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Avis de recherche pour crapaud protégé Actuellement, Perche Nature est engagé dans l'inventaire communal des amphibiens et reptiles du Vendômois ; l'atlas de répartition communale mobilise l'ensemble de la communauté naturaliste du Loir-et-Cher jusqu'en 2015. Une des espèces emblématiques s'appelle le sonneur à ventre jaune, un petit crapaud d'environ 5 cm au dos verruqueux, coloré de brun verdâtre, dont le ventre présente une couleur vive jaune à orangée marbrée de noir et dont la pupille est le plus souvent en forme de cœur ! Selon Perche Nature : « Il risque bientôt d'être rangé au rayon des souvenirs puisqu'aujourd'hui une seule population de deux ou trois dizaines d'individus fait l'objet de toutes les attentions sur un site de la vallée de la Braye », une des toutes dernières stations du Nord-Ouest français. Mais la régression de sa population devient inquiétante. Peut-être existe-t-il d'autres individus ailleurs, pas encore repérés à ce jour ? Perche Nature invite tout un chacun à les localiser, à communiquer ses observations, mêmes anciennes. Elles seront très utiles pour préciser le statut local du sonneur et décider éventuellement la mise en œuvre d'actions conservatoires. Aquatique d'avril à août, le sonneur recherche des points d'eau de petite taille, peu profonds, bien ensoleillés, sans poissons. Il cohabite peu avec les autres espèces d'amphibiens. Une ornière ou même l'empreinte d'un sabot de vache remplie d'eau peuvent suffire. Source
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Les premiers lézards noirs aperçus en Belgique Des lézards mélaniques (noirs) ont été aperçus pour la première fois en Belgique, le long des voies ferrées en Flandre orientale. Le mélanisme est l'inverse de l'albinisme et apparaît en raison d'une accumulation de pigments noirs dans la peau, principalement de la mélanine, indique vendredi l'association environnementale Natuurpunt sur son site internet. On peut trouver son origine dans un processus révolutionnaire par lequel la couleur noire offre des avantages, notamment pour ces animaux qui accumulent mieux la chaleur du soleil et peuvent survivre plus facilement dans un milieu plus froid, et qui se traduit par une micro-évolution", expliquent Robert Jooris et Dominique Verbelen, de Hyla, le groupe de travail sur les amphibiens et reptiles de Natuurpunt. Le rare phénomène de lézard mélanique avait déjà été constaté chez des lézards vivipares notamment. En Flandre et en Région bruxelloise, on recense dix-huit espèces de lézards allochtones qui se reproduisent et qui sont normalement colorés et marqués. "Deux espèces ont été volontairement expulsées des jardins privés. Les autres populations se sont développées grâce à des introductions uniques ou répétées." Signalez-les Etant donné qu'il y a probablement davantage d'espèces de reptiles dans les environnements caillouteux comme ceux que l'on retrouve le long des lignes de chemin de fer, Natuurpunt demande de communiquer toute observation sur waarnemingen.be. La frontière septentrionale du territoire naturel d'expansion des lézards en Belgique se trouve plus ou moins au sud du sillon Sambre et Meuse. Source
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Verviers: une trentaine de mygales saisies dans une habitation
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Verviers: une trentaine de mygales saisies dans une habitation Des policiers de la zone Vesdre ont découvert vendredi matin une trentaine de mygales dans une habitation de Verviers. Les animaux ont été saisis, indique la zone. Plusieurs agents de la zone de police Vesdre se sont rendus ce vendredi matin dans une habitation de la rue du Centre à Verviers. Ils soupçonnaient un habitant de la rue de posséder illégalement de nombreuses mygales. Près d'une trentaine de mygales ont été découvertes dans l'appartement de cet habitant de Verviers né en 1987. "il n'était pas en possession d'un permis d'environnement" "L'intéressé a expliqué aux policiers qu'il était passionné par ces animaux. Cependant, il a bien dû reconnaître qu'il ne possédait pas les autorisations nécessaires, il n'était pas en possession d'un permis d'environnement, indispensable pour posséder de tels animaux", indique la zone de police. Les animaux ont été emportés par un expert des nouveaux animaux de compagnie, qui accompagnait les policiers. Le propriétaire en a fait "abandon volontaire" auprès de la police. S'il ne possédait pas les autorisations, il semble que le propriétaire a mis tout en œuvre pour que ses animaux soient correctement traités et possèdent un espace de vie adapté, ajoute la police qui précise que cela n'est pas suffisant pour pouvoir détenir de tels animaux. Source -
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Un amour de serpent... Ce n’est pas parce qu’ils sont dangereux, qu’ils ne sont pas dignes de respect. Pour garder un serpent chez soi, il y faut du sérieux. Et du cœur. Si, si. Les serpents font partie des NAC (nouveaux animaux de compagnie). Drôle de compagnons, pas franchement affectueux! Néanmoins, c’est décidé, vous en voulez un dans votre environnement. Alors, lequel? «Serpents des blés et serpents-rois sont peu dangereux et tolèrent les erreurs que commettra forcément le débutant en herpétologie», souligne Sébastien Guerne, soigneur animalier au Vivarium de La Chaux-de-Fonds. Première démarche: se renseigner sur la législation auprès du Service vétérinaire cantonal, chaque canton ayant ses lois spécifiques. Il est vivement conseillé de s’adresser aussi à un vivarium, qui sera de bon conseil notamment pour l’acquisition de l’animal (www.vivariumlausanne.ch; www.zoobpc.ch; www.elapsoidea.ch). Après avoir installé le terrarium adéquat (lire l'article «Le monde des terrariums»), il faut aller voir un éleveur reconnu chez qui on peut voir les serpents dans leur biotope d’adoption. Mais on évite le coup de cœur! «Il faut ressentir l’animal, dit Sébastien Guerne. Il ne doit pas être trop maigre, ne pas présenter des boules sur le corps, ne pas être malade… ni trop gentil (selon nos critères, ndlr.). L’éleveur doit avoir du plaisir à présenter ses serpents: s’il les cache, c’est mauvais signe.» Un serpent blessé n’a aucune chance de survivre chez un particulier qui débute. L’éleveur fournit également tous les documents de traçabilité du rampant, y compris une facture, qu’il faut garder soigneusement. Au-delà de 50 fr. pour un serpent des blés, on oublie! Et on a de toute façon sept jours pour se rétracter. Le transport se fait dans un sac en coton déposé dans une boîte en plastique aérée. Attention: pas de caillou. On place de l’eau chaude (pas brûlante) près de la boîte. De retour chez soi, on s’occupe de suite de ce nouveau compagnon, pas après le repas ou la série télé. On ouvre la boîte dans le terrarium, on le laisse prendre ses marques. Nous verrons la semaine prochaine comment le soigner afin qu’il vive au plus près de sa nature. www.bvet.ch Le Musée d’histoire naturelle de Fribourg présente ses VIP – comme l’annonce l’affiche – jusqu’en janvier 2014. Drôles de VIP en vérité que ces vipères et autres serpents à sonnettes, une même famille redoutée du grand public. Onze espèces sont à découvrir, de la vipère rhinocéros à la vipère de la mort d’Australie… qui n’est pas une vipère, mais par contre l’un des rampants les plus venimeux au monde. Le public apprend aussi que les serpents sont plus proches des oiseaux que des tortues: une bonne nouvelle? Et que le serpent-minute ne tue pas en une minute, autre bonne nouvelle! Le public est invité à assister au nourrissage d’un reptile… âmes sensibles s’abstenir. L’expo décortique la biologie, les mœurs de ces animaux redoutés et le système d’injection de leur venin très sophistiqué. Films, photos, illustrations, bestioles bien vivantes ainsi que de nombreuses conférences sont au programme, de même qu’une excursion sur les traces de la vipère aspic. Source
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Des grenouilles sur les grilles du Jardin des Plantes à Paris
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Des grenouilles sur les grilles du Jardin des Plantes à Paris PARIS - Grenouilles, crapauds, tritons et salamandres: une soixantaine de photographies de batraciens seront exposées de mai à septembre sur les grilles du Jardin des Plantes, a annoncé lundi le Muséum national d'Histoire naturelle de Paris. L'exposition Planète Grenouille, réalisée par le lauréat du prix photo du Muséum en 2012, Cyril Ruoso, montrera du 22 mai au 15 septembre une grande diversité de clichés d'amphibiens, tour à tour objets de curiosité et de mystère, source de profit, d'alimentation et symbole de croyances. Le photographe animalier a parcouru la France, les Etats-Unis et le Japon pour immortaliser ce petit animal et offrir au public une vision d'un monde riche en variétés et couleurs, en saisons et climats, en milieux et latitudes mais aussi un monde d'histoires, comme celle, étonnante, que Cyril Ruoso a réalisée grâce à une bourse professionnelle : la Grenouille et le Prisonnier. Il s'agit de faire découvrir au grand public la diversité de cette +Planète grenouille+ mais aussi de montrer que la préservation de la biodiversité peut, en retour, venir en aide aux hommes, commente le Muséum dans un communiqué. Selon le Muséum, près de 30% des espèces d'amphibiens sont aujourd'hui menacées à cause de la disparition de leur habitat, la pollution et une maladie provoquée par un champignon. La grenouille, élevée pour sa chair et utilisée dans les laboratoires pour l'étude du système nerveux, fait aussi partie des nouveaux animaux de compagnie. Source -
Un serpent mexicain dans un pré GEMBLOUX - Samedi après-midi, des enfants jouant dans un pré à Sauvenière, ont fait une drôle de découverte. Ils sont tombés sur un serpent d’une trentaine de centimètres. Ils ont appelé le papa qui à l’aide d’une pelle, l’a mis dans un seau et a appelé les pompiers. L’équipe NAC (Nouveaux animaux de compagnie) des pompiers de Gembloux emmenée par le sergent Jérôme Thunise, s’est rendue sur place et a emmené l’animal. Les pompiers ont ensuite pris contact avec l’ASBL Crusoë de Liège qui forme les équipes NAC afin d’avoir des renseignements sur le reptile. Il s’agit d’un serpent Roi d’origine mexicaine et pouvant mordre tout en n’étant pas venimeux. Ils ont ensuite pris contact avec le bourgmestre Benoît Dispa qui les a mis en relation avec le parc Pairi Daiza de Cambron-Casteau où l’animal a été transféré dès le dimanche midi. Reste maintenant à savoir si ce reptile s’est enfui d’un terrarium ou bien s’il a été rejeté délibérément dans la nature par un propriétaire peu scrupuleux. S.G. Source
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Bordeaux : un serpent en pleine rue Lundi, trois agents de la CUB se sont retrouvés nez à nez avec un serpent de la famille des couleuvres. Capturé, le reptile se serait échappé de chez un particulier Il était environ 18 heures, lundi, lorsque trois agents de la Communauté urbaine de Bordeaux qui effectuaient une enquête dans le quartier de la Victoire, sont tombés nez-à-nez avec un serpent : "J’étais en train d’interroger une locataire au numéro 37 de la rue Moulinié", raconte Cynthia Bournerie. "Lorsque mes collègues sont sortis de l’immeuble en face, ils ont hurlé et m’ont crié de reculer. Quand je me suis retournée, un immense serpent était à moins d’un mètre de moi. Je ne sais pas d’où il sortait". "Surprise et un peu effrayée, la trentenaire, qui « n’a pas l’habitude de croiser des serpents lorsqu’elle travaille", a cependant gardé son sang-froid. Après avoir appelé les sapeurs-pompiers, elle a tenté, avec l’habitante de l’immeuble, de mettre l’animal dans une bassine. En vain. "Nous l’avons finalement coincé dans un coin pour ne pas qu’il s’en aille. Il n’était pas trop vif mais c'était tout de même impressionnant", précise Cynthia Bournerie. Le serpent a finalement été récupéré par les pompiers qui l’ont amené dans une animalerie voisine pour identification. Il s’agit en fait d’une élaphe asiatique. De la famille des couleuvres, ce reptile n’est pas venimeux et peut être vendu à des amateurs. Celui de la rue Mouliné se serait d’ailleurs vraisemblablement échappé de chez un particulier. Source
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Winnezeele : des passionnés ont sensibilisé le public au salon animalier Le président explique : « Nous souhaitons permettre à des passionnés, éleveurs ou distributeurs d’animaux, de partager leurs expériences et leur savoir avec le public ». Le salon présentait aux visiteurs des reptiles, mais également des oiseaux, de la volaille, des lapins… Cette activité d’élevage est extrêmement réglementée, comme le détaille Michel Louchart, de l’association CARAPAssion : « La détention d’animaux protégés par la convention de Washington est soumise à une autorisation préalable, délivrée par la préfecture. Il faut éviter d’acheter n’importe quoi à n’importe qui, et de faire n’importe quoi. L’exemple de la tortue de Floride, importée en masse puis relâchée dans la nature, en a fait une espèce invasive. » Il était aussi possible d’observer des oiseaux, des oies et des canards, des poneys… Également de goûter les miels parfumés de Cédric Tourbez, ou, pour les enfants, de faire le tour des stands avec Franklin, voire pour les plus téméraires de poser pour une photo avec la tortue. Source
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Les trois que tu as nommé pourrait te convenir. Les caméléons sont par contre plus fragiles mais en donnant des bons soins, ça devrait bien se passer. Les caméléons ne peuvent vivre dans aucun des terrariums que tu as déjà, c'est trop petit. Je dirais que seulement le 20 gallons pourrait convenir pour l'une des deux espèces de geckos. Dans cette taille, tu pourrais qu'en maintenir qu'un idéalement
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Tortues retrouvées mortes dans un sentier à Bedford
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Tortues retrouvées mortes dans un sentier à Bedford Une centaine de tortues ont été retrouvées mortes par une marcheuse dans un sentier de Bedford, en Estrie. La cause de leur mort reste inexpliquée. Le sentier de la nature de Bedford comprend une zone de conservation des tortues. Les marcheurs aperçoivent souvent des tortues dans le sentier, mais en fin de semaine, une marcheuse a découvert des tortues mortes. « Dimanche après-midi, une dame et sa fille sont venues prendre une marche ici et elles ont vu des tortues mortes. On ne savait pas combien, ni pourquoi, donc on est venus voir », souligne le maire de Bedford, Claude Dubois. Une centaine de tortues serpentines et de tortues peintes ont été découvertes mortes aux abords du Sentier de la nature. Des représentants d'Urgence-Environnement et du ministère du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs se sont déplacés en fin de semaine pour constater l'ampleur du phénomène. Un embâcle, qui s'est produit à la mi-mars, pourrait être avoir été fatal pour les tortues. « C'est une tortue qui va hiberner dans la vase en hiver. En théorie, la tortue sort très tôt au printemps pour la reproduction et la ponte se fait de la fin mai à la fin juin », explique la biologiste du Centre de la biodiversité du Québec, Édith Berthiaume. La tortue serpentine est une espèce très commune et répandue. Il s'agit de la plus grosse tortue d'eau douce au Canada. Sa carapace peut atteindre 50 centimètres de longueur. Source -
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Un guide touristique aux prises avec python de 3 mètres de long (vidéo) Une famille de touristes en balade sur un bateau à travers les marais des Everglades en Floride (USA) s’est retrouvée aux premières loges pour vivre un moment hallucinant. En effet, leur guide s’est retrouvé aux prises avec un python birman de 10 pieds (3 mètres) de long. Mardi, Tommy Owen, un guide touristique, était sur le bateau avec son collègue, Owen, et une famille de touristes lorsqu’il a repéré l’imposant serpent. L’espèce étant connue pour nuire à la faune indigène, il a sauté à l’eau afin de s’en emparer. « Je ne savais même pas qu’il faisait 10 pieds – j’ai certainement pensé qu’il faisait plus de 6 pieds (1,8 mètre, ndlr). Certainement plus grand que moi, mais j’ignorais qu’il faisait trois fois la taille de mon bras », a déclaré Owen à WBBH-TV. Owen a dit qu’il est parvenu à saisir la nuque du serpent et à l’incliner suffisamment vers le bas, en utilisant ce qu’il appelle « serpent ju-jitsu », de manière à ce que son partenaire puisse le tuer. « Avec un serpent, en particulier les grands, vous avez une chance de l’attraper par le cou, ainsi il ne pourra vous mordre. Je l’ai eu et j’ai pu par la suite exposer son cou à Warren afin qu’il le tue. Je voulais que sa tête soit loin, c’est la partie la plus dangereuse du serpent. » Source
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A 83 ans, elle repousse un varan de Komodo d'un coup de pied
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
A 83 ans, elle repousse un varan de Komodo d'un coup de pied JAKARTA, 11 avr 2013 (AFP) - Une Indonésienne de 83 ans a réussi à se libérer des mâchoires d'un dragon de Komodo, le plus gros varan du monde, avec beaucoup de courage et d'un simple coup de pied, a-t-elle raconté jeudi à l'AFP. Haisah, qui ne porte qu'un seul nom comme beaucoup d'Indonésiens, était affairée à tailler un manche à balais sur le perron de sa maison sur l'île de Rinca (est), un des rares endroits au monde où vit encore le varan, quand un "dragon" de deux mètres de long surgissant de nulle part, lui a saisi la main. "D'un seul coup, il a attrapé ma main droite dans sa gueule", a-t-elle expliqué à l'AFP depuis son lit d'hôpital. "J'avais un couteau dans la main mais il est tombé quand il m'a mordu. Il n'y avait personne autour de moi et je savais qu'il fallait que je me batte pour survivre". "Je lui ai alors lancé un coup de pied dans une patte, de toutes mes forces. Ce n'était qu'un coup de pied mais il m'a lâché la main". "Je vais bien maintenant", dit l'octogénaire, après avoir reçu 35 points de suture à la main droite. "J'espère que je vais récupérer l'usage de ma main pour pouvoir continuer à fabriquer des balais". Le varan (varanus komodoensis) est le plus grand reptile saurien carnivore du monde, pouvant atteindre trois mètres. Ce rescapé des temps préhistoriques est capable d'assommer un cerf d'un coup de queue et de dévorer une chèvre entière, crâne et cornes comprises. Début février, l'un d'eux a attaqué deux employés de la réserve animalière où nombre d'entre eux vivent, sur l'île indonésienne de Komodo, les blessant assez grièvement. En mars 2009, un pêcheur avait été tué par un dragon qui s'est attaqué à lui alors qu'il cueillait des fruits. Deux ans auparavant, un enfant de 9 ans avait perdu la vie dans des circonstances similaires. Il resterait quelque 3.000 dragons de Komodo. prm-sr-lv/ros Source -
Le fil de soie d’araignée enfin synthétisé Cela fait longtemps, très longtemps que les scientifiques espéraient pouvoir un jour reproduire le fil de soie de l’araignée et voilà chose faite. La soie qui compose les toiles d’araignées et qui scintille au soleil est un matériau exceptionnel de par sa résistance et sa légèreté. On compare souvent la soie à l’acier et l’on retrouve dans diverses littératures les rapports suivants : un fil de soie d’un diamètre donné est 2 fois plus résistant et 4 fois plus élastique que son équivalent en acier ; la ténacité de la soie d’araignée (çad le comportement d’un matériau à la rupture en présence d’une entaille) est légèrement plus faible que celle du Nylon mais son élasticité est deux fois plus élevée ; la résistance de la soie d’araignée à la traction est supérieure à celle des os, des tendons, du caoutchouc, de la cellulose ; Dans le corps d’une araignée, la soie se trouve sous forme liquide et est emmagasinée dans des glandes à soie. Il existe différentes glandes qui produisent différentes sortes de soie, mais la soie est toujours composée de protéines. Jusqu’à présent, le processus qui permet la transformation de la forme liquide et soluble à l’eau de la soie (interne) en une forme solide insoluble à l’eau (externe) n’était pas encore bien compris. La soie liquide se transformerait en fibre solide sous l’effet de la traction, ce qui modifie l’agencement de la structure de la protéine et donc ses propriétés (mais là, on entre dans les joies de la chimie organique). Le nombre de glandes à soie varie d’un groupe à l’autre et ce sont les araignées orbitèles qui présentent le plus grand nombre de glandes à soie (7 à en relation avec la complexité de leur toiles. Quelques applications pour l’homme ? Les scientifiques n’ont bien évidemment pas tenté de reproduire la soie d’araignée juste pour reconstruire de fausses toiles pour la fête Halloween… les applications au service de l’homme sont nombreuses : gilets par-balles pour remplacer le Kevlar (trop lourd et coûteux) fils chirurgicaux ligaments artificiels Les premiers prélèvements de soie se faisaient sur l’animal lui-même : on fixait une araignée vivante sur un support, face ventrale vers le haut ; on tirait ensuite un fil de soie depuis ses filières et on l’enroulait sur une sorte de roue à laine : Etant donné que les araignées sont des prédateurs et qu’elles se mangent entre-elles, il est impossible de faire de l’élevage sans séparer chaque individu, ce qui n’est pas économiquement envisageable. De rares vêtements ont été confectionnés en soie d’araignées mais vous comprendrez que vu la difficulté du prélèvement, les pièces étaient réservées à une certaine élite… L’année dernière (janvier 2012), une cape en soie d’araignée était exposée au Victoria & Albert Museum de Londres. Le vêtement a été confectionné à l’aide de la soie de plus d’un million d’araignées, et du travail de 80 personnes durant 5 ans… informations complémentaires : http://www.lepoint.fr/insolite/une-cape-et-un-chale-en-soie-d-araignees-exposees-a-londres-24-01-2012-1422932_48.php http://www.baladesentomologiques.com/pages/TISSU_EN_SOIE_DARAIGNEE_CE_NEST_PAS_UN_MYTHE-962530.html On pourrait penser remplacer la soie d’araignée par celle produite par d’autres arthropodes, tels les fameux vers à soie du Bombyx du mûrier (Bombyx mori – Lepidoptera) mais cette soie n’égale pas la résistance de la soie d’araignée, et est utilisée principalement pour le textile. Quand la science joue avec les gènes Dans les années 1990, et afin de recréer la soie d’araignée, des scientifiques ont eu l’idée d’isoler le(s) gêne(s) codant pour la protéine de soie d’araignée et de le(s) transplanter dans le patrimoine génétique de la chèvre : on a ainsi réussi à faire produire à des chèvres transgéniques cette précieuse fibre sous une forme soluble dans leur lait : http://www.guardian.co.uk/science/2012/jan/14/synthetic-biology-spider-goat-genetics La même méthode de transplantation génétique a été réalisée sur des plants de pommes-de-terre et de tabac permettant d’extraire la protéine de soie dans les feuilles et les racines de ces végétaux génétiquement modifiés : http://frank.itlab.us/spider_2002/silk_potato_tobacco.pdf Ce n’est que tout récemment (mars 2013) que l’entreprise AMSilk a développé pour la première fois une fibre de soie possédant les mêmes propriétés que la soie d’araignée. Le procédé de fabrication repose sur l’assemblage des protéines, chose qui n’avait pas encore été comprise jusqu’à présent. La fibre de soie s’appelle Biosteel. http://www.amsilk.com/en/products/biosteel-spidersilk-fibers.html Ce sont les chèvres qui vont être contentes ! Brigitte Segers Source
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ENVIRONNEMENT. UNE SORTIE DÉCOUVERTE DES AMPHIBIENS A RÉUNI UNE TRENTAINE DE CURIEUX À SIMANDRE. Des mares à sauvegarder En marge d’un programme de sauvegarde, le conservatoire des sites naturels bourguignons organise des sorties découverte des mares pour le grand public. Celle organisée vendredi soir, à Simandre, a fait le plein. Vendredi soir, ceux qui sont passés à proximité de la mare Michelet, à Simandre, ont dû se demander ce qui pouvait bien s’y passer… Une trentaine de personnes étaient en effet réunies sur les berges, lampes de poches à la main, en train de scruter les eaux. Tous étaient en fait en train d’essayer d’apercevoir des grenouilles, crapauds et autres tritons, dans le cadre d’une sortie découverte des amphibiens, organisée par le conservatoire des sites naturels bourguignons. « Ces animations ont pour but de sensibiliser le grand public aux problématiques des zones humides », explique Caroline Najean, animatrice pour le conservatoire. « Les mares sont des écosystèmes importants, mais elles régressent. Aujourd’hui, une espèce d’amphibien sur trois est menacée en Europe. » Travaux Les activités humaines (agriculture, pollution, mortalité routière…), mais aussi la maladie, sont responsables de cette menace. Pour la contrecarrer, le conservatoire a lancé un ambitieux programme de restauration de mares. « La Bresse est très intéressante à ce titre car, avec son sol très argileux qui retient bien l’eau, elle compte bon nombre de mares et étangs », précise Caroline Najean. Plusieurs communes comme Frontenard, l’Abergement-de-Cuisery ou Simandre ont répondu à l’appel du conservatoire et vont faire des travaux de restauration. Simandre est même très concernée, puisque six mares sur les dix-sept que compte la commune ont été déclarées intéressantes au vu des espèces qui y vivent. Pas faciles à voir… Ces espèces, que Caroline Najean a longuement présentées, vendredi soir, à la salle des associations, ce sont les grenouilles, les crapauds, les tritons ou encore les salamandres. Si, contrairement à l’idée reçue, beaucoup ne vivent pas en permanence dans les mares, elles en ont en revanche besoin pour se reproduire. Ce qu’a pu voir la trentaine de personnes présentes en se rendant ensuite au bord de la mare Michelet. Même si les pluies abondantes dans la journée, qui avaient bien remué l’eau et l’avaient rendue assez opaque, n’ont pas facilité l’observation, les curieux sont rapidement tombés sur une petite rainette, puis sur un ou deux tritons… Qui ont ravi les enfants présents. Rien que pour ça, l’opération a rempli son rôle : en se souvenant plus tard de cette sortie insolite, ils seront les premiers, une fois adultes, à militer pour la sauvegarde des mares. Source
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CONSIDÉRÉ ÉTEINT— SUR LE COIN DE MIRE: Redécouverte du scorpion “Lychas serratus” Les officiers du Durrell Wildlife Conservation Trust (DWCT), de la Mauritian Wildlife Foundation et du National Parks and Conservation Service (NPCS) ont redécouvert le scorpion Lychas serratus, endémique de Maurice, sur le Coin de Mire. Après analyses par le American Museum of Natural History des spécimens collectés sur place, le Dr Lorenzo Prendini, conservateur du département des invertébrés, a confirmé l’information. Le dernier spécimen connu date de 1868, fait ressortir le NPCS. C’est au cours des travaux de restauration des reptiles sur les îlots se trouvant au nord de Maurice que l’équipe de chercheurs a découvert le Lychas serratus. Le Dr Nik Cole, biologiste conservateur du DWCT qui mène les recherches dans le cadre de ce projet de conservation des reptiles, a remarqué que les spécimens rencontrés étaient différents des Isometrus maculatus, l’espèce la plus connue et la plus répandue à Maurice. Par conséquent, il a fait une requête pour que des spécimens soient collectés et envoyés aux États-Unis pour des analyses. Au musée d’histoire naturelle des États-Unis, c’est l’expert Lorenzo Prendini qui a pu confirmer qu’il s’agit bien du Lychas serratus. Selon le NPCS, le seul spécimen de ce scorpion connu date de 1868. Il a été collecté par un certain Nicholas Pike sur l’île Ronde, mais a malheureusement été endommagé durant cette opération. De nombreuses recherches ont eu lieu en 1940, 1980 et 1990 sur les îles se trouvant au nord de Maurice mais aucun autre spécimen n’a été vu, fait ressortir le NPCS. Dans une publication parue en 1999-Gerlach, J. 1999. The origins of Isometrus maculatus and other scorpions on the smaller islands of the western Indian ocean. Phelsuma 7 : 75-78, l’on suppose que l’espèce a disparu, poursuit l’organisme gouvernemental. Selon le NPCS, cette découverte est une preuve que les travaux de restauration entrepris dans les différents îlots de Maurice peuvent contribuer à découvrir de nouvelles espèces ou redécouvrir celles qu’on croyait éteintes. Dans un descriptif envoyé à la presse, le NPCS indique que le scorpion Lychas serratus est de couleur marron claire. Il mesure entre quatre et cinq centimètres de long et pèse entre deux et trois grammes. Le Lychas serratus vit dans l’écorce des arbres, les plantes grimpantes et dans la végétation. Il se nourrit d’invertébrés : mites, papillons de nuit, phalènes et tout autre type d’insectes. Il peut aussi être cannibale, fait ressortir le NPCS. Si l’on se fait piquer par ce scorpion, l’on ressent une douleur atroce. La victime peut aussi avoir un moment de paralysie à la partie affectée. « However this is temporary and the membrane recovers naturally », fait ressortir le NPCS. Source
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Serpent, arme ou ... épouse: qu'oublient les voyageurs dans les hôtels ? (Relaxnews) - Lastminute.com s'est intéressé aux découvertes les plus inattendues faites par les hôteliers après le départ de leurs clients. De la femme oubliée au serpent abandonné en passant par la fortune égarée, voici un petit florilège des étourderies les plus étonnantes. Un hôtelier à Prague (République tchèque) raconte qu'un mari, en voyage d'affaires, a déjà oublié de venir rechercher sa femme après sa journée de travail. Il aurait directement rejoint l'aéroport sans repasser par l'hôtel. Si ce ne sont pas les épouses, ce sont les mères. Un autre client, à Dublin lui, aurait de son côté omis de récupérer sa génitrice. À Majorque, un jeune homme aurait embarqué dans son vol retour sans se rendre compte qu'il avait laissé un ami, tranquillement endormi, à l'hôtel. Les animaux et autres petites bêtes figurent aussi comme une source d'oubli. À Washington, un serpent aurait été découvert par un vacancier lors de sa prise de chambre. Dans un 4 étoiles à Milan (Italie), c'est un chien qui aurait été abandonné. Son maître aurait même pris l'avion avant de se rendre compte de sa bévue. Des vacanciers à Budapest (Hongrie) auraient oublié, eux, d'emporter avec eux un sac rempli d'escargots, qu'ils avaient eux-mêmes chassés. Certains touristes vont même jusqu'à laisser derrière eux leurs armes. À Istanbul (Turquie), un client japonais n'a pas récupéré son épée Yakuza. Une même mésaventure est arrivée à un vacancier à Budapest. À Las Vegas, un officier est reparti sans son arme et son insigne. Parfois, des objets d'une plus grande valeur sont égarés. Une bague de fiançailles en diamant a dû être expédiée en urgence à un client d'un hôtel milanais. Un collier en diamant, d'une grande valeur, a aussi été découvert dans un établissement à Athènes. Une adresse à Washington a dû, elle, se prêter à une chasse au trésor particulière. 10.000 dollars avaient été dissimulés en divers endroits d'une chambre. Cette étude a été menée de mai à octobre 2012 auprès de 500 hôteliers à travers le monde. zs/ls Source
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Steve Ludwin, l'homme qui s'injecte du venin de serpent pour renforcer son système immunitaire Alors que de nombreuses personnes meurent chaque année mordues par des serpents, cet homme qui n’a peur de rien s’injecte lui-même du venin de ce même animal afin de renforcer ses défenses immunitaires. Le but ? Se préserver au final contre toutes les maladies infectieuses ! Il s'injecte du venin de Serpent par Gentside À 42 ans, Steve Ludwin a passé plus de 23 ans de sa vie a s’injecter régulièrement et volontairement du venin de serpent à plus ou moins haute dose. Non pas dans le but de s’abimer la santé, mais au contraire de préserver, voire même d’aider à renforcer son propre système immunitaire. S’immuniser contre tous les virus Alors que l’on dénombre chaque année près de 100 000 décès dus à des attaques de serpents et près de 250 000 personnes restant à jamais handicapées par de telles morsures, Steve Ludwin lui s’injecte pourtant quotidiennement du venin en vue de renforcer ses défenses immunitaires. En augmentant graduellement depuis plus de vingt la dose de venin que celui-ci s’injecte, Steve Ludwin espère ainsi aider son corps à créer des anticorps suffisamment résistant pour parer à n’importe quel virus. Possédant chez lui près de 28 espèces de serpents dont une seule de leurs morsures serait potentiellement mortelle, Steve Ludwin prélève quotidiennement un peu de venin de ses animaux afin de l’apporter à un laboratoire qui se charge de lui fabriquer un sérum visant à être injecté. Après l’injection, Steve Ludwin voit alors les muscles de ses bras quadrupler de volume au moment même où ses cellules s’organisent activement pour lutter contre le poison mortel. Fasciné par les serpents depuis son enfance Si bon nombre d’entre nous n’auraient que l’idée de s’enfuir à la vue d’un serpent, pour sa part Steve Ludwin admet connaître depuis l’enfance une réelle fascination pour ces spécimens. "Je ne parviens pas à expliquer mon obsession pour eux, j’aime les serpents depuis ma naissance", explique l’homme au site odditycentral.com. Mordu une première fois à l’âge de six ans par un serpent sur le chemin de l’école, cette expérience n’aura pourtant pas entamé l’amour que Steve Ludwin portait déjà aux serpents. Mieux: un peu plus tard, celui-ci ira jusqu’à prendre la décision à 17 de faire sa première injection de venin jusqu’à ce jour dramatique où Steve se rappelle pourtant avoir failli mourir. Après s’être injecté par accident un mélange mortel de trois doses de venins de serpents différents, l’homme a vu rapidement son heure arriver. Conduit à l’hôpital, les médecins ne donnaient en effet pas cher de sa peau, prédisant même à Steve que celui-i allait perdre son bras. Seulement et contre toute attente, Steve Ludwin s’en est sorti après trois jours de lutte. Se pensant désormais immunisé contre toutes les maladies, Steve Ludwin explique à nouveau : "À présent si un virus comme la grippe entre dans mon corps, mes cellules se chargent de le virer rapidement." Inutile cependant de dire que la démarche de cet intrépide passionné de serpent n'est à imiter sous aucun prétexte! Source
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La grenouille des Pyrénées fête ses vingt ans Voilà vingt ans, les spécialistes découvraient une nouvelle espèce dans les Pyrénées. Une petite grenouille qui navigue dans les torrents de nos montagnes. Ce n’est qu’en 1993 que la grenouille des Pyrénées a été officiellement reconnue. Non pas que le batracien d’à peine cinq centimètres vit le jour dans le massif ce jour-là. Mais les spécialistes ne l’avaient pas réellement différenciée d’autres espèces de grenouilles. Entre autres de la grenouille ibérique que certains spécialistes pensaient installée dans le massif. Ce batracien s’enveloppe d’une robe cannelle à gris olive. La femelle peut arborer des nuances rougeâtres. Silhouette svelte, c’est une espèce aquatique. Elle fréquente surtout les torrents de montagne, les eaux rapides froides et oxygénées. Certains observateurs l’ont surprise dans des abreuvoirs ou des fontaines où l’eau coule à perpétuité. Un territoire proche du mouchoir de poche dans les Pyrénées-Atlantiques On rencontre cette grenouille dans les Pyrénées occidentales et centrales. Sur le versent sud, sa population se distribue de la vallée d’Irati en Navarre jusqu’au parc national d’Ordesa et le Mont Perdu en Aragon. Sur le versent nord du massif, sa présence est plus que timide. Elle ne fréquente que les Pyrénées-Atlantiques. Sa présence a été notée dans quelques localités de la forêt d’Iraty. Mieux, selon le guide des amphibiens et des reptiles d’Aquitaine, la reproduction de l’espèce n’est connue que dans quatre ruisseaux du département : à l’heure actuelle, sa population occuperait un territoire de moins de deux kilomètres carrés. Un mouchoir de poche ! Selon l’encyclopédie virtuelle des vertébrés espagnols, l’espèce a l’habitude de se reproduire dans des zones que fréquente une autre espèce endémique pyrénéenne, une salamandre appelée calotriton des Pyrénées. Dès le dégel, entre février et avril, mâles et femelles cherchent leur âme sœur. Et les femelles cachent ses pontes sous des pierres, de la végétation ou dans le lit de rivières où le courant s’apaise. Protégée en France, l’espèce classée en danger par l’Union mondiale de la nature est menacée. Son habitat se détériore, quand il n’est pas détruit. Les spécialistes pointent du doigt une autre menace : l’introduction de truites dans les torrents de montagne. Ces poissons, adultes, ne les boudent pas à leur repas ! La grenouille des Pyrénées reste encore une espèce méconnue. Des études transfrontalières sont aujourd’hui réalisées pour assurer la conservation de sa population indique le guide des amphibiens réalisé par l’association Cistude Nature voilà trois ans. Virginie Bhat Source
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Le plus grand crocodile du monde : Lolong, le crocodile marin qui terrorise les marécages des Philippines Le crocodile marin, ou Crocodylus porosus, est le plus grand de tous les crocodiles. Appelé aussi "crocodile à double crête", il peuple principalement les marécages où Lolong, crocodile marin de plus de 6 m, a été capturé. Découvrez à travers quelques photographies ce terrifiant monstre marin. Le plus grand crocodile du monde, appelé Lolong, avait été capturé en 2011 dans un marécage de la province d'Agusa del Sur, aux Philippines, par une équipe mandatée par les autorités locales après avoir reçu plusieurs alertes concernant un crocodile mangeur d'hommes. L'année suivante, ce monstre des marécages de 6,17 m avait été déclaré le plus grand crocodile du monde par le livre Guinness des records. Malheureusement, le crocodile marin, Lolong, est mort en février dernier dans son enclos à Bunawan, pour des raisons encore inexplicables. "C'est un jour très, très triste pour nous. Il nous avait apporté la célébrité. Nous réfléchissons à présent à la conservation de sa dépouille", avait déclaré le porte-parole du la municipalité le jour de la mort de Lolong. Source
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Crapaud Le CAPAE Ouest reçoit plusieurs dizaines d’appels par an relatifs à l’exposition aux crapauds des animaux de compagnie. Ils concernent surtout les chiens, et dans une moindre mesure les chats. Le plus souvent les chiens s’enveniment en tenant dans la gueule un crapaud, même sans l’ingérer. Le risque d’envenimation est plus élevé entre avril et septembre (un pic est observé entre juillet et août). Les crapauds ont un système de défense constitué de deux types de glandes qui sont situées sur tout le corps. Ces glandes sécrètent du venin. La pression qui s’exerce sur le crapaud, lors de morsure par exemple, provoque l’éjection du venin. Le venin ne traverse pas la peau, c’est pourquoi il n’y a pas de danger à prendre un crapaud dans la main. Mais lors de contact avec la muqueuse de la bouche, il pénètre dans le sang, et il a principalement une action toxique sur le cœur et le système nerveux. Les symptômes apparaissent moins de 20 minutes après et peuvent évoluer sur plusieurs jours. Les signes cliniques d’une intoxication au venin de crapaud sont : une salivation importante (dans 70% des cas rapportés), des vomissements (dans 50% des cas rapportés), et de l’abattement (dans 12% des cas rapportés). Des signes d’atteinte nerveuse tels qu’une démarche anormale, des tremblements et des convulsions sont parfois rencontrés (dans moins de 10% des cas rapportés). Face à un animal qui a pris un crapaud dans sa gueule, il faut rincer la cavité buccale immédiatement et, si des symptômes apparaissent, contacter rapidement un vétérinaire. La gravité de l’envenimation dépend de la taille de l’animal exposé : Pour un gros chien, l’évolution est le plus souvent bénigne. Mais pour un petit chien, le contact buccal avec un crapaud peut être mortel ! Source