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Max|mum-leterrarium

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  1. Un scientifique échappe de peu à un alligator La bête de plus de 110 kilos a bien failli lui coûter un bras... video platformvideo managementvideo solutionsvideo player Une scientifique américain de Caroline du Nord a bien failli perdre un bras lors de sa rencontre avec un alligator de plus de 110 kilos. La bête reposait dans un fossé, non loin d'une autoroute. Une vidéo prise avec l'aide d'un iPhone montre le courageux chercheur de l'aquarium de Pine Knoll Shores batailler avec l'alligator. Alors qu'il essaye d'attraper l'animal, il essuie un sévère coup de queue qui le déstabilise et le met à genou. La bête entreprend alors de lui mordre le bras, en vain, l'homme a le bon réflexe. Il la frappe avec ses pieds et réussi in extremis à s'échapper... Source
  2. Les paléontologues ont découvert une tortue préhistorique géante Des chercheurs de l’Université d’Etat de la Caroline du Nord ont découvert les restes d’une tortue géante d'eau douce, qui vivait il y a 60 millions d'années, cinq millions d'années après l'extinction des dinosaures. La taille du crâne de la tortue, qui a reçu le nom officiel de Carbonemys cofrinii, était de 24 cm, et la longueur de la carapace - 172 cm. Les restes fossiles ont été trouvés en 2005 dans une mine de charbon en Colombie. Le reptile avait des mâchoires massives et très puissantes, capables de mâcher des palourdes, des petites tortues et même des crocodiles. Source
  3. Est-ce qu'il a seulement une ampoule pour le chauffage ou aussi une pour les rayons UV? Sinon, tu l'as depuis combien de temps? C'est un mâle ou une femelle? A-t-il été en contact avec d'autres Pogona dans les dernières semaines?
  4. Max|mum-leterrarium

    Question

    Si la lumière du soleil passe au travers d'une fenêtre, les UV n'y passent pas donc c'est complètement inutile. La tortue sait nager et elle ne restera pas sous l'eau à se noyer ne t'inquiète pas pour ça. Tu peux ajouter tes 5 cm d'eau.
  5. Les paramètres, substrats et tout sont différents d'une espèce à l'autre donc tant que le choix n'est pas fixé, on ne peut rien conseiller!
  6. Je ne vends ni lui, ni mon Argentin!
  7. Le 1 mai, j'étais allé dans des animaleries après un exposition avec mes coéquipiers d'exposition. J'avais vu une belle femelle tégu rouge que j'aimais bien. J'ai discuté avec eux parce que je trouvais le prix trop cher pour la bête. J'ai refusé de payer le prix demandé puisque c'était le double de la valeur de l'animal. La semaine dernière, nous y sommes allé pour passer le temps patientant pour un film qui commençait tard au cinéma. Mon coloc me suggère qu'on leur en reparle mais je refuse de m'ostiner avec eux. Il me revient au bout de 20 minutes, on a ton prix, tu fais quoi? Je regarde le gars et il me répond ce prix là c'est pour décourager les innocents mais pas pour quelqu'un qui connait ça et qui la veux vraiment. J'ai répondu vendu. C'est un amour, elle est tellement délicate pour manger que je pourrais pratiquement la nourrir à la main. C'est une belle bête! Merci à Émilia d'avoir servit de photographe!
  8. La semaine dernière, j'avais des amis chez moi. On est allé dans la chambre à reptiles pour commencer un peu de ménage et nourrir tout le monde. J'ai bien aimé la position de mon scinque qui se la coulait douce dans le coin. Ça vite changé quand il a eu sa nourriture mais bon. Il manquait juste la canette de bière!
  9. Depuis peut-être deux ans, j’ai un tégu qui me suit dans beaucoup de mes expositions. La grosse bête attire beaucoup l’attention à cause de son caractère incroyable, ainsi que sa beauté. Ils ne sont pas tous comme Crapule et Crapule n’est pas toujours aussi sympathique. On me pose beaucoup de questions sur l’espèce depuis un bout de temps. Crapule s’est découvert des fans avec le temps et les gens veulent le leur à la maison. Il faut prendre conscience de l’ampleur de la responsabilité d’avoir une bête comme ça à la maison. C’est le pourquoi je vous écris cette fiche. Le Tégu noir et blanc (Tupinambis merianae), aussi appelé Tégu d'Argentine ou Tégu géant d'Argentine, est une espèce de reptiles de la famille des Téiidés, la plus grande espèce de tégu. Il a longtemps été désigné par le nom binomial Tupinambis teguixin, mais celui-ci désigne en réalité une espèce à part. Encore aujourd’hui, plusieurs les distinguent difficilement. La distinction entres le Tupinambis merianae et le Tupinambis teguixin se situe au niveau des écailles et de leur taille adulte. En effet, le merianae est plus gros une fois adulte et possède aussi des écailles perlées d’une aspect granuleuses, comme chez les Monstres de Gila, situées derrière le cou. Contrairement au Colombien qui lui, possède une peau très lisse comme les Scinques. Le tégus d’Argentine a aussi deux rangées linéaires de points jaunes de part et d’autre de son dos parcourrant le cou jusqu’au début de la queue. Ces points jaunes sont très visibles. Le tégu Colombien possède une seule et unique écaille séparant la narine de l’œil, tandis que chez l’Argentine, on en dénombre deux. Ce lézard très puissant et massif, et assez lourd, est tout à fait différent quand il est juvénile. En effet, pendant 5 à 10 semaines selon la croissance, la livrée de cette espèce est verte clair avec des taches noires. Cette livrée disparaît complètement, le vert vire au blanc qui ne s'intensifiera pas avant leur maturité sexuelle. Les adultes arboreront aussi 2 lignes dorso-latérales de couleurs blanches ou jaunâtres. Adulte, le tégu d'Argentine mesure entre 90 cm et 1,45 m pour un poids avoisinant les 10 kilos. Les femelles, sont plus petites et dépassent rarement les 80 cm. Les mâles sont beaucoup plus grands et plus lourds que les femelles, et développent des bajoues en devenant matures. Le tégu mâle peut être différencié en regardant le cloaque et en recherchant deux renflements, les hémipénis. Le cou est large et la tête, longue et étroite, bien ancrée. Possédant une langue bifide pareil aux ophidiens, ce lézard est doté d’un organe de Jacobson bien développé et utilise sa langue comme organe olfactif. Les dents sont tranchantes et volumineuses, tout comme ses griffes. Les pattes sont puissantes et courtes. Sa peau, très épaisse et perlée, fait preuve d’une robustesse incroyable. La queue fait plus ou moins la moitié de la longueur du lézard. Il y a deux phases différentes chez ce tégu. La phase commune (le noir et blanc d’Argentine), la coloration de ces adultes peut aller de jaune pâle à beige, passant par le blanc crème avec plus ou moins de blancs sur leur corps. Les nouveau-nés mesurent entre 20 et 25 cm et pour les adultes, plus ou moins140 cm pour un poids de 10 kg. Les mâles deviennent beaucoup plus gros que les femelles. La deuxième phase appelée tête blanche ou Chacoan. Cette phase est la couleur naturelle de cette espèce habitant plus au nord, donc on pourrait plus dire localité que phase. Les mâles ainsi que les femelles possèdent une tête dont le blanc prédomine. Normalement ils ont d'avantages de stries blancs sur leur corps, comparativement à la phase commune. Les nouveau-nés mesurent en moyenne 20-23 cm et les adultes plus ou moins 140 cm Encore une fois, les mâles étant toujours plus gros que les femelles. La queue du tégu lorsqu’elle est coupée ou qu’il s’en ai débarrassé pour échapper à un prédateur par exemple, repousse sous forme d’un « tube » cartilagineux, les vertèbres ne repousseront pas bien entendu, la couleur sera donc uniforme et les anneaux visibles sur les queue intactes ne seront plus présent La queue du tégu joue un rôle dans la locomotion, l’accouplement et le stockage des graisses, il est donc très rare que ceux-ci s’en débarrassent inutilement! En règle générale, ce téidé a une espérance de vie de 10 à 20 ans. Tous ceux qui possèdent ou ont possédé ce lézard disent de lui que c’est un animal "de compagnie" fantastique, très docile et vraiment simple. Ce lézard fait preuve d’une grande intelligence. Il reconnaît la personne qui le nourrit et l’acceptera, contrairement à l’égard des étrangers où il sera très agressif et hostiles. Du moins, c’est ce que plusieurs propriétaires de l’espèce croit. Le merianae est un tégu géant qui est généralement très docile à l’âge adulte, bien que les jeunes spécimens tendent à être un peu plus nerveux. Pour quelqu’un qui recherche un tégu docile, il est préférable de débuter avec un jeune spécimen car ils sont plus faciles à calmer. Le tégu d’Argentine ainsi que le tégu rouge sont les deux tégus les plus faciles à tranquilliser. Il est à noter que les femelles sont temporairement agressives durant la saison d’accouplement. Il est tout aussi important de savoir que les manipulations de celle-ci seront limitées au printemps. Les tégus argentins sont bien plus facile à apprivoiser que leur cousin colombiens, les tégus rouges sont plus timides mais également assez simple à apprivoiser, les bleus deviennent également agréables avec une bonne manipulation. De tout ceux cités le colombien est le plus difficile à dompter contrairement à l’argentin qui souvent comparé à des chats et chiens en raison de leur intelligence et leur docilité, ils peuvent également souffrir d’un manque d’attention. Apprivoiser la bête!!! Avant toute chose, mettez- vous a la place de votre tégu, il est petit, vous êtes grand !dans leur environnement les grands mangent les petits !! Donc de son point de vue : vous êtes un prédateur, pour démarrer un apprivoisement vous devez obtenir toute sa confiance. Voici quelques conseils utiles : tout d’abord, la chose la plus importante à savoir c’est qu’en mue ils sont inquiets et stressés, il est donc très important de ne rien tenter pendant cette période, ou sa confiance pour vous en sera compromise. Ensuite il faut savoir prendre son temps et être au calme, le tégu n’a qu’un maître et vous devez être seul et silencieux lors de sorties et manipulations, inutile de vouloir sortir votre animal devant les amis et montrer votre facilité à le porter, préférer une caméra pour ensuite montrer ça aux autres personnes. Il est important que vous n’insistiez pas si il refuse d’aller à tel ou tel endroit, c’est à vous de le suivre pas l’inverse. Les tégus sont très curieux et il est bien de pouvoir s’en servir, vous ouvrez son terra et vous assoire au sol en l’ignorant, il finira alors par venir vous sentir et voir que vous n’êtes en rien un prédateur, ne le porter pas, laisser le passer sur vos main, il se sentira alors en sécurité, caresser lui les flancs, toujours en faisant des gestes très lents et doux, Et enfin il est aussi primordial pour une bonne entente que vous ne le nourrissiez pas dans son terrarium, il doit trouver sa nourriture seul , placez lui son repas a un endroit précis et n’en changer plus vous lui montrer les premières fois ou se trouve sa « gamelle » et il s’en souviendra , ira seul il ne doit pas vous voir lui poser donc pour ce faire lui préparer son repas dans une autre pièce et ensuite lui ouvrir son terra …c’est avec tous ces petits détails que vous arriverez à atteindre une belle complicité… On trouvera principalement ce lézard dans les forêts tropicales au nord de l'Amérique du Sud : au sud du Brésil, en Uruguay, et en Argentine dans la partie la plus orientale, dans la région de Missiones, de Chacos, et jusqu’à Buenos Aires et Pampa. Il semble s'être également acclimaté en Floride suite à une introduction par l'homme. Ils sortent le jour et la nuit, ils passent leur temps dans un trou ou une caverne qui est propre à chaque individu. Il se tient près des zones rocheuses et des cours d’eau. C’est aussi un excellent nageur. Il aime aussi vivre sur de grands espaces couverts de bouquets d’herbes de La Pampa. Dans la partie sud de leur distribution, les hivers sont généralement très froids et d’une longue durée. Souvent, les températures sont glaciales et rudes. Ils échappent aux mauvaises conditions environnementales en creusant dans la terre. Ils entrent et sortent tout dépendant s’ils ont besoin d’ajuster leur température ainsi que leur humidité. Ces terriers sont plus frais lors des jours les plus chauds et garde une certaine chaleur en hivers. En milieu naturel, le régime alimentaire de ce lézard est constitué principalement d’insectes, d’escargots, d'oeufs d’oiseaux, fruits et végétaux. Parfois de lézards, d’oiseaux, petits mammifères, mollusques, poissons et amphibiens. Il aime se nourrir de feuillage dense et de fourrage, et en consomme autant que possible avant l'entrée dans l'hibernation en automne. Une grande part de son alimentation est carnée (jeunes rongeurs). Ils font également preuve d'un niveau élevé d'intelligence peu commun chez les reptiles, avec un niveau d'activité physique important, en dehors de la période de l'hibernation. Quelques scientifiques ont examinés ce que contenait l’estomac de 70 tégus noirs et blancs d’Argentine, dans la partie Nord de celle-ci. Ils ont constatés que 66,8% du contenu de leur estomac se composait de matières végétales, 12.9% d’invertébrés, et 20.3% étant des vertébrés. Cet inventaire met en opposition les herpétoculturistes qui veulent nourrir ou qui nourrit leur tégus uniquement de rongeurs et d'oeufs à presque 100% de leur régime entier. Il est à noter qu’il est néfaste dans l’alimentation des tégus, de donner des œufs d’oiseaux stériles, tel les œufs de poule aisément disponibles sur le marché, car cela peut avoir comme conséquence un manque en biotine. Bien qu’à la première année de leur vie, ils auront un fort penchant pour les aliments de base animal, tel les œufs cuits, insectes tel les grillons et vers de farines, petits poissons entiers, fromages, escargots, petits rongeurs etc… Ce ne sera qu’après cette année qu’il acceptera de joindre à son alimentation de la nourriture végétale tels les figues, purée de pomme de terre, fruits mous comme les kiwis, mangues, fraises, raisins, pêches, prunes etc. Nourrir un tégu avec des œufs crus n’est pas conseillé, car l’oeuf développera très rapidement des bactéries et causera une infection bactérienne (sans parler de la salmonelle) chez le reptile s’il n’est pas mangé immédiatement. Il est important de donner de petits rongeurs au tégu car le risque d’étouffement sera trop élevé s’il est nourrit avec de grosses proies. Afin de savoir quelle grosseur de rongeurs à donner au lézard, il suffit que cette dernière soit au maximum la moitié de la tête du tégu. Il est nettement préférable de nourrir un tégu avec des proies pré-tuées. N’ayant pas besoin de réagir aussi rapidement et avec instinct lors de la prise de nourriture, il sera donc d’un tempérament moins nerveux. Ceux qui sont nourrit avec des proies vivantes seront d’un naturel beaucoup plus sauvage et il n’est pas rare, dans son élan d’excitation lorsqu’il sera nourrit, qu’il morde les doigts de son soigneur. Les tégus préfèrent manger plusieurs petits repas plutôt que de copieux repas offert moins souvent. Afin de savoir quelle sera la fréquence de ceux-ci, alimenter le lézard à tous les 2 ou 3 jours et ajuster au besoin selon son comportement, son poids corporel ainsi que son âge. Il ne faut jamais oublier de saupoudrer la nourriture de suppléments vitaminiques et calciques à chaque repas. Il est aussi non recommandé de les nourrir à la main. Il risquerait de vous mordre accidentellement et d’associer vos mains à la nourriture. Les tégus sont des lézards qui grandissent très rapidement et de ce fait, ils seront capables d’infliger de puissantes morsures. Pour ne pas qu’il arrive d’incident, on devra habituer le lézard à manger dans un bol destiné à ce besoin ou à le nourrir à l’aide de pince. Il associera très vite le bol à la distribution de nourriture et le reconnaîtra. Le lézard pourra donc être manipulé librement et/ou mettre vos mains dans son terrarium sans qu’il croie qu’il s’agit de le nourrir. L’utilisation du bol évitera aussi que l’animal n’ingère le substrat de son habitat. C’est particulièrement important lorsqu’on distribue certaine nourriture collante. Il est important de savoir que lorsque le tégu a de la difficulté à muer, malgré le bon taux d’humidité et de cachettes humides accessibles, il se pourrait qu’il ait un manque de vitamine C dans son alimentation (que l’on retrouve en grande quantité dans les fruits) ce qui serait à l’origine de ce trouble de mue. Il est donc important d’essayer de leur offrir des fruits et végétaux même s’il n’est âgé de plus d’un an pour qu’il puisse développer le goût d’en manger plus tard. La meilleur façon de s’assurer que les bébés tégus mangeront une bonne dose de vitamine C nécessaire à leur organisme, s’il n’accepte pas de manger des fruits, est de nourrir les grillons où les vers de farines avec de la vitamine C. Pour ce faire, on placera un peu de ces insectes dans un contenant avec de la nourriture sèche et avec une tranche d’orange ou d’autre fruit ayant une forte concentration en vitamine C. Laisser les insectes manger le fruit avant de les distribuer au tégu. Avant d’acquérir un tégu, il est nécessaire de s’assurer que vous disposez de la place pour lui. Il peut atteindre une taille importante et il est un reptile très massif !! Lors de l’achat de l’animal, vous devez vous assurez qu’il soit alerte et de bon poids. Regardez bien la base de sa queue, elle doit être charnue. Les yeux et cloaques propres ainsi qu’une belle peau non terne. Lorsque les tégus sont jeunes, bien qu’ils grandissent à une allure très rapide, ils pourront vivre sur une courte durée dans une 33 gallons. Le couvercle devra être bien barré car les tégus sont des artistes en ce qui attrait à l’évasion et s’il y a le moindre petit espace, soyez sûr qu’il saura la trouver. Pour les adultes, le terrarium mesurera approximativement 6 pieds par 3 pieds par 1.5 pieds. Une grosse branche bien solide ainsi qu’un bac d’eau lui sera offert. Un grand bassin d’eau où il pourra se détendre est impératif. Ces tégus peuvent vivrent en groupe mais seulement avec un mâle. Il faut par contre les surveiller car quelques batailles surgissent lors de la distribution de la nourriture. Du même fait, les femelles voudront se battre avec tous les autres tégus dès qu’elle aura pondu ses œufs. Le substrat peut être aussi bien du papier absorbant que des copeaux de bois tel la pruche, du cypress mulch, etc… Le substrat de paillis de pruche (et autre copeaux/morceaux de bois) est l’un des substrats les plus beaux, peu coûteux, absorbants même les odeurs et surtout non toxique pour l’animal. De plus, les paillis de bois garde une plus haute humidité, ce qui empêchera le lézard de passer trop de temps dans son bac d’eau ou dans sa cachette humide. Attention, il faut à tout prix éviter le paillis de cèdre, car l'émanation de vapeurs toxiques peut provoquer la mort du reptile. La tapis gazon, feutre et tout autre sorte de tapis sont aussi à proscrire car les tégus creusent beaucoup le sol et risque de s’arracher un doigt, des griffes ou bien de les coincées dans ce substrat. Personnellement, j’utilise un substrat composé de l’enveloppe fibreuse comprimée de la noix de coco. Ce lézard aura besoin d’une source de lumière à spectre solaire complet de rayons UV durant environ 12 heures par jour. Il disposera d’un coin frais et d’un coin chaud. Pour augmenter la température dans le coin chaud, une ampoule incandescente sera placée à une extrémité pour que le lézard puisse se dorer. La température devra être entre 35 et 40°C. Il est important qu’il puisse se retirer dans le coin plus frais, qui sera entre 25 et 30°C. La nuit, la température devra chuter et oscillera entre 25 et 27°C. Il est primordial d’offrir au tégu une cachette humide dans le coin frais afin de satisfaire son besoin d’humidité et aussi pour se sentir en sécurité. Cette cache aura pour matériaux humides du papier absorbant ou de la mousse de sphaigne. Attention, il ne faut pas qu’elle soit détrempée, mais bien humidifiée. Vaporiser plus ou moins souvent le substrat selon l’épaisseur de celui-ci. Le taux d'humidité doit être moyen, c’est à dire environ 50%. Lorsque le lézard aura besoin d’humidité, il ira par lui même dans la boîte humide conçue à cet effet ou bien dans son bol d’eau. Si vous souhaitez couper les griffes de votre tégu vous devez faire très attention à ne pas tailler trop court! Vous risqueriez de lui sectionner une veine, et toute plaie (encore plus aux pattes) est l’ouverture à toute bactéries! Au cas où vous auriez coupé trop haut appliquez sur la griffe de la fécule de maïs. Pour cette section, je ne l’ai jamais pratiqué alors c’est selon ce que j’ai pu lire. La maturité sexuelle des tégus noirs et blancs arrivent vers l’âge de 1 ½ ans s’ils n’hibernent pas, sinon plus ou moins 4 ans. L’hibernation est nécessaire pour la reproduction. Beaucoup de spécimens meurent en captivité lors de cette étape cruciale et délicate. Les gens mettent les tégus en hibernation dès qu’ils perçoivent les premiers signes. Mais, dans la plupart des cas, les tégus ne sont pas prêt. De ce fait, ils restent encore de la nourriture dans leur estomac qui pourrira et les feront mourir quelques mois plus tard. Pour cette raison, la reproduction est assez difficile en captivité. Dans la nature, l’hibernation peut durer de 4 à 6 mois. En automne, les tégus arrêteront de s’alimenter et commenceront à creuser leur nid pour l’hiver. Ensuite, ils fermeront l’entrée de celle-ci avec la terre prise à l’intérieur du nid. Au printemps suivant, c’est la période d’accouplement. La femelle, après la première mue qui suit la période de repos hivernal, construira un incroyable nid en creusant dans le sol. Par la suite, elle rassemblera de la matière végétale morte près du nid et les apportera à l’intérieur de celui-ci à l’aide de ces pattes. Deux chambres seront construites : la chambre inférieure contiendra les œufs complètement entourés de matière végétale en décomposition et la femelle occupera la chambre supérieure afin de surveiller sa couvée. La méthode de nidification de ce lézard est quasiment unique, ayant une forte similitude à celle des crocodiles. La ponte a lieu environ un mois après les accouplements. En captivité, c’est un peu le même principe. Les tégus se courtisent au printemps, soit environ 3 semaines /1 mois après être sortis d’hibernation. Le mâle commence à poursuivre activement les femelles, hoche la tête, déploie ses bas-joues et fait glisser son cloaque sur le sol. La femelle montre également des signes langoureux un balancement de va et vient en même temps fait glisser sur la moitié de leur corps, tenant l’arrière plus élevé. L’accouplement dure entre une à deux semaines, durant cette période les 2 sont plus agressifs, y compris avec leur propriétaire il faut donc se montrer prudent, les femelles surtout. La femelle commence à faire son nid de 7 a 10 jours après l’accouplement, elle construira un nid d’environ 90cm de diamètre pour 60 à 90 cm de haut. Elle aime être cachées il est donc idéal de pouvoir leur poser un planche au-dessus du nid penchée vers l’ouverture. Le mâle et les autres femelles devront être placés dans un autre terrarium sinon la future maman ira jusqu’à les tuer pour protéger sa portée. Elle commencera à pondre environ 7 jours après la fin de la fabrication du nid. La ponte peut atteindre 60 œufs, le record enregistré est de 73 ! Mais une moyenne de 30 est donnée. Il faudra enlever les œufs et les placés en incubateur déjà prêt à fonctionner, les placer sur un mélange de perlite et vermiculite ni trop humide ni trop sec. Les œufs seront pondus et auront une consistance molle, ils ne durciront que plusieurs jours après l’arrivée dans l’incubateur! Ne jamais retourner les œufs et les poser tels que trouvés dans le nid. L’incubation se fera à 30/32°C et la période durera environ 58 a 60 jours. Les œufs au moment de l’éclosion ne ramolliront pas comme les autres œufs de reptiles, ils seront percés d’un seul coup et le liquide jaillit jusqu’à 30cm lors de la percée. Les petits devront immédiatement être placés dans un terrarium chauffé aux mêmes paramètres que les adultes, les plus faibles seront mis dans un terrarium à part et tous seront nourris le jour même avec des grillons moyens, un bac d’eau conséquent ainsi qu’un substrat sain.
  10. Le serpent a pris la poudre d'escampette, mais fait encore parler Partis à la chasse aux escargots entre deux averses, Jean-Paul Lahuerta et ses enfants, Laurent et Isabel, ont fait une découverte surprenante au quartier du plan à Saint-Just. En bordure d'un chemin, un peu cachée dans l'herbe, une peau de serpent apparaissait. Ramassée délicatement, la peau en question fut l'objet d'un examen méticuleux. Et un voisin du quartier, Léon-Boulle, qui n'en avait jamais vu d'aussi longue a pris le centimètre : la peau parfaitement conservée mesure 2 m. De quoi impressionner les promeneurs, surtout en pensant à la taille de ce serpent qui avait mué récemment. La peau récupérée a intéressé beaucoup de copains de Laurent et Isabel, leur père ayant décidé de la porter à l'école du village pour la faire observer. Source
  11. Guizmo, l'iguane sauvé des arbres D'habitude, les pompiers n'aiment pas trop intervenir pour les animaux coincés dans les arbres. "Mais là, il risquait de faire peur aux voisins" note judicieusement le propriétaire de l'iguane, qui a composé le 18 cet après-midi. "C'est un animal inoffensif, mais très vif et impressionnant" Et Guizmo, belle bête de 90cm environ, avait décidé de prendre l'air. Elle a profité d'une fenêtre ouverte pour quitter la chambre du jeune homme pour les grands espaces de la cour extérieure. S'arrêtant dans un arbre, à 10m de haut. Il a donc fallu la grande échelle pour récupérer Guizmo. Denis l'a remise dans son vivarium. Et refermé la fenêtre. Source
  12. Mission iguanes Gabriele Gentile de l’Université de Rome est venu étoffer le groupe iguane de St Barthélemy. En effet, célèbre pour sa découverte d’une nouvelle espèce d’iguane aux Galapagos, Gabriele Gentile a réalisé sur nos iguanes des prélèvements de sang et de matières fécales afin de déterminer s’ils sont atteints de maladies, bactéries et éventuellement évaluer l’impact de diverses pollutions sur l’état de santé des iguanes. Ces tests complètent l’étude en cours initiée avec Michel Breuil sur notre iguane local, l’Iguana delicatissima, qui va continuer au mois de juillet avec une campagne de recaptures où l’on va pouvoir prendre des nouvelles de nos iguanes à savoir croissance, naissances, déplacements…etc…Cette étude n’a qu’un seul but : protéger notre iguane local qui est grand danger d’extinction au niveau mondial. Vous pouvez également participer dans la lutte contre les espèces invasives ! Ces espèces importées sur l’île tuent la biodiversité et font disparaître les espèces locales. Signalez au 0690317073 vos observations ou vos trouvailles. Source
  13. Secrets cachés du fil d’araignée Elles font souvent frémir avec leurs pattes velues, ce n’est pas pour rien qu’elles ont toujours beau rôle dans les films d’épouvante ! Et pourtant, elle gardent en elles un précieux trésor que l’homme cherche à élucider. Sachons le reconnaître, l’araignée est passée maître en matière de confection du fil de soie. Celui-ci est tout à fait exceptionnel en matière d’élasticité et de résistance et ne connaît pas d’égal dans le monde animal ni même artificiel (créé par l’homme). Ses propriétés sont telles que des applications étonnantes ont vu ou vont tenter de voir le jour : - utilisation comme fils de sutures en chirurgie ou renforts de ligaments, - fabrication de peau humaine artificielle (dans le cadre de greffe de peau) - fabrication de cordes de violon à base de soie d’aragignée (réalisé par un professeur japonais (lien)) - fabrication de nouveaux matériaux plus écologiques. Cependant, beaucoup de détails sur les secrets de fabrication restent mystérieux. Qu’est ce que le fil produit par l’araignée ? Comment s’expliquent ces propriétés exceptionnelles ? Quels en sont les bénéfices pour l’araignée ? Pourquoi de tels élans pour tenter de s’en approprier les secrets ? Quels impacts pour les biomatériaux ? Petit tour d’horizon de ce qui est connu ! Propriétés des fils et de la soie Le fil d’araignée est avant tout un fil doté d’une très grande résistance. A diamètre égal, il est 5 fois plus résistant que l’acier et 3 fois plus que les meilleurs fibres synthétiques. La deuxième propriété intéressante, sans aller à l’encontre de sa résistance, est sa grande élasticité : il peut s’allonger de 40 % sans se rompre (certaines araignées produisent même des fils pouvant s’allonger de 200%). C’est également un fil très fin, beaucoup plus que celui produit par le vers à soie. Cela conduira à une soie plus régulière car ses macromolécules sont mieux alignées. La production des fils La grande particularité des fils produits est qu’ils ne sont généralement pas de composition homogène. Une même espèce pouvant produire 8 types de fils différents au sein d’une même toile. Ce qui les distingue, ce sont leurs propriétés : plus ou moins solides, adhésifs ou élastiques selon la fonction qu’ils sont censés remplir dans toute l’architecture. Les plus fins, sont les plus sensibles aux vibrations, pour prévenir la bête de l’arrivée d’une proie. Ils sont néanmoins très résistants afin de supporter les mouvements rapides de l’insecte piégé qui se débat. Les plus solides, permettent d’assurer la structure de base, la stabilité de la toile et sa longévité. Il existe aussi des fils parfumés permettant d’attirer l’araignée mâle et de stocker la nourriture et les oeufs. En fait, ces caractéristiques semblent être fonction du régime alimentaire de l’araignée. Selon une étude allemande, les araignées les mieux nourries produisent des toiles qui transmettent mieux les vibrations et qui se dégradent moins dans le temps. Les autres facteurs influants sur la structure du fil et ses propriétés, sont le type d’araignée (mais au sein d’une même espèce, son âge, son poids et ses dimensions jouent) la température, la direction du filage, la vitesse d’éjection du fluide de l’insecte ainsi le pH au niveau des glandes secrétrices. En ce qui concerne le type de fils choisi par l’araignée pour construire sa toile, l’environnement joue un grand rôle (disponibilité des proies, conditions météorologiques, structure de l’habitat, présence de prédateurs et parasites… Composition physico-chimique des fils Une équipe allemande a publié dans « Nature » en mai 2010 (voir ICI) les résultats d’une étude expliquant quelques unes des propriétés intéressantes des fils d’araignée. Les fils sont donc composés de protéines (il fallait s’en douter !) constituées de longues chaînes unissant les briques de bases que sont les acides aminés. Selon la nature des acides aminés qui s’associent pour former de longues chaînes de protéines, et selon la manière dont s’effectue cette association (quels atomes se lient et comment le font-ils?), toute une palette de propriétés différentes va apparaître. Protéines, une chaîne d’acide aminés Un acide aminé, comme son nom l’indique est constitué d’une fonction acide R-COOH et d’une fonction amine -NH. Différents acides aminés (notation AA) s’associent grâce à des liaisons dites « peptidiques ». De quoi s’agit-il ? tout simplement d’une réaction entre la fonction acide d’un AA et la fonction amine d’un autre AA : une molécule d’eau est éliminée). Se faisant, l’arrangement spatial des atomes va être perturbé, et selon les atomes en présence, différents rapprochements (attraction de type électrostatique) vont se mettre en place : d’où l’apparition de structure en hélice (repliement local), ou en feuillets (les longues chaînes polypeptidiques se replient parallèlement côte à côte), ou sans vraiment d’organisation particulière (ce qu’on appelle « pelote statistique »). Selon les parties concernées, on observe une structure en hélice ou en feuillet ou en pelote inorganisée. Tout cela devant cohabiter, il en résulte, que dans l’espace, la protéine a une structure tridimensionnelle qui lui est propre. Toute cette organisation à l’échelle atomique va induire les différentes propriétés physico-chimiques des protéines. Les protéines produites par l’araignée La protéine « fibroïne » constituant le fil d’araignée est un polymère du groupe scléroprotéine (dont font partie le collagène et la kératine, qui sont des protéines structurantes). Les deux principaux acides aminés constituant la fibroïne, sont l’alanine (à 25-30 % environ) et la glycine (à 40% environ). Ces deux acides aminés ont comme point commun qu’ils sont de petite taille (sans gros groupements carbonés sur le côté). Ce qui facilitera le compactage et la cristallisation. Le fluide de base pour la fabrication du fil est secreté dans une des glandes spécifiques de l’araignée (au nombre de 7 : chaque glande secrète un type de fil particulier). Il s’agit d’une solution aqueuse très concentrée de fibroïnes dépliées et désordonnées. On parle de liquide cristallin. En sortie de la glande secrétoire, le fluide passe par des tubes très fins ; toute une série de processus physico-chimique opère : les protéines s’allongent, s’alignent, des liaisons hydrogène se forment, le pH chute ce qui provoque une cristallisation partielle. Selon les acides aminés mis en jeu, différentes structures apparaissent. 1- LEs régions riches en glycine (plusieurs séquences de 5AA se succèdent) adoptent une forme en hélice, et une organisation plutôt aléatoire : on parle de régions amorphes 2- Les régions riches en alanine se lient via des liaisons hydrogène (produisent des ponts ntre zones de protéines), et adoptent une architecture en feuillets : c’est une structure très organisée ou structure critalline. 3- Des régions semi-cristallines (moins ordonnées), permettent de connecter les feuillets plats aux régions amorphes. Au sein d’un fil de soie, on a donc une cohabitation entre des régions cristallines et des régions amorphes. De cette cohabitation, vont naître les propriétés d’élasticité et de résistance caractérisant les fils. La grande résistance est attribuée aux zones cristallines : ce sont les liaisons hydrogènes qui pontent les différentes molécules qui assurent une grande stabilité. L’importante élasticité a été reliée en grande partie aux zones amorphes : sous l’effet d’une contrainte, les enchaînement d’AA non organisés, s’effilochent et se détendent en premier, d’où un phénomène d’extension. La présence de zones cristallines avec des feuillets rigides permettent le retour à l’état initial après déformation. Plus le fil est élastique, plus la séquence des 5 AA glycine est répétée. Les régions cristallines où existent de nombreuses liaisons hydrogène sont également très hydrophobes (l’eau ne peut s’insérer car les LH sont déjà prises : cela facilite le rejet d’eau pendant la solidification et explique l’insolubilité de la soie d’araignée dans l’eau. Il est également intéressant d’apprendre que l’araignée a le pouvoir de modifier très rapidement les propriétés du fil qu’elle fabrique, selon la nature de son environnement et donc de ses besoins. C’est en jouant sur la vitesse d’ejection du fluide (entre 1cm/s lors de la construction d’une toile et 10 cm/s pendant une descente rapide)qu’elle va pouvoir ajuster les caractéristiques du fil produit. En effet, plus le fluide est éjecté rapidement, plus les cristaux formés seront de petite taille : ils s’aligneront d’autant plus uniformément et la résistance de la fibre sera accrue. Utilisation et fabrication naturelle ou artificielle Parmi les autres propriétés prisées, notamment dans le corps médical est sans nul doute la grande biocompatiblité du fil d’arachnides. En effet, des études et tests ont montré qu’utilisé pour fabriquer de la peau artificielle, aucun phénomène de rejet ne serait observé et de plus, on assiste au développement de cellules présentes chez l’homme (kératocytes et fibroblastes). Néanmoins, la production en grande quantité se heurte à plusieurs problèmes : - l’araignée produit assez peu de fil comparativement au ver à soie… un élevage plus que conséquent serait alors nécessaire. - la cohabitation des araignées est très difficile; l’amie étant quelque peu cannibale envers ses congénères. L’idée poursuivie par quelques laboratoires, consiste à modifier génétiquement certains vers à soie pour qu’ils produisent les bonnes protéines. Néanmoins, le fil produit, n’a pas encore, à l’heure actuelle les propriétés de ses voisines arachnides. Source
  14. SOS Virunga : le WWF se mobilise pour sauver le plus ancien parc africain WWF, la fondation la plus réputée et active sur la protection de la biodiversité, se penche sur le projet SOS Virunga. Qu’est ce que le Virunga ? Le Virunga est le parc animalier le plus ancien qui existe en Afrique. Il fût crée en 1925 et se situe dans l’est de la République démocratique du Congo. Cette zone du Congo est connue dans le monde car elle possède les deux volcans les plus actifs d’Afrique, le Nyamuragira et le Nyiragongo. Il offre une immense diversité de paysages grâce à une grande variété d’habitats : steppes, marécages, savane, basses terres, forêts mais également des neiges éternelles. Une biodiversité inégalable C’est la variété du climat qui fait du parc national des Virunga un écosystème des plus exceptionnels. Il abrite en effet plus de 2 000 plantes (10% endémiques), 218 espèces de mammifères dont certains sont protégés comme les okapis ou les servals, 22 espèces de primates dont les singes argentés et singes dorés ainsi que les gorilles des montagnes eux-aussi protégés, 706 espèces d’oiseaux comme le bec-en-sabot, 109 espèces de reptiles et 78 espèces d’amphibiens. Le projet #SOS Virunga par le WWF L’association a lancé une campagne nationale, « SOS Virunga’’ pour que le groupe français Total change sa politique de prospection pétrolière qui consume à petit feu ce parc classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1979. Afin de se faire entendre, le WWF s’est rendu à Paris la semaine dernière et a donné la parole à sa présidente, Isabelle Autissier, pour faire face au groupe Total lors de cette assemblée générale. L’appel à la mobilisation L’objectif principal du WWF France est de dissuader le groupe pétrolier d’agir dans les Virunga ainsi que de stopper toutes les activités pétrolières en périphérie du parc et des sites classés dans le patrimoine mondiale de l’Unesco. Il faut savoir que la République du Congo a voulu céder 85% du parc des Virunga aux groupes pétroliers, comme Total et Soco. La campagne « SOS Virunga » va pouvoir sensibiliser l’opinion publique sur les dangers d’une activité pétrolière dans le parc étant donné que ses habitants vivent du tourisme et de la pêche; et que la biodiversité serait en très grand danger. La biodiversité est en danger Le parc des Virunga n’est pas le seul condamné par les structures humaines car cela concerne toutes les espèces et tous les lieux animaliers de la planète. Un collectif de scientifiques ont montré dans un article publié en 2004 que d’ici 2050, 15 à 37% de la biodiversité auront disparu à cause du réchauffement climatique, du braconnage, de la déforestation ou bien de l’urbanisation. Les chiffres sont accablants. En effet, sur les 41 415 espèces d’animaux recensées sur terre, 16 306 sont menacées d’extinction, 70% des plantes et un amphibien sur trois sont menacés. Pour les mammifères 25% des 6000 à 8000 espèces dont les grands singes sont menacées et pour les oiseaux comme les vautours une espèce sur huit est en danger. En ce qui concerne la déforestation, 13 à 15 millions d’hectares de forêts disparaissent chaque année, soit environ le quart de la superficie française. Les conséquences se ressentent au niveau de l’effet de serre mais également au niveau des sols (inondations, évaporation, sécheresse). De plus, cela entraîne la disparition de 50% de toutes les espèces végétales et animales vivant dans les forêts tropicales, la moitié de ces forêts ont déjà disparu. WWF, 50 ans d’engagements Le WWF créé le 11 septembre 1961 en Suisse compte aujourd’hui, plus de 5 millions de donateurs à travers le monde. L’organisation dispose d’un très grand réseau dans 100 pays et peut proposer plus de 1 200 programmes de protection de la nature. En France, WWF a effectué beaucoup de campagnes et parmi elles : Sauvons les 130 dernières baleines grises du Pacifique ouest, dites non à Sakhalin 2 En Europe, 75% des ressources de poisson sont surexploitées. Oui au bio dans ma cantine !! Pour des forêts vivantes. Objectif : Zéro déforestation nette en 2020. Urbanisme pour une ville désirable Non à l’or illégal Protège la forêt ! Action Eau Du jetable au durable Source
  15. Max|mum-leterrarium

    Question

    Tu peux changer la rampe? Si lui faire des entailles pour l'aider à s'agripper?
  16. Monter le terrarium va dépendre de l'espèce choisis. Pour le point d'eau, c'est la même chose.
  17. Max|mum-leterrarium

    Question

    C'est sur que tu devras prendre une lampe pour chauffer l'air et une lampe pour les rayons UV qui sont nécessaires à la tortues. Tu disposes de beaucoup d'espace?
  18. Il y a certains petits geckos comme le geckos léopard, gecko pictus ou gecko à queue grasse qui sont généralement assez abordable qui entrent dans ton range de prix. Sinon, il y a des rainettes qui peuvent faire l'affaire. Je peux nommer les Hyla cinerea, Kassina maculata ou encore tu peux regarder pour certains crapauds du genre Bufo, qui sont de petites tailles et se maintiennent très bien dans un terrarium de cette taille. Je ne suis pas du même continent alors j'ai fais une petite recherche pour voir les prix par chez vous et c'est pas mal ce que je peux te conseiller avec ton budget et les dimensions.
  19. INSOLITE : ils ont passé une nuit avec les alligators au parc Alligator Bay ! Dans la nuit du 12 et 13 Mai, une trentaine de passionnés membres de l'AFT (Association Française de Terrariophilie) ont eu le privilège de passer une nuit dans la serre aux alligators pour observer leurs animaux préférés. Lampe frontale, sac de couchage, de 23h00 à l'aube ils ont vécu au rythme de la soixantaine d'alligators males et femelles dans une atmosphère de 29 °avec 85 % de taux d'humidité. Séquence émotion : le vagissement du mâle alligator s'est produit au milieu de la nuit ! Le vagissement est un cri du mâle qui vient de sa cage thoracique. Cette parade nuptiale déclenche des vibrations dans l'eau et signale la présence du male aux autres males. Les femelles quant à elles, si elles sont en période d'ovulation peuvent vagir également ce qui informe les mâles que l'accouplement peut avoir lieu .... Un parc pas comme les autres qui mérite le détour lors d'une escapade en Normandie. A ne pas manquer lors de la visite : les trois alligators albinos nouveaux arrivants de la saison 2012 et le goûter des alligators. Contact Presse nationale Catherine BARBEROT Attachée de Presse 01 34 08 22 47 - 06 60 95 05 48 Presse régionale Jean-Christophe MACE Directeur adjoint du Parc : 02 33 68 11 18 - 06 60 85 66 84 ALLIGATOR BAY 62, route du Mont Saint Michel 50170 Beauvoir tel : 02.33.68.11.18 www.alligator-bay.com Source
  20. Monaco : le Musée océanographique installe ses nouveaux hôtes, des tortues terrestres provenant de Mali. Les tortues marines ou terrestres font parties des espèces menacées. Animaux réputés pour leur lenteur, surtout sur terre, elles sont de ce simple fait, particulièrement vulnérables et cela d’autant que leur chair et les œufs sont prisés par les populations locales. Une tortue sur deux est aujourd’hui menacée de disparition du fait de... l’Homme. Située sur la partie ouest de la terrasse panoramique du Musée, offrant une vue à 360° sur Monaco, entre mer et montagne, « l'Ile aux tortues » comprend une bulle accueillant les 7 tortues sillonnées, une aire de jeux pour les enfants de 3 à 12 ans ainsi qu'un espace pour le repos des parents. Tout en sensibilisant les visiteurs à la cause des tortues de terre comme de mer, l'expérience de visite du Musée se termine ainsi de manière ludique et pédagogique. C’est dans le cadre des liens d’amitié et de coopération entre la République du Mali et la Principauté de Monaco que ces tortues ont été offertes au Prince Albert II de Monaco en février dernier, lors d’un voyage officiel. Appelées tortues sillonnées (elles doivent leur nom aux sillons profonds visibles sur leurs écailles), elles sont âgés de 2 à 20 ans et pèsent plus de 20 kilos pour les plus grosses. Elles ont été installées dans un enclos paysagé de 80 m² dont le sol est composé de terre, de sable, de végétaux, de rocailles, de souches d’arbres et de points d’eau. Elles peuvent ainsi évoluer en toute quiétude et s’abriter dans « la Bulle aux tortues » de 20m2, maintenue à une température spécifique pour les protéger des températures les plus basses. Robert Calcagno, le Directeur général de l’Institut explique : « Protéger les espèces animales et les faire connaitre comme aimer par le grand public est un enjeu pour l'avenir. Préserver les richesses de notre planète, de toute la planète, de terre comme de mer, s’inscrit depuis toujours dans nos valeurs ». Le Musée océanographique est membre du Réseau Tortues Marines de Méditerranée, il collecte les informations sur les tortues présentes sur ces côtes et étudie les spécimens échoués ou trouvés en mer. Les tortues blessées sont recueillies et soignées puis relâchées (baguées) en mer. Les causes de la disparition des tortues sont ainsi étudiées et des solutions sont proposées pour les protéger. Source
  21. De La Rochelle au Sud-Bretagne : les tortues luttent La campagne sur les observateurs de l'Atlantique est relancée. À vos jumelles Seize ans après, on observe encore. Et le champ d'investigation, jadis concentré aux pertuis, s'est élargi à l'Atlantique-Est, voir même à la Manche. Lancée en 1996 du temps où Anne Collet dirigeait le centre de recherches sur les mammifères marins et où Raymond Duguy avait toujours le regard fixé sur l'océan, l'opération a été renouvelée chaque année avec succès. L'an dernier, les observateurs de l'Atlantique, plaisanciers, pêcheurs ou autres, ont signalé 51 tortues luths, principalement en Sud-Bretagne et 185 mammifères marins dont 63 globicéphales noirs mais également des grands dauphins, dauphins communs, petits rorquals, rorquals communs, des marsouins et des phoques. Ils les ont observés, signalés aux organismes compétents et parfois même photographiés. À 200 mètres de la plage « Pour nous, la photo est importante car elle nous permet de déterminer l'espèce avec certitude et parfois même, comme dans le cas du globicéphale, d'identifier l'individu, chacun possédant une nageoire dorsale unique. On essaie ainsi de suivre la même population d'année en année », explique Laurence Gonzalès, du CRMM (1) de l'université de La Rochelle. Elle se félicite que, grâce à l'opération des observateurs de l'Atlantique, on lui ait communiqué une image de baleine à bosse sautant au large de l'île d'Yeu et signalé un banc de globicéphales chassant à 200 mètres de la plage des Sables-d'Olonne. Chaque rencontre avec ces géants des mers est un moment d'émotion fort. « Nouveauté en 2011, les tortues luths, d'habitude plutôt fidèles aux pertuis charentais, ont été observées plus au nord, au-delà de Noirmoutier, le long des côtes bretonnes. Et, ce n'est sans doute pas une coïncidence, dans les mêmes secteurs ont été observées de grosses concentrations de méduses », raconte Florence Dell'Amico, chargée du développement au Centre d'études et de suivi des tortues marines à l'Aquarium de La Rochelle. « Les luths sont les seules tortues que l'on puisse relativement bien observer car elles sont grosses et montent à la surface pour se nourrir. Les caouannes sont plus petites et celles qui fréquentent nos eaux sont des jeunes », poursuit la naturaliste. La campagne « Devenez observateurs de l'Atlantique » est donc relancée pour la saison. Plaisanciers, pêcheurs, navigateurs de tous poils sont invités à faire part de leur rencontre et à transmettre leurs photos (2). Ces campagnes permettent d'en savoir plus sur ces animaux prestigieux qui hantent nos eaux afin de mieux les protéger. Car beaucoup de ces espèces luttent pour leur survie, menacées qu'elles sont par les pollutions, la surpêche ou même le réchauffement climatique. Les tortues qui traversent l'Atlantique, les phoques qui descendent de la mer du nord se font trop souvent piéger par les sacs plastique ou autres rebus de notre surconsommation. (1) Centre de recherches sur les mammifères marins. (2) Fiches d'observation téléchargeables sur www.aquarium-larochelle.com/centre-des-tortues/observations ou crmm.univlr.fr/index.php/fr/observations/une-observation Source
  22. Australie.le crocodile, fan du ballon rond... Un chien, une couche-culotte et un ballon de foot: c'est ce qui a été découvert dans l'estomac d'un crocodile tué par des rangers, dans le nord de l'Australie. Alertés par la police de la présence d'un crocodile maraudeur, les rangers ont tiré sur l'animal de 3,5m de long, alors qu'il venait de saisir dans sa gueule un autre chien. Les crocodiles marins sont fréquents dans les régions du nord de l'Australie. Ils tuent en moyenne deux personnes par an. Source
  23. La peur du serpent PIEUSSE Un public de tout âge est venu satisfaire sa curiosité pour la passion des serpents et autres reptiles présentés, salle Antoine-Brunel, par le "Reptiles show". Chacun a pu observer et même toucher tous ces animaux trop souvent mal-aimés. Bien sûr, certains représentent un réel danger et ce type de spectacle permet de pouvoir faire la différence entre une simple couleuvre et une vipère par exemple. Pour les autres espèces, il serait fort étonnant d'en rencontrer dans la commune. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il faut aussi savoir que le serpent serait plus agressif et dangereux lorsqu'il a le ventre plein. Source
  24. Mordu par un serpent à sonnettes chez Walmart Un client de la chaîne américaine de supermarchés Walmart, venu s'équiper pour ses plants de marijuana autorisés pour usage médical, a été mordu samedi par un serpent à sonnettes, ont rapporté les médias d'outre-Atlantique. L'incident s'est produit samedi matin dans la section jardinage, à l'extérieur du magasin Walmart de Lewiston, dans l'Etat de l'Idaho. Mica Craig, âgé de 47 ans et originaire de Clarkston dans l'Etat de Washington, s'était baissé pour ramasser ce qu'il croyait être un bâton, quand il a été surpris par ce qui était en fait un serpent à sonnettes. L'animal a mordu sa victime à la main. L'homme est parvenu à s'en défaire et a piétiné le serpent jusqu'à le tuer. M. Craig a été conduit aux urgences où il a finalement reçu un traitement anti-venin pour sa main gonflée. Walmart a présenté ses excuses à la victime et enquête sur la façon dont le serpent est arrivé dans l'enceinte de son magasin. Une équipe de lutte contre les animaux nuisibles devait s'assurer du nettoyage et de la sécurisation des lieux. Source
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