de Clermont! » Plus loin, le père s'exclame : « T'as vu, pour les attraper, ils utilisent des mini-aspirateurs à bouche, comme le mouche-bébé que j'utilisais pour toi quand tu étais bébé! ». Et pour faire sortir les araignées de leur cachette, Stéphane a une astuce : « tu poses une brindille sur la toile et elles rappliquent pensant qu'une proie vient d'être prise au piège. » Et un guide d'ajouter : « Vous pouvez aussi utiliser un diapason, souvent l'araignée confond ces vibrations avec celle d'un insecte pris dans la toile. » Dans un rire Stéphane plaisante : « Ah, elle est mélomane, ça je ne savais pas! » Pourquoi si peu d'araignées vivantes? Cette exposition n'est pas un zoo. Il n'y a que quatre spécimens d'araignées vivantes. Car ce sont « des animaux sauvages qui doivent vivre dans la nature plutôt que dans des terrariums », estime Christine Rollard. De plus, il n'aurait pas été très probant de montrer la diversité des araignées étant donné que la plupart des 43 000 espèces mesurent environ 5 mm. Une échelle à araignée De borne interactive en écran pédagogique, la visite continue. Nous croisons un groupe de huit enfants encadrés par leurs assistantes-maternelles. Au fond d'une baignoire, une araignée factice. La guide demande aux enfants : « pourquoi elle ne peut pas remonter l'araignée? » Un petit garçon répond du tac au tac : « ben, parce qu'elle est pas vivante! » Évidemment... Il ne faut pas chercher la petite bête. La vraie réponse c'est que les grosses araignées ne sont pas munies de touffes de soies sur leurs griffes pour adhérer aux surfaces lisses. En revanche, les petites araignées sauteuses, elles, le sont. Alors pour aider les grosses araignées à sortir, on peut fabriquer une petite échelle à araignées, invention qui nous vient de Grande-Bretagne. L'échelle à corde miniature se pend au robinet et atteint le fond de la baignoire. Sinon, une serviette fera très bien l'affaire... Si vous la douchez pour vous en débarrasser, en revanche, vous la tuez, car l'araignée n'est pas aquatique. Idées reçues Jusqu'au 6 janvier, vous saurez donc tout sur ces petites bestioles à huit pattes. L'occasion rêvée de vaincre votre phobie, si vous en avez une. Le Dr Christine Rollard est commissaire de l'exposition. Pour nous, elle met à plat quelques idées reçues sur les araignées. Pour ceux qui sont mal à l'aise face aux araignées, des pictogrammes vous préviennent des installations les plus saisissantes, comme une vidéo d'une guêpe se faisant dévorer par une araignée ou une grosse mygale naturalisée que l'on peut toucher en insérant sa main dans un trou noir, « une petite pause caresse », comme l'appelle Christine Rollard. Annabel Walker Questions / Réponses Combien de morts sont causées par les araignées dans le monde? 0,5 morts par an En comparaison, les scorpions causent 1000 morts par an, les guêpes 400 et les méduses 100 (uniquement en Australie). Les araignées ont-elles un rôle utile? Oui, elles mangent en moyenne 400 millions d'insectes par hectare par an : puces, punaises, cafards, moustiques... Mais n'appelez surtout pas ces derniers des « nuisibles »! « C'est un terme inventé par ceux qui ne comprennent pas que chaque animal a son rôle à jouer dans l'écosystème », s'emporte le Dr Christine Rollard, commissaire de l'exposition. Toutes les araignées tissent-elles des toiles? Non. Environ 60% des araignées n'utilisent pas leur soie comme un piège. Elle s'en servent pour se déplacer, comme de fil de survie, pour fabriquer des cocons, pour entourer et protéger leurs œufs, pour emmailloter leurs proies... Existe-t-il plusieurs types de soies d'araignées? Oui. Une même araignée peut produire différents types de soie selon l'usage qu'elle en fait. Les araignées sont en effet dotées de trois à six glandes productrices de soie. Une fois sortie de l'abdomen, la soie se durcit. Quels usages peut-on faire de la soie d'araignée? Des chercheurs ont créé des cordes de violon à partir de la synthèse de protéines de soie d'araignée. En 1896, une tentative d'exploitation industrielle a été menée à Madagascar. Un élevage d'araignées prélevées dans le milieu naturel a réussi à fabriquer des vêtements (écharpes, gants, gilets...). Mais le modèle économique n'était pas viable car l'élevage est beaucoup plus contraignant que celui des vers à soie. De plus, le prélèvement dans le milieu naturel avait causé un déséquilibre. Les moustiques porteurs du palud ont proliféré et provoqué une épidémie. De nos jours, des recherches continuent car la soie d'araignée, à diamètre égal, est très résistante, plus que certains métaux comme le kevlar. Quant à son élasticité, elle n'a pu encore être reproduite de façon artificielle. Les mygales sont-elles toutes grosses et tropicales? Non, sur les 2 600 espèces de mygales, seules environ 600 sont de grande taille. Même certaines mygales tropicales sont petites. Il en existe de 1 mm à 13 cm, sans compter les pattes. On trouve également une quarantaine d'espèces de mygales en Europe, dont 20 en France. Le terme mygale ne désigne qu'un type d'araignée déterminé par la position des crochets par rapport au corps. Quelle est la différence entre une tarentule et une mygale? Le terme « tarentule » vient de l'anglais. Il désigne une des familles de mygales, les plus grosses. La confusion est souvent faite avec une araignée qui vit dans le Sud de l'Europe, également appelée tarentule. En fait, il ne s'agit pas d'une mygale mais d'une araignée loup. La peur des araignées est-elle un phénomène universel? Non, c'est culturel. Il n'y a qu'en Europe que les contes, légendes, et même la Bible, dépeignent les araignées comme des animaux effrayants. En Orient, en Afrique ou chez les aborigènes d'Australie, les araignées sont vénérées. En Afrique de l'Ouest et aux Caraïbes, le personnage d'Anansi est un farceur, homme sagesse qui est en fait une araignée. En Asie, les araignées font le lien entre les astres et la terre. Quant aux Amérindiens, ils utilisent de fausses toiles d'araignées pour chasser les cauchemars, ce sont des « attrapeurs de rêves ». Les araignées boivent-elles? Oui, d'ailleurs elles peuvent rester un certain temps sans manger. En revanche, elles ont besoin de boire très régulièrement. C'est pourquoi des coupelles d'eau ont été déposées dans les terrariums qui accueillent les spécimens vivant de l'exposition. Annabel Walker Au fil des Araignées Exposition Événement 24 juillet > 6 janvier Horaires d’été : 24/07 > 30/09 7j/7 10h >18h30 Tarifs : Adultes : 6 €, Réduit : 5 €, Jeunes (7 à 18 ans) : 4 € Visites guidées de l’expo : 7j/7 16h30 et 17h15, supplément de 2 € Possibilité de visites groupes sur réservation au 04 71 07 00 00. Voir la galerie photos Exposition au fil des araignées Source
  16. Elle tente de voler un lézard GAUCHY - Que ne ferait-on pas pour s'offrir un joli animal exotique, même quand on n'en a pas les moyens ? En l'occurrence, un Pogona Vitticeps, « dragon barbu » en français. Un beau lézard endémique d'Australie. Samedi, vers 19 heures, une jeune Gasiacquoise âgée de 27 ans a fait mine de vouloir acheter le saurien, dans l'animalerie d'un magasin de plantes et d'animaux de Gauchy. « Elle a été repérée au passage des caisses, elle l'avait caché dans sa poussette », explique le responsable de l'enseigne. La sécurité l'avait repérée. La police a été alertée. Interpellée, la jeune femme devra s'expliquer en justice. Source
  17. Un python royal dans ses toilettes! Une dame allemande a eu une sacrée surprise en se rendant aux toilettes chez elle, dimanche, alors qu’un python royal de plus d’un mètre de long se trouvait dans la cuvette. La retraitée, âgée de 74 ans, s’est ruée sur son téléphone pour prévenir la police, mais entre-temps, le serpent s’est enfui dans les canalisations de la maison, rapporte l’AFP. Arrivée sur les lieux, la police n’a pas été capable de s’emparer du reptile et a dû appeler les pompiers en renfort. En soufflant de grandes quantités d’eau par les égouts, les sapeurs sont parvenus à extraire le serpent de son refuge. Lundi, les policiers ne savaient toujours pas d’où pouvait provenir le python. Source
  18. Bornéo : un crocodile sauvé d\'un zoo délabré Voué à une mort certaine, un crocodile laissé à l’abandon dans un zoo de Bornéo (Indonésie) a pu être évacué vers un refuge du pays. Un sauvetage réussi grâce à l’intervention de Chanee - alias Aurélien Brûlé - qui agit depuis 20 ans, avec le soutien de la Fondation 30 Millions d’Amis, contre la maltraitance animale. Une demie-tonne et plus de quatre mètres de long... : le voyage du crocodile « Hollande » - baptisé ainsi par ses sauveteurs en l\'honneur du président français - n’a pas été une mince affaire. Ce reptile vient de parcourir les 300 kilomètres qui séparaient son zoo de Tangkiling du sanctuaire de Pararawen, sur l’île de Bornéo en Indonésie, où il a été recueilli. C’est en effet au cœur de la jungle que l’association Kalaweit a implanté son refuge dédié à l’accueil des animaux sauvages en détresse et l’un des plus grands programme de sauvegarde de gibbons au monde. Car le dénommé Hollande se trouvait dans un état préoccupant : il survivait dans un bassin rempli de détritus, sans le niveau d’eau nécessaire à son bien-être. Captif depuis sans doute de nombreuses années, il était littéralement laissé à l’abandon. Ses dents, usées à force de ronger les barrières métalliques de son enclos, ont disparu. Dans cette structure appartenant à l’Etat indonésien, l’argent se fait rare et les animaux sont les premiers à pâtir du manque de moyen. « Le département des Forêts ne jugeait pas utile de le sortir de là, explique Chanee - alias Aurélien Brûlé - le directeur du refuge. Mais avec le temps, les conditions se sont détériorées et les autorités ont fini par nous donner l\'autorisation de récupérer les crocodiles. » Un soulagement pour les bénévoles du refuge et une véritable deuxième chance pour le reptile, qui pourra désormais s’ébattre dans un milieu proche de son habitat naturel. Car « même si ses dents vont repousser d\'ici trois mois et qu’il pourra se nourrir à nouveau, il ne pourra jamais être relâché », poursuit Chanee. Trop habitué à la main de l’homme, l’animal ne survivrait pas à l’état sauvage. Le sort de « Hollande » le crocodile ne doit cependant pas faire oublier les centaines d’animaux enfermés aujourd’hui dans les zoos indonésiens. « Ce n\'est pas un cas particulier. Il y a beaucoup de soi-disant zoos publics en Indonésie, mais ce sont en réalité des lieux où sont envoyés les animaux saisis par le département des Forêts, et dans lesquels les conditions de détention de ces animaux sont souvent affreuses » explique Aurélien Brûlé. Kalaweit continue ainsi de secourir des animaux qui proviennent de structures semblables : civettes, macaques, gibbons et même deux oursons, qui étaient détenus dans un zoo privé appartenant à un fonctionnaire (!), ont pu être recueillis ces derniers mois. La Fondation 30 Millions d’Amis, qui soutient financièrement l’action de Kalaweit depuis 2002, se réjouit de cette opération menée avec succès, qui offrira à ce crocodile une fin de vie digne. Source : Fondation 30 millions d\'amis Source
  19. Une vipère s'invite dans les rayons d'un magasin C'est d'abord un client qui a repéré la présence incongrue d'une vipère dans les rayons du magasin Gifi, en zone de Montplain, ce mercredi après-midi. Il a alors prévenu les responsables qui ont alerté les pompiers sanflorains. Lesquels sont venus déloger la vipère indésirable, sans qu'elle ait d'ailleurs semé la moindre panique. Source
  20. Un boa constrictor dans la ville VIENNE (Reuters) - Un promeneur a capturé un boa constrictor de 2,3 mètres sur les bords du fleuve de la ville autrichienne de Salzbourg. "C'était... VIENNE (Reuters) - Un promeneur a capturé un boa constrictor de 2,3 mètres sur les bords du fleuve de la ville autrichienne de Salzbourg. "C'était courageux, mais nous déconseillons de l'imiter parce que c'est dangereux", a déclaré dans un communiqué Susanne Hemetsberger, qui dirige l'Association autrichienne de protection des animaux Les boas constrictors étouffent leurs proies avant de les avaler. Les efforts pour retrouver le propriétaire ont été vains. Le serpent, en bonne santé, a été accueilli dans un refuge pour animaux. Michael Shields, Catherine Mallebay-Vacqueur pour le service français Source
  21. Pérenchies – Il découvre une mygale dans son salon Cet habitant de Pérenchies a connu une belle frayeur. Alors qu’il était tranquillement assis dans son salon, il a repéré une mygale derrière un meuble.L’animal venimeux l’a même attaqué, après qu’il se fut mis à crier. « Elle faisait des bonds d’au moins 20 centimètres ! », raconte, encore un peu choqué, Thierry Fontaine. Hier après-midi, alors qu’il était installé au salon en compagnie de son épouse, de leur fille et de leur petite-fille de deux mois, il remarque la grosse mygale derrière un meuble. « J’ai couru, mais elle me suivait. J’ai pris un balai pour la repousser, mais elle ne se calmait pas. Finalement j’ai pris la première chose qui me venait sous la main, la cloche de la cocotte, et je lui ai jeté dessus. » Par chance, le couvercle en verre ne se brise pas, et garde la mygale captive en attendant l’arrivée des pompiers. « Je n’ai jamais eu aussi peur de ma vie », avoue le Pérenchinois. Et il y a de quoi, pour le sergent Passion, spécialiste des risques animaliers : « Cette mygale n’est pas mortelle, mais elle est venimeuse. Certaines lésions peuvent être irréversibles, son venin est nécrosant. » En France, l’animal est d’ailleurs soumis à une réglementation stricte et n’est pas en vente libre. Ma. G. source nordeclair.fr Source
  22. Intervention de la police pour une fausse mygale Une fausse araignée en caoutchouc a provoqué une intervention de la police mercredi à Coire. Un employé d'une entreprise a téléphoné à la police car il avait aperçu ce qu'il croyait être une mygale sous des palettes. La police de Coire a appelé un spécialiste des arachnides. Arrivé sur place, l'expert a bien vite constaté qu'il s'agissait d'une fausse araignée et il en a profité pour expliquer comment capturer une vraie mygale, a indiqué jeudi la police grisonne. Source
  23. Mais beaucoup plus difficile de maintien et beaucoup plus dispendieux à l'achat.
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