Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Exposition venin présentée à Montréal veuillez noter que les deux expositions seront entièrement bilingues. Mars 2 2011 de 10 h à 20 h Mars 3 2011 de 10 h à 20 h Mars 4 2011 de 10 h à 20 h Mars 5 2011 de 9 à 18 h au Palais Des Congrès Little Ray’s Reptile Zoo présentera son exposition zoologique de renommée internationale à Montréal au cours de la semaine de relâche. Cette exposition bilingue, éducative, unique et participative met en vedette des animaux vivants et certains des serpents venimeux les plus redoutés au monde, notamment des vipères du Gabon, des mambas verts, des crotales et un des deux seuls COBRAS ROYAUX au Canada. En plus des serpents venimeux, les spectateurs auront l’occasion de voir des tarentules, des scorpions, d’énormes pythons, des gigantesques lézards semblables à des varans de Komodo, des tortues géantes et un alligator de 100 livres. Ils auront aussi la chance de rencontrer Simba, un lionceau africain de 5 mois. Des spectacles mettant en vedette des animaux vivants seront présentés de façon continue tout au long de la journée et les visiteurs auront l’occasion d’interagir avec les animaux. Cette exposition, qui s’étend sur 16 000 pieds carrés (11 000 pieds carrés à Québec) sera l’événement à ne pas manquer pendant la semaine de relâche 2011. Ne ratez pas cette occasion incroyable de découvrir certaines des créatures les plus mal comprises de la nature et d’interagir avec elles. Durant la semaine de relâche, laissez-vous émerveiller tout en apprenant! 1001 Place Jean-Paul-Riopelle, Montréal, QC H2Z 1H5 (514) 871-8122 (Metro Place D’Armes) Prix d’entrée : Adultes 12,29 $ – plus taxes Enfants âgés de 6 à 17 ans et étudiants : 10,53 $ – plus taxes Enfants âgés de 3 à 5 ans : 7,02 $ – plus taxes Aînés : 10,53 $ – plus taxes Enfants âgés 2 est de moins de 2 ans : GRATUIT Il est possible de se procurer des billets à l’entrée. Communiquez avec nous pour obtenir de plus amples renseignements. Lien
  2. Exposition venin présentée à Québec veuillez noter que les deux expositions seront entièrement bilingues. Mars 9 2011 de 10 h à 20 h Mars 10 2011 de 10 h à 20 h Mars 11 2011 de 10 h à 20 h Mars 12 2011 de 9 à 18 h à Expocite Little Ray’s Reptile Zoo présentera son exposition zoologique de renommée internationale à Ville De Québec au cours de la semaine de relâche. Cette exposition bilingue, éducative, unique et participative met en vedette des animaux vivants et certains des serpents venimeux les plus redoutés au monde, notamment des vipères du Gabon, des mambas verts, des crotales et un des deux seuls COBRAS ROYAUX au Canada. En plus des serpents venimeux, les spectateurs auront l’occasion de voir des tarentules, des scorpions, d’énormes pythons, des gigantesques lézards semblables à des varans de Komodo, des tortues géantes et un alligator de 100 livres. Ils auront aussi la chance de rencontrer Simba, un lionceau africain de 5 mois. Des spectacles mettant en vedette des animaux vivants seront présentés de façon continue tout au long de la journée et les visiteurs auront l’occasion d’interagir avec les animaux. Cette exposition, qui s’étend sur 11 000 pieds carrés sera l’événement à ne pas manquer pendant la semaine de relâche 2011. Ne ratez pas cette occasion incroyable de découvrir certaines des créatures les plus mal comprises de la nature et d’interagir avec elles. Durant la semaine de relâche, laissez-vous émerveiller tout en apprenant! 250 Boulevard Wilfrid Hamel Québec, QC Prix d’entrée : Adultes 12,29 $ Enfants âgés de 6 à 17 ans et étudiants : 10,53 $ Enfants âgés de 2 à 5 ans : 7,02 $ Aînés : 10,53 $ Enfants âgés de moins de 2 ans : GRATUIT Il est possible de se procurer des billets à l’entrée. Communiquez avec nous pour obtenir de plus amples renseignements. Lien
  3. Devenez apprenti animalier à Sainte-Anne-de-Bellevue Simon Diotte, collaboration spéciale La Presse Le Biodôme, seule institution zoologique de la grande région de Montréal? Eh bien non! Dans l'Ouest-de-l'Île, une autre institution s'active, depuis 22 ans, à sensibiliser les visiteurs sur la protection des espèces animales. Il s'agit du zoo Ecomuseum, de Sainte-Anne-de-Bellevue, dont la mission est de faire connaître la faune de la vallée du Saint-Laurent. Pendant la relâche scolaire, l'institution invite les enfants de 7 à 12 ans à passer des journées complètes entre ses murs, dans le but de devenir apprenti animalier. «C'est un camp de jour hors de l'ordinaire au cours duquel les enfants prépareront des repas pour les animaux, iront les nourrir et participeront à des activités d'enrichissement à leur intention, toujours en compagnie de zoologistes», explique Caroline Bourque, directrice adjointe de l'institution. Chaque journée de la semaine, du 28 février au 4 mars, a sa thématique. Lundi, ce sont les oiseaux de proie; mardi et vendredi, les mammifères; mercredi, les amphibiens, les poissons et les insectes, et jeudi, les reptiles et les oiseaux. Les parents peuvent inscrire leur (s) enfant (s) pour une ou plusieurs journées, à leur guise. Le coût est de 60$ par jour pour la première et la deuxième journée. Le prix par jour diminue par la suite. Un zoo à dimension humaine Camp de jour ou pas, la visite du zoo, qui compte une collection de plus de 115 espèces animales, s'avère également une belle activité familiale pour la relâche. Sous son manteau blanc, le parcours extérieur est absolument envoûtant. On peut y admirer, de très près, des cerfs de Virginie, des caribous, des loups, des coyotes, des loutres et plusieurs autres espèces. Des panneaux explicatifs permettent d'approfondir les connaissances sur ces espèces. Les ornithologues sont également aux oiseaux. Pygargue à tête blanche, aigle royal, chouette lapone, autour des palombes et plusieurs autres représentants de la faune aviaire vous attendent dans la section impressionnante des oiseaux de proie. Avant ou après le parcours extérieur, ne manquez pas la collection intérieure, qui fait place aux reptiles et amphibiens, spécialité de l'institution. Impressionnant de voir la diversité des tortues indigènes du Québec: tortue des bois, peinte, molle à épines, ponctuée, géographique et serpentine. Les couleuvres font aussi le bonheur des enfants. «Tous les enclos tentent, autant que possible, de reproduire le milieu de vie naturel des animaux», affirme Mme Bourque. Les pensionnaires du zoo ne pourraient survivre en liberté, soit parce qu'ils sont blessés, soit parce qu'ils sont nés en captivité. Par exemple, le harfang des neiges ne possède qu'une seule aile. «Ils remplissent maintenant le rôle d'ambassadeur de leur espèce», souligne Mme Bourque, en me faisant visiter les lieux. Pendant la relâche scolaire l'an dernier, un grand événement est arrivé au zoo: le réveil des ours noirs, qui a eu lieu le 4 mars, trois semaines plus tôt qu'à l'accoutumée. «Ici, ce n'est pas le jour de la marmotte qui annonce le printemps, c'est la journée de l'ours!» rigole Mme Bourque. Les ursidés seront-ils aussi précoces en 2011? À suivre. Depuis quelques années, le zoo Ecomuseum se démène pour faire accroître son rayonnement dans toute la grande région de Montréal. «On n'est plus le petit zoo anglophone du West Island», affirme Mme Bourque. Fondé par des professeurs de McGill, mais complètement indépendant de l'université, ce zoo à dimension humaine a franchi l'an dernier le cap des 100 000 visiteurs. À découvrir avec votre apprenti animalier. Les enfants de 7 à 12 ans peuvent suivre une formation, du 28 février au 4 mars, au zoo Ecomuseum, à Sainte-Anne-de-Bellevue.Info: www.ecomuseum.ca Source
  4. Bonne chance et voyons voir ce que le futur en dira.
  5. C'est vraiment difficile à juger ne voyant pas la blessure. Les trucs de secouristes sont pratiquement du cas par cas. J'utilise beaucoup le polysporin sur les reptiles mais tu parles de queue tombée là. Ça semble grâve! Comme j'ai dis plutôt, ça sonne vétérinaire au plus vite.
  6. C'était vers là que je m'en allais avec ma question tu chauffes ton terrarium comment. Quand on voit du bleuté souvent c'est une brûlure ou une blessure. C'est difficile maintenant de juger puisqu'on ne voit pas la blessure mais je te dirais d'aller chez un vétérinaire au plus vite. On ne voit pas ton terrarium non plus alors difficile de savoir si c'est possible que quelque chose l'a blessé. Si tu as un coin trop humide et qu'elle y est toujours, ça peut être causé par un champignon.
  7. Avec la diffusion live sur internet
  8. Bonne chance pour cette fois-ci! Ont-ils déjà donné de quoi de fertiles dans le passé?
  9. Je dois avouer que c'est la première année que les visiteurs ont semblé aussi intéressé par les scorpions. L'intérêt commence à grandir pour eux je crois.
  10. Les NAC, tendance tous risques Plus besoin d’aller au zoo pour observer de (très) près un iguane, une mygale voire un python... Ces nouveaux animaux de compagnie (NAC) font fureur en France. Avec des risques réels pour la santé humaine. Les explications du Dr Ghislaine Jancon, vétérinaire à Nantes. « Depuis plusieurs années maintenant, nous constatons un engouement pour des espèces qui peuvent paraître surprenantes comme les insectes, les reptiles », nous explique-t-elle. « Ce n’est pas à proprement parler une nouvelle tendance, mais plutôt un phénomène qui prend de l’ampleur. Cela traduit un besoin d’exotisme, de particularisme, un goût d’aventure sans avoir conscience de tous les dangers que cela comporte. » Et en effet, les futurs propriétaires de NAC sont bien souvent très loin d’imaginer les conséquences de leur achat. « Par exemple les reptiles comme les iguanes, sont pour 90% d’entre eux porteurs de salmonelles. Ces bactéries peuvent facilement être transmises aux enfants. Je déconseille donc l’achat de reptiles dans les foyers où il y a des petits ». Autre NAC pourvoyeur de risques pour la santé, les rats. « Très proches de leur propriétaire, ces animaux peuvent transmettre des maladies graves. Leur morsure peut provoquer des fièvres importantes », prévient notre vétérinaire. Selon elle, il est indispensable après l’achat d’un NAC de consulter un vétérinaire. « Il pourra déjà s’assurer que l’animal est en bonne santé et donnera des conseils d’hygiène et de mode de vie pour le bien-être à la fois du NAC et de la famille ». Et de manière générale, elle conseille aux futurs propriétaires de toujours s’informer auprès de professionnels sur la réglementation spécifique liée à certaines espèces. Comment faire pour trouver un vétérinaire spécialisé dans les NAC ? « Il n’existe pas de liste cautionnée par l’Ordre national des Vétérinaires. Le mieux est de se renseigner auprès d’un professionnel qui pourra vous orienter vers un confrère qui s’est spécialisé dans les NAC ». Source : Interview Ghislaine Brancon, 23 février 2011 Source
  11. 25 espèces de tortues risquent de disparaître à jamais Plusieurs organismes de protection de la biodiversité ont tiré la sonnette d'alarme en listant 25 espèces de tortues sur le point d'être éradiquées. Un rapport copublié par l'ONG Wildlife Conservation Society et la Turtle Conservation Coalition (la coalition pour la sauvegarde des tortues) le 21 février 2011 a révélé que la situation des tortues dans le monde était encore plus critique qu'on ne l'imaginait. La Turtle Conservation Coalition (TCC) comprend pas moins de 8 associations et organismes qui se sont réunis pour évoquer la protection de ce fragile animal. Une liste de 25 espèces est mise à jour régulièrement, et cette année, même si quelques heureuses élues ont quitté le classement, celles qui restent ne sont pas sorties d'affaire. C'est le tristement célèbre Lonesome George (George le Solitaire) qui est en tête du classement. Dernière représentante de son espèce, cette tortue géante des Galapagos est aujourd'hui un véritable symbole pour les protecteurs de l'environnement. A ses côtés, l'espèce Rafetus swinhoei, ou tortue géante du Yang Tsé, compte tout juste 4 individus. Les suivantes sont un peu mieux loties, en grande partie parce que des associations ont pris en main leur protection depuis quelques années... Ou parce qu'elles viennent tout juste d'entrer au classement. L'essentiel des tortues en danger d'extinction se trouvent en Asie où elles sont utilisées comme nourriture ou animal de compagnie. Sans compter la disparition de leur habitat naturel, qu'il s'agisse de tortues terrestres, marines ou d'eau douce. La TCC souligne par ailleurs que si les êtres humains sont directement à l'origine de la décimation des tortues, ils sont également leur meilleur espoir de sauvegarde. Au début du mois de février, le réseau PARC faisait lui aussi état, à l'occasion du lancement de l'année de la tortue , du statut de 50 % des espèces en voie de disparition. Source
  12. Le lac de Neuchâtel pourrait bientôt abriter une tortue L’Aspo a choisi une tortue comme animal emblématique de ses 10 années d’existence…et pas n’importe quelle tortue. Il s’agit de la cistude, le seul spécimen présent en Suisse. Une exposition est dédiée à cet animal au centre-nature de La Sauge. Elle est à découvrir dès dimanche et jusqu’au 6 novembre. La tortue cistude (photo Aspo) a pratiquement disparu des étangs et des lacs de Suisse dans les années septante. L’Aspo aimerait donc encourager les cantons à s’engager pour réintroduire cet animal. Neuchâtel est concerné, puisque le site de la Vieille Thielle est considéré comme un site favorable à la cistude. Le centre-nature de La Sauge fête par ailleurs ses 10 ans cette année. Une grande fête sera organisée le week-end du 19 et 20 août pour marquer l’événement. /cre Source
  13. Deux interventions des pompiers en 2010 Les sapeurs-pompiers sont les premiers alertés lorsqu'un intrus de type reptilien est découvert dans une habitation. Dans certaines régions, ils suivent une formation particulière et sont dotés d'équipements spécialisés. « Nos collègues de la région parisienne, par exemple, explique le capitaine Redonnet du SDIS. Ils font beaucoup plus d'interventions de ce type que nous. Dans la Vienne, ça reste exceptionnel et ça concerne essentiellement des espèces autochtones, vipères, couleuvres et sanyars. Ces derniers sont des couleuvres impressionnantes par leur taille. En 2010, nous avons fait deux interventions, l'une concernait une espèce locale, l'autre une plus exotique. Ce serpent a été rendu à son propriétaire. » Parce que la demande d'interventions n'est pas significative, les sapeurs-pompiers du département ne suivent aucune formation spécifique, néanmoins, une sensibilisation de quelques heures est proposée au parc animalier de l'Ile aux serpents. « Ce sont des modules de quelques heures, explique Coralie Leroy, soigneur animalier. Nous leur apprenons à attraper un serpent, à le manipuler. Nous les formons à adopter la bonne attitude face à un lézard agressif. Nous leur montrons également quels outils utiliser pour capturer l'animal sans lui faire mal et sans qu'eux-mêmes se mettent en danger. Ces sessions ont lieu, soit ici à La Trimouille, soit dans les centres d'intervention. Récemment, nous sommes intervenus à la caserne de Lussac-les-Châteaux. » Source
  14. /t4914-serpents-tortues-et-compagnie-au-college-merici#23757 Pour des articles concernant l'expo. Il y en a juste une pour le moment mais je devrais en trouver d'autres sous peu.
  15. Je n'ai pas fais tellement le tour mais je pense que j'étais le seul à en avoir, avec Michel Le Blanc qui avait un empereur et l'autre table à côté de moi qui avait un Hadrurus arizonensis?
  16. Serpents, tortues et compagnie au Collège Mérici Troisième salon des reptiles Le Collège Mérici est l’hôte aujourd’hui de l’événement Voyage Reptiles jusqu’à 17h. Tortues, serpents et araignées attendent les visiteurs. Sujets : Association Herpétologique de Québec , Collège Mérici , Édureptiles de Sherbrooke , Pérou Pour une troisième année, le Salon des reptiles est organisé en collaboration avec Coopération Internationale Mérici et l’Association Herpétologique de Québec (AHQ). Plus de 200 types de reptiles sont présentés aux jeunes et moins jeunes afin de sensibiliser la population à ces bestioles. L’événement accueille cette année deux nouveaux venus. D’abord grâce à l’entreprise Édureptiles de Sherbrooke, les visiteurs ont la chance de découvrir une bête provenant de la faune locale du Pérou, un caïman. Son propriétaire Justin Marois fait partie des rares personnes ayant un permis zoologique pour détenir ce reptile. «On peu seulement voir cette bête dans un zoo habituellement en raison du permis», confie la vice-présidente de l’Association Herpétologique de Québec, Anick Claisse. Deux sortes de grenouilles dendrobates, appartenant à la famille des batraciens, font également partie des nouveautés. Une section pour les enfants a également été aménagée afin de permettre aux visiteurs de s’asseoir pour manipuler les reptiles. L’activité est l’occasion du même coup d’informer la population sur les lois et les endroits où l’on peut disposer des animaux que l’on ne souhaite plus posséder. «On essaie aussi de faire de la prévention sur le respect de la faune locale, explique Mme Claisse. Les tortues à oreilles rouges sont un bon exemple, de nombreux propriétaires en ont relâché dans la nature et elles entrent en compétition avec d’autres espèces de tortues aujourd’hui.» L’événement permet de financer les activités de Coopération Internationale Mérici. Un groupe d’étudiants se rendra au Pérou à l’été 2011. L’an passé, plus de 500 personnes s’étaient présentées pour voir les différents reptiles. Voir aussi le diaporama Serpents, tortues et compagnie Source
  17. Faune sauvage du PNP - Inquiétude pour les amphibiens Le Parc national des Pyrénées est associé à un programme d’évaluation de l’impact pathologique d’un champignon pathogène (chytridiomycose) sur les populations d’amphibiens, en relation avec le Royal College de Londres et le CNRS de Moulis. Les travaux conduits en 2010 ont montré l’impact fort de ce pathogène notamment sur les populations de crapauds accoucheurs. L’analyse des résultats obtenus depuis 2005 montre une extension de ce pathogène par « sauts de puce » qui pourrait être du à un transport passif humain. Cette maladie a provoqué une mortalité très importante du crapaud accoucheur sur le secteur de Madamette (Néouvielle) et le lac d’Arlet (Aspe) allant jusqu’à infester 95% des individus sur un site donné. Si vous rencontrez des amphibiens morts, ne les touchez surtout pas afin d’éviter la propagation de la maladie, et contacter le secteur du parc national le plus proche de chez vous. Premier bilan Depuis 2008, le Parc national des Pyrénées a initié un programme de veille sanitaire en collaboration étroite avec le laboratoire des Pyrénées de Lagor (coordinateur technique de l’action) et de nombreux partenaires (groupements techniques vétérinaires, fédérations de chasse, ONCFS, etc.). Ceci, dans le but de connaître l’état de santé des populations animales, rechercher des maladies réputées contagieuses, appréhender leurs relations avec la faune domestique, mais aussi évaluer l’impact de l’activité humaine sur l’état sanitaire et les causes de la mort de la faune sauvage (électrocutions, collisions, intoxications). Des analyses sur oiseaux et mammifères ont ainsi été réalisées avec l’aide de vétérinaires spécialistes au niveau national. En 3 ans, 127 cadavres ont ainsi été analysés dont 62 oiseaux, 64 mammifères et 1 amphibien. Les causes de la mort sont majoritairement liées aux collisions, qu’elles soient routières ou autres infrastructures. Seul 1,5% des cas analysés à ce jour révèle des processus pathologiques ayant conduit à la mort de l’animal. En 2010, la tuberculose aviaire a été détectée chez un faucon crécerelle. Par ailleurs, les autopsies et analyses complémentaires des oiseaux ont mis en évidence chez plusieurs individus la présence de molécules toxiques, et de métaux lourds pouvant être liées aux activités humaines sans qu’un lien direct avec la mort des animaux ne soit démontré. Dans un cas, cependant, l’intoxication liée à l’ingestion de proie contaminée a été reconnue fatale. Concernant les mammifères, un cas avéré de trichine chez un renard, réputée contagieuse sur l’homme, et un cas de leucémie féline sur un chat forestier ont été détectés. La fédération des chasseurs 65 a été alertée par courrier afin que les chasseurs du secteur concerné, respectent quelques mesures de précaution. En effet, le sanglier infecté par la trichine peut être un vecteur de transmission de la maladie par ingestion de viande crue ou pas assez cuite. Une exposition environnementale à des molécules toxicologiques a été identifiée chez 3 mammifères (1 genette et 2 renards). Au niveau des métaux lourds, des traces de contamination au plomb et une exposition environnementale au cadmium ont été retrouvées chez un putois. Arsenic et mercure trouvés à l’état de traces. La veille sanitaire menée en collaboration avec le laboratoire d’analyses vétérinaires de Gap sur les isards de Cauterets (autopsies d’animaux et analyses sérologiques) montre que cette population est particulièrement épargnée par les diverses pathologies observées sur les espèces domestiques. Philippe Champion Les photos sont de Matthew Fisher, chercheur au CNRS Moulis Source
  18. Iguanes, mygales, insectes, lézards : le peuple de l'ombre fait salon, à Croix L'an dernier, près de 3 300 visiteurs s'étaient déplacés sur une journée, à Croix, pour découvrir ... les animaux insolites présentés par l'association Le Peuple de l'ombre. Amateurs de sensations fortes s'abstenir : ici, on ne vous posera pas un serpent sur le dos, ni une mygale sur la main. Les petites bébêtes restent dans leur petit royaume d'un jour. En revanche, les exposants, triés sur le volet, défendent tous les mêmes valeurs. Ils souhaitent expliquer qui sont ces animaux, comment ils vivent, d'où ils viennent et lutter contre les achats coup de coeur (ou coup de folie ?) de ceux que l'on appelle, à tort, les NAC, nouveaux animaux de compagnie. « Ce ne sont pas des animaux de compagnie ! Ils n'ont rien à faire au milieu d'un salon », tempête Olivier Vuillemin, président de l'association. Lui, sa passion, ce sont les insectes. Il les élève et connaît tout d'eux ou presque. Il va porter son savoir bénévolement dans les écoles, et les enfants boivent ses paroles ! L'exposition, qui se déroule aujourd'hui à la salle Dedecker, est gratuite. « Parce que nous voulons permettre aux familles avec des enfants de venir écouter notre message et découvrir ces animaux et leur façon de vivre. » Le public pourra faire connaissance avec des iguanes, des grosses tortues terrestres, des lézards de toutes tailles, des mygales, des serpents et, bien sûr, des insectes. • M. D. Aujourd'hui de 10 h à 18 h à la salle Dedecker (salle des fêtes), rue Jean-Jaurès à Croix. Entrée gratuite. Source
  19. Qui est passé nous voir? Qui a des photos à nous montrer ou des commentaires sur l'exposition? Je vais avoir des photos mais pas tout de suite. J'avais ma photographe sur place comme certains savent mais je n'ai pas encore les photos donc je n'ai rien à vous montrer pour le moment.
  20. Max|mum-leterrarium

    Qui se caches sous..

    Je ne me suis pas inscrit encore à St-Jean mais tu risques de m'en vouloir si je n'y vais pas alors il faudrait que je m'y mette.
  21. Bien non gorezone, ce n'est pas toi qui chiale là J'aurais aimé que la personne qui m'en a parlé commente pour mieux me diriger et peut-être donner des idées aux autres pour l'amélioration du forum mais bon.
  22. Oui tu peux mettre des essuis-tout. Quand mes reptiles sont en quanrantaine, j'utilise les essuis-tout
  23. Queue bleuté? Tu chauffes le terrarium comment?
  24. Max|mum-leterrarium

    Reve ;)

    dobyphoeniex, je ne crois pas que c'était méchamment que Jean-Michel a écrit ça. C'est quelqu'un d'assez pacifique alors ne nous quitte pas pour ça stp, ta présence est si apprécié ici jusqu'à présent.
×
×
  • Créer...