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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Les tortues font reculer la route Epaulés par le centre de conservation des ressources naturelles, des villageois de la province de Papouasie occidentale ont fini par obtenir gain de cause : le tracé de la route "trans-papoua" sera déplacé à 70 km à l'intérieur des terres afin de protéger le sanctuaire de la Tortue luth (Dermochelys coriacea) à Jamursba Medi, écrit le quotidien Kompas. Pourvues d'une peau huileuse et non d'une carapace, ces tortues, les plus grosses au monde – elles peuvent peser jusqu'à 700 kilos et mesurer 2,2 m de long –, sont considérées comme une espèce en voie de disparition par l'Union internationale pour la conservation de la nature. Source
  2. De nouvelles espèces protégées s'invitent sur le chantier Une tulipe ? Une grenouille agile ? Un bruant des roseaux ou une thymélée hirsute ? Impossible à ce jour de savoir quelle nouvelle espèce de bébête ou de plante a été découverte sur le site du Réaltor. Mais la rumeur fait rêver les détracteurs de l'élargissement de la RD9, au premier rang desquels l'ADSR (association de défense du site du Réaltor) : n'est-ce pas une vilaine écrevisse à pieds blancs qui avait, en son temps, remis en cause l'intégralité du dossier porté par le Conseil général, le contraignant à tout reprendre à zéro? Le préfet a arrêté l'utilité publique du projet du Département, en charge de cette artère reliant le bassin de Vitrolles aux zones d'activités d'Aix, en février. Le passage à deux fois quatre voies sur une portion de 3,5km au niveau de Cabriès de cette route qu'empruntent quotidiennement 40 000 véhicules doit sécuriser la circulation et améliorer un flux au bord de l'asphyxie. "En aucun cas, cette nouvelle espèce ne remettra en cause le projet", assure André Guinde, conseiller général PS, qui avance de premiers terrassements fin 2012 et une mise en service qui pourrait être effective en 2015-2016, la durée des travaux (d'un montant de plus de 50M€) étant estimée à deux ans et demi. Des évaluations ont été lancées en amont du chantier par le maître d'ouvrage pour réactualiser l'étude d'impact datant quelque peu. Or, chaque année, la liste des espèces à protéger s'allonge. Le site, à quelques encablures d'une zone Natura 2000, regorge d'une végétation d'une remarquable diversité que peuplent oiseaux d'eau et faune aquatique. Forcément, dans leur recensement, les techniciens ont dû intégrer dans un inventaire déjà long de nouveaux arrivés. "Pas de nouvelles espèces spontanément apparues, donc, précise un technicien, mais des animaux et plantes récemment introduites dans les nouvelles listes d'État." Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait? On attend le travail des naturalistes qui observent toute une année durant l'évolution ; les orchidées s'ouvrant au printemps, certains oiseaux nichant l'hiver ici pour choisir tel arbre plus tard, les experts suivent le cycle des saisons sur douze mois. Entamée cet été, l'oeuvre se déroule jusqu'au prochain. Alors, un rapport sera établi. En fonction duquel les décisions seront prises. Il y aurait peu de chances qu'une écrevisse à pattes blanches -"dégénérée", selon un proche du dossier- vienne mettre un grain de sel irréversible. "En général, nous mettons en oeuvre des mesures compensatoires", soupire cet ingénieur. Et de citer l'aventure de l'édification d'un pont à Pertuis, qui a buté sur une chauve-souris riveraine : il a fallu construire un gabarit adapté, déplacer l'éclairage pouvant attirer l'animal dans sa faim d'insectes et le mettre en danger des voitures, prévoir des garde-corps facilitant son déplacement par ultrasons, lui aménager un bosquet pour qu'il ne perde pas ses repères. "Et pour ne pas déranger la période de reproduction des poissons dans le lit de la Durance, on a concentré les travaux sur deux mois en mettant les moyens financiers." À la Dreal, l'information semble ne pas encore être remontée. Tout dépendra à l'arrivée des nouvelles espèces à protéger: peut-on les détruire, les déplacer, modifier leur environnement sans dérogation ? Cette dernière exige une procédure demandant consultation d'une commission régionale puis nationale, ce qui prend six mois, indique-t-on à la Dreal, au final, le préfet décide. Alors, retard ou pas, dans le dossier de la RD9 dont la genèse remonte à… 1990? "Les études techniques se poursuivent, explique-t-on au Conseil général. À cette heure, le calendrier reste jouable". Source
  3. Les Mambas verts en liberté en Thaïlande Quinze Mambas verts sont recherchés au Thaïlande. Profitant de l’inondation ces serpents venimeux ont échappé à leur maître qui les gardait de façon illégale chez lui dans le but de les vendre. Les autorités ont appris la fuite des serpents sur Twitter. Les spécialistes ont été dépêchés sur place pour procéder à la recherche et la capture des animaux. Le Mamba vert est une espère de serpent très venimeux. La mort suit dans les vingt minutes après la morsure. La situation est grave parce que le sérum est actuellement en rupture de stock au Thaïlande. Les fortes pluies ont inondé 26 provinces du pays dont sa capitale Bangkok. Source
  4. Thaïlande : au moins 500 morts dans les inondations Au moins 506 personnes ont jusqu'ici perdu la vie dans les inondations historiques qui ravagent la Thaïlande depuis trois mois et menacent toujours le centre de Bangkok, selon un bilan officiel. Tandis qu'en province, les eaux ont détruit des terres agricoles et forcé des milliers de fermiers à l'exode, 15 des 50 districts de Bangkok sont désormais noyés sous des eaux imprégnées de boue, de déchets toxiques industriels et ménagers et autres cadavres d'animaux. Le centre-ville de la mégalopole, protégé par des kilomètres de digues, n'a pour l'instant pas été frappé et devrait rester au sec, a indiqué la première ministre Yingluck Shinawatra, qui a annoncé cette semaine un plan de redressement de 100 milliards de bahts (4 milliards de dollars). Le populaire marché Chatuchak, une des grandes attractions touristiques au nord du quartier des affaires, était ouvert dimanche, mais plusieurs commerçants ont temporairement fermé boutique après les appels à la vigilance lancés par les autorités. Le métro et l'aéroport principal de Bangkok fonctionnent toujours normalement, mais le deuxième aéroport, Don Muang, est toujours sous les eaux. Les réseaux sociaux pour s'informer Les inondations ont pris récemment un tournant politique alors que le gouvernement est critiqué pour son indécision et sa lenteur pour répondre à la crise. La population déplore les messages confus et contradictoires de la première ministre Yingluck Shinawatra, et plusieurs habitants de la périphérie de Bangkok lui reprochent de sacrifier leurs districts au profit du centre financier. Des millions de Thaïlandais se tournent désormais vers les réseaux sociaux pour se partager de l'information en temps réel, mettre en garde contre un crocodile ou un serpent échappé, ou communiquer le nom de rues inondées, par exemple. « Attention aux serpents hors de leur habitat naturel. Je viens d'attraper un deuxième serpent dans ma maison », avertit l'un, en accompagnant son message d'une photo et du mot-clé #thaiflood. D'autres relatent les dernières opérations de secours : « Rapport d'un ami secouriste aujourd'hui : attraper un serpent, transporter un gamin blessé à l'hôpital, sortir un bateau coincé sous un camion ». Les Thaïlandais ont d'ailleurs adopté en masse les réseaux sociaux depuis le début des inondations avec une hausse de 20 % des utilisateurs de Twitter de septembre à octobre. Les utilisateurs de Facebook sont passés, eux, de 7 millions, au début de l'année, à 12 millions, aujourd'hui. Source
  5. Mon petit NAC à huit pattes Au rayon des nouveaux animaux de compagnie, l’araignée fait figure de favorite. Mais les arachnides ne sont pas des jouets et demandent une attention toute particulière. Il existe plusieurs espèces d’araignée. On en distingue trois sortes principales, classées en fonction de leur espérance de vie. Les araignées saisonnières ne vivent que six à huit mois, les annuelles une à deux années, et les pérennes jusqu’à deux décennies. Ce sont donc ces dernières (mygales, filistates, tarentules…) qui sont privilégiées en captivité. Il est vivement recommandé de se procurer une araignée issue d’un élevage français (animalerie spécialisée), par respect pour l’environnement – beaucoup de spécimens meurent à cause des mauvaises conditions d’importation – mais aussi parce qu’elle sera déjà acclimatée. Même s’il est difficile de distinguer les sexes dès la naissance, il est préférable d’essayer de choisir une femelle, qui vivra plus longtemps qu’un mâle, et la plus jeune possible. Il est intéressant de suivre la croissance et les mues de l’animal (jusqu’à treize mues en début de croissance, et une mue par an en ce qui concerne la mygale adulte), d’autant plus qu’une araignée juvénile est toujours moins impressionnante qu’un individu adulte. Un espace confiné Vivarium ou terrarium, ils doivent être adaptés à l’animal. Dans l’idéal, ils correspondent à trois fois la taille de l’arachnide pendant sa période de croissance. Ne pensez pas bien faire en choisissant un espace plus vaste, car les araignées ne sont pas de grandes marcheuses et risqueraient de se fatiguer. De plus, elles rencontreraient des difficultés pour repérer et chasser leurs proies. Le terrarium doit contenir un substrat : une couche de matières (mélange de vermiculite, de tourbe et d’écorces) qui recouvre le sol, à changer une à deux fois par an. Habituées aux climats humides, les mygales ont besoin de s’hydrater en permanence. On place alors un abreuvoir à leur portée, à changer au moins deux fois par semaine, et l'on n’hésite pas à vaporiser de l’eau régulièrement dans leur habitat afin d’humidifier l’atmosphère. L’abreuvoir ne doit pas être trop profond afin d’éviter les risques de noyade mais suffisamment grand pour qu’elles puissent boire librement. Les araignées ne consomment que des proies vivantes : insectes, rongeurs, oiseaux, petits reptiles et… autres arachnides ! En captivité, on leur donne essentiellement des grillons, des blattes, des asticots et des souriceaux. La proie doit être adaptée à sa taille : jamais plus grosse que son corps. Si les jeunes spécimens prennent un à deux repas quotidien, ceux-ci s'espacent de plus en plus avec le temps. Les adultes peuvent ainsi tenir plusieurs semaines sans rien avaler, mais on les nourrit tout de même une fois tous les dix jours environ. Veillez à ce que les proies non ingurgitées soient retirées du vivarium au bout de trois jours. De même, surveillez les prises de repas au cas où l’araignée se blesserait (les souris peuvent les attaquer). Côté déco, on reste sobre : quelques écorces de chêne et de la terre cuite les aideront à se concocter un nid douillet. L’éclairage naturel et la température ambiante d’une pièce à vivre (22 à 26 °C) conviennent à la plupart des espèces. Enfin, pour des raisons de confort et d’hygiène évidentes, pensez à nettoyer régulièrement les restes de nourritures et les déjections. Au quotidien Les araignées font partie des animaux insolites que l’on aime montrer à son entourage. Mais elles ne sont pas des jouets et n’aiment pas être manipulées. On évite donc de les déranger, de les toucher ou de les caresser, ce qui ne ferait qu’augmenter leur stress, mauvais pour la santé des hommes comme pour celle des bêtes. Limitez ainsi ses déplacements aux seules obligations de son entretien : soins courants, changement de substrat, etc. Il est d’autant pus intéressant de les laisser tranquilles dans leur espace confiné que c’est justement dans ces conditions paisibles qu’elles reproduiront des gestes naturels. Les araignées ont la réputation de se faufiler facilement et de se sauver dès qu’elles en ont l’occasion. Ne sous-estimez surtout pas leur talent d’évasion car elles risqueraient de vous surprendre ! Une araignée qui se balade dans la maison peut en inquiéter plus d’un… Sachez toutefois que le venin des araignées, qui leur sert à attaquer leurs proies, provoque de fortes douleurs chez l’être humain, mais n’est généralement pas très dangereux. Seule la mygale australienne a un venin mortel. En fait, en liberté dans un milieu qui lui est hostile, l’arachnide a beaucoup plus à craindre que vous ! Romance Lebeau Source
  6. Il fait passer des serpents dans sa bouche et son nez ! Un Chinois charmeur de serpents peut en faire ce qu'il veut de ces derniers, allant même jusqu'à les mettre dans sa bouche et dans son nez... Certains ont la phobie des serpents mais d'autres pas du tout... Liu Frei, un Chinois charmeur de serpents s'amuse ainsi à faire passer ces petites bêtes par les orifices de son visage. Les images de son exploit ont fait le tour du Web ces derniers jours et créé un véritable buzz selon le site Internet 7sur7. Âgé de 52 ans, ce Chinois issu de la province de Jiangxi en a fait frissonner plus d'un en introduisant les reptiles dans ses narines puis en les faisant ressortir par sa bouche. On pourrait croire à un tour de magie, mais il n'en est rien. Les serpents sont véritablement entrés dans sa bouche et son nez, un niveau de proximité que l'on s'épargnerait bien mais qui ne semble pas gêner du tout Liu Frei... Découvrez comment ce Chinois joue avec les serpents en cliquant ci-dessous : http://www.gentside.com/serpent/il-fait-rentrer-des-serpents-dans-son-nez-qui-ressortent-par-sa-bouche_art30087.html Source
  7. Les reptiles démystifiés Monsieur Reptile et Repticlic présentent une journée consacrée à l’herpétologie le 26 novembre au Collège Laflèche. Une vingtaine d’exposants seront sur place afin de partager leur passion et leurs connaissances. Des tortues, lézards, serpents et crocodiliens seront exposés. Des conseils sur la garde des reptiles en captivité seront partagés. Des spécialistes de la faune et de la biodiversité québécoise seront également sur place. Des minis-conférences seront offertes au cours de la journée. Un coin photo sera aménagé afin de permettre aux visiteurs de prendre une photo souvenir au coût de 5$ avec Mongo, un python jaune de 12 pieds. Source
  8. Le Mans : ils découvrent un serpent installé chez eux C’est le genre de surprise dont on se passerait volontiers. Une famille de Pontlieue, au Mans, a ainsi découvert un serpent tranquillement installé dans sa maison alors qu’elle était de retour de vacances. « On est rentré jeudi, vers 13 heures. Le soir, j’ai voulu rebrancher la télé, au rez-de-chaussée, et c’est là que j’ai aperçu l’animal », raconte Arnaud. « C’était un serpent d'une quarantaine de centimètres, orange avec des taches blanches et des yeux rouges. Il était en boule et ne bougeait pas beaucoup ». Devant cette espèce peu commune dans nos régions, Arnaud a préféré laisser l’animal tranquille. « J’ai tout de suite appelé les pompiers, ils étaient là en un quart d’heure ». En attendant, la pièce a été fermée, afin que toute la famille, lui, sa femme et leurs deux enfants, soit en sécurité. Le jeune père de famille a pianoté sur internet pour en savoir plus. « On pense que c’est un serpent des blés, qui vit en Amérique ». La certitude, c’est qu’il s’agit d’une espèce exotique, visiblement non venimeuse. Les pompiers ont en tout cas capturé le serpent et l’ont confié à l’Arche de la Nature, au Mans, dont un des agents est spécialisé dans les reptiles. Reste à savoir comment ce serpent est entré dans la maison, un pavillon de deux étages. « Je ne sais pas si des voisins possèdent des reptiles », avoue Arnaud. Le serpent était-il déjà entré dans la maison alors que les occupants n’étaient pas encore partis en vacances ? « Ou alors quelqu’un l’a jeté dans la boîte aux lettres, qui donne directement dans la maison ». Le mystère reste entier. Source
  9. Les stratégies Découvrez les moments les plus captivants d'animaux prédateurs luttant pour leur survie et leur suprématie. Des images encore jamais vues en HD jusqu'à maintenant vous en mettront plein la vue. Toutes les espèces d'animaux filmées sont extraordinaires, sauvages et charismatiques. Ce sont les plus fascinants superprédateurs du monde. Prochaines diffusions de cet épisode Dimanche 13 novembre à 17h00 Jeudi 17 novembre à 13h00 Canal D
  10. Contact animal extrême épisode 1 Épisode 1 Dans les plaines africaines, les professionnels doivent travailler dans des environnements difficiles pour capturer un animal sauvage. Parfois, des vacanciers ou des aventuriers amateurs ont de la chance : ils se retrouvent au bon endroit et au bon moment, et réussissent à obtenir des images à couper le souffle. Cette semaine, découvrez les plus beaux portraits animaliers jamais capturés auparavant. Prochaines diffusions de cet épisode Lundi 7 novembre à 20h00 Lundi 7 novembre à 2h00 Mardi 8 novembre à 6h00 Mercredi 9 novembre à 19h00 Samedi 12 novembre à 17h00 Lundi 14 novembre à 13h00 Canal D
  11. Ça ne m'était jamais arrivé avant mais dernièrement, deux fois en peu de temps. Je fais la tournée des reptiles et des arachnides pour nourrir et les bols d'eau. Bang, je tombe sur un scorpion qui mue. J'en profite donc pour sortir l'appareil-photo et pourquoi pas partager.
  12. Nom scientifique : Cuora amboinensis Nom français : Tortue-boîte d'Asie orientale Nom anglais : Commun asian box turtle Origine : Sud-est Asiatique . Biotope : Aquatique Température : Eau : 22 à 27°C Air : 28°C Moeurs : Aquatique et diurne Taille adulte : Moyenne de 20 cm Longévité : 30 à 35. Nourriture : Omnivore Photo emprunté au site http://www.cheloniophilie.com/ Cuora amboinensis est une espèce que l’on classe dans la catégorie des tortues palustres du fait de son activité à la fois terrestre comme aquatique (même si elle est bien plus aquatique que terrestre). Elle est dite « tortue boîte » d’Asie car son plastron est articulé, ce qui lui permet de rentrer ses membres à l’intérieur de la carapace en cas de danger. Première fois que je n'écris pas le texte moi même mais je ne connais aucunement l'espèce alors le texte a été emprunté sur le même si que la photo.
  13. L'employée de Casa a-t-elle été piquée par un scorpion ? Mais où se cache le scorpion chinois qui aurait piqué Caroline Emma Gallego, salariée du magasin de déco Casa (Cabriès) ? Des investigations sont en cours, dans le magasin et chez son fournisseur chinois, après que la jeune femme s'est plaint de malaises et d'une perte de sensibilité de son poignet. Interrogée par Le Parisien, elle aurait été piquée alors qu'elle rangeait des mugs provenant de Chine. Méticuleusement auscultée, elle souffrirait aussi d'une photosensibilité aiguë. Et s'inquiète de la sécurité des clients du magasin. Pour l'heure, l'arachnide reste introuvable. Une société spécialisée a été envoyée sur place, pour traiter puissamment les locaux, indique la DRH de Casa France, Patricia Trigalo. "On privilégie la sécurité du personnel et des clients." La centrale d'achat en Belgique a été contactée, puis le fournisseur chinois. "Mais dans la région du fournisseur, il n'y aurait pas de scorpion." D'autant qu'il faut trois mois au conteneur pour rallier la Chine à la Belgique, puis un mois pour arriver à Marseille. Le scorpion a-t-il survécu ? Ou sera-t-il un autochtone marseillais ? Seule certitude, pour la direction de l'enseigne: "Ce problème est pris très au sérieux." L'employée piquée a été appelée à plusieurs reprises par sa hiérarchie. Source
  14. Un serpent sort d'un distributeur de billets Un distributeur de billets a causé une grosse frayeur à un Espagnol qui souhaitait retirer un peu d'argent à la banque Caja Madrid, rapporte Metro. Après avoir introduit sa carte et demandé le montant dont il avait besoin à la machine, l'homme a été horrifié de voir sortir, en même temps que ses billets, un serpent. L'animal, sur la défensive et très agressif, se tortillait de gauche à droite pendant que l'homme tentait d'attraper son argent sans se faire mordre. Après avoir récupéré ses billets, l'homme a appelé la police pour signaler la présence de l'animal et a également averti le personnel de la banque, qui s'est vite aperçu que le serpent était en fait coincé dans le mécanisme de distribution des billets de l'appareil. La police n'exclut pas que l'animal ait été placé volontairement par des individus qui souhaitaient faire une blague aux passants, mais affirme que la bête a aussi très bien pu elle-même se hisser dans le distributeur. Finalement, le serpent a été sorti de la machine et placé dans un refuge pour animaux. (mlb) Source
  15. Les couleuvres brunes n’ont pas fait reculer le maire Moins tumultueuse que les observateurs la prévoyaient, l’assemblée mensuelle du conseil d’arrondissement du 1er novembre n’avait rien de triomphaliste pour les signataires du registre d’opposition au projet d’école dans le parc de la Fontaine présents. Par ailleurs, le dossier du parc du Quai de la Tortue a attiré plusieurs opposants, dont les arguments n’ont pas ébranlé les convictions du maire Claude Trudel sur l’aménagement de ce parc. Visiblement excédé chaque fois qu’un intervenant posait une question avec un long préambule sur le projet d’école à L’Île ou l’aménagement de l’aire de jeux pour les enfants sur la terre ferme, le maire Claude Trudel répétait invariablement la position du conseil d’arrondissement dans ces deux dossiers controversés. Pas de référendum à propos de l’école, la balle est dans le camp de la Commission scolaire et du gouvernement du Québec et sur l’autre rive, coûte que coûte il y aura une aire de jeux pour les enfants dans le voisinage du Verdun Law Bowling. Le conseil s’est rendu aux arguments de certains intervenants dans le dossier du parc du Quai de la Tortue en repoussant de 120 mètres plus à l’ouest le site de ces aménagements et en promettant la rénovation du parc Beatty en 2012. Rappelons que le parc Beatty devait être rénové entre 2008 et 2010 mais que le projet de patinoire réfrigéré financé par le Club de hockey Canadien, a eu priorité dans les projets de l’arrondissement. À propos du parc du Quai de la Tortue, Christian Nadeau, président du Comité de sauvegarde du patrimoine bâti et naturel du quartier Desmarchais-Crawford, a fait valoir que le parc George-O’Reilly abrite l’une des plus importantes populations de couleuvres brunes au Québec, une espèce susceptible d’être désignée menacée ou vulnérable, Du côté des écologistes, on craint que l’aménagement d’une aire de jeux ne chasse ces petits reptiles. Le maire Claude Trudel a affirmé qu’on protègerait dans la mesure du possible, les couleuvres brunes, «mais qu’on va d’abord s’occuper des besoins des enfants». Le maire a par ailleurs confirmé que l’arrondissement profitait du programme d’amélioration des aménagements de parcs de la Ville de Montréal (PAAP), un programme destiné aux parcs existants. Montréal a sans doute approuvé la demande en considérant que l’aire de jeux projeté se trouve dans un parc déjà établi, ont conclu quelques citoyens présents à l’assemblée du conseil. Reste une démarche à entreprendre pour Josée Lévesque et ses voisins du boulevard LaSalle opposé au projet, prendre une injonction pour bloquer l’arrondissement, mais c’est coûteux et peu sûr. Entretemps, un comité Un comité appelé Comité du Parc George-O’Reilly, a été créé dans le but de conserver, dans sa forme actuelle, le grand parc riverain du même nom, situé à Verdun, le long du Saint-Laurent. Selon Marilou Petit porte-parole du Comité, cette action s'inscrit dans la foulée des quelques 500 signataires de la pétition s'opposant au projet de construction du « Parc-du-quai-de-la Tortue, déposée au conseil d’arrondissement de Verdun, le 4 octobre dernier. Le conseiller de ville Alain Tassé, absent pour des raisons de santé du conseil mardi soir dernier, a donné son appui avec enthousiasme au maire dans le dossier du parc du Quai de la Tortue, affirmant que le projet d’aire de jeux ne représente que 900 mètres carrés alors que la surface totale du parc George-O’Reilly est de 300 000 mètres carrés. Rappelons qu’Alain Tassé est l’architecte de la politique familiale de Verdun, dont le but prioritaire est de satisfaire les besoins des familles avec enfants (garderies, parcs, soutien communautaire, etc), et d’en attirer de nouvelles dans Verdun. En terminant, le conseiller Tassé a reconnu le malentendu de janvier dernier alors qu’on avait peut-être mal expliqué les enjeux de la consultation. Source
  16. Un corps de tortue luth découvert à Guidel Le corps d’une tortue luth mâle adulte, d’une longueur de deux mètres, soit plus de 300kg, a été découvert vendredi plage de la Falaise à Guidel. L’animal, qui était en état de décomposition, a fait l’objet d’observations et d’un prélèvement de peau par Bruno Bertrand, correspondant d’Océanopolis et relais pour le Centre d’études et de suivi des tortues marines (Aquarium de La Rochelle). Le cadavre, qui ne portait pas de trace de blessure, a été rapidement récupéré par les services techniques de la commune. Il sera détruit par une entreprise d’équarrissage. Le 17 octobre dernier, une autre tortue luth adulte avait été découverte pointe de Pen Men à Groix. Victime celle-là d’un instrument de pêche. Depuis le début de l’année, huit échouages concernant cette espèce ont été recensés sur la façade Atlantique. La tortue luth est une espèce protégée, classée en danger critique d’extinction. La moitié des individus trouvés morts sont victimes de sacs plastiques, qu’ils avalent en les prenant pour des méduses. Ces sacs restent dans l’estomac, provoquant l’arrêt de l’alimentation des animaux. Ils entraînent aussi des occlusions (bouchon) intestinales, mortelles. Grandes voyageuses vivant essentiellement en haute mer, les tortues luth se reproduisent en Guyane française et dans les îles Caraïbes. Le littoral Atlantique est l’ne des rares région côtières (autres que celui de ponte) où l’on peut les observer vivantes, quand elles chassent de grosses méduses. Depuis juin, l’espèce a été signalée cinquante fois par des plaisanciers auprès du centre de La Rochelle. Source
  17. Montauban. Des poissons, des reptiles et des insectes au marché gare bourse aquariophile et terrariophile demain La 11e édition de la Bourse aquariophile et terrariophile se tiendra demain, dimanche 6 novembre à la salle des fêtes du marché gare de Montauban de 10 heures à 17 h 30. Les amateurs de poissons d'eau de mer ou d'eau douce y trouveront des centaines d'espèces différentes et autant d'espèces de serpents, tortues, insectes et autres animaux terrestres. Cette manifestation se décline en trois parties une bourse de poissons d'eau douce, une autre de poissons d'eau de mer, un espace réservé aux terrariophiles essentiellement des serpents, avec ventes aux particuliers et enfin une partie réservée aux professionnels, qui proposent du matériel, des animaux plus rares et bien sûr des conseils. « Nous sommes les seuls en Midi-Pyrénées avec Blagnac à proposer une bourse terrariophile et aquariophile d'une telle importance » souligne Cyril Langlois, président du GAM, (groupe aquariophile montalbanais) organisateur de cette manifestation. La passion des serpents Installée à Castelsarrasin, Yanik Coyac élève des serpents et des tortues. Une passion qui lui vient de l'enfance. « Je devais avoir 4 ans quand j'ai commencé à m'intéresser aux serpents, essentiellement des couleuvres et des lézards. Puis j'ai élevé des poissons et il y a une quinzaine d'années, je me suis lancé dans l'élevage des reptiles. Avec les serpents, on voyage. » Dans ses vivariums, des couleuvres « Lampropeltis triangulum nelsoni », « californiae » aux anneaux noirs et blancs, ou « alterna » aux anneaux oranges et gris, originaires d'Amérique du Nord ou du Costa Rica. Certaines espèces sont ophiophages c'est-à-dire qu'elles se nourrissent essentiellement d'autres reptiles notamment des serpents à sonnettes. « En captivité elles sont conditionnées pour être nourries avec des rongeurs. J'élève également des boas, lichanura trivirgata (boa rose le plus petit du monde) et un boa constrictor imperator, des chrysopelea ornata, un serpent volant originaire d'Asie, qui a la capacité d'aplatir son corps comme un cobra et qui vole d'arbre en arbre » explique Yanik. Son épouse Sophie, professeur de biologie élève également des phasmes, insectes herbivores aux formes étranges et au mimétisme extraordinaire. Le phasme d'Australie ressemble à s'y méprendre à un scorpion. À découvrir dimanche au marché gare. Entrée gratuite. Source
  18. Ce que je trouve spéciale, c'est d'avoir appelé des secours pour un serpent de 4 pieds qui sert... Si les secours ont eu le temps de se rendre, c'est que le serpent ne serrait pas tant que ça.
  19. Jamie O’Brien déclenche une polémique…en voulant faire de la prévention pour les tortues C’est le silence radio depuis quelques jours sur le Twitter du surfeur Jamie O’Brien. Lui d’habitude si prolixe, il se contente d’en dire le strict minimum. Et pour cause, il est au centre d’une vaste polémique générée par cette photo qui a entraîné l’hostilité de nombreux internautes à son encontre. Le comble dans cette histoire est que J.O.B. cherchait juste à lancer une campagne de prévention contre une maladie touchant les tortues marines… Jamie O’Brien affirme qu’il ne se cache pas en ce moment mais qu’il surfe, sûrement pour se changer les idées. Quand on connaît la hargne que peuvent manifester certains « défenseurs de l’environnement » quand on effleure un animal marin, on imagine la haine qui a pu se cristalliser contre la personne de Jamie O’Brien pour avoir prétendument « abusé » d’une tortue marine. Jamie O’Brien exhorte ses détracteurs à remettre les choses dans leur contexte : il a voulu faire de la prévention contre la fibropapillomatose des tortues ! Il explique que la fibropapillomatose (FP) des tortues marines est probablement causée par un virus de type herpès (alphaherpesvirus ou THV) qui cause une épizootie (épidémie touchant les animaux). Connue depuis 1938, cette maladie peut causer des fibropapillomes cutanés et des fibromes viscéraux, bénins mais très handicapants pour les tortues. La FP connaît actuellement un développement alarmant et commence à toucher de nouvelles espèces de tortues. Si les choses continuent d’évoluer à ce rythme, la maladie pourrait devenir la première menace sur les tortues, et ainsi devancer l’homme qui reste encore le premier danger pour ces créatures marines. C’est peut-être cela qu’a voulu dénoncer Jamie O’Brien avec cette photo prise par Brent Bielmann. Ou peut-être a-t-il utilisé une analogie vaseuse avec l’herpès virus qui peut entraîner une Infection Sexuellement Transmissible. Toujours est-il que sa tentative pour faire de la prévention est au minimum très maladroite… La tortue marine (honu) est sacrée à Hawaii et il s’agit d’un animal menacé et protégé par la loi qui stipule qu’il ne faut pas les approcher et encore moins les déranger, au risque de s’exposer à une amende de 13.200 dollars. Jamie O’Brien risque gros avec cette photo qui s’est rapidement diffusée sur la Toile. Peut-être qu’un slogan explicatif aurait évité que la vindicte populaire ne s’abatte sur lui. En attendant, cette campagne choc permet de faire parler de cette maladie peu connue qui menace l’existence des tortues marines. Même si les causes exactes de la fibropapillomatose des tortues marines ne sont pas connues, les études tendent à prouver qu’elle survient dans les zones côtières proches des activités humaines et des pollutions générées par l’homme. L’homme a peut-être bien une part de responsabilité dans cette maladie. Jamie O’Brien n’a pas dû faire grand mal à la tortue en se faisant prendre en photo avec pour sensibiliser au problème alors que d’autres hommes sont peut-être, sans le savoir, indirectement responsables de ce mal qui les frappe. Raison de plus pour sensibiliser à cette pathologie et faire avancer la recherche pour la prévenir et la soigner, plutôt que de rentrer dans une nouvelle polémique stérile contre un surfeur… Source
  20. Un rare spécimen de serpent albinos à deux têtes Un serpent de lait albinos et présentant deux têtes a récemment éclos aux Etats-Unis. Le personnel en charge de la conservation des reptiles de Floride "Sunshine Serpents" sont heureux de vous annoncer la naissance de leur nouveau spécimen. La petite créature, de la famille des serpents de lait présente deux caractéristiques exceptionnelles : elle est bicéphale, c'est-à-dire à deux têtes, et est en plus albinos. Le bébé serpent, fait partie d’une ponte étonnante composée de sept œufs. Les experts en charge de la couvée ont été extrêmement surpris de découvrir au terme de l’incubation neuf têtes émerger, car ajouté au serpent à deux têtes, un autre œuf contenait des jumeaux. Le propriétaire de la nouvelle portée, Daniel Parker, biologiste a l’université de Floride a confié au Daily mail : "J'ai fait une double prise. Je ne pouvais pas croire ce que je regardais". En effet, les probabilités qu’un serpent naisse avec deux têtes sont d’environ 1 sur 10.000 et encore bien plus faibles si on ajoute également l’albinisme. Ce caractère se traduit chez ces squamates par une absence totale de pigmentation foncée. Selon Daniel Parker, le serpent à deux têtes devrait vivre environ 20 ans en captivité. Mais à l’état sauvage, le spécimen non venimeux et partageant son unique corps entre deux cerveaux aurait certainement eu de grandes difficultés à survivre. Les serpents de lait tiennent leur nom de leur mode de vie. Préférant les environnements sombres et protégés, on les retrouve généralement dans les granges à bétail où certains pensent à tort qu’ils sucent le lait des vaches. En réalité, ce reptile inoffensif pour l’homme se nourrit exclusivement d’insectes, de lézards, d'oiseaux et de petits mammifères.
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  21. Un adolescent mordu et enroulé par son python à Gatineau Un adolescent de Gatineau a été attaqué par son serpent, dimanche dernier. Le garçon de 13 ans manipulait son python lorsque le reptile de 4 pieds qui était en pleine période de mue, s'en est pris à lui... En audio, Karine Dunnigan, de la SPCA de l'Outaouais, Les paramédics sont parvenus à libérer la victime de sa fâcheuse position, mais le serpent a subi une légère lésion au niveau de la tête... Le python a été récupéré par la SPCA de l'Outaouais, où il a été hébergé durant trois jours, pour ensuite être transféré au Little Rays' Reptile Zoo d'Ottawa, mieux équipé pour en prendre soin. Source
  22. Qui a peur des araignées ? Méritent-elles leur si mauvaise image ? Les réponses de Christine Rollard, spécialiste mondiale des aranéides. « Je fais commerce d’amitié avec l’araignée. Je l’admets dans l’intimité de mon cabinet de travail, je lui fais une place au milieu de mes livres, je l’installe au soleil sur le bord de ma fenêtre, je la visite passionnément chez elle, à la campagne. » Cette phrase du célèbre entomologiste Jean-Henri Fabre, Christine Rollard pourrait la faire sienne – et ajouter qu’elle porte même des araignées sur elle, en bagues ou en pendentifs ! Une vraie passion, venue un peu par hasard : « J’aurais travaillé sur n’importe quel animal, mais, pour ma thèse, on m’avait proposé un sujet sur les parasites d’araignées. J’ai vraiment accroché et, l’année suivante, en 1988, le Muséum recrutait un maître de conférences spécialisé sur les araignées. » Aujourd’hui, la chercheuse, seule aranéologue française de réputation mondiale, partage son temps entre l’enseignement, la gestion des collections du Muséum (l’une des trois plus importantes au monde, avec 25 000 des 42 000 espèces connues – dont 12 000 “types”, les spécimens de référence), les campagnes d’études, le travail de classification et se consacre même, dans ses rares heures perdues, à “soigner” cer­taines personnes arachnophobes. « Il ne s’agit pas de leur faire aimer les araignées, mais de discuter avec elles pour invalider certaines idées reçues dont se nourrit leur pho­bie », explique-t-elle. Pourquoi déteste-t-on les araignées ? Il y a l’aspect : pattues, poilues, bondissantes. Il y a aussi les croyances : les araignées ne piquent pas, certes, mais elles mordent. Peu importe que 70 % d’entre elles n’aient tout sim­plement pas les crochets assez longs pour percer la peau humaine et qu’en vingt-cinq ans de recherche, Christine Rollard n’ait jamais été mordue. Elles sont venimeuses. Il est vrai que le venin de la veuve noire peut tuer un lapin et que sa morsure, très douloureuse, peut induire des complications chez l’homme. Mais on recense cinq cas mortels depuis vingt ans dans le monde, contre quinze décès annuels, rien qu’en France, par piqûre de guêpe ou de frelon. Il y a aussi le mythe de la grosse araignée. Mais si l’envergure de vingt-cinq centimètres de la mygale Theraphosa blondi peut effrayer, il faut savoir que la majorité des araignées ne mesurent que quelques millimètres et que les très grands spécimens ne se croisent pas dans nos contrées, même si la mygale maçonne ou les tégénaires de nos gre­niers peuvent faire belle impression. La France ne manque pas d’araignées – comme d’ailleurs toutes les régions du globe, à l’exception des régions polaires. Dans son dernier livre, Arachna, les voyages d’une femme araignée, Christine Rollard nous en­traîne dans ses campagnes d’observations et d’études, du maquis corse aux falaises de Normandie en passant par les étangs de la Brenne ou les alpages du Mercantour. Un livre enrichi de photos et de dessins somptueux avec un but : donner à contempler et donner à comprendre. Une motivation qui a aussi présidé à l’organisation de l’exposition “Au fil de la toile” que le Muséum national d’histoire naturelle consacre aux araignées. Le parcours, interactif, pédagogique et scientifique, permet notamment de comprendre ce qui distingue les araignées des insectes ou pourquoi la tarentule n’est pas une grosse mygale. On y découvre aussi à quoi ressemblerait un hectare de campagne dépourvu d’araignées… et donc submergé par les 400 millions d’insectes qu’elles y dévorent chaque année. On pourra s’émouvoir du sort de l’araignée mâle, souvent forcé de perdre la vie pour la donner, et admirer l’ingéniosité tragique qu’il met à séduire sa compagne ; on ira aussi contempler, dans leurs vitrines, quelques beaux spécimens vivants – mygale poilue ou néphyle aux pattes effilées. À ne pas manquer : le module consacré au fil de l’araignée, cette soie unique, plus souple que le Nylon et plus solide que l’acier, véritable merveille de la nature, et, pour les amateurs du genre, le stand “cinéma” où les araignées de films d’horreur sont ramenées, par le bon sens, à de plus justes proportions. Enfin, l’expérience “La douceur d’une caresse” permettra au visiteur de sentir, sous ses doigts, le duvet soyeux d’une belle mygale. Mickaël Fonton À lire Arachna, les voyages d’une femme araignée, de Christine Rollard et Vincent Tardieu, Belin, 192 pages, 30 euros. Source
  23. Santé : Une femme piquée par un scorpion au travail dans les Bouches-du-Rhône Vous ne rêvez pas, une jeune femme s'est fait piquer par un scorpion alors qu'elle était en train de déballer des cartons sur son lieu de travail. melty.fr vous en dit plus sur cette histoire incroyable. Pas besoin d'aller faire un tour dans les pays exotiques pour se retrouver face à face avec un scorpion et se faire piquer. La pauvre Caroline Gallego en a fait la désagréable expérience début octobre alors qu'elle déballait un carton de tasses venues de Chine . La jeune femme employée du magasin Casa dans les Bouches-du-Rhône a très vite ressenti les premiers effets de la piqûre de la bête. Elle est prise d'une grande vague de chaleur et devient rapidement sujette à des vomissements très importants qui dureront toute la nuit. Elle se rend immédiatement chez les pompiers en liens avec le centre antipoison, mais rien n'y fait son poignet continue d'enfler et la paralysie survient. Depuis, la pauvre jeune femme voit son état empirer de jour en jour. Victime de problèmes respiratoires et cardiaques , la jeune femme doit se rendre très régulièrement à l'hôpital. Et quand elle n'est pas suivie par les médecins, elle est obligée de se calfeutrer chez elle, victime d'une photosensibilité aiguë . Pire le choc allergique a été si violent que l'épiderme de son bras gauche s'est littéralement décollé . Pour le moment, elle est obligée de vivre constamment avec des lunettes de soleil. Caroline a décidé de raconter son aventure à la médecine du travail en attendant de voir son état s'améliorer. Et vous, que pensez-vous de cette histoire incroyable ? Comment un si petit animal a pu se retrouver dans un magasin français ? Source
  24. Les venins des serpents pour sauver des vies Dans le cadre d’une expo de reptiles à Vevey, des venins ont été prélevés sur des serpents mortels. Explications du laboratoire genevois qui espère y trouver les médicaments de demain. Une vipère de Mauritanie, un impressionnant cobra égyptien, un crotale mécontent. Et un puissant serpent africain, croisement entre une vipère rhinocéros et une vipère du Gabon, le serpent possédant les plus longs crochets de la planète. Lundi soir, ces bestioles mortelles ont été sorties de leur vivarium par le spécialiste Karim Amri, organisateur de la plus grande expo de reptiles d’Europe, qui se tient jusqu’au 4 décembre à Vevey. Le but de ces «portes ouvertes» un brin effrayantes? Extraire leur venin. Un venin récolté par le Dr Reto Stöcklin, président et directeur du laboratoire Atheris, à Genève. Avec 1200 échantillons au congélateur, Atheris peut prétendre avoir l’une des plus grandes collections de venins du monde. Pas pour confectionner des sérums mais pour la recherche. Car si un venin peut tuer, il peut aussi guérir. Les explications du biochimiste Reto Stöcklin. Pourquoi récolter des venins? Parce qu’ils contiennent des millions de molécules qui pourraient avoir des effets thérapeutiques. A partir des composés formant les venins, on espère trouver les médicaments de demain. Concrètement, quelles maladies sont concernées? Cancers, douleurs, allergies, diabète, alzheimer: les champs possibles sont innombrables. J’ai par exemple travaillé sur une molécule contenue dans un venin qui pourrait déboucher sur un traitement pour la sclérose en plaques. L’industrie pharmaceutique en est aujourd’hui à la première phase clinique de tests sur des patients. Un médicament pourrait être sur le marché d’ici à cinq ans. Existe-t-il déjà des traitements issus de venins? Oui. Une quinzaine de médicaments sont actuellement testés et six sont d’ores et déjà sur le marché. Il existe trois anticoagulants, issus respectivement du venin d’un crotale, d’une vipère et d’une sangsue, utilisés pour prévenir les infarctus ou la formation de caillots; un antidiabétique provenant du monstre de Gila, un lézard venimeux; ainsi qu’un antidouleur venant d’un escargot venimeux; ou encore, grâce à la vipère fer de lance d’Amérique du Sud, un médicament traitant l’hypertension. Pourquoi les venins sont-ils si intéressants? Car ils sont sous-exploités. Serpents, araignées, scorpions, fourmis, anémones, méduses, chenilles et autres: quelque 200 000 espèces animales ont du venin. Pour un serpent, il faut imaginer qu’il s’agit d’un cocktail de molécules. On en trouve entre 100 et 2000 différentes dans un seul venin. Ce cocktail est une merveille de l’évolution. En quoi des substances létales sont-elles admirables? Ces cocktails ont été développés, améliorés, affinés durant des millions d’années. La nature n’a pas choisi une seule molécule qui tue, mais un cocktail encore bien plus efficace sur les proies. Dans ces mélanges complexes, à nous de dénicher, d’isoler puis de synthétiser les molécules qui peuvent avoir un intérêt thérapeutique. On parle ici d’un réservoir de millions de molécules. Or 10 000 seulement ont été plus ou moins étudiées. Voilà pourquoi le champ d’expérimentation et les espoirs sont immenses. Ces produits mortels sont-ils dangereux à manipuler? Pas du tout, car nous travaillons sur des très petites quantités. Combien coûte du venin? Pour des serpents, de 100 à 1000 francs le gramme. Pour de minuscules araignées, ça peut être cent fois plus car l’extraction est compliquée et chacune n’en contient qu’infiniment peu. Donc il y a un marché? Il existe une demande mais pas un réel marché lucratif. Par le passé, des petits malins s’étaient dit qu’ils pourraient devenir millionnaires en vendant des kilos de venin de vipère. Le calcul était juste si l’on regarde le prix au gramme. Sauf que ça n’a pas marché car la recherche n’a pas besoin de kilos: une fraction d’un gramme nous suffit pour un à deux ans de travaux… Source
  25. Environnement / Ouverture de l’observation des tortues marines sur les plages du littoral Libreville, 1er novembre (GABONEWS) – Le réseau du partenariat tortue marine du Gabon vient de lancer la phase d’observation des tortues marines, à l’approche de leur période de ponte sur les plages du parc national de Pongara, en vue de la préservation et la protection de ces espèces menacées. Lors de cette cérémonie de lancement, Angela Fourmia, une responsable du réseau du partenariat tortue marine du Gabon a attiré l’attention des visiteurs qui fréquentent les zones de ponte de ces tortues le long du littoral, tout en leur signifiant que l’observation et la conservation des tortues marines représentent d’importantes ressources potentielles pour la croissance économique, l’emploi et le développement social du pays. A cet effet, des mesures bien précises sont mises en place afin de mener à bien cette phase d’observation qui doit se faire en présence d’un accompagnateur habilité avec un maximum de dix personnes par groupe d’observateurs. Quelques règles à respecter restent obligatoires lors de ces observations comme l’utilisation des torches à filtres rouges, l’allumage de torches par intermittence pour la discrétion et toujours orienter l’éclairage vers le sol, pour perturber le moins possible la tortue. Et pour lutter contre le braconnage de ces espèces animales menacées, il est demandé aux populations de faire preuve de civisme aux abords des plages, notamment, en évitant de jeter les ordures sur la plage ou en mer. Les sachets plastiques en mer sont avalés par les tortues luths qui les confondent avec des méduses, leur nourriture favorite. Source
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