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Des traces d'un scorpion géant ont été découvertes en Ecosse Des traces d'un scorpion géant ont été découvertes en Ecosse. Ce sont les plus grandes empreintes jamais découvertes, appartenant à un animal invertébré, rapporte l'organisation Scottish Natural Heritage. L'arthropode, ayant vécu il y a 330 millions d'années, était de deux mètres de long et d'un mètre de large. Source

Mais as tu trouvé l'explication du pourquoi la queue est tombé?

Ça tu peux pas si bien dire mon cher... Yen a tellement qui n'ont pas le sens du devoir et des responsabilité envers leurs animaux... Trop d'entre eux s'embarquer sans réfléchir et s'en débarassent aussi vite que leur coup de tête leur est venu ! En fait, on m'a conseillé de quoi d'étrange une fois. Ceux qui me connaissent depuis savent que je gardais les reptiles en beaucoup plus grande quantité qu'aujourd'hui avant. Un fournisseur d'animalerie (à l'époque où j'y travaillais encore) m'avait conseillé, sous prétexte que mon trip est d'en avoir beaucoup, d'en acheter et d'en vendre 10 par semaine. Comme ça, j'aurais pu voir beaucoup plus d'espèce que de la façon que je procédais, c'est à dire, les garder durant des années.

Je dis ça de même, mais quand on y est allé nous, il y avait un terrarium avec une Brachypelma smithi. On ne l'a jamais vu. On s'est fait dire que la fille se promenait avec, on ne l'a jamais vu

Eh bien, j'y suis allé jeudi avec une amie et je n'ai pas trippé, elle non plus d'ailleurs. Il y avait peu d'animaux et l'éclairage était nul autant pour voir que pour prendre des photos. J'ai quand même prit quelques photos même si nous sommes pas resté longtemps en disant aussi bien aller à l'animalerie, on va voir plus de choix.

Bisphénol A : un nouveau rôle insoupçonné dans le développement embryonnaire Encore une étude accablante pour le bisphénol A. Cette substance, retrouvée dans une grande diversité de plastiques, et déjà accusée d’être un perturbateur endocrinien, serait également responsable du développement anormal de l’oreille interne chez certains Vertébrés, qui plus est par le biais d’un nouveau mode d’action. Le bisphénol A, qui sera désormais interdit de la composition de tous les biberons européens dès cet été, revient une fois de plus sur le devant de la scène pour de mauvaises raisons. Après ses effets néfastes sur le cœur et sur les intestins, cette fois-ci une nouvelle étude démontre qu’il perturberait le développement embryonnaire de certains animaux. Rappelons-le, le bisphénol A, tour à tour accablé puis réhabilité suite aux conclusions de beaucoup d’études contradictoires, est présent dans nos produits du quotidien. Les emballages alimentaires plastiques comme les bouteilles ou les cannettes en sont constitués, mais la molécule entre aussi dans la composition des CD et des lunettes. Bref, 2,5 millions de tonnes sont produites chaque année, de quoi perturber un certain nombre de systèmes endocriniens ! Reprotoxique probable, mais pas seulement Car la structure du bisphénol A ressemble étrangement à des molécules naturelles, si bien que les récepteurs cellulaires s’y trompent. Ainsi, le bisphénol A peut mimer l’action de l’hormone féminine (l’œstrogène) et inhiber l’hormone thyroïdienne T3 en se fixant sur leurs récepteurs dédiés. Bien qu’il agisse avec une efficacité plus faible que ses homologues, le bisphénol A, présent à l’état de traces chez la grande majorité d’entre nous, pourrait donc être à l’origine de processus physiologiques fortuits. Il est par exemple soupçonné d’être impliqué dans l’apparition précoce de la puberté, et est surtout classé comme reprotoxique de catégorie 3 (« préoccupant pour la fertilité de l’espèce humaine », mais dont les effets ne sont pas clairement démontrés). C’est tout ce que l’on savait de cette molécule, jusqu’à ce qu’une équipe du CNRS, à l'Université de Lyon, ne se penche sur la question en l’abordant par un autre angle. Qu’en est-il des effets du bisphénol A, non pas sur les bébés, mais sur les embryons ? Pour le savoir, les chercheurs ont mis en contact des œufs de poisson-zèbre (le poisson de laboratoire par excellence) et de xénope (un amphibien) avec des quantités croissantes de la molécule (de 1 à 20 milligrammes par litre) et ont publiés leurs résultats dans la revue BMC Developmental Biology. Au-dessus d’un seuil de 15 milligrammes par litre, tous les embryons ont présenté des anomalies au niveau de l’oreille interne. Plus précisément, ce sont les otolithes qui étaient affectés. Ces petites calcifications (cristaux de carbonate de calcium), retrouvées au niveau d’une structure creuse, le vestibule de l’oreille interne où baigne l’endolymphe, sont nécessaires à la perception de l’équilibre. Lorsque la tête change de position, ces cristaux appuient plus ou moins sur les cellules sensorielles qui envoient au cerveau l’information de la position précise de la tête dans l’espace. Deux conclusions inquiétantes Chez les embryons soumis au bisphénol A, ces otolithes étaient absents, plus nombreux ou formaient des agrégats. Mais le plus étonnant reste à suivre ! Les mêmes expériences réalisées en remplaçant simplement le bisphénol A par ses molécules agonistes (β-17-œstradiol) ou au contraire par des molécules antagonistes (ICI 182 780 ou T3), montrent que ni le récepteur des œstrogènes, ni le récepteur de l’hormone thyroïdienne ne sont impliqués dans le processus. Ces résultats sont inquiétants pour deux raisons. La première est qu’ils démontrent que le bisphénol A (à des taux plus élevés que ceux auxquels nous sommes exposés) peut perturber le développement des embryons de certains Vertébrés, et donc peut-être des Mammifères. La seconde est qu’ils mettent en lumière l’existence d’un nouveau type de récepteur insoupçonné, capable d’interagir avec le bisphénol A, et ouvrent donc la voie à la possible découverte d’autres processus médiés par la molécule, que l’on n’imaginait pas. Source

C'est ce que je me disais aussi mais bon.

Sais tu comment te rendre?

Bah malgré mon commentaire, je vous aime pareil

Nantes : une fourrière à serpents au musée Interdites au public, les réserves du muséum d'histoire naturelle abritent des reptiles saisis par les douanes ou abandonnés. Visite guidée. Quatre à quatre, Hervé Kervran s’enfonce dans les entrailles du muséum d’histoire naturelle de Nantes. Une dernière volée de marches et le voilà face à une porte vitrée, barrée d’une tête de mort : « Entrée interdite. Danger. » Un tour de clé et le « Monsieur reptile » de l’établissement se glisse à l’intérieur. « Nous voilà dans l’animalerie du musée ». Sol et murs carrelés, paillasse blanche immaculée… L’endroit a tout du laboratoire. Sauf qu’ici, point de rats en cage mais des serpents dans des box. « Les rongeurs sont dans la salle d’à-côté, dans le garde-manger… » Arrêt devant le premier vivarium. Enroulé sur lui-même, un mocassin d’eau de Floride se prélasse dans une bassine. Lui est né en captivité, au musée. Une exception. Dans le voisinage, beaucoup de locataires ondulants proviennent de saisies douanières ou judiciaires. À l’instar d’un crotale originaire de Taïwan. La bête au nez pointu se réchauffe sous une lampe, trois box plus loin. « On l’appelle la vipère des cent pas, comme le temps qui s’écoule avant les effets de son venin », explique le spécialiste. Elle n’a rien à faire sous nos latitudes, « seulement, avec Internet, des élevages clandestins se développent, déplore Hervé Kervran. Quand leurs propriétaires se font prendre, on sert de fourrière. » Serpents venimeux dans le courrier postal L’établissement nantais affiche complet. Sur les 90 serpents des réserves du musée, neuf sur dix sont venimeux. « Les fraudeurs jouent un jeu dangereux. Je pense à un éleveur du nord de la France qui envoyait ses serpents par la Poste. Commerce illégal, mise en danger de la vie d’autrui… il risquait gros. » D’autres reptiles finissent dans les sous-sols de la rue Voltaire après avoir été découverts sur un trottoir, un palier d’immeuble ou dans un jardin. « On nous a appelés une fois pour récupérer un serpent des blés dans le bac à sable d’une crèche, à Saint-Herblain. Ces animaux sont des fugueurs. Ils se sont échappés de leur vivarium et les propriétaires, rarement en règle, ne les réclament jamais. » Ils terminent alors leur vie dans l’animalerie. Servent pour des animations ponctuelles au musée ou entrent dans le cursus de formation des sapeurs-pompiers. « On leur apprend à reconnaître les espèces locales, à les capturer. » Les apprentis vendeurs en animalerie, assistants vétérinaires ou soigneurs de zoo en formation bénéficient également du savoir-faire d’Hervé Kervran. Et du concours de ses secrets pensionnaires. Rémi Certain Source

Un vol de tortues qui s'affiche en grand Lorsque tous les moyens ont été utilisés pour retrouver un ou des objets volés, ne reste plus qu'une médiatisation d'ampleur comme ultime recours. C'est ce qu'a choisi de tenter Raymond (prénom d'emprunt), un dyonisien, pour remettre la main sur une dizaine de ses tortues. Vous les avez peut-être remarqués en centre ville de Saint-Denis ou sur le Boulevard sud. A moins que vous ne soyez rivés (et c'est plutôt un bon signe) sur votre conduite. Pas moins de quatre panneaux 4x3 mètres comme on les appelle dans le milieu publicitaire affichent les signes d'un appel à la vigilance. L'ultime moyen Vigilance pour toute personne ayant connaissance de l'acquisition récente dans son entourage de tortues volées à un certain habitant de Saint-Denis. "On me les a volées début janvier" précise Raymond qui a choisi d'utiliser les grands moyens. "J'ai fait poser quatre affiches dans Saint-Denis, c'était l'ultime moyen" ajoute-t-il. Une plainte a bel et bien été déposée au commissariat Malartic. "Puis j'ai tenté de faire publier mon annonce dans les journaux de la place mais ça n'a pas abouti". Raymond qui se présente lui-même comme un éleveur de tortues communément appelées "radiata" (ou tortue étoilée de Madagascar) reste évasif sur le nombre exact d'animaux volés, "une dizaine" dira-t-il sobrement. Quant au succès de cette nouvelle démarche, elle payera peut-être : "j'ai rendez-vous la semaine prochaine avec un habitant de Saint-Paul qui aurait des informations mais c'est la seule piste pour le moment". Mais le téléphone fixe sonne déjà. La récompense promise devrait sans doute faire affluer les appels. Source

Une tortue a deux têtes et cinq pattes Une tortue terrestre est née en Slovaquie avec deux têtes et cinq pattes, rien que ça. Mutante ? Transgénique ? Mais qu'est-ce donc que cette "drôle" de petite bête ? Un trophée pour son propriétaire Roman Gresak, qui a présenté sa merveille de sept semaine aux habitants de la ville slovaque de Zilina, cette semaine. Les têtes bougent indépendamment l'une de l'autre et sont complètement formées a-t-il tenu à souligner lors des présentations. Le hic, c'est que cette tortue bicéphale ne peut rentrer ses têtes dans sa carapace comme il est d'usage. Elle n'aurait donc aucune chance de survivre dans la nature. La preuve en image. Source

Un alligator pour gardien HEMET, Californie (AP) — Les enquêteurs de la brigade de stupéfiants en Californie ont découvert une plantation de marijuana sous la surveillance d'un gardien un peu particulier: un alligator de 1,2m de long, baptisé Wally. L'équipe d'intervention du comté de Riverside est intervenue pendant la nuit dans une maison d'Hemet (sud de Los Angeles), et a saisi près de 2.300 plants en pot, d'une valeur estimée à 1,5 million de dollars (1,07 million d'euros). Le tout gardé par le reptile utilisé comme "alligator de surveillance". Cet alligator américain de 25kg a été confié à une fondation pour les animaux exotiques. AP ljg/v451 Source

Attaqué par un crocodile, il survit Un Australien s'en est tiré avec deux jambes cassées et des blessures, après avoir été attaqué par un crocodile de quatre mètres alors qu'il pêchait, a indiqué aujourd'hui la police. L'homme pêchait dans une rivière du nord de l'Etat du Queensland (est) quand un crocodile l'a saisi et a tenté de l'attirer vers le fond. Il a réussi à résister en s'aggrippant aux racines de la mangrove du rivage. Agé de 28 ans, le malheureux, qui selon la presse s'appelle Todd Bairstow et travaille dans le secteur minier, a alors hurlé pour que ses amis, qui se trouvaient dans un pub à proximité, viennent à son secours. Ces derniers sont parvenus à faire fuir le reptile, en le frappant sur le museau avec une grosse branche, a-t-on indiqué de même source. "L'homme était en train de pêcher avec un leurre. Alors qu'il le lançait, un crocodile a surgi de l'eau et lui a attrapé la main", a déclaré au journal Cairns Post, Greg Shean, gérant d'un hôtel. Selon des informations rapportées par ABC, la grand-mère de la victime a indiqué que son petit-fils, hospitalisé à Cairns au nord-est de l'Australie, avait les deux jambes cassées et plusieurs autres blessures. Chaque année, en moyenne, deux personnes sont tuées en Australie par des crocodiles d'eau de mer, qui peuvent mesurer jusqu'à sept mètres et peser plus d'une tonne. Source

Vous vous rappellez de ce vidéo que j'ai mis pour rire il y a quelques jours? /t4932-se-faire-mordre-un-sein-par-un-serpent Voici les suites de ceci : Le serpent qui a mordu Orit Fox est mort empoisonné au silicone Victime d'une morsure de serpent, le mannequin avait dû être hospitalisé, pour une blessure superficielle. L'animal s'en est moins bien sorti puisqu'il est mort suite à l'ingestion de silicone. Il y a quelques jours, le mannequin israélien Orit Fox a été victime d'une morsure de serpent. Elle n'a été immédiatement hospitalisée pour une blessure superficielle... qui a été fatale à l'animal. En mordant la jeune femme, le serpent a en effet ingéré du silicone contenu dans les implants mammaires du mannequin. Ne supportant pas la substance, il est décédé d'une intoxication à ce produit. L'accident s'est produit pendant une émission de radio. Voulant lancer un défi, le présentateur avait demandé à Orit Fox d'embrasser le reptile. Après avoir relevé le défi, elle s'était vite retrouvée en position indélicate, et le serpent lui avait finalement mordu le sein gauche. Il avait alors fallu de longues secondes pour que l'animal desserre les crocs de la poitrine du mannequin. Source Je ne suis pas un expert en faux seins, Je me demande si c'est vraiment possible ou c'est que du sensasionnalisme. Vous en pensez quoi?

En fait, si on s'arrête à observer des arachnides, on ne peut pas faire autrement que d'être fasciné. Ils ont des comportements qui attirent l'attention. Certains creusent des terriers, d'autres tisses, ce sont des chasseurs incroyables... Je passerais des heures à les observer.

Oui tout c'est bien passé. /t4893p15-voyage-reptile Celui ci c'est celle d'il y a deux semaines à Québec. Des photos de celle de Montréal de la semaine passée s'en viennent. Je suis allé dans une autre ce soir à Québec mais seulement visiter. Je vais vous montrer des photos aussi sous peu.

Sauf que le commentaire venait d'un autre que moi

Em espérant faire réapparaitre dobyphoenix, je vais faire un update de ma photo.

Bon ok, à la demande de quelqu'un, je montre les photos de l'équipe.

Bon, c'est tout pour les photos de Québec. Il me reste à attaquer Montréal maintenant et si possible avant le show de St-Jean-sur-Richelieu. De quoi même pas vrai?

Quatrième partie

Je le dis souvent qu'il est l'un des plus beaux que j'ai vu et en plus avec un caractère incroyable, Malheureusement, ce serpent pogne plus que moi.

Troisième partie