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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Je trouve que l'idée est bonne alors j'ai voulu la publier au cas où ça donnerait des envies d'activités à certaines personnes.
  2. Les amphibiens, une biodoversité à protéger L?ancienne gare de Sadirac est devenue la Maison du Patrimoine Naturel du Créonnais. L'Association Océan y assure aujourd?hui la découverte et la sensibilisation de la vallée de la Pimpine, à travers des actions de médiation scientifique auprès du public. Dans le cadre des Soirées thématiques proposées tous les deuxièmes mardis du mois, à 20h30. Diaporama + sortie nocturne : dans le monde, les Amphibiens sont parmi les espèces les plus en danger. L?Union Mondiale pour la Conservation de la Nature estime d?ailleurs qu?une espèce d?Amphibien sur trois est menacée d?extinction mondiale! Les Amphibiens sont pourtant des espèces extrêmement intéressantes et variées. C?est évidemment le cas dans les forêts équatoriales, mais également chez nous, dans une nature dite plus « ordinaire ». C?est ce que nous allons essayer de vous illustrer au travers de la présentation des 21 espèces de la Région Aquitaine, puis par une sortie nocturne dans les zones humides jouxtant la Pimpine. Source
  3. Reptiles, amphibiens, arachnides : les NAC attaquent, dimanche, à Escaudoeuvres 1er SALON INTERNATIONAL TERRARIOPHILE | Des plus colorées aux plus repoussantes, des plus surprenantes aux plus dangereuses, elles seront des centaines de bébêtes en tout genre et de toutes les tailles à faire le bonheur des visiteurs, ce dimanche à Escaudoeuvres. Elles sont réunies dans la salle polyvalente à l'occasion du premier Salon international terrariophile. PAR BRUNO DEMEULENAERE bdemeulenaere@lavoixdunord.fr PHOTOS MARIE PEREIRA Commençons par un peu d'étymologie pour bien comprendre ce que propose ce salon : « Terrariophile », c'est la conjonction deterrarium (une espèce d'aquarium dans lequel l'eau aqua est remplacée par de la terre terra) et phile, qui signifie « qui aime » en grec. Et qui peut vivre dans ces terrariums ? Les reptiles (y compris les tortues, caméléons, lézards et autres iguanes), certains arthropodes parmi lesquels des insectes (phasmes...), des arachnides (araignées...) et des myriapodes terrestres (mille-pattes...), les amphibiens (grenouilles...), etc. Tous ces animaux ou bestioles constituent ce qu'on désigne souvent sous l'appellation « NAC », à savoir les Nouveaux animaux de compagnie. « C'est sans doute la première fois qu'un salon exclusivement consacré aux NAC est proposé dans le Cambrésis », assure Yves Tanchon, président d'Espace nature et animalier, l'association organisatrice du salon. Des NAC, il y en avait aussi lors des manifestations déjà organisées par l'association (exposition féline, festival animalier...), mais cette fois, il n'y aura que ça ! On y trouvera donc une quantité impressionnante de représentants des différents ordres animaliers énoncés ci-avant, ainsi que l'alimentation et le matériel qui conviennent à leur bien-être, sans oublier les plantes (exotiques) pour terrarium qui viendront égailler leur habitat. Vente et protection Pas moins de trente-cinq exposants seront présents « et j'en ai refusé au moins autant, révèle l'organisateur qui regrette : Je ne peux pas pousser les murs de la salle ! ». Ils viennent pour vendre, bien sûr, mais pas à n'importe quel visiteur en ce qui concerne certains animaux. « Acheteurs et vendeurs doivent être titulaires d'une capacité », explique Yves Tanchon, qui rappelle que cet examen a pour but de défendre les animaux protégés, visés par la fameuse Convention de Washington. Il y aura aussi des associations qui viendront militer pour la protection des espèces et éviter les trafics animaliers. Une approche dans le droit fil des objectifs de l'association qui sont d'« organiser des festivals animaliers et floraux afin de sensibiliser les enfants au respect de la nature et participer, au quotidien, à la protection de la vie sauvage ». Exceptionnellement, ce salon ne dure qu'une journée. Ce qui ne devrait pas pour autant en limiter le succès : « Vous n'imaginez pas le nombre de jeunes du Cambrésis qui ont chez eux un petit reptile, un lézard », certifie encore l'organisateur qui explique avoir été lui-même surpris par ses recherches, à ce propos, sur Internet. Mais rien n'empêche aux autres, qui ne détiennent pas de tels animaux à domicile, de venir s'y intéresser ou juste les découvrir. • Source
  4. Je serai exposant à cette exposition la semaine prochaine. Qui parmi vous sera de la partie?
  5. Ok à la demande de l'auteur de ma citation, voici une rectification.
  6. A Hong Kong, pour prévenir la grippe, le serpent a la cote HONG KONG — Pour prévenir la grippe, Mak Tai-kwong, 80 ans, vendeur de reptiles, a un secret: il avale de la bile de serpent. Comme lui, de nombreux Hongkongais se tournent vers la médecine chinoise, plus efficace contre le virus, assurent ses adeptes, que la médecine occidentale. Surnommé "Big Snake Mak", M. Mak veille jalousement sur les serpents qu'il conserve dans des cages et des bassines dans sa boutique plus que centenaire de Sheung Wan, quartier commerçant du centre de Hong Kong. Les serpents, dont 90% arrivent de Chine, sont destinés à être cuisinés, ou à servir de traitement contre toute une série de maladies. "Si l'on consomme de la bile de serpent quatre à cinq fois par an, le corps renforce ses défenses et on réduit le risque de contracter la grippe", assure le vieil homme, qui semble de fait en excellente santé. Dans une ville de 7 millions d'habitants, particulièrement sensible au risque infectieux, depuis l'épisode meurtrier de pneumopathie atypique (SRAS) en 2003, la médecine chinoise conserve de nombreux adeptes, certains Hongkongais se méfiant des effets secondaires de la médecine occidentale. "La médecine chinoise constitue un bien meilleur traitement contre la grippe par rapport à la médecine occidentale, en termes d'efficacité, de contrôle des symptômes et d'absence d'effets secondaires", assure Bian Zhao Xiang, directeur de la clinique de médecine chinoise à la Baptist University de Hong Kong. Alors que le nombre de patients atteints de grippe a augmenté de 37% sur le dernier semestre 2010 par rapport à la même période de 2010, l'université, face à la demande grandissante, prévoit d'investir 800 millions de dollars de Hong Kong (75 millions d'euros) dans la construction d'une clinique universitaire pour l'enseignement de cette discipline. Pour la première fois à Hong Kong, la clinique disposera également de chambres pour accueillir des patients soignés selon la médecine traditionnelle. "Dans la médecine chinoise, chaque patient reçoit un traitement personnalisé, prescrit sur mesure et adapté à chaque organisme", ajoute M. Bian. Les preuves scientifiques de l'efficacité de ces traitements sont peu nombreuses mais de nombreux Chinois croient dur comme fer à la supériorité de ces soins par les herbes, les champignons ou les organes de certains animaux. L'objectif de cette médecine millénaire est de rétablir ou conserver l'équilibre entre les énergies Han (froid) et Re (chaud) du corps, le tout s'accompagnant d'un régime alimentaire spécifique et de séances d'acupuncture. "Les traitements de la médecine occidentale ont un effet plus rapide mais ils s'accompagnent souvent de nombreux effets secondaires", témoigne Vincent Du, un photographe indépendant, qui soigne par les méthodes ancestrales, depuis l'enfance, un asthme chronique. Les autorités chinoises et hongonkgaises elles-mêmes recommandent à leurs citoyens d'utiliser des concoctions de plantes pour lutter contre la grippe. Pour certains, même les aliments les plus basiques comme l'ail, le gingembre, les oignons et le vinaigre sont efficaces. Pour protéger les consommateurs face notamment à des doutes sur les conditions de production, le gouvernement de Hong Kong a adopté en décembre une réglementation qui interdit les remèdes chinois non enregistrés et prévoit pour les contrevenants amendes et peines de prison. Cela n'a pourtant pas empêché la découverte récente dans certaines officines de Hong Kong de médicaments traditionnels contrefaits ou ne contenant pas les plantes annoncées, un mal qui touche aussi ce secteur. Source
  7. Les tortues marines de Madagascar en grand danger A Madagascar, on parle souvent du lucratif trafic des tortues terrestres, dont deux espèces endémiques sur quatre sont fortement menacées, mais la survie des tortues marines est aussi source d’inquiétude. Aujourd’hui, quasiment plus aucune tortue vient pondre ses œufs sur les côtes malgaches et la connaissance même de l’animal se perd parmi la population. Un atelier a donc eu lieu cette semaine pour tenter de mettre en place un plan national de conservation. Une enquête récente de l’ONG Blue Venture a révélé que quelque 16 000 tortues marines en voie de disparition sont capturées chaque année dans une seule région de Madagascar. Même si l’on trouve essentiellement ces reptiles au large des côtes Ouest et Sud, cette information prouve à quel point les cinq différentes espèces sont menacées. Davantage que les gros bateaux, à qui l’on a imposé un système qui permet aux tortues d’échapper aux filets, ce sont les petits pêcheurs qui sont responsables de leur raréfaction. La croissance de la population conjuguée à sa paupérisation et à la diminution de ses ressources traditionnelles expliquent pourquoi la tortue marine est désormais régulièrement consommée. La tortue est aussi utilisée dans le cadre de pratiques coutumières, une spécificité qui pourrait d’ailleurs être prise en compte dans la loi malgache, qui interdit aujourd’hui toute forme de pêche. Mais le problème ne se trouve pas qu’en mer. On remarque que les tortues viennent de moins en moins pondre leurs œufs sur les côtes malgaches, alors qu’elles ont normalement la mémoire de leurs lieux d’habitat. On n’a ainsi trouvé aucun nid depuis plusieurs années, d’autant que les populations locales semblent avoir perdu leur connaissance traditionnelle des lieux de ponte. Elles ne les identifient donc pas sur les plages, voire les détruisent. Selon les spécialistes, si la génération actuelle n’arrive pas à se reproduire, sans doute n’y aura-t-il plus jamais de tortues marines à Madagascar. Source
  8. Pour mieux protéger la tortue de Hô Guom Un séminaire international sur la protection de la tortue géante à carapace molle du lac de l'Épée restituée (Hô Guom), espèce qui est au bord de l'extinction, a eu lieu mardi à Hanoi. Cet événement organisé par le Service des sciences et des technologies de Hanoi a réuni des scientifiques vietnamiens comme étrangers. "Les scientifiques étrangers et ceux du Centre de préservation des tortues d'Asie ont discuté de mesures propres à préserver et à soigner les blessures de la vénérable tortue du lac de l'Épée restituée", a souligné Lê Xuân Rao, directeur du Service municipal des sciences et des technologies. Six ou sept experts en tortues et reptiles ont présenté des exposés. À noter qu'après avoir été informés de l'organisation de ce séminaire sur la tortue du Hô Guom, plusieurs scientifiques étrangers ont décidé d'y assister, témoignant de leur préoccupation à l'égard de cette dernière, que l'on peut qualifier de "relique de l'Asie". Le professeur Hà Dinh Duc, surnommé "Monsieur tortue", a indiqué qu'il a envoyé à l'organisateur un exposé de 14 pages sur la protection de la tortue du Hô Guom. Selon ses statistiques, depuis le premier jour du Nouvel An lunaire, la vieille tortue de ce lac est remontée trois fois à la surface, les 1er, 2e et 4e jours du Têt, et à chaque fois assez longtemps. Hà Dinh Duc a filmé cet animal, obtenant des images très nettes sur l'état de santé de cet animal et des blessures qui l'affectent. "L'environnement, les conditions de vie et la santé de la tortue n'ont jamais été plus préoccupants qu'aujourd'hui", a insisté Hà Dinh Duc. En 2007, la tortue a montré sa tête hors de l'eau à 72 reprises, 134 fois l'année dernière, dont 23 le seul mois de décembre dernier et, selon lui, "il s'agit là d'un comportement anormal". Afin de protéger la tortue du Hô Guom, Hà Dinh Duc propose à la municipalité d'amener ce reptile chélonien au pied de la tour de la Tortue afin de l'examiner et de le soigner. Il est nécessaire également d'enlever les déchets au fonds du lac qui auraient blessé cette tortue rarissime, avant de demander également un contrôle du système d'évacuation des eaux usées des restaurants Thuy Ta et Hapro situés au bord de ce lac, ainsi que du réseau électrique et d'alimentation en eau reliant le temple Ngoc Son à la tour de la Tortue. D'autres mesures s'avèrent nécessaires, telles la mise en place de vannes pour évacuer le trop-plein d'eau du lac lors de la saison des pluies, le curage du lac, la récupération de données sur l'environnement de ce dernier et, plus particulièrement, l'institution d'une interdiction formelle de lâcher toutes autres espèces d'animaux dans ce lac, à commencer en tout premier lieu de tortues de Floride (tortue à oreilles rouges). Selon le plan, le Service municipal des sciences et des technologies capturera en mars prochain les tortues de Floride présentent actuellement dans le lac de l'Épée restituée . -AVI Source
  9. C'est les mâles qui ont ça et c'est l'appareil copulateur.
  10. Effectivement, ce n'est pas un Lampropeltis alterna, je viens de vérifier et de m'en rendre compte. Ayant le serpent ici entre mes mains maintenant, je peux te dire que ce n'est pas un Lampropeltis triangulum. C'est quand même un proche parent du Lampropeltis alterna puisqu'il s'agit d'un Lampropeltis mexicana. Le décompte d'écaille ne ment pas. Voici un passage cité d'un éleveur européen des deux espèces.
  11. C'est fort possible, ça m'intrigue. Je risque de chercher sur le sujet un peu je pense.
  12. Ça dépend peut-être des espèces?
  13. Il était difficile plus jeune. Maintenant, il mange n'importe quoi. À la demande de qielqu'un, je vais faire un petit vidéo bientôt. Je lui donne des oeufs cuit dure à manger. Ils sont aussi gros que sa tête mais il ne l'avaler absolument, c'est assez drôle à voir
  14. Il existe tellement de parasites, certains sont plus néfastes que d'autres. Je ne peux pas répondre à ta question adéquatement.
  15. Ça dépend des fois, j'achète ce qu,il y a à l'épicerie, de l'aiglefin, du saumon... Mal prit, je peux donner des sardines parfois mais très rarement.
  16. S'ils sont parasité, les parasites se transmettent entre les générations par contre. C'est un côté que je n'avais pas songé en te répondant.
  17. Max|mum-leterrarium

    Jake

    Cours de dressage, tu y as songé?
  18. Nom scientifique : Lampropeltis alterna Nom français : Serpent-roi gris à bandes Nom anglais : Grey-banded king snake Origine : Nord du Mexique et sud-ouest du Texas Biotope : Semi-aride Température : 26 à 28°C Hygrométrie : 40 à 50% Moeurs : Terrestre et crépusculaire Taille adulte : 120 cm. Longévité : 10 ans Nourriture : Rongeurs, lézards, parfois des grenouilles et possède des tendances ophiophage. Voici une espèce de serpent que j'adore. Le tempéramment de l'espèce est relativement calme. On l'a longtemps considéré comme étant la même espèce que le Lampropeltis mexicana mais maintenant, ils sont reconnu comme deux espèces à part entière depuiis des années. Sa petite taille le rend aisé à maintenant en captivité. Les juvéniles sont parfois difficile à nourrir mais à l'âge adulte, aucun problème.
  19. Les tortues marines de Madagascar en grand danger A Madagascar, on parle souvent du lucratif trafic des tortues terrestres, dont deux espèces endémiques sur quatre sont fortement menacées, mais la survie des tortues marines est aussi source d’inquiétude. Aujourd’hui, quasiment plus aucune tortue vient pondre ses œufs sur les côtes malgaches et la connaissance même de l’animal se perd parmi la population. Un atelier a donc eu lieu cette semaine pour tenter de mettre en place un plan national de conservation. Une enquête récente de l’ONG Blue Venture a révélé que quelque 16 000 tortues marines en voie de disparition sont capturées chaque année dans une seule région de Madagascar. Même si l’on trouve essentiellement ces reptiles au large des côtes Ouest et Sud, cette information prouve à quel point les cinq différentes espèces sont menacées. Davantage que les gros bateaux, à qui l’on a imposé un système qui permet aux tortues d’échapper aux filets, ce sont les petits pêcheurs qui sont responsables de leur raréfaction. La croissance de la population conjuguée à sa paupérisation et à la diminution de ses ressources traditionnelles expliquent pourquoi la tortue marine est désormais régulièrement consommée. La tortue est aussi utilisée dans le cadre de pratiques coutumières, une spécificité qui pourrait d’ailleurs être prise en compte dans la loi malgache, qui interdit aujourd’hui toute forme de pêche. Mais le problème ne se trouve pas qu’en mer. On remarque que les tortues viennent de moins en moins pondre leurs œufs sur les côtes malgaches, alors qu’elles ont normalement la mémoire de leurs lieux d’habitat. On n’a ainsi trouvé aucun nid depuis plusieurs années, d’autant que les populations locales semblent avoir perdu leur connaissance traditionnelle des lieux de ponte. Elles ne les identifient donc pas sur les plages, voire les détruisent. Selon les spécialistes, si la génération actuelle n’arrive pas à se reproduire, sans doute n’y aura-t-il plus jamais de tortues marines à Madagascar. Source
  20. Si c'est comme ici, les passionnés se cachent de plus en plus à cause des lois contre les reptiles.
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