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Max|mum-leterrarium

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  1. L'"Anyphaena accentuata", aussi surnommée "buzzing spider" ou "araignée bourdonnante", a été désignée comme araignée européenne de l'année, indique mercredi la Société arachnologique de Belgique (Arabel). Elle a été choisie par 83 experts en la matière, issus de 26 pays européens. L'araignée bourdonnante doit son nom au fait que les mâles de cette espèce sont capables de produire du son. "Elles sont assez communes et vivent de préférence dans les buissons ou arbustes", indique Koen Van Keer (ARABEL). "Pendant la journée, elles se retirent dans une cachette faite de feuilles entrelacées ou d'une feuille roulée sur elle-même. L'accouplement et la ponte des oeufs se déroulent au même endroit. Pendant la nuit, elles s'activent et chassent de petits insectes". Les mâles ont un comportement assez inhabituel durant la parade amoureuse. "Ils tambourinent avec leurs pédipalpes (des sortes d'appendices buccaux, comme des mandibules, ndlr) et leur première paire de pattes sur l'abri de la femelle, et font en même temps vibrer leur abdomen. Cela produit un son bourdonnant", qui est audible pour l'homme, indique Koen Van Keer. Cette espèce d'araignées ne tisse pas de toile. En hiver, on la trouve surtout sous l'écorce des arbres, plus rarement à l'intérieur des habitations. Les mâles deviennent adultes en mai et juin et mesurent de 4 à 7 millimètres. Source
  2. www.leprogres.fr/images/BE654F55-7DFF-4AF7-A771-66AB908B9B3F/LPR_19/photo-dr.jpg" border="0" alt="" /> Samedi soir, une habitante du square Dunant à Rillieux s’est fait une énorme frayeur en découvrant un serpent vivant dans la cuvette de ses toilettes. La locataire donne l’alerte mais les secours ne viennent pas car... elle n’est pas prise au sérieux. Des photos du reptile évoluant dans l’eau et sur la faïence des WC sont alors prises et montrées au commissariat de Rillieux. Arrivés sur place, les policiers constatent que le serpent a disparu. Le reptile, de 20 à 30 centimètres, est un Lampropeltis, une espèce de couleuvre inoffensive. Il n’a pas refait d’apparition depuis… Source
  3. Afin de repérer plus facilement les tumeurs cérébrales, les médecins pourraient avoir recours à l'un des poisons les plus mortels présent dans la nature… Bientôt une révolution dans la détection et le traitement des tumeurs cérébrales ? Un cancérologue américain a développé une technique permettant de mieux déceler et distinguer les cellules cancéreuses présentes dans le cerveau. Et cela grâce à un… poison, celui du scorpion, l'un des plus dangereux au monde. Partant du principe que la neurochirurgie est l'une des opérations les plus délicates, nécessitant une main excessivement stable et un œil avisé pour détecter toutes les cellules d'une tumeur, le Dr Jim Olson, cancérologue pédiatrique et chercheur au Centre de recherche sur le cancer Fred Hutchinson à Seattle, aux Etats-Unis, a imaginé une technique permettant de rendre apparente ces cellules à retirer pour tenter de vaincre le cancer. Pour cela, le médecin envisage d'injecter une sorte de coloration à base de venin produit par une espèce particulière de scorpion, le Deathstalker. Cette "peinture" permet grâce au venin de faire rougir les cellules cancéreuses, les distinguant des cellules saines. Le Dr Olson n'en est pas à son coup d'essai en matière de traitement non conventionnel du cancer. Il est notamment l'instigateur du projet Violet, du nom d'un jeune patient atteint d'un cancer et qui avait fait don de son cerveau pour la science. Ce projet de recherche est destiné à rassembler des expertises, via un crowdsourcing, pour développer plus rapidement des médicaments contre la maladie. Source
  4. Le lézard vivipare est un reptile de la famille des Lacertidae relativement commun en France. Une équipe associant des biologistes de l'Institut d'écologie et des sciences de l'environnement de Paris et de l'Université de Cornell, aux Etats-Unis, vient de montrer que cette espèce disposait d'un système visuel sensible aux rayonnements proches de l'infrarouge. Extrêmement rare chez les vertébrés terrestres, un tel système visuel permettrait au lézard vivipare de mieux discriminer des subtiles variations de coloration arborées par ses congénères. Ces travaux publiés en décembre dans The Journal of Experimental Biology suggèrent que cette étonnante caractéristique aurait co-évolué en même temps que les signaux colorés connus pour être impliqués dans les interactions sociales. fonctionnement du système visuel des lézards reste en grande partie mystérieux. Bien que particulièrement complexe, celui-ci repose sur une organisation commune à toutes les espèces de vertébrés. Comme chez l'homme, la vision colorée, ou vision chromatique, est ainsi assurée par les cônes visuels. C'est alors la structure, la pigmentation et l'abondance relative de cette catégorie de photorécepteurs qui influencent la sensibilité de l'oeil aux différentes longueurs d'onde du spectre lumineux. En étudiant pour la première fois le système visuel du lézard vivipare (Zootoca vivipara) et du lézard des murailles (Podarcis muralis), deux espèces faisant partie du groupe de lézards le plus abondant d'Europe, une équipe internationale de biologistes a découvert que le premier d'entre eux avait la capacité de détecter les couleurs du spectre lumineux situées dans les proches infrarouges. "L'objectif initial de ces recherches était de mettre en évidence les mécanismes de vision dans l'ultraviolet chez ces espèces que nous étudions en laboratoire depuis plusieurs années en nous appuyant notamment sur les techniques d'électrophysiologie animale développées à l'Université de Cornell par le professeur Ellis R. Loew ", rappelle Jean-François Le Galliard, chercheur à l'Institut d'écologie et des sciences de l'environnement (IESS) de Paris et coordinateur de l'étude. Des analyses de la rétine d'une dizaine d'individus, réalisées par microscopie optique et micro-spectrophotométrie, ont d'abord permis de révéler que le système visuel de ces deux espèces de lézards implique quatre types de cônes visuels: trois sont sensibles dans le domaine spectral visible pour l'homme et un dans celui des ultraviolets. Un résultat en accord avec ceux obtenus chez toutes les espèces de lézards diurnes étudiées jusqu'ici. Chez le lézard vivipare, les scientifiques ont par ailleurs constaté de manière surprenante que le type de cône sensible aux plus grandes longueurs d'onde du domaine du visible présentait une sensibilité visuelle dans le proche infrarouge. "Cette caractéristique résulte de la présence d'une molécule dite chromophore dérivée d'une vitamine A2 qui est elle-même associée à la protéine photosensible du cône ", explique Mélissa Martin, biologiste au Département d'écologie et de gestion de la biodiversité du Muséum National d'Histoire Naturelle et principale auteur de l'article. Si la présence du chromophore A2 n'est pas rare dans le règne animal, il reste associé à la vie en milieu aquatique ou semi-aquatique et n'avait jusqu'alors été observé que chez trois autres espèces de lézards strictement terrestres: Anolis carolinensis (lézard d'Amérique Centrale), Chamaeleo dilepis (caméléon du sud de l'Afrique) et Furcifer pardalis (caméléon de Madagascar). En modélisant les performances visuelles du lézard vivipare, les chercheurs ont pu proposer une première explication adaptative liée à cette particularité. Ils ont ainsi démontré qu'un oeil équipé de cônes sensibles dans les proches infrarouges discriminait mieux les différences de coloration de la gorge et du ventre de ses congénères qu'un oeil "standard" de lézard. A l'instar des lézards des murailles qui arborent trois morphes de couleur ventrale distincts (blanc, jaune ou orange), les lézards vivipares présentent une coloration ventrale jaune claire à rouge profond dont la variation interindividuelle est fine et continue. Impliqués entre autre dans la sélection sexuelle, les signaux colorés du lézard vivipare auraient donc co-évolué avec certaines caractéristiques de son système visuel. Source
  5. Le directeur de la Planète des Crocodiles à Civaux a formé des pompiers volontaires. Objectif : apprendre à manipuler sans risque des animaux dangereux. vous êtes face à un serpent de plus d’un mètre, votre seule certitude, c’est qu’il ne s’agit pas d’une vipère." Fabrice Thète, le directeur de la Planète des Crocodiles, en connaît un rayon en matière de reptiles. Régulièrement sollicité par les pompiers lors d’interventions "à risque", l’homme propose désormais également des formations. Qui répondent à un vrai besoin. Un lézard dans la cage d'escalier à Poitiers Car l’an passé dans la Vienne, les sapeurs-pompiers ont effectué 76 sorties pour des animaux dangereux, dont une douzaine pour des reptiles de type lézard ou serpent. "Ces nouveaux animaux de compagnie sont monnaie courante. Les animaleries en vendent, en France, ou à l’étranger. Quand la bête s’échappe, c’est nous qui sommes appelés" résume l'adjudant-chef Ludovic Verdin. Vipère dans la machine à laver ou lézard dans la cage d'escalier d'un immeuble à Poitiers... Ces interventions nécessitent "du sang-froid". 17 points de suture à cause d'un crocodile Grâce à la formation reçue, les soldats de feu sont mieux à même d'identifier les espèces. L'identification, c'est "la clé" pour Fabrice Thète, le préalable à toute capture, à toute neutralisation. Et le spécialiste de rappeler, en guise de conclusion, cette anecdote : "L'absence de prudence et de vigilance se paient cash. Chez nous, un salarié a reçu 17 points de suture à un bras parce qu'il a voulu remettre tout seul un petit crocodile de 50cm dans son bassin..." Source
  6. Au cours d'un contrôle routier à Gagny, les policiers inspectent un véhicule aux phares défaillants. Soudain, c'est la grosse surprise. Après le tigre en vadrouille en Seine-et-Marne, un jeune crocodile a été découvert en fin de semaine dernière sur la banquette arrière d'une voiture lors d'un contrôle routier à Gagny, en Seine-Saint-Denis. L'animal, long d'une cinquantaine de centimètres, détenu en toute illégalité, a été découvert en pleine nuit, par des policiers qui souhaitaient inspecter un véhicule aux phares défaillants, a détaillé la source policière. Un sac de crocodile, mais un vrai "Il y avait un sac ouvert sur la banquette arrière, avec quelque chose qui bougeait à l'intérieur. Les policiers ont regardé de plus près et ont trouvé un jeune crocodile", a raconté cette source, confirmant une information du Parisien. L'animal, apathique en raison du froid, a été pris en charge par la brigade cynotechnique des pompiers de Paris, puis confié à l'Ecole nationale vétérinaire de Maison-Alfort dans le Val-de-Marne pour y être soigné. Le conducteur du véhicule, qui ne possédait pas de permis, a été placé en garde à vue, tout comme son passager. Lors de leur audition par la police, ils ont reconnu avoir acheté l'animal le soir-même, en toute illégalité. Source
  7. Voici 3 ou 4 petites choses que l’on ignore souvent sur les araignées. Au premier rang de celles-ci : dans certains pays, on mange les plus grandes d’entre elles… Ainsi, dans certains pays d’Asie du Sud-Est, on vend des mygales grillées. Au Cambodge, les mygales, de la taille d’une main, sont capturées dans leurs terriers et cuites dans l’huile. Tout est mangé. Il paraît, mais rien ne vous oblige à confirmer, que les meilleurs morceaux sont la tête et l’abdomen, qui renferment une chair tendre… 32 mètres à la minute La tégénaire géante (Tegenaria duellica), c’est l’araignée de la maison, celle qu’on trouve en tout cas le plus souvent chez soi. Elle est tout à fait inoffensive. Caractéristique principale : sa vitesse de déplacement. Un peu plus d’un demi-mètre à la seconde. Soit deux kilomètres à l’heure. Avec des petites pattes comme cela, c’est pas mal du tout… 3000 oeufs par ponte Certaines espèces d’araignées peuvent pondre jusqu’à 3.000 œufs par ponte. Rassurez-vous, en moyenne, un ou deux sur 100 atteindront la taille adulte. Source
  8. Le propriétaire de la plus importante collection de reptiles et d'amphibiens au Canada demande l'aide du public pour maintenir son exposition ouverte à Drumheller, dans le sud de l'Alberta. Selon le fondateur de Reptile World, Dave Bethel, le bâtiment où sont installés les animaux est en ruine. Certaines zones sont mal isolées, le chauffage des espaces publics est en panne et irréparable, d'après les estimations de M. Bethel. Quelques chaufferettes électriques permettent d'atteindre une température au-dessus du point de congélation. Les espaces d'exposition des reptiles doivent, eux, être maintenus à une température constante entre 27 et 30 degrés Celsius. Les frais de chauffage, de plus de 60 000 $ par an, drainent les revenus de Reptile World, ce qui ne permet pas de mettre à jour les espaces de vie de 220 reptiles et amphibiens. Un des 220 reptiles de Reptile World.Un des 220 reptiles de Reptile World. Photo : ICI Radio-Canada Le propriétaire de Reptile World a lancé une campagne de financement sur le site Indiegogo et espère ramasser entre 300 000 $ et 400 000 $. Cet argent permettrait de remettre le musée à jour avec les codes du bâtiment. « Les visiteurs adorent notre exposition. Les enfants aiment mieux visiter Reptile World que le musée des dinosaures Tyrrell », explique M. Bethel. Reptile World est installé à Drumheller depuis 1989. Le musée a déménagé dans le bâtiment actuel depuis 2004. Selon M. Bethel, 40 000 visiteurs s'y déplacent chaque été. D'après les informations du vidéojournaliste Mike Symington. Source
  9. Il y a quelques jours, une saisie rare a été effectuée en région liégeoise: une centaine de mygales adultes. Parmi celles-ci, une maman dont le terrarium abritait un cocon. Dans le nid, 286 mygalons, dont s'occupe l'asbl liégeoise Crusoé, qui en a la garde provisoire. Une information à lire dans nos éditions de ce lundi. Il s'agit de mygales de type « arboricole ». Elles vont grandir jusqu'à atteindre leur taille adulte vers l'âge d'un an, soit celle de leur maman, dont le corps a la taille d'un poing de femme fermé. Les bébés ne sont guère dangereux... pour le moment : « Ils ont déjà des poils urticants, un peu comme les chenilles. Mais nous évitons de toute façon de les manipuler pour ne pas les stresser. D'ici quelques mois, leurs crochets vont grandir et devenir plus durs afin de percer la peau humaine », explique Amandine Chapuis, vice-présidente de l'asbl et étudiante vétérinaire Avis aux passionnés, l'asbl Crusoé donne régulièrement des formations sur les NAC et organise également des stages pour enfants. Infos : www.asbl-crusoe.be Source
  10. Une tortue luth s’est échouée ce matin, vers 10 h, à Brétignolles. Impressionnante, elle mesure 1 m 53 et pèse entre 200 et 250 kg. Une tortue luth s’est échouée ce vendredi matin, vers 10 heures, plage de la Rosée. Impressionnante, elle mesure « 1 m 53 et pèse entre 200 et 250 kg », rapporte le lieutenant Laurent Chailloux, sapeur-pompier, responsable départemental du groupe animalier pour les pompiers, qui était présent sur place. Pourtant, il ne s’agit probablement que « d’un jeune adulte », indique Pierre Morinière, biologiste à l’aquarium de La Rochelle. « À leur taille adulte, les tortues luth peuvent atteindre 300 à 400 kg." Malheureusement, celle-ci n'a pu être sauvée. Un renflouage a bien été tenté mais la tortue, déjà affaiblie, n'a pas réussi à reprendre le large. Elle a été transportée vers l’aquarium de La Rochelle, où elle sera autopsiée au centre d’études et de soins pour les tortues marines. Source
  11. Un chercheur de l'Université de l'Alberta, Michael Caldwell, et des collègues de différents pays ont découvert des ancêtres de serpents actuels qui vivaient il y a au moins 140 millions d'années, soit 70 millions d'années de plus que le plus vieux fossile de serpent connu. Le professeur au département de sciences biologiques à l'Université de l'Alberta et ses collègues ont examiné quatre fossiles de cette période. Les quatre anciens fossiles ne sont pas le fruit de nouvelles découvertes sur le terrain. Ils se trouvaient déjà dans les collections de musées où ils avaient été identifiés comme appartenant à des lézards. n'est pas l'absence de pattes qui distingue les serpents des lézards puisque certains serpents ont toujours de petites pattes et certains lézards n'en ont pas. Les scientifiques savaient aussi déjà que les ancêtres des serpents modernes avaient des pattes. Dans cette étude, publiée mardi dans la revue britannique Nature Communications, les chercheurs ont plutôt analysé la mâchoire des fossiles. Ils ont découvert qu'elles avaient certaines caractéristiques particulières associées aux serpents, par exemple les dents et la façon dont la mâchoire est liée au crâne. Contrairement aux lézards qui ont une mâchoire peu mobile, celle des serpents peut s'agrandir et se déformer un peu afin de laisser passer des proies beaucoup plus grosses que la tête de l'animal. Les quatre fossiles étudiés avaient été découverts en Grande-Bretagne, au Portugal et aux États-Unis. Michael Caldwell a expliqué que l'erreur d'identification est compréhensible. Les fossiles n'étaient pas complets et souvent il n'y avait que des fragments de crâne, de côtes ou d'os des hanches. Ils n'étaient pas assez grands pour connaître la longueur ou la forme du corps des animaux. « Je suis presque certain qu'ils [les serpents] avaient 4 pattes. Si c'est bien le cas, ils auraient énormément ressemblé à des lézards. » — Michael Caldwell, professeur au département de sciences biologiques à l'Université de l'Alberta Le chercheur de l'Université de l'Alberta compte aller plus loin dans ses recherches. Michael Caldwell veut trouver des fossiles encore plus anciens qui pourraient permettre de comprendre comment sont apparus les serpents sur Terre. Source
  12. Sentinelles des zones humides, grenouilles, crapauds, tritons et autres salamandres font l'objet d'un suivi. Pour mieux les connaître et donc les protéger, le CPIE Pays Gersois propose une formation amphibiens. Ils sautent dans vos mares. Ils se cachent souvent dans votre cave ou votre garage. Vous en dérangez certains, parfois, quand vous remuez les feuilles dans les bois à la recherche de quelque cèpe ou girolle. Mais, parce que les amphibiens ne sont pas forcément les plus belles créatures de la nature, le premier réflexe est de s'en détourner. Or, quand il s'agit de faune ou de flore, on ne protège vraiment que ce qu'on connaît bien. Le Centre permanent d'initiatives pour l'environnement (CPIE) du Pays gersois l'a bien compris en proposant une formation sur les amphibiens. «L'objectif, avec ces séances participatives, est d'aller au-delà de la formation classique pédagogique. On s'adresse à des personnes qui travaillent dans l'environnement mais aussi à des bénévoles du milieu associatif qui pourraient nous aider à mener à bien nos missions d'inventaires et de surveillance des sites sensibles que sont les zones humides», indique Jean-Michel Catil, chargé de mission sur les espaces naturels au CPIE. Le Gers compte 11 espèces connues d'amphibiens. «Dix sont réparties sur l'ensemble du département alors qu'on ne trouve la 11e, la grenouille rousse, que dans certains secteurs de l'Armagnac autour de Nogaro et Manciet.» Plus de 3 000 zones humides Pour observer les amphibiens ailleurs qu'autour de sa maison, il faut se rendre dans les zones humides... difficiles à localiser (ce qui n'est pas plus mal pour les préserver d'ailleurs) pour la bonne et simple raison qu'elles sont disséminées sur tout le département et sont souvent très petites. «Selon un inventaire effectué en 2011 par le conseil général, le Gers compte 3 305 zones humides pour une superficie totale de 4 806 hectares soit moins d'1 % du territoire», rapporte Jean-Michel Catil. La carrière de Saint-Cricq à Auch (où 10 espèces d'amphibiens sont présentes), mais aussi les prairies humides en bordure de l'Arçon ou les étangs de l'Armagnac sont quelques-uns des refuges préférés des anoures et des urodèles. Qu'es aco ? Le chargé de mission du CPIE nous éclaire sur ces mots savants : «Les anoures désignent les batraciens qui n'ont pas de queue à l'âge adulte : on classe dans ce groupe d'espèces les grenouilles, les crapauds et les reinettes. Les urodèles regroupent les tritons et les salamandres». Le Gers ne compte qu'une espèce de salamandre, la tachetée (noir et jaune), «très forestière», et deux de tritons, le palmé et le marbré «souvent confondu avec la salamandre». C'est lui, le triton marbré arborant un noir et un magnifique vert presque fluo, que vous surprendrez parfois dans votre cave ou votre compteur d'eau ! Protégés par les lois françaises et les directives européennes, les amphibiens, parce qu'ils sont surtout liés aux zones d'eaux stagnantes, «sont très sensibles à la qualité de l'eau et surtout du milieu». Leur présence, à l'instar de celle des goujons ou des écrevisses dans les rivières, est donc le signe d'un environnement préservé. Sur l'impulsion du conseil général, le Gers œuvre à la préservation de ces vertébrés inoffensifs... avec le secret espoir que la famille s'agrandisse. «Deux autres espèces, qui font partie de la riche faune atlantique, sont connues en limite des Landes et du Gers». Inscrivez-vous au cpie pays gersois «Un dragon ! Dans mon jardin ?» tel est le titre insolite du cycle de amphibiens proposé par le CPIE Pays Gersois. «C'est un CPIE de Normandie qui l'a créé. Le nom est un clin d'œil à certains tritons qui, au moment de la reproduction, ont une crête dorsale très marquée, ce qui leur donne l'aspect de petits dragons», précise M. Catil. La formation comprend trois modules : un théorique, samedi 31 janvier de 9 h 30 à 12 heures, dans les locaux du CPIE à l'Isle-de-Noé ; deux modules pratiques, les 21 février (de 17 h 30 à 20 h) et 14 mars (de 20 h 30 à 22 h 30). Coût pédagogique : 60 €, plus l'adhésion à l'association. Le nombre de places étant limité, inscrivez-vous vite au 05 62 66 85 77. Courriel : contact@cpie32.org www.cpie32.org Le chiffre : 11 espèces >d'amphibiens dans le Gers. Grenouilles, crapauds, reinettes, tritons ou salamandres : les zones humides du Gers sont peuplées de 11 espèces différentes d'amphibiens. La plus rare : la grenouille rousse, visible uniquement en Armagnac. Source
  13. Econduits, trompés ou largués comme une vieille chaussette? Le zoo de San Francisco a pensé à vous. Pour la Saint-Valentin, le parc californien propose aux amoureux solitaires et malheureux d'adopter un cafard rampant ou un scorpion géant en l'honneur de leur ex. Scorpions, cafards, cancrelats... Pour tourner la page après un amour déçu, le zoo propose à ceux qui n'ont pas la cote avec Cupidon d'adopter un énorme scorpion velu, qui aurait la particularité de partager de nombreuses caractéristiques avec l'ex-élu(e) de leur cœur qui les a rendues malheureuses. «Ces invertébrés sont agressifs, actifs et très nocturnes. Comme le vaurien qui partageait votre vie, on les retrouve généralement dans des vallées en basse altitude, où ils creusent leur terrier», décrit l'établissement sur son site internet. «Et comme vous-savez-qui, lorsqu'une victime croise son chemin, le scorpion enserre la créature condamnée avec ses pinces avant de piquer sa proie». Ça vous rappelle quelqu'un? Si le scorpion ne vous tente pas, le programme d'adoption un peu spécial du zoo propose aussi de payer pour recueillir des cafards. Une donation qui, «avec un peu de chance, vous libérera de votre mauvais karma amoureux». Directement dans la boîte aux lettres Pour une donation minimale de 25 dollars pour les cancrelats et de 50 dollars pour un scorpion, le zoo peut livrer ces nouveaux petits amis directement dans la boîte aux lettres de ceux qui vous ont fait souffrir. De quoi financer des programmes de protection mis en place par le zoo. Mais que les destinataires potentiels se rassurent, cafards en plastique et scorpions en peluche ne sont pas venimeux. Source
  14. Un serpent arrive à s’échapper de la gueule d’un prédateur mort après avoir été mangé ! meltyDiscovery vous explique cette histoire insolite Alors que nous essayons toujours de comprendre pourquoi les requins sont rarement dans les lacs et les rivières, c’est au tour d’un serpent de nous étonner. Il se passe toujours des choses étonnantes dans la vie des animaux. Et c’est tant mieux, car à la rédac’ de meltyDiscovery, nous adorons ce type d’histoires insolites. Aujourd’hui c’est un serpent qui fait parler de lui. Il y a quelques années, un Grec a retrouvé un serpent mort sur sa véranda. Ce dernier a été tué par le chat de la famille nommé Demon. Mais alors que Dick Mulder était en train d’éloigner l’animal de son jardin, sa femme a constaté une chose étrange : le serpent continuait de bouger. C’est alors qu’un petit serpent s’est échappé de la gueule de la carcasse de l’animal. Il semblerait, en fait, que le gros serpent ait mangé le petit avant de se faire attaquer par le chat Demon. Mais la question qui vient alors en tête : mais comment cet animal a-t-il réussi à ressortir vivant de cette situation ? Le spécialiste Andrew Gray a déclaré sur son blog que ce type de phénomènes était rare, surtout lorsque nous savons que les serpents mangent leurs proies la tête la première. Mais selon ce dernier, le petit serpent est assez agile pour réussir à faire demi-tour dans le ventre de son assaillant. Il aurait alors été mangé quelques instants avant que le gros serpent se fasse attaqué par le chat, ce qui lui a permis de ne pas être digéré. Une chose est sûre, le serpent a eu un sacré coup de chance ! Pour plus d’histoires insolites, découvrez un halo de lumière dans le ciel d’Ajaccio. Source
  15. Des biologistes ont découvert une espèce de grenouille capable de mettre au monde des têtards. En Indonésie, dans la forêt tropicale de l’île des Célèbes (au nord-est de l’île de Java), Djoko Iskandar, de l’Institut de technologie de Bandung (Java), et Jimmy McGuire, de l’université de Berkeley (Californie), ont identifié il y a quelques années un nouveau genre de grenouille, Limnonectes. Un groupe qui rassemble environ 25 espèces de grenouille pesant de 200 à 900 grammes, qui se sont adaptées à différents habitats et régimes alimentaires. UN MODE DE REPRODUCTION EXTRAORDINAIRE Jusque-là rien d’extraordinaire, puisque cette région est un des points particulièrement riches de la biodiversité mondiale. Mais ils ont eu la surprise de découvrir récemment une espèce, Limnonectes larvaepartus, au mode de reproduction extraordinaire. Sans queue (anoure), pourvu de crocs et mesurant environ 5 cm, cet amphibien donne directement naissance à des têtards, au lieu de simplement pondre des ovules comme le font près de 90 % des amphibiens, ou de donner naissance à de petites grenouilles qui ont subi une métamorphose complète ! DE LA FÉCONDATION EXTERNE À LA FÉCONDATION INTERNE « Presque toutes les grenouilles dans le monde – soit près de 6 500 espèces – pratiquent une” fécondation externe” où le mâle, agrippé au dos de la femelle, répand son sperme, tandis que la femelle libère ses ovules, le tout en milieu humide », explique Jim McGuire, dont l’étude est publiée dans la revue américaine Plos One. Mais une douzaine d’autres espèces ont évolué vers la « fécondation interne », qui est plutôt le propre des animaux terrestres comme les serpents, oiseaux et mammifères. Parmi elles, Limnonectes larvaepartus est la seule espèce qui donne directement naissance à des têtards d’environ 1,5 cm, c’est-à-dire à un stade larvaire en cours de métamorphose. L’OVOVIVIPARITÉ, DES ŒUFS DANS LE VENTRE Les modalités de la fécondation interne sont encore mystérieuses, faute pour les chercheurs d’avoir pu surprendre les deux parents, mais on imagine qu’il y a un accolement des cloaques, un peu comme chez les oiseaux. Cette grenouille a adopté la stratégie de l’ovoviviparité : les œufs (ovules fécondés) riches en réserves nutritives incubent et éclosent dans le ventre de la mère. UNE INCUBATION PROTÉGÉE D’autres amphibiens portent leurs œufs dans des poches dorsales ou élèvent les têtards dans les sacs vocaux, la bouche ou l’estomac. « Par rapport à l’oviparité, l’ovoviviparité offre une incubation protégée dans les voies génitales de la mère (température et humidité, pas de prédation, pas besoin de nid, possibilité pour la mère de déplacer sa progéniture). Les amphibiens ont trouvé des solutions qui ont été à la fois des réussites évolutives mais aussi des impasses, l’évolution s’étant ensuite faite jusqu’à la viviparité où nourrissage, protection et éducation des nouveau-nés sont apportés par les parents », explique Jean Lescure, herpétologue au Muséum de Paris. Source
  16. Reportage impressionnant dans le JT de Réunion 1ère. Une habitante du Portail, au Piton Saint-Leu, a découvert un python d'1m (0,90cm très exactement) devant sa porte ce dimanche. Selon le site de Réunion 1ère, elle s'apprêtait à ouvrir sa porte quand elle a baissé les yeux et découvert l'animal. Prise d'un "saisissement", comme on dit en créole, elle a appelé les pompiers qui ont récupéré le reptile. "Aucun propriétaire ne s'est manifesté jusqu'à maintenant", signale ce mardi soir le caporal-chef Thierry Rivière. Le serpent est pour l'heure toujours confiné dans une boîte au sein du centre de secours de Saint-Leu où il attend son sort. Il devrait être pris en charge par le vétérinaire du SDIS ou dirigé vers un vétérinaire agréé. Certaines équipes du SDIS, et notamment l'équipe cynophile, sont désormais spécialement formées pour ce genre d'intervention. Un module intitulé "opérations diverses" est désormais intégré à la formation des pompiers. Il leur est notamment enseigné comment approcher et manipuler les NAC, les nouveaux animaux de compagnie qui font de plus en plus parler d'eux à La Réunion. Source
  17. Une tortue repart a la mer apres avoir pondu ses oeufs sur une plage de l'ile therese. (Hajira Amla Seychelles News Agency) fonctionnaires du ministère de l'environnement, la vitesse d’éclosion des tortues vertes se maintient à un niveau préoccupant, alors que le nombre de tortues à écailles s'est stabilisé voire accru, autour des îles intérieures granitiques des Seychelles. La saison de nidification pour les deux espèces de tortues, dans l'archipel de 115 îles de l'Océan Indien, a lieu entre octobre et avril. Elle coïncide presque exactement à la période calme de la saison des pluies lorsque les alizés soufflent en direction du nord-ouest. L'agent de conservation Ashley Pothin a dit à la SNA que les fonctionnaires de la division faune et conservation du ministère de l'environnement et de l'énergie effectuent des patrouilles de routine sur toutes les plages de ponte des tortues, situées dans les principales îles habitées de Mahé, Praslin et La Digue. Sur Mahé, l’ile principale des Seychelles, la plupart des sites nidification sont observés tout autour de la pointe sud de l'île : à Takamaka, Grand police et Intendance, qui sont tous des endroits actuellement peu fréquentés par l’homme et où le tourisme ne s'est pas encore trop développé. A. Pothin a déclaré que les gardes vont habituellement sur les plages entre six et sept heures du matin pour observer les tortues déposer leurs œufs. Les tortues sont plus vulnérables face au braconnage quand elles sont à terre. La saison de nidification représente alors une période plus dangereuse pour les femelles lourdes et fatiguées. (Rassin Vannier Seychelles New Agency) des données est effectué à chaque saison de nidification. Selon certaines indications, la population de tortues à écailles s'est à présent stabilisée et aurait peut-être augmentée. « Nous observons de nouvelles tortues qui n'ont pas été marquées. » Selon A. Potin, on peut observer environ 500 à 600 tortues à écailles dans le sud de Mahé lors de la période de nidification, alors que le nombre de tortues vertes dépasse rarement la douzaine. Les tortues vertes, bien connues pour parcourir des distances étonnantes, ne sont plus aussi fréquentes aux Seychelles qu’auparavant. La majorité d’entre-elles vivent dans le sud-ouest des îles coralliennes de l'archipel, en particulier sur l'atoll d'Aldabra, où elles pondent plus abondamment. Les tortues vertes parcourent de longues distances entre leurs sites d'alimentation et leurs sites de nidification. Une fois adultes, les tortues retournent souvent sur la même plage où elles ont vu le jour. Les tortues femelles peuvent ne pas arriver à pondre sur les plages touchées par l'activité humaine et ses installations, et même si elles y parviennent, leurs œufs deviennent souvent des proies faciles pour les humains et d'autres prédateurs. Jusqu'à l'interdiction complète de leur capture ou de leur abattage en 1994, les tortues à écailles étaient extrêmement recherchées pour leurs carapaces. Elles étaient utilisées pour créer des bijoux et d'autres objets à vendre aux touristes, tandis que la tortue verte était très prisée pour sa chair. A. Pothin a noté qu'avant que les règles de protection des animaux sauvages (les tortues) aient été promulguées en 1994, il était seulement interdit de capturer des tortues pendant la période de nidification. Des sanctions sévères ont été introduites avec la nouvelle loi, tel que des amendes pouvant s’élever à 500 000 roupies seychelloises (un peu plus de 35 000 $), la peine d’emprisonnement de 2 ans ou encore la saisie de bateaux et d'autres équipements marins. Selon A. Pothin, ces mesures strictes ont réduit le braconnage à un niveau minimal. « Au cours de ces dernières années, on a enregistré seulement trois ou quatre cas de braconnage. En règle générale, cela se traduit par l'intervention de la police et la poursuite judiciaire des braconniers présumés. » Un bébé tortue venant de naître qui se dirige vers la mer (Henna, Nature Seychelles) Dans certains cas, lorsque les gardes trouvent seulement la carapace ou la coquille – il s’agit d’un triste indice que les braconniers ont réussi à s'enfuir. Pothin a déclaré que sa division travaille en étroite collaboration avec d'autres ministères et organismes gouvernementaux, tels que la police des Seychelles, l’autorité de pêche des Seychelles (SFA), la compagnie de développement des îles (IDC), la société de conservation des îles (ICS) et la compagnie de conservation marine des Seychelles (MSSC). Pour le moment, Pothin pense que dans une majeure partie des cas, les responsables à l’origine du déclin de la population des tortues vertes sont le changement climatique et l'activité humaine. « La montée du niveau de la mer contraint les tortues à se déplacer vers des sites plus sûrs et et il en est de même lorsque les températures de l’océan les incitent à aller ailleurs pour se nourrir. » Elle a ajouté que le bruit dans l'eau, tel que celui des moteurs de bateaux et de navires, incitent également les tortues à se tenir à l'écart. Bien que le braconnage ait été mis sous surveillance, la destruction des habitats provoquée par l'accroissement de l’activité humaine sur les sites traditionnels de nidification reste la plus grande menace pour la population de tortues des Seychelles. Source
  18. Echouée dans l'île de Noirmoutier, elle a été ramenée à l'Aquarium pour se refaire une santé. Elle devrait être relâchée l'été prochain Échouée le week-end dernier dans l'île de Noirmoutier, une tortue de Kemp a été amenée ce lundi après-midi à l'Aquarium de La Rochelle où elle devrait se requinquer jusqu'à l'été prochain, avant d'être relâchée dans l'océan. En 2014, huit tortues de Kemp se sont échouées sur le littoral atlantique français. Le plus grand nombre jamais observé sur la période 1988-2014. Source
  19. ÉTATS-UNIS – Un alligator a été découvert lundi dernier dans la banlieue de Los Angeles, à côté de deux cadavres de chat. Le reptile vivait illégalement chez des particuliers depuis les années 1970. Si les iguanes et autres serpents sont des animaux de compagnie de plus en plus répandus, l'alligator est plus rare dans les foyers. Peut-être du fait de sa mâchoire gigantesque, ou de ses attaques puissantes. Des caractéristiques qui ne semblent pas rebuter tout le monde… L’atteste la découverte le 12 janvier par des agents de contrôle de Los Angeles d'un alligator de près de 2,50 m dans la cour arrière d'une maison de Van Nuys, en banlieue. Il y vivait illégalement depuis environ quarante ans. Selon Reuters, deux chats morts se trouvaient à côté du reptile. Le meneur de l'opération, Mark Salazar, a donc ouvert une enquête criminelle. Les habitants de la zone sont invités à se manifester s'ils ont perdu un animal durant les quarante dernières années. Le propriétaire de l'alligator, qui ne possédait pas de permis pour sa garde, est décédé l'an dernier. Depuis, son beau-frère Ron Gorecki, 53 ans, faisait partie de ceux qui avaient pris le relais. "Nous avons essayé de lui offrir un bon foyer", s'est justifié l'homme auprès du Los Angeles Times. L'animal avait été acheté dans un magasin d’animaux de compagnie de la ville et baptisé Jaxson. Il vivait, au départ, à l'intérieur de la maison jusqu'à ce que sa taille l'en empêche. Poulet et hot-dogs au menu Pour autant, selon ses propriétaires, il ne se serait attaqué à aucun chat. Son alimentation était composée de poulet ou de hot-dogs. Dans le voisinage, "tout le monde connaissait Jaxson". La tolérance des habitants du coin risque d'en prendre un coup à l'annonce de la mort de deux félins. Les agents de contrôle avaient déjà fouillé la maison l'année dernière, après avoir reçu un signalement anonyme. Sans succès. L'alligator a été emmené au zoo de Los Angeles. Source
  20. Les chercheurs ont déjà beaucoup étudié les anoles, ces lézards vivant en Amérique et dans les Caraïbes. Ils en connaissent davantage sur leurs habitats, leurs relations avec d'autres espèces ou encore leur morphologie. Une nouvelle découverte surprenante vient pourtant d'être faite. Elle révèle que l'appareil reproducteur masculin de cet animal évolue beaucoup plus rapidement que le reste de son anatomie. Les lézards mâles, comme cet anole vert (Anolis carolinensis), possèdent un organe copulateur tubulaire finalisé par deux hémipénis symétriques d'où s'écoule la semence. Cowenby, Wikimedia, CC by-sa 3.0 six fois plus vite que les autres parties du corps : les lézards Anolis ont de quoi surprendre. En fait, les hémipénis de ces animaux sont bien connus des spécialistes. Ils sont même l'un des caractères morphologiques externes qui permettent de distinguer le groupe des lézards, dit squamates ou saurophidiens, des autres reptiles. L'appareil copulateur des mâles se compose en effet de deux hémipénis symétriques, alors qu’il n'en existe qu'un seul, impair et médian, chez les tortues et les crocodiles. Les attributs des lézards mâles ne s'exhibent qu'au moment de l'accouplement par leur fente cloacale située à la base de leur queue. En revanche, les scientifiques ne savaient pas grand-chose de l'évolution de ces organes intéressants à plus d'un titre. Parmi les milliers d'espèces de lézard répertoriées, certaines d'apparences presque identiques, peuvent présenter une importante variabilité d'hémipénis, ce qui en fait un bon outil de distinction. En outre, les chercheurs soupçonnent depuis longtemps que les organes génitaux masculins évoluent plus vite que les autres parties du corps. Aussi, pour la première fois, une étude parue dans la revue Journal of Zoology, s'est penchée sur la question de l'évolution de ces attributs sexuels. Variation morphologique des hémipénis de : (a) Anolis litoralis, (b) A. evermani, (c) A. brunneus, (d) A. cybotes et (e) A. grahami où sont mesurées (1) la longueur, (2) la largeur aux lobes et (3) la largeur au niveau du corps. La barre verticale de gauche représente une échelle de 1 mm. Julia Klaczko et al., Journal of Zoology éventuel avantage pour mieux dominer ou séduire la femelle Les recherches ont porté sur les organes génitaux de 25 espèces d'Anolis, ce lézard qui vit notamment dans les Caraïbes. Les chercheurs les ont mesurés et comparés à d'autres traits morphologiques non sexuels mais également évolutifs comme les membres et le fanon gulaire (il s'agit d'une membrane de peau située sous la gorge et qui se déploie pour séduire une femelle, chasser un intrus ou effrayer un prédateur). Les résultats de l'étude montrent que les hémipénis présentent des taux d'évolution six fois supérieurs à ceux des pattes et de l'organe de communication, d'où leur plus grande diversité de formes et de tailles par rapport aux autres parties du corps. Pour les auteurs de l'article scientifique, l'explication de tels faits reste difficile et plusieurs hypothèses sont émises. Il pourrait s'agir d'une compétition entre partenaires mâles et femelles pour dominer sur la reproduction. Chaque modification des organes au cours des générations pourrait en effet tendre au contrôle de l'acte alternativement par les mâles ou les femelles. Une autre possibilité serait que les femelles choisissent prioritairement de s'accoupler avec les mâles dont le sexe s'ajusterait au mieux à leur vagin. De nouveaux travaux seront bientôt menés pour en savoir davantage sur les facteurs responsables de cette variabilité et sur l'existence éventuelle d'un lien avec les types d'habitats ou avec les relations entre les différentes espèces. Source
  21. Cette espèce est classée comme moins préoccupante en raison de sa large distribution à travers l'Asie du Sud-Est et sa tolérance des milieux humains modifiés. Cette espèce est cotée à l'échelle nationale et internationale, si cette exploitation que des impacts des populations locales et ne sont pas à l'origine des baisses importantes de la population mondiale totale. Toutefois, lorsque ce complexe d'espèces se divise en espèces distinctes, il est probable que la plus petite gamme séparer les espèces peuvent être considérées comme plus menacé par la collecte des peaux. Cette espèce est fortement exploitée dans le lac Tonlé Sap au Cambodge, et les populations semblent à la baisse dans ce domaine particulier. Cette espèce représente environ 8% de la récolte de serpent de cette zone. Il est fortement exploitée au Cambodge pour l'exportation internationale de la Thaïlande, le Viet Nam et la Chine. Cette espèce est commercialisé au niveau international, pour les Vietnamiens et les marchés chinois que la nourriture et aux marchés thaïlandais pour leurs peaux. Il a été estimé que, en 1999, plus de 8.500 serpents d'eau de différentes espèces ont été récoltées et vendues par jour pendant la saison de pointe.Stuart et al. (2000) notent que la récolte de divers serpents au Cambodge représente probablement la plus grande exploitation d'un seul assemblage de serpent partout dans le monde. Cette espèce est également exploitée ailleurs dans sa gamme (pers J. Murphy. Comm., 2009) car il est apprécié pour la consommation humaine, à l'alimentation des fermes de crocodiles, et pour le commerce de la peau. Il est le troisième reptile le plus abondant dans le commerce autour du parc national U Mnh Thuong. Il peut souvent être trouvé dans les magasins de commerce et est souvent empêtré et tué dans de grands filets qui bloquent les canaux de la région.Zhou et Jiang (2004) ont rapporté que, entre 1991 et 2001, 1.448.134 peaux de cette espèce ont été importés en Chine pour le commerce du cuir. C'était la troisième peau de reptile le plus commun importés aux États-Unis au cours de 1984-1990, avec un total des importations de 1.645.448 peaux (Baker, 2006).Il n'y a pas de mesures de conservation connus en place pour cette espèce, mais il est connu pour se produire dans plusieurs aires protégées, notamment le parc national U Mnh Thuong. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour résoudre la taxonomie de ce groupe. En outre, des recherches plus poussées dans ses abondance, les tendances et les niveaux de récolte est nécessaire pour assurer un état de menace n'est pas déclenché dans l'avenir. Cette espèce peut être élevé en captivité La longueur de ce serpent de la tête à la queue est de 82 cm en moyenne et une longueur de 23 cm en moyenne pour la queue. On peut compter 37 à 47 rangs d'écailles, 158 à176 écailles ventrales et 70 à 106 écailles sous-caudales. L´écaille anale est divisé. Ce serpent est brun foncé sur le dessus, avec des étroites bandes transversales brun bordées de noir. La tête est pâle avec un marquage sombre triangulaire ou en forme de V sur le museau, une tache en forme de A sur l'occiput, et une bande sombre sur chaque côté en passant à travers l'oeil et s'étendant à l'avant de l'œil. La couleur du ventre est blanche ou jaunâtre, avec des taches brun foncé le long de chaque côté. La queue est garni avec des taches brunes. Cette espèce se rencontre au Népal, au Bangladesh, en Birmanie, au Laos, au Viêt Nam, auCambodge, en Thaïlande, en Malaisie, à Singapour et en Indonésie. Sa présence est incertaine en Inde. Cette espèce est décrite comme commune. La population a été estimée à 96 000 specimens en Indonésie. C'est une espèce d'eau douce que l'on trouve dans un large éventail d'habitats aquatiques, y compris les flux de gravier, bassins des cours d'eau, fossés de drainage, les champs irrigués, les étangs, les marécages et les marais. Il semble être tolérantes aux perturbations humaines comme il a été rapporté des bords de rivières, ruisseaux et fossés dans les zones suburbaines. Cette espèce est nocturne et peut être trouvé dans des trous ou des terriers bancaires boueux pendant la journée. Les Homalopsis buccata sont généralement des serpents très rustiques qui ne sont pas difficiles à garder. Cependant, leurs besoins sont peu spécialisés par rapport à l'élevage de la plupart des types de serpents d'eau. Comme les serpents d'eau chinois, ceux-ci sont très aquatique. Ils vivent dans des conditions qui sont l'eau et 100% d'humidité. Ils sont logés dans l'eau avec 7 à 10 cm de profondeur. Ils ne développent pas les redoutables "cloques d'eau" que la plupart des autres serpents d'eau font. Ces serpents restent dans l'eau jusqu'à ce que les températures de l'eau commencent atteint 31.6-32.2C. Je recommande toujours plantes vivantes pour les configurations aquatiques. Ils sont fournis par e l'écorce de liège flottante, qui sert aussi de zone de terre. Ces serpents sont logés dans de grandes cuves (39 "x18" x7 ") qui sont gérés par un système de filtration. Le sommet a été modifié pour permettre la ventilation, un point chaud et un point froid. J'utilise actuellement 100% de l'eau dure du robinet (GH18, KH14, pH 7,5-7,7, TDS ~ 300 ppm) et fais 1 à 2 fois par semaine un changements d'eau d'environ 40%. La température de l'eau varie dans cette configuration d'un minimum de 27 à un maximum de 32C. Lorsque l'eau commence à atteindre 31.6-32.2C les serpents commencent à sortir de l'eau. Ils semblent vraiment profiter de températures de l'eau dans la gamme de 27.7-30C. Sous le point chaud sont une ou plusieurs morceaux d'écorce de liège pour se cacher sous ou se prélasser dessus. En général, ces serpents ne semblent pas utiliser beaucoup le hot spot. Apparemment, ils aiment les températures inférieures à la 80'sF. Pour l'éclairage, on peut procéder avec une photopériode de 12 heures de lumière et 12 heures d'obscurité. Au niveau du substrat, la littérature suggère du gravier ou du sable d'aquarium. Personnellement, je n'ai pas du tout de substrat. Ces serpents sont voraces. Il vaut mieux les nourrir individuellement et en plaçant simplement le poisson dans l'eau. il accepte bien les poissons morts et vivant. Les serpents ne semblent pas se soucier, ils adorent manger. On peut donner des filets de poissons de temps à autre mais vaut mieux continuer à offrir le poisson entier pour la valeur nutritionnelle plus complète. Je ne comprends pas clairement à ce stade comment le cycle de reproduction de ces serpents fonctionne. Cependant, ils sont une nuisance dans leur pays d'origine. Selon des études sur le terrain, ils n'ont pas de saison de reproduction. Ils se reproduisent hors-printemps toute l'année avec une période de pointe octobre-mars, et Nov-Dec étant le sommet du pic. Je mettrai à jour cette section dès que je reçois d'informations dans ce domaine. J'ai juste besoin de faire quelques recherches. Cependant, à partir de ce que j'ai appris, je ne pense pas qu'ils seront très difficiles à élever en captivité.
  22. Les images d'une petite fille de 14 mois jouant avec un python de quatre mètres offert par son père ont fait le tour du web et en ont fait frissonner plus d'un. Adopter un serpent comme animal de compagnie, est-ce vraiment une bonne idée? Et si on décide de le faire, comment doit-on s'y prendre? Ce sont les questions auxquelles le Dr Édouard Maccolini, vétérinaire spécialisé en animaux exotiques au Centre vétérinaire de Laval, a répondu. Ce ne sont pas les animaux de compagnie préférés des Québécois. Le Dr Maccolini estime que 15 % de sa clientèle est composée de reptiles et que seulement la moitié sont des serpents. Ces derniers ne représenteraient pas un danger particulier pour leur propriétaire. Si les espèces venimeuses sont strictement interdites au Québec, la plupart des serpents qu'on retrouve sont des pythons, des serpents des blés (Corn snake) et quelques boas constricteurs. «Il faut bien se renseigner avant de se procurer un tel animal. Certaines espèces peuvent devenir très grosses et ne sont plus vendues, comme les pythons indiens. Les serpents ne sont pas prélevés dans des milieux sauvages, mais viennent de fermes d'élevage», explique le Dr Maccolini. Il faut toutefois savoir qu'un serpent qui n'est pas venimeux sera fort probablement constricteur. Il existe toutefois des espèces se nourrissant d'oeufs, de vers, de poissons ou d'amphibiens, qui n'ont pas recours à la constriction et qui ne font qu'avaler directement les proies qu'elles attrapent. Le python royal, qui est un constricteur, fait partie des espèces les plus populaires au Québec. Il est totalement inoffensif pour l'être humain. Quel genre de serpent est-il préférable de se procurer? «Je recommande surtout les pythons royaux et les serpents des blés. Ils vont avoir des tailles raisonnables et sont peu agressifs. Les serpents des blés sont parfaits pour les débutants, car les températures de maintien en captivité sont moins exigeantes et ils ne vont pas facilement faire d'anorexie», précise le vétérinaire. Pas émotifs Les serpents ne sont pas des animaux de compagnie qui demandent beaucoup d'attention. En fait, attendez-vous à vivre une relation à sens unique avec eux, car ils ne sont pas émotifs, contrairement aux chiens ou aux chats. Le plus important est de faire un contrôle régulier de leur environnement. «Les serpents requièrent un environnement parfait, que ce soit en termes de nourriture, de température, de contrôle de l'humidité et de ventilation. Environ 80 % des reptiles malades le sont à cause de mauvaises conditions de garde. La plupart des espèces vivent entre 15 et 25 ans», dit le Dr Maccolini. L'équipement nécessaire variera selon l'espèce choisie. Un serpent désertique nécessitera une cage chauffée avec de fortes lampes. Un serpent tropical aura quant à lui besoin de plus d'éclairage et d'humidité. Du côté de la nourriture, il faut s'attendre à nourrir son serpent toutes les deux ou trois semaines, selon son âge et sa taille, mais il faut s'assurer de lui laisser assez d'eau en tout temps. Selon l'espèce et la grosseur, un serpent peut manger les proies suivantes: souris, rat, cochon d'Inde, lapin... Le coût de la nourriture est, bien sûr, à considérer dans son budget lorsqu'on choisit le serpent comme animal domestique. Un souriceau, acheté congelé, peut valoir entre 1 $ et 2 $ en animalerie, alors qu'un gros rat peut coûter entre 6 $ et 7 $. «On recommande de nourrir les serpents avec des proies tuées, mais surtout avec du congelé/décongelé. En industrie, elles sont tuées en CO2, ce qui est plus acceptable. Les proies vivantes ne sont pas recommandées, car ça peut être dangereux pour le serpent qui peut se faire mordre par le rat ou la souris. C'est la nature, mais ce n'est pas naturel pour un serpent de vivre dans un terrarium», explique Édouard Maccolini. Avant d'entreprendre toute adoption, il est fortement conseillé de faire quelques lectures à propos des reptiles sur l'internet, mais surtout de discuter avec un vétérinaire spécialisé en animaux exotiques. «On se rend disponible pour faire de l'éducation et accompagner les gens dans le choix de l'animal et le maintien de sa bonne santé. De nombreuses informations erronées circulent, il faut être prudent», lance le Dr Maccolini. Quels sont les premiers signaux alarmants qui devraient mettre la puce à l'oreille des nouveaux propriétaires? «L'anorexie. Le serpent va refuser de manger. Après deux ou trois repas sautés, ce n'est pas normal. Son état se dégrade rapidement. Il ne faut pas attendre pour aller voir un vétérinaire», précise-t-il. Où se procurer un serpent à Montréal Les refuges comme la SPCA ou L'Auberge Zen ont souvent des reptiles en adoption. On peut aussi en trouver dans des magasins spécialisés comme Magazoo et Reptiles concept. Source
  23. Pour retourner pondre là où elles sont nées, les tortues utilisent les lignes du champ magnétique terrestre pour se repérer. PONTE. "Si ça a marché pour moi, ça devrait le faire pour ma descendance", c'est sans doute ce que se dit la tortue, imagine J. Roger Brothers, de l'université de Caroline du Nord. "La seule façon pour une tortue femelle d'être sûre qu'elle a fait son nid dans un endroit favorable pour le développement de ses œufs est de nidifier sur la plage où elle est née" ajoute-t-il. Mais comment fait la tortue pour la retrouver ? Un peu comme le papillon, elle se sert du champ magnétique terrestre. Les variations du champ les désorientent Des indices indiquaient déjà que les tortues de mer utilisent le champ magnétique terrestre pour s'orienter en plein océan, cependant rien n'était certain concernant leur méthode pour retourner immanquablement sur la plage de leur naissance et y pondre. Une des hypothèses est que les tortues créent une sorte de carte magnétique du lieu, dès leur éclosion, et qu'elle utilise ensuite cette information pour y retourner. Mais difficile de vérifier cette idée dans l'eau. Dans la revue Current Biology, les chercheurs ont testé une méthode ingénieuse pour valider l'hypothèse de la carte magnétique. "Nous avons pensé que si les tortues utilisent le champ magnétique pour retrouver leurs plages natales, les changements qui se produisent naturellement dans le champ terrestre pourraient influencer leurs zones de nidification" explique Roger Brothers. LIGNES. Pour le constater, ils ont analysé une base de données regroupant les lieux de nidifications des tortues le long de la côte Est de Californie, sur 19 années. Ils ont trouvé une forte association entre la distribution spatiale des nids de tortues et les changements subtils du champ magnétique de la Terre. Dans les zones où les lignes du champ magnétique se sont rapprochées, il ont remarqué une concentration de sites de nidification. Et là où elles divergeaient, les nids étaient plus espacés. "Nos résultats prouvent que les tortues utilisent bien une carte magnétique pour retourner là où elles ont éclos", résume Roger Brothers. De quelle façon ? Cela reste encore mystérieux, le chercheur suppose qu'elles possèdent des particules sensibles aux champs magnétiques dans leur cerveau mais aucune preuve n'existe. Source
  24. Quelques jours après que la vidéo qui montre une couleuvre lancée derrière le comptoir d'un restaurant Tim Hortons de Saskatoon eut fait surface, Luke Apooch, un des hommes au centre de l'incident cherche à récupérer son animal de compagnie. Après son intervention au restaurant, la police a trouvé un nouvel abri temporaire à la couleuvre « Outlaw », qui doit être relâchée dans la nature au printemps. Luke Apooch, qui fait face à des accusations de méfait et d'avoir perturbé l'ordre public, explique qu'il s'était porté acquéreur de la couleuvre quand il travaillait dans des champs pétrolifères en Alberta. Il l'avait nommé « Patches O'Houlihan » et la gardait dans une boîte de pizza. Le propriétaire original admet que pour le moment il n'est pas organisé pour prendre soin de la couleuvre, mais s'il la récupère, ajoute-t-il, il la remettra en liberté au printemps. En décembre dernier, Luke Apooch et Christopher Cook avaient été arrêtés et accusés de méfait et d'avoir perturbé l'ordre public après que la police de Saskatoon eut répondu à un appel dans un restaurant Tim Hortons. Les deux hommes de 20 ans ont été libérés jusqu'à leur comparution le mois prochain. Source
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