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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Les crapauds n'ont plus de secrets pour eux Une soirée où il est question de grenouilles et de crapauds. . Samedi soir, les Caroissiens sont venus très nombreux en famille, assister à la veillée au son des grenouilles au bord de la mare du Grand-Marchais, organisée par les amis de la Mare. Installés rue Puteaux, au bord de la mare, petits et grands ont écouté le chant des grenouilles. Puis un peu plus tard, enfants et adultes ont lu des comptines, poèmes, fables, contes, textes où grenouilles et crapauds avaient une place importante, avant d'organiser un concert improvisé avec des pots de terre remplis d'eau. Pour le plus grand plaisir des plus jeunes. Une mare à préserver « Ce soir, nous avons une centaine de personnes sans compter les enfants, c'est très bien. Nous avons souhaité nous associer de façon très conviviale à l'opération nationale Fréquence Grenouille, organisé par le réseau des Conservatoires d'espaces naturels, et ainsi faire prendre conscience, de façon ludique et dans la bonne humeur, aux gens de la nécessité de préserver les zones humides. Malheureusement, elles sont de plus en plus rares et avec elles, disparaissent de nombreux animaux sauvages et plantes. Nous avons la chance à Chéroy d'avoir une mare, alors faisons tout pour en prendre soin, a déclaré Isabelle Ksyk, présidente de l'association. n Source
  2. Opération nationale "Fréquence grenouille" jusqu'au 31 mai 2011 Opération nationale "Fréquence grenouille" jusqu'au 31 mai 2011 Fédération des Conservatoires d'Espaces Naturels - 23/05/2011 07:20:00 « Un bond en avant pour l'opération Fréquence grenouille » Opération nationale Fréquence grenouille 2011. Campagne de sensibilisation du grand public en faveur de la préservation des zones humides, l'opération se déroulera du 1er mars au 31 mai 2011. Pour la quatrième année consécutive, le réseau des Conservatoires d'espaces naturels et Réserves Naturelles de France ont relevé de nouveaux défis. Au cours de ces trois mois, ils organiseront plus de 400 animations : sorties sur le terrain, sauvetages de batraciens, aménagements de crapauducs, conférences, diaporamas, expositions, ateliers pédagogiques... et des animations afin de mieux connaître grenouilles, crapauds et tritons, et de découvrir les écosystèmes fragiles que sont les zones humides en France métropolitaine et en outre-mer (Ile de la Réunion, Mayotte, Guyane et Antilles françaises). Les nouveautés 2011 - Un mini-guide des éditions La Salamandre « Reconnaître les amphibiens » adapté et spécialement édité pour l'opération nationale Fréquence Grenouille. - Une géo localisation des animations sur Internet afin de consulter directement les manifestations près de chez soi mais aussi partout en France métropolitaine et outre-mer. Fréquence Grenouille donne l'occasion de sensibiliser la population à la nécessité de préserver les zones humides, milieux de vie indispensables à l'équilibre de notre planète. Les zones humides se font de plus en plus rares et avec elles disparaissent de nombreuses plantes et animaux sauvages dont les emblématiques amphibiens. Pour la deuxième fois cette année, l'opération se déroulera sur trois mois. Trois mois pour mieux connaître les grenouilles, crapauds et autres tritons et découvrir les écosystèmes fragiles de nos régions. En 2010, près de 400 animations étaient proposées au grand public sur l'ensemble du territoire français. Source
  3. Sans que ça ne soit des assistantes, je crois bien que l'hopital serait innaproprié pour cause de stérilité.
  4. Les seules que je manipule sans problème pour ma part ont été des Grammostale rosea et des Brachypelma smithi.
  5. Cinq espèces de grenouilles retrouvées en République Démocratique de Congo Les expéditions lancées par Conservation International et International Union for Conservation of Nature visent à retrouver dans le monde entier des centaines d'espèces d'amphibiens disparues depuis des décennies. Grâce à ces vastes opérations, une équipe de chercheurs dirigée par Eli Greenbaum, biologiste à l'Université du Texas, ont pu redécouvrir cinq espèces de grenouilles en République Démocratique du Congo. Pour voir les photos, cliquez ici!
  6. Une veillée au son des grenouilles, samedi Veillée au son des grenouilles au bord de la mare du Grand Marchais . Le réseau des Conservatoires d'espaces naturels et réserves naturelles de France organise des manifestations dans toute la France, à l'occasion de l'opération « fréquence grenouilles ». « Fréquence Grenouille donne l'occasion de sensibiliser la population à la nécessité de préserver les zones humides, milieux de vie indispensables à l'équilibre de notre planète. Les zones humides se font de plus en plus rares et avec elles disparaissent de nombreux animaux sauvages et plantes. Cette opération permet aussi de mieux connaître les grenouilles, crapauds et découvrir les écosystèmes fragiles de nos régions », explique le réseau. Le chant des grenouilles L'association des Amis de la Mare a décidé de s'associer de façon originale et conviviale, à cette campagne en organisant, samedi 21 mai, « Un soir au bord de la mare » et invite petits et grands, dès 20 h 30, à se retrouver près de la mare du Grand Marchais, pour écouter le chant des grenouilles, après le verre de bienvenue. À partir de 21 heures, lecture, par tout participant que le souhaite, de contes, poèmes, fables, comptines, chansons ou textes documentaires sur le thème des mares et des amphibiens. Puis vers 22 heures, concert surprise improvisé. Il est conseillé d'apporter un petit pot de fleur en terre. n A. A. è Pratique. La mare du Grand Marchais est située rue Puteaux à Chéroy. Apporter un cousin, une chaise ou une couverture pour être plus confortablement installé. Entrée gratuite. Source
  7. Araignées, vous êtes suivies Une étude répertorie toutes les morsures nécessitant un traitement. En Suisse, entre 10 et 30 espèces peuvent faire mal. Une mygale complètement défoncée aux anabolisants qui vous saute dessus avant de vous manger tout cru, ça existe… dans les films d’horreur. Dans le monde réel, les morsures d’araignée semblent plutôt rares. Chaque année, le Centre suisse d’information toxicologique reçoit une trentaine de demandes à ce sujet. Mais en général, ces morsures ne donnent lieu à aucune analyse médicale. Pour savoir dans quelle proportion les Helvètes se font croquer par les bestioles à huit pattes, une grande étude vient de démarrer. Chapeautée par le Dr?Markus Gnädinger, spécialiste en médecine interne de Steinach (SG), elle invite la population à communiquer toutes les morsures d’araignées autochtones ou importées qui nécessitent un traitement médical entre juin et novembre. Il faut annoncer les cas à son médecin ou à l’hôpital traitant qui feront suivre. Capturer la bête Savoir qu’on a été mordu par une araignée ou une autre bestiole est difficile à déterminer si on n’a pas vu l’animal en action. Et pour savoir quelle espèce s’en est prise à vous, il est important de capturer l’animal, comme le recommande l’étude, «Il ne faut pas tuer l’araignée, explique Markus Gnädinger, mais l’attraper et la mettre dans un récipient sûr, comme un bocal en verre ou une boîte de pellicule pour film. Pas dans une enveloppe, l’araignée risquerait de se faire écraser.» Mais au fait, risque-t-on vraiment quelque chose en Suisse? «Le but de notre étude n’est pas de créer la panique dans la population. Il n’y a pas d’araignées autochtones dangereuses en Suisse, explique Markus Gnädinger. Par contre, il y a des gens qui ont des mygales ou des tarentules dans leur terrarium. Ce sont souvent eux qui se font mordre et qui ont besoin d’un traitement médical.» Toutefois sur le millier d’espèces que compte la Suisse, entre 10 et 30 peuvent provoquer des symptômes douloureux. «Le Matin» vous présente les sept plus fréquentes sous nos latitudes. «Pour être mordu par une araignée, il faut que trois conditions soient respectées, précise le médecin. Il faut qu’elle fasse au moins un centimètre, qu’elle vive près de l’homme et qu’elle soit agressive.» Comme une guêpe Le chiracanthe ponctué répond à ces critères et est l’espèce autochtone la plus à même de créer des complications. En général, la réaction à sa morsure est identique à une piqûre de guêpe. Mais il n’est pas impossible que des douleurs, des enflures, des nécroses ou des maux circulatoires surviennent. Que les plus arachnophobes se rassurent, on ne dénombre que douze morsures de chiracanthe ponctué, avérées avec certitude, en Europe ces 150 dernières années. Source
  8. Sea Life, journée de la tortue, un programme d'adoption Sea Life lance un appel aux dons pour sauver les tortues de mer. Le Centre SEA LIFE Paris Val d’Europe a choisi le jour mondial de la Tortue (lundi 23 mai) pour annoncer un programme d’adoption de Tortues de mer afin d’accélérer la collecte de fonds destinés à la construction d’un centre de secours en Grèce. Il s’agit pour le Centre SEA LIFE de proposer des « packs d’adoption » pour ses 2 pensionnaires, les Tortues de mer « Natasha » et « Briony » afin de lever des fonds pour financer les équipements grecs. Un nouveau centre de secours sur l’île de Zakynthos destiné aux Tortues de mer en détresse - fondé en partie grâce à l’appel lancé par SEA LIFE en 2006 - est en passe d’être achevé. Il est situé en bord de mer à Laganas, à quelques pas de la principale plage de nidification et de la baie où les Tortues de mer adultes se rassemblent pour s’accoupler. Les centres SEA LIFE soutiennent activement le projet de Zakynthos avec l’association « Earth Sea and Sky » installée sur l’île, là où sont retrouvées la majorité des Tortues de mer blessées. Afin de poursuivre le projet Zakynthos, le Centre SEA LIFE Val d’Europe organise des « journées d’adoption » pour ses 2 pensionnaires, les Tortues vertes « Natasha» et « Briony qui sont aussi les ambassadrices des sept autres espèces de Tortues de mer, qui ont toutes à affronter un futur incertain. Chaque personne pourra parrainer une des 2 tortues « Natasha » ou « Briony » du centre SEA LIFE Val d’Europe en versant la somme de 50€, sur place, en caisse à l’aquarium. Chaque parrain se verra remettre un « pack adoption » contenant entre autre : - 1 pass annuel nominatif - accès illimité au centre pendant 1 an - 1 livret sur toutes les espèces de tortues - 1 lettre d’information de « Earth Sea and Sky » - 1 peluche tortue - 1 carnet et 1 crayon Des animations ainsi que des ateliers avec participation financière libre sont également organisées à l’aquarium pendant l’événement « Sauvons les Tortues » du 23 mai au 12 juin dont le montant collecté sera intégralement utilisé pour le projet et versé à « Earth Sea and Sky ». Pour SEA LIFE, « Sauvons les Tortues » coïncide avec l’année de ses 10 ans qu’il fête tout au long de l’année. Pour l’occasion l’aquarium sera gratuit pour tous les enfants de moins de 10 ans le 8 juin prochain et leur contribution sera demandée dans le cadre de la réalisation d’une fresque géante appelée « mur des souhaits ». Chacun pourra s’exprimer par le biais d’un dessin et nous dire comment il imagine ou rêve le monde marin et ses merveilleuses créatures dans 10 ans. Plus d’informations sur http://www.visitsealife.com/paris/ Ainsi que sur les réseaux sociaux : Contact Presse Xavier Etcheverrigaray xavier@etxecom.com 01 43 57 82 98 Contact SEA LIFE Chantal Villeneuve chantal.villeneuve@merlinentertainments.biz 01 60 42 33 50 Source
  9. Dessine-moi une tortue Concours de dessin de la 3e édition de la journée nationale de la tortue au Gabon Aldrica Kokolou et Keneth Essono, tous deux élèves à l’école publique de la commune du Cap Estérias, située à une vingtaine de kilomètres au nord de Libreville, ont remporté mercredi le concours de dessin organisé dans cette ville à l’occasion de la journée nationale de la tortue. A l’origine de cette initiative, des ONG Partenaires pour la protection des tortues marines du Gabon. De notre correspondant Plus de 200 enfants, dont l’âge varie entre 5 et 12 ans, ont participé plus concours de dessin qui a été organisé mercredi au Cap Estérias, à l’occasion de la journée nationale de la tortue. Deux ont été récompensés : Aldrica Kokolou et Keneth Essono. Les deux lauréats de cette 3e édition du concours du plus beau dessin d’une tortue marine ont gagné un voyage sur la Pointe Denis et bien d’autres lots offerts par les organisateurs. Au cours de leur séjour de 24 heures à la Pointe Denis, ils visiteront le musée des tortues marines de cette localité et d’autres sites touristiques de la place. "Je suis très heureux d’avoir remporté le concours de dessin de cette 3e édition. Je dédie mon trophée à mes parents et à tous mes camarades de classe, ainsi qu’à mon maître. C’est mon deuxième trophée depuis que ce concours a été institué’’, a déclaré le jeune Heneth Essono, après avoir reçu son trophée des mains du maire adjoint de la ville, Marie Rose Obala. Selon Aimée Sanders, présidente du jury, le concours portait sur le dessin d’une tortue marine, accompagné d’un message de sensibilisation, l’objectif étant de savoir si les candidats ont assimilé les exposés sur la biologie des tortues et retenu quelques enseignements au cours de la séance de projection des films portant sur la conservation des tortues marines. Ce concours a été institué il y a trois ans par les ONG Partenaires des tortues marines du Gabon - le WCS, Ibonga, Gabon-Environnement et Manga -, afin d’inciter les jeunes à prendre conscience des menaces qui pèsent sur la survie des tortues marines, et surtout de les amener à participer dès le bas âge à la lutte contre les problèmes environnementaux. Source
  10. Grâce à vous, les cas de négligences envers les animaux ont explosé "Grâce à vous" et non pas "à cause de vous" car si le nombre de cas répertoriés a fortement augmenté, c’est parce que la souffrance animale touche de plus en plus de citoyens et qu’avec internet et les réseaux sociaux, de moins en moins de cas passent inaperçus. La délation marche bien pour le bonheur des animaux saisis, lorsqu’ils ne gardent pas de graves séquelles… Ces dernières années, l’augmentation du nombre de cas recensés par le service d'inspection du bien-être animal du SPF Santé Publique est impressionnante. De 361 cas en 2007 à 541 l'an dernier. En 2011, rien qu’au premier trimestre, 134 cas ont déjà été constatés. Le nombre de saisies d'animaux a également fortement augmenté ces dernières années, passant de 1.079 animaux saisis en 2007 à 2.495 l'an dernier. Les services d'inspection ont constaté en 2010 un millier d'infractions à la loi sur le bien-être animal. Les infractions ont généré 350 procès-verbaux et 650 avertissements. 75% d'entre eux concernaient des particuliers et 25% des éleveurs ou des élevages officiels de chiens ou chats, ainsi que des commerces d'animaux. En 2010, parmi les animaux saisis, il s'agissait principalement de lapins ou rongeurs (979), de bovins (250) et d'oiseaux (230), mais on a également saisi un nombre important de reptiles (122). Savoir qui contacter Céline Hurner a mené l’enquête pour Bel RTL. Elle a rencontré Jean-Marc Montegnies, le directeur de l'ASBL Animaux en Péril, le premier relais entre le dénonciateur et la justice. « Lorsque nous avons l’info » selon laquelle un animal est en détresse, « et qu’elle est vérifiée, nous constituons un dossier avec photos et rapports vétérinaires et nous envoyons le tout aux autorités. » Beaucoup de négligence coupable, un peu de torture pure et dure Récemment, ce sont une trentaine de chats en train de mourir de faim qui ont été saisis à Schaerbeek. Parce que bien entendu, la justice punit les coupables (de 6 mois de prison ou d’une amende de 5000 euros) et tente de sauver les victimes, en l’occurrence des animaux. Deux raisons peuvent mener à la saisie : « La loi distingue bien les deux cas: la négligence grave et les actes de cruauté. La cruauté gratuite, ce sont des gens qui sciemment maltraitent les animaux. Comme quelqu’un qui s’amuserait à couper la queue et les oreilles des chiens. Là on est dans la cruauté extrême. Mais la majorité des cas dans lesquels les animaux sont saisis, c’est de la négligence grave. » Dénoncer sans se faire repérer par le propriétaire: merci internet Les réseaux sociaux, par lesquels l’information circule plus vite qu’avant, fait marcher la dénonciation. C’est une des raisons des chiffres en hausse : « Les gens dénoncent les faits mais n’ont pas envie de se faire connaître. On constate qu’avec les réseaux sociaux et internet, les gens peuvent nous contacter plus facilement. Ça ne veut pas dire qu’il y a plus de cas, ça veut dire que finalement ils sont moins souvent cachés. » Non, un reptile ne recherche pas l'amour d'un maitre ! Une bonne nouvelle donc. Mais il reste du travail, par exemple en ce qui concerne les NAC (nouveaux animaux de compagnie). 122 reptiles saisis en 2010, c’est trop. Tout ça parce qu’ils sont à la mode : « Ce sont des animaux qui ne sont pas fait pour être détenus dans un environnement humain. Il faut savoir qu’un serpent est sourd ou qu’avec un iguane vous n’aurez jamais aucune relation. Un iguane ne va absolument pas rechercher de la tendresse, le contact. C’est impossible pour lui, ce n’est pas dans ses gènes contrairement au chien. Donc la relation est totalement unilatérale. » Sans compter que prendre soin d’eaux correctement requiert du matériel et un attention plus grande. Voilà pourquoi ils sont saisis lorsque les conditions de détention strictes prévues par le loi ne sont pas remplies. Source
  11. Le lien ne fonctionne pas de chez moi. J'aimerais bien t'aider mais sans voir la photo c'est impossible!
  12. 23 mai : journée mondiale de la Tortue Le Centre SEA LIFE Paris Val d’Europe a choisi le jour mondial de la Tortue (lundi 23 mai) pour annoncer un programme d’adoption de Tortues de mer afin d’accélérer la collecte de fonds destinés à la construction d’un centre de secours en Grèce. Il s’agit pour le Centre SEA LIFE de proposer des "packs d’adoption" pour ses 2 pensionnaires, les Tortues de mer "Natasha"et "Briony" afin de lever des fonds pour financer les équipements grecs. Un nouveau centre de secours sur l’île de Zakynthos destiné aux Tortues de mer en détresse – fondé en partie grâce à l’appel lancé par SEA LIFE en 2006 – est en passe d’être achevé. Afin de poursuivre le projet Zakynthos, le Centre SEA LIFE Val d’Europe organise des "journées d’adoption" : chaque personne pourra parrainer une des 2 tortues en versant la somme de 50€. Source
  13. Rhône : le crapaud Pélodyte sous haute protection Un dispositif spécifique pour le crapaud Pélodyte est installé à l’occasion des travaux effectués par Rte lors de l’installation d’une ligne électrique souterraine. Avec le programme Lyon CABLENERGIE 2013, Rte renouvelle 50 % du réseau de transport d’électricité de la ville de Lyon, soit 50 km de lignes souterraines. Un programme de modernisation qui répond à un double objectif : sécuriser l’alimentation en électricité de l’agglomération lyonnaise et faire face aux nouveaux besoins en énergie de la Presqu’île. Les tranchées réalisées pour construire la nouvelle ligne électrique à 63 000 volts peuvent constituer un véritable piège pour ces batraciens. Pour assurer leur protection, un dispositif spécifique a été étudié par Rte en collaboration avec la Ligue de Protection des Oiseaux du Rhône et des experts herpétologues (les spécialistes des reptiles et des amphibiens). Une espèce protégée Aux abords du poste électrique Rte de Vénissieux et dans le Parc de Parilly, vit une espèce protégée de crapauds, le Pélodyte. Petit crapaud d’à peine 5 cm, le « persillé » possède une peau verdâtre ou grisâtre parsemée de vert émeraude sur les verrues. L’iris est doré et la pupille verticale rappelle la forme d’une goutte d’eau inversée. Le pélodyte fréquente des milieux très variés mais le plus souvent ouverts et recherche de préférence des points d’eaux temporaires pour la reproduction. Celle-ci démarre plutôt en mars et les mâles font alors entendre leur curieux chant qui rappelle deux boules métalliques qui rebondissent l’une sur l’autre . La métamorphose se produit normalement 2 à 4 mois plus tard mais pour les pontes tardives, le têtard passe l’hiver. C’est une espèce protégée et considérée « vulnérable » par le livre rouge des vertébrés de France. Il existe 9 sites de reproduction du crapaud pédolyte dans le Rhône dont 2 dans le parc de Parilly Un dispositif adapté aux batraciens Les crapauds pédolytes de l'agglomération lyonnaise peuvent coasser tranquilles, le dispositif mis en place a été murement réfléchi par les acteurs du chantier comme les responsables de la LPO et des experts herpétologues. En amont du démarrage du chantier, un contrôle du site a été effectué afin de voir les zones du chantier les plus sensibles, impliquant la vérification de la présence de crapauds sur le site même du chantier. Il semblerait qu’aucun amphibien n’est été repéré. Quelques jours avant la mise en route des travaux, une barrière de protection a été installée, empêchant les crapauds de pénétrer sur le site. Un filet brise vent d’une hauteur de 50 cm a été posé en forme de U : il évite aux crapauds de grimper comme de creuser. Quant au personnel qui travaille sur le site , il a été sensibilisé à la présence de représentants de cette espèce protégée aux abords . Source
  14. Nouveaux animaux de compagnie : « Unbernard-l'hermite mérite d'être soigné Perroquets, reptiles, wallabies, furets, araignées ou « plus communs », lapins, tortues, souris... Ce sont les « nouveaux animaux de compagnie » (NAC). Depuis 2007, un lieu leur est dédié dans le secteur (1) : la clinique du Caducée. De quoi assurer leur longévité, satisfaire les amis des bêtes, mais aussi éduquer ces nouveaux propriétaires. PAR ÉLISE PINSSON « Une fois on m'a amené un bernard-l'hermitte, raconte Frédéric Vlaemynck. Sa propriétaire, une petite-fille, était en larmes, il ne sortait plus de sa coquille. On a fait une endoscopie, il était mort. Mais ce qu'il faut retenir, c'est que "même" un bernard-l'hermite mérite d'être soigné. À partir du moment où il y a un attachement pour un animal, ça n'a rien de débile. » Fondée en 2007 par « trois potes », Frédéric Vlaemynck, Émilie Tessier et Cyril Chovet, la clinique vétérinaire du Caducée accueille « tous les nouveaux animaux de compagnie et accepte les chiens et les chats. » Nuance. « Tous », soit lapin (« 1er animal de compagnie rencontré ici en consultation »), furet, hamster, rat, et les plus « confidentiels : raton-laveur, wallaby (petit kangourou), reptile, araignée, rapace, poule d'ornement... » Une liste infinie : « Potentiellement, il y a des milliers d'espèces, très éloignées sur l'arbre de l'évolution ». La structure a fêté son 10 000e patient cette semaine : « Joséphine la souris », un nouvel animal de compagnie(NAC) donc. Le terme n'est pourtant pas évident. « Il est mal choisi, reconnaît C. Chovet. Certains de ces animaux de compagnie ne sont pas "nouveaux", D'autres ne sont pas des animaux "de compagnie", mais "d'ornement", comme les reptiles. Ce qui est nouveau par contre, c'est de les présenter chez le vétérinaire. Mais c'était pareil il y a 40 ans pour les chiens ; c'était un animal de travail, pas un animal de compagnie. »Aujourd'hui, tous les vétérinaires ne soignent pas ces NAC, « pas équipés » ou « sans attrait particulier pour ces animaux ». La clinique du Caducée reste pour le moment la seule de ce type dans la région, elle prodigue ainsi des conseils téléphoniques à ses confrères, « mais jamais aux propriétaires. Ils doivent comprendre qu'il faut voir un vétérinaire. Et ne pas appeler l'animalerie, l'éleveur de l'animal ou aller sur Internet, sur des forums. Il faut respecter les besoins des animaux, sinon on va tout droit vers des problèmes psychologiques. » Dans la salle d'attente hier, Olivier patiente avec Serge et Simone, ses deux furets, pour un vaccin. « J'ai toujours eu des animaux,confesse-t-il. Et pour moi qui vis en appartement, le furet est un bon compromis entre plusieurs bestioles. Ça joue à la balle comme un chien, ça va dans une cage comme un rat, ça dort énormément... » Les vétérinaires aussi ont leur analyse sur cet engouement pour les NAC. « D'une façon générale, je pense que c'est parce qu'on devient citadin et que le citadin a besoin de sa petite touche de nature, affirme F. Vlaemynck. Le chien présente des contraintes. Le chat aussi. On opte pour un autre animal mais à tort, car un reptile demande aussi beaucoup de temps. Et avec un perroquet, on tire un trait sur sa vie privée. Quoique si on comprend les besoins de l'espèce, on peut tout résoudre. » • (1) En raison de l'activité libérale des vétérinaires, le lieu de la clinique ne peut pas être clairement indiqué. Source
  15. Les tortues d'aquarium au secours des tortues de mer PARIS - L'aquarium Sea Life de Val d'Europe (Seine-et-Marne) lance le 23 mai un programme de parrainage à l'occasion de la Journée mondiale de la tortue afin de collecter des fonds destinés à la construction d'un centre de secours de tortues de mer en Grèce. L'opération Sauvons les tortues, organisée jusqu'au 12 juin, consiste à proposer des packs d'adoption de deux de leurs pensionnaires Natasha et Briony, a indiqué Sea Life mercredi dans un communiqué. Chaque visiteur de l'aquarium qui souhaite parrainer une des deux tortues devra verser la somme de 50 euros. Cette initiative vise à venir en aide à un centre de secours sur l'île de Zakynthos destiné aux tortues de mer en détresse, situé en bord de mer à Laganas, à quelques pas de la principale plage de nidification et de la baie où les tortues de mer adultes se rassemblent pour s'accoupler. Zakynthos est considéré comme une pépinière de tortues marines caouannes (caretta caretta). Victime de la pollution par ingestion de sacs plastiques qu'elle confond avec des méduses, l'avenir de cette espèce en Méditerranée dépend principalement de la protection des lieux de ponte subsistant dans la zone orientale. Elle est essentiellement victime du tourisme et de la pêche industrielle. Source
  16. Les coulisses d'un zoo Un zoo... comment ça fonctionne? Comment fait-on pour prendre soin d'autant d'animaux si différents les uns des autres? Comment peut-on les nourrir adéquatement, les soigner quand ils en ont besoin et éviter qu'ils se dévorent entre eux? Avec le documentaire Les Coulisses d'un zoo, découvrez la vie secrète des animaux du Zoo sauvage de St-Félicien et rencontrez ceux qui en prennent soin Prochaines diffusions de cet épisode Mercredi 25 mai à 13h00 Mercredi 1er juin à 6h00
  17. Épisode 10 Lorsqu'un ours noir s'en prend à sa famille dans un parc du Tennessee, Susan Cenkus risque sa propre vie pour sauver ses enfants. À Miami, le 11 septembre 2001, Lawrence van Sertima est mordu par l'un des serpents les plus meurtriers au monde. Un contrepoison pouvant le sauver se trouve à six heures de vol en avion. Le hic? Tous les appareils doivent demeurer au sol à cause des actions terroristes. Prochaines diffusions de cet épisode Mardi 17 mai à 20h00 Mercredi 18 mai à 17h00 Lundi 23 mai à 18h00 Mardi 24 mai à 10h00 Canal D
  18. Attaques en forêt La forêt est un refuge pour certains et un terrain de chasse idéal pour d'autres. Les forêts cachent des créatures uniques... et dangereuses. Les feuilles servent de camouflage à des prédateurs venimeux, les grands mammifères s'imposent avec une grande violence, et les insectes manient des armes que l'on voit rarement avant d'en souffrir. Bienvenue dans l'univers des animaux les plus dangereux! Prochaines diffusions de cet épisode Lundi 23 mai à 22h00 Mardi 24 mai à 13h00 Jeudi 26 mai à 8h00 Samedi 28 mai à 17h00 Canal D
  19. Jungle urbaine Dans notre environnement de verre, de béton et d'acier, nous croyons être à l'abri des dangers de la nature. Pourtant, plusieurs animaux sauvages chassent leurs proies au coeur des villes et villages ou s'infiltrent dans les habitations que nous croyons sûres. Bienvenue dans l'univers des animaux les plus meurtriers de la jungle urbaine. Prochaines diffusions de cet épisode Jeudi 19 mai à 13h00 Samedi 21 mai à 17h00 Dimanche 22 mai à 7h00 Lundi 23 mai à 13h00 Lundi 6 juin à 22h00 Mardi 7 juin à 13h00 Jeudi 9 juin à 8h00 Samedi 11 juin à 17h00 Canal D
  20. Nom scientifique : Avicularia avicularia Nom français : Mygale matoutou guyannaire Nom anglais : Guyana pinktoe tarantula Origine : Guyane et nord de l'Amérique du SudBiotope : Humide Température : 28 à 30°C Hygrométrie : 80 % Moeurs : Arboricole et nocturne Taille adulte : 10 à 12 cm Longévité : 8 à 10ans Nourriture : Insectes Photo emprunté à Tregg Cette mygale n'est pas difficile à maintenant mais attention aux taux d'humitié lorsqu'elle est en mue, elle est alors très fragile. C'est une espèce de nature très calme. Elle est rarement agressive et se déplace généralement lentement. Comme beaucoup de mygales du nouveau monde, elle préfère montrer l'abdomen pour présenter ses poils urticans plutôt que mordre.
  21. Depuis un bout de temps, je vous montre des nouvelles bêtes à la maison mais ce sont presque toujours des bêtes en pension. Voici maintenant deux Gehyra marginata qui sont à moi par contre cette fois ci. Il faut bien que je me gâte de temps en temps. Ça aime jouer à cache-cache ces petites bêtes là.
  22. Eh oui, une nouvelle bête à la maison mais elle ne m'appartient pas non plus. Je garde en pension l'Uroplatus de Fatos durant un mois ou deux. J'en ai profité pour prendre quelques photos quant à ça.
  23. Eh oui, un nouveau petit gecko à la maison. C'est un petit gecko à crête tout jeune encore d'environ 2 mois. Il ne m'appartient pas par contre, il est à une jeune demoiselle de 5 ans qui l'a surnommé Lylie, du nom de famille Fleur. Je vous présente Lylie Fleur en photo. Lylie Fleur a un endroit pour se cacher, le bord du terrarium qui fait en sorte qu'on la cherche en ouvrant le terrarium.
  24. Vendredi après-midi, je donnais une présentation de reptiles à une école primaire dans le compté de Portneuf. Malheureusement, je n'ai pas eu l'autorisation de prendre et mettre des photos de la part de l'école donc je n'ai pas de photo pour vous. Je vous parle quand même de l'expérience là bas. Les enfants ont été très intéressé et beaucoup de questions ont été posé. Une jeune demoiselle était émerveillé malgré le fait qu'il y a un dragon barbu à la maison. Elle a pu voir autre chose que son gros lézard. J'ai eu droit à de drôle de question. Quand j'ai dis que mon varan était un carnivore, on m'a demandé s'il mangeait du bacon. J'ai eu du plaisir avec ce groupe qui a été l'un des meilleurs que j'ai eu jusqu'à présent.
  25. Jamais essayé le goberge, mais il a vraiment tout mangé ce que je lui présentais.
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