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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Cette araignée sauteuse fait le même bruit qu'une moto!
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Si l'Homme copie souvent la nature, l'inverse est bien plus rare. Prenez le bruit d'une moto, par exemple. Un son typiquement urbain, non ? Saviez-vous qu'une araignée produisait exactement le même bruit ? Non ? C'est parti pour une petite découverte insolite. Merci Dame Nature ! Comme bon nombre d’animaux, les araignées sauteuses participent à des rituels, notamment de danse et de chant. Ces araignées – Habronattus – émettent des vibrations en faisant bouger très précisément leurs pattes et imitent parfaitement un moteur de moto. Ces enregistrements ont été effectués au Elias Lab de UC Berkeley. Damian Elias, spécialiste de la communication animale explique la chose : « Les araignées sauteuses du genre Habronattus utilisent des signaux multimodaux complexes durant un court laps de temps. Les araignées du clade H. coecatus, un groupe de 23 espèces, ont une chanson et une danse toutes particulières. Les chansons vibratoires du H. coecatus sont complexes, elles comportent jusqu’à 15 éléments organisés en groupes fonctionnels qui changent durant l’évolution de la cour. Cette structure temporaire est analogue à une composition musicale. Cette vidéo compile tous les éléments d’une H. coecatus récupérée dans le Missouri. Les « sons » de cette vidéo sont des vibrations produites par l’araignée mâle et enregistrée avec l’aide d’un vibromètre laser. » Source -
Sur le site de vente en ligne Ouedkniss.com on trouve ce qu'on veut, même des... bébés crocodiles. En effet, des annonces de particulier vendant ce type d'animal exotique, photos à l'appui, ont fait le buzz sur la Toile. On y voit ces petits reptiles de toutes les tailles dans leurs plus belles postures. Ce qui est encore plus incroyable, c'est leur prix qui est de 20.000 DA négociable. Les fans de Crocodile Dundee ne seront pas déçus... Source
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BELO SUR TSIRIBIHINA – Des attaques de crocodiles font trois morts
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
attaques de crocodiles font rage à Belo sur Tsiribihina. En l’espace de trois jours, trois personnes se sont fait dévorer. Jusqu’à hier, seuls deux corps ont été retrouvés. En revanche, le troisième n’a pas encore été rejeté par le fleuve Tsiribihina, théâtre de ces drames. Le premier cas remonte à vendredi. Au crépuscule, une commerçante devait se rendre au marché d’Androngy a été la proie de crocodiles pendant qu’elle traversait le fleuve. N’ayant pas vu le reptile embusqué dans les eaux sombres du Tsiribihina, elle a été happée par l’animal. Engloutie dans les parties profondes de la rivière, sa dépouille n’était remontée à la surface que 24 heures plus tard. C’est seulement samedi que son corps mutilé a été découvert. Pas plus tard que dimanche, deux autres personnes ont été victimes de deux autres attaques de crocodile sur ce même fleuve. Ce double drame s’est en revanche produit dans la commune rurale de Berevo. Deux riverains dont un homme et une femme en ont fait les frais. Ils passaient dans le coin lorsque le pire s’est produit. La femme happée par le crocodile demeure jusqu’à maintenant introuvable. Source -
Une habitante de Cercié, dans le Beaujolais, a fait une découverte surprenante sur son lieu de travail, samedi matin : un gecko pétrifié par le froid… Il faisait environ 3 °C quand Christiane Gobet, habitante de Cercié (69), a pris son poste de travail sur l’aire de Taponas, dans le Rhône, samedi matin. Alors qu’elle se rend à une pompe, la pompiste entend quelque chose tomber. Son œil est attiré par une petite bête frigorifiée. Un petit gecko, tout blanc, qui ne peut bouger. « Il avait froid, alors je suis allée chercher une pelle et une balayette et je l’ai installé dans une boîte à chaussures », relate Christiane. Proche de la nature, elle entend bien remettre sur pied le petit animal. « Il est resté tout le matin au kiosque avec moi. Il reprenait déjà des couleurs. » Après quelques recherches sur internet la mettant sur la piste d’un gecko, elle décide d’appeler le parc zoologique Touroparc et leur confie, à leur demande, son petit protégé. Lundi, les vétérinaires de Touroparc se sont donc penchés sur son cas pour déterminer avec précision de quelle espèce il est question. « On est sûr à 99 % qu’il s’agit d’un Tarente de Mauritanie », explique Franck Chaduc, le directeur de Touroparc. Une espèce protégée, en partie répartie sur le pourtour sud de la France, « même si on note une pointe de présence jusqu’à Valence. » Objectif : le relâcher Le valeureux gecko, un spécimen assez jeune de 6 à 7 cm, a probablement voyagé, accroché sur un véhicule grâce à ses pelotes adhésives. « On ne sait pas trop s’ils peuvent passer l’hiver si haut… Il est actuellement en quarantaine, mais l’objectif est de le ramener dans son aire de répartition. Nos vétérinaires essayent de détecter d’où il peut venir. » Une nouvelle qui va certainement ravir Christiane, qui lui lance via Facebook un mot plein d’affection : « Bonne continuation, petit gecko. » Source
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Ce qui ne devait être qu’une simple morsure sans conséquence s’est transformé en véritable enfer pour Nicki Thornley, un Anglais de 33 ans originaire de Newcastle, victime d’une morsure d’araignée. Son majeur a commencé à gonfler et a failli être amputé, vu l’infection développée… Comme il le raconte au Newcastle Chronicle, Nicki Thornley a vécu l’enfer à cause d’une morsure qu’il pensait venue d’un insecte. Le trentenaire originaire de Newcastle, au nord de l’Angleterre, a certainement été piqué par une araignée, plus particulièrement d’origine tropicale. « On ne sait toujours pas ce qui a causé cette morsure mais cela vient très probablement d’une araignée », a-t-il confié au quotidien britannique. « Les chirurgiens et le staff médical ont été choqués quand ils ont vu ce qu’il s’est passé. Ils ne pouvaient pas croire que cela pouvait se produire à Newcastle et non dans une forêt tropicale ». Le doigt de Nicky, mordu par cette araignée, a enflé et a même montré des signes d’infection. À tel point que l’homme a cru perdre son majeur ! « Les médecins m’ont dit que j’étais très chanceux d’avoir été aux urgences aussi vite. Si j’avais ignoré cette morsure, cela aurait été une tout autre histoire. L’infection a failli tuer mes os et mes muscles », assure-t-il. La blessure fait en tout cas froid dans le dos. Source
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Il y a une dizaine de jours, l’alerte a été donnée à Clairvaux-les-Lacs. Un boa constrictor imperator d’une longueur de 1,70 mètre, baptisé Corail avait disparu. Les habitants ont été invités à le signaler, sans résultat. Surprise ce matin : Corail est réapparu ! Il était toujours dans l’appartement où il avait été hébergé quelques jours plus tô Source
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Et les vipères? En parcourant un certain nombre de sites je m'aperçois que partout il y plainte de l'homme concernant des animaux dits « nuisibles » ou « dangereux ». Vautours chez les uns, ours chez les autres, loups ou bouquetins, renards et j'en passe. Quel est le degré de tolérance de l'homme vis à vis d'une espèce? Dans mon Oasis, j'ai toutes sortes d'animaux, des petits et des grands qui en général vivent leur vie sans rien demander. Seulement voilà, j'héberge aussi depuis plusieurs années quelques animaux dont « l'homo urbanicus » a une peur terrible. Parmi eux, j'ai quelques orvets ( à ne pas confondre avec des serpents), à priori une couleuvre ( à la taille mais je ne l'ai pas regardée dans la blanc de yeux), des lézards verts et quelques vipères. M'étant faite mordre, il y a quelques années, par une vipère, je me suis renseignée sur ces animaux. De fait, la morsure d'une vipère est assez souvent sans venin et donc sans conséquence. Ensuite ces animaux sont plutôt grégaires et ayant repéré leur habitat, j'y prends garde. Cet été, s'est, par contre, posé le problème d'une vipère qui avait élu domicile dans le local piscine. Ayant deux gîtes, l'endroit était mal choisi. Et même si, dans le livret de présentation, mes hôtes apprennent qu'ils peuvent, en sus des papillons, oiseaux et autres hérissons, rencontrer quelques serpents en vadrouille, c'était tout de même dangereux pour les enfants. Mais je ne voulais pas la tuer ( d'ailleurs c'est une espèce protégée). Nous avons donc avec mon mari, sorti du local tout ce qui pouvait lui servir de cachette et transporté le tout dans la haie plus loin, débroussaillé tout le tour du local: bref nous avons rendu son ex logement inhabitable, tout en lui en proposant un autre un peu plus loin. J'ai le plaisir de vous annoncer que cette bestiole a pris possession de son nouveau local, l'ayant entr'aperçue dans les briques au milieu de la haie. Source
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Un homme a repéré et photographié un python le week-end dernier dans le massif des Albères, près de la Vallée des Tortues. Le serpent d'1,50 m de longueur a été authentifié, il est activement recherché. Un python a été aperçu samedi dans le massif des Albères. L'animal a été repéré par un archer lors d'une séance de tir au Mas Delca tout près de Sorède (Pyrénées-Orientales). L'homme a pris des photos (voir ci-dessus). L'adjoint à la sécurité de la commune de Sorède a été alerté, de même que les responsables du parc animalier de la Vallée des Tortues. Françoise Malirach, propriétaire et gérante du parc, a pu authentifier le serpent à partir de photos. Il s'agit d'un python royal. "C'est quand-même dangereux ces petites bêtes là !" "C'est un vrai python, ce n'est pas comme l'histoire du tigre de la région parisienne, c'est un vrai de vrai ! Un python royal d'environ un mètre cinquante. Il faut quand-même s'en méfier, il peut saisir un chien, c'est quand-même dangereux ces petites bêtes là. "On le cherche, il faut y aller avec un balai ou une raquette pour lui bloquer la tête et avoir toujours un sac avec soi. On ne peut pas faire grand chose parce qu'il est caché. Il n'a pas une grande aire de balade, il ne bouge pas beaucoup à cette période de l'année. Il se faufile dans les feuilles pour chercher à manger. "On va le trouver ! C'est un serpent qui s'est échappé de chez un particulier ou bien quelqu'un l'a volontairement lâché" Source
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Sur la base de documents bibliographiques et de photographies prises sur le terrain, un herpétologiste, Gilles Pottier (auteur du premier «Guide des reptiles et amphibiens de Midi-Pyrénées»), de Nature Midi-Pyrénées, nous raconte l'histoire de ces découvertes, de la Bigorre à la Cerdagne en passant par le Val d'Aran et le Couserans... Ce soir, nous nous documentons sur le lézard de Bonnal, du Val d'Aran, Aurélio, trois espèces endémiques de la ceinture alpine (alt.> 2.000 m), l'agile de Garzón, de Lantz, deux sous-espèces, et la vipère aspic de Zinniker. Le lézard de Bonnal est endémique de l'étage alpin de la partie centro-occidentale des Pyrénées (Espagne, France). Son aire de répartition s'étend, d'ouest en est, du massif du pic du Midi d'Ossau au massif des Encantats (province de Lleida, Catalogne, Espagne). Il se rencontre dans trois départements : Pyrénées-Atlantiques, Hautes-Pyrénées et Haute-Garonne. Les Hautes-Pyrénées hébergent de loin l'effectif le plus important. Le lézard du Val d'Aran est strictement montagnard. Il est connu de 1.650 m à 2.750 m d'altitude en France, mais la majorité des localités inventoriées se situent au-dessus de 2.000 m. Les localités occupées sont caractérisées par une moyenne des températures annuelles comprise entre -2 °C et 5 °C. Le lézard d'Aurélio mesure 15 cm environ. Strictement montagnard, il a été observé de 2.100 m à 2.649 m en Espagne, de 2.100 m à 2.942 m en Andorre et de 1.960 m à 3.077 m en France. Comme les deux autres espèces de lézards des Pyrénées, il fréquente des habitats caractérisés par la présence de végétaux à tendance héliophile et/ou thermophile, sur des versants, crêtes ou talwegs généreusement ensoleillés, comportant des milieux rocheux : pelouses parsemées de pierriers, éboulis, talus morainiques, affleurements délités, gros blocs fissurés… La vipère aspic de Zinniker est souvent trapue mais on peut en rencontrer des fines également en montagne. Il s'agit en réalité d'une sous-espèce de la vipère aspic décrite par Kramer et dédiée à Zinniker. «Mon souhait le plus cher est que les gens s'intéressent aux reptiles pour ce qu'ils sont et non pour ce qu'ils symbolisent», sera la conclusion de Gilles Pottier. Source
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Les agents de la douane du port de Papeete ont mis la main sur plus de 90 kilos de viande de tortue. En Polynésie, tout comme en Nouvelle-Calédonie, l'animal est une espèce protégée. simple contrôle de la circulation s’est transformé en beau coup de filet pour les douanes du port autonome de Papeete : de la viande de tortue, des perles, des armes et des stupéfiants. La semaine passée, dans la nuit de jeudi à vendredi, deux hommes étaient arrêtés pour trafic de viande interdite. Après leur audition, les douaniers se sont rendus à leur domicile pour un contrôle plus approfondi. « Une partie de la viande de tortue était dans le véhicule. Nous avons continué à leur domicile, pour in contrôle domiciliaire, et nous avons retrouvé d’autres quantités de viande de tortue », explique Burno Hamon, directeur adjoint des douanes. Au total, plus de 90 kilos de viande de tortue, animal protégé sur l’archipel, sont retrouvés dans des congélateurs. L’un des deux hommes travaillant sur une goélette, le trafic de viande interdite ne fait aucun doute pour les agents de la douane. Depuis 1990, la tortue est une espèce protégée par la Convention de Washington. Source
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Cambrai: un insecte découvert dans un hamburger, McDonald’s «enquête»
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Une Cambrésienne déclare avoir trouvé un insecte dans un sandwich acheté chez McDonald’s. La cliente insiste sur une nécessaire vigilance, quand la direction indique respecter des règles strictes et s’étonne de la découverte. La « pièce à conviction » est soigneusement conservée dans son emballage d’origine, et dans la cuisine. « La direction du McDonald’s voulait que je rapporte le sandwich et l’insecte au restaurant. J’ai refusé : sans cela, je n’aurais plus eu aucune preuve de ce qui est arrivé ! » Aurélie Vroland présente alors, et avec une certaine aversion, la boîte contenant le hamburger au bacon. Le mets n’est plus vraiment appétissant – voilà plus de 36 heures qu’il est sorti du fast-food – mais est intact. Juste à côté, dans le pli du carton rigide, subsiste une petite bestiole, un insecte ressemblant – mais cela n’a rien de scientifique- à un petit coléoptère. Depuis mardi soir, ce petit insecte occis lui donne des haut-le-cœur. PHOTOS Aurélie jure que la petite bête est tombée du casse-croûte qu’allait avaler Christophe, son compagnon. « On a commandé deux menus au drive, raconte-t-elle. Le premier hamburger qu’a avalé mon ami, ça allait. Mais le deuxième… » Selon les propos d’Aurélie, Christophe allait croquer dans le mets au bacon, lorsqu’il a vu « quelque chose tomber du sandwich. Au départ, il croyait que c’était de la sauce. Mais non, c’était une bête. Du coup, il n’a pas fini son menu… » Aurélie non plus d’ailleurs. La jeune femme se dit écœurée, même si rien ne dit que la bestiole vient du restaurant comme rien n’exclut qu’elle se soit glissée dans le sandwich, entre le moment de l’achat et celui où il a été consommé. Mais la cliente n’en pense pas moins que « les fabricants doivent faire attention, les consommateurs aussi. » Aussi est-ce ce message d’alerte que la jeune femme tient à véhiculer, plus que son mécontentement, qui s’est limité à un coup de fil à la direction. « Je n’ai pas voulu porter plainte. Mais j’ai demandé à la direction de me rembourser les menus. » Elle a tout de même transmis des photos aux responsables du restaurant de Cambrai. Vendredi, la direction de McDonald’s a fait savoir que l’ensemble des process de fabrication avait été vérifié, et que « tout avait été respecté ». Sans officiellement remettre en cause la parole de la cliente, la direction explique que les vérifications et l’enquête qui va avec, sont compromises. « La cliente n’ayant pas encore fait parvenir le corps étranger, il est impossible pour l’enseigne d’identifier un insecte ou autre chose pour approfondir ses analyses. » Cet incident, s’il est avéré, serait une première dans l’histoire – officielle – de l’enseigne cambrésienne. Source -
Lausanne. À 47 ans, le plus vieux pensionnaire du zoo a pris la route pour la réserve africaine de Sigean ce vendredi, près de Narbonne où il sera accueilli par deux femelles. «Je vais verser une petite larme, mais je suis tellement content pour lui. Après 45 ans passés dans son petit terrarium, un trou qui me mettait franchement mal à l’aise, Billy va commencer une nouvelle vie. Il l’a bien méritée.» Michel Ansermet, le directeur du Vivarium de Sauvabelin, aurait sans doute souhaité des adieux plus tendres avec son plus vieux pensionnaire. Car même un crocodile nain du Liberia a ses petites habitudes. Et vendredi matin, au moment d’être délogé pour partir dans le sud de la France dans le cadre d’un programme de reproduction, Billy n’y a pas franchement mis du sien. Petit conseil pour attraper un crocodile: il faut le choper par la queue, et faire attention à ses écailles qui sont très coupantes. Voilà pour la théorie. En pratique, Michel Ansermet a dû s’y prendre à plusieurs fois. «En fait, c’est le crocodile qui décide», reconnaît le directeur. Une fois l’animal sorti du terrarium, il faut faire vite. Lui couvrir les yeux avec une couverture pour le calmer, scotcher sa gueule pour éviter les morsures, puis le porter jusqu’à sa caisse de transport. Et beaucoup le caresser comme l’a fait le personnel du Vivarium, à tour de rôle, en guise d’au revoir. «Je lui ai promis d’aller le voir au printemps», avoue Michel Ansermet. A Billy la belle vie! Capturé tout bébé dans un lac du Liberia, aussitôt exposé dans un zoo puis ramené à Sauvabelin par le fondateur du Vivarium à l’âge d’un an, il est le seul mâle de son espèce en captivité. A la réserve africaine de Sigean, il vivra dans de tout autres conditions. «Son parc sera trois fois plus grand que ce qu’il a connu toute sa vie. En été, il pourra même prendre l’air à l’extérieur et à la réserve, deux femelles l’attendent», explique Antoine Joris, le directeur du parc zoologique français. L’expérience de vie de Billy lui laisse entrevoir encore plus de 20 ans de retraite au soleil. Cinq gros pythons étaient aussi du voyage ce vendredi. Ils sont destinés à la Ferme aux crocodiles de Pierrelatte dans la Drôme. Source
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p de filet des douanes, vendredi dernier, lors d’un contrôle de routine à la sortie du port de Papeete, n’a pas tardé à avoir des conséquences judiciaires pour les deux braconniers interpellés avec, au total, 93 kilos de viande de tortue de contrebande. Les deux hommes connaissent déjà la date de leur procès, et ce sera le 3 février prochain, a appris La Dépêche hier de sources judiciaires. Une enquête pour trafic de stupéfiants a parallèlement été ouverte dans cette affaire. Lors des perquisitions, une trentaine de sachets en plastique contenant des traces d’ice avaient aussi été découverts par les enquêteurs des douanes chez l’un des deux braconniers. Entendu par les services de police, l’homme a reconnu être un consommateur régulier depuis plusieurs années. Les investigations se poursuivent pour essayer de remonter jusqu’à ses fournisseurs. La viande de tortue, elle, avait été embarquée avec la complicité d’un marin à bord d’une goélette depuis les îles, à destination du port de Papeete. Une quarantaine de kilos avaient été retrouvés dans des glacières réfrigérées à bord du véhicule contrôlé inopinément par les douanes. Une cinquantaine de kilos supplémentaires avaient été découverts aux domiciles des suspects. Rappelons que la tortue marine est une espèce protégée en Polynésie française et que sa chasse est strictement interdite. Les braconniers s’exposent à une lourde amende douanière pouvant atteindre le million de Fcfp, sans compter les sanctions judiciaires et la saisie des biens ayant permis de commettre l’infraction. Source
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Des chercheurs de l'Université de Stanford sont parvenus à mettre au point une surface adhésive inspirée des pattes du gecko. Utilisée par un homme, celle-ci permet d’escalader avec succès des surfaces lisses et verticales à la manière de Spider-Man. Abigaille, un robot inspiré du gecko destiné à crapahuter dans l'espace par Gentside Découverte Spider-Man n’a qu’à bien se tenir. Grâce aux progrès de la science, même le plus commun des mortels pourrait effectuer les exploits du super héros. Des chercheurs de l'Université de Stanford ont en effet inventé une sorte d’adhésif, de la taille d’une main, permettant d’escalader avec aisance, des surfaces lisses et verticales. Un véritable exploit. La technologie est directement inspirée des pattes du gecko, ces petits reptiles colorés que l'on rencontre dans de nombreux pays. Les extrémités de ses pattes sont en réalité recouvertes de sorte de petites "lamelles" qui lui confèrent un véritable pouvoir adhésif. Grâce à celles-ci, l’animal peut se coller aux murs et s’y déplacer quelle que soit la structure des surfaces. Des poils microscopiques pour optimiser l’adhérence Le secret de ces lamelles réside dans les sétules, des poils microscopiques présents à la surface. Ce sont ces structures qui assurent l’adhérence via des forces moléculaires : les forces de Van der Waals. Ces interactions électriques sont connues pour régir la formation de liaisons de molécules voisines, les attirant ainsi l’une à l’autre. Ces liaisons intermoléculaire sont de faible intensité et ne se mettent en place qu’à de petites distances de l’ordre d’un nanomètre. Aussi, seules les sétules du gecko peuvent créer suffisamment de surface de contact pour que les forces de Van der Waal opèrent. Parce que ces liaisons sont beaucoup plus faibles que celles habituelles, elles peuvent se faire et se défaire à loisir. De cette manière, les pattes du gecko peuvent se fixer au support et s’y détacher sans avoir à effectuer le moindre effort. Cette caractéristique, diffère radicalement du pouvoir adhésif observé dans les colles et scotchs habituels. De ce fait, elle a longtemps été étudiée par les chercheurs et ingénieurs en mécanique afin d’en déceler les secrets. Pour recréer un adhésif similaire aux pattes des geckos, les chercheurs se sont basés sur le même principe. Ils ont ainsi fabriqué leur propres poils microscopiques en silicones appelés "microwedges", capables de générer des forces de Van der Waals et assurer une adhérence aux surfaces lisses. 3,6 mètres d’ascension parcourus avec succès L’adhésif a été testé sur un homme adulte d'environ 70 kg. Lors de séances d’essais, le volontaire a dû escalader des parois aussi lisses que du verre en s'aidant uniquement de ses mains équipées des fameux adhésifs. Les résultats de cette expérience, publiés dans la revue de la Royal Society Interface, indique que le dispositif répond entièrement aux exigences des ingénieurs. "Grâce à ce système, un homme de 70 kilogrammes a escaladé avec succès une surface en verre sur 3,6 mètres à l’aide de l’adhésif recouvrant une surface de 140 centimètres carrés" conclut l’étude. Hormis le fait de pouvoir jouer aux super-héros, cette technologie devrait surtout servir aux astronautes lors de leurs déplacements en conditions d’apesanteur. Source
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Les élèves de Saint-Exupéry sensibilisés à la biodiversité
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Nogent-sur-Seine - Après le tri des déchets, l’école primaire nogentaise va travailler sur les insectes et les oiseaux, avec pour objectif de renouveler son label Éco école. Labellisée en fin d’année scolaire dernière « Éco école » pour son travail sur le tri des déchets, Saint-Exupéry poursuit son action d’éducation autour du développement durable. Cette année, le directeur David Fischer et son équipe ont choisi de sensibiliser leurs élèves à la biodiversité. Les enfants ont eu un premier aperçu de ce thème à travers une exposition prêtée par la Région Champagne-Ardenne. Des photos agrémentées d’explications sont ainsi affichées dans le couloir depuis vendredi et pour une semaine. Les parents pourront venir la découvrir vendredi de 14 h à 17 h. « Cette exposition est le point de départ de notre projet cette année, précise le directeur de l’école primaire nogentaise. Ces photos vont permettre aux enfants d’avoir déjà des images en tête. » Intervention de l’Association nature du Nogentais Pour le reste de l’année, l’établissement à la fibre verte a pensé à plusieurs actions. « Le cycle 2 va travailler principalement sur les insectes de la région, l’objectif étant de construire un hôtel à insectes. Les CE2-CM1 vont réaliser un élevage de coccinelles au printemps. Les CE1-CE2 vont s’orienter vers les papillons et peut-être faire aussi un élevage. Les CM1 vont s’intéresser aux abeilles et se rendront à la ferme pédagogique de Romilly. Les CM1-CM2 vont se consacrer principalement aux oiseaux. Ils vont fabriquer un nichoir. Toute l’école se chargera de nourrir les oiseaux. » L’achat de supports muraux par le biais de la LPO, avec la coopérative scolaire, va permettre aux enfants d’accrocher des boules de graisse et autres victuailles. « Les enfants de maternelle vont fabriquer leurs propres boules de graisse. Dans le jardin bio qu’ils cultivent, ils vont également replanter des bulbes et des plantes pour essayer d’attirer des insectes, comme des arbres à papillons, de la lavande… » Les CM1-CM2 iront aussi visiter la réserve de la Pré et les cycles 2 se rendront au plan d’eau du Monteuil. L’établissement recevra l’appui de l’Association nature du Nogentais qui « fera des interventions dans les classes élémentaires en fonction de leurs projets respectifs ». Enfin, la réalisation d’un livret recensant les insectes et oiseaux que les élèves peuvent voir dans la cour, est envisagée. Avant d’entreprendre l’ensemble de ces actions, « nous allons déjà travailler en classe sur ce qu’est un insecte, comment il vit… pour que les enfants aient les connaissances requises au moment où nous démarreront les différentes animations. » Le renouvellement du label Éco école sera l’aboutissement de cette année de travail qui s’inscrit dans le projet d’école. Source -
la North Dakota State University ont identifié une nouvelle espèce de punaise et l’ont baptisée en s’inspirant de la saga Harry Potter. C’est sûr, une punaise, ça a moins de classe qu’un dinosaure qui rend hommage à Poudlard, qu’une araignée nommé Aragog, ou même qu’une guêpe détraqueur... mais on prend ! Le nom “Thestral incognitus” s’inspire des sombrals (“thestrals” en anglais) de J.K. Rowling. Tout comme les chevaux ailés, cette nouvelle espèce de punaise semble avoir des “os” très marqués à cause des formes de sa carapace. Et, comme les créatures d’Harry Potter, elle est figurativement “invisible” aux yeux de certains : “cette espèce se trouve dans une région où de nombreux prélèvements ont déjà été effectués. Pourtant, ces spécimens semblent très durs à trouver”. C’est du moins ainsi que l’explique Eduardo Faundez, scientifique membre de l’équipe. Alors, à quand une nouvelle espèce baptisée Ronflakus ? Source
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E n Inde, un homme a retrouvé son chien en train d'être étouffé par un python. L'homme a frappé le python avec un bâton à plusieurs reprises pour faire relâcher sa proie . Le serpent va enfin se dérouler et partir. Le chien n'aurait pas de séquelles. Le python attrape ses proies en s'enroulant autour pour l'empêcher de respirer et bloquer sa circulation sanguine. Une fois la proie morte, il l'avale la tête la première...le toutou a eu chaud... Source
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Les iguanes ont des poumons d'oiseaux. Et c'est bizarre...
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Cette tortue d'eau douce a échappé au pire. Alors qu'elle se trouvait, en apparence toute tranquille, sur les rives du Lake Panic, au sein du parc national Kruger en Afrique du Sud, elle a été prise pour cible par un crocodile. Ayant une petite fin, le reptile a pourtant eu les yeux plus gros que le ventre: il n'a pas réussi à avaler tout cru la tortue, bien que petite, en un seul morceau. Elle a finalement pu en sortir vivante et à fuir le crocodile. Le parc national Kruger permet à de nombreuses espèces de vivre une vie en liberté, tout en étant sous la surveillance des gardiens de ce qui est la plus grande réserve d'Afrique du Sud avec une superficie de plus de 20.000 mètres carrés. Elle a été créée en 1926 et dispose de plusieurs résidences afin d'accueillir des touristes pour un safari photographique. Pourtant, malgré les précautions prises par les gardiens du parc national Kruger, les animaux sont tout de même pris pour cibles par les braconniers, en particulier les rhinocéros. L'Afrique du Sud accueille 90% des rhinocéros à l’état sauvage dans le monde mais sur les 21.000 animaux qui s’y trouvent, plus de 1.000 ont été tués en 2013 et plus de 600 depuis le début de l’année 2014. Source -
Les iguanes ont des poumons d'oiseaux. Et c'est bizarre...
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le flux d'air dans leurs poumons est unidirectionnel. Comme chez les oiseaux. Cette caractéristique, généralement considérée comme une adaptation au vol, est donc bien plus archaïque. SACS. Le système respiratoire très complexe des oiseaux se compose de poumons et de sacs aériens dans lesquels l'air circule de façon unidirectionnelle. Ainsi, que l'oiseau respire ou expire, il y a toujours de l'air "neuf" dans ses poumons. Ce système permet de faire face au besoin énergétique constant de l'oiseau en plein vol. Les scientifiques pensaient qu'il s'agissait là d'une adaptation au vol comme les os creux ou les plumes. Mais la découverte d'une anatomie similaire chez les iguanes remet en question cette hypothèse. Un ancêtre commun aux reptiles, aux dinosaures et aux oiseaux "Pendant des années on a pensé que les poumons des oiseaux ont évolué pour faire face aux besoins énergétiques du vol. Tout cela est faux : les iguanes ne volent pas !" s'exclame Colleen Farmer, biologiste à l'université de l'Utah. Avec son équipe, il a étudié le trajet de l'air dans les poumons d'iguanes verts et d'autres reptiles. Pour cela, il a utilisé une machine à fumée et un fibroscope pour suivre le trajet de la fumée dans les voies respiratoires d'iguanes. Il a également effectué des modélisations à partir de scanners 3D pour créer un modèle du cycle ventilatoire de l'iguane. GRADIENT. Les résultats, publiés dans un article paru dans les PNAS, indiquent que l'air circule dans le système repiratoire des iguanes comme dans celui des oiseaux. Des recherches précédentes avaient également montré qu'il en est de même chez certaines espèces de crocodiles et chez les varans. Pour les biologistes, cette constatation signifie probablement que la configuration pulmonaire est plus vieille qu'on ne le supposait. Elle a sans doute été adoptée par un ancêtre commun aux oiseaux, aux dinosaures et aux reptiles, il y a plus de 300 millions d'années. Outre leur intérêt dans la compréhension de l'évolution des reptiles et des oiseaux, ces résultats pourraient aussi aboutir à des innovations techniques. "On estime normalement que l'air entrant et sortant des poumons suit un gradient de pression, de la pression la plus élevée vers la plus basse. Ce n'est pas ce qui ce passe chez les oiseaux ou les reptiles", souligne Colleen Farmer. Des mécanismes complexes contraignent l'air à suivre une seule direction indépendamment des pressions. Leur compréhension pourrait permettre de construire des dispositifs où des fluides circulent sans utiliser de valves mécaniques. Cela pourrait avoir un intérêt pour certains dispositifs médicaux comme les appareils à dialyse. "C'est tellement bizarre qu'aucun ingénieur n'aurait pu l'imaginer" conclut le biologiste. Source -
L'incroyable stratégie de ces araignées qui se déguise en fourmis
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le myrmécomorphisme désigne la capacité d’un spécimen animal à imiter les fourmis. Ce comportement est observé chez 300 espèces d’araignée. Si la plupart l’utilisent pour échapper aux prédateurs, quelques unes s’en servent même pour leurrer les fourmis et les attaquer. L'incroyable stratégie de ces araignées qui se déguisent en fourmis par Gentside Découverte De part leur petite taille et leurs moyens de défenses rudimentaires, certaines araignées représentent des proies faciles. Aussi, les stratagèmes sont de mise pour assurer leur survie. Parmi les ruses employées, le mimétisme et plus spécifiquement le myrmécomorphisme, est un incontournable. Cette stratégie consiste à imiter une fourmi en reproduisant certaines de leurs spécificités morphologiques, comportementales et même chimique. Voir une araignée imiter une fourmi est bien souvent bluffant. La vidéo ci-dessus témoigne de la faculté incroyable de l’une d’entre elles à usurper l’identité de ces insectes sociaux. L’objectif de la manœuvre est celui d’adopter la forme d'une espèce nocive dans le but de décourager les éventuels prédateurs. En effet, les fourmis sont généralement dédaignées en raison de leur agressivité territoriale et leur côté indigeste. Une véritable aubaine pour les araignées en quête d’une couverture efficace… Adopter trois paires de pattes et un corps en trois partie s A l’heure actuelle, plus de 300 espèces d’araignées ont été répertoriées comme myrmécomorphes par la communauté scientifique. La performance n’est pourtant pas simple étant donné les différences anatomiques entre imitateurs et imités. Contrairement aux insectes, hexapodes, les arachnides présentent en effet 8 pattes. Leur corps est part ailleurs divisé en deux parties (céphalothorax et abdomen) au lieu des trois caractéristiques des insectes (tête, thorax et abdomen). Pour ressembler aux fourmis, les araignées doivent donc redoubler d’astuces afin de cacher leur paire de pattes en trop et se doter d’une tête non seulement séparée du thorax mais également dotée d’une paire d’antennes et de deux yeux principaux. Dans ce sens, les spécimens ont, au cours de l’évolution, développé un certain nombre d’attributs. L’un d’entre eux est un abdomen spécialisé doté d’une zone de rétrécissement, une sorte de "fausse ceinture" capable de faire croire à un corps en trois partie. Quant aux pattes, la première paire est généralement utilisée pour faire office d’antennes. Pour se faire, les araignées les maintiennent en l’air et vers l’avant. Les trois autres paires servent à se déplacer selon la démarche des fourmis, un peu en zig-zag. Prendre au piège les fourmis Le résultat est tellement trompeur que certaines araignées prédatrices en usent pour piéger les fourmis elles-mêmes. Ces cas sont rares mais bien présents. La stratégie est utilisée par les araignées mangeuses de fourmis pour faciliter la capture de ses proies. Ces insectes ne sont pas faciles à dominer en raison de leur tendance à riposter avec leur puissantes mandibules, leur défense chimique ou en appelant du renfort. En se déguisant en leur proie, les araignées parviennent à les leurrer et à ne pas trop attirer les soupçons du reste de la colonie. Source -
Perdu par son propriétaire jeudi soir, Corail, un boa constrictor imperator de 1,70 mètre est toujours porté disparu. Certains habitants sont inquiets. La mairie invite la population à la prudence et à signaler toute présence du serpent. Les gendarmes de Lons-le-Saunier ont reçu l’alerte jeudi dernier, par un coup de fil du propriétaire d’un boa constrictor imperator qui déclarait l’avoir perdu. Mais impossible de savoir où : soit au centre-ville de Clairvaux-les-Lacs, commune de 1 500 habitants, d’où il se serait échappé de son vivarium depuis un appartement de la rue Neuve, soit au lac, où son propriétaire est allé se baigner à la tombée de la nuit, malgré la pluie et le froid ambiants. Ce dernier serait incapable de se souvenir s’il l’a emmené avec lui ou non. L’existence du reptile, mesurant 1,70 mètre, est pourtant formellement attestée : des témoins, y compris les gendarmes de la brigade de Clairvaux intervenus quelques jours plus tôt dans l’appartement pour du tapage et une bagarre entre deux jeunes, ont vu Corail de leurs yeux. Son propriétaire, qui serait un jeune sans domicile fixe, se serait lui aussi volatilisé. « On sait que le boa existe, confirme Alexandre Sage, le commandant de la compagnie de gendarmerie de Lons-le-Saunier. Mais on n’a aucun moyen de le rechercher, d’où la nécessité d’avoir informé la population. Il s’est peut-être réfugié dans un endroit chaud et humide, comme une cave, ou n’a pas survécu au froid. » La mairie de Clairvaux invite les habitants à signaler la présence du reptile, s’ils viennent à le « rencontrer ». Il est conseillé de ne pas l’approcher. Hier soir, mardi, la trace de Corail n’avait toujours pas été retrouvée. Source
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Même si Belhade signifie la « vallée large » (« vath lada » en gascon), on a plutôt l'impression que la Petite Leyre, en contrebas de l'église, est assez étroite. Sans doute parce que cette zone possède une pente raide entaillée dans l'argile. La fraîcheur y est manifeste, l'eau suinte et les « queues-de-renard » (prêles ou equisetum arvense pour les botanistes), y abondent. Le petit filet qui s'écoule de la fontaine Sainte-Anne y contribue. Et, ô surprise, cette eau bénéfique pour la lactation (les nourrices y viennent notamment fin juillet pour la fête locale) a miraculeusement protégé une espèce pourtant jugée absente de la Haute-Lande par les publications scientifiques récentes : la salamandre. « En effet, se réjouit Laurent Dégrave, technicien rivière au Parc naturel régional des Landes de Gascogne, le petit amphibien, souvent jaune et noir, a été repéré dans quelques ornières au pied du talus. Pourquoi ne pas améliorer un peu son habitat à la faveur des petits travaux d'aménagement ? » Matériaux locaux Cet aménagement tout en douceur a justement été proposé par Jean Lamaison, adjoint au maire, qui a été suivi par le conseil municipal du petit village. Appartenant au Parc naturel régional des Landes de Gascogne, la commune - à la tête de laquelle se trouve Jean-Marie Guilhemsans - a compris que valoriser ce site romantique et paisible ne pouvait que lui être bénéfique. D'autant que promeneurs du dimanche ou pêcheurs à la mouche fréquentent déjà les parages. Dès lors, il a été décidé de tracer une boucle de promenade. Les travaux ont été confiés à une classe de Première, option « gestion des milieux naturels et de la faune », du lycée professionnel agricole forestier de Sabres (1). Avec leur professeur, Virginie Storiolo, ingénieure en foresterie de formation, vingt-quatre élèves, dont sept jeunes filles, ont donc passé une semaine pour un chantier-école écologique conforme à leur programme de formation sur trois ans. Se destinant à des emplois dans l'environnement (communes, collectivités locales, fédérations de chasse ou de pêche, réserves naturelles), ils ont donc pu mettre en pratique leur jeune savoir-faire. Avec un peu de sueur et, fatalement, quelques coups de tronçonneuse pour dégager certains endroits, ont été ainsi exclusivement utilisés les matériaux locaux : bois de robinier (le bien connu « faux acacia », si dur et résistant à la putréfaction), souples branches de saules ou bambous envahissants pouvant être tressés en plessis pour sécuriser un passage ou éviter un glissement de terrain. Afin de conforter l'habitat des braves et surprenantes salamandres, deux petites mares circulaires ont également été aménagées : l'eau de la fontaine Sainte-Anne y est récupérée avant d'aller rejoindre la Petite Leyre. Et, plutôt que de finir dans la cheminée « comme du bois de caisse, amère destinée », un magnifique tronc de chêne a été artistiquement évidé pour servir de banc de repos. Et quelques mètres plus bas coule la rivière. Tranquille. Jean-Jacques Fénié (1) Le lycée de Sabres a un partenariat avec le PNRLG qui le conduit à intervenir sur quelques lieux naturels particuliers pour réhabilitation ou entretien. C'est le cas de la prairie du Passet à Richet (Pissos) où les élèves interviendront prochainement. Source
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De la viande de tortue et des perles saisies par les douaniers
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
PAPEETE, le 17 novembre 2014. Un simple contrôle des douanes à la sortie du port de Papeete en fin de semaine dernière a permis aux agents de mettre la main sur 93 kilos de viande de tortue chez deux particuliers de Paea et Papara. Vendredi 14 novembre : à la sortie du port de Papeete, les douaniers opèrent en soirée un contrôle classique. Dans un pick-up avec deux hommes à bord, ils trouvent une quarantaine de kilos de viande de tortue congelée. La marchandise transitait tout simplement dans des glaciaires réfrigérées. L'origine de cette chair de tortue est encore à déterminer, même si elle vient probablement du sud des Tuamotu : des analyses seront effectuées dans le cadre de l'enquête judiciaire qui démarre. A la suite de cette découverte, les douaniers ont poursuivi leurs investigations en se rendant cette fois au domicile des deux hommes d'une quarantaine d'années qui se trouvaient dans le pick-up lors de la première saisie effectuée sur le port. Les visites à Paea et à Papara alourdissent le butin des douaniers. La saisie se fixe sur 93 kilos de viande de tortue conservées dans des congélateurs, mais aussi 181 perles et 545 keishis dont on ignore la provenance, et encore une arme et enfin des traces d'ice sur l'un des deux hommes. Au final, la sanction qui se traduira notamment par une amende risque d'être lourde pour ceux qui se livraient à ce trafic. Une amende qui pourrait atteindre le million de Francs pacifique aux deux auteurs identifiés. La saisie de 93 kilos de viande de tortue est importante : "cela démontre qu'il y a un trafic régulier" précise Bruno Hamon, directeur des services douaniers. Un trafic régulier, donc une organisation avec des acheteurs occasionnels ou réguliers, un réseau et donc forcément des actes de braconnage tout aussi réguliers sur les tortues qui sont pourtant une espèce protégée en Polynésie. D'abord, depuis 1971, une réglementation de la pêche des tortues vertes marines, puis une délibération de l'assemblée de Polynésie de juillet 1990 qui vise à protéger les tortue vertes, imbriquées et luths. Malgré cela, le braconnage persiste car il est lucratif : la chair de tortue se vend sous le manteau environ 5 000 Fcfp le kilo. Source -
Ain: Un python de 3 mètres pêché dans une rivière
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Nul ne sait encore si le reptile, désireux de prendre l'air, a pris la poudre d'escampette, déjouant ainsi la surveillance de son propriétaire. Ou si quelqu'un l'a lâché volontairement en pleine nature. Toujours est-il qu'un python de trois mètres a été pêché mardi dans une rivière près de Bourg-en-Bresse. Selon Le Progrès, le serpent mort a été découvert par des techniciens de la fédération départementale de la pêche. Chargés de sauver des centaines de kilos de poissons, menacés par la baisse du niveau de la Reyssouze, ils ont pêché le reptile par surprise, pensant au départ qu'il s'agissait d'un long poisson. D'après un spécialiste, le python se serait noyé. Source -
Comment réagir face à une piqûre d'araignée ? Les araignées en France ne sont généralement pas venimeuses mais leur piqûre peut parfois être très incommodante voire douloureuse. D'où la nécessité d'avoir les bons réflexes afin de soulager au plus vite la douleur. Comment se présentent les symptômes ? La zone mordue par une araignée présente la plupart du temps un petit gonflement et rougit un peu. Elle peut s'enflammer et la personne peut ressentir une démangeaison au niveau du point de piqûre. Dans certains cas, un petit point noir appelé nécrose apparaît et va disparaitre au bout de quelques minutes. Toutefois, la morsure provenant des espèces plus dangereuses peuvent provoquer des symptômes beaucoup plus importants. Ainsi, une personne piquée par la veuve noire peut avoir des douleurs abdominales ou des crampes dans la demi-heure qui suit la morsure. Les tarentules et les mygales quant à elles provoquent des troubles au niveau du système nerveux tandis que la malmignatte provoque un malaise au niveau de l'ensemble du corps. Comment soigner les piqûres ? Comme dans toute piqûre par un insecte, il est important de désinfecter la zone de contact. Pour cela, il faut nettoyer à l'eau et au savon et utiliser un antiseptique comme de l'alcool à 60° ou à 70°. Pour enlever la démangeaison, il faut appliquer une crème ou appliquer un antihistaminique. Pour ralentir la propagation du venin, en cas de morsure par une espèce venimeuse, il faut essayer de surélever la partie mordue et poser un garrot tout en veillant à ne pas stopper la circulation du sang. Ensuite, il faut aller aux urgences ou consulter un médecin. Source