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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Etats-Unis : une nouvelle espèce de mygale découverte à Auburn Les chercheurs de l'Université d'Auburn, aux Etats-Unis, ont découvert une nouvelle espèce de mygale dans un lotissement résidentiel situé dans le cœur même de la ville. "La plupart des gens pensent que seuls les tropiques recèlent des espèces encore non identifiée. Ceux-ci n’ont certainement pas la moindre idée de la biodiversité avec laquelle ils cohabitent" confie à l’Huffington Post, Jason Bond. Ce biologiste de l’Université d’Auburn dirige une équipe de recherche, qui travaille à l’identification d’une nouvelle espèce de mygale de la famille des Ctenizidae. L’araignée, découverte dans un lotissement du centre ville, a d’ores et déjà été baptisée Myrmekiaphilia tigris, ou mygale tigre d’Auburn par les scientifiques. Le spécimen appartient à la famille des Ctenizidae qui contient également 11 autres espèces de mygales dispersées à travers tous les Etats-Unis. Les arachnides de ce groupe se caractérisent par leurs capacités à creuser d’étonnants terriers cachés sous une sorte de trappe se confondant avec le sol en surface. Ces tanières leurs permettent ainsi de rester cachés patiemment jusqu’à l’arrivée d’une proie qu’ils repèrent grâces aux vibrations émises. L’étude menée par les chercheurs sur M.tigris révèle que les mâles atteignent leur maturité sexuelle vers 5 ou 6 ans. A ce moment là, ils sortent de leurs trous pour aller s’accoupler et meurent peu après. Entre novembre et décembre, il est assez fréquent de rencontrer des mâles errants sur les trottoirs du quartier, dans les garages ou encore dans les piscines. Les femelles sont quant à elles plus discrètes, leur vie relativement longue (entre 15 et 20 ans) se déroule entièrement dans les profondeurs de leurs repaires généralement plus complexes avec des chambres secondaires et des opercules sous terrains. Pour Jason Bond, la découverte de cette nouvelle espèce est certes "excitante" mais peu surprenante. Il conclut : "Il a fallu environ 250 ans de taxonomie pour décrire près d’1,8 million de plantes et d'animaux terrestres appartenant à un ensemble que les scientifiques estiment de 5 à 30 millions d’espèces". Source
  2. La tortue des bois dans le comté de Madawaska est-elle en danger ? La Société d'aménagement de la rivière Madawaska et du lac Témiscouata (SARMLT) est un organisme inter-provincial, sans but lucratif, ayant comme mandat: la protection et la mise en valeur de l'environnement aquatique; l'éducation et la sensibilisation à l'environnement aquatique; le développement récréo-touristique et le développement durable à l'échelle locale. La SARMLT a réalisé plusieurs projets différents au cours des sept dernières années, autant sur le plan écologique que récréo-touristique. Cette année, elle réalisera un inventaire des habitats potentiels de la tortue des bois dans le comté de Madawaska. Depuis quelques années, les mentions d'individus de tortue des bois dans ce comté ont augmenté en flèche. On estime même que ce comté abrite des plus grandes populations de tortue des bois que le comté du Témiscouata au Québec. Par contre, avec le peu de sensibilisation sur la protection de cette espèce, peu de gens sont au courant qu'elle est une espèce menacée. Il existe plusieurs menaces pour la tortue des bois dans le comté de Madawaska, comme exemple la mortalité routière, la captivité ainsi que la perte d'habitat. Il est ainsi urgent d'agir afin de protéger l'habitat de la tortue des bois, mais pour ce faire, il est important de recueillir des données tangibles. Comme la majorité des mentions faites pour cette espèce se trouvent sur des terres privées, il sera important de protéger son habitat avec des moyens d'intendance ou par l'acquisition de territoire. La situation de la tortue des bois est préoccupante pour les années à venir, puisque son aire de répartition coïncide en grande partie avec les zones de développement humain auxquelles elle est sensible. La modification de son habitat, aquatique et terrestre, liée aux activités humaines qui s'y déroulent, risque à moyen et à long terme de mener à une diminution tragique des effectifs si rien n'est entrepris. En effet, la dynamique naturelle de population de l'espèce ne lui permet pas de compenser une mortalité excédentaire, particulièrement des adultes. Sa survie dépend donc d'actions au niveau de l'aménagement du territoire préservant des aires naturelles suffisantes et où l'accès humain est réduit. Elle repose également sur la sensibilisation et l'aide du public à la vulnérabilité de l'espèce et à l'impact pernicieux de sa collecte. Source
  3. « Allô les pompiers ? Il y aun serpent rue des Fleurs... » | INSOLITE | Les sapeurs-pompiers de Calais auraient pu penser à une blague. ... Mais face à l'insistance des passants, ils ont pris l'alerte donnée hier après-midi vers 18 h au sérieux. Rue des Fleurs, ils sont effectivement tombés nez à nez avec un serpent qui s'était réfugié à l'angle de la rue du Moulin-Brûlé. Les passants, qui étaient restés à côté du reptile, ont été priés de s'écarter le temps pour les sapeurs-pompiers, une fois toutes les précautions prises, de s'emparer de l'animal. « Selon les renseignements pris, il n'est pas dangereux », rassure le chef d'équipe. « Mais on ne sait jamais. » À l'aide d'équipements spécifiques, le reptile a été capturé et placé dans une cage avant d'être confié à la LPA. Les promeneurs ayant signalé la présence du serpent ont assisté à son départ. Une question subsiste : que fait un tel animal en pleine rue de Calais ? Peut-être s'est-il échappé de chez son propriétaire ? Ou son propriétaire a cherché à s'en débarrasser... • L. R. Source
  4. Il affirme aux douaniers ramener 49 lézards pour les cuisiner Un Allemand arrêté à la douane en possession de 49 lézards exotiques vivants dans son sac, a affirmé les ramener pour sa consommation personnelle. Pour "prouver sa bonne foi", il a été jusqu'à proposer d'en faire goûter un aux agents. Il aime les lézards, jusqu'à en manger ! Un Allemand de 28 ans, arrêté à la douane en possession de 49 lézards exotiques vivants dans son sac, a affirmé les ramener pour sa consommation personnelle, allant jusqu'à proposer aux agents de croquer la tête de l'un deux pour le prouver. "ce voyageur était même prêt à arracher avec ses dents la tête d'un des lézards à queue épineuse sous les yeux des agents", a assuré mercredi Thomas Meister, un porte-parole des douanes allemandes. Jour de chance pour le reptile, les douaniers ont décliné la proposition et l'animal a eu la vie sauve. Les douaniers allemands ont intercepté cet homme de retour d'Oman à l'aéroport de Munich (sud), découvrant dans ses bagages toute une ménagerie qui comprenait 31 uromastyx, des lézards à queue épineuse, et 18 autres reptiles, dont des geckos et des lézards des murailles. "C'est pour les cuisiner", a lancé le jeune homme qui avait emprunté le couloir vert réservé aux voyageurs n'ayant rien à déclarer, estimant que son colis contenait avant tout des "denrées alimentaires" et non des animaux vivants, a-t-on précisé. Le contrevenant devrait probablement recevoir une amende d'au moins 1.000 euros. Quant aux reptiles, "ils ont retrouvé des conditions de vie décentes et sont en bonne santé", ont assuré les autorités. Source
  5. Je vais en avoir d'autres c'est sur
  6. Ça peut être des collemboles aussi
  7. Les têtards grossissent ne t'en fais pas!
  8. Des grenouilles plein la mare Patrice Caron et son épouse ont accueilli une vingtaine de personnes ce samedi dans leur propriété. Parmi eux, de nombreux enfants de Wassigny, leurs parents et la directrice de l'école, Nicole Pellegry. Profitant des larges éclaircis entre deux averses, Yohann Canon, animateur au CPIE des Pays de l'Aisne de Merlieux-et-Fouquerolles, a animé cette après-midi. Yohann, pour introduire son intervention, a présenté chaque espèce d'amphibiens en commentant les photos de l'exposition du Centre de Document « Géodomia ». Désormais, grenouille rousse, grenouille agile, grenouille verte et rainette, crapaud commun, triton alpestre, triton ponctué, triton crêté et salamandre tachetée, n'ont plus de secrets pour les naturalistes néophytes. On apprend également qu'il existe deux grandes familles de batraciens, facilement reconnaissables : les « anoures » ou groupe des amphibiens sans queue tels que les crapauds et les grenouilles et les « urodèles » qui gardent une queue à l'état adulte tels que les tritons et les salamandres. Les enfants participent Ensuite, Yohann accompagné par les enfants, a réalisé un inventaire de la mare. Quelques coups d'épuisette plus tard et c'est tout un petit monde qui évolue dans la bassine : têtards de crapauds et de grenouilles, rubans d'œufs de crapauds communs et des insectes aquatiques : des neppes, des punaises d'eau (dites encore patineurs d'eau ou araignées d'eau, gerris, Les batraciens adultes ont révélé leur présence par des chants et des « ploufs ! » à l'approche des enfants. Tous les participants dont les plus jeunes ont été captivés parce qu'ils ont découvert et appris. Nicole Pellegry, la directrice de l'école de Wassigny qui a fortement encouragé ses élèves à se déplacer pour cet événement a été conquise par l'animation et les explications de Yohann Canon. Source
  9. La tortue du désert freine les projets de grandes fermes solaires aux Etats-Unis La tortue du désert, une espèce menacée, pourrait mettre un frein au développement de grands projets d’énergie solaire dans les déserts états-uniens. En effet, cette espèce (Gopherus agassizii) vit dans les déserts où de nombreux projets d'installations photovoltaïques sont prévus. En 2010, BrightSource qui construit une ferme de panneaux solaires, a ainsi trouvé 166 tortues du désert sur le site, dans le désert Mojave en Californie, où elle prévoyait d’implanter ses panneaux. « Le gouvernement américain a gelé durant deux mois le projet de ferme solaire. Le gouvernement accepte la poursuite du projet à condition que tortues sont déplacées. L’entreprise a donc embauché 160 biologistes afin qu’ils capturent et déplacent toutes les tortues qu’ils ont pu récupérer sur le site. En attendant d’être relâchées, elles sont maintenus en captivité et surveillées », rapporte le New Scientist. Cette opération a déjà coûté 56 millions de dollars et retardé le projet de construction de la ferme de panneaux solaires, qui doit disposer d’une puissance de 370 megawatts Et cet exemple n’est pas le seul. Les mouvements écologistes américains sont partagés entre l’intérêt de développer des énergies alternatives propres et la protection de la tortue du désert et de son milieu. Source
  10. De nouveaux crocodiles fossilisés auraient pu manger des Hommes Un crocodile potentiellement capable de manger des Hommes a été découvert en Afrique. Pas d’affolement, il a disparu depuis 2 millions d’années. Crocodylus thorbjarnarsoni pouvait mesurer jusqu’à 7,5 mètres de long et représentait donc l’un des plus grands prédateurs de son époque, lorsque les Hommes étaient bien plus petits que maintenant… Il existerait 21 espèces de crocodiliens réparties entre l’Afrique, l’Amérique, l’Asie et l’Australie. Les crocodiles marins (Crocodylus porosus) et les crocodiles du Nil (Crocodylus niloticus), les plus grandes espèces actuelles, peuvent atteindre une taille exceptionnelle de 7 mètres ; une dimension nettement inférieure aux 15 mètres que pouvaient afficher les crocodiles Sarcosuchus imperator ou Deinosuchus hatcheri il y a plusieurs millions d'années. Christopher Brochu, de l’université de l’Iowa, vient de décrire une nouvelle espèce, Crocodylus thorbjarnarsoni, qui aurait pu atteindre 7,5 mètres de long à l’âge adulte. Elle a disparu depuis 2 millions d’années mais devait en son temps être l’un des plus gros prédateurs vivant en Afrique. Toute époque confondue, il doit s’agir du plus grand crocodile vrai, c'est-à-dire une espèce du genre Crocodylus, connu à ce jour. Un crocodile mangeur d’Hommes ? Cette nouvelle espèce a été décrite dans la revue Journal of Vertebrate Paleontology (JVP) grâce à des analyses approfondies de crânes et mâchoires fossilisés conservés au Musée national du Kenya à Nairobi. Ils ont été extraits de dépôts sédimentaires, datant du Pliocène et du Pléistocène, trouvés au sein du bassin du lac Turkana. Cette espèce aurait vécu entre 2 et 4 millions d’années avant notre ère. Elle ressemble très fortement au crocodile du Nil mais en beaucoup plus grand. Petite anecdote parlante : quatre hommes ont dû unir leurs forces pour soulever l’un des crânes lors de sa découverte ! Plusieurs éléments laissent penser que nos ancêtres auraient pu constituer un met apprécié par ces reptiles, bien qu’aucune preuve n’existe. La région de Turkana est célèbre pour ses découvertes de fossiles humains vieux de plusieurs millions d’années. Or, comme tous les organismes terrestres de l’époque, nos ancêtres ou cousins éloignés avaient besoin de boire et fréquentaient donc des points d’eau… potentiellement occupés par les reptiles. Ne mesurant que 1,20 mètre de haut, ils pouvaient facilement être avalés par le prédateur. Cependant, aucun os humain portant des traces de morsures n’a été trouvé en ce lieu. L'émergence des crocodiles du Nil difficile à dater L’auteur n’avance pas cette hypothèse pour étayer une vision populaire du crocodile mangeur d’Hommes. Il s’appuie également sur des données récoltées pour une autre espèce de crocodiliens décrite en 2010 : Crocodylus anthropophagus. Des restes fossiles de cet animal ont été trouvés sur le site d’Olduvai Gorge en Tanzanie, à proximité de lieux où des ossements d’Homo habilis et d’Australopithecus boisei ayant vécu à la même époque ont été découverts. Comme son nom l’indique, ce reptile pouvait à l’occasion se nourrir d’Hommes puisque certains os d'hominidés portaient des marques de morsures. L’auteur a profité de ces découvertes pour réétudier la phylogénie des Crocodoloïdés avec des critères morphologiques. Crocodylus anthropophagus et Crocodylus thorbjarnarsoni peuvent être qualifiées d'espèces sœurs. Par ailleurs, les crocodiles vrais seraient apparus il y a seulement 7 millions d’années. L’émergence de Crocodylus niloticus n’a en revanche pas pu être définie avec précision, mais une chose est certaine selon l’auteur, cette espèce serait apparue après la disparition des crocodiles géants. Source
  11. Une exposition gratuite sur de nombreux fossiles à Sierre L'exposition “Archive de la vie”, qui met en lumière des fossiles rares, est à découvrir actuellement à Sierre. Scorpion, crevette, poisson, crabe d’il ya 100 millions d’années se sont donnés rendez-vous à la Migros Rossfeld de Sierre. Certains sont des raretés mondiales: 35 millions d’années pour un crabe, 50 millions pour un poisson, 70 millions pour une crevette ou encore 140 millions d’années pour un scorpion. Il y a également de magnifiques trilobites disparues il y a 250 millions d’années ou des ammonites vieilles de 200 millions d’années. Elles seront à Sierre du 7 au 19 mai, sous l’intitulé “Archive de la vie”. Cette exposition est l’oeuvre de Louis Champod, qui bénéficie d’un vaste réseau et qui est exposant professionnel depuis 1993. Lui-même possède une collection de 5000 insectes, arachnides et serpents. Grands et petits pourront s’amuser et s’instruire, grâce aux explications et aux comparatifs avec les animaux d’aujourd’hui. Par Pascal CLAIVAZ Source
  12. Je ne peux pas l'identifiter mais quand j'ai vu ça, un bon nettoyage du terrarium et des accessoires suivit d'un bain pour le reptiles réglait la situation
  13. L'araignée Pisaura mirabilis offre de la chair fraîche d'insecte pour conquérir sa partenaire Des scientifiques euro-américains ont observé les moeurs amoureux de l'araignée Pisaura mirabilis qui offre de la chair fraîche d'insecte pour séduire. Avant d'espérer s'ébattre avec une femelle, les soupirants de l'araignée Pisaura mirabilis doivent lui faire une offrande : de la chair fraîche d'insecte soigneusement emballée dans de la soie. Une équipe euro-américaine s'est penchée sur ces moeurs arachnides, raconte la revue Animal Behaviour, et le confirme : 40 % des mâles se plieraient à la règle, sans jamais tricher sur le contenu du colis. Mieux ! Même fatigués par tant d'efforts, ils battent encore leurs concurrents en duel... Exemplaires. Source
  14. Eh oui, je suis en retard sur mes années précédentes et sur plein de monde. Je suis allé faire du herping pour la première fois aujourd'hui. J'ai entendu des rainettes crucifer la semaine passée lorsque, en voiture, nous attendions la lumière rouge. Je racontais quelque chose, je me suis fermer la boîte pour porter attention à ce que j'entendais. J'ai ensuite eu un doute donc j'ai fermé la radio pour ensuite baisser la fenêtre et dire tout joyeux, c'est des rainettes crucifers! Aujourd'hui, je me suis dis, je pars en herping. J'avais mis des rats en décongélation pour mes serpents. Ayant décidé de partir sur un coup de tête, aussitôt dégelé, j'ai lancé les rats dans les terrariums me disant, on regardera ça au retour. Je quitte la maison et rendu à même pas deux minutes de marche, j'ai entendu un son qui m'était familier. Ce son était Son que j'ai entendu C'est là que j'ai viré de bord pour aller voir d'où ça venait. J'ai finis par voir un garage d'auto usagé et derrière, il semble avoir une petite falaise. Je suis allé voir ce qu'il y avait pour voir ça. Je suis descendu en bas pour voir. J'ai pu voir deux grenouilles léopards. Malheureusement, je n'ai pas pu les prendre en photos. Je n'ai pas vu ni d'oeufs ni de têtards non plus. Probablement que ce n'est pas l'étang de reproduction alors. Je me suis mit à observer tout autour pour voir que ça joignait à un ruisseau. J'ai longé le ruisseau où j'ai vu que c'était propice à la salamandre à deux lignes, mais je n'ai rien trouvé. J'ai vu des habitats propice à la salamandre cendrée plus haut aussi mais rien de concluant non plus. Je vais essayer d'aller plus tard voir pour les crucifer.
  15. Ça va permettre de te conseiller une espèce qui te plairait à toi et non à nous!
  16. Bonjour Karinette, Pour mieux t'aider, je t'invite à répondre à ces questionnaires! /t6173-aide-pour-choix-de-grenouilles#26577 /t1273-aide-de-choix-pour-un-lezard Bonne journée
  17. 1- Combien es tu prêt à payer pour ta ou tes grenouilles?!?! 2- Quel espace disposes tu pour tes grenouilles?!?! Terrarium de quelle grandeur maximum?!?! 3- L'idée de devoir donner des insectes vivants à tes grenouilles te répugne t il?!?! 4- Es tu prêt à vaporiser plusieurs fois par jour ton terrarium?!?! 5- Préfères tu une grenouille fouisseuse, terrestre ou arboricole?!?! 6- Combien de temps disposes tu pour tes grenouilles quotidiennement?!?! 7- As tu de l'expérience déjà avec les grenouilles, si oui avec quelles espèce?!?! 8- Quelle taille maximale voudrais tu que tes grenouilles atteigne?!?! 9- Tu veux une grenouille qui sera active ou non?
  18. 4 mai 2012 : La province indonésienne qui abrite les varans de Komodo est réticente à en échanger contre des pandas : L'administration de la province indonésienne dite des "Petites îles de la Sonde orientales" (en indonésien : province de Nusa Tenggara Timur) a refusé le récent projet du gouvernement central indonésien d'échanger des varans de Komodo contre des pandas avec la Chine. Or le varan de Komodo ne vit que sur l'île de Komodo, dans le Parc National de Komodo, dans les Petites Îles de la Sonde ; et Frans Salem, Secrétaire de la Province des "Petites îles de la Sonde orientales" a fait savoir jeudi 3 mai que l'administration de la province avait promis de ne pas prélever des varans de Komodo pour les envoyer à la Chine et a précisé que les résidents locaux refuseraient un tel projet. « Le varan de Komodo est l'atout le plus précieux de la province. Si vous souhaitez en voir, visitez leur habitat d'origine » a ajouté Salem. Ce positionnement provincial fait suite à l'annonce en avril dernier d'une possibilité d'échange entre l'Indonésie et la Chine de leurs espèces emblématiques comme symbole de leurs relations diplomatiques bilatérales (lire l'article). Salem a ajouté que la province devrait accueillir en 2013 une manifestation de voiliers (la régate Sail Komodo) qui rassemble des participants de plus de 100 pays et que « prélever des varans de Komodo de leur environnement naturel n'est pas une bonne idée ». L'arrivée de pandas géants en Indonésie est donc compromis suite à cette décision. Auteur : Jérôme POUILLE Source : The Jakarta Post Source
  19. Chez l'araignée d'eau, la guerre des sexes passe par les antennes Pour ceux qui sont pétris d'égalitarisme, le dimorphisme sexuel est un fait un peu embarrassant. Mais il faut bien le reconnaître : le cerf (Cervus elaphus) est équipé de grands bois quand la biche en est dépourvue ; les plumes du paon bleu (Pavo cristatus) femelle sont d'une teinte pâle et uniforme quand le mâle arbore de vives couleurs, etc. Chez l'araignée d'eau (Rheumatobates rileyi), le fait est moins spectaculaire, mais le mâle est pourvu de longues antennes à la forme bien distincte de celles de la femelle. Trois exemples, trois explications. Dans le cas du cerf, la sélection sexuelle favorise les individus mâles qui triomphent des affrontements qu'ils se livrent pour la conquête des femelles. Chez d'autres espèces, comme le paon, les mâles aux couleurs chatoyantes sont préférés aux autres et ont un succès reproductif supérieur. Mais l'histoire est parfois tout autre. Les différences morphologiques entre individus de sexe différent peuvent en effet être liées à une situation de conflit larvé entre mâles et femelles. C'est précisément le cas chez la petite araignée d'eau, comme vient de le démontrer une étude franco-canadienne publiée vendredi 4 mai dans la revue Science. Bien sûr, pour assurer la pérennité de leurs gènes, les uns ont besoin des autres et vice versa. Mais les choses ne sont pas simples. "Plus les mâles s'accouplent, plus ils vont pérenniser leurs gènes : ils vont donc chercher à s'accoupler le plus de fois avec le plus grand nombre de femelles possible, explique Abderrahman Khila, chercheur à l'Institut de génomique fonctionnelle de Lyon (ENS-Lyon, CNRS) et premier auteur de ces travaux. Pour la femelle, c'est l'inverse puisqu'elle dispose, comme d'autres insectes, d'une structure qui stocke le sperme, dans laquelle elle peut puiser. Elle n'a donc besoin de s'accoupler qu'un petit nombre de fois au cours de sa vie pour féconder tous les oeufs qu'elle peut produire." En outre, la copulation expose la femelle à la brutalité des mâles, la met en situation vulnérable face à ses prédateurs, lui fait perdre du temps qu'elle n'utilise pas pour trouver sa nourriture, etc. L'accouplement est donc un danger pour la femelle et une impérieuse nécessité pour le mâle. La première est la proie sexuelle du second. Quel rapport avec la forme si caractéristique des antennes qu'arborent les mâles ? Les chercheurs ont mené une observation minutieuse de séquences d'accouplement. Celle-ci a d'abord montré, dit M. Khila, "que la forme prise par les antennes des mâles au cours de l'évolution correspond exactement, comme en négatif, à des structures présentes autour des yeux des femelles - comme une clé et une serrure". Pour achever de démontrer que le conflit sexuel est bel et bien le moteur de cette évolution, les auteurs ont cherché un gène-clé, impliqué dans le développement de ces antennes. Une fois celui-ci identifié - dit distal less (dll) -, ils en ont atténué l'expression chez des mâles au stade larvaire. Ces derniers ont ainsi développé des antennes moins longues, à la forme altérée. Un peu comme si les chercheurs avaient fait remonter le temps à ces individus, ôtant à leurs antennes des traits acquis par sélection sexuelle, au fil des derniers millions d'années. Or, précisément, ces mâles "archaïsés" par manipulation génétique montrent en laboratoire "un succès reproductif moindre", dit M. Khila, parvenant à s'accoupler moins souvent que les autres. Démonstration est donc faite que la dérive d'organes sensoriels en organes d'accrochage a bien été, chez rileyi, mue par une manière de guerre des sexes. Reste désormais à comprendre comment un gène présent à la fois chez le mâle et la femelle s'exprime de manière différente chez le premier pour lui donner des attributs absents chez la seconde. Source
  20. Eh oui, ce matin en allant m'occuper de la marmaille, j'ai apperçu des oeufs dans mon terrarium. Voyons voir ce que ça va donner avec le temps!
  21. Monaco : les tortues s’exhibent au Musée Océanographique L'Île aux Tortues a été inaugurée fin avril Le réputé Musée Océanographique de Monaco a dévoilé sa nouvelle attraction, l’Île aux Tortues, qui se joint au célèbre aquarium de l’établissement. L'Île aux Tortues s'est installée en avril 2012 sur la terrasse panoramique du Musée Océanographique, offrant une vue à 360° sur Monaco, entre mer et montagne. Cette nouveauté se veut pédagogue, dans le but de sensibiliser les visiteurs à la cause des tortues de terre comme de mer. Les enfants pourront admirer sept tortues sulcata (3ème plus grosse tortue terrestre au monde) offertes par Amadou Toumani Touré, ex-président du Mali. L’Île aux Tortues s’étend sur 600m² et est aussi bien un espace de jeux lié au thème de la mer qu’une aire de repos pour les parents. Source
  22. Animaux insolites : une " mode " dangereuse Après les serpents, voici la folie des insectes. Le succès des nouveaux animaux de compagnie grandit. Un effet de mode qui n’est pas sans dangers. Animaux insolites : une " mode " dangereuse Perroquets ararauna, tortues d'Hermann, mambas noirs… Les espèces protégées ou dites dangereuses font fureur, chez les particuliers. Une centaine de personnes détiendraient ce type d'espèces, dans l'Indre, selon l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Aujourd'hui, si la folie des reptiles est, semblerait-il, passée, ce sont désormais les petits insectes (comme les dendrobates, ces grenouilles venimeuses ; les mygales ou les scorpions) qui remportent un vif succès. Jusqu'à un an de prison et 15.000 € d'amende Auprès de qui ? La Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations. (DDSCPP) distingue deux catégories. « Il y a les véritables passionnés, très pointus dans leur connaissance de l'espèce et qui mettent tout en œuvre pour prendre soin de l'animal et se mettre en conformité avec la loi. Et il y a les amateurs qui cèdent à un phénomène de mode et ne se rendent pas compte des dangers ni des conséquences de détenir un tel animal chez soi », note Céline Imberdis, chargée de la faune sauvage captive. Exemples : un propriétaire mal renseigné pourra être surpris de découvrir que son perroquet vivra trente ans, que son serpent de quelques centimètres atteindra, à l'âge adulte, plus de 3 m ou qu'il leur coûte finalement plusieurs centaines d'euros par an à nourrir. « C'est ainsi que des gens se débarrassent de leurs animaux dans la nature ou que ces animaux s'échappent. » De la tortue d'Hermann, protégée par la convention de Washington, à la mygale, classée comme dangereuse, la détention de ces animaux est soumise à une réglementation stricte et précise. Il est ainsi nécessaire de disposer d'autorisations particulières et de pouvoir – pour éviter les trafics – attester de l'origine licite de l'animal (permis d'importation, certificat de cession…). En collaboration avec la DDSCPP, les agents de l'ONCFS font donc la chasse à ces détenteurs irréguliers d'animaux non domestiques. En 2011, ils auront ainsi effectué trente-deux interventions. « Toute infraction à la réglementation animale est un délit pouvant être puni jusqu'à un an d'emprisonnement et 15.000 € d'amende », rappelle Arnaud Dupont, de l'ONCFS. Les agents agissent au travers de contrôles inopinés dans les animaleries, les cirques de passage, ou sur dénonciation. Autre moyen d'action : la « toile ». Les agents épluchent en effet les petites annonces suspectes sur Internet, véritable plate-forme d'échanges illicites pour les espèces non autorisées. « Le commerce des animaux constitue le second trafic international, après la drogue et avant les armes », indique Céline Imberdis. Et pour cause. Alors qu'un perroquet de base se monnaye à 1.500 €, un spécimen rare, type ara hyacinthe, peut se négocier jusqu'à 15.000 € repères Iguane, pythons et wallabies... > Mars 2012. Un iguane d'1,50 m est retrouvé mort dans la Creuse, à Argenton. > Juillet 2011. Les agents de l'ONCFS saisissent un python molure de 3,50 m sur un parking de Châteauroux, suite à une annonce passée sur le site Internet Le Bon Coin. Lassés de leur animal, ses propriétaires cherchaient à le revendre. > Printemps 2011. Un automobiliste prévient les secours qu'un wallaby se promène dans la nature, à Mers-sur-Indre. Après plusieurs recherches, les agents de l'ONCFS découvrent que l'animal s'était enfui de son enclos. > Août 2010. Un wallaby de Bennett adulte est capturé, après avoir causé un accident, à Châtillon-sur-Indre. > Octobre 2009. Des promeneurs découvrent un python molure de 2,40 m, lors d'une cueillette de champignons dans le bois de Nioron, à Vendœuvres. Une trouvaille inhabituelle qui faisait suite à la découverte d'un cadavre de python à Vierzon, et à la traque d'un cobra fantôme, en Touraine. pratique Pour obtenir des réponses sur la détention d'un animal ou vous mettre en conformité avec la loi, adressez-vous à : > Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations : Cité administrative, bâtiment P, boulevard George-Sand, à Châteauroux. Tél. 02.54.53.45.00 . > Service départemental de l'Office de la chasse et de la faune sauvage : Cité administrative, bâtiment R, boulevard George-Sand, à Châteauroux. Tél. 02.54.24.58.12 . Source
  23. Je ne l'amène pas souvent mais il attire l'attention pareil quand il y est!
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