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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Il n'est pas facile d'avoir un iguane vert à la maison, tant l'environnement à recréer n'est pas simple. Étudiante, j’ai eu la chance de visiter le Biodôme en entier, c’est-à-dire les grandes salles où le public circule, mais aussi les «dessous» où tous les employés travaillent dans les laboratoires, les cuisines et la clinique vétérinaire. Un endroit qui m’avait surpris est la pièce où on observait de grandes cages pleines d’iguanes verts. En effet, ces malheureux se retrouvaient là parce que leur propriétaire n’en voulait plus. Avaient-ils mal jugé les soins que de telles bêtes demandaient? Avaient-ils sous-estimé la grandeur qu’une fois adultes ces mignons petits lézards atteindraient? Les cages étaient pleines et il n’y avait plus de place pour en recevoir un de plus. Très populaires au début des années 90, on voit un peu moins de jeunes iguanes verts ces dernières années avec l’arrivée d’autres espèces de reptiles dans les animaleries. Ce sont des animaux qui peuvent, en captivité, vivre plus de 20 ans. Ils feront dans certains cas jusqu’à deux mètres à l’âge adulte (incluant la queue) et pourront peser près de 20 livres. Environnement Originaires des forêts humides d’Amérique centrale et du Sud, il est recommandé de leur offrir un environnement avec un taux d'humidité de 70 à 80% dans le cas des plus jeunes. Un environnement légèrement plus sec pourra leur convenir en vieillissant. Côté température environnante, elle devrait atteindre entre 24 et 31 degrés Celsius de jour avec un point chaud entre 31 et 35 degrés Celsius. La nuit, la température ambiante peut diminuer de quelques degrés, allant de 21 à 28 degrés Celsius. Pour être bien certain de maintenir les températures adéquates, l’utilisation d’un thermomètre comme ceux qu’on retrouve en quincaillerie est recommandée. Leur vivarium ne devrait jamais être trop petit, même pour un jeune individu de l’année. Lorsqu’il aura plus d’un an, un vivarium plus grand devra lui être offert. On peut trouver les exemples de dimensions appropriées en fonction de la grandeur d’un iguane sur le site anapsid.com. Calme On placera le vivarium dans une pièce relativement calme, idéalement ouvert sur une fenêtre qui donne elle-même sur le jardin afin de stimuler un peu ce lézard somme toute intelligent. On verra à fournir des perchoirs suffisamment longs pour que l’iguane puisse s’étendre à l’horizontale pour se reposer. Une cachette est de mise pour lui offrir un peu d’intimité. L’éclairage est très important chez ce type de reptile. D’abord, il lui faut une lampe chauffante pour son «coin soleil», mais aussi un néon pour lui permettre d’absorber ses rayons UVB. Le néon devra se retrouver au maximum de 25 à 45 cm de l’iguane pour qu’il lui en procure les effets bénéfiques. Au total, les lumières devront être allumées douze heures par jour. Il faut à tout prix éviter les pierres chauffantes et les tapis électriques collants sous la vitre des vivariums sous peine d’infliger à l’animal de sérieuses brûlures. Alimentation Son alimentation est exclusivement végétarienne. Si on souhaite le garder longtemps et en santé, on offrira de la variété à l’iguane et on se tiendra loin des salades qui sont pauvres en nutriments, à part peut-être le pissenlit s’il n’est pas traité aux pesticides. On choisira surtout des légumes verts comme les haricots et les pois mange-tout, des courges et de la luzerne (mais pas ses germinations qu’on offrira seulement en gâterie). On pourra aussi lui donner des fleurs comestibles, des fruits, mais pas plus que pour 10% de sa diète au total (comme la mangue et la papaye sans leur pelure ni graines, la poire, les bleuets, les cerises, les fraises et les figues qu’il adore), les fines herbes (comme le basilic, l’origan et la coriandre). Un supplément de vitamines et de calcium est aussi conseillé régulièrement en fonction de l’âge de l’animal. Un bol d’eau propre sera présent en tout temps dans son vivarium. Vous pouvez rejoindre mon équipe de la Clinique vétérinaire Mont-Saint-Grégoire et moi-même par téléphone au 450 347-7070. Visitez-nous sur Facebook! Source
  2. Hier, à 18h00, TF1 diffusait un nouveau numéro de " Sept à huit ", présenté par Harry Roselmack. Dans l'un des sujets, les journalistes ont rencontré Chris Hobkrik, en Afrique du Sud. A 36 ans, ce ranger est appelé lorsque les sud-africains habitant près du parc Kruger découvrent un serpent chez eux. Les caméras ont notamment assisté à la capture d'un mamba noir dans un pavillon. Morandini Zap / Son métier : chasseur de serpent sur WAT.tv Source
  3. Des scientifiques ont découvert une espèce de serpent qui ne ressent pas le besoin de boire pendant des mois. Après une étude de trois ans sur des serpents de mer au ventre jaune, les chercheurs ont montré que cette espèce se déshydrate jusqu'à éponger sa soif avec l'eau fraîche qui tombe du ciel. Cette étude scientifique tranche avec les idées reçues qui sont régulièrement divulguées dans le milieu. En effet, nombreux sont ceux qui ont accepté l'idée que les vertébrés marins ont évolué en utilisant l'eau salée pour répondre à leur besoin en eau, alors que l'espèce étudiée ne boit jamais l'eau de la mer. En mer, la possibilité de boire des gorgées d'eau douce est rare et dépend de la pluviométrie. L'eau douce étant moins dense que l'eau de mer, elle flotte à la surface et forme une "lentille" d'eau douce que ne semble pas apprécié le serpent au ventre jaune. Mystère. Source
  4. Un vidéaste amateur s'est mis en tête de filmer un serpent de tout son long. Seulement, il ne se doutait pas que ce reptile attendait calmement pour lui montrer de quoi il était capable. Assistez à une attaque surprise des plus effrayantes! Cet énorme serpent risque de vous terrifier ! par Gentside Si vous avez une peur panique des serpents, passez votre chemin, cette vidéo n'est clairement pas pour vous. Pendant plus de dix secondes, le vidéaste longe cet énorme serpent, inutile de vous dire qu'il ne s'agit pas d'une petite bête. Un serpent sans tête? Ce serpent est sans doute le plus long reptile que vous n'ayez jamais vu de votre vie. D'ailleurs, le vidéaste est conscient qu'il est face à un phénomène. Il filme ce gigantesque serpent de bout en bout. Il se déplace lentement afin de laisser les internautes le temps de réaliser les dimensions surréaliste de ce serpent. Durant toute la vidéo, le serpent reste étonnamment calme. On se demande même s'il est encore en vie tant il reste totalement inerte. L'avantage pour le vidéaste, c'est qu'il a alors tout le loisir de filmer le serpent et de nous donner une idée bien précise de la taille du reptile. Le corps de ce serpent parait tout simplement interminable. On finit même par s'inquiéter et à se demander qu'est ce qu'il peut bien avoir au bout de cet énorme serpent. On comprend que l'on est face à un des serpents les plus impressionnants de la planète. Vivez la peur de votre vie! Au bout de cette vidéo, le vidéaste a réussi à filmer une scène réellement effrayante. En effet, le serpent nous réserve une vraie surprise à la fin de la séquence. Une fois que l'on a fini d'admirer tout son corps, ce serpent est à présent prêt à nous montrer sa langue. Il prend le caméraman par surprise en attaquant la caméra. On imagine alors la peur de ce dernier. Même protégé par un écran, les internautes ne sont pas à l'abri d'être également effrayés par cette attaque surprise du reptile. Ce serpent se révèle donc bien moins docile que ce que nous laisse penser le début de la vidéo. Il n'a rien perdu de ses réflexes, au grand dam du caméraman. Source
  5. A partir du 10 avril 2014, la famille des varans s'agrandit à la Ferme aux Crocodiles de Pierrelatte, dans la Drôme, avec l'arrivée de quatre spectaculaires dragons de Komodo. Pour les vacances de Pâques, les cloches ont prévu d'apporter à la Ferme aux Crocodiles de Pierrelatte quatre nouveaux résidents absolument fascinants : des bébés dragons de Komodo âgés de tout juste un an. Malgré leur jeune âge, ils mesurent déjà 1,20 m environ, mais atteindront jusqu'à 3 mètres une fois adultes ! Ce cousin du varan crocodile est en effet l'une des plus grandes espèces vivantes de lézards au monde, avec une masse corporelle d'environ 70 kg. Le site rhônalpin devient ainsi le deuxième parc zoologique de France à présenter ces fascinants reptiles et poursuit ainsi son action pour la préservation de l'espèce menacée. DRAGON INDONÉSIEN Les varans de Komodo (Varanus Komodoensis), se rencontrent habituellement dans les îles d'Indonésie centrale. La grande taille inhabituelle de cette espèce est attribuée à ses faibles besoins en énergie, ainsi qu'au gigantisme insulaire, car il n'existe pas, dans son habitat naturel, d'autres animaux carnivores pouvant occuper ou partager sa niche. Le dragon de Komodo vit à la fois sur terre et dans l'eau. Il peut plonger jusqu'à 4,5 m de profondeur, mais aussi grimper dans les arbres lorsqu'il est jeune en utilisant ses griffes puissantes. Il se nourrit de charognes, mais également de proies telles que des reptiles, des chèvres, et même des cerfs... Pour attraper des proies hors de portée, il peut se dresser sur ses pattes postérieures en utilisant sa queue comme point d'appui. Les aires de distribution du dragon de Komodo ont largement été réduites par les activités humaines et les changements climatiques. Aujourd'hui en voie de disparition, l'espèce, considérée comme menacée par l'UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature), compte désormais une population globale estimée à 5000 individus. En Indonésie, le parc national de Komodo a été fondé en 1980 pour favoriser leur protection et le gouvernement protège l'espèce. L'ASSOCIATION SOS CROCODILES EN ACTION La Ferme aux Crocodiles s'implique activement pour la sauvegarde des espèces. En 2001, le site a créé l'association SOS Crocodiles, qui favorise toutes les actions soutenant la protection et la conservation des reptiles, et plus particulièrement des crocodiliens. Son action s'étend dans le monde entier, et vise à protéger le biotope autant que l'animal. L'association participe ainsi à divers projets de sauvegarde d'espèces rares comme le gavial du Gange au Népal, le crocodile du Nil dans la réserve du W au Niger et la cistude d'Europe en milieux aquatiques. Grâce à l'association, l'arrivée à la Ferme aux Crocodiles des varans de Komodo s'accompagnera d'un abondement au fond de conservation des dragons de Komodo. Plus d'informations sur le site de la Ferme aux crocodiles. Source
  6. Tout blancs et très fragiles. Deux crocodiles albinos ont débarqué au vivarium de Civaux (Poitou-Charentes), la Planète des crocodiles. Le plus gros des deux spécimens, une jeune femelle, mesure environ 1 mètre 60. Elle vivait jusqu'ici près du Mont Saint-Michel, dans le parc animalier Alligator Bay. L'autre crocodile est un bébé d'environ un an et 550 grammes, arrivé des Etats-Unis il y a quelques semaines. Très vulnérables, ces crocodiles albinos ne survivent pas dans la nature. Leur peau très sensible aux ultra-violets et leur couleur blafarde les rend très visibles et en font des proies faciles. En images, l'arrivée du petit dernier, qui croque la vie à pleine dents. LeParisien.fr Source
  7. Le lundi 24 Mars dernier restera longtemps dans la mémoire des populations de Boulkassoumbougou, surtout ceux qui fréquentent le marché. Ce jour, un fait qui sort de l’ordinaire s’est produit au marché de Boulkassoumbougou. Un vendeur de médicaments traditionnels (poudre anti-morsure de serpent) s’est fait défier par son serpent qu’il portait à la ceinture pour attirer la clientèle. Le sexagénaire est habitué des marchés de la capitale. Il se promène avec un gros serpent plié à quatre autour de sa ceinture pour vendre la poudre anti- morsure de serpent. Comme d’habitude, il se faisait obéir de son animal, sauf ce jour. Le gros reptile voulait prendre un peu de liberté en escaladant un hangar du marché. Difficile de le dissuader afin qu’il revienne à sa place. Le vieux essaya sans succès de le tirer avec force pour le ramener. Le combat entre le reptile et son maître qui dura une bonne trentaine de minutes a eu raison des marchandises étalées sous le hangar. Du coup, il y a eu la panique chez l’assistance. Vendeurs et usagers, chacun cherchant à sauver sa tête courrait dans tous les sens. Face au combat de gladiateur qu’il y avait entre le maitre et son reptile, beaucoup de commerçants et de passants ont accouru sur les lieux pour être témoins de cette scène qui sort de l’ordinaire. Nombreux sont les marchands qui ont vu leurs marchandises détruites par des spectateurs pris de panique. Certains enfants et leurs mamans ont été blessés. Certaines aide-ménagères ont perdu leur frais de condiment. Le spectacle a eu lieu à une heure de pointe (aux environs de 08heures) où le marché était plein à craquer. D’après nos investigations, cette scène rocambolesque est à sa deuxième fois. Mais cette fois-ci, l’incident s’est produit à une heure de pointe. D’où la peur bleue des usagers du marché. C’est pourquoi, certains témoins se demandaient s’il n’avait pas fait express pour se faire un peu de publicité. Mais, si tel était le cas, il a failli coûter la vie aux plus peureux. « J’ai vu une petite fille passer avec de graves blessures au bras et une femme enceinte tomber à terre, complètement inconsciente. », a expliqué Y.T, un témoin interrogé sur place. Selon lui, le vieux a vraiment ébranlé le marché ce jour-là. Soundié Diarra, une aide-ménagère explique qu’elle a perdu son argent destiné à l’achat de condiments. «J’avais 5000fcfa dans ma main, et quand tout le monde se cherchait, je l’ai perdu et je n’ai rien pu acheter. Je ne sais pas comment raconter cela à ma patronne car j’ai peur qu’elle ne me croit pas ». Selon Sadio Diarra, président du comité syndicale du marché de Boulkassoumbougou raconte : « quand j’ai vu la scène, je suis allé informer la police du 12ème arrondissement. Le commissaire a, sur le champ, désigné des éléments qui m’ont accompagné. Mais, avant leur arrivée, le manipulateur avait disparu avec son reptile. Car à notre arrivée, nous avons passé le marché au peigne fin sans succès. Il était déjà parti.». Pour Sadio Diarra, « c’est une mauvaise chose que de se promener avec un serpent au milieu d’un marché pour vendre un soi-disant produit contre la morsure du serpent. Comme on le dit, le miel ne se dit pas doux. Quand on est sûr de son médicament, on reste à sa place. Les clients viendront d’eux-mêmes. On n’est pas obligé de se promener avec un serpent au rein pour faire la publicité de son produit. Le marché n’est pas un endroit pour de tel spectacle car cela peut se terminer en incident. Et les voleurs peuvent profiter de cela pour causer des dégâts chez les commerçants. » C’est au regard de ces risques, ajoute-t-il, qu’il a fait appel aux policiers afin qu’ils l’aident à interdire carrément l’accès du marché à ces genres de marchands. « Le message a été accepté par la police, qui a demandé aux usagers du marché de veiller sur lui. Dès qu’il s’approchera du marché de les en informer. », a-t-il conclu. Fatoumata Fofana Source
  8. Trois biologistes ont découvert une femelle de Colibri à gorge rubis emprisonnée dans une toile de Nephile clavipes. Femelle de Colibri à gorge rubis (Archilochus colubris) (2) emprisonnée dans une toile de Nephile clavipes (1) dans le canyon de Novillo, état de Tamaulipas (Mexique), septembre 2012. Photographie : I. Martínez-Sánchez / Huitzil Il est rare de trouver un oiseau prisonnier d'une toile d'araignée (lire Ces araignées qui peuvent capturer des oiseaux dans leurs toiles) : 69 cas impliquant cinq genres d'araignées (Nephila, Mastophora, Argiope, Neoscona, Araneus) et 54 espèces d'oiseaux ont été décrits dans le monde. Nephila clavipes est l'araignée la plus fréquemment identifiée, mais on ne sait pas si les oiseaux qui se retrouvent piégés dans ses toiles peuvent être mangés, ses proies habituelles étant les insectes. Vingt cas concernaient des colibris (Phaethornis longirostris, P. longuemareus, Mellisuga minima, Hylocharis cyanus, Amazilia tobaci, A. tzacatl, Calypte anna, C. costae et Archilochus colubris). Du fait de leur petite taille, les toiles constituent en effet un danger potentiel pour ces oiseaux, même si les principales causes de mortalité restent les conditions météorologiques, le manque de nourriture, les chocs contre les espaces vitrés et la prédation. Dans un article publié en 2013 dans la revue Huitzil, trois biologistes ont décrit le premier cas pour le Mexique d'un colibri pris au piège dans une toile d'araignée (Nephila clavipes). La scène a été observée en septembre 2012 dans une forêt mixte de pins et de chênes dans le canyon de Novillo, à neuf kilomètres au sud-ouest de Ciudad Victoria, dans l'état de Tamaulipas. Alors qu'ils recensaient les coléoptères, ils ont été attirés par les cris que poussait une femelle de Colibri à gorge rubis empêtrée dans une toile de près de deux mètres de diamètre et de 1,5 mètre de hauteur. L'oiseau avait les ailes étalées et tentait de se libérer. Après dix minutes, les naturalistes ont décidé de le libérer. Il est très rare qu'un oiseau se retrouve dans une telle situation : cela peut arriver s'il tente de manger des insectes pris dans une toile, de prélever de la soie pour construire son nid (voir dans notre galerie la photo d'un nid de Colibri d'Allen comprenant des fils d'araignée) ou s'il n'a pas vu pas vu l'obstacle en évoluant à faible hauteur : les colibris volent en effet vite et sont légers (un Colibri à gorge rubis ne pèse que 3,2 grammes) (lire Les colibris, des oiseaux étonnants). Les trois biologistes ne savent pas ce qui se serait passé s'ils avaient laissé l'oiseau en place : il aurait pu finir par se dégager, mais aussi peut-être mourir de faim ou être mangé par un autre prédateur. L'araignée ne l'aurait probablement pas tué elle-même car Nephila clavipes a tendance à éviter les proies trop grandes ou trop agressives. Il est rare d'assister à de telles situations, même si elles se produisent certainement assez fréquemment dans la nature. Femelle de Colibri à gorge rubis emprisonnée dans une toile de Nephile clavipes. Photographie : I. Martínez-Sánchez / Huitzil Femelle de Colibri à gorge rubis emprisonnée dans une toile de Nephile clavipes. Photographie : I. Martínez-Sánchez / Huitzil Source
  9. Un premier morceau d'humérus appartenant au même animal avait été découvert dans les années 1840, dans l'état du New Jersey, aux Etats-Unis. Les scientifiques Ted Daeschler (à droite) et Jason Shein, présentent les deux parties d'os d'une tortue géante, découverts à plus de 160 ans d'intervalle. (WWW.DREXEL.EDU ) Les ancêtres de nos tortues de mer mesuraient plus de 3 mètres de long. Des chercheurs de l'académie des sciences naturelles de l'université de Drexel (en anglais), à Philadelphie (Etats-Unis), ont enfin pu estimer la taille de l'une des plus grandes tortues à avoir vécu sur cette terre, grâce à un incroyable hasard, a annoncé l'université mardi 25 mars. Plus de 160 ans après avoir trouvé un premier fragment d'os, un chercheur de fossiles amateur a mis la main sur la partie manquante d'un humérus, désormais près à livrer les secrets de l'"Atlantochelys mortoni", tortue géante qui barbotait dans l'océan Atlantique, il y a environ 70 à 75 millions d'années. Le premier fragment de ce squelette identifié en 1849 "J'ai d'abord pensé que c'était une pierre. C'était lourd", a raconté à la BBC (en anglais) Gregory Harpel, un paléontologue amateur, à propos de sa découverte. Mais des traces de morsures de requins le font changer d'avis. A l'université de Drexel, le docteur Ted Daeschler est tombé des nues en découvrant que ce morceau d'humérus était non seulement, un bout d'os de tortue, mais exactement la partie manquante d'un fossile stocké par l'université. En effet, un premier morceau de l'os de tortue géante avait été découvert à la fin des années 1840, dans l'état du New Jersey. Depuis, l'imposant fossile brisé reposait dans les locaux de l'université américaine. Jusqu'à l'automne 2012. "Nous avons essayé de te tourner dans tous les sens pour démontrer que ça ne correspondait pas. Mais ça correspondait", explique le scientifique à la BBC. Reste à trouver les autres pièces de ce gigantesque puzzle. Source
  10. Six des 13 personnes interpellées pour avoir vandalisé un hôtel de Buea suite à une rumeur, viennent d'être condamnées Le tribunal de première instance de Buea, dans le Sud-Ouest, vient de condamner six personnes interpellées au quartier Molyko à Buea, au soir du 09 novembre 2013, à quatre mois de prison ferme ainsi qu’une amende de plus de 22,8 millions de F CFA. Les faits retenus contre ces six jeunes, tel que l’a relaté la radio publique nationale, sont : « obstruction à la voie publique, résistance aux instructions administratives, invasion non autorisée dans un établissement privé » pas pour des raisons commerciales mais pour destruction et vol. Ces six jeunes font partie d’un groupe de 13 personnes interpellées au soir du 09 novembre 2013 à Buea. Ce jour-là, l’établissement hôtelier « Eta Palace », à Molyko, avait été envahi par la population de Buea, ayant appris la capture d’une femme, dans une chambre de l’hôtel, par un homme transformé en python. La photo truquée qui avait été à l'origine du branle-bas général à Buea Des photos avaient été montées pour illustrer le fait puis transmis dans les téléphones portables, partagés sur les réseaux sociaux en ligne, et même imprimés pour faire le tour de main. Les forces de l’ordre avaient dû descendre sur les lieux pour calmer la foule, voulant en découdre avec l’auteur et sauver la femme que personne n’aura vue à ce jour. Au final, cette photo, qui a amené la police à faire l’usage de gaz lacrymogènes pour calmer la foule, n’était qu’un grossier montage qui a eu raison de la superstition de quelques Camerounais, et permis à une bande de jeunes de vandaliser un établissement hôtelier. Source
  11. Julien Ruchon, agent des services techniques, a fait une découverte surprenante. Cet agent a trouvé un insecte coléoptère, relativement rare dans la région, dans le compost de la station de broyage et de compostage, installée sur le site des services techniques. Après enquête, il s’agirait de l’oryctes nasicornis, communément appelé rhinocéros. Les insectes mâles de cette espèce développent une corne similaire à celle de ce mammifère. Ce coléoptère, insecte xylophage, se nourrit de bois mort, au stade larvaire. Une fouille plus minutieuse du compost a permis d’identifier l’insecte, aux différents stades de son développement : la larve, la nymphe, des oryctes mâles et femelles en quantité. La ville a donc involontairement créé une niche écologique, favorable au développement du rhinocéros. Son apparition est le résultat de nombreuses actions de renforcement de la biodiversité. Source
  12. Il mesure 2 m et pèse environ 70 kg. Un dragon de Komodo âgé de 5 ans arrivera samedi au parc de Thoiry, a-t-on appris hier. Il s’agira du deuxième spécimen de lézard géant dans le parc yvelinois et en France. Le transfert, sans endormissement, sera délicat car le varan de Komodo (du nom de l’île de Komodo, en Indonésie) est réputé dangereux pour l’homme. Baptisé Arang, il tiendra compagnie à Potovra, une femelle de 7 ans. «L’objectif n’est pas qu’ils se reproduisent», explique Paul de La Panouse, fondateur du zoo de Thoiry.  Les deux reptiles sont en effet de la même famille et la présence d’Arang vise à réhabituer la femelle – solitaire depuis près de deux ans – à la présence d’un mâle, avant l’arrivée prochaine d’un reproducteur. Source
  13. Face au risque de comportement «cruel et inhumain», l'Australie renonce au projet de safaris payants. Les associations de défense des animaux ont remporté une victoire. Le crocodile marin (Crocodylus porosus) vit dans les marais et les rivières des régions côtières du nord du pays. Image: DR L'Australie a renoncé jeudi à son projet de safaris aux crocodiles marins, ces énormes reptiles qui peuplent le nord du pays, estimant que les chasses payantes encourageraient un comportement «cruel et inhumain». Le gouvernement précédent avait remis à l'ordre du jour ce projet controversé, en juin 2012. Il prévoyait l'organisation de safaris payants dans le Territoire du Nord (centre-nord), avec un quota annuel d'une cinquantaine de prises. Le ministre de l'Environnement du nouveau gouvernement, Greg Hunt, a indiqué que ces chasses au trophée n'étaient pas appropriées. «Je pense qu'il y a un risque de traitement cruel et inhumain», a-t-il dit à la presse. Création d'emplois Les défenseurs du projet, dont le gouvernement du Territoire du Nord, arguaient que quelque 500 crocodiles marins (baptisés «salties») sont abattus chaque année de toute façon. Des safaris seraient donc simplement une autre manière de contrôler leur population, selon eux. Ces chasses seraient créatrices d'emplois et de revenus pour les populations aborigènes qui vivent dans cette région peu peuplée, ajoutaient-ils. Le gouvernement du Territoire a estimé que la décision du gouvernement fédéral était «à courte vue et mal étayée». «Greg Hunt n'écoute pas les bonnes personnes. Il doit écouter ceux qui vivent sur place, dans le bush. Il a pris la mauvaise décision», a regretté Bess Price, ministre des Parcs et de la faute et la flore du Territoire. Signal aux touristes Les associations de protection de la nature ont milité contre l'aboutissement de ce projet, qui aurait, selon eux, envoyé un mauvais signal aux touristes venant dans cette région célèbre pour ses paysages sauvages et intacts. Ce projet de «safari aux salties» est régulièrement envisagé en Australie, avant d'être non moins régulièrement abandonné. Le crocodile marin (Crocodylus porosus) vit dans les marais et les rivières des régions côtières du nord du pays, et tolèrent aussi bien l'eau salée que l'eau douce. Leur poids peut atteindre une tonne, ce qui en fait le plus gros reptile vivant. Une à deux personnes succombent chaque année à une attaque de ces animaux.Espèce protégée depuis les années 70, elle n'est plus considérée comme menacée. La population dépasse 150.000 individus en Australie. Reportage sur le sujet (Juin 2012) Source
  14. Les animaux sont généralement perturbés lorsqu'il découvrent leur reflet. Et apparemment, les araignées n'échappent pas à cette règle. Cette araignée a l'air bien surprise. Mais qu'a-t-elle bien pu découvrir ? par Ohmymag Ah les araignées, ces petites créatures à huit pattes qui arrivent toujours à nous effrayer lorsqu'on les découvre au détour d'un couloir, en train de tisser tranquillement leur toile comme si de rien n'était. Et si on adore les détester, on se rend vite compte que ces bestioles sont très intéressantes lorsqu'on prend le temps de les observer. Cette petite araignée jaune et noire du joli nom de "Mopsus mormon" a été filmée en Australie, dans le Queensland. Lorsque des touristes ont aperçu la créature en train de se promener sur un tronc d'arbre, ils ont décidé de la filmer. L'araignée découvre ainsi son reflet dans l'objectif de l'appareil et ne sait pas vraiment comment réagir. Elle se tient face à la caméra, se haussant sur ses pattes comme pour mieux se regarder. Elle reprend son chemin, avançant avec prudence avant de se retourner et de découvrir, stupéfaite, que cet intrus est toujours là. Elle se met alors à avancer beaucoup plus vite comme pour essayer de fuir cette autre araignée qui est apparue de nulle part. Source
  15. Au cours d'une expédition pédagogique avec des étudiants de l'Université Palacky d'Olomouc, les chercheurs ont par hasard découvert une nouvelle espèce de Zoraptera, un invertébré similaire aux termites. Jusqu'à présent, seulement 39 espèces de cet insecte ont été recensées dans le monde, et c'est la première fois qu'on en découvre un membre à Bornéo. Selon Tomas Kuras, Maître de Conférences au Département d'Ecologie, Faculté des Sciences de l'Université Palacky d'Olomouc, cela correspond, pour un entomologiste, à la découverte d'une nouvelle espèce de primate ou de félin. L'expédition, menée en partenariat entre l'Université Palacky d'Olomouc et l'Université d'Ostrava, avait pour but principal d'enseigner aux étudiants à conduire des recherches dans un écosystème particulier d'une forêt tropicale. Les scientifiques ont donc commencé à décrire la nouvelle espèce, dont un spécimen a pu être capturé dans le parc national d'Ulu Temburong. Contrairement aux autres espèces connues, qui vivent dans les feuilles vertes dont ils se nourrissent, cette espèce vit dans la couche d'humus formée par les feuilles mortes sur le sol de la forêt. La cohabitation de ces termites avec une espèce de perce-oreille, inhabituelle chez ce type d'insectes selon Petr Kocarek, zoologiste à l'Université d'Ostrava, a aussi été observée. Martin Dancak, botaniste ayant participé à la découverte d'une nouvelle espèce de plante au cours de l'expédition de 2013 (reportée dans le BE 32), a cette fois-ci découvert une nouvelle espèce avec ses collaborateurs, qui se présente sous la forme d'une petite plante de couleur violette, présentant généralement une petite fleur. Selon lui, il sera relativement difficile de déterminer sa taxonomie précise, et il sera nécessaire pour cela de conduire des recherches sur tout le genre présent en Asie du Sud-Est. Source
  16. Le directeur provincial de l’office des routes du Bandundu, Nsakala, a échappé, à la morsure d’une vipère qui est montée brusquement sur le tableau de bord de sa jeep pendant qu’il roulait à 60 Km à l’heure, à destination de l’hôpital général où il se rendait pour des soins de santé. C’est ce qu’a indiqué mercredi à l’ACP le président de la société civile de cette province, Prosper Ndjore Nzambibe. Selon la source, ce serpent très venimeux qui s’était caché de bonne heure sous les sièges du pick-up a été apeuré par les secousses du véhicule en déplacement et a cherché une issue de sortie. Au niveau du bâtiment de la Cour d’Appel situé sur l’avenue Lumumba. La vipère est montée sur le tableau de bord et a crée une panique chez le conducteur Nsakala qui a lâché le volant et s’est mis débout sur le siège de conduite, criant plusieurs fois et à forte voix « au nom de Jésus, sans effets ». Le volant n’étant plus maîtrisé, le véhicule a fini sa course dans un caniveau, dans un choc violent qui a provoqué la crevaison d’un des pneus de devant mais le conducteur en est sorti indemne. Les gens ont accouru pour le secours et aspergé de l’essence dans le véhicule pour obliger la vipère de sortir parce qu’il s’était encore dissimulé, a indiqué la source qui a fait savoir que généralement les serpents supportent mal l’odeur de ce carburant. Aussitôt sortie de sa cache, la vipère a été tuée et incendiée, a conclu M. Ndjore qui a rejeté les différentes thèses superstitieuses avancées dans les commentaires à travers la ville avant d’établir un lien de causalité entre la vipère que le surveillant du jour avait vu et raté de tuer tôt le matin sur une haie vive de la parcelle du directeur provincial de l’office des routes et celle qui s’est retrouvée dans la jeep dont les portières étaient restées ouvertes après le nettoyage. Il importe de rappeler qu’un gros boa avait semé la panique à la direction provinciale des impôts dans la ville de Bandundu dans la première quinzaine du mois de mars en cours avant de disparaître mystérieusement. ACP Source
  17. Deux des plus grands prédateurs se livrent à un jeu d'intimidation très impressionnant. Ce lion et ce crocodile cherchent à s'intimider. Qui sera le plus courageux ? par Ohmymag Le lion est le roi de la jungle, et il compte bien le rester. Tandis qu'il mangeait un hippopotame mort au bord de l'eau avec plusieurs tigres, le félin à la crinière a vu arriver un crocodile envieux du festin. Les tigres ont d'abord tenté d'éloigner le pique-assiette, sans résultat. Qu'à cela ne tienne, le lion doit alors s'en mêler. Et face à lui, le crocodile prend soudainement peur et n'insiste pas quand le lion se met à rugir. Une démonstration de force des plus impressionnantes ! Source
  18. Deux prédateurs se battant pour leur proie est un spectacle qui vaut le détour. Le photographe Richard Chew a ainsi réussi à capturer le combat entre une lionne et un crocodile, se disputant le corps d'un hippopotame mort, dans la réserve naturelle Maasai Mara, au Kenya. Une lionne s'attaque à des crocodiles pour récupérer son repas... un hippopotame par Gentside Découverte L'appel du ventre aurait-il fait oublier à cette lionne son instinct de prudence ? Dans un parfait exemple de la nature en action, une lionne affamée s'est attaquée à tout un groupe de crocodiles. Coups de griffes, claquements de mâchoires, tout était bon pour s'assurer de la prise du corps d'un hippopotame, décédé depuis quelques heures. Bien que seul face à plusieurs reptiles, l'intrépide félin s'est précipité vers le groupe de crocodiles, afin de les repousser loin du corps retourné de l'hippopotame. Ces incroyables images ont été réalisées par le photographe Richard Chew, dans la réserve Maasai Mara, au Kenya. Elles montrent notamment la confrontation entre les deux prédateurs, afin de gagner un morceau de viande. La lionne, accompagnée dans sa chasse par un mâle, avait été observée, plus tôt dans la journée, sur l'autre rive de la rivière. Elle observait déjà avec envie le corps sans vie de l'hippopotame, les quatre pattes en l'air. Ce dernier avait succombé la nuit précédente mais son corps n'avait encore été revendiqué par aucun prédateur. Confrontation prédatrice Au moment où la lionne et son compagnon sont enfin parvenus à atteindre le corps de l'hippopotame, celui-ci intéressait déjà de très près un groupe de crocodiles. Richard Chew, photographe semi-professionnel, en vacances au Kenya, détaille : "les deux lions ont repéré l'hippopotame les premiers mais ne pouvaient pas l'atteindre, puisqu'ils étaient du mauvais côté de la rivière", rapporte l'Express. Dépités, les deux félins sont rapidement partis à la recherche d'une autre proie. Quelle n'a donc pas été la surprise de Richard Chew lorsque, quelques heures plus tard, les lions avaient réussi à atteindre la bonne rive et se battaient contre 15 crocodiles pour un repas. "Ils étaient vraiment sans peur". Il faut dire aussi qu'un hippopotame adulte peut peser jusqu'à 3 tonnes, une belle quantité de viande pour des prédateurs en quête de repas. "L'eau était pleine de crocodiles qui voulaient tous un morceau de l'hippopotame, mais les lions ont bien défendu leur part. C'était incroyable de voir la chaîne alimentaire de la vie sauvage en action", explique-t-il. Selon lui, même l'homme qui les guidait, un Kenyan, n'avait jamais vu ça lors de ses périples. Source
  19. Ce mois de mars marque le début d'un merveilleux ballet naturel dans nos contrées, celui des batraciens qui migrent vers leurs lieux de ponte. Pour éviter qu'il ne se transforme en boucherie, des mesures sont prises un peu partout en Wallonie et à Bruxelles. Des bénévoles aident ces animaux à traverser nos routes de nuit, mais Pierre, un ex-bénévole, ne comprend pas pourquoi on ne bloque pas plus souvent les routes concernées. Sa commune, Braives, où une dame est décédée fauchée par un chauffard l'an dernier, lui répond. 25 Mars 2014 06h05 Agrandir Diminuer ImprimerRéagir (4) "Les batraciens sont obligés de traverser nos routes durant leurs migrations nocturnes. Des équipes de bénévoles se mobilisent partout dans le pays pour aider ces amphibiens à franchir les obstacles que les hommes ont construits sur leur parcours. Ces bénévoles devraient être protégés contre les chauffards, par des dispositions communales qui réduisent voire interdisent la circulation automobile pendant cette courte période", nous a écrit Pierre Vignisse via notre page Alertez-nous. "Ce n'est pas le cas à Braives (entre Hannut et Huy, en province de Liège). Notre commune refuse de prendre des dispositions de protections pour ces bénévoles. Une d'elles est décédée le 18 mars 2013, fauchée par un chauffard qui a pris la fuite. Où sont les priorités?", se demandait-il. Ses propres enfants ont failli être renversés Contacté par la rédaction de RTLinfo.be, M. Vignisse nous a raconté son histoire. L’homme habite Hosdent, un "patelin de Latinne", sur la commune de Braives. L’endroit est "une zone qu’on appelle le pays du saule, là où forcément il y a des marais, donc des batraciens." Elle est située en plein Parc naturel des vallées de la Burdinale et de la Mehaigne, "un coin censé devenir touristique, en pleine nature". "Durant plusieurs années, j’ai été bénévole et je me suis occupé, avec mes enfants, de faire traverser les routes aux batraciens durant les nuits de fin d’hiver." Il lui est arrivé d’être témoin du comportement incivique de certains automobilistes. "Malgré une signalisation leur interdisant de rouler à plus de 30 km/h, j’ai déjà dû me planter au milieu de la route pour stopper un automobiliste qui refusait de ralentir. Vous savez, les enfants, quand ils repèrent une grenouille, ils foncent et oublient la route." Une mère de famille mortellement fauchée l'an dernier D’ailleurs, ce qui devait arriver arriva. C’était le 18 mars 2013. Viviane Nahon, une mère de famille de 52 ans qui participait au passage des batraciens rue de la Pompe, à Latinne, a été mortellement fauchée par un chauffard qui a pris la fuite et attend aujourd’hui son procès. "Les chicanes ne servent à rien" S’il ne participe plus aux actions, que vous pouvez retrouver sur le site batraciens.be -réalisé par le Service Public de Wallonie et Natagora pour protéger ceux-ci- M. Vignisse est resté en contact avec des groupes toujours actifs. "Leur dernier message m’a fait réagir. Je m’attendais à ce que cette année, après l’accident mortel, les routes soient totalement fermées. Mais ce n’est pas le cas", regrette-t-il. En effet, la commune de Braives a décidé d’installer dès le 15 mars une chicane temporaire faite de barrières nadar à l’entrée de la rue de la Pompe et d’une autre rue dangereuse ; et de placer des panneaux de signalisation sur 3 autres sites de passage des batraciens. Pas suffisant, selon notre témoin. Outre le fait que les batraciens sont en avance avec le beau temps que nous connaissons, "honnêtement, les chicanes ne servent à rien", estime M. Vignisse. "Si c’est une vraie chicane, rapprochée et qui empêche les voitures de couper en diagonale, alors ok. Mais avec 600 mètres de route, rien n’empêche les chauffards d’accélérer après." Pourquoi Aywaille parvient à bloquer ses rues et pas les autres communes? Pour lui, une seule solution: "Je crois que le mieux et le plus simple, c’est de fermer la route. On la bloque bien pour des courses cycliste de jour, alors que les bénévoles qui aident le font la nuit. Je ne vois pas ce qui les en empêche, à Braives ou dans n’importe quelle autre commune. D’autant que si les routes étaient fermées dans ces moments-là, les gens ne seraient plus obligés d’aider les batraciens à traverser, ils connaissent leur chemin ! Chez nous, le détour engendré par une déviation ne serait qu’un kilomètre plus long. Si Aywaille le fait, pourquoi n’est-ce pas possible ici ?" Des routes importantes pour circuler entre les villages: impossible de les bloquer A la commune de Braives, suite à l’accident mortel de l’année dernière, "le collège communal a été très attentif à cette problématique", nous a expliqué Thomas Laruelle, le directeur de l’administration communale. Il tenait cependant à rappeler que cet accident aurait pu arriver n’importe où, puisque le conducteur qui a mortellement fauché Mme Nahon était ivre. Pour rassurer la population, "il y a eu une réunion qui a été organisée" en ce début d’année. Etaient présents les organisateurs des actions, les riverains des rues concernées, les représentants communaux et des responsables de la Région wallonne, "qui a d’ailleurs édité une brochure sur les mesures à prendre dans laquelle il est bien spécifié qu’un blocage des routes n’est presque jamais conseillé". Lors de cette réunion, "il a été convenu de prendre comme mesures de protection l’installation de chicanes accompagnées de panneaux avertisseurs. Une solution qui agréait toutes les parties", rappelait M. Laruelle. Concrètement, la raison pour laquelle certaines routes de la commune ne sont pas bloquées est pragmatique: "C’est un problème de mobilité. Les routes concernées sont des liens de transit entre les différents villages. Les bloquer complètement aurait été impossible et le faire de façon aléatoire aurait également posé des problèmes aux riverains." En effet, si bloquer une route pour une course cycliste dure quelques heures une fois par an, bloquer régulièrement l'accès à un village durant des semaines est plus problématique. Source
  20. Elle a beau être rouge vif, on ne la repère pas si facilement ! Tana, la grenouille tomate (Dyscophus guineti) est une adepte du cache-cache. Elle fait partie des animaux à parrainer de la biozone Madagascar. Tana, la grenouille tomate (Dyscophus guineti) arrivée tout droit de Nordens Ark, en Suède, est un spécimen d'amphibiens de la famille des Microhylidés, endémique de Madagascar. Adepte du cache-cache, elle adore se camoufler dans les nombreux trous qu'elle s'est construits dans son terrarium et pointe de temps à autres son museau à l'extérieur. Une appellation erronée S'il est coutume de l'appeler "grenouille tomate", elle varie en réalité entre le rouge vif, le jaune et le marron orangé. Sur son dos se dessinent deux bandes noires qui viennent habiller un ventre de couleur blanc immaculé. Ce sont des grenouilles dites trapues et massives qui mesurent entre 6 cm pour les mâles et jusqu'à 10 cm pour les femelles. Les femelles peuvent pondre jusqu’à 1 500 œufs de couleur blanche et noire ! Ils éclosent dans les 36 ou 48 heures. La métamorphose complète des têtards se fait en 45 jours. C'est un animal nocturne et discret, qui passe le plus clair de son temps camoufler dans des anfractuosités, préférant la tranquillité de la pénombre et la fraicheur de l'humidité souterraine. L'espèce est considérée comme "presque menacé" par l'UICN, qui s'inquiète des dimensions peu importantes de son aire de répartition, mais remarque la capacité de l'espèce à s'adapter à des milieux perturbés par la présence humaine. Actuellement, c'est essentiellement la pollution qui est la principale menace pour cette espèce. Un système de défense hors du commun Lorsqu'elle se sent menacée, cette grenouille gonfle son corps et exhibe sa couleur, plus vive chez la femelle. Rouge de colère, sa peau sécrète une toxine qui n’est pas dangereuse mais irritante et gluante et qui colle aux dents des prédateurs qui tenteraient de l’attraper. Pour parrainer Tana, c'est par ici. Source
  21. Une peau lisse aux tons bruns, un joli petit masque… La grenouille rousse est la pépite du futur écoquartier de Louvroil, dont elle déterminera la forme. Portrait de la belle des zones humides. Entre la grenouille rousse et les crapauds, y’a pas photo. Esthétiquement parlant s’entend. La première a été repérée par l’écologue du cabinet Houyez, chargé de scruter la faune et la flore, pendant quatre saisons, sur le site du futur écoquartier. Cette étude est une étape incontournable pour les candidats au label national ÉcoQuartier. « L’écologue passe des heures, voire des journées sans bouger, pour observer et répertorier la faune de la zone humide », décrit Joëlle Auquiert, adjointe louvroilienne à l’environnement. C’est comme cela qu’il a rencontré la grenouille rousse. « On l’appelle ainsi parce qu’elle est plutôt marron. Contrairement aux crapauds, elle a la peau très lisse et un masque qui forme deux bandeaux noirs sur ses yeux », décrit Frédéric Vautravers, du Centre permanent d’initiative pour l’environnement (CPIE) Bocage de l’Avesnois. Elle a aussi la particularité d’être l’un des seuls batraciens à sortir en plein jour, à cette période de l’année. « L’hiver a été doux, la période de ponte vient de débuter », annonce-t-il. Plutôt amatrice de zones forestières, la grenouille peut aussi très bien traverser une prairie pour aller vivre sous une haie. D’où son coup de cœur pour le site louvroilien. Dans cette zone, « il y a des haies bocagères. Elles n’ont pas été taillées depuis des années. Cette absence d’intervention de l’homme fait que le lieu est devenu original », souligne l’élue. Adepte du calme, la grenouille a adopté l’endroit dont les mares offrent un endroit propice à la ponte. « Elle est très sensible, puisqu’elle dépend des zones humides », avertit Frédéric Vautravers. Alors, comme celles-ci (et les batraciens en général), elle est protégée. Du coup, l’envie de la municipalité de « remettre en valeur les mares, comme le rappelle Joëlle Auquiert, tombe à pic. L’écoquartier sera ce que la nature nous donne. C’est une belle surprise. Le genre de chose qu’il faut exploiter ». Comprendre préserver. En clair, tout faire pour que la belle du champ ait une paix royale. Des logements autour d’un «cœur de nature» L’étude environnementale du site du futur écoquartier se terminera ce printemps. Elle permettra de déterminer où devraient être construits quelque 300 logements, accompagnés de commerces. Pour l’instant, il est question de regrouper les habitations autour d’un « cœur de nature », de façon à préserver les espèces qui s’y plaisent, sous réserve des découvertes qui pourraient encore se faire sur ces franges. À terme, Annick Mattighello, maire, verrait bien un jardin botanique et pédagogique, avec une passerelle. Elle permettrait de passer au-dessus de la zone humide, sans déranger trop la faune, ni écraser la flore. Dans cette optique, l’éclairage fera lui aussi l’objet d’une attention particulière. La serre municipale pourrait aussi déménager par-là et s’accompagner d’un jardin atelier. « La serre est déjà utilisée par les habitants qui viennent de plus en plus nombreux assister aux portes ouvertes », ajoute Joëlle Auquiert. Quant à la circulation automobile au sein de l’écoquartier, elle serait très encadrée et limitée. En quantité, mais aussi du point de vue de la vitesse, qui pourrait être limitée à 10 km/h. En revanche, l’accent sera mis sur le transport collectif régulier, grâce à un site propre, et les moyens de déplacements alternatifs, comme le vélo. Rattaché au centre historique, « afin de ne pas en faire un quartier bobo » mais au contraire un pôle privilégiant la mixité, il devrait aussi « faire un lien avec le lac du Paradis, pour rallier sa coulée verte », ajoute Patrick Viltart, adjoint aux travaux. Si tout se passe bien, les premiers coups de pioche seront donnés début 2015. 12,5 ha à découvrir Le site du futur écoquartier s’étend sur 12,5 ha, entre la rue Vicaine, la résidence du Pot-d’Argent et la route d’Avesnes. La municipalité louvroilienne s’est toujours doutée que des petites bêtes devaient y vivre, ne serait-ce qu’en raison de la présence des haies bocagères et d’une zone humide, dont la surface exacte reste encore à déterminer. Le côté nature du site, jusque-là préservé, fait qu’il offre le gîte et le couvert au triton alpestre, à des chauves-souris… D’où le choix de travailler sous la forme d’une ZAC, « plus réglementée » que lors de la construction d’un lotissement, comme le souligne Patrick Viltart, adjoint aux travaux. Source
  22. Au début des années 80, Jean-Luc Dumont s'est découvert une étrange passion, celle de récupérer les toiles d'araignée pour les encadrer. « Le moment le plus délicat, c'est lorsque l'on cueille la toile dans la nature » détaille ce morlaisien. Et le résultat de son travail est plutôt surprenant ! « Ma démarche est à la fois artistique et pédagogique afin de faire prendre conscience aux gens qu'il y a des choses sublimes dans la nature. Et qu'on ne sait pas forcément bien les regarder ». Pratique. Il participe à de nombreux rendez-vous en Bretagne qui sont en lien avec la nature. Il sera notamment au domaine de Trévarez à St Goazec, les 29 et 30 mars à l'occasion de l'événement « Trévarez en camélia ». Source
  23. Une espèce de tortue endémique du Centre du Vietnam sera élevée dans un centre de conservation à Quang Ngai (Centre), dans un milieu naturel reconstitué. Selon Nguyên Van Hân, chef du Service forestier de Quang Ngai, ce dernier collabore actuellement avec l’Institut d’écologie du Sud et le Programme de protection des tortues d'Asie pour créer un centre de conservation d’une tortue rare connue exclusivement dans le Centre du pays. Celle-ci, Mauremys annamensis ou plus communément l’Emyde de l'Annam ou tortue feuille d'Annam, est endémique au Centre du Vietnam et est menacée d'extinction. Selon M. Hân, ce centre s’étendra sur plus de 8 ha des communes de Binh Minh et Binh Khuong, dans le district de Binh Son de la province de Quang Ngai. Selon les spécialistes, Quang Ngai est la seule localité dont les conditions naturelles conviennent pleinement à l’Emyde de l'Annam. «Environ 200 individus vivant dans le Centre de conservation des tortues du Parc national de Cúc Phuong (Ninh Binh) seront transférés à Quang Ngai afin de leur permettre de se reproduire en milieu naturel», a précisé M. Hân. L'émyde de l'Annam est une espèce qui vit seulement dans les zones d’eau douce de quelques provinces du Centre. Selon Bùi Dang Phong, directeur du Centre de conservation des tortues du Parc national de Cúc Phuong, le Vietnam abrite une trentaine d'espèces de tortues, ce qui représente 10% de toutes les espèces recensées dans le monde. L'émyde de l'Annam, ou tortue feuille d'Annam, est de taille moyenne. Elle est présente uniquement au Centre du Vietnam où elle vit dans les zones humides de plaines inondées. Les informations disponibles découlant des études de terrain montrent que cette espèce était assez commune jusqu'au début ou au milieu des années 1990. Elle est vulnérable à la surexploitation, en particulier des adultes. Au Vietnam, la tortue est protégée par la loi contre toute forme d'exploitation. -VNA Source
  24. Un petit matin tranquille dans le delta des rivières Tensaw et Mobile, au sud de l'Alabama. Un alligator prend un bain de soleil. Prière de ne pas déranger. (Mobile, Alabama) Faire du kayak dans le delta Mobile-Tensaw, dans le sud de l'Alabama, c'est un peu comme faire du kayak aux îles de Boucherville. À une ou deux différences près: au lieu de voir des castors, on voit des ragondins. Et au lieu d'apercevoir des ouaouarons, on aperçoit des serpents venimeux et des alligators. Ça rend la balade quelque peu excitante. Le delta Mobile-Tensaw comprend cinq rivières: l'Apalachee, la Spanish et la Blakeley s'ajoutent aux rivières Tensaw et Mobile. Avec l'argent des taxes provenant de l'exploitation pétrolière dans le golfe du Mexique, l'Alabama a créé le 5 Rivers Delta Resource Center à Fort Spanish, un centre d'information et d'éducation à une douzaine de kilomètres à l'est de Mobile. Un concessionnaire, Delta Safaris, offre diverses excursions en bateau et en kayak pour explorer l'endroit. À peine sur l'eau, Chris, notre guide, attire notre attention sur un secteur où la végétation semble ravagée. C'est la faute du ragondin, une sorte de gros rongeur aquatique qui mange la racine des végétaux et laisse le reste pourrir. Le ragondin n'est pas une espèce locale, mais sud-américaine. Il a été introduit dans le sud des États-Unis pour sa fourrure, presque aussi belle et épaisse que celle du castor. Mais voilà, il se reproduit à une vitesse folle et dévaste son habitat, ce qui nuit aux espèces locales. Heureusement, le delta a le parfait prédateur sous la main: l'alligator. Pendant longtemps, ce reptile a été en danger d'extinction dans la région en raison d'une chasse débridée et de l'empoisonnement à l'insecticide DDT. Mais des mesures ont été prises pour le protéger et limiter l'usage du DDT. Et voilà, l'alligator est revenu en force et croque maintenant du ragondin pour son petit-déjeuner. Malheureusement, il fait particulièrement froid en cette matinée d'hiver et les belligérants sont demeurés dans leurs terriers respectifs. Chris nous raconte toutefois tout ce qu'il faut savoir sur ces animaux. Comme le fait que l'alligator se cache dans la vase pendant les grands froids en s'enfonçant queue en premier. Donc, si on voit un trou, il est préférable de ne pas y mettre la main... Vous avez dit poule d'eau? Les oiseaux sont toutefois au rendez-vous: de grands hérons, des aigrettes, des cormorans. Et un drôle d'oiseau noir à l'oeil rouge. Dans son anglais teinté d'un bel accent du Sud, Chris indique qu'ici, on appelle cet oiseau le «pooldoo». Ce sont les Cajuns qui lui donnaient ce nom, ils l'utilisaient notamment dans leur gombo (un plat traditionnel), explique-t-il. Bien sûr! La poule d'eau! Qu'on connaît bien grâce au roman de Gabrielle Roy! Le foulque d'Amérique (son nom officiel) n'est toutefois pas particulièrement sympathique, poursuit Chris. Comme la poule d'eau sait qu'elle ne peut pas prendre soin de toute sa progéniture, elle identifie ses préférés (les plus robustes) et écarte les autres à coups de bec, puis les laisse mourir de faim. Le poussin poule d'eau a donc intérêt à être le chouchou de sa maman. Les poules d'eau sont toutefois timides et s'envolent à notre approche. Chris assure que les serpents aussi sont timides. C'est une bonne nouvelle. Sur les 49 espèces de serpents du delta, 6 sont venimeuses, dont la vipère cuivrée, le serpent corail et le mocassin d'eau. Ces reptiles ne nous embêteront pas à bord de nos kayaks, mais si nous mettons pied à terre, nous avons avantage à ne pas leur marcher dessus par inadvertance. La balade en kayak se fait sans incident. Nous terminons la visite au centre d'interprétation du 5 Rivers Delta Resource Center, où nous admirons quelques serpents dans des vivariums. Ils sont merveilleusement beaux... sous verre. Source
  25. Ils sont blancs aux yeux rouges, leurs dents pointues et leur destin tout tracé : les deux alligators albinos qui viennent de débarquer dans la Vienne vont être, à coup sûr, les stars préférées de la Planète des crocodiles. Et le parc de Civaux compte sur eux pour attirer à nouveau le public. Le grand specimen est une femelle âgée de 6 ans. Transportée dans le coffre d’une Audi break, elle arrive tout droit de l’Alligator Bay, le reptilarium de Jean-Pierre Macé, situé près du Mont Saint-Michel. Trois hommes sont nécessaires pour l’extirper de sa caisse qui mesure un bon mètre cinquante. Les premiers pas sont difficiles. Son nouvel environnement ne semble pas lui plaire. « Il lui faudra un temps d’adaptation mais elle s’habituera », assure ce passionné de reptiles. Il a découvert sa vocation tout petit, en jouant avec des serpents inoffensifs dans la campagne bretonne. Quelques minutes suffisent pour la voir évoluer dans l’eau chaude (28°C) de son bassin. « Docteur ès-croc » La Planète des crocodiles est en phase de reconquête. En déficit depuis cinq ans, la serre de Civaux a été reprise, en janvier dernier, par deux grands experts des parcs zoologiques. D’un côté, Luc Fougeirol, cofondateur de la Ferme des crocodiles de Pierrelatte (Drôme) et « docteur ès-croc », consultant pour de nombreux parcs en France et en Afrique du Nord. Il avait d’ailleurs participé à la création de la Planète des crocodiles. De l’autre, Fabrice Thète, ex-directeur adjoint du zoo de Beauval. 150 000€ d’investissement Tous les deux ont déjà engagé plus de 150 000€ dans les travaux d’aménagement de la serre et de l’Ile aux serpents, à La Trimouille, rachetée en même temps. Ils comptent donc beaucoup sur ce nouveau pensionnaire pour attirer de nombreux visiteurs. Mais ce dernier n’est pas leur seul atout. Luc et Fabrice ont également adopté un jeune alligator albinos de 550 grammes, qui tient dans la main. Il sera bientôt sur toutes les affiches de communication. Les enfants devraient en être dingues ! Autant se le dire, il est impossible de le toucher. Mais son enclos original permet de l’observer à la fois sur terre et sous l’eau. Et il n’hésite pas à se coller à la vitre pour se montrer aux visiteurs… Donnez-lui un nom ! Dans les prochains jours, ses « nouveaux parents » proposeront au public de lui choisir un nom. Pour cela, un jeu concours sera ouvert sur place et à travers les réseaux sociaux. « On ne sait pas si c’est un mâle ou une femelle », note Fabrice Thète. Ce qui ne va pas faciliter la tâche des internautes ! En revanche, les patrons aimeraient un nom sans consonance anglaise. A vous de jouer ! Source
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