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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Les pieds du gecko inspirent un adhésif en milieu humide De petits poils sur les pattes du gecko lui permettent de s'accrocher, comme du Velcro, aux surfaces verticales et même dans des conditions humides. Ces chercheurs de l’Université de Akron viennent de s’en inspirer pour créer un adhésif synthétique qui colle à l'état humide, comme à l'intérieur du corps pour les interventions chirurgicales, ou sur des surfaces humides. Des conclusions présentées dans l’édition du 9 août du Journal of Experimental Biology. Si vous mettez une goutte d'eau unique sous l’orteil d’un gecko, la membrane extérieure repousse l'eau. Cette propriété anti-mouillante contribue à expliquer comment les geckos se meuvent dans des conditions tropicales pluvieuses et ne tombent pas des arbres au cours des averses sous les tropiques, expliquent les auteurs. Alyssa Stark, candidate au doctorat de l’Université d’Akron, Timothy Sullivan, étudiant, et Peter Niewiarowski, professeur de Biologie ont donc décidé de comprendre et de tester l'adhérence des pieds des geckos dans l'eau. Leurs résultats vont contribuer à améliorer l'adhérence des bandages, des sutures et autres dispositifs de pansement en milieu humide. « La nature nous donne un certain nombre d’indices qui nous orientent dans la bonne direction, nous aident à comprendre les limites et la façon de manipuler les matériaux ». Pour cette expérience, les geckos ont été tirés sur une surface de verre par le biais d'un petit harnais doux. « On pensait, avant d’effectuer cette étude, que les geckos ne peuvent pas coller sur du verre mouillé. C’est un peu plus compliqué que cela ». La mise au point d’un adhésif sec synthétique : L'étude des poils minuscules présents au bas des pieds gecko et qui leur permettent de s'accrocher aux surfaces, a déjà permis la mise au point d’un adhésif sec synthétique, composé de nanotubes de carbone, qui surpassent même « la nature », selon les auteurs qui poursuivent leur quête sur les mécanismes de préhension et de libération des geckos dans des environnements humides. Source
  2. Une carapace artificielle pour tortue marine Blessée après une collision avec un bateau, une tortue a pu regagner l’océan après un court séjour dans un « hôpital pour reptiles ». Sa carapace a été réparée grâce à un ciment spécial, imperméable et non toxique. Une carapace de ciment Pour la première fois, une tortue retrouve la mer après avoir subi une reconstruction partielle de sa carapace. Recueilli à Tuxpan, ville côtière du golfe du Mexique, le reptile avait été percuté par le moteur d’une embarcation. Il a été conduit par la suite au Centre vétérinaire de Xalapa, situé dans la capitale de l’état de Veracruz. La tortue blessée a bénéficié d’une thérapie hors du commun, grâce aux soins experts du docteur Eduardo Gazol. Avec son équipe, le spécialiste s’est chargé de reconstruire la carapace endommagée grâce à un ciment spécial non toxique. Recouvrant la peau et les parties osseuses exposées, la carapace artificielle remplacera la barrière protectrice naturelle de l’animal, jusqu’à ce qu’elle puisse se reformer toute seule. L’homme derrières les blessures La carapace de ciment permettra à la tortue d’évoluer dans son habitat en toute sécurité. L’artifice devrait tomber au fur et à mesure que sa peau se régénérera. Représentante de l’espèce Chelonia mydas, la tortue marine fait partie des animaux en voie d’extinction. Converti en centre pour reptiles blessés, le centre vétérinaire de Xalapa soigne de nombreux crocodiles, iguanes, tortues et autres animaux sauvages. Comme le déplore Eduardo Gazol, la main de l’homme se cache trop souvent derrière les blessures dont souffrent ses patients. Chocs contre des embarcations, hameçons coincés dans l’œsophage, étranglement dans les filets et asphyxie dues aux sacs plastiques et aux déchets sont les problèmes les plus rencontrés. Source
  3. La tortue luth retrouvée en Camargue venait des Caraïbes La tortue luth qui s'était échouée sur la plage de Salin-en-Giraud en Camargue est repartie vers le large. Selon le Midi Libre, elle était dans les Caraïbes l'an passé. Elle aurait donc parcouru environ 8.000 kilomètres. C'est une bague, fixée à la nageoire avant-droite de la tortue géante qui a permis de découvrir le singulier périple de la tortue géante. Elle signale quelle se trouvait dans l'archipel des Caraïbes de 2009 à 2011, où était surveillée par Nature Seaker, un groupe de volontaires engagés pour la protection de l'environnement. Le responsable de Nature Seekers, a expliqué que le reptile après avoir été bagué le 5 août 2009 sur la plage de Matura Beach sur la côte nord-est de Trinidad, a ensuite été repérée à deux reprises sur la même zone de ponte : les 3 mars et 4 avril 2011. Sa carapace mesurait alors 155 centimètres : la même taille que celle enregistrée lundi 6 août sur la plage de Piémanson. La tortue Luth aurait donc parcourue près de 8.000 kilomètres avant d'être découverte en Camargue. Elle est repartie, certainement très loin des côtes, preuve que la blessure qu'elle avait sous le plastron n'était pas profonde, selon Anne-Marie Nicolas, biologiste du Cest-Med. Source
  4. Astrid, le boa constrictor est rentrée chez elle C’était le 30 juillet dernier : Astrid un boa d’un mètre cinquante faussait compagnie à son propriétaire, un jeune homme résidant dans le quartier de la gare à Bourg-en-Bresse. Après s’être échappée par une de canalisation et malgré l’intervention des sapeurs-pompiers, Astrid s’était volatilisée dans la nature. Elle vient de refaire surface… chez son propriétaire ! Évidemment un début de psychose s’était installé en ville, les reptiles n’étant pas vraiment l’animal favori de l’homme, sans parler de l’arrivée d’une foule de journalistes. Pourtant, il n’y avait rien à craindre, Astrid était inoffensive car elle venait d’avaler un rat, et devait normalement digérer, sans avoir l’obligation de chercher autre chose à manger. Bref, il fallait attendre que le boa femelle ait envie de se dégourdir les écailles. C’est finalement, lundi soir après deux semaines passées dans un conduit de canalisation, que le reptile a rebroussé chemin pour retrouver la salle de bains et son terrarium pour le plus grand plaisir de son maître et surtout des voisins. Le feuilleton estival Astrid était terminé. Source
  5. 300 cas de piqûres de scorpion signalés De mars à juillet derniers, la daïra de Ksar Chellala, à l’est de la wilaya de Tiaret, a enregistré, selon une déclaration livrée à l’APS par les responsables de l’établissement public hospitalier, 300 cas de piqûres de scorpion. Notre source, qui souligne qu’aucune victime n’est à déplorer, précise que les populations les plus touchées sont celles des communes de Serguine, Zmalet émir Abdelkader et Ksar Chellala, où la canicule a sévi ces derniers temps. Pour rappel, cette région a connu 400 cas de piqûres d’arachnide en 2010, ayant coûté la vie à un adolescent de 16 ans, 500 en 2009 et plus de 200 en 2008. Néanmoins, à la faveur de la montée du mercure, d’autres cas ont été recensés au niveau des communes du flanc sud-ouest, comme Chehaima, Medna, Rosfa et Aïn Dheb, où 15 cas ont été enregistrés durant le mois de juin dernier, avec le décès d’un jeune homme de 34 ans. Au passage, il y a lieu de souligner aussi que les populations transhumantes sont les plus exposées à ce danger. Par ailleurs, la régression des cas de piqûres venimeuses du scorpion est expliquée par l’amélioration du cadre de vie des citoyens, notamment le bitumage des routes et la généralisation de l’éclairage public, ainsi que par la sensibilisation des citoyens au nettoyage de l’environnement immédiat des habitations. Dans ce contexte, des opérations de collecte et de ramassage de l’arachnide au profit de l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) ont été initiées à travers l’ensemble du territoire de la wilaya, dans le but d’empêcher la prolifération de l’espèce et permettre à l’IPA de fabriquer des sérums anti-venin. Selon un spécialiste en la matière, les victimes de piqûres de scorpion doivent être gardées en observation attentive durant au moins 4 heures pendant que les médecins rechercheront des symptômes et des signes d’instabilité du système nerveux autonome, douleur abdominales, fièvre à 39°C, hypertension, arythmie cardiaque et/ou difficultés respiratoires. "Donc si l’un de ces symptômes apparaît ou se développe, on achemine le sujet en urgence à l’hôpital", expliquera ce dernier qui précisera que les scorpions ne construisent pas de terriers et se rencontrent assez souvent dans les habitations à la recherche de l’humidité, d’où le danger permanent qu’ils constituent pour les personnes vivant dans des endroits caniculaires, notamment sous les tentes où les rafales de sable favorisent leur déplacement. Source
  6. Les piqûres de scorpions continuent à tuer Les piqûres de scorpions représentent la première cause de décès par l'envenimation en Algérie, ce qui induit donc, selon les spécialistes, des facteurs de gravité épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques. L’enfant de 7 ans, piqué mortellement mercredi dernier par un scorpion à El-Menéa, repose avec acuité le problème de l’envenimation des scorpions auquel il faut trouver des solutions urgentes. L'envenimation scorpionique, qui est une pathologie spécifique contrôlable par l'hygiène du milieu, représente l'un des plus importants problèmes de santé publique en Algérie et plus particulièrement au niveau des régions des Hauts-Plateaux et du Sud où, chaque année, plusieurs milliers de personnes sont piquées par les scorpions et dont une centaine, en moyenne, en décèdent. À l'approche de chaque été, le comité de wilaya de lutte contre les zoonoses et la direction de la santé de Ghardaïa lançaient une campagne de lutte contre l'envenimation scorpionique. Elle débutait généralement par un séminaire pour l'amélioration de la prise en charge thérapeutique des victimes de piqures de scorpions afin de diminuer le taux de létalité, ainsi que le recyclage des médecins urgentistes et paramédicaux dans le domaine de la prise en charge. La répartition du sérum antiscorpionique, fourni en quantité suffisante par l'Institut Pasteur d'Alger, était aussitôt ventilée sur l'ensemble des structures sanitaires de la wilaya. En parallèle, une campagne de ramassage des scorpions est organisée, l'unité était payée à 40 DA. À cet effet, une enveloppe conséquente était dégagée par la wilaya et mise à la disposition de toutes les APC. Afin que l'opération atteigne le but escompté, une campagne de sensibilisation était lancée tant sur les ondes de la radio locale que par des journées d'information dans les écoles et collèges de la wilaya. L'implication des services des APC est fondamentale, notamment dans le maintien de l'hygiène environnemental, tel que le ramassage systématique des ordures ménagères et des gravats, ainsi que l'entretien des trottoirs, la création d'espaces verts, l'entretien de l'éclairage public par le remplacement immédiat des ampoules grillées, sachant que le scorpion est un animal photophobe. C'est, entre autres, quelques unes des mesures adéquates et efficaces à appliquer contre la prolifération des scorpions, car il faut souligner que le scorpion est un animal millénaire, qui a survécu à tous les aléas. Selon des statistiques, les piqûres de scorpions représentent la première cause de décès par envenimation en Algérie, ce qui induit donc, selon les spécialistes, des facteurs de gravité épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques. Par conséquent, et afin d'infléchir la tendance à la baisse du taux de morbidité et de mortalité causées par les piqûres de scorpions, une stratégie de lutte contre les piqûres et envenimations a été alors élaborée à l'époque par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. L'un des segments de cette stratégie reposait sur la formation du personnel médical et paramédical, sur l'information, l'éducation et la communication par implication intersectorielle. Un comité national de lutte anti-scorpionique (CNLAS) constitué des secteurs de la santé, des collectivités locales et de la Protection civile a même été créé en 1987 à cet effet. C'est dire la dangerosité de cet animal, qui chaque année provoque des dégâts, quelques fois irréversibles, voire des décès dus, le plus souvent, comme c'est le cas de ce pauvre enfant, aux transferts tardifs des victimes vers les centres sanitaires. Sur la douzaine d'espèces de scorpions répertoriées, deux sont particulièrement dangereuses et sont, malheureusement, les plus répandues dans nos régions, il s'agit de l'androctonus australis et du buthus occitanus. La prolifération des scorpions, qui augmente le risque d'envenimation, est due à plusieurs facteurs, dont le manque d'hygiène, la promiscuité et l'obscurité. Il y a, au nombre de ces facteurs, la misère des populations qui, dans leur immense majorité, vivent dans des maisons très anciennes, sans aucun entretien. Selon un rapport du ministère de la Santé, datant de l'année 2000, sur la situation épidémiologique en Algérie, il est précisé que dans la 10e classification internationale des maladies (CIM10), l'envenimation scorpionique est classée dans le groupe “Effet toxique de substance d'origine essentiellement médicinale”. Source
  7. Lutte contre l'iguane invasif La Réserve Naturelle de Saint-Barthélemy lutte contre l'invasion d'espèces exotiques qui menacent l'environnement particulier de l'île. Partager vos observations serait une aide précieuse ! Appelez la Réserve Naturelle au 0690 31 70 73. Notre iguane local des Petites Antilles est gravement menacé par la présence d’un iguane invasif, l’iguane commun, amené sur l'île via des animaleries. Plus fort, il prend le dessus sur l’iguane des Petite Antilles, et se reproduit avec les femelles pour donner des hybrides. Ce phénomène condamne notre espèce, il nous faut absolument récupérer les iguanes communs invasifs pour les empêcher de se reproduire. Comment les reconnaître ? 
L'iguane des Petites Antilles a une queue unie, il peut être vert ou foncé en fonction de son âge et de son sexe. L'iguane commun possède une protubérance caractéristique sur la tête et présente une queue annelée (photographie ci-dessous). 
Nous recherchons les iguanes communs, ou hybrides comme ci-dessous. Signalez toute observation de ces iguanes à la Réserve Naturelle au 0690 31 70 73. Nous nous déplaçons et capturons les animaux invasifs pour permettre à l'espèce locale de survivre. Merci à tous ! Source
  8. Surprenant : Sinopoda scurion, l'araignée sans yeux du Laos Le Laos abrite déjà d'énormes araignées. Dorénavant, il possède également la première représentante totalement aveugle, faute d’yeux, de la famille des sparassidés : Sinopoda scurion. Cette nouvelle espèce est évidemment cavernicole. N’a-t-on rien trouvé d’autre dans les entrailles de la Terre ? Source de phobie chez certaines personnes, les araignées sont pourtant de redoutables prédateurs pouvant réguler des populations d’insectes et donc nous venir en aide. Plus de 40.000 espèces ont été répertoriées à ce jour dont un peu plus de 1.100 appartiennent à la famille des sparassidés. Ce taxon s’observe sur tous les continents, à l’exception des pôles. L’un de ses représentants vivant au Laos, Heteropoda maxima, présente une caractéristique que certains jugeront surprenante et d’autres effrayante : il peut atteindre 25 à 30 cm de long ! Cette famille vient de s’agrandir à la suite de la découverte, toujours au Laos, de 9 nouvelles espèces du genre Sinopoda. L’une d’entre elles présente même une propriété unique pour la famille des sparassidés : elle est aveugle car dépourvue d’yeux ! Cette information vient d’être présentée dans la revue Zootaxa par Peter Jäger du Senckenberg Research Institute à Frankfurt (Allemagne). Avec Sinopoda scurion, toute une série d’araignées cavernicoles Sinopoda scurion, c’est son nom, a été découverte en 2009 dans une grotte de la province de Khammuan, au Laos, à un peu plus de 100 km du site de Xe Bang Fai qui abrite une rivière souterraine géante. Sa longueur totale (pattes incluses) peut atteindre 6 cm. Le corps mesure quant à lui 1,2 cm de long. Comme pour d’autres animaux, la régression des yeux correspondrait à une adaptation au manque de lumière. À l'image des crabes, scorpions et poissons qui vivaient dans la même grotte, l’araignée est également dépourvue de pigmentation. Il s’agit, là aussi, d’une première pour un représentant du groupe des sparassidés. Les 8 autres espèces, toutes trouvées au sein de cavités laotiennes, présentaient également des adaptations plus ou moins importantes à la vie cavernicole. Sinopoda taa, mise au jour en décembre 2010 à Tham Nguen, possède par exemple toujours 8 yeux, un standard chez les sparassidés. En revanche, Sinopoda guap, collectée pour la première fois en février 2004 à Tham Nam Non, et Sinopoda soong, observée durant le mois d'avril 2012 à Tham Pha Yot, n’en présentent respectivement plus que 6 et 2. Grâce à ces découvertes et au fait qu’elles aient toutes eu lieu au sein de milieux petits et confinés, l’auteur pense qu’il sera possible d’étudier plus précisément les processus liés à l’adaptation à la vie cavernicole (notamment la disparation des yeux), ainsi que l’historique des colonisations, chez ces araignées. Il suggère également d’utiliser ces organismes comme indicateurs pour étudier l’impact des pressions exercées par le tourisme et les industries minières (extraction de calcaire) sur les écosystèmes souterrains. Par Quentin Mauguit, Futura-Sciences Source
  9. Lycéenne et passionnée de reptiles, Anne-Sophie est un vrai caméléon ! Elle a dix-sept ans, une vie d'ado tout ce qu'il y a de normale, mais Anne-Sophie Mailly a un petit truc en plus : la demoiselle est passionnée par les reptiles. À la maison, sous l'oeil de ses parents complices, elle a fait de la place au salon pour le bien-être de ses protégés. Qu'on parle de reptiles et aussitôt, c'est l'image de serpents sifflants et rampants qui surgit. Vision réductrice d'un genre tellement plus riche ! Dans la maison familiale de la rue Berthelot, Anne-Sophie Mailly, future élève en terminale scientifique, le prouve par a + b en faisant les présentations avec un petit monde qui a colonisé le salon : un pogona, des gekkos, et puis des caméléons. « Là, c'est un couple, Léon et Léa. » Deux créatures gracieuses aux pattes souples qui, pour épater la visiteuse, passent de branche en branche. Dans le coin opposé, une autre source lumineuse capte le regard. Oh ! Des caméléons encore, mais tout petits. « C'est la deuxième portée ! » L'élevage n'est pas une fin en soi mais Anne-Sophie se réjouit d'avoir eu la main plus heureuse que la première fois : 13 oeufs ont éclos sur une cinquantaine pondus dans le sable par la femelle, pas mal pour une débutante ! Forte des conseils d'un vétérinaire et de trucs dénichés dans des forums, elle a « enlevé le sable au pinceau ». Comme une archéologue, précise Delphine, sa maman. « Je les ai transférés dans une boîte de vermiculite, une sorte d'isolant, avant de les placer dans un incubateur. » Un jeu de patience qui peut durer de 5 à 9 mois. « Je surveillais tous les jours pour retirer les oeufs morts, sinon les bactéries pourraient contaminer les autres. » Sonne enfin l'heure de la récompense. « C'est comme une naissance, s'émeut Delphine. Tous les jours on voyait un oeuf éclore... » Après l'incubateur, le « flexarium », une cage spéciale idéalement aérée et éclairée pour recréer « un milieu tropical ». Précoce, le bébé caméléon se lance après quelques heures à la chasse au criquet et au grillon. Et là, Anne-Sophie à la voix douce avoue qu'elle n'hésite pas à arracher des pattes pour truquer la chasse. Complices, Alain et Delphine, les parents, laissent faire. Un contrat tacite a cours dans une maison où Anne-Sophie a trouvé le bon tempo. « Le matin, au réveil, je m'occupe du cochon d'Inde et des oiseaux, comme ça c'est fait pour la journée. » Oui, parce qu'elle n'aime pas que les reptiles ! Un chien aboie aussi au jardin. « Puis je nourris les bébés caméléons. À midi, c'est le tour des adultes et du pogona. » Alain sourit : « Je ne peux plus désherber le jardin : elle cueille les pissenlits ! » Les gekkos, créatures du désert, sont moins exigeants de son temps. Et plus fragiles à manipuler, variations de température oblige. Pas comme le pogona : « Elle se balade dans la maison avec lui perché sur son épaule ! » Son papa s'en amuse, qui pour aider sa fille à parfaire ses connaissances, s'est inscrit avec elle au Béthunarium - ils se réjouissent d'avance de s'impliquer dans la bourse aux reptiles (lire ci-dessous). Il faut dire que la passion a piqué toute la famille en même temps. « Il y a trois, nous étions en vacances dans le Gard et il y avait plein de lézards au bord de la piscine... » Un signe, quoi. Le rêve d'Anne-Sophie a un prix mais pas ruineux non plus. Bricoleur malgré lui, Alain a fabriqué à partir de meubles de salles de bain les « appartements » des gekkos. Les caméléons, ils les ont payés une cinquantaine d'euros à un autre passionné. Et puis ils vendront les bébés... mais en garderont quelques-uns : « On nous a dit que les caméléons ne vivaient que 4 ans. » Anne-Sophie, qui rêve d'un métier lui permettant de s'occuper de reptiles (peu d'écoles en proposent) s'emploie à allonger leur espérance de vie. Et répète qu'elle adorerait adopter un serpent mais là, Delphine refuse tout net. « Elle m'en a tellement parlé l'an dernier que je lui en ai offert un beau... mais en peluche ! » Source
  10. Une tortue, vétéran de la Première Guerre mondiale, cherche un maître La tortue méditerranéenne qui s’appelle Blake, est à la recherche d'un nouveau propriétaire, rapporte The Sun. Blake a été pris d’un champ de bataille sur la péninsule de Gallipoli en Turquie par un soldat britannique qui s’appelle Marris au cours de la Première Guerre mondiale de 1915. En 1916, le soldat a rapporté la tortue en Grande-Bretagne, écrit le Daily Mail. Le premier propriétaire de Blake est mort il y a 30 ans. En 1983, Blake a été repris par une militante pour la protection des animaux Marion Skinner, actuellement âgée de 67 ans, et qui n’a plus la santé de s’occuper de la tortue. Skinner a dit qu'avec l'âge, la vue de Blake s’est détériorée, mais il continue à s’accoupler activement avec des femelles. En attendant son nouveau maître, Blake vit dans un service d’accueil pour les animaux Norfolk Tortoise Club. Source
  11. Boa en fuite Saguenay, le propriétaire d’un boa constrictor mesurant environ trois pieds est sans nouvelles de son serpent qui est en fuite depuis samedi dans le secteur de la rue du Roi à Jonquière. En après-midi, le maître de l’animal, a quitté son terrain, laissant le boa sans surveillance. À son retour, quelques heures plus tard, le serpent avait disparu du paysage. La dernière fois que le propriétaire a vu le serpent, celui-ci grimpait à un arbre. En fin d’après-midi samedi, l’homme a quitté sa résidence pour un souper entre amis. Lorsqu’il s’est soudainement souvenu de son oubli, il est revenu chez lui, il a tenté de retracer le boa, mais sans succès. Il a aussitôt avisé son voisinage et les policiers qui ont lancé un appel aux résidents du secteur en leur demandant d’être à la fois vigilants et aux aguets. « Je crains pour la personne qui va le retrouver. Si c’est une personne âgée, est-ce qu’elle va avoir une crise de cœur, si c’est un enfant, est-ce qu’il va se faire faire mal », a confié à TVA Nouvelles, le propriétaire qui préfère ne pas être identifié. Pas venimeux Le boa constrictor n’est pas dangereux en soit, nous explique Jean-François Fortin, de l’animalerie Jonas. « Il s’agit de s’approcher doucement et de le placer dans un sac ou une taie d’oreiller à l’aide d’un bâton. Ce n’est pas un serpent venimeux », précise-t-il. Le propriétaire de l’animal a tout mis en œuvre pour tenter de le retrouver, il a installé un vivarium sur son terrain en espérant que la chaleur qui s’en dégagera incitera le boa à rentrer au bercail. Toute personne qui apercevra le serpent doit communiquer avec la SPCA locale ou les policiers de Saguenay. Source
  12. Grenouille - Un Dragon ! Dans mon jardin L’Aquitaine présente 15 espèces d’Amphibiens indigènes et une espèce introduite, la Grenouille taureau[1] (Lithobates catesbeianus). La richesse de cette batrachofaune s’explique par la diversité des milieux présents : dunes, marais, forêt, bocage, pelouses calcaires, landes, tourbières… Si le déclin des Amphibiens est annoncé à ... ..... l’échelle mondiale, ceux d’Aquitaine ne sont pas moins menacés par la dégradation de leurs habitats, par l’apparition d’obstacles à leur migration, etc. La préservation de cette biodiversité passe par une meilleure connaissance de ces espèces par les naturalistes (inventaires) et le grand public (sensibilisation). Dans un double objectif de préservation de la biodiversité et d’éducation à l’environnement, l’Union régionale des CPIE d’Aquitaine lance le programme UN DRAGON ! Dans MON jardin ? Cet Observatoire Local de la Biodiversité, véritable opération de sciences participatives, invite tous les citoyens aquitains à s’intéresser aux Amphibiens. Parmi les rôles des CPIE, il y a celui d’éduquer à l’environnement. Cette campagne vise à faire connaître les Amphibiens au grand public. C’est une invitation à porter attention sur ce groupe d’espèces, sur leurs habitats, leurs mœurs. Au-delà d’apprendre au grand public à identifier et connaître les Amphibiens, cette opération est aussi un prétexte à aborder des enjeux environnementaux plus globaux : la dégradation de la qualité de l’eau, la destruction des habitats (zones humides), le réchauffement climatique, les problèmes liés aux espèces invasives et aux nouvelles maladies. Ce projet a aussi pour intérêt de récolter des données naturalistes chez les particuliers et ainsi d’affiner les cartes de répartition de la batrachofaune aquitaine. Au fond de votre jardin, dans un fossé, au bord d’une petite mare ou d’un étang, vous croiserez sûrement un petit Dragon. Prenez-le en photo et envoyez-la au CPIE le plus proche de chez vous. Il vous aidera à l’identifier. Dans le cadre de la campagne UN DRAGON ! Dans MON jardin ? Plusieurs outils sont à disposition permettant notamment d’identifier les Amphibiens et de comprendre les enjeux liés à la préservation de leurs milieux. Tout au long de l’année les 7 CPIE d’Aquitaine proposent des animations, des projections, des conférences et des expositions sur la thématique « Amphibiens et zones humides ». Source
  13. Les parasites pourraient devenir plus virulents avec le changement climatique Les parasites pourraient devenir plus virulents à cause du changement climatique, d’après une étude montrant que les grenouilles souffrent davantage d’infections à un champignon lorsqu’elles sont exposées à des changements intempestifs de température. Les parasites, dont le ténia –aussi appelé ver solitaire- qui est un petit organisme qui peut causer la malaria ou des champignons, pourraient devenir plus résistants en s’adaptant mieux aux changements climatiques que les animaux sur lesquels ils vivent, dans la mesure où ils sont plus petits et grandissent plus rapidement, d’après ce qu’ont déclaré des scientifiques. « Une augmentation de la variabilité du climat est susceptible de permettre aux parasites d'infecter plus facilement leurs hôtes » a déclaré Thomas Raffel de l’Université d’Oakland aux Etats-Unis, en se basant sur les découvertes au sujet des grenouilles et sur un champignon parfois mortel. « Nous pensons que cela pourrait exacerber les effets de certaines maladies » a-t-il déclaré à propos du rapport qu’il a conduit avec des collègues de l’Université de Floride du Sud. L’étude sera publiée dans l’édition de lundi du journal Nature Climate Change. Le Groupe Intergouvernemental d’experts des Nations Unies sur l’Evolution du Climat (GIEC) a déclaré que le réchauffement climatique devrait faire augmenter le nombre de canicules, d’inondations, de tempêtes, d’incendies et de sécheresses, et aura pour effet d’étendre la portée géographique de certaines maladies. Et le changement climatique, causé par les gaz à effet de serre rejetés par la combustion des carburants fossiles, est également susceptible d’entraîner davantage de changements de températures. « Peu d’études ont envisagé les effets de la variabilité du climat ou de la prévisibilité sur les maladies, alors qu’il est probable que les hôtes et les parasites auront des réponses différentielles aux changements climatiques » ont-ils écrit. Les scientifiques ont exposé une espèce de grenouille des arbres cubaine dans 80 incubateurs de laboratoire à différentes températures et à une infection au champignon Batrachochytrium dendrobatidis, qui est souvent mortelle pour les amphibiens. Dans une expérience, les grenouilles ont été maintenues à une température de 25°C pendant quatre semaines et ont été plus infectées lorsqu’elles ont été transférées dans des incubateurs à 15°C que les grenouilles qui vivaient déjà dans l’incubateur à 15°C. « Si vous changez la température, une grenouille est plus susceptible de développer une infection qu’une grenouille qui est déjà adaptée à la température » a déclaré Thomas Raffel. Dans un autre test, les grenouilles qui ont été exposées à des variations prévisibles et quotidiennes des températures entre 15 et 25°C, typiques des changements de températures entre la nuit et le jour, arrivaient bien mieux à résister au champignon. En se basant sur des facteurs tels que leur taille, la durée de vie, ainsi que leur métabolisme, les scientifiques ont déclaré que les grenouilles mettaient probablement dix fois plus longtemps que les champignons pour s’habituer aux changements inattendus de températures, un processus appelé l’acclimatation. Thomas Raffel a déclaré que davantage de tests étaient nécessaires sur d’autres parasites et hôtes pour confirmer ces découvertes. « Cette étude est la seule à avoir été faite sur une seule espèce de grenouille tropicale » a-t-il déclaré. Il a ajouté qu’il ne connaissait aucune autre étude à propos d’autres parasites tels que la malaria, par exemple, qui pourrait être affectés par des changements de températures qui affectent à la fois les hôtes humains et moustiques. Cependant, il a déclaré qu’il était possible que des créatures à sang froid telles que les grenouilles, les insectes, les reptiles ou les poissons puissent être plus sensibles aux parasites en cas de changements de températures que les créatures à sang chaud. Source
  14. Le lézard ocellé hôte des Calanques et bientôt choyé Présent dans huit régions françaises, notamment dans les Calanques et la Crau, le lézard ocellé est menacé de disparition. Un plan national est en préparation pour inverser la tendance, qui passe entres autres par l'achat de terrains. Avec son sol parsemé de cailloux et son soleil en abondance, la plaine de la Crau est un paradis pour le lézard ocellé. Mais ce qui en constituait il y a une dizaine d'années l'un des viviers les plus importants en France a vu sa population "dégringoler à vitesse grand V, avec une diminution des effectifs de deux tiers", note Vincent Kulesza, président du Conservatoire des espaces naturels de Provence-Alpes-Côte d'Azur (CEN PACA), qui gère notamment la réserve naturelle nationale de la Crau. Un cas malheureusement pas isolé pour le plus grand lézard d'Europe - il peut atteindre 70 cm et vivre plus de 10 ans - présent au niveau national sur le pourtour méditerranéen et le long de la façade atlantique. Malgré la protection au niveau européen dont elle bénéficie, cette espèce classée depuis peu sur la liste rouge de l'UICN, "est sous l’influence de graves pressions et menaces. Les perspectives ne nous permettent pas d’assurer une viabilité et une conservation à long terme des populations", s'alarme l'état des lieux d'un plan national d'action (PNA) soumis depuis le 7 août à consultation par le ministère du Développement durable, l'un des dernières étapes avant sa validation finale. Un plan sur 5 ans renouvelable Ce dispositif tourné vers l'opérationnel - qui dans les Bouches-du-Rhône est notamment utilisé pour sauver l'aigle de Bonelli - prévoit sur la période 2012-2016 de mettre en place 21 actions où sont invitées à participer services de l'Etat, collectivités, organismes de protection de l'environnement, chercheurs... Résumé du plan : "une meilleure connaissance de la répartition, un suivi des populations phares, la recréation de corridors biologiques et une meilleure information du public", commente Vincent Kulesza. Vu "l'ampleur de la tâche", le document anticipe déjà une reconduction, comme c'est le cas actuellement pour la vipère d'Orsini. Et pourquoi pas, glisse le président du CEN PACA, "une évolution vers un programme européen Life, comme pour la vipère d'Orsini et la tortue d'Hermann". Qu'arrive-t-il au lézard ocellé ? L'une des pistes du PNA, qui vise aussi à mieux répondre à cette question, est de pousser l'étude des effets des produits chimiques, "liés par exemple en Crau à des exploitations agricoles (pêchers, élevage)", indique Vincent Kulesza. Il cite aussi une possible maladie virale et le braconnage, dont les conséquences sont difficiles à estimer : "il peut ne pas y en avoir pendant cinq ans puis quelqu'un peut passer et récolter 10, 50 lézards". Sur ce point, "outre les actions de communication sur le long terme qu’il convient de mener", le PNA demande aux autorités "un renforcement des contrôles et des sanctions." Acheter des terrains pour protéger Comme beaucoup d'autres espèces, le lézard ocellé est aussi victime du "morcellement de son habitat, dû aux infrastructures linéaires (routes et chemin de fer) et à l'urbanisation, qui fait qu'il n'y a plus de contact entre les populations", explique Vincent Kulesza. D'où la nécessité de préserver voire reconstituer "ces fameuses trames vertes et bleues, que nous appelons corridors biologiques". Le remède est certainement l'aspect qui sera le plus tangible du plan : "constituer un réseau cohérent et consistant d’espaces protégés permettant d’assurer la conservation de l’espèce". "Pour l'instant, on n'a jamais acquis de terrains spécifiquement pour le lézard ocellé", commente Vincent Kulesza, pour qui les Bouches-du-Rhône regorgent "de micro-espaces" favorables à ce type de protection. Très rapidement, le lézard ocellé va aussi pouvoir compter sur le parc national des Calanques, qu'il fréquente assidûment. "Il pourrait en être un des emblèmes, avec le phyllodactile d'Europe (un reptile rose beaucoup plus petit présent sur les îles, ndlr)", estime le technicien. Pour lui, le parc "va bonifier le suivi scientifique, permettre un financement plus aisé des actions. Et dans les parcs nationaux, on a immédiatement un minimum de respect des sites, qu'on n'a pas dans un parc régional et même une réserve nationale". Du côté du PNC, on rappelle toutefois que pour l'instant "tout est encore à mettre en place", du conseil d'administration aux équipes, et qu'il faudra attendre début 2013 pour les premières actions. Fiche d'identité Le lézard ocellé doit son nom aux tâches bleues qui ornent ses flancs. Cette couleur ne doit rien au hasard, puisqu'elle permet de maximiser la chaleur captée, explique Vincent Kulesza. L'homme ne s'y est d'ailleurs pas trompé lorsqu'il s'est agi de fabriquer des panneaux solaires... Cette caractéristique fait qu'"il est très souvent confondu avec le lézard vert, qui a une gorge bleue". Friand d'insectes mais ne dédaignant pas des lézard plus petits, il s'anime à partir du printemps, pointant souvent le museau hors de son terrier, qu'il emprunte parfois au lapin de garenne. C'est là qu'on peut le plus facilement l'apercevoir, "très difficilement en journée", précise Vincent Kulesza. Ils s'observent surtout tôt ou tard et à la jumelle car ils sont très craintifs." Un conseil : se positionner en surplomb, comme le fait le circaète Jean-le-Blanc, un de ses principaux prédateurs avec les autres rapaces et les serpents. Source
  15. La fourrière pour un python de Birmanie Suite à une plainte d’un citoyen, la municipalité a dû agir contre une locataire d’un immeuble à loyer de la rue Réal qui possédait un python de Birmanie de 120 livres et mesurant 12 pieds. Selon le règlement municipal, «la garde de tout reptile et plus particulièrement de serpents, lézards, crocodiles, iguanes est interdite sur tout le territoire de la municipalité», «la garde de tout félin» ou un chien de certaines races dangereuses. La dame vit à La Tuque depuis un an et demi, mais réside depuis peu sur la rue Réal. Le serpent immense demeure avec elle depuis plus de 15 ans. Les autorités municipales se sont rendues chez la dame vendredi matin. D’un commun accord, la Ville et la dame se sont entendues sur la façon et les dispositions pour mettre le python en fourrière, jusqu’à ce que la propriétaire prenne une décision. Soit elle déménage, ou elle fait euthanasier le reptile. «Il ne peut pas y avoir de mesures spéciales pour un propriétaire d’un tel animal sur le territoire de La Tuque, précise le greffier municipal, Jean-Sébastien Poirier. Il s’agit d’une situation inhabituelle, puisqu’à ma connaissance, c’est la première fois que la municipalité intervient pour un tel cas. Lors de notre intervention vendredi dernier, le serpent était libre dans le loyer.» La propriétaire du python à accès à la fourrière municipale afin de nourrir et de prendre soin de son «bébé». Selon Wikipédia, le python indien (Python molurus), est difficilement accessible sur le marché. En raison de sa grande taille à l'âge adulte et de sa puissance, sa maintenance n'est pas des plus aisée. Il se nourrit principalement de mammifères, d’oiseaux, et de reptiles. En captivité, il doit être nourri de mammifères, notamment des lièvres. Source
  16. Un alligator se joint à la fête de l'US PGA! Un alligator a pointé le bout de son nez au bord du green de l'US PGA à Kiawah Island (Caroline du Sud). Le reptile ne s'est pas contenté de regarder: il s'est aussi offert un gros serpent en guise de repas! Ce n'est pas la première fois que des golfeurs ont l'honneur de rencontrer un alligator à côté de leur parcours. En avril, lors du RBC Heritage, également en Caroline du Sud, un alligator a voulu se joindre à la partie de Brian Gay, qui avait envoyé sa balle un peu trop près de l'étang... Son caddie avait dû se dévouer pour repousser le reptile dans l'eau! Heureusement, chaque fois plus de peur que de mal... Enfin, sauf pour le pauvre serpent! (Teleclub AF) Source
  17. Un alligator mord son dresseur OHIO (ÉTATS-UNIS) — Spectaculaire accident lors d’une démonstration animalière, jeudi dernier. Pour les besoins de son show, le dresseur Daniel Beck avait d’abord passé plusieurs fois son bras dans la gueule de l’animal, sans que ce dernier ne l’attaque. Mais les choses ont mal tourné lorsqu’il a tenté de montrer comment attraper un animal de ce type dans une pataugeoire. Passablement agité, l’alligator a profité d’une glissade Daniel Beck pour le mordre au bras. La scène a suscité la stupéfaction dans le public et a poussé son collègue à lui prêter main forte. Finalement libérée, la victime a rapidement pris la poudre d’escampette. De nombreux points de sutures ont été nécessaires pour refermer sa blessure. Il a pris l’entière responsabilité des événements et a déclaré que l’alligator ne risquait rien. Le spectacle a depuis été supprimé. Source
  18. DIRECTION RÉGIONALE DE LA DOUANE DE L’OUEST : 258 peaux de crocodile et de serpent saisies chez des voyageurs La direction régionale de la douane de l’Ouest a présenté le 9 août 2012 à la presse, la drogue et divers autres objets qu’elle a saisis au cours de ces dernières semaines. Les objets saisis étaient composés de 247 peaux de crocodile, 11 de serpent, 991 kg de chanvre indien, 5 197 boîtes d’herbicides contrefaites et 7 tortues. La quantité de drogue a été saisie au cours de ce seul mois de juillet 2012. Ce sont au total 4 tonnes de drogue que la douane a récupérées au cours du premier semestre de l’année 2012. Si la saisie des drogues est fréquente, ce n’est pas le cas pour les peaux des animaux. C’est probablement dans le Sud-Ouest du Burkina ou dans les pays limitrophes que ces peaux ont été collectées. Elles sont destinées à être écouler dans la sous-région ou hors du continent où ces peaux sont chèrement vendues. Ces différents objets ont été saisis des mains des voyageurs lors des contrôles effectués par la brigade de Bobo-Dioulasso et de Fô. Selon le directeur régional de la douane de l’Ouest, Victorien Zoungrana « c’est essentiellement lors des contrôles que les agents font sur les routes, que les peaux et les drogues ont pu être saisies. Les passagers se plaignent des contrôles que nous effectuons sur les axes routiers. Mais tout ce qui été saisi a été trouvé sur les passagers. C’est pour cela qu’il est nécessaire pour les agents de toujours faire les contrôles afin de protéger la santé de la population et l’environnement ». Pour le directeur régional de la douane, les objets saisis ont des conséquences néfastes sur la santé de la population et aussi sur l’environnement. En effet et selon le directeur national des eaux et forêts, Alassane Cheick Traoré, les animaux qui ont été abattus jouent un rôle important dans l’équilibre de l’écosystème. Aussi, sont-ils des espèces protégées qui risquent de disparaitre si on ne met pas fin à leur abattage clandestin. Le directeur régional de la douane et le directeur des eaux et forêts ont tous invité la population à plus de collaboration pour mettre fin à la circulation de la drogue et au commerce des produits issus des animaux en général et ceux protégés en particulier. Adaman DRABO Source
  19. Quelqu'un m'a envoyé ce lien par email http://www.e-puzzles.fr/puzzles-animaux/crotale.html Pour les amateurs de puzzles, amusez vous bien!
  20. Promenade en nature : quand la vipère sort ses crocs Les mordus de la nature mettent à profit les vacances pour se sentir l’âme d’un Indiana Jones et explorer des sentiers perdus. Mais comme au cinéma, il peut arriver de faire de mauvaises rencontres… en se faisant notamment mordre par une vipère. La Fédération Française de Randonnées (FFR) estime que « dans l’hexagone le nombre de morsures de vipères est estimé à 1 000 par an ». Et les deux espèces les vipères que l’on a le plus de chance de croiser, dans les broussailles, sont la vipère péliade (Vipera berus) et la vipère aspic (Vipera aspis). Ce mois-ci, en Algérie, les vipères sont les « vedettes » des quotidiens. Dans la localité d’El Melaàb, où un nombre toujours plus impressionnant de reptiles est observé cet été, les morsures de serpents, dont pas une seule n'a été mortelle, sont fréquentes. Mais le 7 août dernier, c’est à son domicile, entre la chambre à coucher et la cuisine, qu’une femme âgée de 30 ans a été mordue par une vipère. Rien de grave : Prise d’un malaise, elle a pu recevoir des soins dans une polyclinique avant de rejoindre ses proches. Fait divers propre à l’exotisme de l’Afrique ? Pas vraiment. De notre côté de la Méditerranée, en France, les serpents profitent également de l’été pour se chauffer au soleil. Et vipères (venimeuses) comme couleuvres (non venimeuses) se glissent dans les jardins, les murs, les arbres et sous les pierres. La FFR précise que « la vipère vit essentiellement dans la rocaille, les herbes sèches et au bord de l’eau. Elle se découvre particulièrement de mars à octobre, en fonction de la chaleur ». Généralement, les serpents ne sont pas agressifs et prennent la fuite à la moindre vibration. Ils ne passent à l’offensive que lorsqu’ils se sentent attaqués : ils mordent alors pour se défendre. Pas de panique, donc, puisque la probabilité de se faire mordre par un serpent (ou de se faire piquer par un scorpion) est inférieure à 1 pour 10 000 personnes par an. Peu de drames sont par ailleurs constatés : Si les morsures de serpents sont dangereuses, elles sont très rarement fatales : Selon le quotidien Le Progrès, ces reptiles occasionneraient de 1 à 5 décès par an, et « chez des personnes allergiques ou fragiles uniquement ». Que faire, donc, en cas de morsure ? Assurez-vous que l’animal indélicat est bien une vipère : sa morsure se caractérise par deux piqûres, à l’image de deux crochets plantés dans la peau. Il convient alors d’appeler les secours (le Samu ou les pompiers). Il faut également rassurer la victime, qui devrait sentir dans la majorité des cas des crampes et des engourdissements. La personne mordue doit être installée en position allongée, et il peut être bénéfique (en attendant l’arrivée des soins) de nettoyer la blessure avec de l’eau et du savon en appliquant un antiseptique. Attention cependant à ne pas inciser la plaie, car la morsure pourrait s’en trouver surinfectée. Il faut également s’abstenir de mettre un garrot, car le venin se répendrait dans le corps en longeant les gaines nerveuses. Pas la peine non plus d’aspirer le venin ou de prendre de l’aspirine. Quant aux boissons comme le thé, le café ou l’alcool, il vaut mieux les éviter car elles accélèrent le rythme cardiaque et par conséquent la diffusion du venin. Source
  21. La tortue imbriquée Populations et menaces Espèce menacée et en danger critique d’extinction selon le livre rouge de l’UICN, la tortue imbriquée, Eretmochelys imbricata, connaît une baisse continuelle de ses effectifs mondiaux. Elle est victime d’une surexploitation depuis des siècles pour la beauté et l’épaisseur de son écaille qui peut se souder à chaud pour créer des objets (lunettes, bijoux, coffrets,…). Répartition et biotope C’est la plus tropicale des tortues marines. Elle est généralement liée aux formations coralliennes. C’est une espèce côtière et solitaire qui nidifie de façon préférentielle en milieu insulaire et dans des substrats grossiers. Sa nidification peut être diurne. Le long des côtes africaines, ses meilleurs sites de ponte sont dans les Seychelles et les Comores. Nidification en Somalie, au Kenya, en Tanzanie, à Madagascar. En Afrique occidentale, de petits cheptels reproducteurs sont identifiés, mais encore mal quantifiés dans l’archipel des Bijagos (Guinée Bissau), en Guinée (îles de Loos, îles Tristao), et dans le golfe de Guinée sur les îles de Bioko, Princípe, São Tomé, Las Rolas, et Corisco. Biologie La Tortue imbriquée est carnivore, avec une tendance à la spongivorie. À part les Éponges, ses proies sont des Anémones, des bivalves, des Oursins qu’elle arrive à déloger de leur support ou de leur cachette à l’aide de son long bec crochu. Elle pond deux ou trois fois par saison à intervalles de 15 jours. Les pontes comprennent 70 à 200 oeufs et le cycle de reproduction s’étale sur 2 ou 3 ans. Description La tortue imbriquée mesure de 80 cm à 1 m pour un poids d’environ 140 kg. Le nouveau-né mesure en moyenne 4 cm pour un poids de 15 g. Sa dossière est assez elliptique, étroite, recouverte de plaques imbriquées comme les tuiles d’un toit. L’imbrication peut s’estomper en vieillissant. Sa tête est petite, comprimée, allongée, à museau étroit, armé d’un bec fort, pointu et crochu. Ses membres antérieurs sont trapus avec deux griffes chacun. La coloration de la dossière est très variable, dans une gamme étendue de couleurs chaudes et vives, avec des radiations, des stries et des mouchetures très contrastées claires et sombres. La couleur générale des parties molles est souvent dans des tons ambrés avec des ornementations marron, rouge, noir, jaune. La face supérieure des pattes, des parties molles, de la tête, du cou et de la queue sont jaune orangé à brun rouge, avec des écailles lisérées de jaune vif. Le plastron est blanc jaunâtre, jaune doré à ocre, parfois sali de brun. Source
  22. Une tortue fait trempette dans le Rhin par Olivia Fuchs - Des Bâlois ont découvert, vendredi après-midi, une tortue en train de nager tranquillement dans le Rhin. Impossible de définir avec certitude si elle a été abandonnée là par ses propriétaires ou si elle s'est enfuie toute seule. Le lecteur-reporter Selim Benayat était en train de bronzer au bord du Rhin à Bâle quand il a aperçu un drôle d'animal dans l'eau: «J'en croyais pas mes yeux. J'ai été très étonné de voir une tortue à Bâle», a raconté à «20 Minuten» l'étudiant en microbiologie et biologie moléculaire à l'Université de Bâle. Pas une espèce locale Robert Zingg, du Zoo de Zurich, a confirmé qu'il est fort probable qu'il s'agisse d'une tortue aquatique: «Je ne sais pas de quelle espèce elle est. On n'arrive pas à le voir sur la photo, mais il ne s'agit pas d'une espèce locale.» Selon Robert Zingg, soit la tortue s'est enfuie, soit elle a été abandonnée par ses propriétaires. «Il arrive souvent que des tortues quittent leur enclos ou alors que des personnes les lâchent dans la nature parce qu'elles sont devenues trop grandes», a expliqué le collaborateur du Zoo de Zurich. Trop grandes Tanja Dietrich, porte-parole du Zoo de Bâle, partage son avis: «Les gens achètent des tortues quand elles sont encore petites et mignonnes. Ces animaux sont ensuite abandonnés lorsqu'ils deviennent trop grands.» Source
  23. Un python femelle géant rempli de 87 oeufs retrouvé en Floride MIAMI (Etats-Unis) - Le plus grand des pythons jamais trouvé en Floride, un reptile de plus de 5 m et 70 kg, a été attrapé dans le Parc national des Everglades, avec 87 oeufs, ce qui constitue aussi un record, ont annoncé mardi des scientifiques. C'est une chose monstrueuse, il est large de 30 cm et long de 5,35 m, s'est écrié Kenneth Krysko, directeur de la collection de reptiles au Musée d'Histoire nationale de Floride. Il s'agit d'un python molure (python molurus), ou python de Birmanie, originaire d'Asie du Sud-Est et trouvé pour la première fois dans les Everglades en 1979 où il a été introduit illégalement. Se nourrisant d'oiseaux, de cerfs, de lynx, d'alligators et d'autres grands mammifères, il n'a pas de prédateur naturel et les estimations sur sa population aux Etats-Unis varient de milliers à des centaines de milliers d'exemplaires. Ils constituent un problème pour la faune locale par leur nombre, leur longévité et leur capacité à se reproduire abondamment. Ces serpents survivent longtemps dans la nature, a indiqué M. Krysko, relevant l'importance d'avoir trouvé un si grand specimen. Rien ne les arrête et les animaux originaires du parc sont en difficulté, a-t-il ajouté. Une augmentation rapide de leur nombre a conduit à des lois fédérales récentes qui interdisent la possession ou le transport sans autorisation de ce genre de python. Les habitants de Floride peuvent aussi les chasser durant certaines saisons avec un permis. Ils étaient ici il y a 25 ans, mais en très petit nombre et il était difficile d'en trouver en raison de leur aptitude à se cacher, a expliqué M. Krysko. A présent, vous pouvez aller dans les Everglades à peu près tous les jours de la semaine et trouver un python de Birmanie. Nous en avons trouvé 14 en un seul jour, a-t-il ajouté. M. Krysko a rapporté que l'estomac du python géant contenait des plumes d'oiseaux que les chercheurs sauront identifier. En étudiant ce que cet animal a mangé et sa façon de se reproduire, nous espérons comprendre comment mieux réussir à nous occuper des pythons de Birmanie sauvages dans le futur, a-t-il noté. Skip Snow, un biologiste du Parc national des Everglades, a ajouté que les analyses du python allait aider à stopper la prolifération de cette espèce. Il n'y a pas beaucoup d'éléments pour savoir combien d'oeufs une grande femmelle peut porter à l'état sauvage, a relevé M. Snow qui ajoute que cet exemple montre que cet animal se reproduit en grand nombre, ce qui explique son caractère envahissant. A l'issue des recherches scientifiques, le serpent sera exposé au musée et retournera au Parc des Everglades... sous une vitrine. (AFP / 14 août 2012 11h09) Source
  24. J'ai arrangé le tout pour rendre les photos visibles.
  25. Le scorpion fait 4 morts à Ouargla La wilaya de Ouargla, classée 4eme en matière d’envenimation scorpionique au niveau national connaît un été caniculaire où le scorpion prend possession des lieux notamment durant les soirées fraîches. 4 décès dont un nourrisson sur les 981 cas d’envenimation scorpionique ont été enregistrés depuis le début de l’été. Des chiffres dans la moyenne annuelle saisonnière selon le service d’épidémiologie de la direction de la santé de la wilaya qui recense une moyenne de 4000 cas par an. L’envenimation scorpionique reste un grand problème de santé publique dans cette wilaya du sud ou le scorpion est la hantise des habitants des quartiers populaires notamment mais aussi la zone urbaine de premier ordre proprement dite puisque l’hygiène et l’éclairage publics posent encore des soucis de même que les aménagements urbains au niveau des nouveaux lotissements tels que Hai Ennasr et El Mostakbel et globalement les quartiers où les aménagements de façade ne sont pas encore parvenus ou ne parviendront pas avec l’actuelle campagne de repavage des trottoirs et ruelles. L’information pertinente est qu’on puisse encore être nombreux à mourir parce que un scorpion a réussi à s’introduire chez soi malgré toutes les consignes de prudence, franchir toutes les sentinelles et se cacher dans un habit ou un drap comme se fut le cas pour le pauvre petit bébé de Rouissat. Toutes les campagnes de sensibilisation et de collecte du scorpion restent impuissantes devant ces drames humains quand on sait qu’à la base de tout cela, Ouargla croule sous ses ordures et tarde à être aménagé selon les standards et surtout selon les moyens dont elle dispose. Source
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