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Max|mum-leterrarium

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  1. Morsures de serpent, incendies multiples… / Dabakala : Billon organise le secours Pour faire face aux nombreux cas d’incendies et de morsures de serpent que connaît la ville de Dabakala, le maire Jean Louis Billon a récemment organisé dans sa com­mune la mise sur pied d’une association de protection civile pour aider les populations en cas de sinistre. Une initiative que ses administrés ont vivement saluée. A en croire les témoignages recueillis sur place. Selon Koné Adama au ministère de l’agriculture, il ne se passe pas de jour sans qu’une personne ne soit mordue par un serpent. De son côté, Coulibaly Dokolio élève en classe de 4ème au lycée de Dabakala raconte que les principales victimes sont les paysans. « C’est la peur au ventre que chaque matin je vais au champ pour accompagner mes parents. Car, j’ai été mordu deux fois par un serpent », indique Dokolio. K.A infirmier au centre hospitalier de la ville nous informe que les morsures de serpent sont récurrentes dans le département. Pour preuve, il avan­ce que ces services enregistrent plus de 15 cas de morsures de serpent. Dabakala, relate le maire résident, Diaby Bakary, est aussi confrontée à plusieurs cas d’incendies. Notamment en période de sécheresse. Où, a-t-il expliqué, des villages du département sont souvent la proie des feux de brousse. Denis Koné envoyé spécial à Dabakala Source
  2. Roubaix : un serpent de 40 cm en plein centre-ville Hier après-midi, un serpent mesurant une trentaine de centimètres a été découvert sur la terrasse d'une maison située au 157 de la rue de Lannoy à Roubaix. C'est un enfant âgé de 10 ans qui a réveillé l'animal en le prenant pour un jouet. Son père a réussi à maîtriser l'animal jusqu'à l'arrivée des sapeurs-pompiers. Plus de détails dans votre édition de ce jeudi. Source
  3. Insolite : un serpent dans le tableau de bord de la voiture ! En rentrant en voiture chez elle à Grugny, Sandrine Ratieuville s'est retrouvée nez à nez avec un serpent qui est sorti de son tableau de bord. Personne ne veut aller récupérer le reptile ! C'est une singulière histoire qui est arrivée lundi à une employée du CHU de Rouen, Sandrine Ratieuville. Un serpent - une couleuvre américaine semble-t-il - est sorti de son tableau de bord alors qu'elle conduisait sur la route de la Forêt Verte pour rentrer chez elle, à Grugny. Elle raconte sa frayeur et surtout l'incroyable scénario qui a suivi : personne ne veut ou peut déloger le reptile de son Touran VW. " Il était 17 heures, je venais de quitter mon travail au CHU et je me suis rendue dans une grande surface de Mont-Saint-Aignan pour faire quelques courses. J'ai repris la route, j'ai traversé la forêt verte et c'est alors que j'ai vu la tête d'un serpent et une partie de son corps surgir du tableau de bord, entre la vitre et la gaine d'aération. J'étais effrayée mais je ne pouvais pas me garer sur cette route étroite et sinueuse. J'avais peur de faire un accident. J'ai roulé quelques kilomètres avant de stopper ma voiture en sortant de la forêt..." Sandrine appelle immédiatement les pompiers qui, une fois rendus sur place, ne peuvent déloger le serpent puisqu'ils ne l'aperçoivent pas et ne veulent pas "démonter" la planche de bord. Un travail qui revient à un garagiste... "Nous avons téléphoné à un vétérinaire qui a confirmé qu'il s'agissait apparemment d'une couleuvre américaine avec ses écailles noires et son collier orange à la base de la tête. C'est un nouvel animal de compagnie qui est très demandé actuellement, surtout par les amateurs de reptiles débutants." L'histoire du serpent qui se mord la queue Sandrine essaie d'appeler ensuite un garagiste qui refuse d'intervenir pour démonter le tableau de bord par peur de la couleuvre. Rappelons qu'il ne s'agit pas d'un serpent venimeux. "J'ai téléphoné ensuite à mon assurance: elle m'interdit de conduire tant que le serpent est dans l'habitacle car en cas d'accident je ne serais pas couverte...C'est un truc de fou !" Bref, cette incroyable histoire est celle du serpent qui... se mord la queue ! Aujourd'hui, Sandrine ne sait plus à quels sauveteurs s'adresser et réclame l'aide d'un spécialiste en reptiles. "En attendant, un pompier de Lillebonne m'a dit de mettre une boîte en plastique avec des copeaux de bois, de l'eau et une souris morte pour attirer la couleuvre et la faire sortir de sa cachette. J'ai un enfant de trois ans, le siège bébé et sa poussette sont restés dans la voiture... J'ai peur, c'est irrationnel mais je vais tenter cette solution. Il faudrait que l'on me vienne en aide. Ma voiture est restée garée chez mon frère à Quincampoix et on m'a prêté une voiture pour que j'aille travailler !" Reste à savoir comment et où "l'animal de compagnie" a pénétré dans la voiture ? S'est-il enfui de chez son propriétaire, ou celui-ci s'en est-il débarrassé sur un parking de Rouen ou Mont-Saint-Aignan? Sandrine exclut une mauvaise farce. "Ma voiture était fermée, peut-être la couleuvre est entrée par une gaine d'aération ?" Pour contacter Sandrine Ratieuville et lui porter assistance, téléphoner au 06 63 43 07 82. Source
  4. Morsures de serpents : un problème crucial en Afrique Réalisé récemment par l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), un bilan évalue à 1,5 millions le nombre annuel de morsures de serpents venimeux chaque année en Afrique noire, dont 1/3 à 1/5 seulement seraient traitées. Le rapport pointe un manque de sérum et d’information, et dégage des pistes précises pour permettre aux pays concernés de mieux combattre ce fléau. Jusqu’à 1,5 millions de personnes touchées, dont 300.000 seulement recevraient des soins, 6 à 14.000 amputations, 7.000 décès : c’est, au bas mot, le terrible bilan annuel des morsures de serpents venimeux estimé pour l’Afrique subsaharienne par l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) au terme d’une analyse des (trop rares) données disponibles – études et rapports médicaux – sur la période 1970 - 2010. Un passage en revue encore jamais réalisé. 95% de ces accidents surviennent en milieu rural, l’agriculture étant l’activité économique dominante sur ce continent. Venin neurotoxique des cobras et des mambas, qui provoque l’asphyxie par paralysie des muscles respiratoires ou venin hémato-toxique des vipères, telle la vipère du Gabon : l’envenimement représente, par endroits, 10% des admissions à l’hôpital. Mais l’injection intraveineuse de sérum antivenimeux, seul traitement réellement efficace, n’a lieu que dans 10% des cas et ce, pour plusieurs raisons : recours aux pratiques traditionnelles alternatives, éloignement des centres de soin, manque d’information des praticiens et pénurie de sérum sont notamment pointés du doigt. Trop peu de doses d'anti-venin Toutefois, plus sérieux encore : souvent utilisés de façon inappropriée, ces remèdes s’avèrent inefficaces, démobilisant la population, déjà hésitante à entretenir des stocks de ces produits à durée de vie relativement courte (3 à 5 ans). Les 200.000 doses vendues annuellement dans les années 1980 sont ainsi tombées à 20.000 au début des années 2000, là où il en faudrait 500.000. Les fabricants ont alors tendances à limiter leur production, d’où cette pénurie. Un cercle vicieux, que les responsables de l’IRD espèrent briser, en mettant toutes ces données à la disposition des autorités gouvernementales des pays concernés. Source
  5. Le Conseil de bassin de l’Etchemin à la rescousse des tortues Le Conseil de bassin de la rivière Etchemin vient de se voir confier le mandat de coordonner un projet visant la protection de la tortue des bois désignée vulnérable au Québec. Ce projet, accordé par la Fondation de la faune du Québec, permettra de préciser l'état des populations de la tortue des bois dans la rivière Etchemin au moyen d’inventaires. Sujets : Ministère des Ressources naturelles , Comité de restauration , Agence de mise , Québec.Les tortues du Québec , Rivière Etchemin On compte aussi améliorer l'état des connaissances sur la répartition de l'espèce, les habitats utilisés et l'état de santé des individus. Les partenaires du projet sont le ministère des Ressources naturelles et de la Faune, le Comité de restauration de la Rivière Etchemin, l'Agence de mise en valeur des forêts privées des Appalaches et la Ville de Lévis. Un autre projet est initié par le Laboratoire d'écologie moléculaire et évolution de l'Université de Montréal et porte sur la tortue géographique, une espèce présente dans sept régions du Québec. Les tortues du Québec subissent des pressions de toutes parts. Par exemple, les infrastructures (routes, barrages, etc.) empêchent la libre circulation des tortues ce qui affecte négativement leur reproduction. Le dérangement humain et l'urbanisation des milieux riverains constituent également des problématiques auxquelles les tortues du Québec font face. Ces deux projets d'acquisition de connaissances sont rendus possibles grâce au programme Faune en danger. Ce dernier a été mis sur pied afin d'assurer la protection et la mise en valeur des habitats et des espèces fauniques indigènes menacées ou vulnérables du Québec. Source
  6. Pleurtuit. Une cliente croit avoir vu un scorpion Le magasin la Halle aux chaussures, à Pleurtuit (35), près de Dinard, se serait bien passé de cette publicité. Samedi après-midi, jour d'affluence, une cliente croit avoir vu un scorpion «d'une dizaine de centimètres» entre les boîtes de chaussures. Les responsables du magasin alertent les pompiers. Aidés d'un vétérinaire et d'une équipe rennaise spécialisée dans ces opérations, ils restent sur place deux heures. Parmi quelque 20.000 paires de chaussures étalées sur 400m², «nous avons effectué une recherche à l'oeil et avec des microcaméras», explique Jean-Christophe Davy, adjoint au chef de la caserne de Pleurtuit. «Nous n'avons aucune certitude» Pas de mouvement de panique, pas d'évacuation... et aucune trace du scorpion. «Ça ressemblait à un scorpion, continue le pompier, sollicité par les médias. Mais nous n'avons trouvé aucune certitude». Hier, le magasin pleurtuisien était ouvert et fonctionnait «normalement» selon la responsable, qui n'a pas souhaité faire plus de commentaires. On ne sait pas encore comment aurait atterri le scorpion, si sa présence est avérée, à l'intérieur du magasin. «En France, on trouve des scorpions en Corse et dans le bassin méditerranéen mais ils ne dépassent pas 5cm, indique Laurent Lietaert, vétérinaire à Pleurtuit. Il est tout à fait possible qu'un spécimen de cette taille ait été ramené dans un carton venu d'Asie. On trouve aussi des scorpions de ce type en Afrique. Leur piqûre n'est pas mortelle, mais elle provoque de fortes douleurs sur le coup». Le propriétaire du magasin a été mis en relation avec un spécialiste travaillant dans un insectarium du Morbihan, pour étudier la solution la plus appropriée (désinsectisation, détection à la lumière noire la nuit...) pour chasser l'éventuel «invité» indésirable. Source
  7. C'est probablement dût aux roches selon moi. En passant, bienvenue sur le forum! Je t'invite à venir te présenter sur le message suivant : /t3170-presentez-vous
  8. 8ème réunion annuelle du partenariat des tortues marines à Libreville LIBREVILLE (Xinhua) - Le Centre national de recherche et de technologie du Gabon a présidé lundi la 8ème réunion annuelle du partenariat des tortues marines, a-t-on constaté. Cette réunion permettra aux participants de plancher sur les questions de menace qui pèsent sur les tortues marines au cours de leur migration annuelle. Les menaces selon les divers rapports, proviennent plus souvent de la pollution, de l'érosion côtière, de la pêche illégale et du braconnage. Les plages du Gabon demeurent des sites importants de nidification des espèces emblématiques, surtout la tortue luth. Les tortues marines sont des espèces aujourd'hui considérées comme en danger. A ce titre, le partenariat pour les tortues marines du Gabon regroupe l'ensemble des acteurs qui oeuvrent pour la recherche et la conservation des tortues marines depuis 2005. Source
  9. Bienvenue Marie-Pier! C'est triste pour la grenouille mais le stress et les paramètres inadéquats sont des facteurs faisant en sorte qu'une grenouille peut cesser de s'alimenter. C'est un bon choix le dragon barbu pour combler le vide. C'est une espèce super, tu vas voir!
  10. Quatre ont trouvé la mort entre janvier et juillet Quatre des 1252 victimes de piqûres de scorpions ont trouvé la mort par envenimation entre janvier et juillet dans la wilaya de Ghardaïa, selon les services de la prévention de la direction locale de la santé. Le plus grand nombre de cas d'envenimation scorpionnique a été recensé dans la vallée du M'Zab et à Guerrara, avec 384 personnes piquées dans chacune de ces régions. Elles sont suivies par celle de Metlili avec 196 cas. «La prolifération du scorpion dans les zones urbanisées est la conséquence de l'insalubrité des quartiers d'habitation et du développement des décharges d'ordures ménagères anarchiques», expliquent des médecins à Ghardaïa. «Seul l'hygiène du milieu environnemental peut réduire sensiblement ce fléau qui est devenu un véritable problème de santé publique dans le Sud, notamment en période de grandes chaleurs», a prévenu le responsable de la prévention à la direction de la santé. Des opérations de collecte et de ramassage des scorpions au profit de l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) ont été initiées à travers le territoire de la wilaya, avec l'objectif de réduire leur prolifération et permettre à l'IPA de fabriquer des sérums anti-venin scorpionnique. Source
  11. Est-ce que vous l'avez manipulé suite à son repas? Y avait-il des sources de stress autour? Ou encore, la proie pourrait-elle être trop grosse? Ils peuvent mangé plus gros mais ils peuvent avoir de la difficulté à la digérer donc ça cause une régurgitation..
  12. Eh oui, c'est une grosse guidoune mais seulement en dehors du terrarium. On ne montre pas nos doigts au tégu dans sa maison comme je dis aux enfants.
  13. Wattwiller : un python dans le jardin! Les sapeurs-pompiers de Wattwiller ont été prévenus samedi vers 17 h 15, pour une intervention particulière. Un serpent avait été repéré dans un jardin au 42, rue du Vieil Armand à Wattwiller. Le véhicule d’interventions s’est rendu sur les lieux pour y récupérer l’animal et éviter tout danger pour la propriétaire qui étaitt sur les lieux. En effet, les secouristes ont réussi à capturer un serpent d’1 m 50 de long pour un diamètre de 5 cm et qui se trouvait sous des dalles en bois empilées. De retour à la caserne les pompiers, dirigés par le sergent Philippe Elsaesser, ils ont pris contact avec la brigade verte de Soultz qui est venue récupérer le serpent. D'après la description détaillée du serpent récupéré, les agents de la brigade verte ont indiqué qu’il s’agissait d’un python. Les pompiers regrettent qu’à l’heure actuelle beaucoup trop de personnes se procurent ces animaux. Ils se lassent et les relâchent dans la nature sans se soucier des conséquences très graves qui pourraient en découler. En l’occurrence, ce reptile pourrait avoir été oublié par les anciens locataires de cette habitation, partis il y a deux semaines. A.V. Source
  14. Petit update photo de mon Crapule! Il fait maintenant approximativement 3 pieds de long.
  15. Le scorpion toujours introuvable dans un magasin près de Dinard Samedi, à Pleurtuit, près de Dinard, la cliente d’un magasin de chaussures a affirmé avoir aperçu un scorpion courir sur le sol puis se réfugier sous des étagères. Malgré les efforts des pompiers pour le trouver, aucune trace de ce mystérieux intrus. Aujourd’hui, le magasin étant fermé, les recherches se sont interrompues. Les secours vont rester vigilants dans les prochains jours, mais ils veulent éviter toute panique. Tout comme l’araignée, le scorpion est un arachnide. Parmi les nombreuses espèces connues, seules environ vingt-cinq sont dangereuses pour l’homme. Cinq espèces sont présentes dans le sud de la France. D’après les spécialistes, elles ne présentent pas de danger. Source
  16. Nom scientifique : Geochelone platynota Nom français : Tortue étoilée de Birmanie Nom anglais : Burmese star tortoise Origine : Se limite à la Birmanie, l'actuelle Myanmar. Biotope : Semi-aride à semi-humide Température : 25 à 30°C avec une zone chaude de 35°C Hygrométrie : 40 à 60% Moeurs : Terrestre et diurne Taille adulte : Maximum de 28 cm Longévité : En captivité, certains spécimens ont atteint les 50 ans. Nourriture : Strictement végétarien mais riche en fibres et calcium. Photo emprunté au site http://www.chelonia.org/ La Geochelone platynota est répertorié à l'annexe II de la CITES. La destruction de son habitat naturel, une chasse impitoyable menée pour fournir le marché alimentaire et la médecine traditionnelle, sont les facteurs qui ont gravement décimé cette espèce à en faisant une des tortues les plus rares du monde. Cependant, l'on trouve encore dans le commerce quelques spécimens jeunes nés en captivité, mais à un coût assez élevé.
  17. Protection des tortues : Un colloque à Mahajanga L’hôtel « La Piscine » de Mahajanga a abrité les jeudi 8 et vendredi 9 septembre, un colloque international sur la protection des tortues. Les participants à ce colloque ont réfléchi sur les voies et moyens de contrôle, de sauvegarde et de protection de ces espèces de tortues qui risquent de disparaître comme certaines tortues géantes d’aldabra si aucune mesure n’est prise. Les objectifs du colloque sont de faire des échanges sur les mesures de surveillance et de contrôle, les pratiques d’élevage et sur le respect du CITES. Il s’agissait aussi de réfléchir et de définir une politique concernant les espèces endémiques de tortues menacées et aussi celles qui font l’objet de saisie [Procédures de contrôle, procédures de rapatriement et réintroduction dans la nature]. Cet atelier/colloque est international et vise à recueillir des idées et des recommandations pour améliorer le sort des espèces menacées. Il est important pour le futur plan d’action pour la Protection des tortues de réfléchir sur le cadre général de leur gestion et contrôle et d’examiner les options. Par la suite, chacune des 5 espèces devra faire l’objet de réflexions et de plan d’action spécifique. Certaines espèces ont certes déjà leur plan d’action, mais il est évident qu’une mise à jour et une vision partagée devaient se faire. Le cas de l’Angonoke a ainsi été analysé au cours de la 2ème journée à Mahajanga et il s’est avéré nécessaire de prévoir un autre atelier dans les régions concernées pour les 4 autres espèces de tortues. Les résultats attendus sont la mise en place de système de contrôle étant donné que le contexte écologique des espèces de tortues est différent d’une région à l’autre. Cinq espèces de tortues endémiques Madagascar abrite 5 espèces endémiques appartenant au groupe des tortues terrestres dont la tortue à soc ou Angonoka : elle possède la plus grande en taille parmi les tortues vivantes mais est également la plus menacée d’entre elles selon le critère d’évaluation de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN, 2008) classant cette espèce dans la catégorie des espèces en danger critique d’extinction. La population d’Angonoka est estimée à 200 individus dans la nature selon l’estimation scientifique disponible. Il existe aussi la tortue radiée ou Astrochelys radiata (Sokake) dans le Sud de Madagascar. D’autres espèces décrites dans la littérature ancienne ont disparu. Il est donc important de sauvegarder les espèces qui existent encore et de les remultiplier. Les tortues endémiques de Madagascar font l’objet de trafic illicite et sont retrouvés ailleurs, saisies ou non, en fonction des lois en vigueur dans les pays récepteurs ou pays d’entrée. Le problème se situe à plusieurs niveaux : - au niveau local et national, le système de contrôle s’avère être inefficace, et - au niveau international, en principe, les espèces en danger inscrites à l’annexe I de la convention sur le commerce international des espèces de faune et flore sauvages CITES sont régies par des accords qui engagent les pays récepteurs, si toutefois ces derniers sont membres de la CITES. Des rapatriements sont effectués, des programmes de reproduction en captivité sont mis en œuvre pour maintenir et préserver les populations de tortues et pour augmenter leur nombre. Tel est le cas à Ampijoroa en 1986 pour les Angonoka. La relâche des juvéniles produits de l’élevage en captivité se poursuit mais le risque de vol en milieu naturel est loin d’être anéanti malgré la mise en place du Parc national de Baie de Baly dédié tout particulièrement à la conservation de l’Angonoka. Tel est aussi le cas dans le village SOS tortues à Mangily où 200 tortues radiées ont été mises en quarantaine dans le centre d’élevage du village des tortues pour leur suivi, avant leur réintroduction dans la nature. Il existe un plan de conservation établi pour l’Angonoka qui recommande l’intégration de tous les individus au programme d’élevage afin de renverser la tendance actuelle et d’éviter l’extinction de cette espèce fortement convoitée par le commerce illicite. C’est dans cette perspective que le Plan d’action pour la conservation de la tortue à soc ou Angonoka a été élaboré en 2008 avec l’UICN dans le cadre d’un atelier international sur les tortues. Les Angonoka saisies existent aussi bien à Madagascar qu’à l’étranger ; deux centres de maintenance en captivité à Antananarivo, chez des particuliers à Mahajanga en plus des importations illicites arrêtées en Hong Kong et Bangkok. Des centres d’élevage en captivité existent au niveau international comme les associations de Zoo et d’Aquarium. Certains sont prêts à collaborer avec Madagascar pour la sauvegarde de ces espèces en voie de disparition. Avec le risque d’extinction imminente que court cette espèce dans la nature, d’autres mesures de conservation s’imposent pour garantir la survie à long terme de l’Angonoka. Les mérites de ces mesures ont besoin d’être évaluées afin d’éviter les éventuelles fraudes. Source
  18. Un coup de pouce pour la tortue-molle à épines (Saint-Pierre-de-Véronne-à-Pike-River) Le Zoo de Granby vient à nouveau de donner un coup de pouce à la nature. Pour la deuxième année consécutive, ses spécialistes ont réussi l'incubation artificielle d'oeufs de tortues-molles à épines, une espèce menacée au Québec. Sorties de l'oeuf à peine 24 heures plus tôt, 25 petites tortues ont été remises en nature hier, tout près du site de ponte, à Saint-Pierre-de-Véronne-à-Pike-River, près de Bedford. Les résultats ont été particulièrement satisfaisants cette année au Zoo, selon Patrick Paré, directeur Éducation, recherche et environnement. «Nous avons eu un taux de succès de 100 %. Tous les oeufs des quatre nids - 70 au total - que nous avons prélevés en nature ont éclos après une période d'incubation artificielle de 67 à 70 jours», s'est-il réjouit. Pareille expérience a également été réalisée à l'Écomuséum de Sainte-Anne-de-Bellevue. Là aussi, la réussite était au rendez-vous, mais seulement pour l'un des deux nids prélevés en nature. L'autre «n'était pas fertile», dit Patrick Paré. La tortue-molle à épines fait l'objet d'un projet de recherche depuis 1997. Y participent notamment: le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF), l'Organisme du bassin versant de la baie Missisquoi et Environnement Canada. Hier, les petites tortues remises dans l'eau de la rivière aux Brochets ont été traitées aux petits soins. Le niveau élevé de l'eau a obligé les responsables du projet de recherche à revoir leurs plans. L'eau près du site de ponte naturel était trop agitée pour les nouvelles venues. Line Bouthillier du MRNF a tranché sur le meilleur site pour leur retour en nature. Étonnamment vigoureuses, les jeunes tortues se sont rapidement acclimatées à leur nouvel environnement et n'ont pas tardé à se disperser dans le cours d'eau. Source
  19. Bonjour Marie-Pier et bienvenue sur le forum pour commencer! Je t'invite à venir te présenter à l'endroit approprié qui est : /t3170-presentez-vous Tout d'abord, effectivement, la rainette crucifère peut survivre en captivité comme n'importe quel animal qu'on lui donne les soins approprié. Par contre, il faut savoir qu'il est illégal de la posséder en captivité. Voici un lien qui t'explique ce qui est de la garde en captivité des reptiles et amphibiens indigènes du Québec : http://www.naturama.ca/fr/aninfo/loi_rep_qc.htm#taba Je ne peux malheureusement pas prendre la décision pour toi alors je peux seulement t'en informer de cette loi et si tu décides de la garder tout de même, je peux seulement te conseiller du mieux que je peux pour qu'elle soit bien. Je l'ai fais moi même dans le passé lorsque j'étais jeune ce qui a fait grandir ma passion pour ce monde merveilleux. Je te laisse donc réfléchir à la question et selon ce que tu auras choisis, je te conseillerai par la suite. Bonne réflexion et bienvenue encore!
  20. Près de Dinard, un scorpion aperçu dans un magasin de chaussures Les pompiers ont utilisé des microcaméras afin d’inspecter les rayons, et de débusquer le scorpion. Ils n’ont rien trouvé pour l’instant. Cet après-midi, une découverte peu banale a semé l’effroi dans un magasin de chaussures situé à Pleurtuit, à l’entrée de Dinard. En pleine affluence, une cliente a alerté les responsables car elle venait de voir un scorpion courir sur le sol. Il mesurait 10 cm environ. Il s’est redressé, a pointé son dard, avant de disparaître sous les étagères. Les pompiers ont fouillé les moindres recoins du magasin, ils n’ont rien trouvé. Ils ont reçu le renfort d’un vétérinaire et d’une équipe spécialisée dans les interventions animalières, basée à Rennes. Le magasin, vaste de 400 m2, contient des cartons entiers de chaussures qui viennent d’Asie. Il a peut-être voyagé dans l’un d’eux. Source
  21. Contact animal Épisode 3 Des images de la jungle de l'est de l'Afrique démontrent le danger qui guette un caméléon à la recherche de nourriture pour sa survie. Aussi, des babouins s'amusent avec l'équipement de haute technologie installé par l'équipe pour les surveiller dans leur habitat soudainement menacé par un cobra. Prochaines diffusions de cet épisode Dimanche 18 septembre à 17h00 Jeudi 22 septembre à 13h00 Canal D
  22. Une espèce de tortue menacée vit dans le fleuve de la Têt L'émyde lépreuse était déjà répertoriée à Banyuls, dans le Tech, et dans l'Agly Déjà connue ailleurs, une tortue rare, l'émyde lépreuse, est désormais présente dans la partie basse du fleuve de la Têt, en Roussillon. Ce reptile, qui vit dans les eaux stagnantes, a été repéré cet été par le Centre de Formation et de Recherche sur les Environnements Méditerranéens de l'Univesité de Perpignan. Une espèce de tortue autochtone, en voie de disparition, a été découverte ces dernières semaines dans le fleuve de la Têt, long de 120 km. Cet animal à carapace a été identifié dans le cadre d’un partenariat scientifique mis en place entre le Centre de Formation et de Recherche sur les Environnements Méditerranéens (CEFREM) de l'Université de Perpignan, et la société Veolia Eau, lancé en avril dernier. Les chercheurs du campus du Roussillon ont découvert dans les eaux la présence d’un reptile, l'émyde lépreuse, déjà repérée sur le territoire, tout comme dans la partie Sud du massif des Albères, en Espagne, au Portugal, et dans les pays du Maghreb. Cette mauremys leprosa, en version latine, comporte des couleurs verdâtres, jaunâtres et orangées, et peut atteindre jusqu'à 1 kg. Principalement carnivore, mais omnivore par défaut, elle semble avoir trouvé dans les zones d'eaux stagnantes de la Têt une alimentation convenable en insectes, en poissons, en amphibiens et en plantes aquatiques. Le contrat signé entre le CEFREM et Veolia vise à produire une étude pluridisciplinaire consacrée à l’analyse, notamment en aval de la station d’épuration de Perpignan, de certains contaminants chimiques et de la biodiversité sur la Têt, principal fleuve du Pays Catalan. La découverte de la tortue rare, dont 12 exemplaires ont été répertoriés sur la partie basse du fleuve, entre les communes de Bompas et Villelongue-de-la-Salanque, est le premier résultat, inattendu, obtenu par ce travail. Cette tortuga de rierol est considérée en danger de disparition sur la Liste Rouge nationale de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature. Relativement banale en Catalogne du Sud, elle était jusque-là exclusivement identifiée, dans les Pyrénées-Orientales, dans la vallée de la Baillaury de Banyuls-sur-mer, ainsi que dans le fleuve du Tech et dans la partie basse du fleuve Agly. Au-delà, cette découverte fournit un indicateur biologique de l’état de santé des eaux de la Têt. Source
  23. Max|mum-leterrarium

    Fat tail gecko

    Et l'origine de cette mutation?
  24. Le python de la Floride La Floride n’est pas au bout de ses peines avec les animaux exotiques. Le nouvel arrivé mesure jusqu’à cinq mètres de long. Il n'a pas de pattes et aime la chasse au lapin. C'est le python de Birmanie, qui s'est très bien acclimaté dans les Everglades, ce gigantesque marais sub-tropical dans le sud de l'État. L’an dernier, les autorités ont attrapé 95 pythons, sans compter celui de 3,9m de long qui a explosé après avoir tenté de gober un alligator, ni les deux qui se sont enfuis, dévorant un chat et une dinde. Ralph Poppell, député de Floride, veut donc renforcer la réglementation existante, et inscrire les pythons de Birmanie sur la liste des reptiles soumis à autorisation. Selon son projet de loi, les propriétaires devraient suivre une formation spécialisée pour s'en occuper, avec des sanctions pénales à la clé s'ils laissent échapper l'animal. Le python de Birmanie, très présent en Asie du Sud-Est (Thaïlande, Birmanie, Vietnam, Indonésie), vit dans les régions humides, jungles tropicales ou régions marécageuses, abrité dans un trou du sol dont il ne sort essentiellement que pour chasser. Les Everglades, vaste région marécageuse abritant de nombreuses espèces animales et végétales protégées, lui conviennent parfaitement. Il n'a aucun prédateur. Leur multiplication en Floride découle d'un phénomène de mode, déplore Skip Snow. Les gens les achètent quand ils sont petits à 20 dollars dans les marchés aux puces. Les serpenteaux, à leur naissance, ne mesurent que quelques dizaines de centimètres. Mais cela ne dure guère longtemps et le reptile devient vite un géant embarassant. Source
  25. Le MRNF procédera à l'élimination d'espèces exotiques envahissantes au parc de la Montagne-des-Roches Espèces exotiques envahissantes - Le MRNF procédera à l'élimination d'espèces exotiques envahissantes au parc de la Montagne-des-Roches QUÉBEC, le 7 sept. 2011 /CNW Telbec/ - Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) procédera dans les prochains jours à l'élimination de poissons rouges et de tortues à oreilles rouges qui ont été repérés dans le bassin de rétention du parc de la Montagne-des-Roches situé dans l'arrondissement de Charlesbourg. Considérées au Québec comme des espèces exotiques envahissantes (EEE), la présence de ces espèces a été signalée par un citoyen. Une EEE est un végétal, un animal ou un micro-organisme (virus ou bactérie) introduit hors de son aire de répartition naturelle et dont l'établissement ou la propagation constitue une menace pour le maintien de la biodiversité de l'environnement, l'économie ou la société. Étant donné que le bassin de rétention du parc de la Montagne-des-Roches est relié au réseau hydrique naturel du territoire, le risque est grand que ces espèces exotiques se dispersent dans le milieu naturel et affectent la biodiversité. Le MRNF doit donc procéder à la capture de ces animaux, en disposer et les euthanasier. Une menace pour les habitats naturels Le poisson rouge (carassin - Carassius auratus) constitue notamment un compétiteur et un prédateur potentiel des poissons indigènes puisqu'il réduit la nourriture et l'espace disponibles. De plus, en remuant la vase du fond des étangs pour déterrer la végétation enracinée, le carassin peut mettre en suspension des sédiments qui augmentent la turbidité du milieu et limite la croissance des plantes, nuisant ainsi aux communautés qui en dépendent. Quant à la tortue à oreilles rouges (Trachemys scripta elegans), elle peut s'établir facilement dans de nouveaux milieux, car elle tolère une vaste gamme de caractéristiques environnementales. Elle peut aussi causer des déséquilibres dans les habitats qu'elle colonise. Le régime alimentaire omnivore de la tortue à oreilles rouges en fait un envahisseur redoutable, capable d'affecter de nombreuses populations et communautés animales et végétales. Cette espèce est également une compétitrice agressive des autres espèces de tortues indigènes pour l'habitat (sites de ponte et de bain de soleil, nourriture, etc.). Il faut faire néanmoins attention de ne pas confondre la tortue à oreilles rouges avec la tortue peinte (Chrysemys picta), une espèce indigène très semblable. Le carassin et la tortue à oreilles rouges sont très populaires dans les étangs ornementaux et auprès des amateurs d'aquariophilie. Ces deux espèces ont probablement été introduites dans le bassin par des citoyens qui cherchaient à s'en départir pour diverses raisons. Cette situation n'est pas unique à ce bassin, les spécialistes la constatent à plusieurs endroits au Québec. Le MRNF rappelle qu'il est illégal d'introduire sans permis dans un milieu naturel des poissons ou tout autre animal et plante exotique. Le cas échéant, des constats d'infraction peuvent être remis aux contrevenants. Relâcher un animal en milieu naturel peut sembler un geste anodin et plein de compassion, mais ce geste peut avoir des conséquences graves sur l'environnement, la biodiversité et l'économie. Il est parfois possible de se départir des espèces non désirées auprès des animaleries ou des zoos, mais en dernier recours, il vaut mieux euthanasier ces animaux plutôt que de prendre le risque de les voir s'établir dans la nature ou dans les réseaux de canalisation municipale. Les citoyens doivent être conscients des conséquences que peuvent avoir les EEE sur l'environnement, des coûts associés aux mesures de contrôle et, par conséquent, des pertes économiques qui en découlent. Pour en savoir plus long sur les EEE ou sur les méthodes de contrôle et de prévention, le MRNF invite la population à consulter son site Internet, à l'adresse suivante : www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/especes/envahissantes Source
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