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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Tégu noir et blanc d'Argentine
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Autres sauriens
Il a quelques cachettes en fait. J'avais lut que ça mangeait des végétaux, je lui en donne en préparant ceux de mes barbus mais il n'est jamais allé pigé dedans. J'ai essayé en lui mettant des vers dedans mais sans plus de succès. Il mange toute sorte d'insectes par contre. J'ai essayé une pinky décongelé mais il n'en avait peur. -
Tégu noir et blanc d'Argentine
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Autres sauriens
En fait, le mien se gonfle et siffle quand on veut tenter de le prendre mais ne tente jamais de mordre par contre. Une fois dans les mains, c'est un amour. Sa petite frustration, il la fait aussi quand il tente d'attraper une proie et qu'il rate son coup. Ça me fait rire chaque fois. Il est très jeune le mien encore. J'espère que tout va aller pour le mieux. -
Capturé après des mois de cavale Un fugitif d’un genre un peu particulier a été capturé hier par les pompiers de Saint-Pierre. L’animal en question est un jeune iguane, vraisemblablement un iguane vert originaire d’Amérique centrale. Cela faisait plusieurs mois que les habitants de Bois d’Olive lui “couraient” après. “On a reçu pas mal de coups de fil ces dernières semaines pour nous signaler l’animal. Les résidents de ce quartier des hauts de Saint-Pierre ont bien essayé de l’attraper mais sans succès”, témoigne Alain, le vaillant pompier et chasseur d’iguane à ses heures, qui a capturé la bête hier en fin d’après-midi. Pour confondre l’animal, les soldats du feu ont dû sortir l’artillerie lourde : la grande échelle. “L’iguane était perché dans un arbre, un avocatier, à 7 ou 8 mètres de hauteur. Pour réussir à le capturer, nous avons dû mettre au point un stratagème. On l’a poussé à descendre de son perchoir et on l’a acculé au pied d’un mur”, raconte Alain. Ce pompier saint-pierrois est un grand amateur d’animaux. Il possède plusieurs espèces chez lui et, après un séjour au Tchad en tant que militaire, se dit habitué des reptiles. “Là-bas, on a affaire à des reptiles beaucoup plus dangereux. Les mambas noirs dont la morsure est mortelle”. Un autre iguane dans la nature Une fois pris dans les mailles du filet, l’iguane de Bois d’Olive a été conduit chez un professionnel du secteur. Ce vétérinaire estime que l’animal, vu sa taille (90 cm), doit avoir un ou deux ans. Il s’agirait d’un iguane vert, reptile originaire d’Amérique centrale qui se nourrit principalement de fruits et de légumes (ce qui explique peut-être qu’il ait été capturé sur les branches d’un avocatier). D’un vert très vif dans son jeune âge, ce type d’iguane brunit avec le temps. Une fois la maturité sexuelle atteinte, la bête peut mesurer jusqu’à deux mètres et peser dix kilos. Si l’iguane n’est pas un animal méchant, il peut toutefois, lorsqu’il n’a pas été habitué à la présence de l’homme, se montrer agressif quand on tente de le toucher. Le jeune animal capturé hier a ainsi fait preuve d’un tempérament rebelle. Il s’est “hérissé” quand les pompiers l’ont pris et a “chargé” le vétérinaire qui tentait de le nourrir avec des feuilles. Aujourd’hui, l’animal est sous bonne garde, dans une clinique vétérinaire. Il attend que son propriétaire se manifeste. À défaut, le vétérinaire qui l’accueille prévoit de le confier à un spécialiste des reptiles à la Réunion. “Beaucoup de gens adoptent ces animaux, que l’on trouve en vente dans certaines animaleries. C’est une erreur. Ce sont des bêtes qui requièrent des soins particuliers et qui ne sont pas faites pour être des animaux de compagnie”. Sous peine de les rendre malheureux voire malades. On apprenait hier dans la soirée qu’un deuxième iguane du même type serait encore actuellement en train de se balader dans le quartier de Bois d’Olive. Les habitants auraient en effet aperçu un autre représentant de l’espèce se promener dans les environs. Espérons que les deux reptiles n’aient pas eu le temps de procréer durant leur période de liberté partagée ! Armelle Hervieu Source
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Morsure de lézard à Jeanne-Mance
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Morsure de lézard à Jeanne-Mance Lors d'un atelier, mardi matin, offert à l'école secondaire Jeanne-Mance, dans le cadre de la Semaine des sciences, les services d'un individu avaient été retenus pour offrir une présentation de reptiles aux élèves. Or, l'activité a plutôt mal tourné... bien que tout s'est bien terminé. Par simple malchance, en pleine démonstration, le présentateur s'est fait mordre au poignet par son lézard de type Varanus salvator. La morsure était longue de deux à trois centimètres. Par mesure préventive, l'homme a dû quitter en ambulance pour se faire soigner. La morsure aurait pu être vénéneuse, car la bête sécrète un produit anticoagulant. La Commission scolaire des Chênes assure qu'aucun élève n'a été impliqué dans l'incident et que l'individu s'en est finalement tiré indemne. Le présentateur n'en était pas à sa première démonstration à Jeanne-Mance, lui qui a coutume d'offrir ses services dans les établissements scolaires. D'ailleurs, le directeur de l'école, Serge Grégoire, affirme que le responsable était de retour, mercredi, pour offrir sa dégustation d'insectes, fort populaire auprès des jeunes, tout comme l'ensemble de ses ateliers, qui lui donnent l'occasion de présenter ses serpents, reptiles et araignées qu'il transporte en cage. «C'est la première fois que ça lui arrive», indique le directeur. Source
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Mourning gecko
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Precious Gecko1 dans Fiches sur les lézards
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ON EST PAS DES CONS !!!
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Majesty1 dans Coup de coeur/Coup de masse
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Les amphibiens sont utiles, observons-les ! Le public est invité à visiter les mares du pays des Olonnes pour suivre l'évolution des grenouilleset des crapauds. Une démarche lancée par le Museum national d'histoire naturelle. Découvrir la richesse d'une mare « On a tous vu des grenouilles ou des crapauds. C'est très sympa mais ça apporte peu d'information sur l'évolution des espèces menacées. » Ronan Arhuro, chargé d'étude et naturaliste de l'Association de défense de l'environnement en Vendée (Adev), a ainsi accueilli, samedi matin, une quinzaine de personnes, aux Conches Bressaudières à Olonne-sur-Mer. L'occasion d'écouter le chant des grenouilles, observer têtards et autres batraciens. Un suivi des amphibiens C'est que le Museum national d'histoire naturelle met en place un suivi des amphibiens dans le cadre de l'initiative Vigie nature. « Cela rejoint la démarche du zoo des Sables et de l'Association de défense de l'environnement en Vendée. » L'objectif : inviter le public à « visiter une mare de façon régulière pour voir l'évolution des espèces qui viennent s'y reproduire. Ces observations seront ensuite transmises au Museum. » Trois visites par an « On peut participer sans avoir d'importantes connaissances. Le suivi d'une mare peut s'intégrer à une promenade du week-end. » Avec trois visites par an en période de reproduction des amphibiens : à la fin de l'hiver au moment des premières pontes, au printemps, puis au mois de juin. Les espèces locales Au pays des Olonnes, on peut trouver des salamandres, des tritons, des grenouilles brunes et vertes, des rainettes, des crapauds communs, des crapauds accoucheurs ou à couteau. « La plupart des espèces sont protégées. On n'a pas le droit de les capturer. La grenouille verte, quant à elle, est soumise à la réglementation sur la pêche. » Pièce maîtresse de l'écosystème « Les amphibiens suscitent peu d'intérêt auprès du public. Saufla rainette très colorée qui présente une certaine beauté. Le crapaud inspire même parfois du dégoût. » Pourtant, ces espèces font partiede la chaîne alimentaire du milieu aquatique. « Elles sont une pièce maîtresse de l'écosystème. »Les amphibiens sont menacés par la fragmentation de leur habitat, la destruction des zones humides. « Malgré la loi sur l'eau, ces zones sont encore insuffisamment protégées. » Les informations à récolter Écouter le chant des amphibiens qui témoigne de leur reproduction sur le site, compter le nombre d'individus, vérifier la présence de têtards avec une épuisette, observer la végétation... Ces renseignements sont à recueillir en journée, au crépuscule, à l'aube ou même la nuit, selon les espèces. L'équipement Pour une observation efficace, le public est invité à se munir d'une épuisette, de jumelles, d'un appareil photo, d'un carnet de notes. « Il n'est pas nécessaire de rentrer dans l'eau. Dans le cas contraire, il est recommandé de désinfecter son matériel. » Pas question de rentrer à la maison avec une grenouille ou un têtard. « Après observation, les amphibiens doivent être relâchés dans leur milieu naturel. » Laurence MONARD. Renseignements : Adev, tél. 02 51 33 12 97 Source
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Du venin de serpent pour faire disparaître les rides
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Du venin de serpent pour faire disparaître les rides Le venin de nos amis rempants est le nouveau élément maître des formules anti-rides. Dans un pot de crème bon-marché contenant le venin d'un serpent asiatique, vous trouverez les mêmes promesses de réussite qu'après une injection de botox. Pas cher et efficace La nouvelle crème miracle "Lacura Wrinkle Stop" reproduit les effets du venin d'une vipère d'un temple asiatique en figeant les muscles faciaux. Si la formule parvient à faire ça, on comprend qu'elle fasse aussi disparaître rides et ridules. S'il ne s'agit pas de la première tentative de crème sur base de cette substance venimeuse synthétique, le prix proposé est par contre une vraie première. Contre environ cent euros qu'il fallait compter pour les versions originales du produit, le "Lacura Wrinkle Stop" ne coûte que sept euros par conditionnement. Pas cher pour une crème anti-rides qui fonctionne, si on en croit les premiers tests cliniques. Ceux-ci révèlent qu'utilisée matin et soir pendant quatre semaines consécutives, la crème réduit les rides de moitié. Mais le savant mélange contient évidemment d'autres substances réputées efficaces - l'élastine, le collagène, le rétinol et le le Q-10 - comme le souligne nu.nl. L'histoire ne dit pas quel élément de la formule a l'effet le plus radical. Chez Aldi La crème miracle sera dès la fin du mois d'avril dans les rayons des filiales britanniques de la chaîne Aldi, et peut-être même en Belgique, mais l'information n'est pas encore définitive ni officielle. (ep/acx) Source -
Mon dieu, je suis surpris d'apprendre alors que j'ai été dans vos premiers clients. Je n'en savais rien sérieusement. J'ai toujours été très bien servit chez vous mais malheureusement étant à pied maintenant pour des raisons personnelles, c'est plus difficiles. Côté qualité des rongeurs, j'ai rarement eu d'aussi bonne qualité. Je sais que ce n'est pas votre reproduction mais vous avez quand même choisi la qualité tout de même. Pour ce qui est des reptiles, je ne crois pas avoir acheté autre chose que du corns snakes chez vous à l'exception du mois dernier d'un petit milk snake pour l'animalerie. Il mange vraiment comme un porc ce petit torieux. À cet âge, j'en ai souvent vu qui étaient capricieux côté repas mais lui, du tout. Même en mue, il mange une ou deux proies en ligne. Je n'ai jamais eu de problème de santé avec aucun serpents provenant de chez vous. C'est un peu le pourquoi je t'ai offert l'opportunité de t'afficher ici. J'ai une grande confiance aveugle en vous, donc aussi bien en faire profiter le monde le plus possible. Merci pour tout René
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ON EST PAS DES CONS !!!
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Majesty1 dans Coup de coeur/Coup de masse
Hey je travaille dans un animalerie moi et on est hot nous. lézard007 vient vite m'appuyer. Tu m'en as parlé de ça au téléphone hier, on était pressé tous les deux mais je peux donner un autre annecdote de ce gars là. Je l'ai trouvé tellement drôle. Il vaporisait les reptiles et il a vaporisé une Brachypelma smithi (mygale pour les incultes). Voici la conversation qui a suivit : - Hey qu'est-ce que tu fais là? - Je vaporise... - Oui mais de un, on ne vaporise jamais une mygale directement sur elle, de deux savais tu que c'était une mygale de milieu aride? - Oui, je le sais... - Ok... Pourquoi tu le fais d'abord? - ... Il n'a jamais rien répondu par la suite. J'appréciais beaucoup ce gars là au début quand je l'ai connu. Il ne connaissait rien mais il me posait plein de question quand j'y allais. J'avais l'impression qu'il voulait apprendre. Je lui avais donné le lien du site, je ne sais pas s'il s'est inscrit mais bon, il nous lit peut-être en ce moment. Dernièrement, il me donne l'impression d'être là-bas juste pour le chèque de paie et c'est dommage. À cet endroit, ils n'ont pas vraiment de formation, je sais de quoi je parle, j'y ai travaillé. C'est triste, si au moins, ils se donnaient la peine au moins. Pour ceux qui me connaissent personnellement le savent qu'à l'animalerie où je travaille, on est bien formé. Combien de mardi soir où vous m'avez appellé et j'étais à l'animalerie pour de la formation? Les trois derniers mardis, j'y étais en tout cas. On a une très bonne patronne sur ce côté. C'est juste certaines personnes qui ne prennent même pas la peine de se prendre des notes que je trouve dommage. Il y a des solutions là-dessus, mais il faut les faire connaître. Je tente un projet dans mon secteur à ce sujet et on verra par la suite. Je te félicite quand même Valérie. Je te félicite d'avoir prit la peine de leur dire. Beaucoup viennent chialer mais n'ont rien dit pour tenter de corriger la chose. Au moins, tu as fais ta part. Prochaine fois, parles en au boss. Je ne nommerai pas les noms ici mais si tu veux les connaître, tu me le feras savoir. -
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Tégu noir et blanc d'Argentine
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Autres sauriens
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des tortues partenaires du développement local à Ebodje
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Cameroun: des tortues partenaires du développement local à Ebodje Par Idriss Linge - 18/04/2009 Une expédition touristique autour des tortues marines a rendu le village très célèbre www.renatura.asso.eu.org Tortue marine Le village Ebodje est situé dans la zone touristique de Kribi. Il et peuplé près de 400 personnes et se présente aujourd’hui comme un exemple de rentabilisation optimale des avantages naturels. Les ressortissants de la localité ont pensé à se réunir autour d’un groupement d’intérêt économique dont le but est d’assurer la protection des tortues marines. L’organisation d’une initiative éco-touristique a emmené près de 200 touristes qui y sont allés pour voir spécialement des tortues marines dans un environnement strictement naturel. Ces touristes dont les nationalités sont fortement diversifiées ont vu leur nombre s’accroître au fil des temps depuis 2005. Désiré Foguekem le chargé du suivi écologique au programme Kudo-Zombo du fonds mondial pour la nature (WWF) explique que les tortues marines sont une excellente cible pour le tourisme de la faune car elles sont facilement visibles lorsqu’elles viennent sur la plage, et en plus, les gens sont toujours impressionnés par leur carrure massives. D’après le WWF, quatre espèces de tortues marines visitent les cotes de Kribi à Campo, dont certaines viendraient pour y faire leurs nids. Il s’agit de la tortue Luth qui est la plus grande des tortues marines avec un poids pouvant atteindre les 900 kilogrammes et possédant une structure sans véritable carapace ossifiée. On y recense plusieurs autres catégories de tortues toutes aussi rares les unes que les autres. Si le tourisme est le premier objectif des organisateurs c’est parce que dans le village on a compris que cette activité peut être source de revenu. Les revenus du tourisme pour l’économie locale sont substantiels. En janvier 2008 par exemple le GIC Eboutours aurait enregistré un montant proche de 400 000 f CFA. Selon Tobie Mediko l’un des responsables du GIC et conservateur du musée de la tortue, les recettes sont davantage liées à la durée du séjour des touriste qu’à leur nombre. Ces entrées proviennent des ballades guidées le long de la plage, de l’hébergement, de la restauration ainsi que de la taxe pour la protection de l’environnement prélevée chez chaque touriste. La communauté possède ainsi des structures d’accueil d’une capacité de 25 personnes pour loger les visiteurs qui envisageraient de prolonger leur séjour. Les touristes lors de leurs passage au musée des tortues marines acquièrent des notions sur la vie des tortues, leurs histoires mais surtout ils sont sensibilisés sur la nécessité des protéger les tortues qui pour beaucoup sont des espèces protégées. Les touristes sont en général obligés de passer la nuit car les tortues des plages d’Ebodje sont nocturnes. Elles profitent toujours de la fraîcheur de la nuit pour venir pondre leurs œufs. Des sorties nocturnes sont donc organisées par petits groupes et au plus grands plaisir des touristes mais aussi du village. www.congo.ird.fr Tortue marine Le village connaît en effet une amorce de développement grâce aux revenus touristiques. Dans la zone dans laquelle il est inclus, il est l’un des rares villages à être électrifié. L’énergie est produite et fournie au moyen d’un groupe électrogène à la capacité consistante. Dans le même cadre, nombre d’édifices tels les églises ou les écoles ainsi que celles servant à la capacité d’accueil des touristes ont été soit embellies, soit restaurées. On n’oubliera pas les rentrées non répertoriées d’argent en rapport avec le petit commerce et la prestation de service divers par la population locale. Conscient de l’apport des tortues marines dans le développement local, les populations ont vite compris l’avantage qu’elles pouvaient tirer d’avoir des tortues plutôt comme voisines que comme repas. Plusieurs organisations locales ont été mises sur pieds en vue d’assurer la protection des tortues. Il y a la Maison Ndiva ou touristes et populations locales sont sensibilisés. Par ailleurs, une association communautaire locale dénommée Kud’atube composée de jeunes locaux œuvre à la protection des tortues par le suivi permanent, l’organisation des patrouilles de surveillance contre les chiens ou pire, des chasseurs moins imprégnés de la protection de la faune et de ses avantages. Les efforts de la localité ont été bien perçus par le WWF qui apporte désormais son soutien au travers de subventions et assistance technique. De nombreux projets d’amélioration des infrastructures en vue du développement de l’écotourisme sont en perspective. Source -
Exposition au mail Montenach les 2 et 3 mai 2009
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Mais où est passée la vipère ?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Je sais c'est la deuxième nouvelle du genre en très peu de temps. J'ai vérifié avant de mettre celui-ci, pour m'assurer qu'il s'agissait bel et bien de deux événements différents. Mon commentaire peut parraître bizarre pour certains mais moi je suis content d'avoir lu ces deux articles. La raison est simple, ça nous dit que s'ils sont si vu, la population de vipère aspic doit se porter très bien. -
Mais où est passée la vipère ? Moment d'émotion pour un habitant de la commune qui a découvert mardi après-midi une vipère aspic (Vipera aspis), espèce de serpent de la famille des Viperidae, et qui se chauffait au soleil devant la porte de son garage. En voulant s'approcher de l'animal avec un balai pour tenter d'éloigner l'intruse, celle-ci a pénétré dans les lieux avant de se cacher dans une caisse à outil, non sans avoir auparavant dressé son cou en forme de S en direction de son poursuivant, dans un geste d'attaque. Christophe Breuil, responsable des services techniques, s'est rendu sur place vendredi matin avec une pince télescopique pour tenter d'attraper la visiteuse qui avait déjà disparu de sa cachette... Le reptile reste à ce jour introuvable, au grand dam du propriétaire des lieux qui se demande si la vipère est bien sortie du garage, ou si elle se terre, affolée, dans un recoin du local, en attendant des jours meilleurs... Source
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Eh oui, pour ceux qui me connaissent, au salon des reptiles, je disais que je n'aurais jamais de varans ni de Tégu à cause de la grosseur des chiasses que ça fait. Comme on dit, juste les fous qui ne changent pas d'idées. Vous avez peut-être vu que j'ai acheté un Tégu, bien j'ai aussi acquis un varan des savanes qui provient d'un élevage en captivité. Il est très jeune encore comme vous pourrez le voir sur les photos. J,ai hâte qu'il soit grand.
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Eh oui, je l'ai finalement acheté. Il est très jeune provenant d'un élevage en captivité. Apparamment que je vais l'appeller Crapule. Il n'est pas hyper photogénique donc je retenterai des plus belles photos plus tard. Comme c'est ma première expérience avec une telle bête, j'aimerais que gorezone nous parle de son expérience avec eux. Je sais que c'était des colombien mais ils se ressemblent beaucoup tout de même. Ça pourrait m'aider à mieux connaître ma petite doudoune.
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Une vipère aspic en balade dans les toilettes
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Une vipère non-venimeuse Voici un exemple chercher rapidement. Source wikipédia La vipère aspic n'est pas un animal agressif. Elle n'attaque que pour chasser ses proies ou si elle se sent menacée. Elle se met alors en forme de S et projette ses crochets en avant pour mordre. En principe son venin n'est pas suffisant pour tuer un homme adulte. La morsure, rarement mortelle, nécessite toutefois l'injection d'un sérum antivenimeux et peut provoquer des maladies car le poison entraîne des douleurs, des vomissements, des œdèmes, allant jusqu'à la syncope [1], [2]. Ça c'est du bon journalisme. -
Une vipère aspic en balade dans les toilettes d'un appartement Une vipère aspic de 60 cm a été découverte mercredi dans les toilettes d'un appartement à Rheineck (SG). Le serpent n'est pas venimeux, a indiqué la police st-galloise qui recherche le propriétaire de l'animal. ats - le 16 avril 2009, 10h42 Une vipère aspic de 60 cm a été découverte mercredi dans les toilettes d'un appartement à Rheineck (SG). Le serpent n'est pas venimeux, a indiqué la police st-galloise qui recherche le propriétaire de l'animal. Source
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Des écologistes découvrent le chaînon manquant dans l�énigme de l�abandon de queue des lézards Les animaux possèdent différents mécanismes de défense. Les porcs-épics déploient leurs piquants pointus, des fourmis de Malaisie déclenchent une combustion interne et des paresseux se mettent en boule bien serrée pour ressembler à des nids dans les arbres. Mais l�un des mécanismes de défense les plus étranges est celui de l�autonomie caudale, ou plus communément connu comme l�abandon de queue chez les lézards. De nouvelles recherches publiées dans le journal Evolution éclairent d�un nouveau jour ce qui détermine la capacité d�un lézard à abandonner sa queue lorsqu�il est attaqué par des prédateurs. Selon l�équipe de recherche gréco-américaine qui a dirigé l�étude, le facteur clé est le venin. Observée sur de nombreux lézards, l�autonomie caudale se produit lorsque les vertèbres de la jointure entre la queue et le pelvis sont affaiblies et aisément cassables. Le lézard contracte fermement les muscles de l�arrière du pelvis, brisant ainsi les vertèbres et provocant la cassure de la queue. En se séparant de sa queue, le lézard espère que le prédateur se concentrera sur la queue, donnant ainsi au reptile suffisamment de temps pour s�enfuir. Année après année, les experts ont émis l�hypothèse que la pression du prédateur contrôle la facilité avec laquelle les lézards abandonnent leur queue. Plus le nombre de prédateurs se nourrissant de lézards est élevé, plus la nécessité de s�assurer que la queue tombe grandit. Malgré ces avantages, l�abandon de queue présente également des inconvénients: une perte de mobilité, un rythme de croissance plus lent et même un statut social inférieur, tous ces facteurs pouvant avoir un impact sur la vie du lézard. Les experts ont toutefois déclaré que cette capacité à abandonner sa queue devrait persister tant que des prédateurs rôdent dans les parages. Dirigées par des écologistes de l�Université du Michigan, États-Unis, l�équipe de recherche a utilisé des tests de laboratoire en combinaison avec des mesures de terrain effectuées en Grèce continentale et sur quelques îles grecques de la mer Égée, habitées par différents types de prédateurs. Plus de 200 lézards insectivores de 15 espèces différentes ont été testés dans le cadre de l�étude. Des distinctions peuvent être faites entre les lézards qui ont abandonné leur queue et ceux qui ont gardé celle d�origine (une queue régénérée est généralement déformée). Les écologistes ont ciblé des corrélations entre les niveaux d�autonomie et la présence ou l�absence de différents prédateurs des lézards sur les 10 sites de collecte de l�étude. Le niveau d�autonomie mesure la facilité avec laquelle les lézards abandonnent leur queue. Selon les chercheurs, plus ce niveau est élevé, plus l�abandon de queue est facile. Les chercheurs ont découvert, alors que des preuves de la théorie de la pression des prédateurs existent, que les prédateurs ne naissent pas égaux. "Les seuls prédateurs réellement importants sont les vipères", explique le co-auteur de la recherche, le Professeur Johannes Foufopoulos de la School of Natural Resources and Environment et du Department of Ecology and Evolutionary Biology de l�Université du Michigan. "Dans la région de la mer Égée, les vipères sont des prédateurs spécifiques des lézards", ajoute-t-il. "Il est donc logique, rétrospectivement, que la principale défense des lézards soit dirigée contre leur ennemi principal, la vipère. Mais jusqu�ici, personne n�avait fait le lien." Selon le Professeur Foufopoulos, la particularité des attaques de vipères joue un rôle clé. D�après le chercheur, l�abandon de la queue n�est pratique au cours d�attaques non venimeuses que lorsque la queue est fermement maintenue par le prédateur. La capacité d�abandonner sa queue aussi vite que possible devient particulièrement importante lorsqu�une vipère découvre ses crochets et mord. Il ajoute encore que même une éraflure sur la queue du lézard peut injecter une dose létale de venin. "Vous perdez votre queue, mais vous vous en sortez vivant", ajoute le Professeur Foufopoulos. "Et une autre queue peut toujours pousser." L�Université d�Athènes et le Musée d�histoire naturelle de Crète, en Grèce, ainsi que l�Université de Yale aux États-Unis ont également participé à l�étude. Source
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Y a-t-il un reptile dans l'avion? MELBOURNE, Australie — Quatre bébés pythons échappés d'un conteneur à bord d'un avion de ligne, en Australie, ont provoqué une fouille en règle de l'appareil et l'annulation de deux vols, a annoncé la compagnie aérienne Qantas jeudi. Douze pythons de Stimson, une espèce non venimeuse, étaient transportés mardi dans la soute d'un avion reliant Alice Springs à Melbourne, en Australie. Les reptiles avaient été placés dans un sac à l'intérieur d'un conteneur en plastique muni de trous pour l'aération. Après l'atterrissage, des employés ont découvert que quatre bébés pythons s'étaient échappés, selon Qantas. Un expert en reptiles appelé à la rescousse a cherché les serpenteaux d'une quinzaine de centimètres de long dans l'appareil, mais sans succès. On n'a pas réussi à savoir si les serpents se trouvaient encore à bord ou s'ils étaient parvenus à sortir de l'avion. Immobilisé pendant les recherches, l'appareil n'a pas été en mesure d'assurer deux vols prévus. L'avion a été désinfecté par fumigation et remis en service mercredi. Les pythons de Stimson, qui peuvent atteindre un mètre de long, vivent dans l'ouest et le centre de l'Australie et ne sont pas une espèce menacée. Source