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Max|mum-leterrarium

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  1. Max|mum-leterrarium

    La semaine verte

    Sais tu si une rediffusion est prévue?
  2. Max|mum-leterrarium

    température

    C'est avec la lampe qu'on ajuste la température. Le tapis chauffant donne seulement une chaleur au sol. Il ne chauffera jamais ton terrarium adéquatement.
  3. Faune sauvage - Soutien de la Fondation à la Ligue de Protection des tortues La Fondation 30 Millions d’Amis a décidé d’allouer une aide financière à la LPT pour soutenir cette jeune association dans son combat contre la détention illégale de tortues. Plus de 300 espèces de tortues dans le monde, dont plus de 40 % en danger d’extinction selon la Cites*. Un constat dramatique qui concerne également la France, puisque la tortue d’Hermann, seule espèce terrestre vivant sur notre sol, est aujourd’hui menacée de disparition. Victimes d’un « effet de mode » et des divers trafics qui en découle, les populations vivant à l’état sauvage ont peu à peu décliné, jusqu’à atteindre aujourd’hui un stade critique. C’est pour enrayer ce phénomène que la Ligue pour la Protection des Tortues (LPT), basée dans les Bouches-du-Rhône, a été créée. 0,2 % des détenteurs de tortues... en conformité avec la loi Créée par une équipe de passionnés, la LPT se dote actuellement d’un espace de 6 000 m² afin d’accueillir les tortues abandonnées ou saisies par les autorités. Opérationnel fin 2011, ce refuge viendra en aide aux tortues en détresse : « On estime à 500 000 le nombre de détenteurs de tortues en région Paca [Provence-Alpes-Côte d'Azur, NDLR], précise Alain Domenge, président de l’association. Seul un millier d’entre eux, soit 0,2 %, ont rempli les formalités nécessaires à leur détention ! » Les 99,8 % restantes seraient détenues dans l’illégalité la plus complète, dont la majorité souffriraient de conditions de vie totalement inadaptées à leurs besoins. Des tortues arrachées à leur milieu naturel L’une des missions de la LPT sera, outre l’accueil et les soins prodigués à ces petits animaux, de sensibiliser les touristes aux dangers qui menacent les tortues à leur arrivée en France, et ainsi de réduire le nombre des espèces vulnérables arrachées à leur milieu naturel. « 200 tortues Graeca arrivent chaque jour à l’aéroport de Marseille en provenance de Tunisie ou du Maroc, poursuit Alain Domenge. En situation de stress, elles développent une maladie appelée herpèsvirus. Si elles ne sont pas immédiatement prises en charge par des spécialistes, c’est la mort.» La Fondation 30 Millions d’Amis, qui mène chaque année de nombreuses actions en faveur des animaux sauvages, a souhaité aider, à hauteur de 2 000 euros, la Ligue pour la Protection des Tortues afin de l’aider à acquérir de nouveaux terrariums et aquariums qui lui permettront d’accueillir le plus d’animaux possible dès l’ouverture du site. En savoir plus sur la réglementation relative à la détention des tortues * Cites : Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées d'extinction, appelée également Convention de Washington. Source
  4. Quel avenir pour les tortues marines ? Sur l’ensemble de la planète, les tortues marines sont menacées de disparition. One Voice dénonce leur exploitation menée par certains pays et s’oppose au projet de loi du gouvernement polynésien visant à rétablir la pêche des tortues marines pourtant entièrement protégées depuis 1990. Toutes les tortues marines sont menacées d’extinction principalement à cause du braconnage, de la pollution et de la dégradation de leurs sites de ponte. Il existe peu de données fiables sur leurs effectifs mais une inquiétante tendance à la baisse est observée sur tous les continents et pour toutes les espèces. Contre toute attente, c’est au cours du 1er symposium international sur les tortues marines qui s’est tenu à Moorea en octobre 2010, que la chargée de la biodiversité marine pour la direction de l'environnement a officiellement annoncé « l'ouverture prochaine de quotas de pêche à la tortue ». La Polynésie française, qui recense 5 des 8 espèces existantes, devrait permettre d’ici le début de l’année 2011, le « prélèvement » de tortues dans certains cas de figure. Seront concernés les pêcheurs professionnels dans le cadre de leurs besoins alimentaires en mer, les habitants de certaines îles confrontés à des problèmes de dessertes engendrant des difficultés alimentaires, et enfin des associations légalement constituées, en vue d’activités récréatives… une brèche béante dans la protection des tortues. La mise en place de quotas de pêche impliquerait de connaître d’une part parfaitement l’état des populations actuelles de tortues ainsi que les quantités consommées et d’autre part de faire respecter les lois ; deux sujets phares du récent symposium qui restent encore à mettre en place. Au nord de la Colombie, l'ethnie wayuu, habituée depuis toujours à manger des tortues, base de l’alimentation déjà employée par leurs ancêtres, ont décidé de ne plus pêcher l'animal menacé de disparition. Ayant pris conscience de la raréfaction des tortues, ils renoncent à leurs traditions et tentent de mettre en place des actions de conservation afin de « les sauvegarder pour se sauver aussi ». Si cette initiative est à encourager, ce n’est malheureusement pas le cas de toutes les nations. Le Costa Rica, pays vert ? La question se pose lorsque l’on découvre les clichés montrant le pillage des œufs par les populations locales dès les premières « arribadas », arrivées massives de 3 000 à 170 000 femelles venant pondre sur les plages de juin à novembre. Au cours de cet événement très touristique et soi-disant contrôlé par les autorités, près de 500 000 œufs, chiffre officiel, sont « prélevés » sur les 1er pontes. Ces œufs sont normalement destinés à l’usage des populations locales et leur exportation est interdite. Bien évidement, le nombre d’œufs est sous estimé et la « récolte » serait destinée à un marché chinois très en demande. Le gouvernement du Costa Rica cautionne ce trafic au point d’estampiller les œufs d’un label vert qui certifie aux Chinois l’obtention d’œufs issus d’une production écologique et durable… Un tel pillage n’est pas sans conséquences sur la survie des espèces. Entre les prédateurs naturels et le pillage par l’homme, un œuf sur quelques milliers seulement donnera une tortue adulte ! Celle-ci peut mettre jusqu’à 50 ans avant de se reproduire…si elle a réussi à échapper à ses prédateurs naturels mais aussi aux pêcheurs, aux filets des chaluts et aux sacs plastiques qu’elle confond avec les méduses… Les tortues marines ont une histoire qui remonte à plus de 100 millions d’années. Ne les laissons pas disparaître sous nos yeux sans rien faire : - Pour agir, signez la pétition contre le retour de la pêche à la tortue - Vous pouvez aussi écrire à l’ambassade du Costa Rica pour protester contre la « récolte » et le commerce avec la Chine menaçant la survie des tortues marines : Monsieur l’Ambassadeur du Costa Rica 4, Square Rapp 75007 Paris Source
  5. De nouvelles espèces découvertes par des chercheurs français en Papouasie JAKARTA — Un poisson cavernicole sans yeux et une grenouille portant ses petits sur le dos font partie de nouvelles espèces découvertes par des scientifiques français et indonésiens dans une région extrêmement sauvage de la Papouasie, ont-ils annoncé vendredi. Ces espèces ont été repérées dans les grottes profondes, les rivières souterraines et la jungle du massif karstique de Lengguru, dans la partie indonésienne de la Nouvelle-Guinée. "En terme de découvertes, tout ou presque reste encore à faire dans cette région très difficile d'accès mais qui possède une biodiversité exceptionnellement riche", a résumé Laurent Pouyaud, chercheur à l?Institut de la Recherche et du Développement (IRD) à Montpellier. Durant sept semaines, l'équipe pluridisciplinaire de scientifiques (biologistes, hydrogéologues, paléontologues, archéologues...) a souffert physiquement pour explorer l?immense "labyrinthe d'écosystèmes isolés" où des espèces ont pu rester protégées depuis des millions d'années. C'est dans une grotte jusqu'alors inexplorée qu'ils ont repéré une nouvelle espèce de poisson s'étant adaptée aux conditions extrêmes en perdant sa pigmentation et ses yeux. "Il s'agit, à notre connaissance, du premier poisson cavernicole découvert en Papouasie indonésienne", a souligné Laurent Pouyaud, en précisant que les scientifiques allaient officialiser leurs découvertes en publiant des études dans les prochains mois. Les archéologues de la mission prévoient également de revenir sur les lieux après avoir été "subjugués" par la découverte de peintures rupestres et d'outils en coquillage confirmant que cette région de Papouasie avait été un lieu de passage entre l'Australie et l'Asie, il y a près de 40.000 ans. Lancée au cours de l'"Année de la biodiversité", l'expédition Lengguru-Kaimana 2010 a été "la première étape d'un programme de recherche de grande envergure" mené par l'IRD, le Ministère indonésien des Affaires Maritimes et l?Institut indonésien des sciences, avec l'aide d'associations et de partenaires privés. Les scientifiques veulent aller vite car la Papouasie attire de plus en plus la convoitise des grands groupes miniers ou énergétiques pour les trésors que renferme son sous-sol, riche notamment en or, cuivre et gaz. Source
  6. On a perdu le signal de la tortue Salsa La balise Argos qui équipe la tortue caouanne remise à l’eau par le CestMed (1) et des collégiens marseillais, il y a deux mois, au Grau du Roi, a cessé d’émettre le 12 octobre dernier et plus aucun signal n’a été capté par le centre de réception des émissions relayées par satellite, basé à Toulouse. Les responsables du CestMed se montrent très pessimistes sachant que ces balises sont réputées pour leur très grande résistance et que les dernières positions transmises situaient la tortue au plus près de la côte espagnole, parfois à moins de 20 mètres du rivage, c’est-à-dire dans la zone où les petits métiers calent leurs filets. Il est possible que le reptile se soit pris dans des mailles et soit mort noyé. Six autres tortues, elles aussi remises à l’eau par le CestMed et toutes équipées d’une même balise Argos, poursuivent leur périple. L’une d’elle, baptisée Isis et relâchée en 2005, se trouve actuellement le long de la côte occidentale de la Grèce, entre les îles de Corfou et Leucade. Source
  7. Les braconniers sont en campagne... qui les arrêtera ? Les citoyens devraient-ils être impliqués dans un plan de vigilance ? Les partisans de la réouverture de la pêche à la tortue sont en campagne pour faire avaler la pilule à une population dans sa grande majorité contre ce projet. Qui se lèvera pour s'opposer à leurs manoeuvres ! Pour le moment, pas grand monde... ou plutôt si, mais chacun dans son coin. Pour être efficaces, il faudrait qu'ils parlent d'une seule voix. Michel Arakino, pêcheur de tortues des Tuamotu qui a déclaré publiquement lors d'une interview sur TNTV qu'il consommait régulièrement de la viande de tortue avance plusieurs arguments: - que c'est une coutume polynésienne - que cette coutume ne devrait pas être illégale en vertu du "droit à l'alimentation des peuples autochtones" voté par l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) - qu'il faut ouvrir un grand débat sur le sujet En réalité chacun sait que seuls les arii (rois) avaient le droit de manger la viande de cet animal tabu pour le reste de la population. Cette tradition ne mettait donc nullement en péril la survie de l'espèce comme c'est le cas aujourd'hui. Quant au "droit à l'alimentation des peuples autochtones" que brandit M. Arakino, il s'inscrit dans un programme de lutte contre la faim, alors que la consommation de viande de tortue est en Polynésie plutôt un luxe (entre 5.000 et 9.000 F le kg) qu'une denrée alimentaire de première nécessité. En fait, Monsieur Arakino, qui se présente comme un simple citoyen mangeur de tortue pour la nécessité est en fait un militant politique actif et très loin d'être dans le besoin ou avec des problèmes d'approvisionnement en nourriture. Dans ces conditions, le débat que réclament les mangeurs et les pêcheurs de tortues ressemble plutôt à lobbying d'une minorité aisée pour faire passer une réglementation en leur faveur. Mais cette minorité pourrait bien avoir gain de cause en ralliant des élus prêts à les soutenir pour avoir leurs voix. Le conseil des ministres n'a-t-il pas donné un avis favorable ? (voir article des Nouvelles du 27 octobre) Cette situation inquiète les défenseurs des tortues, certes très majoritaires mais peu organisés et peu soutenus par les élus. Comme le dit Quito Braun Ortega: "Nous, les défenseurs des tortues marines, aurions intérêt à nous structurer très rapidement pour ne parler que d'une seule voix...!" UN PLAN "VIGI-TORTUE" P.S. René Taputu, "gardien" l’île de Scilly célèbre pour ses sites de ponte : “Vous déployez encore des lois, mais ce n’est que du bla-bla. Moi, la protection des tortues n’est pas sur le bout de mes lèvres, elle est dans ma vie. Donnez-moi un appareil photo et je fournis aux douanes tous les braconniers de Scilly. Arrêtez de parler de protection si vous n’êtes pas capables de la faire, et donnez-moi plutôt des moyens !” (extrait de l'article des Nouvelles cité plus haut) Le gouvernement même s'il en avait la volonté, ce qui n'a pas sûr, n'a pas les moyens de luter contre le braconnage. Mais si les citoyens proches des lieus de pontes étaient impliqués dans un programme de vigilance ? Il pourraient par exemple signaler des actes de braconnage ou des cas de tortues en danger pour diverses raisons... Source
  8. Haute-Loire : Les employés communaux découvrent un serpent corail Alors qu'ils procédaient à des travaux de maintenance sur le réseau d'assainissement de Vieille-Brioude, deux employés communaux sont tombés nez à nez avec un serpent corail. L'une des espèces les plus dangereuses au monde ! « Nous étions à hauteur de la station d'épuration de la commune, tout près de l'Allier, lorsque nous avons découvert ce serpent, long d'une quarantaine de centimètres, qui ne ressemblait à rien de ce que nous connaissions, avec ses anneaux rouges, noirs et blancs, explique l'un d'eux. Il ne semblait pas très vif, mais il était bien vivant ». Un venin foudroyant Après l'avoir neutralisé, les deux hommes le prennent aussitôt en photo, qu'ils s'empressent de montrer à un vétérinaire. Aucun doute n'est permis : le spécialiste identifie bien un serpent corail, l'un des reptiles les plus venimeux de la planète ! D'où une certaine frayeur rétrospective. Originaire des forêts tropicales d'Afrique, d'Amérique et d'Asie ce serpent dispose d'une arme contre tous ceux qui auraient la mauvaise idée de vouloir l'attaquer : son venin neurotoxique est foudroyant ! Source
  9. Une précieuse contribution à Parcs Ontario Avouons-le en toute modestie : les programmes éducatifs et de protection des ressources de Parcs Ontario sont vraiment impressionnants. Et tous ont pu être réalisés grâce au généreux appui que Parcs Ontario reçoit de la part des groupes d’amis des parcs, de ses sociétés commanditaires et des donateurs privés. La fin de semaine organisée par la station de recherche faunique a récolté un tel succès en 2010 que le groupe d’amis du parc Algonquin a déjà commencé à en planifier une deuxième, qui aura lieu du 27 au 30 mai 2011. Lors de cette activité, les participants et participantes se joignent à des chercheurs et chercheuses sur le terrain pour faire l’expérience des sciences à la base de la recherche faunique. La station de recherche faunique du parc Algonquin sert de camp de base et l’hébergement et les repas sont inclus. Construite en 1944, cette station de recherche a un parcours impressionnant sur le plan des études fauniques, entre autres, le projet d’étude de la vie des tortues ininterrompu le plus long au Canada. L’atelier de fin de semaine fait partie de la série Experience Algonquin présentée par The Friends of Algonquin Park. Toutes les recettes servent à améliorer les programmes éducatifs et d’interprétation de la station de recherche faunique. Pour savoir comment vous pouvez en faire partie, communiquez avec The Friends of Algonquin Park à groupeducation@algonquinpark.on.ca Au cours des trois dernières années, le personnel de la recherche de Parcs Ontario a découvert que les salamandres maculées revenaient au lac Bat du parc provincial Algonquin pour y pondre leurs œufs plus tôt qu’elles ne le faisaient les années précédentes. Les changements climatiques ont été ciblés comme catalyseur de ce retour précoce. Ce projet de recherche est important lorsqu’il s’agit de comprendre les répercussions des changements climatiques sur la salamandre maculée et pour fournir de plus amples données sur ces répercussions sur les autres espèces des terres humides. La société Mountain Equipment Co-op a parrainé les recherches sur la salamandre maculée. Cette société est l’une de trente entreprises canadiennes qui ont aidé Parcs Ontario à mieux protéger les ressources patrimoniales naturelles et culturelles de l’Ontario. Les entreprises partenaires créent aussi de nouvelles possibilités de pratiquer des loisirs en plein air et elles airent les parcs à soutenir les économies locales. En 2010, le parc provincial Killarney a célébré 25 ans d’observation des étoiles avec une fête des étoiles et un nouvel observatoire. Bruce Waters, astronome et partisan du parc Killarney, a fait don d’un nouveau télescope de dix pouces Mead LX5. Il a aussi offert gratuitement 25 années de programmation Starry Starry Nights et le texte pour un ouvrage qui sera publié par le groupe Friends of Killarney. Le groupe des ammis du parc a subventionné une nouvelle terrasse pour l’observatoire. La programmation sur l’astronomie au parc Killarney et dans d’autres parcs de l’Ontario est de plus en plus populaire.À plusieurs parcs, on organise chaque année des fins de semaine d’observation des étoiles. Les membres de la Société royale d’astronomie du Canada et ses télescopes géants animeront une fin de semaine sur le thème de l’astronomie du 26 au 28 août 2011. Pendant cette dernière semaine d’août, il y aura une nouvelle lune et on prévoit que le ciel de nuit sera brillera des millions de feux des étoiles. Vous trouverez des renseignements sur les programmes d’astronomie et les autres programmes éducatifs des parcs à l’adresse http://www.parkreports.com/events/events.php. La liste d’activités est mise à jour de façon périodique au cours de l’année, alors consultez-la souvent. Grâce aux groupes d’amis des parcs, aux commandites d’entreprises et au programme Un cadeau permanent, la programmation et la recherche viennent valoriser nos parcs provinciaux. Source
  10. Max|mum-leterrarium

    Honte au Costa Rica

    Je trouve quand même louche que les tortues restent là malgré les gens.
  11. Non, tu retiens la tête à l'aide d'un bâton. Certains prennent un crayon, d'autres, un tournevis. Tu tires ensuite l'animal par les pattes arrières. Ils meurent sur le coup si bien fait.
  12. Vol de serpents à Sainte-Geneviève-des-Bois C'est un cambriolage atypique qui a été commis mardi dans une boutique de l'Essonne. Des voleurs se sont emparés de... six bébés serpents et deux bébés lézards ! Le commerce visé est une animalerie installée dans la zone de la Croix-Blanche à Sainte-Geneviève-des-Bois. Pendant l'heure du déjeuner, le ou les cambrioleurs auraient agi sans effraction en soulevant le terrarium. Le butin (estimé à 2 500€) : un python spider, un python mojave, trois boas salmon, un boa supersalmon et deux lezards pogonas. Ces animaux ne sont pas venimeux. L'enquête a été confiée au commissariat local. Source
  13. Max|mum-leterrarium

    Honte au Costa Rica

    Je ne comprends pas une chose de ces photos là par contre. Les tortues vont pondre en grande majorité la nuit pour avoir la tranquilité. Si elles sont déranger, elles repartent le plus rapidement possible à la mer.
  14. Haha il ne criait pas lui mais il était très drôle!
  15. Je trouvais ça intéressant donc j'ai commencé à regarder des vidéos. Voici donc un vidéo sur les serpents volants. Vidéo
  16. Des serpents capables de voler Au moins cinq espèces de serpents, que l'on retrouve en Asie, sont capables de voler en décollant de leur branche. En Asie du sud et du sud-est, se trouvent des espèces comme Chrysopelea paradisi, un reptile capable de voler. Le biologiste Jake Socha, qui étudie les serpents volants depuis des années, est parvenu à modéliser leur vol. Grâce à plusieurs caméras, il a filmé comment un de ces spécimens s’élançait depuis une tour de 15 mètres. La reconstruction de ce vol en 3D a permis de déterminer la position de l’animal qui se déplace tout de même à la vitesse de 8 à 10 mètres par secondes. La vidéo a ainsi montré que la première moitié de leur corps conservait une position quasi constante (mis à part quelques ondulations) pendant que la partie postérieure s’agitait de haut en bas. Bien que ce vol soit éphémère, il est tout de même surprenant. En effet, a priori, rien ne semble indiquer qu’il soit capable de voler mais c’est pourtant le cas. Il vole, quoi qu’il en soit, suffisamment pour montrer qu’il est capable de soulever un poids plus important que son propre poids. "Le serpent est comme une espèce d’aile", explique le chercheur. "Cette aile est en reconfiguration perpétuelle, se déformant et se contorsionnant… Les différentes parties du corps, en fonction de leur position dans l’espace, peuvent interagir sur la trajectoire de la partie antérieure", conclut-il. "Nous possédons désormais les bases pour étudier en détail leur aérodynamisme". Source
  17. mardi 23 novembre 2010 Pour ou contre une ferme d'élevage de tortues en Polynésie? Hier soir au JT, un consommateur de viande de tortue demandait un débat ouvert sur le sujet. Cette interview a ravivé l'émoi de la population. Parmi les réactions, on peut noter que certains préconisent l'élevage des tortues afin de satisfaire et les amateurs de leur viande et les protecteurs de cet animal. Cette solution, qui a déjà été avancée par notre ministre de l'environnement, pourrait bien tenter nos décideurs. Interview du ministre de l'environnement Jules IEN FA paru dans les Nouvelles du 17 novembre Souhaiteriez-vous mettre en place l'élevage de tortues ? Jules IEN FA: "Pourquoi pas ? C'est une piste mais ce n'est pas la seule. L'idée, qui doit être validée par les scientifiques, serait de récupérer quelques tortues, les élever, les amener à une taille suffisante pour les relâcher et qu'elles deviennent adultes. Si on en relâche 80 à 90, ce serait 80 à 90 fois plus que si on laissait faire la nature puisqu'une seule sur la ponte arrive à l'état adulte. On pourrait aussi peut-être les élever pour en faire de la consommation. Il ne faut pas se voiler la face, la consommation de tortues existe chez nous et c'est fourni par le braconnage.” Une ferme d'élévage serait-elle une bonne idée? Est-ce que l'expérience a déjà marché ailleurs? FERMES D'ELEVAGE, L'EXPERIENCE REUNIONNAISE Depuis les années 1970, quelques fermes d'élevages de tortues marines à écaille ont été créés. Leurs objectifs étaient quadruples : * Aider à la recherche sur les tortues * Fournir un cadre de découverte pour que le grand public découvre les tortues et soit sensibilisé aux problèmes de l'environnement marin. * Faire des relâchés. * Vendre les produits issues de la tortue: écailles, viande, os, cuir. La Ferme Corail de St Leu à la Réunion faisait partie des deux établissements au monde d’élevage intensif, la seule solution autorisée pour protéger l’espèce et relancer la consommation et l’artisanat local. Après vingt années d'activité, elle a fini par cesser ses activités difficiles à rentabiliser et accusée de développer la consommation et donc le braconnage. Récit de cette expérience prometteuse mais pas concluante. LA FILIÈRE TORTUE RELANCE L'ECONOMIE L’élevage favorise le développement d’une véritable filière économique utilisant sa production. Les formations (1980, 1981 et 1982) en artisanat utilisant l’écaille d’élevage sont un succès : sept ateliers sont créés et transformeront également des os et le cuir. L’approvisionnement régulier favorise la valorisation par les restaurateurs et les industriels qui proposent samoussas, viande fumée, conserves de soupe ou civet et foie gras des mers. La viande de tortue d’élevage approvisionnera également, mais avec un succès moindre, certaines cantines scolaires. L’ÉLEVAGE EN RANCH L’élevage en "ranch" consiste à faire grossir en captivité des juvéniles prélevés dans le milieu naturel. Le ranch de Saint-Leu prélevait les nouveaux-nés sur les îles Eparses d'Europa et de Tromelin sur lesquelles plusieurs millions de naissances ont lieu chaque année. Afin de ne pas pénaliser le renouvellement des populations de tortues sur ces îles, seules les tortues naissant le jour pouvaient être prélevées pour le ranch: ces nouveaux-nés sont naturellement la proie des oiseaux marins, notamment des frégates. Le nombre de tortues prélevées était fixé par la préfecture de La Réunion après étude par l’ISTPM, (qui devint ensuite l’Ifremer). LA FERME DE TOUTES LES POLÉMIQUES Pour les acteurs économiques et les collectivités, le ranch de Saint-Leu est le symbole d’une Réunion qui innove pour sortir d’un chômage «endémique» élevé et redresser la balance commerciale en exportant sa production. Les promoteurs de l’élevage assurent que la mise sur le marché de produits d’élevage fera baisser la pression sur les stocks sauvages et que la préservation des plages de ponte des îles Éparses, nécessaire pour assurer la pérennité des prélèvements de nouveaux-nés, contribue à la conservation de l’espèce. Par ailleurs, dans les années 80, cet élevage original sera le site touristique le plus visité de l’île. Contrairement aux défenseurs du ranch, les associations écologistes soutiennent que le maintien d’un commerce de tortue entretien un besoin et favorise indirectement le braconnage. Le ranch a fermé ses portes après vingt d'activités à cause des difficultés à rentabiliser cette activité extrêmement règlementée par les lois internationales, un marché très réduit et une image impopulaire. L'absence de certitudes quant à l'effet d'un relâchage et la possibilité de provoquer des épidémies dissuadent les gouvernements de soutenir ces initiatives. Les fermes semblent avoir toutes fermé. Source: Kélonia, l’observatoire des tortues marines, Saint-Leu, île de La Réunion Source
  18. Des mouvements de sympathie et de soutien à l'égard des trois pêcheurs condamnés pour braconnage en Polynésie Française Voici une information qui ne manque pas de piment,! Alors que la tortue fait partie des espèces protégées depuis 20 ans: trois pêcheurs se sont fait condamnés à des peines de 1 à 6 mois ferme la semaine dernière pour des faits de braconnage. Cependant, aujourd'hui, des consommateurs officiels de viande de tortue ont manifesté leur soutien et leur sympathie aux braconniers, demandant au Gouvernement une législation assouplie. Ceux- ci insitent notamment sur le fait, qu'ils sont consommateurs de cette viande et qu'il est naturel d'en consommer... Contrairement aux indigènes de colombie qui ont récement décidé de cesser la consommation de cette viande pour protéger la tortue, ici en Polynésie nous avons des gens qui revendiquent ouvertement le droit d'exterminer les derniers représentants d'une espèce dans le but avoué de se goinfrer!! Source
  19. Haha j'ai compris, je vais crier la prochaine fois que je sors veiller
  20. J'imagine qu'ils ne doivent pas la laisser faire seule non plus.
  21. En fait, c'est un phénomène observé chez plusieurs espèces de reptiles.
  22. Réduire le braconnage des tortues marines : collaborer avec les autochtones Une étude qui sera bientôt publiée dans Animal Conservation, menée par des universitaires britanniques, a estimé que 10 à 16.000 tortues marines sont - illégalement – capturées chaque année à Madagascar. Une évaluation qui s’appuie sur la collaboration des populations locales. Rémunérer un représentant de chacun des 12 villages côtiers de Madagascar concernés par l’étude pour qu’il recense, photos à l’appui, toute capture de tortue de mer effectuée dans sa région : c’est la méthode inaugurée par le Dr Annette Broderick, du Centre d’écologie et de conservation de l’université d’Exeter et par l’ONG Blue Ventures Conservation. Non pour dénoncer aux autorités, mais pour documenter la pêche artisanale à la tortue, pourtant interdite sur l’île. Résultat : 10 à 16.000 de ces reptiles, essentiellement des tortues vertes (Chelonia mydas), sont ainsi capturés chaque année. "Cette étude est un bon moyen d’impliquer les communautés locales dans la recherche d’une solution durable. Evidemment, nous ne pouvons être certains que toute tortue capturée soit signalée, c’est pourquoi nous considérons ces chiffres comme une estimation minimale, néanmoins très valable pour notre politique d’information", explique Frances Humber, de Blue Ventures Conservation. Les chercheurs espèrent qu’une réglementation et un suivi de cette chasse traditionnelle s’avèreront plus efficaces que l’interdiction pure et simple, non respectée. Source
  23. Les espèces menacées d'extinction sont protégées Tous les quinze jours, l'Office national de la chasse et de la faune sauvage vous donne rendez-vous Entrée en vigueur le 1er juillet 1975 sur le territoire national, la convention de Washington traite de la conservation et de l'utilisation commerciale des espèces animales et végétales menacées de disparition ; 160 pays en sont signataires, dont le nôtre. L'Office national de la chasse et de la faune sauvage s'est constitué un réseau de correspondants - unique en Europe - de 300 personnes, issues de ses services, pour mettre en application cette réglementation, appelée également Cites. Son principe n'est pas d'interdire l'exposition, la vente, l'échange… des spécimens mais de contrôler les activités commerciales en délivrant des autorisations au cas par cas. Le faucon pèlerin, l'aigle royal, la loutre, trois espèces que l'on rencontre autour de Millau, font partie des nombreux animaux soumis à ces textes, transcrits en France dans le Code de l'environnement et arrêtés interministériels. Ce 'permis Cites' est indispensable pour la détention et/ou le transport, pour tout ou partie d'animaux ou de plantes ainsi que de leurs produits. Cette législation concerne 28 000 espèces de plantes et 5 000 d'animaux répartis en trois listes suivant leur degré de protection. Outre la faune française, certaines espèces exotiques transitent dans notre pays dans le cadre de spectacles, d'exposition au public, d'autres sont transformées en vêtements, accessoires de mode, objets. Des opérations de police sont organisées auprès des fabricants, commerçants, exposants itinérants, zoo, mais également chez les particuliers, sans oublier le e-commerce pour faire respecter la loi. Les établissements aveyronnais sont régulièrement contrôlés en collaboration avec les services vétérinaires du département. L'inspection consiste à vérifier la conformité de l'installation pour le bien-être des animaux et la sécurité d'autrui, les documents administratifs permettant la détention des espèces présentes, leur cession éventuelle, le registre sur lequel doivent figurer tous les mouvements d'entrée et de sortie des spécimens. Ce dernier doit être le reflet des constatations de terrain. Ce ne fut pas le cas pour le commerçant contrôlé le mois dernier sur le secteur de Saint-Affrique. Il vendait des tortues sans aucune autorisation officielle, en toute illégalité. Mais le mal vient aussi des particuliers. Il est toujours tentant d'avoir chez soi un animal, une plante, un objet qui permet de se distinguer des propriétaires de chiens, de hamsters, de phalaénopsis ou autres orchidées… L'achat d'une tortue, d'un perroquet, d'une plante rare en France ou lors d'un voyage à l'étranger consolide le trafic des espèces menacées dans le monde. L'acquisition peut malgré tout être possible à la condition d'effectuer les démarches nécessaires. Auparavant, il est souhaitable de s'enquérir des renseignements utiles avant tout achat ou tout transport auprès des organismes compétents tel l'ONCFS représentée par sa brigade 'Cites - capture' qui est en lien direct avec le ministère chargé de l'Environnement. N'oublions pas que la moindre infraction en ce domaine constitue un délit. Le réseau Cites est animé par la seule brigade 'Cites - capture' au niveau national (*). Basée en Loir-et-Cher, elle informe les professionnels et les associations. Elle forme les personnels des autres administrations telles que la gendarmerie nationale, les douanes… Elle se déplace sur tout le territoire français et participe aux contrôles en soutien des correspondants ou autres administrations. Yvan RAGOT Source
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