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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Tout droit arrivée de la Réserve de la Haute Touche, il y a quelques mois, Gertrude la Cistude d'Europe (Emys orbicularis) occupe aujourd'hui l'un des vivariums nichés au creux du Grand Rocher, dans la biozone européenne. La Cistude d'Europe (Emys orbicularis) est une espèce de tortues de la famille des Emydidae. Elle vit dans les zones humides aux eaux douces, calmes et bien ensoleillées d'Europe : marais, étangs, fossés, cours d’eau lents… Elle apprécie particulièrement les fonds vaseux et la végétation aquatique abondante qui lui ont value le charmant surnom de "tortue bourbeuse" ! Elle est surtout active aux heures les plus chaudes de la journée. Elle passe une grande partie de son temps posée sur des troncs émergés ou à flotter à la surface de l'eau. Entre bains de boue et siestes au soleil, son mode de vie aurait tout d'une cure si la cistude n'était pas si farouche ! Au moindre bruit, elle plonge ! Contrairement à ses copines terrestres, la cistude est une excellente nageuse, grâce à ses pattes palmées et sa carapace lisse. Son aspect grisâtre et terne, et sa carapace arrondie lui permettent aussi de se confondre avec des galets au fond des ruisseaux. À l'automne, elle a tendance à s'enfouir dans la vase qui la protège du gel, pour redevenir active au printemps. Jaunes pour les femelles, rouges pour les mâles La cistude d'Europe apprécie les fonds vaseux et la végétation aquatique abondante Aurore Chatras Très facilement reconnaissables, les jeunes individus et les femelles ont les yeux jaunes tandis que les mâles ont les yeux rouges. Ces derniers ont aussi une carapace plus plate que les femelles et sont généralement plus petits. Jusqu’au XIXème siècle, la cistude a occupé de grands territoires dans toute l’Europe, la Russie et la côte nord africaine. Quelques années plus tard, assèchement des étangs, fragmentation de l’habitat et pollutions en font une espèce désormais "quasi-menacée" selon l'UICN. Pour la protéger contre ces menaces et restaurer son milieu de vie, un Plan national d’action (PNA) a été créé. Le Muséum agit également pour la préservation de l'espèce à la Réserve de la Haute-Touche, où sont élevées des cistudes en captivité en vue de renforcer les populations sauvages. Source
  2. Une tortue trionyx de Chine possédant une carapace molle couverte d'un cuir épais, a été vue une nouvelle fois vendredi par des promeneurs dans le lac de Grüben près de Saint-Gall. Repérée par des pêcheurs l'automne dernier, une tortue d'origine chinoise a été repêchée dans le lac de Gübsen par la police près de Saint-Gall. La personne qui l'a lâchée a commis une infraction à la loi sur les animaux. Une tortue d'origine chinoise a été attrapée par la police dans le lac de Gübsen, à l'ouest de St-Gall. Elle avait été repérée par des pécheurs l'automne dernier. La personne qui a relâché cette tortue a commis une infraction à la loi fédérale sur les animaux. Cette tortue, un trionyx de Chine possédant une carapace molle couverte d'un cuir épais, a été vue une nouvelle fois vendredi par des promeneurs. Des policiers ont réussi à l'attraper. Ils ont confié l'animal à la Communauté d'intérêts pour tortues en Suisse (CITS), a indiqué lundi la police de la ville de St-Gall. Source
  3. La grenouille rousse peut se distinguer par la longueur de son saut: jusqu’à un mètre. Tandis que le crapaud commun fait des bonds d’à peine 10 cm… Parmi les batraciens,la grenouille rousseet le crapaud commun sont ceux que l’on trouve le plus facilementen Wallonie. «Attention: traversée de batraciens». Ces mots, les automobilistes wallons ont pu les retrouver un peu partout le long des routes de campagne ces dernières semaines. Et pour cause: depuis la mi-février, les grenouilles rousses et les crapauds communs, les deux espèces d’amphibiens les plus répandues dans nos régions, sont sortis de leur hibernation pour se rendre sur leurs lieux de reproduction. Des espèces faciles à distinguer «Ce sont deux espèces assez semblables mais relativement faciles à distinguer, explique Thierry Kinet, herpétologue chez Natagora. Pour ce faire, la méthode la plus simple – mais pas scientifique du tout – consiste à analyser leurs sauts. Ceux de la grenouille rousse peuvent faire plus d’un mètre, là où ceux du crapaud commun ne dépassent pas les 10 centimètres. » Mais les différences sont aussi physiques. Ainsi, la grenouille rousse est plus svelte que le crapaud commun, qui présente pour sa part une peau remplie de verrues. « Mais elles ne sont pas toxiques, (r)assure Thierry Kinet. Il s’agit d’un système de défense passive contre les prédateurs.» Enfin, la dernière distinction assez flagrante n’est autre que les deux glandes que les crapauds possèdent derrière les yeux. Ces caractéristiques, les amateurs d’observation d’amphibiens peuvent les constater depuis plusieurs semaines, le début du printemps étant le moment idéal pour épier ces animaux pourtant discrets, puisqu’ils quittent leur lieu d’hivernage pour rejoindre leur lieu de reproduction. «Ils retrouvent alors des milieux aquatiques à l’eau stagnante, comme des mares et des étangs. Mais attention: la présence de poissons, qui mangent les œufs, nuit à la reproduction du crapaud commun.» Cachés lors des périodes sèches Une fois cette reproduction terminée, ces deux espèces quittent leurs sites de procréation. On peut alors les retrouver… un peu partout, « et même dans le centre de Namur, Bruxelles ou Liège». Toutefois, les grenouilles rousses et les crapauds communs, qui sont des animaux plutôt confiants envers l’homme, se cachent lors des périodes sèches. La météo est d’ailleurs l’un des facteurs jouant sur le nombre d’espèces recensées. «D’une manière générale, les batraciens vont mal», avoue d’ailleurs Thierry Kinet. Les grenouilles rousses et les crapauds communs n’échappent pas à la règle, même si Natagora, notamment, tente de contrer la diminution de l’espèce. «Par exemple en participant à la conservation de la nature », conclut l’herpétologue. Source
  4. Si tous les batraciens, en règle générale, ne se portent pas très bien, la salamandre, elle, inquiète particulièrement les experts. «Cette espèce est touchée par un pathogène émergent, explique Thierry Kinet, qui s’occupe du suivi des populations d’amphibiens chez Natagora. Les Pays-Bas, le premier pays touché, ont perdu 96% de leur population en trois ans seulement. Mais ce qui nous inquiète surtout, c’est que ce pathogène arrive en Belgique…» Observer la salamandre risque donc bel et bien de devenir plus compliqué dans les années à venir, mais il est possible d’apercevoir d’autres espèces de batraciensen Wallonie. Trois espèces de tritons et le crapeau crapelyte accoucheur sont ainsi les autres amphibiens présents dans nos régions. «Quelle que soit l’espèce, les amphibiens ont besoin d’eau. Il faut donc se rendre dans les milieux humides (NDLR: mares, étangs, lacs…) et si possible quand il pleut pour les voir.»Avis aux amateurs… Source
  5. Les parents des élèves de l’écoles des Prés Walker à Bienne ont certainement dû avoir des sueurs froides en lisant le courrier de la directrice daté de lundi. Ils ont appris qu’un élève de l’école avait été piqué par une mygale et emmené au Centre hospitalier de Bienne. Apparemment, les enfants auraient joué avec cette araignée dans la cour d’école. La directrice ajoute que le mystère plane autour de la présence de cet animal dans le périmètre. Elle invite les enfants à alerter les enseignants s’ils devaient le revoir. Difficile de savoir exactement à quoi cette araignée ressemblait. Mais les autorités se veulent rassurantes. Le porte-parole de la police cantonale bernoise, Nicolas Kessler, nous a déclaré que rien ne permettait d’affirmer que les symptômes de l’enfant correspondaient à ceux liés à une piqûre de mygale. Pour Cédric Némitz, le Directeur de la formation, de la culture et du sport de la Ville de Bienne – qui ignore comment le terme de mygale est apparu – il s’agit vraisemblablement d’une histoire de grosse araignée. /lcu Source
  6. Avec uniquement une ampoule, un drap blanc et une bonne vue pour compter les étoiles, les Français sont invités à faire progresser les connaissances scientifiques sur l'impact de l'éclairage artificiel sur la biodiversité. "Une grande partie du territoire est concernée par cette pollution lumineuse et l'impact de ce phénomène sur la biodiversité est encore méconnu", rappellent le Muséum national d'histoire naturelle, Noé Conservation et l'Association française d'Astronomie, à l'origine de l'opération. En France métropolitaine, il y a 20 fois plus d'espèces de papillons de nuit que de papillons de jours. Aussi, est lancée cette nouvelle expérience de "science participative" entre mai à octobre 2014, qui consiste à observer les insectes nocturnes et mesurer la pollution lumineuse. La phase "insecte" consiste à placer, au coucher du soleil, une ampoule au-dessus d'un drap blanc et une heure plus tard, "compter et identifier les petites bêtes qui auront été attirées". Vient alors la phase "Ciel étoilé": regarder le ciel et repérer une des trois constellations: Lion, Vierge et Cygne, "puis noter les étoiles visibles à l'oeil nu". Enfin, saisir les observations sur le site internet www.insectesetcieletoile.fr Depuis 2006, le Muséum national d'histoire naturelle invite les citoyens à participer à des opérations de science participative pour collecter des données sur la biodiversité et permettre des études dont de nombreuses ont donné lieu à des publications scientifiques. Elles portent notamment sur les observations d'oiseaux, des papillons, des plantes sauvages en ville, ou encore plus récemment, des bigorneaux. Source
  7. Dans la rue de Jakarta, certaines échoppes proposent de choisir le reptile à consommer lorsqu’il est encore vivant. Dans la rue de Jakarta, certaines échoppes proposent de choisir le reptile à consommer lorsqu’il est encore vivant. Le vendeur coupe ensuite la tête du reptile. Le sang est récolté dans un récipient. Le sang frais peut-être agrémenté de divers ingrédients. Boire le sang et manger la chair du reptile auraient pour vertu d’augmenter la libido. La bête est ensuite dépiautée et vidée avant d’être cuisinée. La bête est ensuite dépiautée et vidée avant d’être cuisinée. La bête est ensuite dépiautée et vidée avant d’être cuisinée. Boire le sang et manger la chair du reptile auraient pour vertu d’augmenter la libido. «Etre vigoureux au lit », c’est pour cette raison que de nombreux hommes consomment du cobra en Indonésie. Le sang et la chair du reptile auraient pour vertu d’augmenter la libido et améliorer la fonction érectile masculine. Du moins selon les croyances. Dans la rue de Jakarta, certaines échoppes proposent de choisir le reptile à consommer lorsqu’il est encore vivant. Le vendeur lui coupe alors la tête et récupère le sang s’écoulant dans une tasse. La bête est ensuite dépiautée et vidée avant d’être cuisinée. Certains de ses organes, comme le cœur, peuvent également être mangés. Boire du sang de serpent donnerait un véritable coup de fouet. Du sang frais ou de l'alcool de serpent Cette pratique est fortement répandue en Asie du Sud. Outre le sang frais, on peut également y trouver de l’alcool de serpent, une boisson alcoolisée dans laquelle on fait macérer des serpents venimeux. Le venin, dissout par l’alcool, perd son caractère venimeux. De nombreux touristes ont déjà goûté le sang frais ou l’alcool de serpent. Chacun se souviendra d’ailleurs d’une scène du film «La plage » où Léonardo DiCaprio, parti en quête d’aventures asiatiques, s’essaye à cette tradition. S’il est généralement associé à des vertus sexuelles, le sang de serpent aurait également des vertus médicales. Il serait bénéfique dans le traitement du diabète, des rhumatismes et de la tension artérielle. Source
  8. Quel est l'animal le plus meurtrier au monde ? Serait-ce le tigre du Bengale, décrit comme un tueur féroce ? Le loup, peut-être ? Ou encore le serpent, dont la réputation n'est plus à faire ? Le scorpion au dard inquiétant ? En fait, rien de tout cela, comme le montre un graphique que vient de publier Bill Gates sur son blog. L'animal le plus mortel pour les humains, juste avant les humains eux-mêmes, c'est... le moustique ! Avec 750.000 morts annuelles, le moustique laisserait en effet l'humain loin derrière... même si ce dernier éliminerait joyeusement 475.000 de ses semblables chaque année, comme s'il effaçait de la carte une ville plus grande que Toulouse. A côté de ça, le requin ne tue guère que dix malheureuses personnes à l'année, rien à voir avec les quelques 11.400 requins massacrés toutes les heures par les humains. Les dents de la mer ? C'est surfait. Mais le moustique laisse tout le monde derrière. Pas parce qu'il suce le sang, après tout, avec un peu de vinaigre, on ne sent pratiquement plus les démangeaisons. Mais parce que le moustique est un vecteur de maladies, notamment la malaria, qui tue plus de 600.000 personnes par an. Une maladie, et sa transmission, que la fondation Gates combat assidûment, et dont il était important de reparler à l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le paludisme (25 avril). Alors si vous allez dans un pays où cette maladie est présente, n'oubliez pas d'appliquer les recommandations de l'organisation mondiale de la santé. Et si vous restez sous nos latitudes clémentes, les répulsifs anti-moustiques ne manquent pas. Il y a même des applications iPhone pour ça... Pas sûr que cela fonctionne vraiment, mais si vous vivez près d'un cours d'eau (ou près d'une mare, d'un étang...), assurez-vous qu'il y a beaucoup de poissons et de grenouilles. Ces gentilles bestioles mangent les moustiques et leurs larves. Source
  9. Après avoir pincé un cancrelat, par le postérieur avec ses lèvres, l'homme n'a plus qu'à attendre l'iguane miniature, qui accourt par la blatte alléchée. Une bouchée pour papa et une bouchée pour... bébé lézard. Quand on a l'instinct paternel, on n'hésite pas. Comme cet homme qui ne recule devant rien pour donner la béquée à son reptile préféré. Après avoir pincé un cancrelat, par le postérieur (pas de lézard pour lui apparemment) avec ses lèvres, l'homme n'a plus qu'à attendre l'iguane miniature, qui accourt par la blatte alléchée. Ce dernier la saisit. Repart repus. La complicité homme/lézard n'a jamais été aussi loin que dans cette vidéo. Source
  10. À l'attention : du gouvernement de Polynésie française L'assemblée de la Polynésie Française a décidé le 18 avril 2014 d'autoriser la consommation de la chair des tortues de mer. En projetant l'installation d'un parc d'élevage, ce qui n'empêchera pas le braconnage qui lui sera certainement traiter avec laxisme puisque la consommation sera permise, nos tortues sont mises en danger par la cupidité vénale des élus de la majorité. La tortue verte, de l’espèce «chelonia midias », celle qui est braconnée au fenua, est protégée non seulement par la Convention de Washington mais aussi par une délibération de l’Assemblée Territoriale en date du 13 juillet 1990. Le transport, la détention, la collecte des œufs, la capture à terre ou en mer, la taxidermie, la commercialisation, l’importation et l’exportation sont strictement interdits. Il est également important de rappeler que les contrevenants sont passibles de sanctions pénales (amende et emprisonnement), assorties de la saisie des moyens de transport et de pêche utilisés. NON à l'élevage et la consommation de tortue de mer ! En espérant que notre requête sera entendue. MAURUURU Source
  11. INTERNET - Son animal, prénommé Cédric, doit être opéré du «pénis»… La magie d’Internet a encore opéré. En Grande-Bretagne, un homme a réussi à collecter 500 livres (609 euros environ) sur un site de crowdfunding dans le but de faire opérer sa tortue. Cédric, de son prénom, souffre d’une inflammation douloureuse du cloaque, un organe servant aux reptiles et amphibiens à uriner, à pondre et à se reproduire. Sans opération de chirurgie, explique son propriétaire, Miles Jelfs, la tortue est en danger de mort. Nouveau rebondissement Problème: venant d’une famille désargentée, ce Britannique n’avait pas les moyens de régler la facture du vétérinaire, d’un montant de 350 livres (426 euros environ). Grâce à la générosité des internautes, il a même fait mieux, collectant donc sur le site gofundme.com bien plus que la somme demandée au départ, en seulement quatre jours. L’opération devra attendre, pourtant. Samedi, après un passage chez le vétérinaire, Miles Jelfs a confirmé que sa tortue allait devoir subir une amputation de la zone affectée. Mais il a aussi indiqué que Cédric était actuellement trop faible pour passer sur le billard. Prochain épisode dans trois à quatre semaines. Source
  12. C’est le genre de rencontre quasiment improbable à Avesnes-sur-Helpe. Enfin, la preuve que non puisque ce lundi de Pâques sur le coup de 13 h 30, descendant la rue Cambrésienne, nous sommes tombés sur une demoiselle IGUANE ! Donovan tenant dans ses bras son iguane, le temps d’une promenade avesnoise. Si, si, une vraie de vraie qui nous vient tout droit des Amériques. Des Amériques où il règne un climat tropical entendons-nous ! La bête, pacifique quand nous l’avons croisée, était tout à fait calme, blottie dans les bras de son propriétaire, le jeune Donovan, qui avait décidé de lui offrir une petite promenade post-déjeuner. Une façon de la sortir du terrarium (un grand aquarium sans eau) où elle passe une partie de ses journées. Végétarienne et en manque d’UV Une balade vivifiante en somme pour redonner de la couleur (différente) à la demoiselle, laquelle quand elle se trouve en milieu chaud a une robe plus proche du vert que de l’orange et marron qu’elle nous présentait hier. « Elle manque d’UV » a expliqué son propriétaire qui nous a indiqué que sa protégée était végétarienne. Et qu’elle était aussi imprévisible. « Elle peut mordre », si elle est dérangée ou surprise. Pour le reste, il a fait son acquisition à Saint-Quentin (Aisne). Et ne semble pas le regretter. À chacun son animal de compagnie. Source
  13. Le varan de Komodo est originaire d'une île indonésienne, où il vivait déjà il y a 140 millions d'années tout comme dans trois autres îles Rinca, Padar et Florès. Adulte, il fait jusqu'à trois mètres et pèse 70 kilos. PHOTOS VALÉRIE SUAU La tortue du Galapagos. PHOTOS VALÉRIE SUAU Le crocodile albinos. PHOTOS VALÉRIE SUAU Le varan crocodile ou de Salvadorii. PHOTOS VALÉRIE SUAU Le crocodile du Mexique. PHOTOS VALÉRIE SUAU Le vétérinaire et directeur de la Ferme aux crocodiles, Samuel Martin sait régulièrement accueillir une nouvelle espèce dans son parc zoologique pour attirer la presse et entretenir la notoriété du lieu. La semaine dernière, ce sont les très médiatiques dragons du Komodo qui ont plongé dans un vivarium de trente mètres carrés. "Nous les avons remontés du zoo de Barcelone où ils sont nés, explique Samuel Martin. Il y a trois mâles et une femelle. Ce sont encore des bébés d'un mètre vingt et de vingt kilos mais ils vont doubler de taille et tripler de poids dans les quatre ans à venir. Comme ils deviennent très gros et très difficiles à manipuler, nous leur apprendrons à monter tout seul sur des bascules pour les peser, faire des analyses... Ils peuvent être dangereux mais souvent malgré eux par leurs écailles coupantes et leurs griffes longues et acérées." Ce n'est pas pour rien qu'on les appelle aussi Monstre ou Dragon de Komodo. Avec son statut de plus gros lézard du monde, capable d'assommer une biche avec sa queue ou d'avaler une chèvre entière, on peut aisément imaginer l'impressionnant potentiel de sa mâchoire ouverte. Son venin lui permet de mordre sa proie et d'attendre tranquillement qu'elle succombe un peu plus loin à la morsure. Mardi, les profondes marques présentes sur les bras de Samuel Martin n'étaient dues qu'aux griffes du premier individu lâché. Origine : Iles d'Indonésie Le varan de Komodo est originaire d’une île indonésienne, où il vivait déjà il y a 140 millions d’années tout comme dans trois autres îles Rinca, Padar et Florès. Adulte, il fait jusqu’à trois mètres et pèse 70 kilos. Surnom : le dragon Le pseudonyme de dragon proviendrait d'un aviateur qui en 1910 a dû atterrir d'urgence sur l'île de Komodo et a cru, en voyant les varans, que les dragons existaient vraiment. Au 19e siècle, on le prenait pour un énorme crocodile. Protégé, il se reproduit en captivité Si ce reptile était en voie de disparition dans le courant du XXe siècle non pas à cause des prédateurs mais parce qu’il ne trouvait plus à se nourrir et que les hommes le détruisait, il est aujourd’hui protégé et sa population augmente. Un parc national très touristique a été créé en Indonésie. Des zoo du monde entier favorisent sa reproduction. Les mâles de la ferme de Pierrelatte pourraient d’ailleurs devenir des reproducteurs prêtés à d’autres structures. Source
  14. FRANCE — L'entrepôt d'un des deux principaux grossistes de vente de reptiles et autres tortues dans l'Hexagone a été ravagé dans la nuit de samedi à dimanche par un incendie. La société Savannah à Saint-Sulpice-La-Pointe (Tarn), un des principaux grossistes de reptiles, a été ravagé par un incendie la nuit dernière. Selon les pompiers du Tarn, le sinistre a débuté dimanche vers 2 heures et a détruit quelque 4000 m2 d'entrepôt qui abritait de très nombreux spécimens de pythons, iguanes, tortues etc. Seules quelques tortues ont pu être sauvées. Dimanche en début d'après-midi, les sapeurs-pompiers étaient encore affairés à éteindre complètement le sinistre, avec l'appui de quatre camions. De la fumée blanche s'échappait toujours de l'entrepôt en grande partie détruit et dont la structure a fondu, en périphérie de cette commune située à mi-parcours entre Toulouse et Albi. «Toutes les hypothèses sont ouvertes» quant à l'origine du sinistre, a indiqué la gendarmerie du Tarn. Des enquêteurs étaient à pied d’œuvre dimanche pour procéder aux premières constatations, a-t-on ajouté de même source. Seules huit tortues sauvées «Huit tortues d'environ 60 kilos chacune ont pu être sauvées par les pompiers (...) Mais il y a des milliers d'animaux qui sont morts. Des iguanes, des lézards, des tortues. C'est un cauchemar», a réagi par téléphone le PDG de cette société créée en 1999, Romain Julian. Romain Julian est le fondateur et le PDG de Savannah et de Reptile Planet, deux sociétés «complètement imbriquées» qui constituent l'un des deux principaux acteurs de ce marché en France: Savannah fournit ainsi 600 magasins et animaleries en lézards, serpents, tortues et amphibiens en tous genres. Elle propose également le matériel et l'alimentation nécessaires à l'élevage de ces animaux de compagnie un peu particuliers, comme des souris congelées pour les pythons par exemple. Selon Romain Julian, «16 à 20 personnes en comptant les apprentis» travaillent dans cette entreprise, dont le site internet a été «mis en maintenance» dès le sinistre connu pour éviter que des clients potentiels ne puissent passer commande. (afp/Newsnet) Source
  15. Qui a vu ces lézards, serpents et tortues du Vendômois que recherche Perche Nature dans le cadre de l'inventaire herpétologique départemental, auquel l'association est associée ? Car, outre les amphibiens, l'association s'intéresse également fortement aux reptiles présents en Vendômois. L'évolution des paysages, les nombreux préjugés encore tenaces, ainsi que la prolifération des chats font qu'aujourd'hui les populations de reptiles régressent et apparaissent désormais localisées. Ces animaux, en particulier les serpents, subissent aussi une mortalité importante sur les routes. Tous les témoignages de présence, y compris la photo d'un cadavre trouvé sur la voirie de l'une des neuf espèces de reptiles observées dans la région (quatre espèces de lézards, quatre de serpents et une tortue introduite) sont des jalons indispensables pour dresser le point des connaissances. Ainsi, si vous découvrez un long serpent dans un arbre, dans un grenier, etc., le diagnostic s'oriente vers la couleuvre d'esculape présentée ici en photo. Elle est inoffensive, n'hésitez pas à l'observer : mieux, prenez une photo. Son ventre est clair, son dos sombre sans dessin. D'ailleurs Perche nature recherche plus particulièrement des témoignages sur cette espèce dans la région de Montoire-sur-le-Loir. Pour tout contact : Perche Nature, Maison Consigny, à Mondoubleau. tél. 02.54.80.11.05, perche.nature@wanadoo.fr Source
  16. www.ledauphine.com/images/E3045E21-E31D-4F9D-B83D-DA956841C7DE/LDL_V0_06/le-plateau-de-libouze-compte-la-population-la-plus-importante-de-tritons-alpestres-dans-le-departement.jpg" border="0" alt="" /> www.ledauphine.com/images/C3941E5F-ACB5-483A-B2CB-0831E9405C10/LDL_V0_12/un-travail-titanesques-pour-reperer-la-population-des-amphibiens-presente-autour-du-bassin.jpg" border="0" alt="" /> L’opération “Sauvetage d’amphibiens”, organisée hier par la commune de Saint-Léger-les-Mélèzes, assistée du bureau d’études qui l’accompagne sur ce dossier et des services de l’État, a démontré que le plateau de Libouze serait le plus gros site des Hautes-Alpes connu à ce jour pour le triton alpestre. Près de 1 100 individus ont été, au total, transvasés dans la mare au cours des différentes opérations menées depuis le début du projet. L’objectif de cette nouvelle opération était d’une part de végétaliser la mare de substitution située à quelques mètres de l’actuel bassin ; et d’autre part de transvaser la population de tritons alpestres avant leur migration prénuptiale, afin d’éviter la reproduction dans le bassin. L’occasion également, pour les personnes habilitées à manipuler ce type d’espèce, de mesurer chaque amphibien afin d’établir une étude précise (répartition des sexes, taille moyenne, âge…). Libouze, un site remarquable En plus des tritons alpestres, 600 crapauds épineux – bufo spinosus – et 500 têtards de crapauds accoucheurs – alytes obstetricans – mais aussi une centaine de grenouilles rousses ont été recensés et transvasés dans la mare de substitution. Le plateau de Libouze est donc considéré comme un site particulièrement important pour la population d’amphibiens qui ont un rôle de “populations source”, c’est-à-dire qui essaiment pour renforcer et échanger avec des populations plus petites et environnantes et peuvent également coloniser de nouveaux territoires. Pour sauvegarder cette population, la commune a su prendre en main et gérer ce projet de conservation des amphibiens grâce à une étroite collaboration avec les services de l’État (parc national des Écrins, DDT, Onema). Elle prouve ainsi qu’il est possible de concilier conservation de la nature et projet de développement économique et agricole du territoire. D’ailleurs, à terme, le nouveau bassin devrait augmenter la biodiversité dans la commune et favoriser le développement des populations d’amphibiens. D’autres actions sont prévues Actuellement et pour mener à terme l’ensemble du projet, d’autres actions sont prévues : déplacement des populations d’alytes (qui ne sont pas encore arrivées), poursuite de l’aménagement de la mare avec des actions de végétalisation et la création de gîtes supplémentaires. Enfin, pourront commencer les travaux du nouveau bassin, avec notamment la création d’une zone à fond permanent qui devrait permettre aux populations d’amphibiens de recoloniser le nouveau bassin et donc, de se reproduire. À noter que la création d’une mare pédagogique est également envisagée. L’opération – comme celles précédemment effectuées et toutes celles à venir – menée sur le plateau de Libouze s’est déroulée dans un cadre précis de réglementation. Aussi, il est important de rappeler que : o Toutes les espèces d’amphibiens sont protégées par la loi, il est interdit de manipuler, déplacer et transporter les individus adultes et les têtards. o Seules les personnes disposant d’une dérogation (une autorisation de capture fournie par le ministère de l’Environnement), peuvent les manipuler. o L’accès au site de Libouze est fermé au public. Il est interdit de pénétrer dans le périmètre de la mare ou du bassin. o Les services de l’État effectuent des surveillances régulières sur le site, des missions de police. Source
  17. Le vivarium situé à La Trimouille, près de Montmorillon, a rouvert ses portes ce samedi 19 avril, après huit mois de fermeture et un changement de propriétaires. De nouveaux animaux sont présentés sur un parcours réhabilité. ipt>kitd.html5loader("flash_kplayer_207d3fe9f86s","http://api.kewego.com/video/getHTML5Thumbnail/?playerKey=3beefcf0f76e&sig=207d3fe9f86s");ipt> Source
  18. Cette année, l’opération Fréquence grenouille fête ses vingt ans. Un dispositif créé par les conservatoires d’espaces naturels et qui propose dans toute la France des centaines d’animations visant à sensibiliser la population à la préservation des zones humides. Et des zones humides, dans le Ternois, on en compte quelques-unes… Comme par exemple à Ligny-sur-Canche, avec les étangs de Waligny. Un site qui a été mis en avant, mercredi matin, pour fêter à sa manière le 20e anniversaire de Fréquence grenouille… Pour les 20 ans de Fréquence grenouille, les conservatoires d’espaces naturels ont décidé de mettre quelques sites sur le devant de la scène. Des sites où l’on rencontre des initiatives originales, des implications particulières… Et Ligny-sur-Canche fait partie de ces sites. Car à Ligny, on ne fait pas que regarder béatement la beauté des étangs de Waligny. On s’investit aussi pour faire en sorte que les petites bestioles s’y sentent bien, aux étangs, avec l’opération « Sauvons les garnoules ». Une opération qui en est déjà à sa sixième année, et dont le but est de préserver les amphibiens. Car les grenouilles, tritons et autres, n’ont pas la vie facile dans le secteur. L’hiver, tout ce petit monde se repose dans les bois. Mais quand arrive le printemps et la période de reproduction, direction les étangs de Waligny. Le hic, c’est que pour y arriver, il faut traverser une départementale… Pas simple… D’où ce dispositif « Sauvons les garnoules », qui fonctionne avec un principe tout simple. Chaque année, une barrière à amphibiens est installée, à la sortie des bois, avec des seaux où sont récupérées les grenouilles. Des seaux qui sont ensuite amenés aux étangs, permettant aux amphibiens d’arriver à bon port sains et saufs. Cinq cents batraciens sauvés chaque année Une opération exemplaire, pour Christophe Lépine, secrétaire général de la fédération des conservatoires d’espaces naturels en charge de Fréquence grenouille. Et ceci pas uniquement parce qu’elle protège des espèces et favorise la biodiversité… « Le conservatoire pilote l’opération mais il y a plein d’acteurs qui participent, des habitants de la commune, des jeunes… Dans notre société individualiste, c’est important d’associer la population à ce type de projet. » Un résultat dont n’est pas peu fier le maire de Ligny, Jean-Marie Delmotte. Car chaque année, grâce au concours des habitants de Ligny, du CPIE du Val-d’Authie ou encore du groupe naturaliste du Ternois, ce sont près de 500 batraciens qui sont sauvés. Ce qui ne peut-être que bénéfique pour la préservation des étangs de Waligny. « Les zones humides, ça nous concerne tous, relève Luc Barbier, président du conservatoire naturel du Nord - Pas-de-Calais. Beaucoup de zones humides ont disparu et aujourd’hui notre rôle est de faire connaître les zones humides, les protéger, les gérer et les valoriser. » Et pour les sceptiques ou autres personnes hermétiques aux questions de préservation de l’environnement qui s’interrogeraient sur le bien-fondé d’opérations de ce type en ces périodes de crise, de chômage, etc., Christophe Lépine apporte un autre éclairage. En effet, si le but de ces actions est bien environnemental, puisque les conservatoires d’espaces naturels conservent plus de 2 500 sites, « ça représente également près de 800 salariés. Protéger l’environnement, c’est aussi de l’emploi. Ça fait travailler des structures d’insertion, on travaille avec des lycées agricoles… Ces actions coûtent de l’argent, mais ça en rapporte aussi ». Montrant que « la nature n’est pas déconnectée de l’homme ». De plus, « la protection de la nature, ce n’est pas uniquement protéger des petites fleurs et des petits oiseaux. Dépenser un peu pour les orchidées, ça fait aussi baisser la facture d’eau… » Un discours relayé par Olivier Thibault, directeur général de l’Agence de l’eau Nord - Picardie, dont l’un des objectifs est d’aider à garantir le bon état des rivières et la qualité de l’eau potable. « Le Grenelle de l’environnement demande à l’Agence de l’eau de s’investir pour les zones humides. Car les zones humides sont un filtre naturel extraordinaire, une station d’épuration naturelle. » Les étangs de Waligny station d’épuration ? Un aspect qui ne saute pas aux yeux quand on passe à côté de ce magnifique petit coin de nature… Source
  19. Francesca s'est échouée sur une plage du Morbihan en 2002. Elle a ensuite vécu paisiblement pendant 12 ans à Océanopolis à Brest mais aujourd'hui, elle pèse plus de 100 kg et a atteint une taille limite pour vivre en captivité. Francesca vient donc d'arriver à La Rochelle pour un "stage " de trois mois pendant lequel elle va réapprendre à vivre comme dans son milieu naturel. Nourriture vivante, température de l'eau, la tortue doit retrouver les habitudes de vie en pleine mer. Francesca retrouvera les eaux de l'Atlantique en juillet prochain. Elle sera alors relâchée sur la plage de St-Clément-les-Baleines à la pointe nord de l'île de Ré et selon les spécialistes, elle s'adaptera sans problème à sa nouvelle vie, oubliant ses 12 ans de captivité. Source
  20. Le zoo situé à Pierrelatte, dans la Drôme, a accueilli mardi quatre dragons du Komodo. Cette espèce, aussi nommée varan, est "le plus lourd lézard du monde". Quatre bébés dragons ou varans de Komodo, l'une des plus grandes espèces vivantes de lézards au monde, ont rejoint mardi les pensionnaires de la Ferme aux crocodiles à Pierrelatte, dans la Drôme. "Le varan du Komodo, appelé aussi dragon, est un animal inquiétant. C'est le plus lourd lézard du monde. Un gros mâle adulte pèse 160 kilos et mesure trois mètres, soit à peu près la taille d'un crocodile", explique Samuel Martin, vétérinaire et directeur du zoo. Encore deux ans avant la séparation Pour la sécurité du public, l'établissement les a installés dans une pièce de 30 mètres carrés avec des parois d'une hauteur de deux mètres. "Ces animaux sont dotés de griffes et grimpent très bien", affirme le vétérinaire. "Comme ce sont des jeunes qui ont grandi ensemble, on se donne encore deux ans avant de les séparer, car après ils risquent de montrer des signes d'agressivité." Ces quatre bébés dragons sont nés en captivité au zoo de Barcelone. Après trois ou quatre ans dans la Drôme, certains devraient repartir vers d'autres établissements. Les varans de Komodo, que l'on peut aussi voir dans le parc animalier de Thoiry (Yvelines), se rencontrent habituellement dans les îles d'Indonésie centrale. La Ferme aux crocodiles, qui fête ses 20 ans cette année, accueille des bêtes rares et dangereuses mais aussi des tortues géantes. "Nous avons plus de 400 crocodiles, dont le gavial du Gange qui vit en Inde et au Népal, et des caïmans noirs, très rares en captivité. L'idée de notre centre est d'inviter le public à se promener au-dessus des enclos, sorte de vivarium géant", explique Samuel Martin. Source
  21. Neil Patrick Harris plus connu sous le nom de Barney Stinson pose pour Vnity Fair avec deux serpents, dont un dans le pantalon. Le personnage le plus apprécié de la série How I Met Your Mother se la joue dangereusement sexy. Le personnage joué par Neil Patrick Harris est possiblement le préféré des téléspectateurs de la série How I Met Your Mother et si le style Barney Stinson des 208 épisodes a été résumé en une infographie, Neil Patrick Harris n’est pas tout le temps en costume. En effet, l’acteur de la série a posé pour Vanity Fair et a décidé de laisser tomber le combo blazer, chemise, cravate qui a fait la renommée de son personnage. Neil Patrick Harris apparaît sur la photo du shooting Vanity Fair torse nu avec un boa et un python sur les épaules. Pour renforcer le côté sauvage de la photo, l’un des deux serpents se glisse dans le pantalon de l’acteur. L’article écrit par Vanity Fair retrace le parcours de l’acteur que le rôle de Barney Stinson a rendu encore plus célèbre. Neil Patrick Harris était déjà une célébrité aux Etats-Unis puisque dès l'âge de 15 ans il décroche le premier rôle de la série Docteur Doogie, où il joue le rôle d’un jeune garçon surdoué, déjà docteur à 16 ans. Il sera nominé aux Golden Globes pour ce rôle dans la série qui durera 4 saisons. L'acteur prendra le rôle de Barney Stinson en 2005 et ouvrira même la 82 ème cérémonie des Oscars en 2010 (la vidéo est ici) avec un véritable show mêlant chant et danse. La fin de la série ce mois-ci marquait aussi la fin du personnage de Neil Patrick Harris. Si vous en êtes triste, lisez Barney Stinson et ses meilleurs répliques à garder et adoptez son langage dans votre quotidien ! Source
  22. Samedi, la Société des sciences naturelles de Tarn-et-Garonne (Ssntg) et le conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN-MP) ont proposé à une trentaine d'amoureux de la nature de partir à la découverte d'espèces d'araignées vivant sur le site de Bois-Redon, un vaste territoire septfontois classé Espace naturel sensible grâce à la richesse de sa biodiversité. Anne-Marie Rantet-Poux, organisatrice de la manifestation, secrétaire de la Ssntg, avait invité, pour un commentaire pertinent, un spécialiste des araignées, Sylvain Déjean, chargé de mission au sein de l'institution régionale agréée au titre de la protection de l'environnement. En 2012, en compagnie du naturaliste Samuel Danflous, l'arachnologue s'est fait connaître auprès du grand public en découvrant une araignée inconnue en France. Cette découverte d'une nouvelle espèce d'arachnide effectuée sur la commune de Betpouey (65), à 1 650 mètres d'altitude, a pour nom scientifique zelotes egregioides. Sur le site septfontois, avant d'entreprendre la balade studieuse, à l'attention du groupe, Sylvain Déjean tenait à définir, entre autres, l'anatomie des araignées qui, à la différence des insectes, est composée de deux parties et de huit pattes. Puis le naturaliste avançait quelques chiffres sur les populations d'araignées: 42 000 espèces dans le monde, 5 700 en Europe et les pays du pourtour méditerranéen, 1 600 en France et 900 en Midi-Pyrénées. Suite à cette démonstration, Anne-Marie Rantet-Poux apportait des informations inattendues sur la petite bête, à savoir: que le nombre d'araignées est de 1 million par hectare; qu'en marchant dans l'herbe, nous écrasons environ 50 araignées à chaque pas et que l'espèce nous débarrasse de plusieurs millions d'insectes. Sans elle, nous serions envahis d'insectes. Après ces explications, la chasse pouvait débuter, et chaque participant de débusquer sous les pierres, dans les herbes, l'araignée tant convoitée avant de déterminer collégialement son espèce. Sur 80 prises, une quarantaine a été identifiée, donc des cyclosa conica, des mangora acalypha, des araniella cucurbitana. Prochaine sortie à l'automne. Site de la société: www.ssntg82.com Source
  23. Première journée de la tortue marine à l’hôtel Méridien La première édition polynésienne de la journée de la tortue marine se déroulera demain, à l’hôtel Méridien Bora Bora. Différents ateliers seront mis en place pour les touristes et pour les enfants. Une surprise de taille les attend puisque les célèbres comiques Rai & Mana seront les parrains de cette journée unique. La société SNH propriétaire de l’hôtel mène, depuis l’année 2000, un programme de conservation, au travers du centre de protection des tortues marines. Avec une équipe de spécialistes pour s’occuper du soin des pensionnaires, le centre a mis également en place des programmes d’éducation à l’environnement destinés à la population locale, aux touristes ainsi qu’aux scolaires (trois milles enfants ont été accueillis depuis la création du centre). En partenariat avec des scientifiques et des professionnels, le centre développe également des opérations pour repeupler les sites perturbés par l’homme, au moyen de techniques durables et innovantes comme le bouturage de corail ou l’élevage de larves de poissons et de bénitiers. Le Bora Bora Turtle Center s’appuie également sur des réseaux scientifiques, universitaires et associatifs mondiaux (Criobe, fondation Prince Albert II de Monaco). La coordination des travaux est assurée par la direction de l’environnement de la Polynésie française (Diren). En 2012, le centre s’est doté d’un nouveau pavillon qui permet d’accueillir des aquariums, un bassin tactile, une salle de musée et de projection. Accueil et soin aux animaux Des programmes et des partenariats ont été développés visant à promouvoir la protection de la biodiversité et le développement durable, tout en plaçant l’homme au cœur des enjeux futurs. À l’échelle de la Polynésie française, le centre fait la démonstration que l’écotourisme et la conservation du patrimoine sont compatibles et nécessaires face aux enjeux à venir. Le Bora Bora Turtle Center accueille et soigne des tortues blessées, saisies ou en danger. Après des soins prodigués, les animaux retrouvent leur milieu naturel. Près de quatre cents tortues ont été réintroduites en mer. Elles sont baguées afin d’avoir un moyen d’identification et de suivi. Les animaux malades ou blessés sont placés dans une zone de quarantaine afin de faciliter les soins et de ne pas contaminer les autres tortues en voie de réintroduction, qui évoluent dans un hoa naturel où elles peuvent se nourrir par elles-mêmes. Pour clôturer l’événement de demain, une tortue sera rendue à la vie sauvage. E Contact Le Méridien : 60 51 51 Source
  24. Mais qu’est-ce qui est passé par la tête de Gipsy, cette mygale brésilienne, échappée de chez son propriétaire en juillet dernier ? Son propriétaire la recherche toujours… et s’en émeut sur cette affichette, vue dans un tabac presse du quartier Arnaud-Bernard. Plutôt effrayant, non ? «Appelez Luis si vous la voyez dans le quartier». On a appelé. Numéro non attribué. «C’était une blague d’un client, en rigole encore la gérante. Mais je vais la retirer, ça commence à effrayer les clients.» Source
  25. Une tortue blessée par un fusil harpon. Papeete, le 17 avril 2014. Les représentants de l'Assemblée de Polynésie ont adopté ce jeudi par 46 voix pour et 11 abstentions (le groupe d'opposition UPLD), le projet de Loi du Pays sur la traçabilité douanière de certaines espèces marines. En l'occurrence, il s'agissait de codifier les différents produits exportés qui concernent les bénitiers et les bêches de mer ou rori. La volonté de ce nouveau texte sur deux espèces protégées mondialement est de "permettre de différencier les filières de produits, différencier notamment la filière aquariophilie de celle alimentaire" indiquait sur la tribune du gouvernement, Geffry Salmon en remplacement du ministre des ressources marines, Tearii Alpha. En dépit de quelques critiques émanant des rangs de l'UPLD suggérant que cette nouvelle loi de Pays devait être liée avec le "projet pharaonique d'aquaculture" à Makemo selon les termes d'Antony Géros, le texte n'a pas été très âprement discuté. En revanche, bien que le texte étudié par les représentants n'évoquait que la situation des bénitiers et des rori, il a permis d'aborder la question de la tortue, espèce protégée également au plan mondial avec une interdiction absolue de la chasser, mais dont la chair est encore consommée régulièrement en Polynésie française. C'est Antonio Pérez, du groupe A Ti'a Porinetia qui a engagé le débat. "Il est temps de constater cette hypocrisie qui nous étouffe tous et voir s'il ne serait pas possible de créer un élevage de tortue territorial pour la chair de tortue. Cet élevage permettrait de combattre le braconnage en préservant la ressource naturelle". Dans les rangs de la majorité Tahoeraa, René Temeharo poursuivait : "On montre du doigt les braconniers, ceux qui mangent la chair de tortue -d’ailleurs j’en vois parmi nous- et, en face, on ne nous donne pas plus de solutions pour préserver cette espèce. N’est il pas nécessaire de voir cette possibilité d’un élevage de tortues du Pays, afin de garantir la préservation de l'espèce, au lieu de se réfugier uniquement derrière la convention de Washington?" Sur la tribune gouvernementale, Geffry Salmon qui remplaçait le ministre des affaires marines, n'a pu que promettre de faire passer ce message et ces idées d'un élevage territorial de tortues à Tearii Alpha lors de son retour en Polynésie française. Source
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