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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Des dizaines de couleuvres ont été découvertes à l’hôpital de Brive-la-Gaillarde, en Corrèze, durant le mois d’août. Ces serpents se sont également invités depuis l’été dans plusieurs autres établissements de soins de la ville. Les reptiles ont suscité la surprise parmi le personnel, mais la direction de l’hôpital de Brive assure qu’ « ils n’ont pas gêné la prise en charge des malades ». La couleuvre est une espèce inoffensive et protégée, mais un phobique des serpents pourrait avoir un choc s’il devait en côtoyer un à ses pieds. Vincent Delivet, directeur de l’hôpital de Brive, s’est montré rassurant dès la confirmation des faits. Lors d’un point presse, ce dernier s’est empressé d’éclaircir la situation : « Les serpents, parfois accompagnés de leurs petits, n’ont pas pénétré dans les chambres où séjournent les patients mais sont restés cantonnés dans les locaux techniques. Ces couleuvres, de beaux spécimens à tête verte, ont été vues du côté des urgences-Smur et de la maternité, dont l’entrée donne sur la colline ». Pour déloger les intrus, le personnel des lieux avait songé à lâcher des poules dans l’établissement puisque, comme on aime à le rappeler dans les campagnes, « les poules font peur aux couleuvres, et ces dernières les fuient très vite ». Mais il était inconcevable d’introduire des poules dans un hôpital. La direction a ainsi préféré faire appel au Groupe mammalogique et herpétologique du Limousin (GMHL) pour chasser les reptiles. Les couleuvres ont donc été capturées puis relâchées à l’extérieur. Par la suite, les faux plafonds ont été sécurisés, certaines canalisations ont été bouchées et les environs débroussaillés. Depuis, comme le précise Vincent Delivet, « personne n’a observé de couleuvres à l’intérieur des murs ». L’intéressé a tout de même écrit au préfet, cette semaine, pour bénéficier de son aval afin que des spécialistes viennent inspecter l’hôpital pour être assuré qu’aucun reptile n’est resté dans les lieux. Dans l’établissement, qui n’est pas le seul à avoir expérimenté ce phénomène, on explique cette invasion de couleuvres par les fortes chaleurs du mois d’août. Selon des spécialistes animaliers, en revanche, les couleuvres brivites chercheraient à défendre leur territoire. La colline sur laquelle est logé l’hôpital serait en effet grignotée au fil des ans par de nouveaux bâtiments, au détriment de l’écosystème. Source
  2. Max|mum-leterrarium

    mes amours! :)

    Très jolie petite famille! Comment se porte maintenant la rescapé que tu parlais dans l'histoire? Elle a reprit beaucoup de poid?
  3. Non, c'est une femme la propriétaire /t5508-le-serpent-en-captivite-le-plus-long-mesure-75-metres
  4. Renforcement des mesures de protection de la tortue marine Modification de l’arlicle A. 121-1 du code de l’environnement fixant la liste des espèces protégées relevant de la catégorie A et de la catégorie B e conseil des ministres a adopté un arrêté modifiant la liste des espèces protégées du code de l’environnement, pour ce qui concerne les tortues marines. Sur les huit espèces de tortues existantes, cinq sont aujourd’hui observables en Polynésie française : la tortue verte (Chelonia mydas), la tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata), la tortue caouanne (Caretta caretta), la tortue olivâtre (Lepidochelys olivacea) et la tortue luth (Dermochelys coriacea). Dorénavant, ces cinq espèces bénéficient du même degré de protection, tel que défini par la délibération 90-83 AT du 13 juillet 1990, à savoir l’interdiction de transport, de détention, de collecte des œufs, de capture à terre ou en mer, de taxidermie, et de toute commercialisation, importation et exportation incluses. Toute infraction à ces interdictions est passible de sanctions pénales (peine d’emprisonnement et amende), assorties de la saisie-confiscation des moyens de transport et de pêche utilisés. Par ailleurs, conformément aux préconisations internationales, les tortues luth et imbriquées rejoignent leurs congénères caouannes et olivâtres en catégorie A, correspondant aux espèces considérées comme vulnérables ou en danger. Pour ce qui concerne la tortue verte, il s’agit de la seule espèce connue pour venir se reproduire dans nos eaux et pondre sur nos plages. Des sites d’alimentation en lagon ont également été inventoriés, notamment aux Tuamotu. C’est la raison pour laquelle la tortue verte est dorénavant classée en catégorie B du code de l’environnement, qui regroupe les espèces considérées comme rares ou d’intérêt particulier, dont les habitats sensibles doivent être préservés. Source
  5. L'océan Indien, l'endroit le plus dangereux pour les tortues marines Près de la moitié des espèces de tortues marines en danger d'extinction se trouvent dans l'océan Indien, selon une étude menée par l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) publié jeudi. "Cinq des onze espèces de tortues marines les plus menacées au monde se trouvent dans le nord de l'océan Indien", a indiqué le groupe environnemental dans un communiqué. Les principales menaces pour ces espèces sont d'être "attrapées accidentellement par des pêcheurs ciblant d'autres espèces ou d'être pêchées volontairement pour leur chair, leurs oeufs ou leur carapace à des fins commerciales", précise l'UICN. Ces espèces de tortues marines menacées se trouvent notamment à Oman, en Inde, au Sri Lanka, en Birmanie et au Bangladesh. D'autres populations de tortues menacées d'extinction peuvent être trouvées sur les côtes d'Afrique de l'Ouest, en Amérique centrale et au Japon, selon l'UICN. AFP Source
  6. Bienvenue sur ce forum! J'aurais une question, qu'est-ce que votre association fait comme intervention pour le milieu reptilien?
  7. Les araignées envahissent le Muséum d’histoire naturelle L’objectif de l'exposition: combattre quelques clichés. Petites, grosses, noires ou velues… Pourtant, les araignées sont souvent minuscules, inoffensives et jolies. Pour changez vos a priori sur ces «bébêtes», popularisée par quelques films d’épouvante, la bestiole s’invite au Muséum national d’histoire naturelle (Paris Ve), à partir du 5 octobre. Intitulée «Au fil des araignées», elle se déclinera en trois parties, à l’intérieur de la Grande galerie de l’évolution. La première partie de la visite, «Surprendre le visiteur», présente l’araignée dans sa spécificité, son histoire, sa grande diversité et fait prendre conscience de sa faible dangerosité et de la beauté de quelques espèces. «Explorer les clichés»: cette seconde section détaille les temps forts de la vie des arthropodes, notamment son mode de reproduction et ses techniques de chasse. Enfin, «Pourquoi étudier les araignées ?» explore la fascination que suscite l’animal bien au-delà du monde scientifique, en particulier son fil de soie et son venin. Pour rendre visibles ces animaux minuscules sans rebuter ou effrayer les visiteurs, l’exposition mettra en valeur des espèces surprenantes, grâce à des reproductions aux dimensions décuplées, de nombreuses photos et la présentation de quelques spécimens vivants. La majorité d’entre-elles sont minuscules et ne présentent pour l’homme aucun danger. Ces arthropodes, qui ont colonisé la Terre il y a plus de 500 millions d’années, dépassent rarement le centimètre, pattes comprises. L’exposition se donne aussi comme mission de rassurer les arachnophobes. Sous réserve qu’ils fassent le déplacement. Quand aux plus téméraires d’entre eux, ils sont invités à plonger leur main dans une boîte pour découvrir l’aspect soyeux d’une mygale particulièrement poilue et inoffensive. Cerise sur la toile, on peut même les manger. En brochettes en Asie ou réduites en poudre comme aphrodisiaques au Brésil ou en Australie. Un film passe en revue quelques recettes traditionnelles appréciées pour leur goût, leur apport de protéines ou leurs éventuelles propriétés médicinales. «Au fil des araignées» du 5 octobre 2011 au 2 juillet 2012 de 10h à 18h Jardin des Plantes - Grande Galerie de l’Evolution, 36, rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris. Tarif: 9€ adulte, 7€ enfant Plus d’informations sur http://araignees.mnhn.fr Source
  8. Pour les scorpions, ça ne sera pas demain selon moi. Ils sont encore beaucoup trop au sud pour qu'on puisse en trouver ici.
  9. Que ce soit dans un zoo, un musée, une exposition ou à la maison, on peut garder ce genre de bêtes mais si le tout est sécurisé
  10. Quant à vous présenter, on veut voir de quoi vous avez l'air /t759-qui-se-caches-sous
  11. C'est écrit qu'ils le gardent comme attraction donc dans un zoo, un musée ou un commerce probablement.
  12. Il y a fort longtemps qu'on entend dire que c'est la prochaine espèce qu'on trouvera au Québec. Avec le réchauffement planétaire, les animaux migrent lentement de plus en plus vers le nord. Il est donc possible qu'on trouve maintenant des populations de ce crotale au Québec.
  13. Bienvenue Marie-Eve! Ce genre de gecko est peu reproduis en captivité. Ils sont presque toujours wild caught. Bonne chance dans tes recherches.
  14. Serpent à sonnette venimeux en Montérégie Un visiteur impromptu s’est installé en Montérégie cet été, un serpent à sonnette venimeux d’une race agressive qu’on retrouve habituellement aux États-Unis et dont la morsure peut entraîner la mort. C’est Santé publique Canada qui aurait averti les professionnels de la santé de la Montérégie à l’effet qu’un crotale des bois aurait été débusqué dans le secteur. Il n’a pas été possible de savoir où et dans quelles circonstances le reptile a été vu ou capturé puisque personne, à l'agence, n’était disponible pour répondre à nos questions, samedi. La notice interne rédigée par Santé Canada avise simplement les professionnels qu’il existe un sérum antivenimeux et qu’il faut contacter le centre antipoison suivant une morsure. Mais contacté par 24H, le centre antipoison baignait lui-même en plein mystère lorsque nous avons voulu en savoir plus. Venin causant la mort «Leur morsure peut causer une enflure douloureuse, une paralysie musculaire et la destruction des tissus et peut entraîner la mort», peut-on lire dans l’Encyclopédie canadienne, propos qui ont été corroborés par des spécialistes de la question. «Ça me surprend qu’on ait trouvé ça ici, a expliqué Hervé Marandat, fondateur de l’Exotarium, un centre de reptiles de Saint-Eustache. C’est un serpent assez gros, au venin assez virulent.» L’ex-étudiant en herpétologie de l’Université McGill le définit comme un serpent «agressif qui peut atteindre 1 mètre et demi [quatre pieds]», mais qui attaque seulement s’il se sent menacé. Le Département de l’environnement et de la conservation de l’État de New York décrit le crotale des bois comme étant «le serpent le plus dangereux d’Amérique du Nord», peut-on lire sur leur site web. D’ailleurs, les risques de décès sont faibles, environ 2 % au Canada. Ce type de serpent se trouve habituellement dans le sud de l’Ontario et dans l’Ouest canadien et dans plusieurs États américains. Source
  15. Le serpent en captivité le plus long mesure 7,5 mètres Medusa sera bientôt enregistrée dans le livre des records Guinness comme étant le plus long serpent en captivité. Le python mesure entre 24 et 26 pieds de long, soit autour de 7,5 mètres. La bête pèse autour de 300 livres, peut-être même plus, a signalé son propriétaire au Daily Mail. Des représentants du livre des records Guinness devraient homologuer son record sous peu. En attendant, Medusa est exposée dans une attraction de Kansas City nommée « Edge of Hell ». Ce serpent mange en moyenne un animal de 40 livres par semaine, mais il pourrait facilement en manger un de 100 livres, selon son propriétaire. Source
  16. J'ai reçu un message me disant que ce n'était plus Fluffy mais Meduza maintenant.
  17. Un boa en promenade sur le Ravel, à Roux Frayeur pour un promeneur qui était sur le chemin de halage du côté de Roux. Devant lui, un énorme boa se promenait, lui aussi, sur le halage. Rédaction en ligne Publié le 23/09 à 17h58 Le promeneur a prévenu les pompiers de Charleroi qui dispose d'une section NAC (Nouveaux Animaux de Compagnie). L'animal n'a pas fait d'histoire et s'est laissé prendre. Il a été emmené à la SPA de Charleroi où il se réchauffe. Il s'agit d'une espèce qui vit dans les forêts de Madagascar. Il n'a pas dû avoir très chaud chez nous, ces derniers jours. Source
  18. Tortue: un animal menacé se cache sous la carapace En cette Année internationale de la tortue, le spécialiste romand Jean-Marc Ducotterd nous fait connaître quatre espèces hors du commun. Sa carapace semble lui avoir permis de repousser les assauts du temps. Cuirassée dans son armure faite d’os, de cartilage et d’écailles, la tortue a survécu aux dinosaures, bravant aussi bien les périodes glaciaires que la dérive des continents. Seulement voilà, en cette Année internationale de la tortue, la grande question est désormais de savoir si le XXIe siècle ne lui sera pas fatal. S’il ne verra pas l’extinction de celle qui est apparue il y a près de 220 millions d’années. Car sur les 328 espèces connues à ce jour à travers le monde – terrestres, marines ou aquatiques – 47,6% sont considérées comme «menacées d’extinction» d’après la fameuse liste rouge établie par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), la référence internationale en matière d’inventaire mondial de la conservation des espèces animales et végétales. La survie des tortues est remise en question à cause de la destruction de leur habitat et de la prédation trop importante de l’homme, qui les utilise à des fins médicales, culinaires, voire artisanales. Figure emblématique de la religion hindouiste, Kûrma la tortue, deuxième avatar de Vishnou, serait descendue sur terre pour montrer à l’humanité la voie à suivre. Aujourd’hui, malheureusement, c’est bien l’homme qui semble montrer à la tortue le chemin vers… la sortie! Chercher à préserver ces reptiles devient donc urgent. Jean-Marc Ducotterd, membre fondateur du centre de Protection et récupération des tortues de Chavornay (VD), nous fait découvrir les petites et grandes merveilles qui se cachent sous ces carapaces. En voici quatre exemples. La plus rusée Avec ses minuscules yeux posés sur sa tête plate et triangulaire, son nez en trompette et son cou allongé, la matamata (Chelus fimbriata) ne ressemble à rien! Ou plutôt si: à un tas de feuilles, voire, lorsqu’elle a la tête rentrée, à une grande feuille morte. La morphologie de cette tortue d’eau douce sud-américaine – qui peut atteindre 45 cm de long et peser jusqu’à 15 kilos – lui permet ainsi de se fondre parfaitement dans le milieu marécageux dans lequel elle vit. Ni vue ni connue, elle embrouille ses proies, généralement des poissons et des amphibiens. Et sa technique de chasse à l’affût est bien rodée: immobile, elle peut retenir sa respiration durant des heures jusqu’à ce qu’une proie passe à proximité de sa large bouche. L’attaque est foudroyante. La victime est aspirée en un cinquantième de seconde! Une fois l’eau recrachée, la prise est asphyxiée, puis gobée tout rond. La plus maternelle Pas question pour la tortue brune (Manouria emys) – aussi appelée tortue à six pattes en raison du gros ergot qui garnit l’arrière de ses cuisses – de laisser ses œufs sans surveillance. La plus grande des tortues terrestres asiatiques – 40 cm de long en moyenne pour près de 30 kilos – est en effet la seule tortue à prendre un tant soit peu soin de ses œufs. La femelle se place sur ou à proximité du nid constitué de terre, de feuilles et de brindilles. Elle dissuade ainsi d’éventuels prédateurs, comme les varans ou les mangoustes. Mais bizarrement, sans que l’on ne puisse encore l’expliquer, elle abandonne le nid après trois semaines d’une surveillance intense, alors que l’incubation dure près de deux mois. La tortue brune ressemble à une maman poule, mais seulement à l’aune des autres espèces de tortues! La plus imposante Entendre la tortue luth (Dermochelys coriacea) haleter pendant qu’elle pond, de nuit sur une plage, constitue une expérience inoubliable. Elle semble s’épuiser à chacun de ses râles. Il faut dire que cette tortue, la plus grande au monde – 500 kilos en moyenne pour une longueur de 1,80 mètre! – réalise un effort physique incroyable en s’extrayant des eaux pour venir sur terre. Ses mensurations exceptionnelles se rappellent alors à son bon souvenir. C’est le prix à payer pour assurer la survie de l’espèce. Après avoir creusé le trou de ponte, pondu, puis refermé le nid, elle traîne sa lourde carapace bleue foncée – sans écailles: il s’agit d’une peau plaquée sur les os – jusqu’à l’océan. Océan dans lequel elle suit son chemin grâce au champ magnétique terrestre et qu’elle parcourt sur des milliers de kilomètres pour retrouver les méduses dont elle est friande. La plus helvétique La cistude d’Europe (Emys orbicularis) fait partie du patrimoine naturel helvétique: c’est la seule tortue indigène de Suisse. Aquatique, elle arbore une «tenue» noire piquetée de nombreux points jaunes. Sa taille oscille entre 11 et 19 cm. En Suisse, où l’espèce est considérée comme vulnérable, on compte environ 500 individus. Plus de la moitié se rencontrent dans les marécages riches en végétation et en buttes sèches du Moulin-de-Vert, à Genève. Un projet de réintroduction est d’ailleurs en cours dans ce canton. De quoi espérer offrir un avenir à notre tortue nationale. Source
  19. Connaissez-vous le jus de grenouille? Au Pérou, il est très répandu de consommer du jus de grenouille. On y trouve des magasins qui en vendent régulièrement dans les rues et qui la préparent aux yeux de tous. Le procédé est assez étrange et peu ragoûtant : Le vendeur frappe la tête de la grenouille pour la tuer, enlève sa peau, vide la grenouille et la passe au mixeur avec d’autres ingrédients comme de l’eau chaude, des oeufs, du miel, de la plante maca et d’autres ingrédients fortifiants. Un véritable cocktail ! Il est servi dans un grand verre pour environ 90 centimes. Pour le locaux, cette boisson est une vraie potion à boire tous les jours, elle leur permettrait d’améliorer leurs capacités intellectuelles, visuelles, respiratoires et sexuelles ainsi que de tonifier leurs os chasser la fatigue. Et vous, vous prendrez bien un petit cocktail à la grenouille? Source
  20. Mon dieu, ils sont en retard pour le reconnaitre. Fluffy appartenait à Bob Clarke et dans mes souvenirs, il est mort
  21. Insolite : le serpent a été sorti du Touran VW ! L'incroyable histoire qui est survenue à Sandrine Ratieuville, une habitante de Grugny, a trouvé son épilogue mercredi soir. La couleuvre qui s'était glissée le lundi 12 septembre dans son monospace Touran VW a finalement été extirpée du véhicule... après un suspens angoissant de dix jours pour la conductrice ! " Aucun garage ne voulait s'occuper de ma voiture, c'est finalement à Saint-Victor l'Abbaye qu'un garagiste a accepter de prendre mon Touran pour démonter le tableau de bord et récupérer la couleuvre", explique Sandrine. "Ils ont enlevé les sièges, la banquette, et la planche de bord... Et ils l'ont aperçue. C'est le responsable du Trappeur Normand à Deville-lès-Rouen qui s'est chargé de récupérer le reptile. Il lui a fallu une autorisation de la préfecture pour la capture et son transport. Je suis vraiment soulagée mais j'attends maintenant la facture du garagiste..." Sandrine Ratieuville remercie tous les personnes qui lui ont porté conseils et témoignages pendant cette "dure épreuve" d'une dizaine de jours. "Je ne vais pas récupèrer ma voiture avant la semaine prochaine, je demande surtout que l'on ne me téléphone plus ! Je ne veux plus jamais entendre parler de cette histoire de fou et de serpent !" Source
  22. Iguanes, pythons, mygales: la détresse d'une retraitée privée de ses animaux PARMAIN (Val d'Oise) — Iguanes verts, pythons royaux, mygales: depuis que ses animaux exotiques ont été saisis, Regula Hess, retraitée du Val-d'Oise, bientôt jugée pour "défauts de soins aux animaux", désespère face à ce qu'elles estime être un acharnement. "On me juge coupable d'avoir ouvert un établissement d'élevage, de vente, de transit et d'exploitation d'animaux, c'est faux!", affirme la Suissesse de 67 ans, jugeant faire l'objet de poursuites abusives simplement pour ne pas avoir toujours été présente lors des contrôles des services vétérinaires. Le 16 mai dernier, les agents de la Direction départementale de la protection des populations de Pontoise (DDPP) et l'Office national de la chasse (0NCF) ont saisi à son domicile un épervier d'Europe, deux buses variables, quatre chouettes hulottes, une chouette chevêche, quatre hérissons d'Europe, deux iguanes verts, un boa constrictor, quatre pythons royaux et six mygales. Autant d'espèces sauvages que Regula Hess "détenait et élevait illégalement", selon Gildas Hascot, responsable du service de l'ONCF. "Elle avait déjà fait l'objet d'un contrôle quelques années auparavant et persiste dans son action", assure-t-il. La retraitée devra comparaître début octobre devant le tribunal de grande instance de Pontoise pour "défauts de soins aux animaux" et "détention d'animaux sans certificat de capacité". Un serpent autour du cou, elle récuse "tout commerce d'animaux" et s'indigne que lors de la saisie, on lui ait "volé" des perroquets alors qu'elle est titulaire "d'un certificat de capacité à titre définitif concernant de nombreuses espèces : perroquets, loris, couleuvres, tortue Hermann et grecque". Elle a porté plainte auprès du procureur de la République "pour vol d'animaux". Regula Hess consacre la moitié de ses revenus au nourrissage de ses furets, lamas, et autres couleuvres. "Ma maison et mon parc de 5.000 m2 servent de refuge aux animaux à qui je donne une deuxième chance", dit-elle accompagnée de ses trois dogues allemands. "Mon crime est de m'occuper depuis 30 ans des animaux blessés que l'on m'amène, que je soigne et relâche", explique-t-elle en sanglots devant les photographies de chiens disparus et les figurines d'oiseaux qui peuplent son salon. Plus de 400 personnes ont signé une pétition de soutien et son amie Anne Castagna, vétérinaire spécialisée en animaux exotiques, est à ses côtés. "Je veux éviter que Regula Hess se suicide, elle est dans un état épouvantable, énormément amaigrie depuis qu'on lui a pris ses bêtes", s'inquiète la praticienne qui atteste "des bons soins prodigués aux animaux". Pour l'avocate de Mme Hess, Sabine Gibault, "la procédure est abusive". Elle "remonte à 2006 quand Mme Hess avait fait une demande de capacité de détention d'animaux suite à un contrôle administratif, après la dénonciation d'un voisin". Au tribunal, l'avocate plaidera "la main levée des placements, la restitution de ses animaux et la relaxe des chefs d'accusation de mauvais traitements". De son côté, Rédouan Ouahrani, directeur de la DDPP, se défend de tout acharnement. "Il n'y a aucune fixation sur cette dame de la part de mes services qui ont fait leur travail", explique-t-il, tout en manifestant son inquiétude "à l'annonce de son mauvais état de santé". Copyright 2011 AFP. Tous droits réservés. Source
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