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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Des tortues serpentines dans nos rivières Une tortue serpentine a été retrouvée sur la berge de la rivière Saint-Jean à Lavaltrie par un jeune garçon de 8 ans en fin de semaine dernière. Sujets : Berge de la rivière Saint-Jean , Québec , Lavaltrie Samuel Surprenant jouait dans sa cour lorsqu’il a trouvé une jeune tortue d’environ dix à douze centimètres de diamètre. Lorsqu’il a voulu la prendre pour la sauver, cette dernière a sorti son long cou et a tenté d’attaquer le jeune garçon, sans succès. Il l’a alors mis dans une cage pour la protéger et lui et sa mère ont ensuite fait des recherches sur Internet. C’est ainsi qu’ils ont découvert qu’il s’agissait d’un bébé tortue serpentine, aussi appelée tortue hargneuse. Espèce commune et protégée au Québec La tortue serpentine est une espèce commune en Amérique du Nord, surtout au Québec. Il s’agit de la plus grosse espèce qu’on peut retrouver dans les eaux douces de la province. À l’âge adulte, sa carapace peut atteindre jusqu’à 50 centimètres de longueur. Si on la laisse tranquille, la tortue hargneuse n’est pas dangereuse. Il ne faut simplement pas trop s’approcher d’elle, puisque son principal moyen de défense est de sortir son cou qui peut être deux fois plus long que la longueur de sa carapace et d’attaquer avec sa puissante mâchoire. Elle se relève aussi sur ses pattes avant dotées de griffes pour mieux cibler sa cible. C’est pourquoi il est très important de la laisser tranquille si on en aperçoit une. Selon la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune du Québec, il est interdit de garder des tortues sauvages en captivité. Samuel et sa famille l’ont donc remise en liberté, dès que sa maman l'a su. Ainsi, tous ceux qui aperçoivent une tortue sur leur terrain ou près de l’eau doivent faire de même. Source
  2. Bassin de rétention à Charlesbourg: poissons rouges et tortues à déloger (Québec) Des envahisseurs moins inoffensifs qu'ils n'en ont l'air ont pris pied dans le bassin de rétention des eaux de pluie de la montagne des Roches, à Charlesbourg : le fameux «poisson rouge» et la tortue à oreille rouge. Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) a passé l'étang au peigne fin, mercredi matin, pour en déloger les «intrus» avant qu'ils ne se propagent aux cours d'eau environnants, voire au fleuve. Selon toute vraisemblance, ces animaux ont été relâchés dans les égouts pluviaux ou directement dans le bassin quand leurs maîtres n'en ont plus voulu ou n'ont plus été capables de s'en occuper. Ce n'est toutefois pas du tout la bonne façon de disposer d'animaux de compagnie, avertit le biologiste du MRNF Benoît Thomas, spécialiste de la vie aquatique, qui préconise le don ou l'euthanasie. Car même si ce sont deux espèces domestiques en apparence très peu menaçantes, elles peuvent tout de même chambouler des écosystèmes, assure-t-il. «Contrairement à plusieurs de nos espèces indigènes, ce sont des animaux qui ont une grande capacité à s'adapter. Tous deux peuvent survivre à notre hiver et le poisson rouge (ou carassin, Carassius auratus, N.D.L.R.) peut même développer des gonades. On a d'ailleurs trouvé de petits spécimens de l'année dans le bassin, signe que le poisson rouge est capable de se reproduire ici», indique M. Thomas. Le carassin nuit notamment aux espèces indigènes en les concurrençant pour la nourriture et, quand il atteint une certaine taille, en mangeant leurs oeufs et leurs larves. Quant à la tortue... Dans le cas de la tortue à oreille rouge (Trachemys scripta elegans), on n'a heureusement aucune raison de croire qu'elle s'est elle aussi reproduite dans le bassin, dit M. Thomas. Mais elle a un tempérament plus agressif que celui de nos tortues indigènes et pourrait de ce fait les déloger. De plus, «on n'a pas trouvé de signe que ces deux espèces sont allées dans les cours d'eau environnants [le bassin de rétention recueille temporairement l'eau de pluie et se déverse dans un ruisseau qui, lui, va jusqu'au fleuve, N.D.L.R.]. Mais on n'a pas cherché non plus. Ça va être la prochaine étape, probablement pour l'an prochain. Mais pour l'instant, l'important est de rappeler à la population qu'il ne faut jamais relâcher ces animaux dans la nature», dit M. Thomas. Mercredi, des techniciens du MRNF ont d'abord passé un grand filet à travers le bassin. Dans un deuxième temps, ils ont induit un courant électrique dans l'eau pour rendre les poissons inconscients, puis ont recueilli les carassins qui flottaient à la surface. Source
  3. Quand les serpents, varans et autres bêtes à écailles se promènent en ville Diverses captures de reptiles en goguette ont été relatées dans nos colonnes, cet été. Y a-t-il lieu de s’inquiéter de leur multiplication ? De nombreux reptiles en tout genre ont été capturés ces derniers temps dans le Haut-Rhin, mais le Bas-Rhin n’a pas été épargné non plus. « La presse ne relate que quelques cas isolés, relève Maurice Babilon, éleveur à Lutterbach et expert-consultant pour ce que l’on appelle les nouveaux animaux de compagnie (Nac). Mais la réalité est tout autre. J’ai comptabilisé, dans la période du 18 juin au 9 août, 19 individus autochtones capturés, comprenant des couleuvres à collier, des couleuvres coronelles lisses et des salamandres tachetées ». Ces espèces locales étant protégées par la Convention de Washington, avec interdictionformelle de les tuer, capturer ou transporter, le ramassage et le transport sont confiés à du personnel habilité comme les gardes champêtres de la Brigade verte, les sapeurs-pompiers, l’herpétologue titulaire d’une capacité comme l’est Maurice Babilon, la police municipale. Les animaux sont relâchés dans la nature, hors agglomération, dans un biotope qui convient à leur espèce, après un pointage au GPS de leur nouvel habitat. Ces données de géolocalisation sont transmises à l’association de protection et d’étude des amphibiens et reptiles d’Alsace, Bufo, qui établit une cartographie de leur présence et de leur densité en Alsace. Tout pourrait donc sembler pour le mieux. Mais, s’alarme le spécialiste, « pour les espèces exotiques, cela devient franchement inquiétant, puisque, pour la même période, 16 individus ont été capturés dans des lieux publics comme la rue, des parcs et jardins, la forêt, sur un arbre à dix mètres de hauteur et même dans un véhicule fermé — une quasi épave — en stationnement ! »Parmi ces spécimens : des scorpions, des boas constricteurs et occidentalis, des pythons, de grands lézards comme les iguanes, varans et pogonas. Hors des terrariums chauffés, la majorité de ces espèces ne survit pas à l’hiver sous nos latitudes. « Mais pas toujours : il y a des sujets qui trouvent un abri confortable et bien isolé et, comme le reptile peut jeûner plusieurs mois. On peut le revoir au printemps », remarque l’herpétologue. De plus, s’inquiète-t-il, « ces espèces n’ont pas de prédateurs chez nous, et ce sont elles qui deviendront les chasseurs. Elles deviennent alors des espèces invasives capables de s’attaquer à la faune locale et coloniser rapidement de grands secteurs ». Cela s’est vu avec les tortues de Floride, les écrevisses d’Amérique, la grenouille taureau qui ont envahi mares et cours d’eau. La liste est longue. « Ces espèces peuvent aussi véhiculer et transmettre des germes pathogènes aux animaux locaux. Beaucoup de sortes de reptiles sont également porteuses de salmonelles qui peuvent, dans de mauvaises conditions d’hygiène, être transmises à l’homme ». Pas très rassurant… LIRE Atlas de répartition des amphibiens et reptiles d’Alsace, collection Atlas de la faune d’Alsace, édité par l’association Bufo, Musée d’histoire naturelle et d’ethnographie, 11 rue de Turenne, à Colmar. Source
  4. Un crocodile de mer géant capturé aux Philippines Aux Philippines, un crocodile de mer géant a été capturé vivant. Selon les autorités, le spécimen est soupçonné d'avoir attaqué du bétail et des hommes dont un fillette de 12 ans. 6,4 mètres de long, 1.075 kilogrammes, le reptile capturé aux Philippines n'est pas un petit client. C'est près de Bunawan, ville de 30.000 habitants située sur l'île méridionale de Mindanao que la capture a été réalisée. Selon les autorités, le crocodile marin géant serait coupable de plusieurs attaques dont celle d'une fillette de 12 ans en 2009. Sa tête avait été arrachée par la morsure du croco. Un fermier et des buffles d'eau pourraient eux aussi avoir été les victimes de l'animal. Annoncée par les autorités mardi, la capture du crocodile entrera dans le Guinness Book des records. ''C'est le plus gros que j'ai jamais attrapé en 20 ans de carrière'' s'est exclamé Rollie Sumiller. Josefina de Leon, chef de la division faune et flore sauvage au ministère, ajoute à l'AFP que ''selon les comptes rendus, le plus gros capturé jusqu'à présent faisait 5,48 mètres de long''. De son côté, la presse évoque un crocodile de 6,2 mètres capturé en Papouasie Nouvelle-Guinée en 1982. Mais la véritable nouvelle, c'est le soulagement de la population locale qui voit dans sa capture une menace de moins, même si Rollie Sumiller n'est ''pas certain que ce soit celui qui s'est attaqué à des hommes car plusieurs crocodiles ont été aperçus dans cette zone''. Pour les plus curieux, le crocodile marin géant qui vit aussi bien dans l'eau de mer que dans l'eau douce devrait être exposé dans un parc naturel dont il deviendrait la grande vedette, a déclaré dans les médias le maire de Bunawan, Edwin Cox Elorde. Source
  5. Nom scientifique : Scorpio maurus Nom français : Scorpion doré Nom anglais : Israel gold scorpion Origine : Du Sénégal jusqu'en Iran Biotope : Semi-aride Température : 22 à 25°C Hygrométrie : 50 à 60% Moeurs : Terrestre, mais aime creuser et nocturne Taille adulte : 5 à 8 cm Longévité : 5 à 8 ans Nourriture : Insectes Un terrarium de petite taille suffira pour lui, mais il doit être haut. Un gros bocal à cornichons avec une bonne hauteur de sable fin serait très bien. Des pierres seront bienvenues, ainsi qu'un petit abreuvoir. Hygrométrie entre 50-60%, plutôt moyennement sèche, avec des pulvérisations d'eau de temps à autre. Pour humidifier le sable afin que le scorpion puisse y creuser une galerie, enfoncez une paille en plastique, jusqu'au fond du pot et versez-y délicatement de l'eau par ce tube. Les conditions que ce genre de scorpion trouve dans la nature sont très difficilement reproduisibles en terrarium, aussi il arrive très souvent que les spécimens en élevage ne survivent pas très longtemps. Rapide et vif, ce scorpion est d'une sociabilité très moyenne. Si vous comptez mettre un couple ensemble, prévoyez un terrarium assez grand pour que chacun ait son territoire, sinon ... La taille n'ayant pas de rapport, le Scorpio maurus à une piqûre des plus douloureuse !! Prenez donc une pince assez longue pour vous en saisir.
  6. Une fois depuis que je l'ai mais je n'ai pas noté la date. Je dirais il y a un mois environ.
  7. Max|mum-leterrarium

    Fat tail gecko

    C'est quoi le nom de la phase?
  8. Belle petite bête! C'est une lavandre?
  9. Contact animal Épisode 2 Avec des images saisissantes, en direct de la forêt tropicale, la rainette volante défie la mort en s'échappant de la gueule d'un serpent. De plus, on assiste à la première journée en solitaire d'un singe hurleur qui se transforme en une aventure périlleuse. Prochaines diffusions de cet épisode Dimanche 11 septembre à 17h00 Jeudi 15 septembre à 13h00 Canal D
  10. Contact animal Épisode 1 Des images encore inédites à ce jour témoignent de la lutte quotidienne de prédateurs et de leurs proies dans le Sud-ouest américain, un monde où les serpents se mangent entre eux pour survivre. La moindre erreur peut transformer le chasseur en une proie. Prochaines diffusions de cet épisode Jeudi 8 septembre à 13h00 Canal D
  11. Les coulisses d'un zoo Contact animal Les coulisses d'un zoo Un zoo... comment ça fonctionne? Comment fait-on pour prendre soin d'autant d'animaux si différents les uns des autres? Comment peut-on les nourrir adéquatement, les soigner quand ils en ont besoin et éviter qu'ils se dévorent entre eux? Avec le documentaire Les Coulisses d'un zoo, découvrez la vie secrète des animaux du Zoo sauvage de St-Félicien et rencontrez ceux qui en prennent soin. Prochaines diffusions de cet épisode Mardi 6 septembre à 13h00 Samedi 10 septembre à 5h00 Canal D
  12. Mon ami le python Contact animal extrême Le serpent provoque chez la plupart des gens une crainte naturelle, mais certains n'hésitent pas à vivre leur quotidien en compagnie de ces bêtes. Ted Dres fut mordu par son compagnon un python de tout près de 4 mètres, pour être ensuite étouffé sous les yeux horrifiés de sa conjointe. De son côté, Phil Gallant propriétaire de plus de 70 reptiles circulant librement dans son garage a été la victime d'une vipère rhinocéros, très venimeuse, mais a pu s'en sortir en recevant à temps un antivenin, fourni par Jim Harrison. Ce dernier risque sa vie quotidiennement pour récupérer le venin des crocs des serpents afin de sauver la vie de ces fous d'animaux. Prochaines diffusions de cet épisode Mardi 6 septembre à 2h00 Mardi 6 septembre à 6h00 Mercredi 7 septembre à 19h00 Samedi 10 septembre à 17h00 Lundi 12 septembre à 13h00 Canal D
  13. Voici de nouvelles photos de cette belle bête!
  14. Une parade contre le champignon tueur de grenouilles ? C’est une disparition discrète, presque silencieuse, qui fait rarement la “une” des médias. Depuis environ trente ans, entre 30 et 40 % des populations d’amphibiens (grenouilles, crapauds, salamandres, tritons) ont subi un déclin très rapide. Des dizaines, voire des centaines, d’espèces sont soit très menacées soit déjà rayées de la carte. On ne connaît le principal coupable, un champignon microscopique nommé Batrachochytrium dendrobatidis (Bd pour les intimes), que depuis 1998. Cette année-là, j’avais rapporté dans Le Monde la minutieuse enquête qui avait permis à treize scientifiques de trois continents d’identifier ce champignon comme le responsable des “vagues de la mort” qui ravageaient les forêts tropicales. Une biologiste américaine, Karen Lips, de retour d’une campagne au Panama, racontait : “Je sortais le matin et voyais les grenouilles assises par terre le long du ruisseau. Elles avaient l’air parfaitement vivantes, comme si elles dormaient.” Mais les grenouilles, dont la couleur avait pâli, étaient mortes et toutes rigides. Leur peau souple avait durci comme du cuir séché. Bd est un champignon. Les amphibiens meurent donc… d’une mycose. Celle-ci se développe dans la peau et la rend épaisse. Or, les amphibiens respirent, boivent par la peau et c’est aussi au travers de cette membrane que se fait l’absorption de certains sels minéraux. En perturbant tous ces échanges, Bd provoque des arrêts cardiaques ou des asphyxies chez les animaux. Etant donné le déclin sans précédent que connaissent les amphibiens, les scientifiques recherchent des moyens d’enrayer l’épizootie et de combattre le champignon qui en est responsable, lequel s’est propagé un peu partout dans le monde. Il n’est d’ailleurs pas impossible que, dans certains cas, ce soient les biologistes eux-mêmes qui l’aient emmené dans certaines forêts reculées, à la semelle de leurs bottes… On a remarqué que des espèces résistaient mieux à Bd en raison de la présence, sur leurs corps, d’une bactérie jouant le rôle d’un antifongique. Lorsqu’on la rajoute sur la peau de grenouilles qui en sont dénuées, celles-ci sont ensuite protégées quand on les met en contact avec le champignon. Mais autant cette solution fonctionne bien en laboratoire, autant il est compliqué de l’appliquer dans la nature. Une autre parade possible serait la lutte biologique : faire tuer le tueur de grenouilles par un autre organisme vivant, en l’occurrence par un être lui aussi très petit, un zooplancton. Dans une étude publiée le 25 août par la revue Biodiversity Conservation, une équipe de l’université de l’Oregon explique qu’aucun des efforts entrepris pour éradiquer le champignon dans les zones contaminées n’a été suivi de succès. Il serait donc plus réaliste, selon elle, de se contenter de contrôler Bd, dont les effets pathogènes sont moindres tant que ses spores ne sont pas suffisamment nombreux. Et, pour ce faire, ces chercheurs américains comptent sur une daphnie, un minuscule crustacé dont ils ont prouvé qu’il mangeait les spores aquatiques du champignon. L’idée serait donc d’augmenter artificiellement la présence de ces daphnies, déjà présentes dans les milieux naturels, non pas pour éliminer totalement le champignon, ce qui relève de la gageure, mais juste pour faire baisser sa densité, ce qui suffirait à protéger les amphibiens. Encore faudra-t-il faire des essais en grandeur nature, d’une part pour vérifier que les daphnies sont aussi bons prédateurs sur le terrain qu’en laboratoire et, d’autre part, pour s’assurer que l’augmentation du zooplancton ne s’accompagnera pas de conséquences néfastes. L’histoire des luttes biologiques est en effet ponctuée de catastrophiques effets indésirables. Un des plus beaux exemples concerne… un amphibien, le crapaud buffle, introduit en Australie dans les années 1930 pour détruire les insectes qui s’attaquaient aux cannes à sucre. Non seulement l’animal n’a pas été très efficace dans sa lutte contre les coléoptères, mais il a aussi (et surtout) fait décliner des espèces locales de reptiles… Pierre Barthélémy Post-scriptum : pour ceux que les amphibiens et les menaces qui pèsent sur eux intéressent, je conseille le livre Evolution, extinctions : le message des grenouilles, écrit par deux spécialistes du Muséum national d’histoire naturelle, Alain Dubois et Annemarie Ohler. Source
  15. Un python retrouvé dans la rue python vert de la Rivière. Dimanche soir, vers 19h30, le reptile au sang froid a eu beaucoup de chance après qu’il ait fait faux bond à son courageux propriétaire. Circulant rue Hubert-Delisle à proximité d’un champs de canne faisant face à des habitations, un automobiliste ne se doute pas de l’étonnante rencontre qu’il va faire. Pourtant, au bout de quelques secondes, le père de famille aperçoit une forme verte qu’il ne peut éviter. À l’arrêt, le conducteur constate, effaré, qu’il a roulé sur un python vert dont le diamètre est légèrement inférieur à 10 cm et la taille équivalente à 1,50 mètres. Le premier constat est clair, il ne s’agit pas d’une quelconque couleuvre de sortie, mais bien d’une espèce visiblement trapue qui n’inspire guère confiance. En tout état de cause, l’animal est bien vivant. “Mon fils n’en a pas eu peur et l’a attrapé” Passager de la voiture, un jeune adolescent âgé de 13 ans prénommé Nelson n’hésite pas à s’emparer du python avec l’aide d’un habitant du secteur et d’un manche à balai de fortune. De couleur vert vif, le reptile est disposé dans un sac de type “goni” qui est mis dans un lieu sûr. “Le serpent allait très bien. Mon fils n’en a pas eu peur et l’a attrapé” explique le père du vaillant Nelson. De son côté, le nouveau propriétaire ne sait que faire de l’animal qui en impose. Peut-être peut-il patienter jusqu’à l’arrivée de son “maître” chez les sapeurs-pompiers mais il n’en sera rien. Plutôt habitué aux chiens, l’homme est embarassé par cet étonnant animal de compagnie mais décide de communiquer son contact sur les ondes d’une radio locale. Une démarche qui lui réussit. Au bout d’une vingtaine de minutes, “un homme s’est présenté comme le propriétaire de l’animal et nous lui avons remis le serpent” confie l’automobiliste impliqué dans cette drôle de découverte.Originaire de Nouvelle-Guinée et des îles voisines, animal nocturne, le python vert (Morelia Viridis) est une espèce arboricole qui vit quotidiennement enroulée sur les branches d’arbres, dans les forêts tropicales humides. Épais, lourd et impressionnant, le reptile ovipare est réputé comme étant un redoutable chasseur nocturne tuant ses proies (oiseaux ou rongeurs) par constriction. Sa taille varie de 1,20 m à 2 mètres L.Robert Source
  16. Voici ma troisième espèce de scorpions que je me suis acheté.
  17. Ils sont voraces quand on mets les grillons mais il reste qu'ils ne peuvent pas se passer de leur purée.
  18. Voici une autre espèce que j'ai acquis dernièrement.
  19. Personnellement, je les ai tous séparé pour les deux espèces donc pas de problème.
  20. Voici une nouvelle espèce de scorpions à la maison depuis environ une semaine.
  21. Voici quelques nouvelles photos de cette belle bête!
  22. Incarcéré pour avoir mordu un python SACRAMENTO, Californie – Un Californien est derrière les barreaux pour avoir mordu un python sans raison. David Senk, âgé de 54 ans, soupçonné d’avoir mutilé un reptile, a été arrêté jeudi soir, a rapporté le sergent Andrew Pettit, de la police de Sacramento. Le serpent, gravement blessé, a dû être opéré. Dans une entrevue réalisée depuis sa cellule, Senk a indiqué qu’il n’avait aucun souvenir de l’incident, car il avait trop bu, mais qu’il se sentait «très mal». Interrogé sur ses motivations, Senk a répondu : «Quand je bois, je perds la tête. Je ne sais pas.» Senk a été arrêté lorsque la police, qui se rendait sur les lieux pour une agression, l’a découvert étendu sur le sol, avec du sang sur le visage. Un homme et une femme ont indiqué aux policiers que Senk avait arraché deux morceaux de leur python quand ils l’avaient laissé le prendre. «Rien ne laisse croire que le serpent l’avait provoqué. Il a juste mordu l’animal», a expliqué le porte-parole de la police. Le serpent beige et brun, qui mesure environ un mètre, se remet de son agression, après avoir été soigné par un vétérinaire. Senk a également dit lors de l’entrevue qu’il n’est «pas très amateur de serpents. Mais j’essaie généralement de ne pas les mordre.» Source
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