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Le baiser de Boris Johnson à Georges le crocodile
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le baiser de Boris Johnson à Georges le crocodile Le maire de Londres a rencontré hier George, l'avatar crocodile du Prince George Pour les photographes, Boris Johnson a même donné un baiser au bébé crocodile que lui tendait Adam Giles, le ministre en chef du Territoire du Nord, où le maire de Londres passe ses vacances. C'est une tradition, dans le Territoire du Nord, d'offrir un avatar crocodile aux différents membres de la famille royale britannique.George le bébé crocodile est né le jour de l'annonce de la grossesse de la Duchesse de Cambridge, début décembre. C'est pour cela qu'il a été choisi. Le Prince William et son épouse ont d'ailleurs chacun leur crocodile qui les attend sagement dans un aquarium de Darwin, la capitale du Territoire du Nord.Boris Johnson a encouragé le couple princier à faire le voyage en Australie, « avant que George ne soit transformé en sac à main ». Le maire de Londres a beaucoup apprécié son séjour dans le parc national de Kakadu, où il a pu observer un croco dévorer un poisson barramundi. Source -
Un boa prend l'air au parc du Moulin À la suite du tragique accident qui a causé la mort de deux enfants, à Campbellton au Nouveau-Brunswick, c'est tout le pays qui est sur le qui-vive en matière d'animaux exotiques et le Québec ne fait pas exception. Les citoyens de Repentigny, entre autres, sont plus à l'affût, confirme Daniel Archibald, inspecteur-chef Division du développement stratégique au Service de police de Repentigny.Depuis le 5 août, le Service de police a reçu quatre appels de citoyens rapportant des cas de reptiles possiblement prohibés sur le territoire. « Trois de ces appels étaient fondés et ont mené à la capture de reptiles et à l'émission de constats d'infraction », ajoute Daniel Archibald. Intervention policière Témoin d'une scène assez spéciale, une citoyenne a alerté les autorités, le samedi 17 août en après-midi, car un homme avait sorti un serpent de son sac à dos et le laissait se promener sur la pelouse du parc de l'école du Moulin, situé sur la rue Laurentien à Repentigny.Selon la femme, le reptile, identifié par la suite par les employés du Berger blanc comme appartenant à la famille des boas, mesurait au moins quatre pieds. « C'est un homme dans la quarantaine qui avait décidé de faire prendre l'air à son serpent, pour une raison qu'on ignore. Les policiers l'ont sensibilisé à la réglementation municipale et après vérification [le boa est une espèce interdite à Repentigny], le reptile a été saisi », confirme l'inspecteur-chef. Il ajoute qu'un communiqué a récemment été acheminé aux membres du corps policier de Repentigny afin de les sensibiliser à la réglementation entourant la possession d'animaux exotiques. Source
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NOUVELLE-ÉCOSSE Encore une saisie de python YARMOUTH, N.-É. – Le ministère des Ressources naturelles de Nouvelle-Écosse a saisi lundi un python géant de 5,5 mètres (18 pi) pesant 68 kilos (150 lb), qui avait été découvert dans le comté de Yarmouth.Le reptile a été transporté dans un refuge pour animaux et aucune accusation n’a été déposée jusqu’à maintenant, selon le porte-parole du ministère, Bruce Nunn.«En raison de l’enquête en cours, nous ne pouvons pas donner plus de détails pour l’instant», a dit M. Nunn.Plusieurs animaux exotiques incluant plusieurs douzaines de pythons ont été saisis à travers le pays depuis les décès tragiques des deux frères Noah et Connor Barthes, âgés respectivement de quatre et six ans. Les enfants avaient été asphyxiés dans la nuit du 5 août par un python africain s’étant échappé de sa cage.Le 15 août dernier, les autorités ont saisi 46 pythons dans un domicile de Colombie-Britannique et ont procédé à leur euthanasie. Le même jour, 40 autres pythons ont été trouvés dans des bacs de rangement dans un motel de Brantford, en Ontario. À ceci s’ajoutent les 45 autres reptiles, parmi lesquels un alligator de 1,5 mètre (5 pieds), saisis lundi dans une résidence de Cobden, en Ontario. Source
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Cet irrésistible besoin de toucher les serpents A Saint-Pompain, Laurent Foucher veille sur une femelle boa constrictor imperator. Ça a commencé quand il était môme, avec les couleuvres.Le gamin a des culottes courtes et la goule éblouie par le triomphe. Sa mère ne distingue que sa silhouette à contre-jour dans l'embrasure de la porte, mais elle comprend sans peine que son petit Laurent vient de recommencer. Il a dû aller traîner dans les champs du Mellois. Fier comme un chercheur d'or qui vient de nettoyer sa première pépite, le voilà qui brandit le trophée extirpé au coteau voisin : prisonnière de ses doigts agiles, la petite couleuvre se débat à peine. Encore ?, soupire la mère qui, décidément, ne s'habitue pas à ces captures. Son paternel, lui, n'a même pas cherché à lui faire entendre raison. " Ce n'est pas un animal dangereux mais il faut toujours faire attention "Laurent Foucher est comme ça, depuis qu'il est tout petit, épris d'une irrésistible et inexplicable attirance pour les serpents. « Je cherchais le contact, tente-t-il d'expliquer.Quand je voyais une couleuvre, ou même une vipère, je ne pouvais pas m'empêcher de lui courir après pour la toucher. Quand je pouvais, je t'attrapais et je la ramenais à la maison… »Il ne sait plus exactement à quand ça remonte. Il garde en tête une descente de car lorsqu'il était en primaire. Tous ses camarades marquaient un détour épouvanté pour éviter une bestiole s'agitant dans le talus. Lui ne s'est pas posé de questions : « Je l'ai attrapée, je n'ai pas eu peur. C'était un petit orvet… » Mais Laurent relativise la gloire que d'autres s'empresseraient de tirer de l'exploit : « En même temps, un orvet, ce n'est pas un serpent. Ce n'est rien d'autre qu'un lézard sans pattes… »Cette passion ne l'a jamais lâché, son entourage a fini par s'en accommoder au point d'y trouver avantage : « Un dimanche matin, mon père est venu me réveiller pour que j'attrape une couleuvre entrée dans la maison… »L'affaire est dans le sacIl y a quelques semaines encore, c'est une autre couleuvre qui a eu l'idée saugrenue de lui couper la route. Il a pilé, s'est garé sur le bas-côté, a coursé le serpent qu'il n'a eu aucun mal à saisir (« Ce n'est pas compliqué : par le bout de la queue puis juste derrière la tête »). « Je l'ai ramenée dans un sac. » Laurent concède son imprudence. « Je n'avais rien pour fermer le sac, je ne pouvais pas le lâcher, il a fallu que je le garde serré. J'ai conduit d'une seule main… »En 1998, Laurent passe la vitesse supérieure. Et s'offre un python royal. Puis une jeune femelle boa constrictor. « Que j'ai eu du mal à garder : je ne m'étais pas assez informé, je ne l'ai pas nourrie comme il fallait. » La goulue s'était étouffée avec le repas du jour : une souris adulte. « J'aurais dû lui donner des bébés souris. »En bandoulièreQuelque temps plus tard, c'est au fond d'un paquet enrubanné de bolduc qu'il a découvert son nouveau boa constrictor. Cadeau de ses amis pour son anniversaire. C'était il y a douze ans. Aujourd'hui, le cadeau mesure 2,50 mètres et passe le plus clair de son temps dans son terrarium. « Je ne la sors pas plus d'une fois par mois. Ou quand des amis veulent la voir. Ce n'est pas un jeu. »Laurent ne porte alors son boa qu'en bandoulière. Même en bandoulière, le temps de la séance photos, l'animal accentue naturellement sa pression, Laurent le sent, on le voit rougir un peu sous l'effet de la strangulation. D'une main ferme, il se dégage calmement de l'emprise… « Ce n'est pas un animal dangereux, maintient-il, mais il y a des précautions à prendre. Il faut toujours se méfier, et absolument éviter qu'elle fasse un tour complet. » Il ne le dit plus, mais Laurent aimerait un ou deux autres serpents. Il a renoncé. Son épouse Tatiana n'en tolérera jamais deux. Source
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Villers-le-Bouillet: il laissait son boa constrictor de 2m60 dans son jardin, la police le saisit La saisie de cette femelle boa par des hommes de la police de la zone Meuse-Hesbaye a eu lieu ce vendredi, dans la matinée au clos de la Panneterie à Villers-le-Bouillet. Son jeune propriétaire, Terry Lenoir, 28 ans, la détenait illégalement depuis 3 ans. Il ignorait dit-il qu’il fallait un permis et n’hésitait pas à se balader dans son quartier avec le boa enroulé autour de ses épaules. Quelques semaines avant la saisie, des rumeurs ont commencé à circuler dans le clos de la Panneterie. « On m’avait dit qu’une pétition circulait contre moi. Je m’étais dit que si c’était le cas, je revendrais mon boa. », raconte Terry Lenoir qui se remet difficilement de la séparation d’avec son reptile qu’il avait baptisé Xéna , du nom de la série télévisée Xéna la guerrière.Terry n’en a pas eu le temps. Quelques jours plus tard, les événements se sont précipités. « Suite à une rage de dents, j’avais abusé des médicaments. J’ai complètement perdu les pédales. Ma mère a paniqué et appelé les secours. Quand les ambulanciers sont arrivés, j’étais complètement dans le gaz. Je suis descendu de ma chambre avec le boa sur les épaules. Je ne savais plus ce que je faisais. La tête du reptile était à 1 m de la leur. Ils ont paniqué et pris la fuite avant d’alerter les pompiers ».Une enquête de voisinage a été immédiatement diligentée qui a abouti ce vendredi, faute d’autorisation légale, à la saisie du serpent qui a été confié aux soins de l’ASBL Crusoé, le Centre de Revalidation Universitaire de Soins et d’Observation Exotique, au Sart-Tilman. Son directeur Tony Lo Bianco, était présent lors de la descente au domicile du jeune Terry. « Outre l’absence de permis, les conditions de détention n’étaient pas idéales. Le terrarium faisait à peine 1 mètre alors que le serpent avait déjà une taille de 2m60 (sa taille adulte se situe entre 3m et 3m50), la température de l’habitat n’était pas assez élevée, 22º alors qu’idéalement, elle doit être à 40º. Pareil pour l’humidité. Un serpent a besoin de 80 % d’humidité, C’était loin d’être le cas ».Le reptile n’avait plus mangé depuis deux semaines. « Ce qui n’est pas un problème pour un boa qui peut jeûner pendant deux mois mais il faut être vigilant car cela peut le rendre agressif », rappelle le directeur de Crusoé.Ce sont en tous cas des manquements que Tony Lo Bianco constate souvent. La folie des NAC, nouveaux animaux de compagnie… Depuis longtemps, il plaide pour une formation des propriétaires. Cette récente actualité lui donne encore une fois raison… Source
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Des dragons barbus, des serpents et un alligator saisis
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Des dragons barbus, des serpents et un alligator saisis Quarante-cinq reptiles, dont des dragons barbus et un alligator, ont été évacués d'une propriété insalubre de Cobden, aussi connu comme étant le village d'origine du lion Boomer, ce lionceau qui s'était échappé de son gardien, près de Maniwaki, en 2008.La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de l'Ontario a saisi de nombreux animaux exotiques, lundi. Selon l'organisme, les animaux gardés sur la propriété de Cobden, à 115 kilomètres à l'ouest d'Ottawa, vivaient dans «des conditions de vie malsaines et sans soins adéquats».Des dragons barbus, ou pogonas, ainsi que des serpents et des lézards de toutes sortes ont été embarqués dans les camions de la SPCA de l'Ontario. Les agents ont dû travailler avec beaucoup de précautions en mettant la main sur un alligator américain. Puisque l'enquête est toujours en cours, la SPCA de l'Ontario tait le nom du propriétaire fautif, refusant d'indiquer s'il s'agit ou non de l'ex-propriétaire de Boomer. «L'enquête de la SPCA se poursuit», s'est contenté de dire un porte-parole, mardi.Boomer est parti en cavale pendant quelques jours, avant d'être capturé dans la réserve Kitigan Zibi. Il était l'animal domestique d'une famille de Cobden. Dennis Day et sa conjointe Sonya Eady ont affirmé, lorsque les autorités leur ont enlevé l'animal, qu'ils avaient accueilli Boomer alors qu'il n'était âgé que de quelques jours. Il proviendrait d'un jardin zoologique de l'Ontario. «Il restait avec nous dans la maison, parce que comme il n'était qu'un bébé, nous ne pouvions pas le laisser à l'extérieur», avait alors expliqué Mme Eady.Les services sociaux de l'Ontario ont forcé la famille à se départir de l'animal, pour assurer la sécurité des enfants. Il a été confié aux gardiens du Zoo de Granby jusqu'en 2011, avant de prendre la direction du Greater Vancouver Zoo.Python du Nouveau-BrunswickDans la foulée du drame dans lequel deux enfants ont été tués par un python, au début du mois, au Nouveau-Brunswick, la ministre de la Sécurité communautaire et des Services correctionnels de l'Ontario, Madeleine Meilleur a rappelé que les règlements sur les animaux exotiques étaient de compétence municipale.La SPCA se dit interpellée par une nouvelle réglementation visant à uniformiser les lois sur les animaux exotiques à la grandeur de la province.En 2011, la SPCA de l'Ontario a saisi une impressionnante collection de crocodiles, dont deux albinos, à Welland, près de Niagara Falls. Source -
Les tortues marines en danger à Madagascar L’Express de Madagascar tire la sonnette d’alarme face à « la silencieuse agonie des tortues marines du sud-ouest » de la Grande île. Jusqu’à 5 à 6 tortues marines sont tuées chaque jour pour leur viande. Les tortues marines font l’objet d’une capture intensive à Toliara, où la vente et la consommation de ces espèces protégées ont repris de plus belle, au nez et à la barbe des autorités locales, incapables d’appliquer la législation en vigueur. Rien que dans cette ville du sud-ouest de Madagascar, entre cinq à six tortues marines sont tuées chaque jour pour leur viande. De nombreuses gargotes proposent à leurs clients ce plat, tandis que des marchands ambulants en vendent dans les marchés en toute impunité, comme le relate L’Express de Madagascar, qui cite Gaëtan Tovondray, de l’Organisation mondiale de la protection de l’environnement (WWF) de Toliara. « Lors des manifestations politiques, des orateurs avaient incité les gens à la désobéissance civile, y compris la bravade des interdictions sur la consommation des fano (tortues marines, ndlr), une habitude alimentaire locale », raconte un habitant de Tuléar. Autrement dit, malheur aux tortues marines qui s’aventureraient dans les eaux malgaches, elles finiront dans les assiettes de la population locale. « Des scientifiques, venant d’autres pays, marquent les tortues marines, afin d’étudier leur mouvement migratoire. Mais ces tortues disparaissent après leur passage à Madagascar. Cela veut dire que ces tortues sont tuées », déplore Tiana Andriambola, chef de service des opérations et de communication auprès du Centre de surveillance des pêches (CSP). Le sud-ouest de la grande-île est devenu une zone de non-droit pour les tortues marines, contrairement au reste du pays. « Contrairement à la gestion du cas du Nord-ouest de l’Île, nous n’intervenons pas dans le Sud-ouest dans cette condition », affirme Tiana Andriambola, qui assiste impuissant aux infractions quasi-quotidiennes. « Des vendeurs de viande de tortue marine opèrent juste à côté du camp de la gendarmerie. Cela veut tout dire… », lâche-t-il. « Les tortues marine deviennent un outil politique », observe-t-il. Pourtant, au regard de la loi malgache, « la seule détention de tortues marines constitue une infraction », passible d’une peine de prison, allant de six mois à deux ans ainsi que des amendes pouvant atteindre 10 à 50 millions d’ariary (3 500 à 17 800 euros). Les tortues marines font les frais de l’appétit insatiable des habitants en raison du manque des moyens destinés à leur protection. Il « serait incongru d’affirmer que les moyens déployés sont suffisants pour lutter contre ce trafic, vu l’étendue de la zone et le mode opératoire des contrevenants qui exploitent les failles du système », explique Lovasoa Dresy, directeur de parc à Madagascar national park (MNP) à Toliara. Ce responsable environnemental évoque d’autres facteurs rendant difficile la lutte contre le trafic des tortues marines, à savoir, « le manque de volonté politique pour stopper cette commercialisation » ainsi que l’« absence de synergie entre toutes les entités ». Pour justifier leur immobilisme face au danger qui guette ces reptiles, les forces de l’ordre mettent en en avant la « méconnaissance » de la loi. « Les gendarmes ignorent que les tortues marines sont aussi protégées comme les tortues terrestres. Les responsables devraient nous en informer car nous ne sommes pas au courant [des textes sur l’interdiction de capture, de transport et de vente des tortues marines] », confie à L’Express de Madagascar une source anonyme auprès de la Circonscription interrégionale de la gendarmerie à Toliara. Pour sa part, Victor Razaka, directeur régional du ministère de l’Environnement et des forêts dans le Sud-ouest, relève le « flou » qui entoure les textes régissant la protection des tortues marines, entrés en vigueur depuis 2009. « Ces reptiles à carapace sont inscrits dans l’Annexe I de la CITES. Or, cette convention ne régule que le commerce extérieur » et non la consommation locale, fait-il ressortir. Selon lui, la législation malgache « est vague sur la question de la consommation locale de la viande de tortue marine ». « Aucun texte ne précise clairement si elle peut être consommée ou pas, même si pour le ministère, la consommation est interdite », regrette-t-il. Outre les failles juridiques, Victor Razaka fait aussi état d’un cruel « manque de moyens » tant matériels qu’humains. D’après lui, « sa direction ne dispose que d’un seul agent pour couvrir 6 000 km2 ». Pour compenser l’inaction des autorités, « les gens comptent sur les dina [convention locale prévoyant des amendes contre les contrevenants], mais comme ils ne sont pas appliqués, les gens ne perçoivent pas la part qui doit leur revenir, d’où leur déception », souligne Manitsindraza, adjoint au maire d’Androka. Des personnes de bonne volonté pourraient dénoncer des infractions avérées, moyennant une récompense pécuniaire, mais ce dispositif de répression peine à se mettre en place, faute de financement. « Les indicateurs ne vont pas risquer leur vie alors qu’ils ne gagnent rien en effectuant ces travaux de surveillance », argumente Christophe Veloson, secrétaire général de la commune d’Itampolo. Ravalomanda Andrianarivony, maire d’Androka, montre du doigt la « loi du silence » qui règne entre les forces de l’ordre et les consommateurs de la viande de tortue. « Ceux qui sont chargés d’appliquer les sanctions et ceux qui consomment la viande de fano vivent ensemble et cohabitent ». « Nous serons mal vus si nous les dénonçons ». Interrogés par L’Express de Madagascar, les habitants des villages du Sud de Toliara, très friands de cette viande, invoquent la capture accidentelle. « Si nous en capturons une accidentellement, que voulez-vous qu’on en fasse si ce n’est pour la manger », se défend un pêcheur à Itampolo. « Pourquoi devons-nous nous soumettre à ces pressions sur l’interdiction des fano alors qu’à Toliara les gens peuvent consommer et vendre les tortues marines sans être inquiétés », renchérit un habitant d’Itampolo. Source
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De rares tortues retournent au Vietnam Le parc national de Cuc Phuong dans la province de Ninh Binh (Nord) a accueilli lundi 71 tortues Mauremys annamensis (Emyde de l'Annam ou tortue feuille d'Annam), originaires du Centre du Vietnam, élevées dans les zoos de Rotterdam au Pays-Bas et de Münster en Allemagne. Selon Bui Dang Phong, directeur du Centre de conservation des tortues du parc national de Cuc Phuong, c'est la première fois qu'un grand nombre de tortues élevées à l'étranger retournent dans leur pays d'origine. Les zoos de Rotterdam et de Münster ont beaucoup aidé le Centre dans ce travail. Il s'agit d'une avancée importante de la conservation de cette espèce menacée d'extinction. Ces individus vivront avec 200 autres soignées au Centre de conservation des tortues du parc national. Il s'agit de tortues saisies à des trafiquants ou nées au Centre. Elles seront relâchées dans la nature de la province de Quang Ngai, selon le programme de protection des tortues d'Asie (ATP). L'émyde de l'Annam ou la tortue feuille d'Annam est une tortue de taille moyenne présente uniquement dans le Centre du Vietnam où elle vit dans les zones humides de plaines d'inondation. Les informations disponibles découlant d'études et d'entretiens sur le terrain montrent que l'espèce était assez commune jusqu'au début ou au milieu des années 1990, date à laquelle elle a commencé à faire l'objet de transactions commerciales, ce qui a apparemment mené à l'effondrement de la population en l'espace de quelques années. Du fait des caractéristiques de son cycle biologique (maturité tardive, faible taux de reproduction annuelle, forte mortalité des oeufs et des juvéniles), l'espèce est intrinsèquement vulnérable à la surexploitation, en particulier des adultes. Au Vietnam, la tortue est juridiquement protégée contre toute forme d'exploitation. -VNA Source
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Une nouvelle espèce d'araignée découverte à Anvers: l'araignée-loup, qui chasse ses proies Une nouvelle espèce d'araignée a été découverte à Anvers. Elle ne tisse pas de toile, mais chasse ses proies. C'est pour cette raison qu'elle est appelée araignée-loup. "Cela signifie qu'un biotope urbain peut cacher une riche biodiversité", a confié Koen Van Keer de la Société Arachnologique de Belgique.Une 250ème espèce d'araignée a été découverte au mois de mai dans un jardin de la ville d'Anvers, a indiqué lundi la Société Arachnologique de Belgique (Arabel). Il s'agit d'une araignée-loup, une petite araignée qui ne tisse pas de toile mais qui chasse - comme un loup - ses proies. "Ces espèces sont sous pression"Entre 2004 et 2008, Arabel avait mené une grande enquête sur les populations d'araignées à Anvers. La société avait recensé 249 espèces différentes, soit plus d'un tiers de toutes les espèces d'araignée recensées en Belgique. "C'est une bonne nouvelle que nous ayons trouvé autant d'araignées", se réjouit Koen Van Keer, membre de la direction d'Arabel, qui a participé à la découverte de la 250ème espèce au mois de mars. "Cela signifie qu'un biotope urbain peut cacher une riche biodiversité. Mais ces espèces sont sous pression: elle sont petites et vivent dans des espaces trop petits. Elles risquent donc l'extinction." Source
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Il décortique la vie des grenouilles d’altitude Passion. Patience. Science. Trois mots qui collent parfaitement à la personnalité de Claude Miaud, tombé dès son enfance dans “la mare aux grenouilles”.Cet attachement pour le monde naturel et ces espèces en particulier est né dans les eaux du marais poitevin. « Le contact avec la nature m’a orienté vers des études scientifiques et dans l’écologie. Je n’imaginais pas qu’on puisse en faire un métier », confie l’intéressé qui a enseigné à l’Université de Savoie de 1993 à 2011, avant de prendre les commandes du laboratoire biogéographie et écologie des vertébrés de l’École pratique des hautes études, à Montpellier.« Je me suis éloigné des montagnes savoyardes mais je travaille encore sur les massifs et les lacs de montagne », glisse-t-il.Le dada, justement, de ce chercheur l’amène à étudier « ces petites bestioles ». Il en a fait son sujet de recherche principal, alors en poste en Savoie ; « pour la compréhension de leur adaptation à la vie dans les lacs de montagne ». Dans le département, ces eaux-là abritent deux principales espèces d’amphibiens : le triton alpestre – reconnaissable à son dos foncé et à un ventre orange – et la grenouille rousse – colorée de l’orange au marron foncé. Mais pour cette dernière espèce, « ce sont plutôt des têtards noirs très nombreux que l’on aperçoit. Les grenouilles rousses sont plus discrètes mais très actives au début de la saison, quand il y a encore de la neige », note-t-il.Le mode de vie diffère donc en fonction des lieux, en plaine ou en montagne. D’où les fameuses adaptations génétiques. Le développement du triton est « plus lent. En altitude, il peut facilement vivre 20 ans contre quatre ou cinq ans maximum en plaine, où il n’est actif que trois mois par an. Le reste de l’année, il hiberne. En fait, c’est comme s’il avait un capital vie, mais il le dépense beaucoup moins vite, explique l’universitaire. Pour la maturité sexuelle : deux ans en plaine contre dix ans en montagne. Le climat change tout. »Et la situation est semblable pour la grenouille rousse, qui « vit une dizaine d’années dans les lacs de montagne contre la moitié en plaine ». Pour procréer : deux à trois ans contre quatre à cinq ans. Reste que si une grenouille fait de sacrés bonds pour gagner les hauteurs, ce n’est pas pour autant que sa durée de vie s’allongera...Dans les profondeurs de ces lacs d’altitude où les « poissons ont toujours été introduits par l’homme », ces petites bêtes partagent leur environnement avec une faune aquatique particulière, « capable de résister à un hiver très long sous la neige. Et à un été avec des taux d’ensoleillement et des UV très forts. Beaucoup de plantes sont en rosettes, elles font des petites feuilles rondes et vont se regrouper en coussinets. C’est un peu comme une plante grasse qui stocke l’eau. » Des plantes qui, elles aussi, s’adaptent à leur environnement. Source
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50 pythons illégaux découverts dans une demeure en Colombie-Britannique La Colombie-Britannique est la plus récente province à éprouver des problèmes de serpents, alors que des policiers ont découvert et euthanasié près de 50 pythons détenus illégalement dans une demeure d'une petite ville.L'inspecteur Chris Doyle, du Service de préservation de la province, a indiqué que des agents avaient été appelés à une résidence de Mission, jeudi, alors que le locataire possédant les serpents était expulsé.Les agents ont découvert 46 pythons, qu'il est interdit de posséder sans permis en vertu de la loi provinciale sur les animaux sauvages. Le plus long reptile mesurait un peu plus de quatre mètres.Selon M. Doyle, personne ne possédait de permis dans la maison, qui est située dans une zone résidentielle, à quelques pâtés de maisons d'une école.Plus tôt ce mois-ci, deux jeunes frères ont été asphyxiés dans leur sommeil par un python africain illégal qui s'était échappé de son vivarium dans une maison de Campbellton, au Nouveau-Brunswick.«Ces serpents sont un danger pour la sécurité publique», a dit M. Doyle à propos des pythons réticulés trouvés à Mission.Il a ajouté que les agents de la faune avaient trouvé plusieurs autres serpents et un varan qui ne tombaient pas sous le coup de la réglementation provinciale sur les espèces étrangères, ainsi que d'autres espèces — restreintes, elles —, tels des boas et d'autres genres de pythons.Les espèces restreintes ne deviennent interdites que lorsqu'elles dépassent une certaine taille.Les varans font partie des plus grands lézards de la planète, et certaines espèces de ces reptiles sont interdites, bien que M. Doyle ait précisé que la variante trouvée dans la maison n'était pas illégale.M. Doyle a souligné que bien qu'aucun serpent venimeux n'ait été découvert, «on doit s'inquiéter d'être mordu par n'importe quel serpent, puisqu'on risque une infection, en plus de la morsure comme telle». Source
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Quelques espèces de gecko chez IANO
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de ianoLSJ dans Gekkonidés
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Les morsures de scorpion tuent encore à Essaouira
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les morsures de scorpion tuent encore à Essaouira D’après des sources sanitaires, neuf enfants ont été hospitalisés au CHP Sidi Mohamed Ben Abdellah suite à des morsures de scorpion, tandis que deux d’entre eux ont rendu l’âme quelques jours après. Les adultes en font également les frais. Mardi 13 août 2013 un homme mordu par un scorpion a, en effet, été admis au bloc de réanimation au Centre hospitalier Sidi Mohammed Ben Abdellah. Il convient de rappeler que le Royaume est l'un des pays du pourtour méditerranéen où sont enregistrés le plus grand nombre de morsures de scorpion : 30.000 cas par an, selon le Centre antipoison et de pharmacovigilance. Au Maroc, les morsures de scorpion sont donc la première cause d'intoxications, devant celles dues à l'alimentation. Le taux de mortalité est d'environ trois décès pour 1.000 piqûres, soit près d'une centaine de cas par an, principalement chez les moins de 15 ans. Un taux assez élevé par rapport à d'autres pays du bassin méditerranéen, en raison notamment du contexte bioclimatique et de la scorpiofaune riche et diversifiée du Royaume. Selon les experts, le Maroc compte quelque 50 espèces de scorpions, dont 22 venimeuses et dangereuses, et les régions les plus touchées par ce fléau sont les provinces du Centre et du Sud, à savoir Agadir, Safi, Beni Mellal, Essaouira, Kalaat Sraghna, Khouribga, Marrakech et Tiznit. Source -
Un serpent géant sème la terreur à Ferdjioua Les habitants de la petite localité d’Aïn El-Hamra, dans la commune de Ferdjioua, à l’ouest de la wilaya de Mila, vivent avec la peur au ventre depuis l’apparition, dans la localité, d’un serpent venimeux géant. Le reptile, dont la taille est estimée à vue d’œil à plus de deux mètres et le poids à plus de cinq kilogrammes, fait des ravages dans le cheptel de la région. Dans une seule étable, il a tué une vache laitière, un cheval et une chèvre et mangé, selon le propriétaire des lieux, tous les rongeurs (rats, souris) qui s’y trouvaient. Les riverains, des éleveurs pour la plupart, sont terrorisés. Non seulement ils craignent pour leurs animaux, mais pour leur vie aussi, car la bête, une vipère encornée, se glisse jusque dans les endroits habités. Un gardien de chantier affirme l’avoir remarquée, tout récemment, entre des habitations de la région, dans des ruelles peuplées d’enfants. Alertés, des éléments de la Protection civile de la ville de Ferdjioua se sont rendus sur les lieux, mais n’ont pas réussi à la capturer. Elle s’est retranchée, selon des témoins oculaires, dans un égout de la localité. La vigilance est donc de mise, car la bête pourrait apparaître dans les toilettes ou la salle de bain de n’importe quelle habitation du quartier. Source
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La tortue Ariti est arrivée aux îles Fidji La tortue caouanne Ariti, relâchée le 24 mai dernier, poursuit ses aventures. Au bout d'un périple de 83 jours, la tortue Ariti, relâchée à Teahupoo, est arrivée aux îles Fidji, soit 3500 km à la force des nageoires. On peut se demander si elle va s'arrêter là ou poursuivre son voyage. En effet, on sait que les îles Fidji abritent une zone de nourrissage pour les tortues Caouannes, mais la saison de reproduction de ces tortues approche et Ariti pourrait bien continuer vers la Nouvelle Calédonie, où les Caouannes vont pondre. La suite au prochain numéro. Source
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Les animaux et Amélie (Chicoutimi) Amélie a toujours voulu travailler avec les animaux. À l'âge de sept ans, en voyant un représentant d'une animalerie faire une démonstration avec des reptiles, la fillette s'était dit « quand je serai grande, c'est ce que je ferai ».Pendant que sa mère, Isabelle Grégoire, gère son entreprise d'esthétique, l'aînée de la famille gère Animation Rainette qui compte des rats, des hamsters, des tortues, des serpents, des lézards, etc. « J'ai toujours voulu travailler avec des animaux, mais je voulais travailler avec mes propres animaux », poursuit Amélie. En trois mois, elle a fait une centaine de présentations auprès des enfants, entre autres dans les garderies. À la maison, elle peut aussi compter sur l'aide de ses deux petites soeurs de neuf et 12 ans qui l'aident dans l'entretien des cages et vivariums.Dès le début de ses présentations, la propriétaire d'Animation Rainette explique clairement ses règles de sécurité afin d'imposer ses limites. Elle commence en parlant du rongeur le plus propre et le plus intelligent... Rares sont ceux qui devinent que cet animal mystère est le rat. Puis elle enchaîne avec une dizaine de bêtes toutes aussi extraordinaires les unes que les autres.Amélie rêve un jour d'avoir un refuge pour accueillir tous les animaux abandonnés. Elle donnerait un peu de chaleur à ces êtres vivants qu'on aime un jour et délaisse le lendemain sous prétexte de manque de temps... ou par désintéressement. Elle projette aussi faire du divertissement animalier avec ses bêtes auprès des adultes en les présentant, entre autres, aux personnes âgées et aux handicapés. Évidemment, elle compte aussi poursuivre ses études dans le but de terminer son secondaire.Quand on lui demande quelle espèce il lui manque et qu'elle aimerait avoir, la passionnée entrepreneure répond « Je les veux tous ! ».Pour rejoindre Amélie Grégoire, adhérez à sa page Facebook : Animation Rainette. Source
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" Mon premier serpent ? Un python royal, à 10 ans "
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
" Mon premier serpent ? Un python royal, à 10 ans " A l’âge où d’autres ont un poisson rouge ou un chat, Thaddéus manipulait son premier serpent. Rencontre avec un ado passionné par les reptiles, à Vitré.La gagnante du jour, une blatte géante de Madagascar aux reflets cuivrés, souffle comme une damnée : la mâchoire d'un pogona vitticeps, qui jusque-là prenait sagement la pose sous sa lampe chauffante, vient de se refermer sur elle. Il est midi chez Thaddéus Gauvin.A Vitré, près de Celles-sur-Belle, l'adolescent âgé de 16 ans a sous sa responsabilité trois espèces de lézards et une dizaine de serpents. Tous occupent une pièce tapissée d'affiches de Deux-Sèvres nature environnement qui jouxte la chambre de leur jeune propriétaire." Là, je ne la sors pas parce qu'elle a faim "Il y a Monsieur pogona, « un lézard très facile à vivre, parfait pour les débutants », un gecko léopard et son cousin à crête, sorte de crocodile de poche avec ses yeux globuleux et son petit gabarit d'une quinzaine de centimètres. En face, un faux corail de Campbell, un serpent des blés et un impressionnant python royal. « Là, je ne la sors pas parce qu'elle a faim », commente Thaddéus en refermant le plexiglass du terrarium.Il y a aussi un serpent aquatique, un Boa constrictor imperator « pouvant atteindre 3 mètres », et une femelle python curtus black de Sumatra. Le dernier locataire arrivé est une demoiselle serpent à groin, originaire du Mexique, « avec des crochets venimeux en arrière, mais en réalité, seule sa salive est légèrement toxique. »Pour nourrir tout ce joli monde et satisfaire le régime alimentaire de chacun, Thaddéus fait le plein de souris congelées dans les animaleries et possède son propre élevage de rats nains d'Afrique, certains serpents ne se nourrissant que de proies vivantes." Un exposé sur l'ornithorynque en CP "Pour la déco, mais surtout pour leur procurer des cachettes naturelles, l'adolescent fait aussi pousser différentes sortes de plantes.Nom latin, origines, habitat naturel, régime alimentaire : Thaddéus est incollable quand il s'agit de ses petits protégés. L'adolescent aux longs cheveux bruns le reconnaît volontiers, il n'a jamais été branché chiens et chats. Et les animaux exotiques le fascinent. « En CP-CE1, il avait proposé un exposé sur l'ornithorynque ! se souvient Marie-Agnès, sa maman. Il avait captivé tout le monde. »Son premier serpent, un python royal, Thaddéus l'a eu à 10 ans, âge où d'autres ont déjà bien du mal à s'occuper d'un poisson rouge. « Il le réclamait depuis deux ans, mais je voulais être sûre que ce n'était pas une lubie passagère, raconte Marie-Agnès. Jamais je n'aurais imaginé qu'un jour j'aurais des serpents chez moi ! J'avais une phobie des reptiles. Avec Thaddé, j'ai appris à les découvrir en douceur... Il nous a envoûté. » A tel point que des terrariums ont aussi fait leur apparition dans la chambre parentale. " J'avais une phobie des reptiles... Mais il nous a envoûté "Il y a quelques mois, l'adolescent a emmené quasiment tous ses spécimens à son collège, à Celles-sur-Belle, où il a animé un stand de présentation des reptiles : « Le but était de prouver que ce ne sont pas des tueurs sanguinaires qui vont nous attaquer dès qu'on ouvre le terrarium, explique-t-il. Je voulais montrer que ce sont des êtres vivants et qu'on en a besoin. »En septembre, le jeune homme fera sa rentrée au lycée horticole de Sainte-Pezenne, à Niort, dans l'espoir de décrocher un bac pro gestion des milieux naturels et de la faune. Quelque chose nous dit que Thaddéus sera… dans son élément. Source -
Côte d'Ivoire : Un serpent disperse un groupe de prières !
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Côte d'Ivoire : Un serpent disperse un groupe de prières ! Abidjan - Le 14 août 2013 koaci.com - Dans une église, des fidèles qui se donnés rendez-vous pour combattre les mauvais esprits se sont brusquement en fuit après que le diable ait simplement balancé sa queue fourchue pour se montrer. Un serpent noir qui est apparu en plein milieu de la foule a causé la panique avant de les disperser. C'est tout cas l'information qu'a appris hier KOACI.COM par des témoins eux-mêmes apeurés par un tel mouvement simultané très tard dans la nuit à une heure mal définie.En effet ce mercredi 14 août à Yopougon quartier ananeraie aux environs de 23heures, le diable était à l'agonie. C'est tout cas ce qu'interprètent les croyances populaires quand on aperçoit un serpent à des heures de prières. Mais particulièrement ce groupe de prière composé d'un pasteur et d'une cinquantaine de fidèle a préféré prendre la fuite au premier sifflement d'un tel diable agonisant.Et selon un témoin qui a véritablement vécu la scène, cette situation s'est produite à un moment intense de prière. L'homme de Dieu implorait toute la puissance du saint esprit pour anéantir l'un des plus grands esprits qui rongent la foi de l'homme: le mensonge. Car pour lui il fallait toute cette puissance pour ramener définitivement le diable dans l'abîme. Ainsi il ravivait continuellement sa prière par des cris quand surtout des femmes se sentaient touchées pour couler des larmes.Puis soudainement tous les individus qui étaient dans la salle ont commencé à se sauver dans un foutoir à la ''' vas-comme je te pousse ''' causant même la grosse frayeur des voisins dans le quartier. Et le pasteur faisait aussi parti d'un tel repli stratégique. Faisant désormais la place à un serpent noir qui va allait régner en maître avant de disparaître peu après.Les commentaires dénonçaient maintenant un serpent sorti des entrailles du diable au cours d'un combat sans merci. Mais plus tard d'autres témoins apprendront à KOACI.COM que le serpent serait plutôt sorti des broussailles juste à côté d'un terrain inculte, contrairement à ce qu'on voulait s'efforcer de croire.Et apparemment ces fidèles qui ont pris la fuite devant ce serpent serait plus fort spirituellement que physiquement. Adriel Source -
40 pythons trouvés dans un motel en Ontario La police et des témoins affirment que des enfants résidaient dans une chambre de motel du sud-ouest de l'Ontario où les autorités ont saisi une quarantaine de pythons.Selon la police, les serpents, des pythons royaux longs de 30 centimètres à 1,4 mètre, ont été découverts dans des boîtes de rangement en plastique dans une chambre de motel à Brantford.Les autorités soulignent toutefois que ces serpents ne sont pas considérés comme dangereux, comparativement à celui qui a tué deux jeunes garçons au Nouveau-Brunswick ce mois-ci.Mais posséder un python est illégal à Brantford, puisque cela contrevient au règlement sur le contrôle des animaux de la municipalité.Un client qui réside au Bell City Motel, près de la chambre où les serpents ont été saisis, a affirmé vendredi que le couple propriétaire des pythons était accompagné de cinq enfants.Le client, qui n'a pas voulu donner son nom, a précisé que l'un des enfants était un bébé.La police n'a pas précisé l'âge des enfants et a indiqué qu'aucune accusation n'avait été déposée contre le couple vendredi soir.Le gérant du motel a expliqué que les serpents appartenaient à un couple de la localité, qui avait loué la chambre pour une seule nuit.Il a précisé que le couple avait été expulsé de son logement par le propriétaire, qui a également appelé les autorités locales pour les informer que les reptiles avaient été transportés au motel.Le gérant de l'établissement, qui souhaite garder l'anonymat, a ajouté que le couple était parti au restaurant, jeudi soir, lorsque la police est arrivée pour saisir les serpents.La police a indiqué que les pythons avaient été remis à la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA).«Les serpents n'étaient pas traités correctement et étaient en détresse», ont déclaré les autorités vendredi. Source