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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Très jolis tes Pituophis! C'est un projet de reproduction?
  2. Contact animal Ces reptiles qui tuent Un documentaire qui présente des entrevues avec des gens courageux qui ont survécu à une rencontre avec des reptiles mortels. Prochaines diffusions de cet épisode Mardi 30 août à 13h00 Samedi 3 septembre à 5h00 Canal D
  3. L'amour à sens unique Cet épisode nous raconte l'histoire d'Anita Finch, une Californienne de 33 ans, retrouvée morte dans sa maison mobile, mordue à la main par sa vipère africaine, l'un de ses 10 serpents venimeux. En déterrant son passé, on retrace une enfance tragique qui la poussera à trouver du réconfort dans la nature. Comment cette passion pour la nature s'est-elle développée en une obsession pour les serpents venimeux? Qu'est-ce qui pousse les gens comme Anita à ignorer les dangers de leurs passions? Ed Cassano nous donne son point de vue sur la question puisqu'il partage sa maison de Floride avec 40 serpents et malgré de sérieux avertissements, il s'adonne toujours à sa fascination pour ces reptiles mortels. Prochaines diffusions de cet épisode Lundi 29 août à 20h00 Lundi 29 août à 2h00 Mardi 30 août à 6h00 Mercredi 31 août à 19h00 Samedi 3 septembre à 17h00 Lundi 5 septembre à 13h00 Canal D
  4. Justin Bieber n'a pas peur des serpents Le chanteur de 17 ans semble être l'ami des bêtes... même les moins attachantes ! Hier soir, Justin Bieber n'est pas venu qu'avec un seul rencart à la soirée des MTV Video Music Awards à Los Angeles : il était plus complice que jamais avec sa chérie Selena Gomez (cela fera taire une bonne fois pour toutes les mauvaises langues qui disent qu'ils ont rompu) mais il avait aussi un compagnon bien plus effrayant... un serpent ! Alors que Selena jouait les journalistes et l'interviewait en coulisses, Juju a fait les présentations et lui a expliqué que le serpent qu'il avait apporté avait même un prénom : Johnson. Brrr... on aurait pas aimé être à la place de Selena près de la bestiole jaune... Heureusement que Justin lui a fait un bisou à la fin pour compenser ces émotions fortes ! Source
  5. Nom scientifique : Phyllomedusa sauvagii Nom français : Grenouille-singe ciré Nom anglais : Waxy monkey frog Origine : Bolivie, Paraguay, Sud du Brésil et Nord de l'Argentine Biotope : Semi-humide Paramètre : 25 à 30°C mais peut tolérer jusqu'à 35°C, 40 à 60% Moeurs : Arboricole et nocturne Taille adulte : 8 à 10 cm Longévité : 12 ans Nourriture : Insectes divers, mais tout ce qui entre dans sa bouche peut être avalé La photo est emprunté au site http://batraciens.net La Phyllomedusa sauvagii est une grosse rainette originaire des forêts tempérées chaudes du sud-est de la Bolivie, de la plus grande partie du Paraguay, du sud du Brésil et du nord de l'Argentine. Elle vit essentiellement dans les forêts relativement sèches de cette région. Ce n'est donc pas un animal d'Amazonie, et il n'apprécie pas une atmosphère trop humide. Cette aptitude à la vie dans des milieux relativement secs a été poussée assez loin, puisqu'en cas de sécheresse, elle peut se couvrir d'une sécrétion de la peau ressemblant à de la cire, sécrétion qui réduit fortement la perte d'humidité à travers la peau. Cette sécrétion est étalée sur la peau par l'animal lui même, avec ses 4 pattes. L'animal peut aussi réduire fortement ses pertes de liquide par voie urinaire, en sécrétant une urine semi-solide. Cette caractéristique explique le surnom anglo-saxon de P sauvagii : waxy frog (grenouille de cire).
  6. Les reptiles, animaux de compagnie très prisés à Hong Kong A Hong Kong, les reptiles sont des animaux de compagnie de plus en plus prisés car ils s'adaptent très bien aux petits appartements dans lesquels habitent la majorité des Hongkongais. Durée; 02:25 SCRIPT : Ces caméléons ne se trouvent pas dans un zoo, mais dans une animalerie à Hong Kong. Des centaines de lézards, tortues, grenouilles et serpents en cage sont entassés dans ce magasin. Car à Hong Kong, ville très densément peuplée, l'espace est un luxe et par conséquent, ces petits reptiles exotiques deviennent des animaux de compagnie très populaires. - SONORE 1 - Oscar Shiu (homme), gérant de magasin, Urban Jungle Reptile (cantonais, 13 sec): "Dans un appartement de moins de 30 m2, c'est presque impossible d'héberger dix chiens, mais 100 voire même 200 serpents, ça c'est possible!" David et sa famille habitent à 5 dans ce petit appartement de l'une des nombreuses tours de Hong Kong. Chez lui, il y a très peu d'espace et pas de jardin, mais il arrive quand même à héberger plusieurs animaux de compagnie. Un chien, un lézard, une collection de grenouilles et de geckos. Le fait d'avoir des reptiles lui permet d'économiser de l'espace, mais aussi du temps. - SONORE 2 - David Lai (homme), propriétaire de plusieurs reptiles (cantonais, 23 sec): "Les lycéens comme moi ont besoin de temps pour étudier. En général je pars de chez moi à 7 heures du matin et je ne rentre que le soir. Pour moi, le plus grand avantage à avoir des reptiles est qu'ils n'ont pas besoin d'autant d'attention que mon chien, ils sont plus faciles à nourrir et à nettoyer." Alors que la popularité des reptiles prend de l'ampleur, nombreux sont ceux qui cherchent à en acheter par Internet. Ils y trouvent souvent à des prix défiant toute concurrence, les races les plus rares et parfois même des espèces en voie de disparition qui devraient être interdites à la vente. Comme beaucoup de mordus de reptiles, l'un des serpents favoris de Toni est ce python royal dit 'Killer Bee' - une race issue de croisements entre plusieurs types de serpent. - SONORE 3 - Toni Ip (homme), fondateur de l'association de protection des reptiles 'Hong Kong Reptile and Amphibian Society' (anglais, 20 sec): "Sa peau est plus fine, ce qui entraîne un manque de protection vis à vis des prédateurs. Par ailleurs, le Killer Bee est connu pour être plus fragile, il a tendance à avoir des problèmes liés à ses sens, alors il peut prendre son propriétaire pour une proie." [anglais] "It’s skin is known to be thinner, it means it's lack of protection from predators. And also the Killer Bee's known to be more fragile and they tend to have a sense problem, so they might take their owner as prey." Mais lorsqu'elles sont entre de bonnes mains, ces créatures au sang froid sont en général très dociles. Elles ne sont pour autant pas le compagnon rêvé pour tout le monde. En plus d'être une grande responsabilité pour leur propriétaire... il faut aussi trouver le courage de les nourrir! Source
  7. Jérémie Hemmache, l'homme aux lézards du Béthunarium, sera à la bourse aux reptiles | LE PORTRAIT DU DIMANCHE | Rencontre avec un mordu de lézards que l'on pourra approcher aujourd'hui à la salle Olof-Palme, à l'occasion de la douzième bourse aux reptiles... PAR ISABELLE MASTIN bethune@info-artois.fr Son premier lézard, Jérémie Hemmache s'en souvient comme si c'était hier. « J'avais huit ans et je l'ai attrapé moi-même ! J'aimais les dinosaures » et faute de rejouer Jurassik Park, il a opté pour un modèle réduit. À 30 ans, il est « commercial en nouvelles technologies », a un petit garçon, attend avec son épouse un nouvel heureux événement, mais dans la maison, les lézards ont toujours une place - il a bien eu quelques serpents mais là n'était pas sa préférence. « Entre 10 et 18 ans, j'ai appris seul à m'en occuper, surtout dans les livres, Internet n'était pas si répandu. » Mais ça, c'était avant d'entendre parler de la bande de joyeux passionnés se retrouvant dans un antre sous la halte-garderie. Jérémie était du Hainaut. « Je boxais et c'est un ami, qui faisait de l'élevage, qui m'a demandé si je connaissais le Béthunarium. » Ce qui n'a pas tardé, avec parmi les membres émérites « René Fleurice ! » THE référence, la nounou des bébés serpents. « Je venais d'avoir mon permis, je pouvais venir à Béthune. » À l'époque, il détonne un peu dans un groupe où on ne jure que par les poissons et les serpents. Ça ne le convertit pas et même, il a largement aidé à la création d'une pièce dédiée aux lézards. « J'ai réfléchi aux espèces, 8 ou 9. Il fallait que ce soit pédagogique, que certains se manipulent bien comme les pogonas ou les dragons d'eau. On voulait aussi que le visiteur prenne conscience de ce que peut devenir à l'âge adulte un dragon d'eau de 20 cm. » Chez les lézards, « j'aime l'aspect, le fait de reproduire un écosystème et d'y voir évoluer un animal qui en principe ne vit pas chez nous. » Pour en arriver là, il a fallu passer par quelques échecs. Des bagarres, « des guerres de territoire », même qu'un jour « une femelle a tué un mâle » - une téju teigneuse. Ça ne rigole pas, une Madame Lézarde ! Manger souvent et riche Jérémie ne cherche pas les records. Au mieux, il a hébergé une vingtaine de spécimens et ne fait pas d'élevage. « Je maintiens la population. » Un petit clan de pogonas « achetés pour mon fils ». Malgré tout, « le lézard est plus exigeant que le serpent. Il a besoin de manger plus souvent et plus riche. » Insectes, herbes, éclairage et chauffage adaptés : la recette du bonheur. Ça ne se sait pas assez alors, la bourse aux reptiles, Jérémie y vient en bénévole dispenser des conseils. « Le but, c'est de sensibiliser le public » qui ne trouve pas toujours ce qu'il cherche dans les magasins. Des contacts de proximité dont il sait l'utilité. « Dans mon village, les gens savent que j'ai des lézards. Des voisins ayant acheté un pogona qui ne s'acclimatait pas sont venus frapper à ma porte. » Depuis, le pogona a triplé son poids. • 12e bourse aux reptiles, aujourd'hui, de 10 h à 18 h, salle Olof-Palme. Entrée : 2,50 E adultes, gratuit pour les moins de 12 ans. Source
  8. L'aquaterrarium, entre terre et eau L'aquaterrarium correspond à l'image que se fait le public d'un environnement idéal pour l'élevage des chéloniens qui sont en fait des reptiles (tortues) et des batraciens. Les animaux amphibies – reptiles et batraciens – passent une bonne partie de leur temps dans l'eau et une autre sur la terre ferme. Pour les accueillir, l'idéal est de leur aménager un agréable aquaterrarium, où ils pourront évoluer à leur guise entre ces deux éléments. Voici les grands principes à respecter pour réussir cette expérience… Un environnement respectant l'animal Le problème majeur pour la plupart des amateurs est de pouvoir conserver le plus longtemps possible une eau limpide et exempte d'odeurs. C'est en effet de la qualité de l'eau que dépend avant tout la bonne santé de nos hôtes. Il ne faut surtout pas surcharger l'aquaterrarium. Chaque reptile ou batracien a besoin d'un certain espace de vie Il faudra donc choisir une espèce en fonction de la place disponible. Il est important de bien connaître les mœurs de l'espèce choisie et de préparer les installations avant l'arrivée des animaux. Les conseils des éleveurs pros ne sont pas à négliger. Attention à leur nourriture : une suralimentation des animaux peut leur être néfaste. Fonctionnement de la partie aquatique Voici le format d'un bac pouvant contenir deux, voire trois tortues adultes : 1 m X 70 cm X 40 cm. La hauteur d'eau qui dépend de l'espèce de tortue choisie sera de 20 à 30 cm et, selon les espèces, l'eau devra occuper de 20 à 80 % de la surface disponible de l'ensemble. La solution la plus simple est d'adapter un aquarium de grande taille. Vous partagerez ce récipient en deux parties à l'aide d'un panneau de verre de dix à vingt centimètres de hauteur si votre partie eau doit être de grande taille. Vous collerez cette plaque en travers de l'aquarium à l'aide de colle à base de silicone. Il faut ensuite attendre environ une semaine pour que les joints soient bien secs. Vous pouvez décorer la séparation à l'aide de plaques d'ardoise afin de rendre le tout plus esthétique. La partie aquatique peut alors être remplie. Vous pouvez même y créer une cascade, ce qui plaira beaucoup à vos locataires. Si vous changez chaque semaine au moins 50 % de l'eau, un filtre n'est pas indispensable. Au fond de la partie aquatique, vous pouvez déposer du sable de Loire en couche assez épaisse et installer quelques escargots mélanoïdes : ces détritivores que l'on trouve dans les magasins d'aquariophilie vous aideront à garder le bac propre. La partie terrestre Pour la partie terrestre, le substrat naturel est fortement conseillé. Si vous voulez utiliser cette technique, il vous faut déposer dans le fond du compartiment une surface drainante composée de gravier (environ 3 cm d'épaisseur) ou, mieux, de billes d'argile expansée bien plus légères. Entre cette couche et la couche de terre que vous déposerez dessus, il vous faudra installer un voile horticole imputrescible, ce qui évitera le mélange avec la terre. Prévoyez une évacuation de l'eau qui tombera au fond du compartiment, vers un seau par exemple. Vous pouvez utiliser un terreau sans engrais ni additifs. Vous pouvez également mélanger de la tourbe ou de la terre de bruyère afin d'alléger le substrat et de le rendre plus acide, donc moins favorable au développement des bactéries qui pourraient menacer la santé de vos animaux. Pour l'esthétique, vous pouvez ramasser des plaques de mousse dans la forêt, puis décorer avec quelques plantes vertes. Le couvercle Prévoyez un couvercle grillagé. Si vous désirez une température ambiante constante entre 25 et 28°, achetez des câbles chauffants que vous trouverez dans les magasins d'aquariophilie. Quant à l'hygrométrie, elle devrait convenir à vos animaux avec cette installation. Droit Il est important de savoir que les batraciens français sont tous interdits à la captivité. Pas question de recueillir un crapaud ou une grenouille ramassés au bord d'un étang. Il pourrait vous en coûter une amende. Respect Avoir la sensation de vivre en pleine nature chez soi, voilà qui peut être sympathique ! Un petit coin de verdure par ci, un aquaterrarium par là… : le principal est de respecter les animaux que vous adoptez. Beaucoup d'espèces sont actuellement en voie de disparition et certaines ne se reproduisent plus qu'en captivité, alors, autant essayer, tout en se faisant plaisir, de protéger les espèces menacées. Renseignez-vous auprès de la Cites (Convention sur le commerce international des espèces de flore et de faune menacées d'extinction). La Cites en bref La Cites a pour but de veiller à ce que le commerce international d'animaux et de plantes sauvages ne menace pas la survie des espèces auxquelles ils appartiennent. Elle confère aujourd'hui une protection à plus de trente mille espèces sauvages. Comme le commerce des plantes et animaux sauvages dépasse largement le cadre national, sa réglementation nécessite la coopération internationale afin de préserver certaines espèces de la surexploitation. S. Seuron Source
  9. Catherine Paul. Traumatisée par une morsure de vipère Mordue par une vipère lors d'une balade le 15août, la Plouganiste Catherine Paul n'est pas encore remise de sa mésaventure. Elle témoigne «à titre préventif» pour tous ceux qui ne se méfieraient pas assez. «Et dire qu'adolescente, à Saint-Jean-du-Doigt, j'avais la phobie des serpents ! Avec le temps, j'avais appris à me promener sans ce stress. Il a fallu que ça tombe sur moi...» Le sourire contraint, la jambe enflée et le bras en écharpe, Catherine Paul, 72 ans, évoque déjà ce 15 août 2011 avec amertume. Ce lundi-là, la retraitée part en promenade, à pied, avec son mari et un couple d'amis à la pointe de Primel-Trégastel. «On a voulu éviter le sentier côtier, et c'est moi qui ai eu l'idée de couper à travers les fougères», soupire son mari Ernest. Milieu d'après-midi. Catherine Paul - ancienne présidente du comité de jumelage Morlaix-Truro - suit avec des chaussures à lacets et un pantacourt. Elle sent tout à coup une piqûre et a le temps d'apercevoir la vipère qui vient en fait de la mordre à la cheville. «J'ai crié, j'ai sauté» «J'ai paniqué. J'ai crié, j'ai sauté, et j'ai chuté lourdement sur mon épaule dans la foulée». Amenée par ses proches aux Urgences du centre hospitalier morlaisien après un petit kilomètre de marche pour rejoindre la voiture, la Plouganiste restera une semaine hospitalisée. Le temps d'être soignée («avec le sérum anti-venin au bout de 72 heures»), et équipée pour soulager une mauvaise fracture à l'épaule. «Cet incident, en apparence anodin, est, en fait, lourd de conséquences, et je veux mettre en garde ceux et celles qui ne se méfieraient pas assez. Ce jour-là, j'ai croisé des jeunes filles nu-pieds à deux pas de moi, par exemple», raconte-t-elle aujourd'hui. Un animal «peureux et sourd» «Croiser une vipère péliade dans la région morlaisienne n'a rien d'étonnant», confirme, pour sa part, François de Beaulieu. «Elle est bien présente dans les zones caillouteuses ou en friches, sur les sentiers, les anciennes voies ferrées... Mais moins venimeuse que la vipère aspic, elle ne pose en général pas grand problème», assure le président de Bretagne vivante-SEPNB. «C'est un animal peureux et sourd, qui se cache à la moindre vibration et ne mord qu'en dernier recours, lorsqu'il se sent menacé». Pour Ernest Paul, pas de doute : «J'ai dû réveiller le serpent, et ma femme a marché dessus juste après». 2.000 cas en France par an Aucun cas de morsure n'a, en tous cas, été pris en charge par les pompiers morlaisiens depuis le début de l'été (lire en encadré). Même pas celui de Catherine Paul, qui regrette «de ne pas avoir composé le 18» avant de filer aux Urgences. Et, sur les 2.000 cas répertoriés annuellement en France, très peu génèrent, au final, des blessures graves. «J'ai eu aussi peur car je fais déjà naturellement de l'oedème, conclut notre Plouganiste convalescente. Je sais que je ne me promènerai plus jamais sereine. Mais je pense surtout aux enfants ou aux personnes à la santé fragile. En matière de vipères, elles doivent, j'en suis la preuve, plus que jamais apprendre à se méfier». Sophie Prévost Source
  10. A la recherche du serpent perdu ESSIGNY-LE-PETIT - Depuis ce week-end, des habitants d’Essigny-le-Petit sont à la recherche d’un python royal en vadrouille. L'animal, qui mesure un mètre, s'est échappé de chez ses propriétaires. Inoffensif, il reste néanmoins recherché par tout le voisinage. « Ah bon ? Un serpent ? Dans cette rue ? » Surprise, et ton plutôt amusé des riverains, mercredi dans la commune d'Essigny-le-Petit. Pas question d'affolement, en tout cas. « J'ai mes petites filles à la maison avec moi, je vais prévenir ma fille mais non, je ne suis pas inquiète. » L'information est tombée mercredi sur le blog de la commune : Un Essignyacois a signalé en mairie la perte de son python royal. « Il s'agit d'une première à notre connaissance dans la commune », témoigne le secrétaire de mairie. L'animal s'est échappé « samedi ou dimanche dernier ». Depuis, ceux qui le nourrissaient le recherchent. En vain. Devant s'absenter, ils ont pris l'initiative d'alerter la municipalité. Tout le monde se veut rassurant : « Je connais son serpent, commente un voisin, pompier, il ne mesure qu'un mètre et n'est pas dangereux ! Si je le vois, je sais comment l'attraper, avec un crochet et un sac. » Bref, mercredi, tout le monde cherchait à localiser la bête, sans affolement. Le propriétaire, lui-même, accepte de témoigner de manière anonyme : « J'y suis attaché, c'est un python que j'avais depuis huit ans. Il n'y a aucun risque, sauf pour lui de se faire attraper par un autre animal. » Celui qui serait le plus en danger serait donc l'animal… Même si, conclut la mairie, il faut « rester prudent, comme avec n'importe quel animal de compagnie qu'on approche ». Le reptile mesure environ un mètre. Si vous l'apercevez, vous êtes invité à prévenir la mairie par courriel, ou par téléphone au 03 23 07 96 79 ou au 06 06 65 40 93. Source
  11. Une passion pour les serpents Les serpents sont les mal-aimés du règne animal. Ils ont mauvaise réputation, déclenchent la répugnance et le mépris des jeunes et des adultes. Mais certaines personnes ne craignent pas leur compagnie et tentent de les intégrer à la société. C'est le cas de Nicolas Simard. Le grand passionné de ces mystérieux et impressionnants reptiles a lancé, il y a quelques mois, sa propre compagnie: Production Serpentin. Nicolas Simard désire ainsi faire connaître cet animal incompris à la population en général. Il offre d'ailleurs des services de présentations publiques, qu'il propose à toutes les organisations. Que ce soit dans des groupes scolaires, lors d'un party de bureau ou auprès de personnes âgées, Nicolas débarque avec ses reptiles et tente d'apprivoiser les spectateurs (voir autre texte). Une passion depuis longtemps Nicolas Simard est âgé de 23 ans. Il est passionné par les serpents depuis son tout jeune âge. Petit garçon, Nicolas s'amusait avec les couleuvres qu'il trouvait dans les bois. «Je trouvais ça mystérieux, ça m'a toujours attiré, j'ignore pourquoi», indique le jeune homme. On peut donc dire que Nicolas Simard a une véritable passion pour ces reptiles. Et tenez-vous bien. Il possède pas moins de 17 serpents, qui sont bien à l'abri dans un local spécialement conçu pour eux. Une collection qui vaut environ 3000 $. Certaines espèces coûtent jusqu'à 700 $. «J'ai commencé avec un serpent, un python royal, lorsque j'avais 19 ans. J'ai tout de suite aimé la compagnie de cet animal, qui est victime de beaucoup de préjugés. Les gens sont mal informés, ils croient des informations qui ne sont pas vraies du tout», raconte le jeune homme. // La suite de ce dossier est disponible dans la version papier du Prorgès-Dimanche. Source
  12. Un python disparaît dans la nature Il mesure près d’un mètre et porte des écailles noires et vertes. La mairie de ce petit village situé au nord de Saint-Quentin a lancé l’alerte le week-end dernier : un python royal s’est échappé de chez son propriétaire, un particulier. Pas de panique, l’animal serait inoffensif. Source
  13. De drôles de compagnies qui finissent abandonnées Quelle compagnie ! Un scorpion, un caméléon, un furet dans l'appartement quand ce n'est pas carrément une araignée ou un serpent. Baptisées Nac (nouveaux animaux de compagnie), ces bestioles en tout genre sont exotiques, parfois dangereuses. Une compagnie qui semble gênante, les Nac finissant souvent jetés en pleine nature ou donnés au parc zoologique de Fréjus. Qui accepte ce cadeau empoisonné dans le souci d'éviter leur relâche intempestive et très néfaste au milieu naturel. Les animaux vivent mal la séparation Il arrive de plus en plus aux soigneurs d'accueillir les Nac mais ces animaux sauvages ont pris de mauvaises habitudes alimentaires et comportementales. Élevés par l'homme, ils le considèrent comme l'un de leur congénère et la séparation d'avec leur maître peut entraîner un ennui chronique pouvant aboutir à des automutilations (grignotage des pattes chez les perroquets pouvant aller jusqu'à l'auto-amputation d'un doigt). Des traumatismes qui les rendent inaptes à être introduits dans un groupe. L'équipe du parc prend en charge chaque année un nombre significatif de chiens de prairie qui peuvent mordre sévèrement, octodons, iguanes, tortues de Floride, perroquets… confiés directement par leurs propriétaires, ou récupérés par les sapeurs-pompiers. Les professionnels du parc zoologique mettent en garde les achats sur un coup de tête et encore davantage pour les espèces non domestiques qui vivent souvent de très nombreuses années en captivité (perroquets jusqu'à 80 ans, tortues plus de 100 ans). « Notre python réticulé nous a été confié par une personne, qui faute de place a dû s'en séparer. En effet, ce serpent faisait déjà plus de 6 m de long », explique l'équipe. « Il y a encore 6 ans, nous n'avions pas d'iguane vert dans notre établissement. Cependant, devant le nombre croissant de demandes d'hébergements, nous avons, depuis lors, vu passer chez nous pas moins de 13 individus. En effet, les iguanes grandissent vite et peuvent être exclusifs vis-à-vis d'un membre de leur famille d'adoption, mordant alors assez sévèrement les autres membres de la famille. Cela a été le cas de ce très beau mâle, chez nous depuis 4 ans et qui mesure aujourd'hui plus de 1,5 mètre de long »,précisent les soigneurs. Vingt tortues abandonnées par an Autre cas alarmant selon les professionnels : la tortue de Floride. « Une vingtaine parvient au parc chaque année depuis 10 ans. Des centaines de milliers de tortues de Floride ont été relâchées dans nos cours d'eau, par des gens lassés de nettoyer l'aquarium ou effrayés par la taille que prenait leur animal. Ce qui a provoqué un grave déséquilibre de l'écosystème et un danger écologique. Devant cette colonisation qui menace la tortue cistude, la Communauté européenne a interdit l'importation de la tortue de Floride et sa commercialisation, considérant ce reptile comme une espèce menaçante ». Source
  14. Bébé étranglé par un serpent : les parents condamnés à 12 ans de prison Un couple d'américains vient d'écoper de 12 ans de prison pour meurtre au troisième degré. La sentence est tombée ! Charles Darnell, 34 ans, et Jaren Ashley Hare, 21 ans vont passer les 12 prochaines années de leur vie en prison de Floride pour meutre au troisième degré de Shaianna, leur petite fille de 2 ans. En 2009, la petite Shaianna est morte étranglée par un python birman de 8.5 mètres de long, gardé au domicile familial comme animal de compagnie... Selon les enquêteurs, le serpent n'avait pas mangé depuis 1 mois, il avait réussi à sortir de son réservoir pour se faufiler jusqu'au berceau de l'enfant. Source
  15. Découverte de deux serpents "indigènes" dans une même réserve naturelle en Flandre (Belga) Le coronelle lisse et la vipère, deux sortes de serpents "indigènes", cohabitent dans la même réserve naturelle, à Kalmthout, une première en Belgique, selon Natuurpunt. Les volontaires de Natuurpunt ont fait cette découverte lors d'un inventaire après le violent et récent incendie de bruyère dans la réserve de Stappersven. De nombreuses coronelles lisses vivent dans cette réserve naturelle et on craignait que l'incendie n'ait touché cette population. Une série d'exemplaires vivants avait été découverte quelques jours après l'incendie. Cela ne signifie pas, selon Natuurpunt, que cette population est sauvée mais confirme les capacités d'adaptation de l'espèce. Les volontaires ont également découvert huit vipères au terme d'observations minutieuses. Le fait que la vipère et la coronelle lisse ont été trouvés dans la même réserve naturelle est unique en Flandre. Ces deux animaux sont par ailleurs des sortes de serpent rares à la capacité de prolifération limitée au nord du pays. (PVO) Source
  16. Nouveau projet de recherche à l'IFM-GEOMAR autour des tortues de mer Dans le cadre d'un nouveau projet de recherche interdisciplinaire, des scientifiques de l'Institut Leibniz des sciences marines, l'IFM-GEOMAR de Kiel (Schleswig-Holstein), étudient les flux de migration et les mécanismes de reproduction de la troisième plus grande population de tortue au monde, les Caretta caretta. Cette espèce de tortue de la famille des Cheloniidae est plus connue sous le nom de Caouanne ou Tortue carette. Grâce à l'utilisation d'émetteurs et de satellites, les chercheurs ont la possibilité de suivre un certain nombre de tortues. Les premières expériences ont débuté il y a quelques semaines, avant que ne commence la période de reproduction en automne. Les Tortues carette font partie des espèces en voie de disparition sur la Terre. Comme de nombreuses autres espèces, elles sont inscrites sur la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Ces tortues se retrouvent autant menacées par la pêche et la chasse que par la pollution, les changements climatiques et le tourisme. En dépit d'efforts intensifs pour protéger les tortues, la chasse reste malgré tout un problème très sérieux. En 2007, sur l'île de Boavista au Cap-Vert, près de 1150 tortues marines femelles ont été tuées au cours de leur sortie des eaux pour la pondaison dans les sables des plages. Ce qui représente entre 15 et 30% de la population des Caretta caretta vivant au Cap-Vert. La protection des tortues marines du Cap-Vert n'était pas la seule raison du lancement de ce projet interdisciplinaire. Christophe Eizaguirre, chercheur français à l'Institut IFM-GEOMAR, souhaite quant à lui identifier si les espèces de tortues marines du Cap-Vert sont génétiquement isolées ou si elles présentent des similitudes avec les populations de l'Atlantique et de la Méditerranée. Des échantillons de peau de l'ordre du millimètre de 120 tortues ont permis d'apprendre que la population du Cap-Vert diffère génétiquement des deux autres grands regroupements en Floride et dans la Méditerranée. Christophe Eizaguirre a également découvert que pour faire face à d'éventuels problèmes dus à un manque de diversité génétique, les tortues mettent en place un système d'accouplement très inhabituel. Les analyses génétiques ont montré que les femelles s'accouplaient avec plusieurs mâles, ce qui prévient les risques de consanguinité et de perte de diversité génétique. En ce qui concerne la seconde phase du projet, Christophe Eizaguirre s'est associé au biochimiste marin Björn Fiedler et à l'océanographe Torsten Kanzo, dans le but de concevoir un tout nouveau programme de surveillance unique au monde. Certaines tortues pourvues d'émetteurs et de capteurs permettront de mesurer un certain nombre de paramètres tels que la profondeur, la température et la salinité des eaux. Ainsi, les tortues serviront de plateforme de recherche multidisciplinaire, présentant des similitudes avec les planeurs déjà utilisés par différents groupes de travail de l'IFM-GEOMAR. Ces appareils robustes utilisés dans le cadre de ce projet coûtent entre 7.000 et 12.000 euros l'unité. Le financement total du programme a été pris en charge par la Communauté Leibniz. Source
  17. Reptiles dans le placard La mode est toujours aux animaux exotiques à Béthune. La 12e Bourse aux reptiles, c'est ce dimanche. Les organisateurs espèrent près de 4 000 visiteurs cette année. Ludovic Deraedt, 28 ans, passionné de longue date, prévoit d'y exposer et vendre une dizaine de serpents. PIOTR CZARZASTY > region@nordeclair.fr Terrariophile : tel est le nom qu'on donne à tous ceux qui pour animaux de compagnie, préfèrent les reptiles aux traditionnels chiens et chats. En imaginant leurs appartements, on s'attendrait à y voir des bacs géants occupés par des bêtes plus ou moins charmantes. Ce serait probablement le cas chez de nombreux terrariophiles mais pas chez Ludovic Deraedt. « Je n'ai pas envie de m'afficher, explique-t-il. Une passion, ça reste quelque chose de personnel. Je préfère rester discret et garder mes animaux dans une seule pièce ». En l'occurence... le placard. L'endroit idéal, en effet, pour assurer un minimum de discretion dans sa maison de Néchin, en Belgique. Ça fait tout de même de la peine pour ces animaux gardés dans des conditions presque carcérales. Une trentaine de serpents s'y retrouvent ainsi empilés les uns au-dessus des autres, enfermés dans des boîtes en plastique placées dans un meuble à étagères. « J'aurais voulu leur construire un truc plus grand, mais je n'ai pas assez de place pour le moment », explique Ludovic. On en commencerait presque à se préoccuper du sort de ces reptiles, mais le jeune terrariophile connaît bien son métier. « Ils ont tous une cape chauffante en dessous, un peu d'eau à l'intérieur. Le fond est recouvert de sable et de terre et la température est régulée en fonction du cycle de vie de chaque serpent », précise Ludovic, 28 ans, passionné de serpents depuis son adolescence. Une passion qui, pour lui, ne s'explique pas, mais se vit au quotidien. « C'est un plaisir de venir regarder les bêtes, s'occuper d'elles, confie-t-il. Lorsqu'on voit un accouplement ou les petits qui sortent des oeufs, ce sont des moments uniques. » Faire naître des « bébés » « J'apprends tout le temps », ajoute Ludovic qui raconte par exemple comment il a su distinguer un mâle d'une femelle ou comment être pratiquement sûr d'avoir des bébés mâles en augmentant la température de l'incubation. La reproduction constitue d'ailleurs le but principal d'un élevage de serpents, pour Ludovic. « C'est la plus grosse satisfaction lorsqu'on parvient à les faire procréer et surtout quand on arrive à faire éclore les oeufs », avoue-t-il. Ludovic n'aime pas parler de « nouveaux » animaux de compagnie. « Je ne m'amuse pas ni ne me balade avec. Pour moi, ça reste des animaux sauvages qu'il faut respecter ».w Source
  18. Au CPIE, une exposition sur les amphibiens pour sensibiliser Tous les ans après le 15 août se déroule la Semaine mondiale de l'eau. Afin de coller à cet événement, ... le centre permanent d'initiatives pour l'environnement du Val-d'Authie, présidé par Laurent Chochois, a mis sur pied une Semaine des milieux humides de la vallée de l'Authie. Avec l'aide du musée d'histoire naturelle, dans la salle de réunion du CPIE, a été montée une exposition sur les amphibiens qui avait pour but de « sensibiliser, informer et, pour les jeunes, éduquer à la connaissance et au respect des zones humides », avec pour leitmotiv : « Connaître pour protéger ». Selon Laurent Chochois : « L'objectif est aussi d'inciter les gens à travailler avec le CPIE. C'est dans cet objectif que, de février à mars, a été montée l'opération "Un dragon dans mon jardin" au cours de laquelle nous incitons les particuliers à nous avertir de découvertes qu'ils pourraient faire dans leurs terrains et dans leurs mares, et pourquoi pas de nous envoyer des photos de leurs trouvailles et de leurs mares. Tout cela peut nous permettre d'améliorer la connaissance du milieu de la région. » Et de poursuivre : « Les amphibiens sont de bons indicateurs du bon état du milieu où ils se trouvent. Plus il y aura d'amphibiens, plus on saura que le milieu est sain. Mais il faudra veiller à ce qu'il y ait le moins de reproductions consanguines possible. Il vaut mieux un brassage sélectif ». Par ailleurs, le Village des Boucles de l'Authie abritait une exposition sur les reptiles en partenariat avec le CPIE. • Prochaine animation : ce soir, à 20 h 30 au CPIE, « Nuit de la chauve-souris ». Gratuit. Prévoir chaussures de marche et vêtements chauds. Source
  19. Grenouilles sauvées des roues, les Landes croassent à coeur joie Les grenouilles des Landes migrent pour la reproduction à la mi-février. Durant leur traversée, elles croisent forcément le bitume de la rue des Bruyères. Là, le danger les guette, les roues des voitures ne les épargnent pas. Heureusement, Eden 62 qui gère les espaces naturels est là. PAR CHLOÉ TISSERAND saintomer@lavoixdunord.fr Parking des Landes silencieux, jusqu'à ce que la voiture de Jean-Pierre Lefebvre tressaute sur les cailloux. Ses petites-filles, originaires de Valencienne, Aude, 11 ans, et Aurore, 9 ans, sont chez papi mamie pour les vacances. « Toutes les occasions sont bonnes pour se rendre utile tout en prenant l'air », indique leur grand-père. Laurent Cléty, garde nature à Eden 62, les rejoint. « Aujourd'hui, nous allons poser une bâche d'une centaine de mètres et disposer un seau tous les dix mètres. Comme ça, on piège les grenouilles, on les récupère pour les amener de l'autre côté de la route sans qu'elles se fassent écraser. Ça nous permet aussi de les compter. » Un appel aux volontaires a été lancé pour les aider. Une dizaine, campée autour de Sébastien Ansel, autre garde nature d'Eden 62, a répondu et attend ses consignes. Une barrière à batraciens a déjà été construite plus loin. « On s'est rendu compte que la salamandre tachetée est beaucoup plus présente sur les dix kilomètres de plateau. Sa particularité, c'est que ses membres repoussent. Si elle perd un oeil, ça repousse ! On étudie même ses facultés en médecine. » Il y a cinq ans, les batraciens étaient trois cents les neuf espèces existantes dans les Landes (tritons, rénettes, crapaud commun, grenouille verte, rousse) confondues. Cette année, ils sont mille six cents. « On crée des zones de clairières, des tas de bois morts, on développe le boisement , énumère Sébastien Ansel, On parle toujours de sauvegarde du patrimoine culturel, c'est la même chose ici, la nature c'est notre patrimoine. » La bâche fonctionnera dès la mi-février au moment où les crapauds sortent de leur sommeil d'hiver et entament leur reproduction. L'animateur d'Eden 62 sourit : « Et puis, rappelons que les batraciens sont les meilleurs amis des jardiniers : ils dévorent les limaces. La gestion des espaces naturels, ce n'est pas du folklore ! » • Source
  20. Aïn Sefra : Un enfant tué par un scorpion Piqué par un scorpion, un petit enfant a perdu la vie dans la petite localité de Mekalis. C’est lorsque sa mère a été piquée elle aussi par ce scorpion qu’on s’est aperçu pour quel motif le petit Mérouane, âgé de 13 mois, pleurait intensément. Les deux victimes, la mère et son enfant, ont été évacuées expressément vers l’hôpital de Aïn Sefra. La mère fut sauvée in extremis alors que son enfant a malheureusement perdu la vie malgré un traitement intensif aux UMC. Source
  21. l tombe nez à nez avec un boa, chez lui Si les amateurs de nouveaux animaux de compagnie apprécient les serpents, d’autres les redoutent toujours… Surtout quand on les croise chez soi, à deux pas du centre-ville de Fures. Un reptile de taille moyenne, a ainsi été signalé mardi après-midi, vers 14 h 15, par un riverain du boulevard Michel Perret, car l’animal s’était réfugié chez lui. Un serpent long d’environ deux mètres Les sapeurs-pompiers tullinois ont effectivement trouvé à son domicile un serpent long d’environ deux mètres. Ils ont réussi à le contenir pour le mettre dans une caisse, car avec ce genre d’animal, sans connaître l’espèce ni sa dangerosité, mieux vaut être prudent. Le propriétaire est venu le récupérer dans la soirée En fait il s’agissait d’un jeune boa dont le propriétaire avait signalé sa disparition. Les mains gantées, ils ont saisi délicatement l’animal qui s’est aussitôt enroulé autour d’un des poignets, pour le mettre dans un sac approprié. La personne passionnée de ces serpents, est venue récupérer le boa dans la soirée, au grand soulagement des soldats du feu. Source
  22. Un homme de 22 ans a été arrêté après avoir volé des serpents rares dans un magasin de l'Arizona. Une vidéo le montre en train de les dissimuler dans son pantalon! Eric Fiegel a été arrêté mardi 23 août après avoir été confondu par la vidéo de surveillance d'un magasin d'animaux de l'Arizona. Le 30 juillet en fin d'après-midi, cet Américain sans emploi de 22 ans a été filmé en flagrant délit de vol au Predator's Reptile Center de Mesa. Des images le montrent ouvrir une cage, saisir un serpent et le glisser dans la poche de son pantalon. Il quitte ensuite discrètement l'animalerie, rapporte la police de la ville de Mesa. L'homme est accusé d'avoir volé et revendu, avec cette méthode, cinq bébés boas constrictors albinos. Ces reptiles, considérés comme rares, sont estimé à près de 800 dollars chacun. Une méthode inhabituelle «En 15 ans de carrière, je n'avais jamais été confronté à une affaire où quelqu'un volait des serpents en les glissant dans son pantalon. C'est pour le moins inhabituel!», a expliqué le sergent Ed Wessing de la police locale. «C'est déjà assez dur de faire des affaires ces jours sans que quelqu'un me vole des milliers de dollars de marchandises», a commenté le propriétaire du magasin, Christian Kaleta. Ce dernier a expliqué que lorsqu'il a vu le film de son système de surveillance, il a reconnu Eric Fiegel qui était un habitué du magasin. Christian Kaleta a appelé d'autres animaleries à proximité et a appris qu'un homme correspondant à la description Fiegel était venu leur vendre plusieurs des serpents. Il les avaient négociés contre un crédit de 175 dollars dans un des magasins ou contre un terrarium évalué à 175 dollars. La police a appris plus tard que les derniers serpents avaient été vendus à un ami. Source
  23. Ces cinq espèces en voie d’extinction qui ne sont toujours pas protégées Nous en avons retenus cinq. Cinq espèces qui, en dépit d’une diminution inquiétante de leur population, ne font toujours pas l’objet de mesures de protection. A l’instar des tigres, des rhinocéros, des éléphants ou encore des dauphins du Mélong, elles pourraient disparaître dans les années à venir. Surtout si les organismes compétents s’obstinent à ne pas voir la réalité en face… La grenouille (Rana klepton Esculenta) Familière de nos concitoyens, l’amphibien est aujourd’hui en grand danger. La faute essentiellement à la maladie Chytridiomycosis, à la pollution et à la destruction de son habitat. Tous les scientifiques ont constaté une diminution significative du nombre de spécimens, celle-ci pouvant aller jusqu’à 80% dans certaines régions du monde. L’animal serait également victime de son succès dans la mesure où quelque 6 850 tonnes de cuisses de grenouille seraient vendues chaque année dans le monde. Une consommation ahurissante qui décime des populations entières. Le tétras des armoises (Centrocercus urophasianus) Depuis le début du XIXe siècle, le tétras des armoises a subi une ablation de 50% de son habitat naturel, d’où la disparition de 90% de la population. Des pourcentage plus qu’inquiétants qui n’ont cependant pas suffi à convaincre les décideurs de lui attribuer le statut d’espèce voie de disparition, qui lui a encore été refusé l’année dernière. Les autorités préfèrent officiellement favoriser le développement des technologies vertes, qui ne nuiraient pas à la survie de l’espèce. Sauf que le Bureau of Land Management a donné cet été aux sociétés pétrolières l’autorisation de forer exactement là où l’oiseau a élu domicile. Inutile de préciser que cet aval pourrait avoir raison du tétras des armoises. Le loup gris (Canis Lupus) Considéré comme une espèce protégée aux Etats-Unis durant ces trente dernières années, le loup gris a perdu son statut privilégié dans tous les Etats du pays, à l’exception du Wyoming, où des plans de conservation ont été mis en place. Une décision prise à partir de données démographiques faisant état d’une repopulation a priori suffisante de loups gris. La plupart de scientifiques se sont néanmoins déclarés circonspects et redoutent les effets désastreux que provoquerait une reprise de la chasse sur les canidés. Le morse du Pacifique (Odobenus rosmarus divergens) Chassés et exploités pendant près de deux siècles dans le monde entier , à la fois pour ses défenses, sa graisse, ses os, sa peau et sa viande, les morses du Pacifique ont frôlé l’extinction. La chasse a néanmoins ralenti et l’espèce a pu se régénérer. Comme pour le loup gris, ce repeuplement a hélas eu un effet pervers : la perte de son statut d’espèce protégée. Le morse du Pacifique, qui peut peser jusqu’à deux tonnes à l’âge adulte, est aujourd’hui sur la « liste d’attente » des espèces en voie de disparition. Une situation pour ainsi dire inacceptable eu égard à la fonte de la banquise et aux forages pétroliers, auxquels le mammifère paie un lourd tribut. Le pika américain (Ochotona princeps) Plus proche du lapin que du mulot, ce petit rongeur est lui aussi dans une passe (très) difficile. Sensible aux mutations climatiques, le pika américain cherche par tous les moyens à fuir la chaleur pour se réfugier sur les hauteurs. Las ! Son habitat naturel actuel est aujourd’hui trop chaud et l’espèce ne dispose pas des capacités idoines pour migrer vers des contrées moins hostiles. Dans son cas comme dans celui des animaux précités, sa situation risque fort de devenir intenable tant qu’il ne sera pas intronisé « espèce protégée ». Source
  24. Nord: 800 mygales chez un particulier Drôle de surprise pour des enquêteurs venus intervenir dans une maison à Brouckerque (Nord) après le déclenchement d'une alarme. Ils sont tombés nez à nez avec plus de 800 mygales, 19 scorpions, et des criquets et blattes destinés à l'alimentation des araignées, rapporte la Voix du Nord. "Les araignées vivaient dans des boîtes en plastique ou des terrariums, dans une seule pièce", selon Jean-Pierre Pasternak, agent départemental de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. "On a recensé 157 espèceas de mygales différentes, poursuit-il, pour certaines protégées, pour toutes dangereuses". N'ayant aucune autorisation administrative pour détenir de telles espèces, le propriétaire a vu ses animaux saisis. Il affirme être un "passionné, pas un trafiquant", et vouloir "ouvrir un centre de conservation des espèces de mygales en voie de disparition". Il risque un an de prison et 150.000 euros d'amende pour détention illégale d'espèces protégées. Source
  25. Je connais le propriétaire depuis longtemps pour ma part donc
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