Max|mum-leterrarium

en effet les 2 femelle sur ses photo sont asser maigre , elle devrais être séparer du male , rebouster et ensuite remis avec le mâle leur faire faire une ponte dans cette éta même en les nourrissant beaucoup nuirais a leur êta de santer max , les léopard sont bien fragile sur ce point , la femelle doir toujours être engraisser et ont doit stopper les ponte pour leur faire une pause et les ré engraisser . ses pas comme les serpent sa On se renseigne avant de porter des accusations. Je viens de mettre les photos et je viens de les acheter. Ils étaient tous ensemble que pour le temps des photos. Je n'ai jamais dis qu'ils étaient en reproduction en ce moment même...

Elle a des points que sur la tête. gorezone je viens de les avoir et je les trouvais quelque peu petit aussi. Je ne dirais pas maigre mais ils peuvent prendre du poid encore.

Je vais tout de même le savoir bientôt s'il s'agit bel et bien d'un blazing blizard ou seulement d'un blizard puisque j'ai eu ma première ponte de ce mâle avec une femelle albinos.

C'est fragile èa cette âge là. Un petit courrant d'air ou encore on ne se lave pas les mains pour le manipuler et paf, çca lèeve les pattes.

Cette semaine, jeudi soir pour être plus exact, j'ai eu une belle petite surprise. Ma chatte était grimpé sur le bord de la fenêtre et elle était très intrigué par ce qu'il y avait dehors. Je suis allé voir parce qu'elle est en chicane avec une moufette qui rode dans ma cours et je n'ai pas envie de faire arroser à l'intérieur de chez moi. En arrivant à la fenêtre, j'ai eu une agréable surprise. J'avais des petites rainettes crucifer accroché à ma fenêtre. J'en ai prit une pour quelques photos mais ayant les piles mortes sur mon appareil-photo, elles ont été prises avec mon cellulaire. Aussitôt que je trouve comment rentré mes photos dans un ordi à partir de mon cellulaire, je vais vous montrer la petite bête en question.

Un serpent sème la pagaille hier après-midi à Saint-Omer Animation hors du commun, hier au début d'après-midi, boulevard Pierre-Guillain à Saint-Omer, à cause d'un serpent découvert dans une camionnette de location. Les sapeurs-pompiers ont mis trois quarts d'heure pour le déloger. Surprise, hier vers 14 heures, pour quatre amis audomarois en plein déménagement. Alors qu'ils chargeaient leur camionnette de livraison garée le long du trottoir, ils tombent nez à nez avec un serpent. Ils appellent aussitôt les policiers. Deux hommes du commissariat de Saint-Omer arrivent. Un policier ouvre la porte latérale de la camionnette, voit le reptile et referme aussitôt la porte. « Il est long comme ça », explique l'un des quatre Audomarois, en écartant ses bras d'un bon mètre. Et de préciser : « Il est noir et blanc. » Le lieutenant Antoine Savey décroche son portable, joint l'un des trois sapeurs-pompiers du département spécialisés dans les nouveaux animaux de compagnie (NAC) et décrit l'animal. Conclusion : « C'est soit une couleuvre, soit un python royal. Le risque, c'est la morsure. » Tout sur le trottoir Un pompier s'équipe avec des gants épais qui lui recouvrent quasiment tout le bras et monte à bord de la camionnette. Dans les immeubles du boulevard, la scène ne passe pas inaperçue. De même, la circulation est perturbée à cause des véhicules de secours garés en double file. Le contenu de la camionnette est vidé scrupuleusement. La télévision, les cartons, et même le canapé « clic-clac » se retrouvent sur le trottoir alors qu'une averse s'abat sur la ville. Et toujours pas de trace du serpent... Alors, les grands moyens sont déployés, les panneaux de bois qui recouvrent les flancs de la camionnette sont démontés, sous les yeux effarés des quatre amis et d'un employé de l'agence de location qui est venu sur place. En vain. Puis, c'est le plancher qui est soulevé. Bingo, le serpent est là. Armé d'une longue pince, le lieutenant Savey parvient à placer l'animal dans un carton. Ce dernier sera fermé hermétiquement et l'animal a été emmené au centre de secours à Bruay-la-Buissière pour être examiné par l'équipier NAC de permanence. Il est 14 h 50. Tout rentre dans l'ordre. Après un moment de doute, l'équipier NAC confirme qu'il s'agit bien d'une couleuvre. En revanche, plusieurs interrogations demeurent : à qui appartient ce serpent ? Autre question : Que faisait-il là ? Enfin : Que va-t-il devenir ? • Pour voir l'article, cliquer ici. addthis_pub = 'lavoixdunord'; addthis_logo = 'http://www.lavoixdunord.fr/img/v2/logo.gif'; addthis_logo_background = '01A5EC'; addthis_logo_color = 'FFFFFF'; addthis_brand = 'lavoixdunord.fr'; addthis_options = 'delicious, digg, facebook, google, live, myweb, myspace, twitter';

Un serpent provoque l'évacuation de l'école… A Générac (Gard), école publique élémentaire. Jeudi, un enseignant a signalé à la directrice qu’il avait vu un petit serpent dans l’école… Aussitôt, la dame a pris l’affaire en main. .. Elle s’est munie d’un bâton et d’un sac en plastique, puis elle a assommé la bête et l’a mise dans son sac… (Elle ne savait pas s’il s’agissait d’une couleuvre ou d’une vipère.) Mais cela n’a pas suffit à rassurer tous les enfants, car certains ont aperçu plusieurs reptiles dans une fissure sur un muret au fond de la cour près d’un terrain vague… Donc, après cette nouvelle alerte, la directrice s’est vue dans l’obligation de déclencher le "Plan particulier de mise en sécurité" (PPMS). Il a donc fallu mettre à l’abri les enfants dans une partie de l’école puis ils ont été remis ensuite à leurs parents au fur et à mesure qu’ils venaient les chercher. Evidemment, on s’est posé des questions sur le risque que représentait le terrain vague près de l’école et puis la directrice était convaincue que les reptiles pouvaient nicher dans les fissures du muret. Elle a donc prévenu le maire de la commune, qui s’est engagé à cimenter le mur et à débroussailler le terrain. Une histoire qui finit bien puisque aucun enfant n’a été piqué… Bien qu’on ne sache pas si ce serpent était vénéneux ou non… La responsable de l’école ayant jeté l’animal dans les toilettes ! Pour voir l'article, cliquer ici.

Si on parle d'un BCI de taille adulte, il peut être difficile pour quelqu'un seul de se défaire des anneaux causé par la strangulation du serpent. Il est possible que ça peut tuer quelqu'un mais pas de le manger.

C'est vraiment dommage ça Annie! Ça ne fait pas longtemps que vous l'avez il me semble?

Oui ça devrait être parfait

Londres : un boa constrictor s’est échappé… un boa constrictor s’est échappé… Cet animal qui figure depuis quelques temps dans la catégorie des animaux de compagnie, a réussi à faire faux bond à son propriétaire. Une alerte a été lancée aux habitants de la ville. Le boa constrictor est un serpent qui vit dans son état sauvage en Amérique centrale et en Amérique du sud. Bien que n’étant pas venimeux, cet animal peut se révéler dangereux car il est capable de tuer une proie de la taille d’un homme en l’étranglant. Le boa qui se promène actuellement dans la ville de Londres et plus précisément dans les environs de Chatham, mesure environ deux mètres de long. Il possède une peau brune tachetée de noir. La police londonienne a mené une campagne d’information afin d’éviter tout incident. Toute personne qui se retrouverait en face du serpent en fuite (ou de tout autre serpent d’ailleurs) ne doit surtout pas essayer de l’attraper ni même le toucher. Le boa est en effet un serpent qui mord lorsqu’il se sent menacé et les blessures peuvent être très graves. Le premier réflexe devra être d’entrer en contact avec les forces de l’ordre. Dans tous les cas, la police de Londres a demandé à tous les habitants des environs de Chatham de verrouiller portes et fenêtres et de bien garder leurs petits animaux de compagnie : on ne manquera pas de noter que le boa est capable de gober un petit chien ou un petit chat. Pour voir l'article, cliquer ici.

Les tortues de Floride est une menace pour la biodiversité Les tortues de Floride est une menace pour la biodiversité locale. C’est le triste résultat du comportement insouciant de certains particuliers qui ont relâché ces bêtes “voraces” dans la nature. Il fut un temps où la tortue de Floride figurait en haut de la liste des animaux de compagnie les plus prisés des métropolitains. Actuellement interdite d’exportation, elle continue à être vendue illégalement. Mais au bout de certains temps, lassés par sa croissance rapide et sa taille imposante, bon nombre de gens la relâchent discrètement dans la nature où elle empiète sur le territoire de la faune sauvage. A l’Espace Naturel Lille Métropole, le reptile qui s’est bien acclimaté à son nouvel environnement, constitue une grande menace pour les espèces locales. Selon Pierre Dhénin, le directeur de l’ENLM, la cistude d’Europe présente dans le sud de la Loire est en train de disparaître au profit de la tortue de Floride qui dévore tout sur son passage. Et encore la tortue ne se contente plus de la chasse aux petits poissons dans les mares mais se régale également des œufs d’oiseaux et des bébés avocettes, des échassiers. Or, la tortue de Floride n’a de prédateur naturel connu et se prospère en toute quiétude. Et outre l’ibis sacré qui fait actuellement l’objet d’un abattage massif, les perruches vertes avec collier noir, elles aussi, sont en train de coloniser depuis trois ans certaines régions de Roubaix. Mais le problème occasionné par la présence de ces oiseaux n’atteigne pas encore celui de la ville d’Amsterdam où l’on enregistre 5000 perruches sauvages. Pour voir l'article, cliquer ici.

Ami d'enfance SANG FROID. De plus en plus d'adolescents voire d'enfants vivent avec un lézard, un boa ou un iguane. Les lapins, les perruches et même les rats semblent trop gentils. Laureline Duvillard Mercredi 10 septembre 2008 Ils mangent des grillons, des souris ou des crickets. Leurs écailles n'ont plus rien à voir avec la fourrure du cochon d'Inde, celui dont la douceur rappelait la peau câline de Nounours. De toute façon, les caresses, ils n'aiment pas. Et pourtant. Lézards et serpents, iguanes et insectes sont les nouveaux compagnons animaliers des adolescents. Et l'intérêt pour ces reptiles commence de plus en plus jeune. «Récemment, un petit garçon d'une dizaine d'années est venu pour acheter un cochon d'Inde. Et puis, il a vu les couleuvres. Il en a touché une, il a trouvé ça mieux. Une semaine après, il revenait pour en acheter une», remarque Karene Vuarnoz vendeuse à l'Animalerie du Gibloux, à Vuisternens-en-Ogoz. «Les jeunes sont passionnés par les reptiles, parce que cela ressemble à des dinosaures», note Marie-Laure Leone, vendeuse à l'animalerie du Garden Centre à Assens. Sûr, un pogona à l'allure préhistorique chassant son grillon, c'est plus intrigant et plus valorisant qu'une souris neurasthénique dans sa grande roue. La tendance s'observe partout. A Peseux où Anne-Marie Weber, coresponsable d'Aquamail raconte: «Nous avons commencé avec les reptiles il y a cinq ans. Il y a de plus en plus de demande de la part des jeunes, surtout pour les lézards.» Et Ludovic Roulin, d'Animag à Yverdon, de confirmer. «La plupart des mes copains ont un reptile à la maison, pour la majorité un lézard ou un serpent», souligne Sélim, 14 ans. Sélim élève des reptiles dont il connaît les noms latins, depuis l'âge de neuf ans. Désormais, le python royal ou le pogona, classés comme le lapin ou le hamster sous le terme de NAC (nouveaux animaux de compagnie) sont des bêtes familières. Même si le contact avec les humains n'est pas ce qu'ils préfèrent. «Les reptiles sont craintifs, ils n'apprécient pas les caresses, et ils ne vont pas s'habituer à des personnes mais à des gestes», remarque Cédric Poschung, responsable du Vivarium de Lausanne. Sélim le note aussi: «On peut manipuler certaines espèces, mais ce n'est pas fait pour jouer avec». Ainsi, pour leur bien-être, pas question d'un long voyage hors du terrarium. Sauf pour un tour au soleil sous haute surveillance à l'intérieur du jardin, ou pour une balade dans la chambre où, d'ailleurs, «tout est en hauteur» pour retrouver plus rapidement la bête en cas de tentative d'évasion. D'ailleurs, à la question de savoir si ses reptiles portent un prénom, Sélim répond, amusé: «Mais, on ne donne pas de noms à ses reptiles!» C'est vrai, qu'un serpent qui se nomme elaphe guttata n'a pas besoin d'être rebaptisé Rex ou Croquette. On l'aura compris, un boa constrictor ne se manipule pas comme un chaton. Et ces amis d'enfance pas comme les autres réclament des conditions de détention exigeantes. «Par exemple, pour un pogona, il faut un terrarium assez haut, avec une longueur d'environ 1m20 et une profondeur de 60centimètres, ce qui constitue un gros investissement», explique Marie-Laure Leone. A l'aspect financier viennent se greffer les contraintes de temps. «J'ai du vendre mes serpents, mes geckos et mes lézards. Avec mon apprentissage, je n'avais plus le temps de m'en occuper comme j'aurais dû», note Christopher, 22 ans, passionné par les reptiles depuis un face-à-face fortuit avec une couleuvre. «Vers 8-10 ans, j'ai trouvé un serpent dans la nature, j'étais fasciné, je l'ai ramené à la maison. Ma mère m'a dit que sa place n'était pas là, mais que si je le relâchais, elle m'en achèterait un. Je suis allé le relâcher et la semaine d'après, j'avais une couleuvre d'Amérique.» Un cadeau dont Christopher a pleinement endossé la responsabilité, enrichissant ses connaissances au gré de livres spécialisés. Car, en matière de reptiles, connaître l'espèce et ses besoins est indispensable. Non seulement pour préparer à l'animal un espace adéquat, mais aussi pour effectuer les gestes adaptés. «Il y a des cas où des gens offrent un serpent à un enfant. Ils arrivent alors avec l'animal, mais ils ne savent même pas de quelle espèce il s'agit et le terrarium n'a pas été préparé», remarque Cédric Poschung. Ainsi le responsable du Vivarium de Lausanne tente-t-il de freiner un peu cette mode des reptiles, en mettant en garde contre un achat impulsif. Car au milieu des jeunes passionnés par les reptiles se trouvent également des ados pour lesquels un python est synonyme de frime dans la cour de récré. «Des fois, malheureusement, les gens prennent un animal exotique à la maison pour épater la galerie», note Sylvie Clerc, responsable de Reptilishop à Orbe. Posséder un reptile, surtout un serpent, se transforme alors en faire-valoir identitaire. C'est en partie l'analyse de Vincent Quartier, maître-assistant en psychologie de l'enfant et de l'adolescent à l'Université de Lausanne: «Derrière l'effet de mode, le fait de posséder un serpent n'est sans doute pas anodin. Cet animal est le vecteur d'une image qui n'est pas neutre du point de vue des représentations. L'enfant ou l'adolescent pourrait par exemple s'identifier à la représentation de puissance ou de dangerosité que représente le reptile. Peut-être est-ce pour lui une façon de compenser une fragilité narcissique ou de se sentir protégé?» «Aie confiaaaance», comme dit Kaa, le python du Livre de la jungle. Pour voir l'article, cliquer ici.

Bonne chance dans tout ça.

Je crois que l'ensemble sera bien. Personnellement, j'irais plus avec des ampoules de céramiques que les infra-rouges. Les ampoules de céramique font que dégager de la chaleur et aucune lumière. Finalement, la durée de vie est très longue puisqu'elles sont bonne jusqu'à ce qu'elle craque. À l'achat, elles sont plus chère mais deviennent économique avec le temps.

L'important c'est de laisser aérer amplement par la suite. Tu peux en trouver un peu partout en fait, il suffit de te renseigner.

J'ai eu trois clients à l'animalerie qui ont eu des occlusions causé par le millet. J'ai même une collègue de travail dont son dragon barbu a eu une occlusion intestinale causé par le millet. Ça coûté une petite forturne en vétérinaire. Ce que je veux dire, c'est que le millet n'est pas si sans danger que ça. Et en plus, je trouve ça plus salaud que les autres substrats. C'est l'enfer à ramasser les crottes dans le millet,

Je te souhaite bonne chance parce que je trouve que cette localité n'est pas suffisamment répendu. Elle est tellement plus jolie que les autres je trouve.

Elle mue souvent pour son âge par contre!

Tu as le mâle aussi ou c'est un projet commun avec quelqu'un d'autre?

L'hibuscus n'est pas toxique? J'avais entendu ça quelque part, je ne me souviens plus trop où. C'est une bonne idée le trèfle. C'est une plante envahissante donc ça va repousser sans cesse. Je n'y avais jamais pensé.

Pourtant, on voit très bien sur la photo qu'il est blanc. Ça serait dût à quoi d'autre?

Une très belle bête que tu as là. Elle mange bien et tout?

Au pire. essais avec ma fiche sur le corn snake pour tenter d'identifier la phase.

On m'a toujours dit que c'était impossible un arachnide albinos mais j'ai oublié la raison scientifique qu'on m'avait donné. Pourtant, je suis tombé sur cette photo d'un scorpion empereur qui semble être bel et bien albinos. Voici le lien d'où sort la photo! Lien