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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Fréquence Grenouille vendredi à Simandre Le réseau des Conservatoires d’espaces naturels et réserves naturelles de France coorganisent du 1 ermars au 31 mai l’opération « Fréquence Grenouille », qui donne l’occasion de sensibiliser la population à la nécessité de préserver les zones humides, milieux de vie indispensables à l’équilibre de notre planète. En avril, le Conservatoire d’espaces naturels de Bourgogne organise dans ce cadre, cinq animations gratuites et ouvertes au grand public dans les quatre départements bourguignons. En Saône-et-Loire, le rendez-vous est fixé au vendredi 12 avril à Simandre (place de l’Esplanade) de 20 à 22 heures. Animé par Caroline Najean, il s’agit d’une présentation d’un diaporama en salle sur la vie des amphibiens suivie d’une sortie nocturne autour d’une mare. Informations et inscriptions au 03 80 79 25 99 ou à contact@cen-bourgogne.fr Source
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Un crabe bien particulier à Rivière-au-Renard RIVIÈRE-AU-RENARD - La nature offre souvent des spectacles plus colorés que les autres. C’est le cas pour ce crabe des neiges aux teintes de mauve et de violet qui a été capturé la semaine dernière par le pêcheur Gérald Denis, au large de Petit-Cap, près de Rivière-au-Renard. Après un court séjour à bord du bateau le Marie-Michèle, le crustacé coloré s’est retrouvé à la poissonnerie des Pêcheries Gaspésiennes, où nous l’avons pris en photo, comme de nombreux autres curieux venus l’admirer. Il s’agit probablement du crustacé le plus photographié dans la capitale des pêches jusqu’à présent cette année. Source
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SALON DES BESTIOLES et REPTILES
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
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L'atoll d'Aldabra, un sanctuaire quasi-vierge peuplé de milliers de tortues géantes L'atoll d'Aldabra, aux Seychelles, reste l'un des derniers sanctuaires quasi-vierges de la planète. Situé au beau milieu de l’océan Indien, il abrite notamment la plus importante population de tortues géantes au monde. Faisant partie des Seychelles, l’atoll d'Aldabra est formé de quatre îles principales de récif corallien. Elles sont séparées les unes des autres par des passes étroites et enferment un lagon peu profond, bordé d'une mangrove de palétuviers et de plages de fin sable blanc. À marée haute, l'eau turquoise permet de voir des raies, des requins et des tortues marines. À marée basse, de petites îles émergent dans le lagon, presque posées sur la mer. Mais aujourd’hui classé au Patrimoine mondial de l'Unesco, l'atoll d'Aldabra a bien failli disparaître dans les années 1970 pour laisser la place à une base militaire américaine. L'idée fut finalement abandonnée face aux protestations des défenseurs de la nature et des scientifiques. A l’heure actuelle, l’atoll abrite "plus de 400 espèces et sous-espèces endémiques (vertébrés, invertébrés et plantes)". Parmi les 100.000 tortues géantes des Seychelles (les mâles peuvent atteindre 1,20m de long et peser jusqu'à 300 kg pour une durée de vie allant jusqu’à 250 ans) elles sont nombreuses à y trouver refuge. Un accès strictement encadré C’est dans ce paradis terrestre que les scientifiques peuvent mener des études uniques, notamment sur les tortues. En effet, l'atoll d'Aldabra est préservé de toute influence humaine en raison de son isolement, des difficultés pour y accéder et de l'absence d'eau douce. Seule une quinzaine de personnes vit sur l'atoll : quatre scientifiques, quatre gardes, du personnel administratif, un cuisinier. Les visites touristiques sont strictement encadrées et seuls de petits groupes de 30 personnes maximum sont acceptés, encadrés par des gardes. Le droit d'entrée d’environ 100 euros par personne permet de financer la gestion de l'île. Citée par l'AFP, le Dr Jeanne Mortimer explique : "Aujourd'hui il ne reste que deux endroits sur terre où vit une importante population de tortues géantes : Aldabra et les Galapagos, mais les deux espèces sont différentes". Elle indique également : "l'écosystème d'Aldabra permet aux scientifiques de comprendre comment vivaient les tortues au moment où elles étaient tout en haut de la chaîne alimentaire", sans prédateur carnivore. Selon Frauke Dogley, directrice générale de la Seychelles Island Foundation (SIF) qui gère l'atoll et la Vallée de Mai (également classés par l'Unesco), la population des tortues d'Aldabra est stable depuis le début des années 1980. Néanmoins, l’espèce reste classée comme "vulnérable". Des Tortues vertes en augmentation Mais Aldabra est également un lieu de reproduction et de ponte privilégié pour les Tortues vertes, une espèce marine. "En février, c'est le pic de la saison de reproduction, tous les jours on enregistre de 30 à 40 traces de tortues vertes qui montent pondre leurs œufs [ ... ] sur l'île de Picard", une des quatre îles de l'atoll, indique Janske Van de Crommercker, coordinatrice scientifique à la SIF. Alors que cette espèce est gravement menacée de disparition, "la population de tortues de mer est en augmentation, tous les ans on enregistre plus de traces de femelles", se félicite la chercheuse toujours citée par l'AFP. Cela est notamment dû à l’arrêt de la pêche à la tortue. Grâce à un programme de surveillance par satellite et par le biais d’un émetteur implanté sur six Tortues vertes, les scientifiques ont pu constater qu'après avoir pondu, ces tortues se dispersaient un peu partout dans l'océan Indien. Certaines "partent vers le continent africain, au Kenya, une autre est passée aux Comores et se trouve actuellement à Madagascar et une autre se trouve du côté d'Arros", une autre île des Seychelles, conclut Mme Van de Crommercker. Mais les spécialistes continuent de les garder à l'oeil. Source
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Comment le gecko fait-il pour ne pas glisser du tronc d’arbre durant l’averse ? Publiant leurs travaux début avril dans PNAS, des chercheurs américains ont découvert une corrélation entre la faculté du gecko de rester agrippé, même sous une pluie battante, à une surface verticale, et les propriétés hydrophobes de cette dernière. En 2012, des scientifiques de l'Université d’Akron (Ohio) dirigés par Alyssa Stark ont étudié la fascinante faculté qu’ont les pattes du gecko d’adhérer aux surfaces verticales. Ils avaient alors constaté que le petit lézard était toutefois incapable de se maintenir sur une plaque de verre mouillée. Comment, dès lors, peut-il réussir l’exploit de s’agripper sans effort apparent à une feuille ou à un tronc saturé d’eau de pluie dans son milieu naturel tropical ? Ces mêmes chercheurs, qui ont poursuivi leurs investigations, ont aujourd'hui trouvé la réponse ! C'est grâce à la faible mouillabilité de ces supports naturels. Pour en arriver à cette conclusion, les scientifiques ont étudié les capacités d’adhérence de 6 geckos sur diverses surfaces sèches ou mouillées. Au cours de l'expérience, les animaux étaient munis de harnais permettant de les tirer doucement pour leur faire lâcher prise. Ceci a permis à l'équipe de constater une corrélation entre adhérence et mouillabilité, autrement dit la propriété d’un matériau d’être humidifié. Sur le verre, qui présente une mouillabilité élevée, un film d'eau se forme entre la surface et le système ‘Velcro’ (formé de poils adhérant au support) du pied du gecko. Ceci diminue donc son adhérence et la fait plus facilement tomber. Mais la surface des feuilles cireuses ou des troncs tropicaux, elle, est hydrophobe, et cette faible mouillabilité ménage suffisamment de zones de surface sèche pour que l’animal puisse s’y crocheter et donc y tenir durablement ! Si elle révèle encore davantage de secret au sujet des geckos, l'étude pourrait aussi déboucher sur la conception d'un adhésif synthétique fonctionnant même mouillé. Source
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Le mystère de la «vision» nocturne des serpents dévoilé
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le mystère de la «vision» nocturne des serpents dévoilé Des scientifiques ont montré pour la première fois comment des serpents parviennent à repérer dans l'obscurité la chaleur dégagée par une souris à un mètre de distance, une faculté qui leur permet de chasser la nuit, dans une étude parue lundi dans la revue Nature. La présence de fossettes sensorielles qui font office de thermorécepteurs chez les crotales, les boas et les pythons entre les yeux et les narines est connue depuis longtemps: cet organe leur permet de détecter du rayonnement infrarouge, même de très faible intensité, dans leur environnement. Le crotale du Texas (Crotalus atrox), ou serpent à sonnettes, présent dans le nord du Mexique et le sud-ouest des Etats-Unis, a pour sa part une capacité de détecter les sources de chaleur dix fois plus puissante que les autres espèces. Même si on lui recouvre les yeux, ce serpent reste capable de suivre et de tuer sa proie. L'étude publiée par David Julius, un chercheur en biologie moléculaire à l'Université de Californie à San Francisco, montre comment ces reptiles traduisent les signaux infrarouges en un influx nerveux qui devient un véritable sixième sens. «Le rayonnement infrarouge est identifié comme une source de chaleur à l'intérieur des fossettes sensorielles. Nous avons trouvé la molécule» responsable de ce processus, a déclaré à l'AFP M. Julius. Une membrane très fine à l'intérieur des fossettes s'échauffe au contact du rayonnement infrarouge. «Le tissu chauffé transmet alors un signal aux fibres nerveuses pour activer les récepteurs que nous avons identifiés» et qui sont appelés TRPA1, précise le scientifique. «La molécule que nous avons trouvée appartient à une famille de récepteurs servant à signaler la douleur chez les mammifères», détaille encore M. Julius. Chez l'homme, un mécanisme équivalent est appelé «récepteur wasabi», d'après le nom du condiment japonais à base de raifort, que notre organisme utilise pour repérer les substances irritantes appartenant à la famille de la moutarde. Mais chez l'espèce humaine, ce mécanisme n'est pas activé par la chaleur. Source -
Surveillance satellite des tortues Aldabra est également, entre décembre et mars, un lieu de reproduction et de ponte privilégié, dans l'océan Indien, de la Tortue verte (Chelonia mydas), espèce marine menacée. «En février, c'est le pic de la saison de reproduction, tous les jours on enregistre de 30 à 40 traces de tortues vertes qui montent pondre leurs oeufs (...) sur l'île de Picard», une des quatre îles de l'atoll, montre Janske Van de Crommercker, coordinatrice scientifique à la SIF. «La population de tortues de mer est en augmentation, tous les ans on enregistre plus de traces de femelles», notamment grâce à l'arrêt de la pêche du reptile, en vigueur jusque dans les années 1960, explique-t-elle. Un programme de surveillance satellite en temps réel grâce à un émetteur implanté sur six Tortues vertes a permis de constater qu'après avoir pondu, ces tortues repartaient un peu partout dans l'océan Indien. Certaines «partent vers le continent africain, au Kenya, une autre est passée aux Comores et se trouve actuellement à Madagascar et une autre se trouve du côté d'Arros», autre île de l'archipel seychellois, poursuit la scientifique. L'atoll abrite aussi d'importantes colonies d'oiseaux, dont certains viennent s'y reposer au cours de leur migration. Cet écosystème rare, d'une beauté exceptionnelle, a bien failli disparaître dans les années 1970 pour laisser la place à une base militaire américaine, alors que l'atoll était encore l'un des Territoires britanniques de l'océan Indien. L'idée sera finalement abandonnée face aux protestations des défenseurs de la nature et des scientifiques et la base construite sur l'atoll de Diego-Garcia, sur l'archipel des Chagos, 3 000 km plus à l'est. Seule une quinzaine de personnes vivent en permanence sur l'atoll: quatre scientifiques, quatre gardes, du personnel administratif, un cuisinier, etc. L'eau de pluie est récupérée et le soleil fournit l'électricité. L'absence de lignes maritimes ou aériennes limite l'accès des touristes, dont environ un millier se rendent chaque année à Aldabra, dans des conditions très strictes. Seuls de petits groupes de 30 personnes maximum sont acceptés, encadrés par des gardes sur des itinéraires strictement délimités. Il est interdit d'y passer la nuit. Le droit d'entrée, 100 euros par personne, permet de financer la gestion de l'île, mais depuis des attaques de pirates, les touristes se font plus rares, déplore Maurice Lousteau-Lalanne, président de la SIF. Source
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VIDÉO. Steve Backshall se fait étrangler par un boa constrictor pour son émission NATURE - À quoi ça ressemble de se faire étrangler par un boa constrictor? Vous pourrez poser la question à Steve Backshall, l'aventurier et présentateur britannique de "Deadly 60". Pour son émission diffusée sur la BBC, Steve Backshall a joué la proie, disposant le boa constrictor autour de son cou et le laissant l'étouffer. Le présentateur a également commenté la pression exercée par le reptile, face caméra, pendant plus de deux minutes. Pour ceux qui découvrent Steve Backshall, il fait partie de ces aventuriers devenus stars du petit écran. Comme Bear Grylls -l'animateur emblématique du programme "Man vs. Wild" ("Seul face à la nature" en France) diffusé par Discovery Channel depuis 2006- Steve Backshall parcourt le monde avec une attention toute particulière pour les contrées les plus inhospitalières. Mais la spécialité de Steve Backshall, c'est surtout de se retrouver face à face avec les animaux les plus dangereux. Dans "Deadly 60", l'aventurier britannique a plongé avec des requins, été chargé par un taureau, fait face à un cobra ou un mamba noir, nagé avec un hippopotame, été mordu par un caïman ou encore recherché un anaconda dans un marécage. Sa confrontation avec le boa constrictor fait partie de la seconde saison de "Deadly 60" et l'extrait a été partagé sur le compte YouTube de la BBC dimanche 7 avril. Source
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Ma copine est l'heureuse propriétaire d'une femelle gecko léopard qui est un rescue. Elle a fait une très bonne job puisqu'elle est top shape maintenant. C'est une femelle albinos tremper nommée Lilith. Ma copine a décidé qu'elle voulait tenté la reproduction avec Lilith. C'est alors qu'on a eu un offre de la part de Angèle du Magazoo pour un superbe mâle Albinos bell.
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Les petits prennent de la couleur
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Arachnides
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Brachypelma smithi
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Brachypelma emilia
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Babycurus jacksoni phase chocolat
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Hadogenes paucidens
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Androctonus bicolor, stade 2
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Poecilotheria regalis
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Avicularia avicularia
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Brachypelma boehmei
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Ma rosy s'est mise belle
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Mordu par une araignée violonniste, il frôle la mort
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Mordu par une araignée violonniste, il frôle la mort SCIENCES - 2min 06s - Le 30 juil. à 13h15 Près Orange, un homme a été mordu par une araignée très venimeuses et très rares. Il sembleraient que plusieurs araignées violonnistes soient en liberté. Source : Fichier sélectionné dans Actualité et Sciences santé Source