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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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L'anatomie révélée Grâce à l’utilisation combinée du scanner et de l’imagerie par résonance magnétique (IRM) des scientifiques Danois ont pu observer l’intégralité des tissus et organes internes de plusieurs animaux vivant : alligators, serpents et tarentules. Des images exceptionnelles seront présentées ce mercredi lors de la réunion annuelle de la Société de biologie expérimentale, à Prague. Pour la première fois, il sera possible d’observer, de façon non invasive, comment un serpent, un python de Birmanie, adapte ses organes internes en vue d'un gros gueuleton et sa digestion, jusqu'à disparition complète de sa proie. Les scientifiques pensent que cette technique d’observation supplantera bientôt les habituels croquis et schémas et évitera ainsi bon nombre de dissections. En réglant le contraste et l’intensité du scanner, les scientifiques mettent en évidence des aspects spécifiques. En haut avec des paramètres de faible absorbance les tissus mous apparaissent.Au milieu à moyenne densité les os et les vaisseaux sanguins contenant du produit de contraste sont visibles. Enfin à haute absorbance seuls les os ressortent. « Les pythons sont réputés pour leur capacité à jeuner pendant de nombreux mois et pour ingérer des repas très importants d’un seul coup » raconte Kasper Hansen de l'Université d'Aarhus au Danemark. Les techniques modernes de numérisation ont montré combien l'extrême adaptation des organes internes permet au serpent d’alterner des périodes de jeûne et des repas pantagruéliques. Pour observer au plus près ce phénomène, les chercheurs ont scanné l’animal avant et pendant 2, 16, 24, 40, 48, 72 et 132 heures après l'ingestion d'un rat. La succession des images a révélé une disparition progressive de l'organisme du rat, accompagnée d'une expansion globale de l'intestin, de la diminution de la vésicule biliaire, et une augmentation de 25% du volume cardiaque. Source
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La tortue caouanne, le lamantin et le pélican brun sont très menacés par la marée noire
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Marée noire: des défenseurs des animaux accusent BP de brûler les tortues WASHINGTON - Plusieurs organisations de défense des animaux qui accusent BP de tuer les tortues protégées en brûlant le pétrole de la marée noire à la surface de l'eau dans le golfe du Mexique, ont déposé plainte contre le pétrolier devant un tribunal fédéral mercredi.L'organisation Animal Welfare Institute (AWI) ainsi que l'Animal Legal Defense Fund et le Center for Biological Diversity ont déposé une plainte affirmant qu'en brûlant les nappes de pétrole qui s'échappent de la fuite, BP enfreint la loi sur les espèces protégées."Que ces innocentes créatures dont l'habitat a déjà été dévasté par la marée noire soient maintenant brûlées vives, c'est épouvantable", a affirmé dans un communiqué la présidente d'AWI, Cathy Liss. "Ces tortues sont des espèces en danger et doivent être protégées", ajoute-t-elle.Les associations, qui ont déposé plainte devant un tribunal fédéral de Louisiane, ont demandé une injonction provisoire pour faire cesser les feux.Dans ses efforts pour limiter les dégâts de la nappe de pétrole qui s'échappe d'un puits depuis l'explosion le 20 avril d'une plateforme pétrolière dans le Golfe du Mexique, BP a allumé des feux contrôlés de la nappe de brut tout en contenant celle-ci dans des barrages flottants."Les tortues de mer protégées, dont la tortue de Kemp, une des plus rares tortues marines sur la planète, sont prises au piège dans la nappe et incapables de s'enfuir quand le pétrole est incendié", écrit l'organisation de défense des animaux.Selon la plainte, quelque 430 tortues appartenant à des espèces protégées ont déjà été tuées par la marée noire."BP pourrait organiser ses feux contrôlés sans tuer ni menacer les tortues de mer. Cela demanderait de consacrer des ressources à retirer les tortures des zones concernées avant de les brûler", affirment les défenseurs des animaux dans leur plainte.(AFP / 30 juin 2010 23h54) Source -
Le mystère du crocodile marin est résolu Comment le plus grand reptile vivant de la planète a colonisé les îles du sud du Pacifique. Le bon vieux mystère du «crocodile marin» n'est plus. Des scientifiques viennent de découvrir de quelle manière ce monstre venu du fond des âges (Crocodylus porosus) a pu jadis coloniser de larges fractions de notre planète. Et la fatalité pouvant ne pas toujours être un hasard cette découverte coïncide avec celle laissant penser Crocodylus porosus et nombre de ses congénères pourraient vivre moins longtemps que les astres ne l'avaient –peut-être– prévu. Les lézards ne sont plus ce qu'ils furent. Crocodylus porosus? Tout sauf de la chair de crabe. Du vrai, du lourd, du reptilien carné. Pas loin de l'homme, en somme; avec une dentition d'un autre ordre. Le «crocodile marin» («crocodile de mer»; «crocodile à double crête») est le plus grand, le plus lourd et le plus puissant reptile vivant encore sur notre planète (avec, peut-être un petit concurrent nageant à l'ombre des Pyramides; pour ne pas parler d'un autre qui croiserait au large de Madagascar. Chez Crocodylus porosus l'adulte mâle fait entre 4,3 et 5,6 mètres de long, pour une masse dépassant en moyenne les trois-quarts de la tonne. Dans quelques zincs portuaires des antipodes (en Inde ou en Australie) certains affirment mordicus avoir vu (ou entendu parler) d'individus dépassant la tonne et approchant le décamètre. Quant aux femelles, elles sont nettement plus modestes: pas plus de 2,5 à 3 mètres entre l'extrémité du museau et celle de la queue. L'inventeur du surf Chronomètre aquatique en main il peut, dit-on, atteindre (pendant peu de temps et sous l'eau) des vitesses comprises entre 24 et 29 km/h (après quelques petites excitations musculaires muqueuses ou digestives). Sinon compter chez lui avec une «vitesse de croisière» comprise entre 3 à 5 km/h. Avec, faute d'excitations, des épisodes léthargiques de très longues durée. Ajoutons qu'il ne déplaît pas toujours aux cuistres de rappeler que le nom de cette espèce reptilienne («porosus») est issu du grec porosis (callosité) et du latin osus (plein de). Le quotidien de Crocodylus porosus? Goûtant également eaux douces et salées l'animal patauge et nage entre marais et rivières durant l'humide saison tropicale avant de rejoindre les saumâtres estuaires à la saison sèche et, parfois, aller jusqu'à apprécier les salaisons maritimes. Pour le reste, que du connu de l'humain: prédateur opportuniste; violentes compétitions territoriales, mâles dominants accaparant les zones les plus intéressantes des criques et des ruisseaux d'eau douce propices aux harems et à la bonne chair (singes, kangourous, sangliers, varans, chiens, buffles domestiques, léopards, humains etc.; jeunes repoussés vers le sel de la mer. Mais comment ceci aurait-il, à lui seul, pu expliquer l'existence d'une formidable diaspora? Comment ce prédateur léthargique a-t-il pu étendre progressivement son aire géographique du sud est de l'océan Pacifique et de l'est de l'Inde aux îles Fidji, de la Chine à l'Australie? Le mystère était d'autant plus épais que Crocodylus porosus ne peut pas être stricto sensu considéré comme un reptile marin son alimentation réclamant pour l'essentiel sa présence sur terre et qu'aucune information crédible ne laisse penser qu'il a su inventer le canoë ou la caravelle. Quoique. On ne peut pas, tout d'abord, ne pas tenir compte de nombreux récits de marins rapportant avoir vu de gros crocodiles dans les eaux océanes, loin de tout rivage, de tout estuaire. Le rhum ne peut tout expliquer. Mais on dispose désormais surtout de la démonstration scientifique apportée par un groupe de chercheurs dans la dernière livraison (datée du 8 juin) du Journal of Animal Ecology, revue de la société britannique d'Ecologie. On peut résumer simplement ce travail: bien avant l'homme le crocodile marin aurait inventé le surf; mieux: le surf sans la planche du même nom. Car c'est bien ce qui, pour la première fois, ressort de la longue enquête menée par l'équipe dirigée par le Dr Hamish Campbell (Université du Queensland) et ses collègues du Queensland Parks and Wildlife Service and Australian Zoo. Travaillant sur les berges inhumaines de l'estuaire de la Kennedy River, dans le grand nord australien, ces chercheurs ont équipés vingt-sept crocodiles marins adultes avec des émetteurs récepteurs sonar sous-marins. Ils ont ainsi pu suivre (on suppose à leur insu) tous les mouvements de ces sauriens durant douze mois. Au total douze millions de données numérisées et la découverte que ces mâles et femelles souvent léthargiques peuvent, le cas échéant, faire de longs et beaux voyages et se rendre régulièrement à plus de cinquante kilomètres à partir de leur territoire d'origine tout en abandonnant le cabotage. Et ces données témoignent aussi d'une parfaite maîtrise des lieux: tenir compte de l'heure et des coefficients des marées, sentir venir les vents et en user au mieux, etc. De vieux marins en somme, surfeurs partis en croisière et usant au mieux des courants de surface, de la brise et des rouleaux; des reptiles pouvant ainsi aller parfois poser leurs pattes d'une île océanique à une autre. L'un des sujets étudiés (un mâle de 3,84 mètres de long) a ainsi parcouru 590 kilomètres pendant 25 jours sur la côte ouest de la péninsule du Cap York et ce dans des courants marins particulièrement difficiles à gérer. Un autre sujet mâle (4,84 mètres de long) a aisément fait 411 kilomètres en vingt jours dans des conditions hydrodynamiques encore plus délicates. «Ces crocodiles sont a priori de mauvais nageurs et il est peu probable qu'ils nagent dans de vastes étendues de l'océan, résume le Dr Campbell. Pour autant ils peuvent survivre pendant de longues périodes dans l'eau salée sans boire ni manger. Et quand les courants de surface leur sont favorables, ils sont en mesure de se déplacer sur de longues distances par voie maritime.» Ceci explique selon lui comment de simples crocodiles d'estuaire ont pu coloniser des îles océaniques très éloignées les unes des autres. Mais cette découverte soutient également la théorie selon laquelle les crocodiles ont su dépasser d'importants obstacles marins au cours de leur très long et très riche passé évolutif. Une espèce à préserver Tout ceci pourra-t-il encore continuer? Rien n'est moins sûr, du moins si l'on en croit les militants de la lutte pour le maintien de la biodiversité et leur sous-groupe spécialisé, précisément, dans la raréfaction des crocodiles toutes catégories confondues. Ces amoureux de la Nature originelle sont tout particulièrement inquiét pour le spécimen dit «de l'Orénoque» bassin du fleuve du même nom traversant le Venezuela et la Colombie. C'est là encore un bien vieux et bien long carnivore doté de soixante-huit dents; peau gris-jaunâtre; brame rugissant effrayant selon les voisins. Mais présence indispensable dans la chaîne écologique: c'est le plus grand prédateur de la zone, ses mâchoires et son appétit réduisant fort heureusement à la portion congrue la présence d'amphibiens et de plus petits caïmans. Lui présent, il n'y a plus de poissons dans les rivières. Mais l'homme est là; et bien là. Au début des années 1960, ces crocodiles étaient encore nombreux et appréciés par les maroquiniers du fait de la «douceur» de leur peau. «On vendait en Colombie un millier de peaux par jour», confiait il y a peu à l'Agence France Presse Roberto Franco de Villavicencio, en charge de la préservation de cette espèce. Aujourd'hui, après des décennies de chasse intensive et de déforestation, on ne compterait plus qu'une centaine de spécimens en liberté, après des années de chasse intensive, interdite en 1968, et de déforestation. Il faut sauver le crocodile de l'Orénoque. «Le crocodile a été le surnom de mon père quand il jouait au tennis, et si nous pouvons rendre un petit peu au crocodile tout ce qu'il nous a apporté cela serait dommage de ne pas saisir l'occasion», vient de faire savoir Michel Lacoste. Ce responsable de l'entreprise éponyme assure qu'il ne s'agit pas d'user ainsi d'un nouveau «support de communication» pour sa célèbre marque familiale, mais de faire preuve de «responsabilité citoyenne». Pour le plus grand bien des humains et des sauriens les cœurs crocodiliens continueront ainsi à battre; sur terre battue ou pas. Jean-Yves Nau Source
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Un python disparaît, les habitants paniquent Le serpent a disparu à La Boissière-sur-Èvre, samedi. L'inquiétude croit, mais l'animal n'est pas dangereux. À La Boissière-sur-Èvre, petite commune de 380 habitants du Choletais, on ne parle plus que de ça. De ce « python en liberté », d'une taille considérable d'un mètre quarante, prêt à surgir d'un coin de rue, à se cacher dans l'arbre qui surplombe votre jardin... « Il est balèze comme serpent, quand même », dit une habitante. « Il faut fermer toutes les fenêtres », ajoute un autre, un peu craintif. Une troisième ne mâche pas ses mots: « Si je le vois, il prend un coup de pelle ! »Depuis le début de la semaine, la disparition d'un python royal, du domicile de ses propriétaires, sème une frousse bleue aux habitants de la commune. Au point donc d'alimenter tous les fantasmes. Mais c'est exagéré, affirme la maîtresse de cet « animal de compagnie » : « Le python royal est inoffensif, il n'est pas venimeux. » Ginuis¯son petit nom¯, âgé de 17 ans, « mange uniquement des souris, des hamsters. Pas d'animaux qui dépassent sa grosseur, c'est-à-dire 10 centimètres. »C'est dans la nuit de vendredi à samedi que le python a pris la poudre d'escampette. Il faisait trop chaud, sans doute. « On l'a sorti du terrarium, pour qu'il s'aère et qu'il fasse de l'exercice. Mais il a disparu par une fenêtre restée ouverte. » Mardi, après de vaines recherches, les autorités sont prévenues: pompiers, gendarmerie, mairie. Aucun dispositif n'est cependant lancé, « puisque ce serpent n'est pas dangereux », rappelle le maire, Christophe Dougé. D'ailleurs, le python royal est, de loin, le python le plus gardé en captivité, du fait de son caractère docile.« Les voisins les plus proches ont été informés », dit-il, tandis qu'une affichette a été collée à la vitrine du bar du centre-bourg, avec le numéro de ses propriétaires (0981727203). « C'est lui qui est en danger. Si on ne le retrouve pas d'ici la fin de l'été, il ne survivra pas au froid de septembre. C'est un animal tropical », rappelle sa propriétaire, attristée. Source
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2 décès dus à des morsures de vipère en moins d'une semaine
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
2 décès dus à des morsures de vipère en moins d'une semaine Deux cas de morsures mortelles de serpent ont été enregistrés en moins d'une semaine dans la zone éparse de la commune de Misserghine, au sud-ouest de la wilaya d'Oran. En effet, jeudi, un quinquagénaire a été mordu par une vipère alors qu'il vaquait à des travaux agricoles dans sa ferme. Transféré au service des urgences du CHUO, il a rendu l'âme. Cet accident, le deuxième du genre après celui dont a été victime un jeune adolescent, décédé lui aussi, deux jours auparavant, a suscité la colère des citoyens qui n'ont pas manqué de qualifier de grave négligence, caractérisée par l'indisponibilité du sérum antivipérin au niveau des centres de soins des localités où sont signalés ces reptiles. Toutefois, une source de la pharmacie du centre hospitalo-universitaire a indiqué que «ce produit est disponible en quantité suffisante au niveau des structures sanitaires relevant du secteur public. Aussi bien les sérums antiscorpioniques que vipérins. Les stocks sont renouvelés chaque année et chaque commande peut être honorée, même si Oran n'est pas située dans une zone de prolifération de vipères et de scorpions», précisera notre source. La même source ne manquera pas de relever que des cas de piqûres de scorpion et de morsures de serpent (couleuvre et vipère) sont enregistrés chaque année, notamment en été. Les scorpions sont signalés en été aussi bien sur la bande du littoral que dans les zones rurales. «Il y a quelques années, alors que j'étais installé le soir avec mes enfants sur le gazon d'un bungalow du complexe des Andalouses, j'ai été surpris par l'apparition d'un scorpion. Après l'avoir tué, je l'avais mis dans un sac et je me suis dirigé quérir le directeur du complexe qui m'avait affirmé la présence de ces bestioles dans les alentours du site en précisant que cela est dû à l'amoncellement de détritus par la faute de certains vacanciers peu respectueux de l'environnement et de l'hygiène», affirme un habitant d'Oran spécialiste en toxicologie. La même source a affirmé que les décès enregistrés sont dus à des réactions allergiques de l'organisme au venin. Même avec un sérum, le pronostic vital dans ce genre de situation est minime. C'est une réaction en chaîne qui se fait dans les tissus et les organes du corps humain au contact des composants du venin injecté par la vipère ou par le scorpion. «Oran n'est pas située dans une zone de prolifération des reptiles et de scorpions qui englobe une bonne partie des Hauts Plateaux et le Sud algérien, mais cela ne veut pas dire que les produits de lutte contre les bestioles et leur venin ne sont pas disponibles. Les approvisionnements sont effectués dans le cadre d'un plan national qui est mis en branle à chaque mois d'avril et qui concerne l'ensemble du territoire national. Il ne faut pas croire que c'est une négligence. Toutefois, j'invite les habitants des zones rurales à nettoyer les abords de leur maison, à enlever les tas de pierres qui s'amoncellent non loin de leur habitation et qui peuvent servir des cachettes à ces bestioles. Je les invite également à procéder à des campagnes de nettoyage périodique pour éliminer les décharges sauvages qui sont des foyers propices à la prolifération d'insectes et de bestioles dangereuses. On parle de scorpions et de vipères mais il ne faut pas oublier également les morsures de chiens et de chats errants et de rats qui sont des vecteurs de la peste qu'on croyait vaincue et qui avait fait son apparition en 2005 à Kehaïlia, aux portes d'Oran», souligne la même source. Source -
La tortue caouanne, le lamantin et le pélican brun sont très menacés par la marée noire
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Des milliers de tortues évacuées pour échapper à la marée noire Face à la marée noire du Golfe du Mexique, un plan d’évacuation sans précédent se prépare aux Etats-Unis: 70.000 œufs de tortue seront déplacés juste avant l’éclosion. Un plan d’une ampleur inédite se met en place en Floride et en Alabama pour sauver des tortues de la marée noire qui pollue le Golfe du Mexique. Pour éviter que des milliers de petites tortues se jettent dans les eaux souillées par les hydrocarbures, les services fédéraux américains (US Fish and Wildlife Service) ont décidé de déplacer le contenu de 800 nids de tortues marines. Soit un nombre estimé de 70.000 œufs de tortues luth, tortues vertes, et même quelques œufs de tortues de Kemp, pondus comme chaque année sur les plages de Floride et d’Alabama. Les opérations doivent commencer dans quelques jours. 50.000 éclosions attendues Après une période d’incubation de soixante jours passés bien à l’abri dans le sable, les jeunes tortues cassent leur coquille et foncent vers la mer. Environ 50.000 éclosions sont attendues pour juillet 2010. Les tortues luths sorties de l’œuf passent quelques mois près de la côte avant de rejoindre les grands courants océaniques, comme le loop current qui les emmène vers l’océan Atlantique. Mais cette année elles ont de fortes chances de rencontrer sur leur route le pétrole qui s’échappent depuis fin avril de l’ancien puits de Deepwater Horizon. Le plan de sauvetage prévoit donc de prélever les œufs avant l’éclosion, de les déposer dans des boîtes de polystyrène, bien calés dans du sable, et de les transporter par avion jusqu’à la côte Atlantique de la Floride. Les boîtes à œufs seront placées sous bonne garde dans un bâtiment incubateur. Dès qu’elles casseront leur coquille, les tortues seront lâchées pour gagner le rivage d’une mer propre. FRAGILE Ce n’est pas la première fois que des équipes scientifiques déplacent des nids de tortues pour les mettre à l’abri de prédateurs ou pour tenter de réinstaller une espèce sur un site. Cependant l’ampleur de cette opération est inédite. Et ce n’est rien de dire que les organisateurs marchent sur des œufs. La collecte et le transport devront se faire avec des précautions immenses afin de ne pas modifier l’orientation des œufs. Le plan prévoit en effet de ne déplacer les œufs qu’au bout de 50 jours d’incubation et non pas tout de suite après la ponte. Or à ce stade l’embryon est relié à une membrane fragile dont dépend son oxygénation. La rupture de cette membrane signifie la perte de l’embryon. Le choix de ce délai a été fait pour laisser la détermination sexuelle se faire naturellement (elle dépend de la température de l’œuf), ainsi que pour laisser une chance aux embryons de mémoriser leur lieu de naissance. Les tortues reviennent en effet à l’âge adulte pondre sur les plages où elles sont sorties de leurs œufs. Une incertitude demeure sur la période à laquelle les tortues mémorisent ce lieu: est-ce dès l’incubation ou au moment de l’éclosion? Les tortues déplacées sur la côte Atlantique reviendront-elles sur les plages du Golfe? Eclosion d'une tortue luth. Pendant leur course jusqu'à l'eau, ces petites tortues sont la cible de prédateurs, notamment des oiseaux.(Mark Conlin KCA/SUPERSTOCK/SIPA) Chaîne alimentaire polluée Entre les risques liés à ce déménagement inédit et les dangers que courent les tortues avec la marée noire, «nous sommes entre le marteau et l’enclume» commente le biologiste Michael Salmon, spécialiste des tortues à l’Université de Floride, interrogé par la revue Nature. De son côté, la revue Science se fait l’écho de deux études en cours montrant que la chaîne alimentaire marine commence à être souillée par la marée noire. Deux équipes indépendantes ont en effet constaté que des larves de crabes bleus ou de crabes violonistes prélevées dans les estuaires du Golfe sont chargées en hydrocarbures. Cette pollution peut être néfaste pour les crabes mais aussi pour tous les animaux de la chaîne alimentaire qui les consomment. La marée noire déclenchée par l’explosion du puits sous-marin Deepwater Horizon le 21 avril est la plus grave catastrophe pétrolière de l’histoire des États-Unis. Cécile Dumas Sciences et Avenir.fr 05/07/10 Source -
Une tortue sauvée par le commandant Cousteau embarque sur le MSC Magnifica MSC Cruises a transporté une passagère très particulière à bord du bord du MSC Magnifica. Du 27 au 29 juin, le paquebot a accueilli à son bord Isabel, une tortue de mer sauvée il y a quarante ans par Jacques Cousteau. Après avoir passé 30 ans à l'aquarium de Stuttgart, l'animal, long de 1 mètre, avait été transféré à la Stazione Zoologica Anton Dohrn de Naples. Plutôt que de la laisser en captivité jusqu'à la fin de sa vie, il a été décidé de tenter de relâcher Isabel dans son élément naturel. A l'occasion de l'année internationale de la biodiversité, MSC Cruises s'est impliqué dans l'opération en assurant le « convoyage » de la tortue entre l'Italie et la Turquie. Durant ses deux jours à bord du Magnifica, Isabel a fait l'objet de toutes les attentions, deux zoologistes italiens la suivant sur le navire et la présentant aux passagers, expliquant les enjeux de l'opération. Partie de Bari, la tortue est arrivée à Izmir, où elle a été remise aux spécialistes de l'université de Pamukkale. Ces derniers seront chargés de la relâcher sur la plage d''Iztuzu, l'un des trois sites protégés pour tortues de mer en Turquie. Equipée d'un petit émetteur satellite, Isabel continuera d'être suivie par les scientifiques, permettant ainsi d'enrichir les connaissances sur cette espèce. Source
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Une tortue alligator aperçue à Lotbinière Une tortue alligator, âgée d’une trentaine d’années, a été observée à Lotbinière, dans Chaudière-Appalaches. Connue sous le nom de chelydra serpentina, ou tortue alligator, ce spécimen est visible surtout dans la partie sud du Québec. Elle est connue comme étant la plus commune et la plus grosse tortue au Québec. Elle peut vivre une quarantaine d’années, et jusqu’à 60 ans lorsqu’elle est en captivité. La tortue alligator possède une forme très archaïque. Elle doit son nom au fait qu’elle est particulièrement agressive et mord tout ce qui est à portée avec ses puissantes mâchoires. Particularités Claude Desrosiers, un spécialiste des tortues au Québec, affirme que cette tortue est très répandue au Québec. On la retrouve jusqu'au Lac-Saint-Jean, mais elle est absente à l'est de Québec. La tortue alligator peut facilement sectionner un doigt et sortir son cou pour happer jusqu’à 45 cm de distance. Elle peut atteindre un poids de 25 kg et mesurer entre 40 et 80 centimètres. Généralement, les mâles sont plus petits que les femelles. La carapace du spécimen observé avait ne quarantaine de centimètres de large. La tortue alligator est omnivore et mange autant de la végétation que de la charogne, des poissons ou des canards. Source
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Le mythe du serpent aphrodisiaque L’Asie dans sa globalité est connue pour sortir de derrière les fagots toutes sortes de produits permettant aux hommes de reprendre des forces, que ce soit aphrodisiaque, pour l’endurance, etc. Ces produits ont gagné en réputation au cours des siècles et les braconniers chassant les animaux en voie de disparition ne sont pas rares dans la zone extrême orientale. Depuis deux petites années, c’est un produit assez particulier qui se développe sur le marché : Le serpent. Pourquoi est-ce tendance ? Tout simplement parce que les stars coréennes ne cessent de témoigner, avouant que la consommation leur a donné une nouvelle santé. Depuis 2008, les concoctions à base de serpents ont été multipliée par neuf selon le ministère de l’environnement. L’année dernière, ce ne sont pas moins de 1 834 serpents qui ont été récupérés par la police avant qu’ils ne soient redistribués par les braconniers. Incomparable par rapport aux 205 de 2007 et aux 452 de 2008. Jusqu’à présent, les concoctions à base de gros mammifères de type sangliers ou élans se retrouvaient souvent sur les marchés, tout comme les sexes de renard de Sibérie (censé rapprocher les personnes de l’Être aimé), mais le serpent a fait une entrée remarquée. Pour les autorités, les témoignages de stars n’aident vraiment pas, surtout que les effets aphrodisiaques de la consommation de serpent sont, pour les policiers, dignes d’une légende urbaine. Les services de police ont tenu à rappeler hier que la consommation et la distribution de viande de serpent était illégale et passible d’une amende allant jusqu’à 5 millions de wons ou une peine de prison d’un an. Les braconniers peuvent encourir jusqu’à deux ans de prison et une amende de 10 millions de wons. En 2009, les autorités ont arrêté 812 braconniers, moins que les années précédentes avec 940 en 2008 et 910 en 2007. Par contre, le nombre d’animaux trouvés par personne n’a cessé d’augmenter : 3.93 en 2007, 5.02 en 2008 et 10.19 en 2009. Les pièges récupérés par les autorités ont également cru avec 26 982 en 2009, contre 9 843 en 2008 et 11 348 en 2007. Le ministère compte continuer de manière poussée sa chasse aux braconniers jusqu’au 15 juillet. Une nouvelle loi devrait bientôt être déposée afin de punir toute personne qui maltraitera un animal, le nombre de vidéo mettant en scène des personnes frappant des animaux domestiques ne cessant de croître sur la toile. Une amende d’un million de wons pourrait être infligée aux responsables. Source
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Manziat. Un serpent d’1,50 mètre trouvé mort (d’où vient-il ?)
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Manziat. Un serpent d’1,50 mètre trouvé mort (d’où vient-il ?) Manziat, Ain. Samedi. Au Moulin Nillon. Raymond aperçoit dans la petite rivière qui passe près de chez lui (La Petite Loëze), le dos écaillé d’un poisson… Mais non, c’est un grand serpent d’1,50 mètre, au dos écaillé vert foncé, au ventre jaunâtre, et avec une tête ovale, comme ceux qu’on trouve plutôt dans les régions tropicales… Heureusement, il est mort, précise Le Progrès. Reste à savoir comment il s’est retrouvé dans ce ruisseau… Et ce journal pose les questions « Comment s'est-il retrouvé dans la Loëze ? Était-il mort lorsqu'il y a été jeté ou quelqu'un s'en est-il débarrassé volontairement ? S'est-il enfui d'un vivarium pour ensuite mourir dans la rivière ? ». Pas de réponses… On a prévenu la mairie de cette trouvaille peu courante ! En attendant, il y a des rumeurs dans le village… alors vaudrait mieux savoir rapidement d’où il vient… Source -
Russie : un python se cache dans le moteur d'une voiture
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Russie : un python se cache dans le moteur d'une voiture MOSCOU — Un python réticulé de deux mètres de long s'est réfugié dans le moteur d'une voiture coincée dans des embouteillages à Samara, une ville située sur la Volga, a rapporté mardi l'agence Interfax, précisant que l'animal avait pu être sauvé, mais que sa provenance restait un mystère."Hier (lundi), dans un embouteillage sur la rue Novo-Sadovaïa, un python s'est glissé dans le moteur d'un véhicule de marque étrangère. Les passagers d'une voiture voisine l'ont remarqué et ont prévenu le conducteur", a indiqué à Interfax le zoo de Samara, dans le sud de la Russie.Un "spécialiste" du zoo a alors été dépêché sur les lieux et a réussi à extraire le serpent du véhicule. "Le python était dans un état grave. Heureusement pour lui, il y avait des bouchons, sinon il serait mort. Son état est désormais satisfaisant", a raconté le zoo."Nous sommes sûrs que le propriétaire va bientôt se faire connaître et récupérer ce touriste", a ajouté la même source.Le python réticulé est en effet originaire du sud-est asiatique. A l'âge adulte, les plus grands spécimens peuvent dépasser les neuf mètres de long. Source -
Les bébés de mam'zelle Ka !! (beaucoup de photos)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Agamidés
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27 Juin 2010 (Uroplatus fimbriatus)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans L'espèce de la semaine
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Journée de herping avec la AHVR
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Eros03 dans Herpétofaune
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Les bébés de mam'zelle Ka !! (beaucoup de photos)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Agamidés
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27 Juin 2010 (Uroplatus fimbriatus)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans L'espèce de la semaine
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Frequence de nettoyage terra
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de caro881 dans Le terrarium
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Les bébés de mam'zelle Ka !! (beaucoup de photos)
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Agamidés
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Biodiversité : le crocodile marin de Bornéo sauvé !
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Biodiversité : le crocodile marin de Bornéo sauvé ! Quand on parle biodiversité, on focalise très souvent notre regard sur les espèces menacées. Mais une fois n’est pas coutume, parlons positivement de la biodiversité 2010 : les crocodiles marin, qui peuplent l’île de Bornéo, sont de plus en plus nombreux suite à des mesures prises en faveur du reptile. Conséquence de cela, les autorités de l’île demandent à revoir le statut d’espèce menacée qui protège le crocodile marin. L’animal s’attaquerait de plus en plus à l’homme et aurait provoqué 23 morts en 10 ans du fait de la restriction de son habitat. Cependant, chasser à nouveau le reptile pourrait poser un problème aux associations protectrices des animaux, puisque le crocodile est recherché pour sa peau et sa viande. Reste maintenant à savoir si la population se maintient à un nombre suffisant avant que les services de la faune et de la flore de Bornéo émettent un nouvel avis sur la question. Source -
Journée de herping avec la AHVR
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Eros03 dans Herpétofaune