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Max|mum-leterrarium

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  1. Nom scientifique : Kassina maculata Nom français : Grenouille à pattes rouges Nom anglais : Red legged walking frog Origine : Sénégal, Kenya, Tanzanie, Malawi, Mozambique, Zimbabwe Biotope : Humide Paramètre : 22 à 25°C, 80% Moeurs : Tendance arboricole et nocturne Taille adulte : 6 à 8 cm Nourriture : Insectes Photo emprunté au site http://www.reptilis.org/ Cette grenouille a connu un boum de popularité il y a environ 4 ou 5 ans si mes souvenirs sont bons. Par la suite, on ne l'a presque plus vus dans les commerces d'animaux exotiques. Probablement que la cause est la rareté des reproduction en captivité. Même si elle ne se reproduit pas facilement, elle est une grenouille facile à maintenir et très résistante. Faîtes gaffe aux évasions, elles en sont des championnes.
  2. Tu pourrais te tourner vers les Uromastyx ou encore vers un Chuckwalla
  3. Max|mum-leterrarium

    Fat tail gecko

    Une coloration en particulier? Parce que oui je sais où il y en a à vendre mais des régulier.
  4. Des scientifiques découvrent le premier reptile avec un vrai placenta Deux scientifiques, Daniel Blackburn et Alexander Flemming ont découvert le premier reptile muni d’un vrai placenta. L’espèce, appelée Trachylepis ivensii est un lézard assez rare vivant sur le continent africain. Le placenta est un organe, indispensable au développement de l’embryon de certaines espèces. Il permet en effet d’assurer les échanges d’eau, de nutriments et de dioxygène entre la mère et le fœtus. Un arrangement intime qui a pendant longtemps été jugé comme une caractéristique réservée uniquement au groupe des mammifères. Selon les dernières découvertes, l’apparition du placenta se serait produite au moins deux fois dans l’histoire évolutive : chez l’ancêtre commun de l’actuel groupe des mammifères mais aussi chez une espèce de lézard africain appelé Trachylepis ivensii. Ce spécimen appartient à la famille des Scindae, un groupe assez typique composé de près de 1.200 espèces. On le trouve, bien que difficilement, en Angola, en Zambie ou encore en République Démocratique du Congo où les femelles atteignent généralement 9 à 14 centimètres de long à l’âge adulte. Une espèce extrêmement peu répandue
 Daniel Blackburn chercheur Trinity College de Hartford au Connecticut et Alexander Flemming de l'Université de Stellenbosch, en Afrique du Sud ont ainsi décidé de se pencher sur cette espèce de lézard peu répandue. "Nous n’en savons pas beaucoup sur eux", confirme au New scientist Daniel Blackburn, et pour cause. Seuls quelques spécimens ont été jusqu’à présent recueillis. Pour comprendre précisément le processus de développement des embryons, les deux scientifiques ont donc disséqué et étudié neuf femelles Trachylepis ivensii conservées dans un musée. Leurs observations révèlent que l’appareil reproducteur des spécimens est composé d’oviductes, des tubes qui s’étendent des ovaires jusqu’à l’extérieur et à l’intérieur desquels les petits se développent dans un vestige de coquille avant de naitre au moment de l’éclosion. De manière générale, il existe dans la nature certaines espèces de reptiles vivipares qui possèdent dans leurs oviductes un placenta de base. Mais cet organe, contrairement à celui des mammifères, ne permet pas à l’embryon de recevoir beaucoup de nutriments de sa mère. Celui-ci doit donc se nourrir du vitellus, le jaune contenu dans son œuf. Un modèle de développement particulier mais limité Contrairement à ces espèces, l’embryon de Trachylepis ivensii se développe en s’implantant dans la paroi de l’oviducte. Son œuf est petit et pratiquement dépourvu de vitellus. Les échanges nutritionnels se font alors majoritairement entre son sang et celui de sa mère. "C'est sans précédent", confie Daniel Blackburn. Toutefois ce mode de développement possède aussi ses limites. En effet, un embryon présente plus de risque d’être attaqué par le système immunitaire maternel. Les embryons mâles pourraient également se retrouver "féminisés" par les hormones sexuelles de la mère. Cela pourrait expliquer pourquoi ce type de développement placentaire a évolué si rarement. Source
  5. Marcq-en-Baroeul : Un serpent retrouvé scotché dans un colis Belle surprise ce matin pour cet habitant de la rue André Delepierre à Marcq-en-Baroeul : en ouvrant un colis, il a découvert un serpent de petite taille à l'intérieur. L'homme venait tout juste de ramener le colis de la mairie. "Quand je l'ai ouvert, j'ai vu un serpent englué dans du scotch", explique-t-il. Le reptile était visiblement encore vivant. Les pompiers ont immediatement été alertés et ont emmené la bête en fin de matinée, qui serait inoffensive. Source
  6. Saisie de viande de tortue braconnée Les gendarmes ont découvert plus de huit tonnes de viande de tortue fumée. Six chefs de village ont été arrêtés. Coup dur pour la faune, du sud de Madagascar, menacée. Des braconniers se sont adonnés à un massacre de tortues jusqu'à ce que les gendarmes mettent fin à leur pratique néfaste. Vendredi, les éléments de la compagnie de gendarmerie à Ambovombe Androy ont mis la main sur 8 200 kilogrammes de viande de tortue fumée. Dans la foulée, ils ont découvert 155 autres kilos, encore fraîche. Au passage, 222 tortues vivantes ont été retrouvées. Les reptiles et la viande ont été saisis dans six villages de la commune rurale de Tranovao. Après avoir saisi une importante quantité en plein centre de la commune vendredi, les gendarmes ont passé au peigne fin les villages périphériques dont Ankatrafay, Betaimbolo, Marovoro, Ampihamy et Ankilivalo. En fin de journée, ils ont glané une montagne de viande de tortues fumée. « Nous étions en train de préparer une opération, quand des informateurs nous ont indiqués qu'un réseau de braconniers avait rassemblé plusieurs tonnes de viande de tortue », lâche le capitaine Janvier Parfait Tsiketa, commandant de compagnie de la gendarmerie à Ambovombe Androy. « Sans tarder, nous avons suivi les traces des malfaiteurs », continue-t-il. Six arrestations Mis au parfum que les gendarmes allaient frappe­r, les braconniers ont déserté leurs villages respectifs, laissant derrière eux des preuves d'un trafic d'animaux, de grande envergure. Des carapaces de tortues étaient entassées dans certains endroits lorsque les forces de gendarmerie ont débarqué. « Six suspects ont été arrêtés, dont les chefs des villages où les reptiles braconnés ont été découverts », continue le capitaine Janvier Parfait Tsiketa. Samedi, les huit tonnes de viande de tortue ont été incinérées. Par ailleurs, les tortues vivantes ont été relâchées dans la nature. Sa consommation est prohibée par les us et coutumes locales. De source émanant des gendarmes, les trafiquants seraient des immigrés qui ne sont pas tenus de se plier à ces règles traditionnelles. « Certes, on peut encore trouver pas mal de tortue à Ambovombe Androy, toutefois, elles sont aujourd'hui protégées », met en avant le commandant de compagnie. « Nous envisageons de mener une campagne de sensibilisation », poursuit-il. Pendant près de deux jours, les enquêteurs ont tenté de questionner les incriminés pour découvrir le circuit du braconnage, mais en vain. Une affaire à suivre. Source
  7. Une tortue Luth dans les filets de pêcheurs normands L'équipage de la Mélodie des Mer, un navire de pêche immatriculé à Caen, a eu la surprise de retrouver dans ses filets une superbe tortue Luth. Après cette découverte surprenante, intervenue le 26 septembre au large de Ouistreham, les pêcheurs ont averti le Centre Régional Opérationnel de Secours et de Sauvetage (CROSS) de Jobourg, qui les a mis en relation avec le Centre d'Etudes et de soins des Tortues Marines (CESTM) de l'aquarium de la Rochelle. Ne pouvant remettre l'animal de 400 kilos à l'eau avec les moyens du bord, l'équipage de la Mélodie des Mer a reçu le renfort du Cardonet, un navire du service des Phares et Balises, qui dispose d'un système de levage. Tout en répondant aux questions des scientifiques du CESTM, les marins des deux bateaux se sont mobilisés pour sangler délicatement la tortue, qui a entretemps été arrosées pour éviter sa déshydratation, et la renvoyer à son élément naturel. Avec un poids moyen de 500 kilos pour une longueur pouvant atteindre près de 2 mètres, la tortue Luth est la plus grande des tortues marines. Chaque année, cette espèce migratoire, qui se nourrit principalement de méduses, quitte les eaux tropicales pour rejoindre les eaux polaires en suivant les courants du Gulf Stream. Source
  8. Félicitation pour ton achat! Ne tardes pas trop pour les photos, on veut les voir!
  9. Deux serpents abandonnés sur le bord de la rue Martine Veillette La Seigneurie - 5 octobre 2011 Actualité > Faits divers Benoit St-Jean a eu toute une surprise quand, en revenant de faire ses courses, il a aperçu un aquarium abandonné sur le bord de l'allée aménagée derrière le magasin Costco, à Boucherville. En regardant de plus près, il a vu qu'il abritait deux serpents. «Un reflet a attiré mon attention. C'était un aquarium transformé en terrarium. En soulevant les roches avec mon balai à neige, j'ai vu qu'il y avait deux serpents», indique le Bouchervillois. Il a téléphoné à la police qui s'est rendue sur les lieux et a appelé la Société de contrôle d'animaux domestiques (SCDD). Selon le rapport de police, les serpents mesuraient plus ou moins 50 centimètres. «Aucune caméra de surveillance n'était dirigée vers cet endroit, donc, impossible de savoir qui les a laissés là. Aucun vol du genre n'a été rapporté. La thèse que quelqu'un ait voulu s'en débarrasser demeure la plus plausible», indique le sergent Martin Simard, porte-parole du service de police de Longueuil. L'aquarium a été conservé par la police comme preuve à conviction. La SCDD n'étant pas spécialiste des reptiles, elle ne les conserve qu'environ une semaine. «Le temps de voir s'ils sont réclamés», mentionne Gilles Légère, président de la SCDD. Ensuite, la SCDD fait appel à un organisme plus spécialisé pour s'en occuper, comme l'Hôpital vétérinaire pour animaux exotiques de Saint-Hubert. Aucune démarche n'a été prise pour le moment, puisque le délai doit être respecté. Des personnes seraient cependant intéressées à les prendre en charge, s'ils ne sont pas réclamés. Selon lui, son organisme est appelé à récupérer des reptiles de cinq à six fois par année. Identification des serpents «Celui de couleur orange, c'est un serpent des blés, aussi appelé Corn snake. L'autre est un python royal», indique Francis Lagacé, vétérinaire chez Anima plus, un hôpital vétérinaire pour animaux exotiques, situé à Saint-Hubert, à qui le journal a envoyé les photos. Selon lui, uniquement les serpents non venimeux sont autorisés au Québec, dont ceux découverts. Plusieurs raisons, selon lui, peuvent expliquer qu'on se départisse d'un serpent, mais le désintéressement semble la principale cause. «Il y a autant de raisons que de type de personnes. Il se peut que ce soit monétaire, bien que ces serpents ne soient pas si dispendieux. Souvent, c'est par manque d'intérêt, il y a l'attrait de la nouveauté au début. Les gens doivent être prêts à s'en occuper», souligne le vétérinaire. M. Lagacé soutient que ce sont deux serpents «pour débutant», donc, qui ne sont pas trop compliqués à entretenir. Ils vivent généralement entre 10 et 15 ans, mais peuvent se rendre jusqu'à 30 ans. Selon la longueur, qui détermine en partie l'âge, mais M. Lagacé précise que l'habitat joue un rôle aussi sur la croissance, les serpents trouvés n'auraient pas encore un an. «Il existe des refuges pour accueillir les serpents ou peut-être que quelqu'un est prêt à en prendre soin. La personne qui les a abandonnés sur la rue ne s'est donné aucune peine, déplore-t-il. Ils ne sont pas faits pour vivre dans un climat extérieur ici. Ça ne devait pas faire longtemps qu'ils étaient là, sinon, ils seraient probablement en moins bon état.» M. Lagacé explique qu'une température se situant entre 30 et 32 degrés Celsius et une humidité de 60 à 70% sont nécessaires pour leur survie. Source
  10. VALENCIENNES. Dans le parc il montrait aux enfants... son boa Lundi, en fin d’après-midi, cet homme, âgé d’une trentaine d’années, se promenait dans un jardin public à Valenciennes (Nord), avec un boa constrictor imperial de deux mètres de longueur. Un trentenaire qui montrait son boa aux enfants, nombreux dans le parc à cette heure de la journée, rapporte l’Observateur du Valenciennois. L’homme a été interpellé et placé en garde à vue. Il a été remis en liberté, sans son reptile. Il n’a pas pu fournir les pièces justificatives de la détention de son boa. (Source: L'Observateur du Valenciennois) Source
  11. Un fossile du plus grand ptérosaure à dents connu Publiant récemment leurs travaux dans le journal Cretaceous Research, des paléontologues britanniques ont réétudié un fragment de bec fossilisé oublié dans les collections d’un musée. Ils ont pu dresser le portrait du plus grand reptile volant muni de dents connu à ce jour. Avec une envergure de 7 mètres, un crâne de 75 centimètres de long et des dents de 1,3 centimètre de diamètre, Coloborhynchus capito, qui vivait il y a 100 millions d’années, est le plus grand ptérosaure pourvu de dents jamais décrit. Ce groupe de reptiles volants, apparu vers -215 millions d’années avec des espèces relativement petites ayant une mâchoire dentée, a évolué au Jurassique en créatures géantes dont la plupart étaient, elles, dépourvues de dents. Le présent spécimen est donc unique. Découvert au XIXe siècle près de Cambridge, dans un gisement de phosphate, et offert au Muséum d’histoire naturelle de Londres par Sir Richard Owen (l’inventeur du mot ‘dinosaure’), le fossile qui n'est autre que la pointe d’une mâchoire supérieure avec une dent à la couronne brisée, n’avait jamais été sérieusement étudié. Un oubli réparé par David Martill, de l’Université de Portsmouth, et David Unwin, de l’Université de Leicester. A partir de ces maigres éléments et via des mesures et des comparaisons avec d’autres spécimens, ces deux paléontologues ont pu reconstituer le portrait de l’animal. "C'est un spécimen très laid... mais avec un peu d'habileté, on peut établir ce qu'étaient exactement ces morceaux", a expliqué le Dr Martill qui rajoute : "Et une fois les calculs faits, on réalise que ces restes dans nos mains sont une découverte très excitante". Source
  12. Pourquoi et comment le caméléon change de couleur ? C'est un reptile de forme primitive mais qui possède des caractéristiques corporelles particulièrement sophistiquées. Presque invisible sur la branche d'un arbre, l'animal avance très lentement. Il soulève une patte, la maintien immobile en l'air pendant que ses yeux roulent dans tous les sens, puis la repose lentement avant de recommencer. Cette lenteur est voulue, presque calculée et il suffit d'approcher le reptile pour qu'il décide de se déplacer beaucoup plus rapidement et qu'il disparaisse au sommet de l'arbre. A l'abri dans les frondaisons, il guette les éventuelles proies. Malheur à l'insecte imprudent qui passera près de lui, car aussitôt, une longue langue gluante le happera et le ramènera instantanément dans la bouche du prédateur. Les caméléons sont des lézards dont les traces les plus anciennes remontent à 30 millions d'années. Les deux tiers des espèces vivent sur l'île de Madagascar, le tiers restant réside principalement sur le continent Africain, en Europe et au Moyen-Orient. Les caméléons cumulent d'incroyables sophistications corporelles. Leurs yeux sont mobiles et indépendants l'un de l'autre. Il peut ainsi guetter au même moment ses prédateurs et ses proies. Sa langue aussi longue que son corps et composée de muscles propulseurs/rétracteurs et recouverte d'un mucus gluant. Elle est projetée à plus de 20km/h. Sa queue et ses doigts sont adaptés à la vie arboricole et lui permettent une meilleure prise sur les branches. Mais ce qui caractérise principalement les 173 espèces de caméléons recensées dans le monde, c'est l'incroyable capacité à changer de couleurs en quelques secondes. Le caméléon possède des chromatophores, cellules de peau dotées de pigments colorés ( noir, jaune, blanc et rouge ). Activés grâce à des hormones, ces pigments changent de couleurs sous l'effet d'un mécanisme de communication. Et oui, l'idée que le caméléon change de couleur pour se fondre dans le paysage est un mythe. Le changement de la couleur chez un animal indique simplement son humeur ou son état de santé. Stress, gestation, reproduction, soumission ou encore température ambiante sont révélés par la teinte que prend le reptile et est à l'usage de ses congénères. Ce gentil reptile souffre malheureusement de beaucoup de préjugés. Considéré comme maléfique par les populations, il est souvent harcelé et tué par les femmes célibataires qui l'accusent de les empêcher de trouver un mari. Au contraire, pour les Dogons du Mali, c'est un animal sacré et purificateur, protecteur des hommes et de la Terre. Source
  13. Moi, j'achèterais à ce prix là. 200$ c'est pratiquement juste le prix du terrarium alors c'est un bon deal
  14. Max|mum-leterrarium

    Uromastyx

    Est-ce que c'est blanc? Les Uromastyx ont la faculté d'évacué le surplus de calcium. On peut l'enlever facilement en grattant doucement avec notre doigt.
  15. La tortue luth des Guyanes, une des plus robustes au monde Après 40 ans de mobilisation (1971 – 2011), la tortue luth des Guyanes vient d’être classée parmi les 12 populations de tortues marines les plus robustes au monde. Depuis la première estimation de la population de tortues luth (Dermochelys coriacea) reproductrice dans la région (14 700 femelles selon Pritchard, en 1971), les côtes des Guyanes jouent un rôle central dans la préservation de l’espèce à l’échelle mondiale. Après plusieurs décennies d’efforts de protection (notamment sur les deux rives de l’estuaire du Maroni au Suriname et en Guyane), la population des Guyanes affiche une tendance stabilisée ou en légère hausse. Selon une publication sortie récemment, la tortue luth dans les Guyanes apparaît comme l’une des populations les mieux préservées au monde. La tortue luth a été classée « en danger critique d’extinction » par l’Union Mondiale pour la Conservation de la Nature (UICN) en 2000, le principal facteur de menace sur l’espèce apparaissant lié aux captures accidentelles. Ainsi une étude estimait qu’en 2000, entre 30 000 et 60 000 tortues luth avaient été victimes de captures accidentelles dans l’Océan Atlantique. A l’échelle internationale, les efforts de protection de cette espèce se sont largement structurés et différentes coopérations régionales et internationales se sont établies. Ainsi dans le cadre du projet TALCIN, une publication internationale a permis d’identifier les zones de migration et des zones de résidence temporaire l’espèce à l’échelle de l’Océan Atlantique, mettant en évidence des comportements de nourrissage dans ces régions. En Guyane, les efforts de préservation de la tortue luth se sont progressivement renforcés, avec notamment la création de la réserve naturelle de l’Amana (1998), et la mise en place d’un Plan de Restauration pour les tortues marines (2007). La question des captures accidentelles reste non résolue au large de la réserve naturelle de l’Amana, et demeure majoritairement liée aux nombreux navires de pêche illégaux opérant dans cette zone. Pour autant, la population reproductrice des Guyanes semble avoir bénéficié de l’effort mené sur le long- terme pour préserver ses sites de ponte. Ainsi le nombre de pontes de tortue luth reste élevé dans l’estuaire du Maroni, et a nettement augmenté sur les plages de l’Ile de Cayenne. La publication récente vient confirmer l’importance et la bonne santé de la population de tortue luth dans les Guyanes, et illustre l’intérêt des efforts de protection et de suivi menés sur le long terme. Source
  16. Menace sur les populations de tortue : les experts tirent la sonnette d’alarme Un rapport réalisé par des scientifiques de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) a permis d'identifier les onze populations de tortues les plus sérieusement menacées de la Planète. Les endroits "les plus dangereux" sont l'Inde, le Sri Lanka et le Bangladesh. C'est une nouvelle alerte que vient d'émettre l'Union pour la Conservation de la Nature (UICN) qui a étudié les populations de tortues marines à travers le Globe. Selon les scientifiques, une population de tortues se caractérise par un ensemble d’individus génétiquement proches, nichant, se nourrissant et se déplaçant dans une même zone géographique. En suivant ces créatures marines, les scientifiques de l'UICN ont ainsi identifié les onze populations les plus gravement menacés au monde. Un rapport, publié récemment dans la revue en ligne PLoS One. Pour en arriver à ces résultats, les scientifiques ont scrupuleusement localisé et recensé les différentes populations de tortues. Un travail considérable qui a permis d’affiner les zones et groupes particulièrement à risques. "Auparavant, nous savions seulement quelles tortues étaient menacées au niveau des espèces. Maintenant nous avons une aire géographique pour chaque population", explique à BBC Nature Bryan Wallace, principal auteur du rapport. A l'inverse, les travaux de l'UICN ont également permis d'identifier les 12 populations de tortues les plus "saines" du monde. Face aux efforts de conservation, il semblerait ainsi que les individus ne soient pas tous égaux et ce quelle que soit l’espèce à laquelle ils appartiennent. Par exemple, les populations de tortues luth du nord-ouest de l'Atlantique se portent particulièrement bien, contrairement à leurs semblables de l’est du Pacifique, sérieusement menacées. D'après le rapport, les zones les plus dangereuses pour ces créatures marines seraient l'Inde, le Sri Lanka et le Bangladesh. Des espoirs en terme de préservation Toutefois, si ce bilan peut paraître particulièrement sombre, les scientifiques restent optimistes. Actuellement, certains pays ont mis en place des mesures drastiques dédiées à la préservation des tortues. C’est le cas notamment du Mexique et du Brésil où les populations connaissent un grand essor. "Toutes les populations de tortues qui nichent au Brésil sont maintenant à la hausse" indique Bryan Wallace, ajoutant également : "Ceci nous montre que les mesures de conservation marchent réellement". Désormais, les spécialistes espèrent donc voir l'inventaire des espèces saines repartir à la hausse dans le futur grâce à des mesures adaptées. "Les ressources financières pour la conservation sont limitées. Il est donc important de travailler de manière à donner la priorité aux population les plus menacées", conclut Bryan Wallace. Source
  17. Les araignées tissent leur cause EXPO - Le Muséum consacre une très belle exposition aux araignées. Et entend réhabiliter cette espèce si mal aimée... Les araignées ne sont pas des monstres poilus, mais des animaux surprenants et utiles. Loin des clichés véhiculés par notre imaginaire, que l’araignée traîne comme un fil à la patte, une passionnante exposition du Muséum d’histoire naturelle part en guerre contre les idées reçues. Les araignées – ou aranéides – seraient forcément grosses, noires, velues, dangereuses et vivant dans une toile sale. Or la plupart sont minuscules, inoffensives et propres ; quelques-unes sont même très belles et colorées ! Elles appartiennent à la classe des arachnides et leur taille moyenne est de 5 mm : vraiment pas de quoi avoir peur, mais de quoi s’y intéresser car on compte une variété infinie d’espèces : 1 650 en France, 5 700 en Europe et autour du bassin méditerranéen, sans compter celles que l’on ne connaît pas encore ! On les trouve à toutes les altitudes, dans les montagnes, et aussi dans l’atmosphère, quand elles se laissent porter par les courants aériens, suspendues à un fil. De véritables grâces des airs. Bien sûr, la mygale noire nous glace le sang, comme la Theraphosa blondi qui peut atteindre jusqu’à 30 cm d’envergure… contrairement à l’Atypus affinis, très fréquente sous nos latitudes, qui, elle, mesure péniblement 1 cm ! Malgré tous les fantasmes et les peurs irrationnelles qu’elles suscitent, les araignées sont inoffensives pour l’homme, à quelques exceptions près : en effet, sur 41 000 espèces répertoriées dans le monde, une centaine seulement peuvent provoquer une réaction chez l’être humain, et moins d’une dizaine sont véritablement dangereuses. La morsure est, chez elles, une attitude de défense utilisée en dernier recours. La plupart sont incapables de percer notre peau. Alors, en cas de boutons rouges ou de démangeaisons, avant d’accuser à tort l’araignée, mieux vaut mener l’enquête… car elle ne se nourrit pas de notre sang, mais plutôt de petits insectes. Les araignées comptent parmi les rares animaux à fabriquer des pièges pour capturer leurs proies, et celles qui s’y font prendre ont peu de chances de survivre car les toiles ont des formes et des usages adaptés aux milieux naturels : par exemple, les toiles en nappe recueillent les insectes sauteurs, les toiles géométriques sont beaucoup plus efficaces pour attraper les insectes volants… Un prédateur utile Une araignée met entre une et deux heures à tisser sa toile. Lorsque cette dernière est trop abîmée, elle la « mange » avant d’en fabriquer une nouvelle. Les trois griffes qui terminent ses pattes lui permettent de s’y déplacer. En s’y plaçant au centre, elle détermine immédiatement la taille et l’emplacement du futur prisonnier. Si les araignées sont victimes des animaux – oiseaux, lézards, petits mammifères insectivores… –, des hommes – qui les écrasent volontairement ou par inadvertance – et des insecticides pulvérisés sur les cultures, elles nous débarrassent d’un grand nombre d’insectes agressifs ou dangereux (moustiques, tiques, puces…). Chaque année, en France, elles en avalent plus de quatre cents millions par hectare. D’ailleurs, différentes études ont été menées pour évaluer l’importance de leur rôle, notamment sur les pommiers. Conclusion : leur présence dans un verger réduit de façon considérable la prolifération de certains insectes nuisibles. De précieux alliés qui mériteraient moins de mépris ! Du 5 octobre 2011 à juin 2012, l’exposition Au fil des araignées leur rend hommage. Rencontre avec Christine Rollard, Arachnologue au Museum national d’Histoire naturelle Grâce à cette exposition, vous partirez à la découverte de leur univers, depuis les aspects surprenants de leur anatomie jusqu’aux mythes qui leur sont liés. Au fil des araignées explore également l’avenir d’une fructueuse collaboration entre les hommes et les arachnides. Muséum national d’histoire naturelle – Grande Galerie de l’Évolution, 36, rue Geoffroy-Saint-Hilaire, 75005, Paris Source
  18. Un enfant de 12 ans mordu par un serpent à Barre-des-Cévennes Les secours ont dû employer les grands moyens, hier après-midi, pour évacuer un enfant de 12 ans qui avait été mordu par un serpent, à Barre-des-Cévennes. Cette mésaventure s’étant produite sur un chemin difficile d’accès, il a fallu l’intervention des hommes du Grimp (le Groupement de reconnaissance et d’intervention en milieux périlleux), aidés des pompiers de Barre-des-Cévennes et de Florac, et un hélitreuillage de l’hélicoptère Dragon, pour évacuer la jeune victime vers le centre hospitalier d’Alès. La blessure du jeune garçon n'a toutefois pas suscité d’inquiétude. Source
  19. Max|mum-leterrarium

    Rusty

    Je ne vous ai jamais présenté nos chiens. Voici le premier, c'est un Border collie de 6 ans. Il a été prit à la SPA par ma copine lorsqu'il avait 4 mois si je me rappelle bien. Je n'étais pas dans le décor à l'époque alors je n'ai peut-être pas les détails exact. Rusty est un chien remarquable. Il ferait tout juste pour plaire et ne ferait rien s'il sait que ça va déplaire. C'est un excellent chien. Oui, Rusty a tendance à aller se coucher sur le lits des chattes plutôt que sur le sien où il a tout l'espace nécessaire pour se mettre à l'aise.
  20. Depuis un peu plus d'une semaine, nous avons une nouvelle pensionnaire à la maison. On est allé la chercher à une animalerie de Québec. Quand le gars a ouvert la porte de son Exo-terra, la petite velue s'est enfuis et on l'a pourchassé quelques minutes pour pouvoir partir avec. Je le regardais de mon côté en trouvant ça drôle pour finir par me permettre d'entrer dans l'arrière boutique pour lui donner un coup de main. Elle est vraiment calme mais avec la rapidité d'une Avicularia. Le bout des pattes roses a convaincu mademoiselle qui dit maintenant que c'est sa mygale. Lors de son arrivé à la maison, il n'y avait rien à faire pour la faire sortir de son plat dans lequel on l'avait mit à l'animalerie. Je m'étais dis, je vais la mettre avec le plat dans son terrarium jusqu'à ce qu'elle se déstresse et sorte d'elle même au pire. Mon plan a échoué puisqu'elle y a élut domicile permanent. Au départ, le plat touchait par terre, elle a donc décidé de redécorer le terrarium à son goût en suspendant le plat. Le tout étant bien fixé! On l'aime quand même malgré le fait qu'on ne peut pas choisir la décoration de son terrarium!
  21. Les experts identifient les populations de tortues les plus menacées UICN Union Internationale pour la Conservation de la Nature - Comité Français - 01/10/2011 13:10:00 Les plus grands spécialistes mondiaux des tortues ont découvert que près de la moitié (45%) des populations menacées de tortues marines se trouvent dans le nord de l'Océan Indien. L'étude a aussi déterminé que les menaces les plus importantes pour l'ensemble des populations des tortues marines sont les captures accidentelles par des pêcheurs qui ciblent d'autres espèces, et le prélèvement direct de tortues ou de leurs oeufs pour les manger ou pour le commerce de l'écaille. Un rapport récent, préparé par le Groupe de spécialistes des tortues marines de l'UICN (Union international pour la conservation de la nature), avec le soutien de Conservation International (CI) et de la National Fish and Wildlife Foundation (NFWF), est la première évaluation complète de l'état de toutes les populations de tortues dans le monde. L'étude, conçue pour préparer un projet de conservation et de recherche, a évalué l'état de chacune des populations de tortues marines et identifié les 11 populations les plus menacées, ainsi que les 12 populations les plus saines. Cinq des onze espèces de tortues marines les plus menacées sont trouvent dans le nord de l'Océan Indien; plus particulièrement, des populations spécifiquement menacées de Tortues caouannes (Caretta caretta) et de Tortues olivâtres (Lepidochelys olivacea) se trouvent dans le nord de l'Océan Indien, dans des eaux et des sites de ponte situés à l'intérieur de Zones économiques exclusives (ZEE) de pays tels que l'Inde, le Sri Lanka et le Bangladesh. D'autres régions particulièrement dangereuses pour les tortues marines sont l'Océan Pacifique oriental (des États-Unis à l'Amérique du Sud) et la côte atlantique orientale (au large des côtes d'Afrique occidentale). « Le rapport confirme que l'Inde héberge un grand nombre de tortues marines parmi les plus menacées du monde », dit le Dr B. C. Choudhury, chef du Département de la gestion d'espèces menacées du Wildlife Institut indien (Institut de la faune et de la flore sauvages), l'un des auteurs de l'étude. Ce document est un signal d'alerte, pour que les autorités renforcent la protection des tortues marines de l'Inde et de leurs habitats afin d'assurer leur survie.» L'étude identifie aussi les 12 populations de tortues marines les plus saines de la planète ; elles sont nombreuses et rencontrent relativement peu de menaces. Cinq d'entre elles, dont la Tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata) et la Tortue verte (Chelonia mydas), ont des populations prospères dans des habitats favorables, dont des sites de ponte et des zones de nourrissage en Australie, au Mexique et au Brésil. Des populations de tortues dans un état favorable se trouvent aussi dans le sud-ouest de l'Océan Indien, en Micronésie et en Polynésie française, entre autres. « Avant de mener à bien cette étude, tout ce que l'on savait des tortues marines c'est que six espèces sur sept sont menacées d'extinction sur le plan mondial », dit le Dr Bryan Wallace, Directeur scientifique du Programme des espèces marines emblématiques de CI, et auteur principal du document. « Ce n'était pas très utile, parce que cela ne nous aidait pas à établir des priorités pour différentes populations dans différentes régions ; les tortues ont partout besoin d'actions de conservation, mais ce cadre nous aide à mieux cibler nos efforts dans les différentes régions du monde ». « Cette étude définit une référence de base pour toutes les tortues marines, à partie de laquelle nous pouvons mesurer le progrès du rétablissement de ces populations menacées à l'avenir » explique Roderic Mast, co-président du Groupe de spécialistes des tortues marines et l'un des auteurs du document. « Grâce à ce travail, nous avons beaucoup appris sur les succès et les échecs de la conservation des tortues marines ; maintenant nous voulons traduire les leçons apprises dans des stratégies de conservation solides pour les tortues marines et leurs habitats ». Source
  22. Nos amies les araignées Elle n'est pas toujours grosse, noire et dangereuse, mais souvent minuscule, inoffensive et jolie: l'araignée s'invite au Muséum national d'Histoire naturelle, à Paris, «pour combattre les clichés» de monstre velu et agressif popularisé par quelques films d'épouvante. Pour rendre visibles ces animaux minuscules sans rebuter ou effrayer les visiteurs, l'exposition mettra en valeur des espèces surprenantes, grâce à des reproductions aux dimensions décuplées, de nombreuses photos et la présentation de quelques spécimens vivants. Ces arthropodes, qui ont colonisé la Terre il y a plus de 500 millions d'années, dépassent rarement le centimètre, pattes comprises. L'exposition veut mettre en évidence leur diversité, notamment de formes et de couleurs, leur mode de chasse et de reproduction. Les plus surprenantes sont reproduites en résine, grossies dix fois. Si la mygale noire et velue cristallise toujours les peurs, comme l'énorme Theraphosa Blondi atteignant, toutes pattes dehors, 30 cm d'envergure, il existe des dizaines d'autres variétés de cette espèce beaucoup moins inquiétantes. Un spécimen naturalisé de la petite mygale Atypus affinis tentera ainsi de rassurer les arachnophobes. L'ordre des araignées compte 1.650 espèces en France, 5.700 en Europe et autour du bassin méditerranéen sur un total de 41.000 dans le monde. «Au fil des araignées», du 5 octobre au 2 juillet 2012 dans la Grande galerie de l'évolution du Museum d'Histoire naturelle. Source
  23. Les policiers saisissent... un serpent Quelques fois, le 911 reçoit des appels inusités et les policiers doivent s'adapter à toutes les situations. Le 20 septembre, vers 20h54, quelqu'un appelle la police pour aviser qu'il y a un serpent dans le garage d'une maison situé sur la rue Starling à Dorval. Les policiers arrivent sur les lieux et constatent qu'effectivement les résidants ont mis une glacière de Styrofoam sur un python, afin de le contenir. Les policiers ont maîtrisé le serpent et ont dû l'amener à la SPCA. Le propriétaire de l'animal n'a pas été retrouvé. Source
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