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Max|mum-leterrarium

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  1. Les voleurs dérobent des tortues Une quarantaine de tortues d’une espèce en voie de disparition ont été dérobées. Peut-être pour le bonheur de collectionneurs fortunés. La tortue d’Hermann est d’autant plus chère qu’elle est rare : environ 1.500 € SIPAElles ne vivent plus à l’état sauvage que dans un maigre triangle entre Hyères, Fréjus et Draguignan, dans le Var. Les tortues d’Hermann sont menacées, et par conséquent protégées par la convention de Washington de 1973 sur le commerce international des espèces de faune et de flore menacées d’extinction. L’un de leurs sanctuaires vient d’être violé : il y a une semaine, un ou plusieurs individus sont entrés par effraction dans l’enceinte de la Station d’observation et de protection des tortues et de leurs milieux (Soptom) de Gonfaron, dans le Var. En levant le filet de protection de l’un des enclos, ils ont dérobé trente-neuf tortues d’Hermann. Dix mâles, dix-sept femelles et douze bébés, sur les quelque 1.200 spécimens que compte le Village des tortues. Plusieurs milliers d’euros par spécimen « C’est malheureux », regrette Bernard Devaux, fondateur de la Soptom, qui voit ses efforts pour protéger « l’un des reptiles les plus rares de France » mis à mal par des gens « qui veulent gagner des sous ». Car comme toute espèce animale en voie de disparition, la tortue d’Hermann est d’autant plus chère qu’elle est rare : environ 1.500 € pour une tortue adulte, 300 € pour un bébé. D’autant plus que les tortues de la Soptom sont des animaux sauvages, « destinés à retourner dans leur milieu ». Rien à voir donc avec les tortues nées en captivité. Il y a deux ans, cette association avait déjà été la cible de vols. Quatre Radiata, originaires de Madagascar, et quatorze Sulcata d’Afrique centrale avaient été volées selon le même mode opératoire. Elles n’ont jamais été retrouvées. Peut-être se trouvent-elles dans quelque collection privée de passionnés prêts à débourser plusieurs milliers d’euros pour ces raretés. Puces électroniques Difficile pour les enquêteurs de retrouver les voleurs. Et d’abord, de déterminer si ces vols sont le fait de pieds nickelés ou de réseaux organisés agissant sur commande. Car pour certains observateurs, le vol d’animaux exotiques est affaire de connaisseurs. Ainsi, John Hayward, coordinateur du registre britannique des vols d’animaux domestiques, déclarait-il il y a quelques années : « Le commerce illégal d’animaux exotiques s’apparente à celui de l’art et des antiquités : peu d’opérateurs, mais de vrais spécialistes. » Avec, à la clé, des filières d’écoulement précises. Exemple : au cours de l’année 2004, une quarantaine de petits singes, des tamarins et des ouistitis, disparaissent en Grande-Bretagne. D’un seul coup, les vols cessent, donnant à penser aux enquêteurs que les voleurs agissaient sur commande. Une fois celle-ci honorée, plus besoin de vols. Peut-être est-ce la clé du mystérieux vol de quatre singes au parc zoologique de La Tête d’Or, à Lyon, Rhône. Début février, quatre cercopithèques étaient dérobés, victimes d’une attaque ciblée. Dans le mois qui a suivi, ils étaient retrouvés. L’un d’entre eux avait été retrouvé, abandonné dans un panier à linge devant une caserne de pompiers. Un signe que les voleurs n’avaient pas de débouchés pour « écouler » le bien mal acquis. Il avait été identifié grâce à la puce électronique qu’il portait sous la peau. Un moyen préconisé par de nombreux observateurs pour « tracer » les animaux volés. A défaut d’empêcher le forfait, ce moyen technologique a le mérite de permettre de repérer les animaux lorsqu’ils ont été revendus. Par F. D. Source
  2. Voici le trailer d'un film sur notre herpétofaune québecoise. http://www.vimeo.com/15167920
  3. Cette tortue se déplace à une vitesse folle Malgré sa grosse carapace et ses petites pattes, cette tortue se déplace à une vitesse étonnante. Elle brise ainsi l'idée reçue sur la lenteur de ses animaux. Contre toute attente, lorsqu'il s'agit de s'enfuir, cette tortue se déplace à une vitesse incroyable. Sans doute effrayée par le caméraman, elle va se mettre à courir à une vitesse qu'on ne lui connaissait pas. En quelques secondes, l'animal arrive à regagner la marre d'eau pour se protéger des promeneurs. Elle est bien loin du mythe de la lenteur auquel on assigne habituellement ses congénères. Les passants n'en croient pas leurs yeux non plus. Ils n'étaient pas habitués à une telle rapidité de la part de l'animal. Ces images nous permettent donc de découvrir une nouvelle facette des tortues jusque-là restée dans l'ombre. Son déplacement est sans doute facilité par la douceur de l'herbe mais cela n'enlève rien à son étonnante performance. Durant toutes ces années on la croyait d'une lenteur déroutante, on découvre aujourd'hui qu'elle avait bien caché son jeu. Avec une telle vitesse, il ne sera plus étonnant de la voir gagner contre un lièvre. Découvrez cette tortue courir à toute allure en vidéo. Voici la tortue la plus rapide ! par Zoomin_France Source
  4. Une punaise d’eau géante mange une tortue Appartenant à une espèce déjà connue pour se nourrir de petits vertébrés, une punaise géante de près de 6 centimètres a dévoré… une jeune tortue aquatique, selon l’observation faite par un scientifique japonais, et relatée dans la revue Entomological Science. Avec ses 58 millimètres de longueur, ses puissantes pattes antérieures et son rostre venimeux en forme de trompe, ce spécimen de Kirkaldyia deyrolli - une variété de punaise appartenant à une famille dont les formes géantes atteignent 15 centimètres ! – n’a pas hésité à assaillir et dévorer une tortue juvénile. La scène, observée de nuit dans une rizière à l'ouest de Hyogo (centre du Japon) par le Dr Shin-ya Ohba, n’étonne pas outre-mesure ce scientifique, qui avait déjà filmé cette espèce d’insecte s’attaquant à des serpents pour améliorer son ordinaire, composé de poissons et de grenouilles. Le naturaliste suggère que ces confrontations insectes - reptiles pourraient remettre en question les connaissances antérieures sur la dynamique prédateur-proie dans les habitats d'eau douce. En déclin depuis une quarantaine d’années à cause de la perte d'habitat et de la pollution de l'eau, cet insecte est classé comme espèce menacée par l'Agence japonaise de l'Environnement. Source
  5. Les pompiers retrouvent le python qui s’est échappé ! Verchaix, dans la Haute-Savoie. Hier vers 9 heures, les pompiers sont appelés. Un python vient de s'échapper de son vivarium dans un appartement ! Les sortes de pythons sont nombreuses. Ce serpent commence à connaître un certain succès, comme animal domestique. Selon le Dauphiné, les plus prisés sont les pythons royaux d'Afrique. En général, ils mesurent 1,50 et 80 cm, pour les males, mais certaines espèces peuvent atteindre 6 mètres ! La fuite de ce serpent a semé la panique, car il y a une école en bas de l'appartement... Souvent, ils ne s'attaquent qu'à de petits animaux. Celui qui est recherché est de petite taille : 60 cm, mais cela n'a pas facilité sa recherche ! Heureusement, on l'a retrouvé, après quelques heures de recherche... Il s'était caché dans un classeur, à l'intérieur d'un carton, et surtout, il n'avait pas quitté le logement ! Il a donc été replacé dans le vivarium en compagnie de trois autres collègues ! Source
  6. Je suis confiant aussi. Il n'est pas trop pire. Il faut juste que ses brûlures guérissent et l'engraisser un peu. Le plus gros de la job a été fait je crois.
  7. Bonjour tout le monde, Comme tout le monde le sait, je ramasse souvent des animaux malempoint pour les remettre sur pied. Cette fois-ci c'est quelqu'un qui a ramassé un animal de ce genre qui me l'a donné ensuite en échange d'un service rendu. Le serpent n'est pas pour moi, même s'il vit chez moi mais bon. Il a eu des brulures qui donne l'illusion de brûlures de cigarettes mais on ne sait même pas ce qui lui est arrivé en réalité. Voici quelques photos
  8. Pour cette semaine, je me suis dis, pourquoi pas vous prendre une espèce de notre herpétofaure avec la saison de herping qui commence. (Ok, ici à Québec, elle commence) Nom scientifique : Chrysemys picta marginata Nom français : Tortue peinte du centre Nom anglais : Midland painted turtle Origine : Ontario, Québec et États-Unis. Biotope : Aquatique Habitat : Étangs, marais, lacs, baies herbeuses des rivières. Elle préfère les eaux calmes et peu profondes riche en végétation et au fond vaseux. On la voit souvent sur des billots de bois à demi submergés sur lesquelles ellle se fait chauffer au soleil. Moeurs : Aquatique et diurne Taille adulte : 10 à 19 cm de carapace Longévité : 20 à 35 ans, certains spécialistes croient même à plus longtemps Nourriture : Omnivore ; insectes aquatiques, mollusques, têtards, petits poissons, grenouilles et plantes aquatiques. Photo emprumtée sur http://calphotos.berkeley.edu/ Avec la saison de herping qui commencent, aussi bien parler d'herpétofaune dans cette section ci. La tortue peinte du centre est probablement la tortue que l'on observe le plus au Québec. Attention à ne pas faire trop de bruit par contre, elles ont de bonnes oreilles. Elles sont souvent lové sur un petit ilôt ou un tronc d'arbre flottant se faisant dorer au soleil en petits groupes. Le plus grand groupe rassemblé au même endroit comptait une cinquantaine de tortue. Lorsqu'on m'avait mentionné ça, je ne le croyais pas donc j'ai dut aller vérifier de mes propres yeux. Cette tortue est souvent confondu avec la tortue à oreilles rouges. C'est le pourquoi on entend souvent des gens dire dans les animaleries, j'ai vu la même tortue au lac à mon chalet.
  9. Une couleuvre au pied de l'escalier Katharina S. s'est offert une belle frayeur, vendredi dernier. Alors qu'elle s'apprêtait à tondre le jardin de sa maison de vacances, elle s'est retrouvée alertée par les hurlements inquiets de ses chiens. En cause, la présence, devant l'évier de sa cuisine, d'un serpent (une couleuvre à collier) d'un mètre à un mètre vingt de longueur, pour deux centimètres de diamètre. Planquer les chiens d'abords «Ma crainte immédiate fut qu'un de mes deux chiens aient été mordu», explique Katharina. Elle précise s'être demandé si l'animal ne s'était pas échappé d'un terrarium d'un appartement voisin: «Je ne savais pas de quelle espèce il s'agissait, surtout je ne savais pas si le serpent était venimeux ou non.» Le premier réflexe de cette-dernière a donc été de «planquer» ses teckels dans sa voiture. Démarche suivante, appeler la police pour déloger la bestiole: «Hélas, Les deux agents avaient encore plus peur que moi, ils n'osaient pas s'approcher.» Et de préciser qu'entre-temps, la bêbête s'était cachée au pied des escaliers. C'est finalement une spécialiste venue d'un village voisin qui prendra l'animal avec une pince et le remettra en liberté dans la nature.«Après coup, on se dit qu'on a beaucoup stressé pour une couleuvre, mais sur le moment, on peut être terrifié quand on n'y connaît rien!» Une mésaventure peu courante La mésaventure de Katharina est-elle exceptionnelle? En tout cas peu courante: «On retrouve régulièrement des couleuvres dans des caves ou dans des jardins dans les régions où il y a des cours d'eau, mais pour arriver au centre de l'appartement, celle-là a dû se perdre ou a fui un autre animal», explique Michel Ansermet, directeur du Vivarium de Lausanne. «Il faut commencer par prendre une photo» Il recommande, pour qui se trouve face à un tel serpent chez lui, de commencer par... «prendre une photo», histoire de se calmer avant de réagir. Il précise qu'une multiplication de tête à tête insolite vécu par la résidante d'Avenches est à attendre, avec la construction croissante de maisons dans des secteurs prisés par les couleuvres. Source
  10. Perpignan Un faux serpent corail dans le jardin J'ai eu la peur de ma vie, quand j'ai vu cette chose rouge avec des traits noirs, dans mon jardin…"Rétrospectivement, Anne-Marie en frissonne encore. En tombant sur ce serpent immobile lundi matin dans son jardin, cette habitante du Clos-Banet a été confrontée à sa pire phobie. "Heureusement, j'ai très vite compris qu'il était mort. Mais même comme ça, j'étais incapable de le toucher". Anne-Marie a donc fait appel à son voisin, qui a placé le reptile dans un sac et l'a jeté dans une poubelle. "Puis on s'est mis tous les deux à se poser des questions. D'où pouvait vient venir ce serpent visiblement tropical ? Était-il venimeux ? S'était-il échappé d'un terrarium ? Y en avait-il d'autres ?" Anne-Marie a donc contacté les services de la mairie. Qui l'ont dirigée vers la police municipale. Qui lui a conseillé de contacter les services vétérinaires à la direction de la protection des populations… "À chaque fois, ils m'ont tous répondu : 'Vous ne risquez rien, puisqu'il est mort'. C'est bien gentil mais cela ne nous dit pas ce qu'il faut faire si on en retrouve un vivant !" Un "faux corail" de la famille des couleuvres Aussi, Anne-Marie a changé de stratégie. Faisant à nouveau appel à son voisin, elle a récupéré le sac contenant le serpent et l'a fait déposer chez un vétérinaire, afin d'en savoir plus. Contacté hier, le vétérinaire a pu établir qu'il s'agissait d'un lampropeltis triangulum de 65 centimètres de long. Autrement dit, un "faux corail" cousin éloigné de la couleuvre, que l'on ne trouve qu'aux Etats-Unis, au Mexique ou en Amérique du Sud. Pas dangereux pour l'homme, mais terriblement impressionnant par ses couleurs qui imitent celles du vrai serpent corail, parmi les plus venimeux au monde… Source
  11. Plus d’un million de décès par an dû aux serpents en Afrique En se fondant sur une centaine d’articles scientifiques, d’actes de conférence et de rapports cliniques publiés de 1970 à 2010, un chercheur de l’IRD (1) a évalué que plus de 300 000 personnes en Afrique sub-saharienne sont soignées chaque année suite à morsure de serpent. Toutefois, si l’on tient compte de la difficulté d’accès aux centres de santé et du recours fréquent à la médecine traditionnelle, ce chiffre ne traduit qu’entre un tiers et un cinquième de la réalité selon les spécialistes. D’après les conclusions de l’IRD, les serpents font, en réalité, jusqu’à un million et demi de victimes par an. Probablement sous-estimés eux aussi, les décès des suites d’une morsure atteignent 7 000 cas et les amputations des membres de 6 000 à plus de 14 000 cas par an. Si une seule morsure de serpent sur deux est venimeuse, les complications cliniques peuvent être très graves, voire fatales. Parmi les espèces africaines les plus dangereuses, on oppose les cobras et les mambas, dont le venin est neurotoxique, aux vipères dotées d’un venin hémorragique et nécrosant. Ainsi, une morsure de cobra ou de mamba peut entraîner une paralysie respiratoire et conduire à la mort par asphyxie dans les 6h suivant l’accident. La morsure d’une vipère cause des œdèmes, des nécroses des membres et une hémorragie. Celle de l’échide ocellée, une vipère très répandue dans les savanes africaines, peut ainsi provoquer des hémorragies, entraînant le décès en quelques jours. On estime que 95 % des morsures se produisent en milieu rural, plus particulièrement dans les plantations. Alors que l’agriculture constitue la principale activité économique africaine, les travailleurs agricoles représentent ainsi la frange de la population la plus exposée à ce danger. Toutefois, bien que l'incidence des morsures y est environ dix à vingt fois plus faible qu'en milieu rural, les villes ne sont pas immunisées pour autant. Dans certaines régions, les envenimations représentent plus de 10 % des hospitalisations lors de la saison des pluies. Malgré son ampleur, cet important problème de santé publique reste sous-estimé par les autorités sanitaires. L’injection d’antivenin par voie veineuse, le plus tôt possible après la morsure, demeure le seul traitement efficace. Or, à l’heure actuelle, seules 10 % des victimes sont soignées en raison d’un manque d’antivenins. Le coût élevé de ces remèdes ainsi que leur courte durée de vie, estimée de 3 à 5 ans, ont découragé les approvisionnements. Un autre problème de taille tient au manque de formation du personnel médical quant à l’emploi des antivenins, d’où des résultats peu probants qui dissuadent de réinvestir dans ces traitements. En conséquence de quoi, les fabricants rechignent à produire des antivenins qu’ils ne sont pas certains de réussir à vendre. Ce phénomène s’est traduit par une réduction à terme de leur accessibilité. Depuis les années 1980, le nombre de doses vendues a été divisé par dix en Afrique, passant d’environ 200 000 par an à moins de 20 000 au début des années 2000. En fournissant des données précises, reflétant l’ampleur réelle de ce problème, le chercheur de l’IRD à l’origine de ces conclusions espère interpeller les autorités sanitaires et les inciter à prendre des mesures efficaces. Selon lui, 500 000 doses d’antivenin seraient nécessaires chaque année. Source
  12. Une tortue voit une de ses pattes remplacée par une roue ! Une tortue britannique de 45 ans a eu un accident et a perdu une patte. Il fallait alors trouver un moyen pour lui permettre d’avancer sans être gênée, et la solution trouvée a été une petite roue en plastique... Tuly, une tortue de 45 ans, a connu une histoire douloureuse que rapporte le Daily Mail. En hiver, pendant qu’elle hibernait, un rat l’a attaquée et a rongé l’une de ses pattes avant, qui sortait de la carapace. La pauvre tortue se serait débattue dans son sommeil, ce qui a sans doute permis qu’elle soit encore en vie aujourd’hui. Lorsque les propriétaires de Tuly l’ont retrouvée, elle était gravement blessée. Heureusement, les vétérinaires qui l’ont prise en charge ont su s’en occuper correctement et la sauver. Par contre, la patte n’a pas pu être soignée et la tortue ne pouvait plus marcher. Il fallait trouver une solution pour lui permettre de ne pas être trop gênée dans ses déplacements. Une roue à la place de la patte C’est là que les vétérinaires ont eu l’idée de lui apposer une roue en plastique pour qu’elle puisse s’appuyer dessus et avancer grâce au roulement. Ainsi, Tuly, du haut de ses 45 ans, peut désormais avancer facilement, allant même jusqu’à dépasser ses congénères ! La roue tient grâce à des bandes de velcro attachées autour de la carapace, ce qui donne à la bête une allure de vétéran de guerre. Les vétérinaires estiment que Tuly a eu de la chance de s’en sortir. Outre le rat, elle aurait pu succomber au gel hivernal, ce qui arrive fréquemment chez les tortues. Désormais, les propriétaires de la rescapée feront plus attention à elle pendant son hibernation. Source
  13. Des têtards transgéniques contre la pollution de l'eau ! «C'est une première mondiale ». Marc-Jubault Brégler, élu en charge de l'environnement à l'Agglo, ne masque pas son enthousiasme quand il évoque le sujet des têtards transgéniques. En effet, depuis un an, des échantillons d'eau de la station d'épuration de la collectivité sont testés en laboratoire par des petites larves d'amphibiens qui « s'allument » (par émission de fluorescence), lorsqu'un organe est touché par la pollution. Ce qui permet de mesurer l'effet de substances polluantes présentes dans l'eau. « Jusqu'à présent tout va bien », précise l'élu sur le résultat de ces tests. Ce projet de recherche et de développement est mené par l'Agglo en partenariat avec Véolia (qui exploite la station) et la société Watchfrog, une jeune entreprise de biotechnologies qui, sous la houlette de son pdg Gégory Lemkine, est spécialisée dans le développement de solutions innovantes pour évaluer le risque environnemental. Et la détection « in vivo » de l'activité d'une grande variété de substances chimiques, pharmaceutiques ou cosmétiques. La société est issue du Muséum national d'histoire naturelle et du Centre national de la recherche scientifique. Des enjeux colossaux « Cet amphibien est un organisme vigie très représentatif de l'environnement, explique Grégory Lemkine. Compte tenu de ce qu'on découvre actuellement sur les produits pharmaceutiques et chimiques, nos tests qui permettent de faire le lien entre une exposition et un effet sur la santé environnementale, sont amenés à être de plus en plus employés ». « Les enjeux sont colossaux », confirme Marc Jubault-Bregler. En effet le système permet de tester l'eau des rivières, mais aussi celles provenant des sites industriels, des centrales nucléaires ou des stations d'épuration. Ceci dans un contexte où le règlement européen Reach sur les produits chimiques et la directive sur l'eau visent à un bon état écologique des masses d'eau en 2015. La détection des effets toxiques tend donc à devenir une industrie. Le but de « Watchfrog » étant de développer une petite valise qui serait en fait un laboratoire mobile permettant de travailler directement sur site. Pour l'heure, les échantillons sont envoyés au labo. En attendant, la collectivité paloise se place à la pointe de cette technologie d'avenir. Avec Veolia, EDF, ou encore l'Agence américaine de la protection de l'environnement. « Tout a commencé il y a deux ans, raconte l'élu palois. J'ai rencontré Grégory Lemkine à Pollutec, le salon des techniques de dépollution. Je suis moi-même biologiste moléculaire et j'ai trouvé l'idée super chouette ». L'innovation et l'expérience paloise seront présentées en ouverture des prochaines assises nationales de la biodiversité qui doivent se tenir à Pau les 14 et 15 juin. En présence, en principe, de la ministre de l'Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet. ===> Le principe La société « Watchfrog » propose selon son PDG Grégory Lemkine « un modèle d'évaluation globale de la qualité de l'eau ». Un gène de fluorescence est inoculé à des larves de grenouilles « sentinelles » originaires d'Afrique, des xénopes. Ce gène ne s'active que lorsqu'il est affecté par un polluant. L'entreprise Watchfrog a créé au génopole d'Evry différents modèles de xénopes qui permettent de mesurer l'impact sur l'organisme des métaux lourds ou des molécules chimiques perturbant le système hormonal. Le gène est branché sur une séquence d'ADN construite pour la fluorescence. Un modèle est doté d'une fluorescence rouge qui détecte les impacts sur le nerf optique, le bulbe olfactif, la moëlle épinière et le système nerveux. Un autre est pourvu d'une fluorescence verte qui cible les effets sur le système musculaire. Plus il y a de polluants, et plus le têtard s'allume. Une technologie similaire a été développée pour les poissons avec de petits alevins au stade larvaire. Source
  14. Max|mum-leterrarium

    BCI

    Voici le petit garçon
  15. Max|mum-leterrarium

    BCI

    Voici des nouvelles photos de la femelle. La voici faisant sa timide
  16. Un serpent voyage clandestinement ans une roue de voiture ! Cela se passe à Wil, une commune du canton de Saint-Gall, en Suisse. Lundi après-midi, un habitant appelle la police pour qu'elle vienne voir quelque chose de bizarre qui s'est installé dans la roue de sa voiture, selon Le Matin. L'intrus est un serpent d'un mètre cinquante qui s'est installé tranquillement dans une roue de la voiture ! On a fait venir un spécialiste d'un zoo de la région qui a emporté l'animal et précisé qu'il s'agissait sans doute « une couleuvre d'Esculape ». La police du canton a aussi déclaré qu'il s'agissait sans doute d'un animal habitué à vivre en liberté... Mais deux questions restent en suspens... Elle n'a pas pu élucider : « comment ce passager clandestin est venu se loger dans cet endroit et quelle distance il a parcouru ? ». En fait, cette couleuvre « n'est pas venimeuse. Elle est peu farouche et c'est une excellente grimpeuse qui peut facilement atteindre des balcons... », précise le Matin. Source
  17. Faire face aux piqûres d'insectes ou de serpents Une bonne information réduit le risque d'allergies aux différents venins. Avec l'arrivée de l'été et de la chaleur, surgissent les premiers frelons, guêpes, abeilles ou diverses vipères avec le risque de piqûre, de morsure et d'allergie grave. Que faire? «Se calmer pour commencer , explique le Dr Catherine Quequet (allergologue), car pour faire une réaction allergique à ces venins, il faut déjà avoir été sensibilisé et donc piqué ou mordu au moins une fois auparavant.» De plus, quand on fait des tests pour le venin d'hyménoptères dans la population générale, on s'aperçoit qu'environ 20% des Français sont sensibilisés, alors que très peu risquent de présenter une réaction allergique grave. On déplore pourtant une vingtaine de décès annuels par réaction allergique grave au venin d'hyménoptère. «Beaucoup de personnes se croient allergiques et donc en danger, parce qu'elles réagissent par un œdème local, parfois important, à une piqûre de moustique ou de taon ou parce que l'endroit piqué ou mordu gonfle de plusieurs centimètres. Mais tant que cela reste localisé, il n'y a vraiment pas de quoi s'inquiéter», rassure le Dr François Lavaud (pneumo-allergologue au CHU de Reims). La réaction est déjà plus préoccupante quand elle s'étend sur plus de dix centimètres et touche l'articulation la plus proche (on parle alors de réaction locale étendue). Ou, bien sûr, lorsqu'il s'agit d'une réaction généralisée -urticaire géante, œdème à distance de la piqûre, bronchospasme, voire choc anaphylactique avec malaise, accélération de la fréquence cardiaque, chute de la tension artérielle et perte de connaissance, qui justifie l'appel du Samu au 15. «En cas de réaction locale extensive, on prescrit une crème dermocorticoïde à appliquer immédiatement sur la piqûre, ainsi qu'un antihistaminique oral à prendre pendant quelques jours», précise le Dr Lavaud. «Mais après une réaction généralisée, un bilan allergologique est indispensable», insiste le Dr Ponvert. Des tests cutanés avec des extraits de venin et, si besoin, un dosage sanguin des anticorps (IgE) spécifiques permettent de confirmer le diagnostic. «Outre les conseils habituels pour prévenir les piqûres, en cas de réaction généralisée, on prescrit de l'adrénaline injectable (Anapen) à porter sur soi 24 heures sur 24». Il faut l'utiliser dès l'apparition des signes respiratoires et/ou du malaise, en piquant dans la face externe de la cuisse, en maintenant le stylo en place pendant une dizaine de secondes, puis en massant légèrement pendant une dizaine de secondes après retrait. Recourir à la désensibilisation «Un nouveau stylo, avec un dosage plus fort que ceux actuellement sur le marché (0,50 mg au lieu de 0,15 mg pour les nourrissons et 0,30 mg pour les enfants et les adultes) est attendu. De quoi rendre encore plus efficace ce traitement d'urgence», souligne le Dr Claude Ponvert (département de pédiatrie & allergologie de l'hôpital Necker-Enfants malades, Paris). «Attention, même si l'on va mieux après, il faut prévenir les secours d'urgence, car ce type d'accident grave nécessite une hospitalisation d'au moins douze à vingt-quatre heures. Et dans un second temps, une désensibilisation dans un service spécialisé doit être envisagée», remarque le Dr Quequet. «Sur le moment, l'adrénaline sauve des vies. Mais ensuite, c'est la désensibilisation qui évite de courir, à nouveau, pareil risque. Elle dure trois à cinq ans et les injections initiales doivent être réalisées à l'hôpital. C'est un peu contraignant, mais les résultats sont bons: jusqu'à 98% d'efficacité pour les allergies aux guêpes et aux frelons et de l'ordre de 90% pour les allergies aux abeilles», conclut le Dr Lavaud. Au Sri Lanka, où les morsures de serpents restent fréquentes et les sérums antivenin de qualité moyenne, une nouvelle étude portant sur plus de 1000 patients, conclut sur l'intérêt de donner de l'adrénaline en prévention, par voie sous-cutanée et à dose faible, juste après une morsure de serpent, afin de réduire les risques de réaction allergique grave au sérum antivenimeux. Une telle mesure est-elle envisageable en France, où l'adrénaline est seulement employée à titre curatif? «Surtout pas!», répondent d'une seule voix les Drs Ponvert, Lavaud et Quequet. Deux raisons à cela: «Déjà, contrairement à des pays comme le Sri Lanka, les réactions allergiques aux morsures de vipères sont exceptionnelles chez nous. Le dernier cas européen a été rapporté dans la littérature en Pologne en 2007», souligne le Dr Ponvert. Ensuite, en ce qui concerne les réactions allergiques aux piqûres d'hyménoptères, les bénéfices escomptés de l'adrénaline administrée en prévention -éviter une vingtaine de décès annuels- sont inférieurs aux risques encourus: en effet, l'adrénaline peut aggraver une pathologie cardio-vasculaire sous-jacente et, parmi les nombreuses personnes piquées par des hyménoptères chaque année, beaucoup sont concernées. Source
  18. L’océan n’est pas désert ! amedi matin, le maitre nageur de Boucan Canot découvre dans le lagon une jeune tortue verte immobile. Lorsqu’il s’approche de l’animal, celui-ci est inanimé. Prévenu par téléphone les soigneurs de Kélonia sont venus sur place et constate le décès de la tortue qui ne présente pourtant aucune blessure externe. Une autopsie est aussitôt réalisée sur Kélonia pour connaitre les causes de la mort de la tortue, et une recherche lancée dans la base de données de photo-identification pour savoir si la tortue a déjà été observée. Il s’agit de Kaena, une jeune tortue verte tortue déja photographiée au Cap la Houssaye en janv 2010 par un apnéiste qui la parrainée. L’autopsie met en évidence un important hématome sur le flanc gauche de la tortue, certainement provoqué par une collision à grande vitesse avec un engin flottant (bateau ou jet ski) et à l’origine du décès de la tortue. L’estomac de la tortue est pleine d’algues rouges, ce qui confirme la mort violente de la tortue. Cet évènement rappelle que les chocs avec les bateaux ou les blessures par les hélices sont la seconde cause de mortalité des tortues marines à La Réunion. C’est pourtant une cause qui peut être évitée facilement en prenant conscience que l’océan n’est pas désert. Réduire sa vitesse prés des côtes et en permanence surveiller sa trajectoire permet d’éviter les collisions avec les tortues. Les tortues comme les mammifères marins, doivent régulièrement remonter en surface pour respirer. Il leur arrive également de dormir en surface pour se chauffer au soleil. Elles sont alors vulnérables et peuvent être percutées par les engins rapides. Les tortues marines sont des espèces protégées, classées sur la liste rouge locale de l’IUCN, car les populations - si elles montrent des signes d’accroissement depuis quelques années - restent néanmoins très faibles et très en de ça de ce qu’elles étaient avant l’arrivée de l’homme. Alors que les activités nautiques se développent à la Réunion, chacun doit prendre conscience que la préservation des tortues marines est l’affaire de tous. Source
  19. Adoptez une tortue pour la Journée de la tortue Natasha et Briony sont les deux tortues de l'aquarium Sea Life de Val d'Europe (77). A l'occasion de la Journée de la tortue, lundi 23 mai, chacun peut adopter une des deux tortues en versant la somme de 50€ sur place. Le montant collecté permettra de financer la construction d'une centre de secours pour les tortues de mer en Grèce. Alors à chacun sa tortue! Source
  20. Prin-Deyrançon. On lui vole huit tortues d’Hermann dans sa cour ! Prin-Deyrançon, dans les Deux-Sèvres. Une habitante a constaté qu’on lui avait volé ses huit tortues dans la cour de sa maison, située dans le bourg, la nuit du 19 au 20 mai, précise La Nouvelle République. On apprend donc que ce genre de tortue « est la seule tortue terrestre de France » ! Renseignement pris sur le net, elle serait même en voie d’extinction… On la trouve généralement dans le Var et en Corse. Elle peut vivre de 60 à 80 ans ! Mais, ce qui explique la disparition des huit tortues c’est sans doute l’intérêt des voleurs pour leur valeur marchande, car elles sont vendues 150€ dans les animaleries. Une plainte a été déposée par la propriétaire à la gendarmerie, qui a ouvert une enquête. Source
  21. Journée mondiale de la Tortue : ce siècle sera-t-il le dernier pour les tortues ? À l'instar de nombreux animaux en contact avec l'homme, la tortue est présente dans toutes les cultures, pour s’en convaincre il suffit de regarder les dessins animés : Tortues Ninja et Franklin, les contes comme l'atteste la célèbre fable Le Lièvre et la Tortue, … En Inde, la tortue joue un rôle important dans les mythes ou dans la religion. La tortue Kûrma est le second avatar, incarnation, de Vishnu, descendu sur terre pour montrer la voie aux hommes, pour sauver l'humanité. En Chine, la tortue est la symbolique du monde. Toutefois, en association avec le PARC, des scientifiques du comité directeur de l’Amphibian and Reptile Conservation ont décidé que l'année 2011 sera l'année de la Tortue. Les tortues sont effectivement en train de disparaitre peu à peu de la planète. Un constat alarmant Il existe une grande variété d'espèces de tortues possédant des caractéristiques diverses. En fait, à ce jour, ce sont 310 espèces de tortues réparties traditionnellement en trois groupes : les tortues terrestres, les tortues aquatiques et les tortues marines. Si elles occupent une bonne partie du globe et peuvent vivre dans des habitats très divers, selon le rapport, rédigé par Deanna H. Olson du service des forêts des Etats-Unis et A. Ross Kiester de l'association Turtle Conservancy, 50% d’entre elles sont menacées de disparition. Les causes sont diverses mais les deux principales sont liées à l’homme : la destruction de leurs habitats et une prédation trop importante. Prédation ? En effet, la chair de tortue est considérée comme un met délicat dans de nombreuses cultures. La soupe de tortue a longtemps été un plat noble dans la gastronomie anglo-américaine La tortue est également un aliment traditionnel de l'île de Grand Cayman où des élevages de tortues marines pour la consommation se sont développés. La tortue est également utilisée en médecine traditionnelle. Au Cambodge, pour les soins post-nataux. La carapace de la tortue d'Hermann est utilisée dans la médecine traditionnelle en Serbie. La carapace et les écailles de tortue peuvent également servir de matériaux pour l'artisanat ou l'art, notamment pour la fabrication de bijoux. Hors selon la CITES(1), les bijoux, épingles de cravate, lunettes de soleil, etc. fabriqués à partir de tortues de mer ainsi que les tortues naturalisées, souvent proposées sur les plages des Caraïbes et autres régions tropicales, ne sont pas autorisés. Mais les changements climatiques ont également des effets terribles sur le développement de certaines populations. En effet, c'est la température du nid qui détermine le sexe des tortues. Ce qui signifie qu'un changement climatique permanent, chaud ou froid, pourrait entrainer une disparition des mâles ou des femelles des zones de nidification ! Tortues et protections Les espèces dont le commerce est interdit sont spécifiées dans la convention CITES ou « convention de Washington ». Enfreindre cette réglementation ou tuer des tortues appartenant à des espèces protégées expose le responsable à de lourdes sanctions financières ou sous forme de peine de prison. De nombreuses espèces de tortues y sont citées, ce qui implique que la possession, l'achat ou la vente des tortues sont interdits. Les personnes souhaitant être en contact avec les tortues peuvent contribuer à leur protection en travaillant avec les centres de protection. Divers programmes de protection, gestion, élevage conservatoire, surveillance et protection de quelques plages et sites de pontes ou réintroduction existent, s'appuyant sur la constitution de réserves naturelles, la restauration et protection de réseaux écologiques (réseau écologique paneuropéen en Europe et trame verte et trame bleue en France) avec des corridors écologiques et tortuducs, ainsi parfois que des zones-tampon autour des zones protégées ou de nidification. Le Village des Tortues, notamment, dans le Var (France), est un parc animalier de 2 hectares qui fait appel à des volontaires pour prendre soin de ses chéloniens et animer les visites guidées. Ce parc permet de sensibiliser et de découvrir des écloseries et des nurseries, de nombreuses espèces de tortues exotiques, … Les objectifs de ce centre sont les suivants : accueillir, soigner et élever les tortues redonnées par les particuliers / recevoir et informer le public / mener des élevages conservatoires / financer les études et la conservation des tortues. Le saviez-vous ? •L'espérance de vie des tortues varient suivant les espèces. En moyenne, les tortues terrestres vivent une cinquantaine d'années. La majorité des tortues dépassant l'âge de cent ans sont des tortues géantes des Seychelles ou des Galapagos. •Les tortues sont des animaux à sang froid qui s'exposent au soleil pour augmenter leur température. •Pendant l'hiver, certaines tortues terrestres hibernent pour survivre au froid. Pour cela, elles s'enterrent sous terre et se retirent dans leur carapace. Leur métabolisme est ralenti durant cette phase d'adaptation afin de consommer moins d'énergie. L'entrée en hibernation est progressive, la tortue s'alimentant de moins en moins, jusqu'à arrêter complètement pour vider complètement son tube digestif. •Les tortues ont une mâchoire sans dents mais qui est couverte d'une surface cornée tranchante. Les tortues sont donc munies d'un bec ! •Chez les tortues terrestres, la carapace est particulièrement massive et peut représenter deux tiers du poids total de l'animal. •Chez les tortues de petite taille, les femelles sont généralement plus grandes que les mâles. Chez les tortues de grande taille, au contraire, les mâles sont généralement plus grands. •Enfin, les tortues possèdent une queue, certes généralement réduite ! Si cette queue n'a pas de véritable utilité pour l'animal, sa taille permet souvent chez l'adulte d'identifier le sexe des individus. Malgré ce constat malheureux, j’espère qu’il n'est pas utopique de penser que les populations, les associations de défense des animaux, les scientifiques, les citoyens lambda et les sociétés qui « utilisent » des tortues à des fins alimentaires puissent trouver conjointement des solutions à long terme pour éliminer le risque de disparation des tortues. La préservation des tortues passe par la non destruction ou pollution de leur habitat naturel, ainsi que l'arrêt ou la limitation de la capture des œufs de tortues au moment des pontes. Les tortues sont apparues il y a 220 millions d'années et jouent un rôle prépondérant dans l'équilibre des écosystèmes. Ce serait dommage que nos petits enfants ne puissent les admirer. Notes 1.LA CITES, Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction, est un accord international signé en 1973 pour protéger de la surexploitation des animaux et des plantes sauvages.) Auteur Gaelle Naze Source
  22. Étant donné que c'est une espèce envahissante, je crois que c'est une bonne chose qu'elle soit chassée.
  23. Alpes : la chasse à la tortue de Floride est ouverte Interdites en France car carnivores, ces prédatrices sont dangereuses pour l'environnement On leur donnerait le Bon Dieu sans confession… Et pourtant, loin d'engendrer la sympathie de Kermitt, la grenouille animatrice du Muppet show, les tortues vertes de Floride sont de redoutables petites bêtes ! Au point qu'en 1982, leur vente était toujours autorisée en France mais très limitée; avant de passer en 1986 à un maximum de 25 par magasin, pour être finalement "interdites de commercialisation" en France en 1990. La raison ? Ces tortues particulièrement invasives qu'on achetait pour les gamins, sont carnivores et détruisent un écosystème en deux coups de cuiller à pot! Et arrivées à la taille adulte, un bébé peut carrément se faire manger un doigt…... Elles adorent ça ! Des têtes sortant de l'eau Néanmoins, malgré 21 années d'interdiction, ceux qui pêchent depuis longtemps à la Forestière, ont l'habitude de voir des petites têtes étranges sortant de l'eau comme un mini-monstre du Loch Ness, avec dans le dos une carapace verte d'un joli calibre… "Ce sont des tortues de Floride qui ont été déposées ici, il y a très longtemps par des gens qui ont voulu s'en débarrasser, explique Pascal Véziano l'écogarde de la Ville. Et certaines sont allées envahir le lac des Vannades où les gens se baignent. Mais comme elles sont carnivores, nous les avons rapidement éradiquées." Pour y parvenir, l'écogarde a installé des pièges sous forme de lignes de fond avec un appât. Les tortues se noient et il suffit de les récupérer ensuite. "Personne ne pensait que les tortues qui étaient dans le lac de la Forestière arriveraient à se reproduire, dit-il. Mais là, je suis tombée sur une petite qui prenait le soleil pour durcir sa carapace, car elles craignent les hérons et les brochets. C'est la deuxième fois que j'en vois, mais des pêcheurs en ont déjà pris. Nous allons en conserver quelques-unes pour le CPIE qui fait de la pédagogie auprès des jeunes, et expliquer que cette tortue mange les poissons, les oeufs de canard et qu'elle peut aussi attaquer la "cistude", la tortue de Provence herbivore (espèce rare et protégée) qui vit aussi dans le secteur." Conclusion : pas d'espoir pour les "Vertes". La casserole est bien programmée ! Source
  24. Curieuse découverte On le sait les NAC, les nouveaux animaux de compagnie, sont à la mode. Reptiles et autres arachnides intéressent de plus en plus de passionnés qui les élèvent en vivariums... Quand ils n'en sortent pas de manière impromptue. Hier, en début d'après-midi, les gendarmes avesnois ont été appelés pour une bien étrange découverte à Saint-Rémy-Chaussée. Un habitant a, en effet, eu la (sans doute peu agréable) surprise de trouver un... serpent devant sa porte. Il semblerait qu'un automobiliste l'ait jeté par la fenêtre en passant. Un peu encombrant le reptile peut-être. Toujours est-il que les pompiers sont intervenus pour prendre en charge l'animal, peu courant dans le bocage avesnois en temps normal.tJé. L. • AUJOURD'HUI. ConcertC'est lundi et le retour au boulot. Un peu de musique pour se détendre tout de même ? Ce soir, aura lieu le concert de François Erbelé, à 20 h 30, à la salle de l'Eden, à Hirson. • PENSEZ-Y ! Société archéologique et historique à Avesnes-sur-HelpeCe samedi, communication de Michèle Lannoy sur « Les rapports franco-russes de 1805 à 1818 », à 16 h 30, à l'institut Villien (rue Villien). Source
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