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Souhait d'un Eublepharis macularius (Gecko)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Roshiras dans Général
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Souhait d'un Eublepharis macularius (Gecko)
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Souhait d'un petit lézard pour débuter
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Roshiras dans Général
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Souhait d'un Eublepharis macularius (Gecko)
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Bazoulé, le village où les crocodiles protègent les hommes
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Bazoulé, le village où les crocodiles protègent les hommes Séjourner à Ouagadougou sans les voir était, pour nous, inimaginable. Nous avions, en effet, encore en tête les récentes attaques des crocodiles de Yamoussoukro. Tourisme : Bazoulé, le village où les crocodiles protègent les hommes Ouagadougou, il est 9 heures lorsque nous négocions des motos pour nous rendre à Bazoulé, bourgade assez singulière, où hommes et crocodiles vivent en bonne intelligence, et située à une vingtaine de kilomètres de la capitale burkinabé. Ce village est renommé pour abriter des crocodiles sacrés qui seraient descendus du ciel, il y a près de 600 ans. « Ils sont sacrés et quand ils meurent, nous leur faisons des funérailles. » Cette seule phrase avait réussi à nous faire oublier les crocodiles « mangeurs d’hommes » de Yamoussoukro. Sous un soleil strident avec une chaleur étouffante que tout visiteur redoute, nous empruntons deux motos et filons vers les « crocodiles sacrés » sur l’axe Ouagadougou-Bobo-Dioulasso. Ce site touristique est constitué d’un évasement naturel occupant une surface d’environ trois hectares alimentée par trois marigots prenant leur source dans les villages environnants. A Bazoulé, la légende raconte que tous les premiers habitants n’avaient pas d’eau pour s’abreuver. Puis, un jour, à la recherche d’un point d’eau, ils tombent sur un crocodile, qui, contre-toute attente, ne s’en prend pas à eux. Certains suivent discrètement l’animal, qui, dans ses pérégrinations, va les conduire à un étang d’eau, le tout premier de Bazoulé. En guise de reconnaissance, les notables de Bazoulé ont décidé de sceller un pacte secret avec ces animaux. Depuis ce temps-là, ces sauriens et les hommes vivent ensemble. Toutefois, chacun a sa version de cette légende. Selon notre guide Roamba Bernard, ces crocodiles seraient venus du ciel et c’est leur apparition en ces lieux qui a fait surgir les points d’eau sur cette terre aride. C’est sous le règne de Naaba Pazolgo que sont arrivés les crocodiles, il y a près de 600 ans, ajoute-t-il. A l’entrée du village, il n’y a pas besoin de poser des questions pour savoir les modalités de visites, tout est affiché. 250 F CFA pour les enfants de 7 à 12 ans, et 1000 FCFA pour les adultes. Les visiteurs doivent acheter un ou plusieurs poulets à 1000 FCFA l’unité, et suivre un guide qui se charge du reste. Après avoir respecté cette tradition, nous voici dirigé directement vers celui qu’on présente comme le mâle plus âgé de la famille « il a plus de cent ans » indique-t-il. A l’aide d’un poulet, Roamba l’attire sur la berge, s’approche de lui et à l’aide de son bâton entame une sorte de « conversation » avec le saurien. Il s’assoit ensuite sur l’animal, prend sa patte avant gauche dans sa paume et nous indique que c’est un signe de salutation. Chaque membre de l’équipe (nous sommes trois), devra faire les mêmes gestes que lui. La peur gagne les cœurs et je me lance en premier. Assis sur le saurien je touche sa peau rocailleuse après quelques secondes de frayeur, sous les encouragements de Roamba. Je caresse la bête, soulève sa queue avec toujours cette peur de me voir subir le triste sort du vieux Dicko. La partie aura duré moins de trois minutes. Mes accompagnateurs, galvanisés par ce que je venais de faire se prêtèrent aussi à ce jeu. La peur disparaît complètement après cette prise de contact et Roamba nous guide vers les zones où il y a plus de crocodiles. « Il y a plus de 200 crocodiles ici » nous apprend-il. Avec le même poulet et un bidon usé, il attire d’autres crocodiles hors de l’eau et les entasse sur la berge à l’aide de son bâton. Il nous fait ensuite signe de le suivre afin de nous présenter de plus près les crocodiles. « Les petits de forme sont les femelles et les plus gros sont des mâles. En dehors du plus vieux qui s’isole, les autres vivent ensemble. Ici on ne peut pas prendre le risque de s’asseoir sur l’un d’entre eux vu leur nombre. Mais, après 19 ans passés avec eux, je suis à mesure de comprendre leurs faits et gestes et donc de maîtriser leur tempérament » nous rassure Roamba. Après un tour entre les crocodiles (une quinzaine), nous retournons vers le plus ancien à qui nous offrons le poulet. Aussitôt qu’il a broyé le poulet, il retourne dans l’eau et nous laisse poursuivre notre visite. C’est ce moment que Roamba choisit pour nous donner des informations sur le mode de vie de ces "crocodiles sacrés". « Les crocodiles sortent de l’eau et se promènent parfois à la tombée de la nuit dans le village à la recherche de nourriture. Les villageois leur donnent le plus souvent de quoi manger (du poisson le plus souvent) et ils retournent dans l’eau sans attaquer un seul individu. Ces scènes sont si fréquentes ici que tous les habitants, même les enfants se sont habitués à ces reptiles sacrés et les accompagnent souvent. Ici, quand un crocodile meurt, on organise ses obsèques comme celles d’un Homme décédé. Nous avons vu nos parents le faire, ils nous ont dit que c’est ainsi que nos ancêtres faisaient et nous continuerons de le faire. Avec l’expérience que nous avons acquise auprès de nos parents, nous arrivons à établir la communication avec ces crocodiles. D’ailleurs ils nous prédisent souvent des malheurs ou des bonheurs qui doivent arriver au village. On peut le savoir à travers l’attitude des crocodiles. Par exemple, avant le décès d’un vieillard, un crocodile peut se déplacer et se présenter dans sa famille, certains soirs ils peuvent vagir aussi fort que des vaches, en battant leurs queues contre l’eau.» explique-t-il. Selon Roamba, lorsqu’une personne a un souci et qu’elle se confie aux crocodiles, elle obtient satisfaction. S’il indique que des personnes viennent à Bazoulé pour faire des offrandes et former des vœux, il, précise qu’il arrive que les crocodiles ne sortent pas souvent quand « la tête du client » ne leur plaît pas. Pour les habitants de ce village en majorité animiste et Moré (Mossi), ces reptiles jouent un rôle, à la limite, religieux. Ils servent de protecteur et sont les principaux facteurs de bonnes récoltes. Naaba Kiiba, roi actuel de Bazoulé étant absent à notre arrivée, ainsi nous n’avons pas pu le rencontrer. Ce site touristique qui est composé de six cases équipées avec des sanitaires, une restauration européenne et africaine accueille en moyenne 4000 visiteurs par an qui ont la possibilité de découvrir des tortues géantes, des maraîchers, des groupements féminins producteurs de beurre de karité, de faire des circuits de randonnées pédestres ou à VTT, et de faire des percussions et danses. La retenue d’eau de Bazoulé qui compterait près de 200 crocodiles a séché par endroit. Même s’ils sont « apprivoisés »et ne sont pas l’objet de braconnage, leur avenir est menacé par la sécheresse. Mais Roamba n’est pas de cet avis. Pour lui, ces crocodiles trouveront toujours de l’eau et « peut être que l’eau reviendra comme au temps de nos ancêtres, mais en saison pluvieuse, l’eau refait surface et au grand bonheur de tous » se convainc-t-il. Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE Source -
Souhait d'un petit lézard pour débuter
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Roshiras dans Général
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Souhait d'un petit lézard pour débuter
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Roshiras dans Général
Par chez nous, au Québec, ça se trouve dans n'importe quelle animalerie. En Europe, je ne sais pas mais je crois que oui. Il te faudra beaucoup de feuillage pour lui permettre de se cacher et se sentir en sécurité. Un thermomètre et un hygromètre pour t'aider à bien contrôler les paramètres de ton terrarium. Une lampe pour le chauffage dont le wattage va varier selon les température de chez toi. Une lampe pour les rayons UV et aussi un pulvérisateur pour t'aider à maintenir un taux d'humidité suffisamment élevé et aussi permettre à l'anolis de boire sur les feuilles. -
Souhait d'un petit lézard pour débuter
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Roshiras dans Général
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Une grosse araignée sème la panique dans un centre commercial
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Une grosse araignée sème la panique dans un centre commercial Une araignée géante a fait l'objet d'une véritable chasse à l'homme ce mardi dans un centre commercial allemand. C'est une fleuriste de ce centre commercial, situé dans le quartier de Lichtenberg près de Berlin, qui a lancé l'alerte, ce mardi vers 10 heures du matin, après avoir été mordue par une araignée "aussi grande qu'une main". La femme a dû être hospitalisée suite à une grosse réaction allergique. Aussitôt, le périmètre a été bouclé. Policiers et pompiers se sont mis à la recherche de cette grosse araignée, en vain! Ils ont alors fait appel à un exterminateur. L'arachnide a finalement été retrouvée, morte. Un expert a été appelé sur les lieux pour déterminer l'espèce d'araignée dont il était question. Source -
La Suisse ne veut pas de morts cruelles des reptiles
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
La Suisse ne veut pas de morts cruelles des reptiles La Suisse propose des solutions pour éviter des morts cruelles dans le cadre du commerce de peaux, servant à la fabrication des sacs et chaussures. Un reptile dont on veut utiliser le cuir doit être tué dans des conditions décentes. La Suisse va faire une série de recommandations au niveau international pour éviter les mises à mort cruelles, en Asie du Sud-Est notamment, a annoncé jeudi l'Office vétérinaire fédéral (OVF). Des serpents, des varans et des crocodiles sont souvent maltraités: on leur arrache la peau alors qu'ils sont encore vivants pour fabriquer sacs, chaussures et autres bracelets de montre de luxe. Avec ses recommandations, la Confédération tient les promesses faites aux élus fédéraux lorsque ceux-ci se sont prononcés sur une interdiction de l'importation de peaux de reptile. Après bien des péripéties liées au décompte des voix, le Conseil des Etats a enterré cette motion. Il serait plus efficace d'émettre des règles internationales et de les respecter, a fait valoir la majorité. L'OVF a franchi une première étape. A son initiative, un groupe d'experts internationaux a émis des recommandations à l'intention de l'Organisation mondiale de la santé animale, de la Conférence de l'ONU sur le commerce et le développement et de l'industrie du luxe. Les méthodes Les différentes méthodes d'abattage sont passées en revue. Sont jugées décentes celles qui n'entraînent pas de stress évitable à l'animal et qui le plongent immédiatement dans un état d'inconscience ou provoquent tout de suite sa mort. Il faut en outre qu'elles soient simples à appliquer. Les méthodes de destruction ou de désactivation mécaniques du cerveau sont mises en avant. Un coup violent sur la tête ou l'utilisation d'un pistolet à projectile captif sont des moyens simples et rapides. La dislocation du cou demande en revanche une technique appropriée et ne peut pas être réalisée de manière aisée, même sur des petits reptiles. Les injections ne peuvent être considérées comme praticables que là où les moyens techniques et humains sont disponibles (laboratoires, zoos). La décapitation doit être utilisée avec une autre méthode assurant la mort, comme piquer dans la colonne vertébrale. Source: ATS Source -
Togo : Des villageois hantés par un crocodile - Togo - Lomé le 26 avril 2013 koaci.com – A environ 60 km au nord-ouest d Lomé, pas d’eau potable pour les populations. A ce manque vient s’ajouter depuis une semaine pour les populations de Koudassi, une hantise par rapport au sort d’un crocodile blessé dans le barrage où elles se servent. Dans la nuit du dimanche 21 au lundi 22 avril, deux éléments des forces de l’ordre ont pris l’initiative d’abattre un crocodile dans la village de Koudassi. Naviguant depuis des années dans le barrage où se procurent en eau les populations, le crocodile atteint par une demi-dizaine de balles réelles, s’est élevé au-dessus de l’eau se tordant de douleur, avant de disparaitre dans l’eau. Depuis, c’est le désarroi au sein des populations. Selon un habitant du village, le préfet de l’Avé et le Commandant de la Brigade de gendarmerie de Kévé alertés ont fait le déplacement du village. A leur arrivée, après avoir écouté les villageois, ils ont amené avec eux, les deux éléments des forces de sécurité qui avaient déclaré être en mission pour abattre le crocodile. Mais contacté par koaci.com, le Commandant de la Brigade de gendarmerie a indiqué qu’il s’agit là d’ « allégations » fallacieuses. Le gendarme a donné l’impression de ne rien savoir de cette affaire. Le préfet de son côté a refusé de se prononcer sur la véracité ou non de l’information, exigeant du journaliste de faire le déplacement pour plus « amples informations ». Depuis, toutes les battues organisées par les habitants pour retrouver le crocodile mort ou blessé, n’ont abouti à aucun résultat. Du coup, les populations n’arrivent plus à s’abreuver à la source du barrage, par peur de la bile du crocodile, réputée très venimeuse, ou de se retrouver face à la furie de la fauve blessée. « Depuis lundi, personne ne va plus chercher de l’eau au barrage, tout simplement parce qu’on n’a pas jusqu’alors vu le crocodile mort ou blessé », a expliqué à koaci.com un autochtone avant de poursuivre, « s’il est mort et resté sous l’eau, sa bile est très dangereuse et dans ces conditions, ceux qui boiront l’eau vont mourir ». Mais faute de disponibilité en eau potable, les populations sont désormais contraintes de parcourir de longues distances pour s’en procurer. Une tâche qui revient aux élèves, obligés de se lever tôt le matin pour cela. Finalement, le préfet de la localité a promis envoyer des pêcheurs pour ratisser le fond du barrage à la recherche du crocodile, a indiqué le Chef traditionnel du village de Koudassi. Réputé dangereux pour sa bile, le crocodile d’ordinaire ne meurt jamais dans l’eau. Aghu Source
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Insolite : Avoir un crocodile pour meilleur ami ?
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Insolite : Avoir un crocodile pour meilleur ami ? Certains d'entre nous n'ont pas froid aux yeux ! C'est le cas de ce Costaricain, Chito qui passe ses journées à nager avec Poncho, son crocodile. Insolite : Avoir un crocodile pour meilleur ami ?Vidéo Insolite sélectionnée dans Insolite Ce Costaricain prénommé Chito, âgé de 52 ans, est un pêcheur qui, au fil des années, a noué des liens très forts et particuliers avec Poncho, un énorme crocodile. Leur entente inouïe provient peut être du fait que Chito ait sauvé la vie du crocodile en le soignant d'une blessure par balle il y a plus de 20 ans. Les deux meilleurs amis se sont rencontrés sur les rives du fleuve Parismina où l'homme avait aidé l'animal à l'agonie. Maintenant, ils sont inséparables et passent de longue journée ensemble à s'amuser dans l'eau. Il faut le voir pour le croire ! Découvrez également l'histoire de cet homme qui, attaqué par un crocodile, a survécu en lui donnant des coups de poings ! Source -
Un alligator s'invite sur le green VIDÉO - Un reptile amputé d'une patte est venu se promener sur la pelouse, pendant le tournoi de golf GPA de la Nouvelle-Orléans. Les joueurs du tournoi de golf PGA de la Nouvelle-Orléans ont reçu la visite d'un invité surprenant ce jeudi : un alligator. Le parcours est bordé de végétation, notamment d'une marre infestée de reptiles. Amputé d'une patte, il pouvait tout de même constituer un danger pour les participants. Habituellement, ces animaux préfèrent éviter les conflits avec les hommes. Lorsqu'ils sont petits, ils ne s'en prennent qu'à des poissons ou de petits animaux vivants près des points d'eau comme les grenouilles. Mais une fois qu'ils ont atteint l'âge adulte, ils peuvent devenir de redoutables prédateurs. Le joueur présent au début de la vidéo a dû se faire une belle frayeur en voyant le reptile arriver dans son dos. L'homme que l'on aperçoit ensuite dans sa voiturette prend ses distances dans un premier temps, avec d'être le premier témoin de ce drôle de spectacle. Source
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Dijon : torches, bottes et grenouilles La dix-neuvième édition de l’opération nationale “Fréquence grenouille” se déroule depuis le 1er mars et jusqu’au 31 mai. Les grenouilles bientôt en voie de disparition ? La raréfaction progressive des zones humides nuirait, en effet, à de nombreuses plantes et animaux. Face à cette situation, le réseau des Conservatoires d’espaces naturels de Bourgogne (CEN) relaie l’opération “Fréquence grenouille”, en organisant diverses animations. Ainsi, vendredi soir, le CEN et l’association Arborescence ont proposé une manifestation ouverte à tous, au bois de Ru de Pouilly, à Dijon. Une vingtaine de personnes ont fait le déplacement. « L’objectif de l’opération est de sensibiliser les gens sur l’importance des zones humides », explique Cédric Foutel, chargé de missions éducation sensibilisation au CEN. Un diaporama sur la vie des amphibiens a été projeté, avant une visite nocturne de la mare présente sur le site. Après avoir enfilé leurs bottes, les participants sont allés à la rencontre des amphibiens autour d’une mare. Munis de lampes de poche, ils n’ont pu apercevoir qu’une seule grenouille. En revanche, deux espèces de tritons ont été identifiées : le palmé et l’alpestre. L’opération “Fréquence grenouille” se poursuit ce samedi, à 10 heures, sur la place de la mairie, à Clémencey. L’animation “Marin d’eau douce”, gratuite mais avec réservation au préalable, permettra aux personnes intéressées de partir à la recherche de la faune des mares. Info Pour tout renseignement sur cet événement : Thomas Morant, tél. 03.80.51.04.51 ou par mail : contact.nature@ Source
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Souhait d'un petit lézard pour débuter
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Roshiras dans Général
Il est extrêmement difficile de combler ton désir dans ses conditions. Je ne connais pas les prix du marché en Europe mais je vais me fier au prix d'ici. Dans ces prix là, il y aura des petits lézards qui seront remplir les besoin dans l'espace. On parle ici d'Anolis carolinensis, Anolis sagrei ou encore Hemidactylus frenatus qui sont fréquent sur le marché mais sont plus arboricole que terrestre. C'est peut-être aussi que j'ai mal compris le principe mais tu veux une partie aquatique et une partie terrestre c'est bien ça? Parce que dans ce cas, il faut vraiment opté pour des espèces de milieu tropicale. Malheureusement, ce sont des espèces nerveuses donc pas les plus faciles à manipuler. Ils peuvent l'être mais avec du travail ardu pour les calmer. -
Rennes : le crapaud calamite vit ses amours dans les réserves d'eau de la ville C'est en ce moment, la saison des amours des crapauds et autres batraciens, l'occasion pour les naturalistes de faire le point sur les populations. Au barrage de la Chèze-Canut, une des réserves en eau de la ville de Rennes, on trouve une colonie de crapauds calamites, espèce rare et protégée ! Quelques 200 crapauds calamites, espèce rare et protégée, ont trouvé refuge au barrage de la Chèze-Canut, à Saint-Thurial, une des réserves en eau de la ville de Rennes. Le gestionnaire du site redouble d'efforts pour en maintenir le nombre ! C'est actuellement et depuis la fin du mois de mars, la saison des amours de ces crapauds, l'occasion d'entendre le doux chant du batracien, mais surtout de les dénombrer. Pour leur faciliter la tâche, les naturalistes qui s'occupent de leur protection, font tout pour leur installer un environnement favorable. Les berges sont aménagées, les saules coupés, ou à l'inverse on laisse la végétation croître... Car on le sait, dans la nature, toutes les espèces sont importantes, si l'une d'elles vient à disparaître, c'est tout le milieu qui se déséquilibre ! Le reportage à Saint-Thurial (35) de Séverine Breton et Fabien Delaury Interviews : - Jérémy Lacour, Responsable de la gestion des terrains autour du captage d'eau potable Syndicat Mixte de Production du Bassin Rennais - David Clausse, Directeur Syndicat Mixte de Production du Bassin Rennais - Elodie Bouttier, Chargée d'études Bretagne Vivante Source
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Quand un crocodile mord une anguille électrique Au Brésil, un homme va filmer une scène relativement rare d’un crocodile qui va attaquer une anguille électrique et va se faire électrocuter par cette dernière en retour. Pour rappel, l’anguille électrique est capable d’envoyer des décharges électriques allant jusqu’à 700 volts et peuvent tuer des humains. Source
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PLAIES HUMIDES: Du gecko à l’adhésif qui colle lorsqu’il est mouillé
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
PLAIES HUMIDES: Du gecko à l’adhésif qui colle lorsqu’il est mouillé Parce que le gecko parvient à conserver une prise ferme dans un habitat naturel humide, il a déjà inspiré de nombreuses recherches, l’objectif étant de parvenir à développer un adhésif synthétique qui colle en environnement humide, comme à l'intérieur du corps pour les interventions chirurgicales, ou pour le soin de plaies humides. Cette équipe de l’Université d'Akron qui n’en est pas à sa première recherche, décrypte, dans les Actes de l’Académie des Sciences américaines (PNAS), comment l’adhérence est associée à la « mouillabilité » du support. Les chercheurs Akron ont découvert que les surfaces hydrophobes comme celles des feuilles et des troncs d'arbre vont permettre, en toute sécurité, l'emprise du gecko comme sur une surface sèche. L’équipe étudie depuis longtemps les propriétés adhésives des pattes des geckos et ont déjà attribué cette capacité hors norme aux minuscules poils collants qui collent comme un Velcro. Mais, dans une étude publiée en 2012 dans le Journal of Experimental Biology l'équipe avait découvert que les geckos perdent leur emprise sur le verre humide. Ce constat a conduit les scientifiques à explorer à nouveau comment ces lézards fonctionnent en milieu naturel. Tant que la surface est hydrophobe…Les scientifiques ont étudié l’emprise de 6 geckos, équipés de harnais et tirés doucement alors qu’ils étaient placés dans des conditions humides et sèches. Les chercheurs constatent que la force d'adhérence est en corrélation avec la mouillabilité, ou la capacité d'un liquide à maintenir le contact avec une surface solide. Dans le cas du verre, qui a une grande mouillabilité, un film d'eau se forme entre la surface et le pied du gecko, ce qui diminue l'adhérence. En revanche, sur les surfaces à faible mouillabilité, tels que les feuilles des plantes tropicales, les zones en contact avec les orteils du gecko restent sèches et permettent une bonne adhérence. Tant que la surface est hydrophobe, les geckos restent accrochés aussi bien sous l'eau que sur une surface sèche. Cette nouvelle étape permet à l’équipe d’avancer dans la conception de son adhésif synthétique inspiré du gecko. Source -
Découvrir l'importance des zones humides grâce à l'opération Fréquence Grenouille Fréquence Grenouille, du 1er mars au 31 mai, vise à sensibiliser la population à la nécessité de préserver les zones humides, milieux de vie indispensables à l’équilibre de notre planète. Elles disparaissent, et avec elles de nombreuses plantes et animaux sauvages dont les amphibiens. Pour la sixième année consécutive, le réseau des Conservatoires d'espaces naturels et Réserves Naturelles de France co-organisent près de 500 animations : sauvetages de batraciens, aménagements de crapauducs, conférences, expositions, ateliers pédagogiques afin de mieux connaître grenouilles, crapauds et tritons, et découvrir les écosystèmes fragiles que sont les zones humides en France métropolitaine et en Outre-mer. Elles assurent de nombreuses fonctions indispensables aux équilibres biologiques, dont l’homme est souvent et directement bénéficiaire. Ces milieux régulent les échanges entre les eaux de surface et les nappes phréatiques. Ils sont de véritables filtres et baromètres attestant de la préservation de la qualité de l’eau nécessaire à toute vie. Depuis le début du XXe siècle, les deux tiers des zones humides ont disparu en France. On estime qu’elles continuent actuellement à disparaître au rythme d’environ 10 000 hectares par an, avec un cortège extraordinaire d’animaux et de plantes. Source
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Serpent sur Internet Le 22 septembre dernier, les pompiers sont appelés pour la capture d'un animal dangereux chez un particulier, à Reuilly. Un véhicule tout usage est engagé. Mais à leur arrivée, les pompiers découvrent un serpent menaçant et très vif. L'animal est capturé. En concertation avec le Codis, ils décident de prendre des photos de l'animal, de les envoyer en temps réel, via Internet, au centre opérationnel afin de déterminer de quel type de serpent il s'agit. Les photos sont alors comparées avec des données sur la toile. Il s'agit en réalité d'une grosse couleuvre inoffensive, appelée sanglard. Et non pas d'un nouvel animal de compagnie, comme les pompiers auraient pu le supposer. L'animal a donc été relâché dans la nature, vers la rivière de l'Arnon. Source
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Un serpent à Antoing ? Sûrement pas… Les orvets ressemblent très fort à des serpents, mais il s’agit en réalité de lézard sans patte. ANTOING - Un passant croit avoir vu un grand serpent, et un plus petit. Un orvet, lézard sans pattes, a été retrouvé. Mais aucune trace d’un plus grand spécimen. Un homme a pris contact avec la police d’Antoing ce lundi matin. Il venait d’apercevoir deux serpents, un petit et un plus grand, le long de la rue de Fontenoy, non loin de la voie ferrée. Sur place, des policiers et des pompiers ont effectivement retrouvé un spécimen d’une petite trentaine de centimètres qu’ils ont ramené au musée d’histoire naturelle de Tournai. Il s’agissait bien sûr d’en savoir un peu plus sur son degré de dangerosité; il est vite apparu qu’il s’agissait d’un orvet, un animal qui contrairement aux apparences est un lézard dont les pattes se sont atrophiées au cours de son évolution. L’orvet était en piteux état. «Il était à moitié mort, il avait sans doute été écrasé par une voiture; il a malheureusement dû être euthanasié», nous disait hier Mathieu Bufkens, un des soigneurs du musée. La présence de l’orvet à Antoing n’est pas du tout étonnante, insiste-t-il : «C’est une espèce très présente dans le Tournaisis et dans tout le bassin carrier. D’habitude, les orvets et tous les reptiles en général sortent plus tôt de leur état d’hibernation; depuis quelques jours, la température est plus clémente et on a davantage de chances d’en voir dans la nature», explique le naturaliste en instant sur le caractère tout à fait inoffensif de l’animal qui se nourrit d’escargots, d’araignées, de chenilles et autres larves. « Pas de panique ! » Surpris voire apeuré par sa double découverte, le passant n’a pas eu l’occasion d’observer dans le détail l’autre serpent aperçu dans le même quartier, dans une propriété occupée notamment par un hangar. Il s’agirait d’un spécimen compris entre 1,50m et 2,50m (NDLR : excusez du peu!) qui se serait immédiatement fondu dans la nature à la vue du témoin. «À vrai dire, nous disposons de très peu d’informations au sujet de cet animal mais nous n’avons rien laissé au hasard», indiquait hier en fin d’après-midi le commissaire André Mortier. Et pour cause : le moindre mètre carré de l’espace où aurait pu se cacher le serpent a été inspecté en cours de matinée, et des pompiers de Tournais spécialisés dans les NAC (l’acronyme qui désigne les nouveaux animaux de compagnie) sont revenus sur place en milieu d’après-midi pour en avoir le cœur net. Ils n’ont trouvé aucune trace de serpent, ni aucun élément qui laisserait penser qu’un tel animal séjourne actuellement dans le quartier. S’agissait-il d’un deuxième orvet, voire d’un petit animal que le témoin aurait pris pour un serpent? C’est tout à fait possible. «C’est un phénomène assez classique, qui arrive régulièrement. En raison de la peur que les serpents suscitent, certaines personnes ont tendance à exagérer leurs dimensions. On nous appelle parfois pour un serpent de deux mètres alors qu’en réalité il s’agit d’un orvet de trente centimètres», fait remarquer M. Bufkens, en possession de trop peu d’éléments pour émettre la moindre hypothèse quant à l’espèce d’animal aperçue à Antoing. À la police, on n’excluait pas l’hypothèse qu’il puisse s’agir d’un serpent sorti du vivarium d’un habitant du coin. Mais c’est quand même fort improbable. D’une part, parce que la seule personne en possession d’un permis d’environnement pour détenir pareil animal réside loin de là, à Fontenoy. D’autre part, en raison du fait que les spécialistes estiment que s’il devait s’agir d’un gros spécimen de deux mètres, il n’aurait pas disparu si vite dans la nature. «Pas de panique!», rassure donc le commissaire d’Antoing. Qui invite quand même tout un chacun à appeler la police s’il était témoin de quoique ce soit à ce sujet. Source
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SALON DES BESTIOLES et REPTILES
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
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Saint-Martin-Boulogne : un serpent mexicain capturé dans une boucherie La gérante d’une boucherie de Saint-Martin-Boulogne a eu une peur bleue, mardi matin, lorsqu’elle s’est retrouvée nez à nez avec un serpent dans son magasin. « Je revenais du laboratoire avec des plats cuisinés sur un plateau quand j’ai aperçu un serpent entre le magasin et le labo. Les plats ont valsé ! », témoigne la patronne de ce magasin situé sur la route de Saint-Omer. On imagine bien sa frayeur à la vue de ce reptile rouge strié de bandes blanches et noires. Il s’agissait d’un serpent de type « Faux corail de Campbell », une espèce plus habituée à fréquenter les régions arides du Mexique que les boucheries du Pas-de-Calais. « Il a longé le mur et s’est caché derrière ma machine à hachoir, poursuit la gérante. J’ai mis des seaux de chaque côté pour ne pas qu’il sorte. » Elle a ensuite appelé les pompiers, qui se sont déplacés et ont rapidement capturé la bête. Ce serpent d’une soixantaine de centimètres de long a ensuite été récupéré par le service animalier Opale capture, qui devait le transférer ce mercredi au centre de sauvegarde de Calais. Reste à savoir d’où cet animal provenait. « Je ne sais pas du tout comment il est arrivé là. Mais c’est honteux de laisser des animaux comme ça en liberté », lance la gérante de la boucherie, encore apeurée. Cette espèce, qui appartient à la famille des « nouveaux animaux de compagnie », est vendue librement dans les animaleries du secteur. Source
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Un serpent dans la ville L’animal a été retrouvé lundi dans la rue Moulinié. Il était 18 heures, lundi, lorsque trois agents de la CUB, qui effectuaient une enquête dans le quartier de la Victoire, sont tombés nez à nez avec un serpent : « J’interrogeais une locataire au 37 rue Moulinié, lorsque mes collègues sont sortis de l’immeuble en face, raconte Cynthia Bournerie. Ils m’ont crié de reculer. Quand je me suis retournée, un serpent était à moins d’un mètre de moi. Je ne sais pas d’où il sortait. » Surprise et un peu effrayée, la trentenaire a gardé son sang-froid. Après avoir appelé les secours, elle a tenté, avec la locataire, de mettre l’animal dans une bassine. En vain. « Nous l’avons coincé pour ne pas qu’il parte », précise Cynthia Bournerie. Le serpent a finalement été récupéré par les pompiers qui l’ont amené dans une animalerie pour identification. Il s’agit en fait d’une élaphe asiatique. De la famille des couleuvres, ce reptile n’est pas venimeux et peut être vendu. Celui de la rue Moulinié se serait d’ailleurs vraisemblablement échappé de chez un particulier. Source
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Carcassonne. Un python de 2,50 m au pied de la Cité
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Carcassonne. Un python de 2,50 m au pied de la Cité C'est un habitant d'une résidence proche de la CAF qui promenait son chien qui a découvert le reptile mort dans les herbes. Un énorme python réticulé de plus de 2, 50 mètres de long qui avait le ventre bien plein... Quand Jason, un riverain du quartier des berges de l'Aude est sorti promener son chien dimanche, il a découvert ce monstre enfoui sous les herbes. «La chienne reniflait quelque chose. Puis, elle a reculé. Je me suis approché, et j'ai vu ce serpent, le plus gros que j'ai vu de ma vie. Je me suis aperçu de suite qu'il était mort, sinon, j'aurais vraiment eu peur», raconte-t-il. Ce gros serpent, c'est un python réticulé, une espèce originaire de l'Asie du Sud-Est qui se plait dans les zones humides au climat tropical, dans les lisières de forêts et près de l'eau… Il n'est pas réputé dangereux pour l'homme, car il s'agit d'un serpent constricteur non venimeux, il peut toutefois avaler sans peine un bébé de quelques mois, des canards, ragondins, pigeons, souris, lapins etc... Un véritable chasseur et prédateur qui vit caché, et, qui dans tous les cas n'a rien à faire sur les paisibles berges du fleuve Aude. Un cabinet vétérinaire, spécialisé dans les NAC (nouveaux animaux de compagnie), situé quartier la Prade à Carcassonne a été sollicité par nos soins, afin de déterminer l'espèce, dans un premier temps. Les médecins, intrigués, se sont proposés en fin de journée d'hier de récupérer la (puante) dépouille afin de la faire incinérer et, peut-être, de satisfaire une naturelle curiosité eu égard aux photos que nous leurs avions adressées. L'un des vétérinaires du cabinet reconnaissait : «depuis dix ans que je suis ici, je n'en ai jamais vu d'aussi grands». «Généralement, nous voyons des pythons royaux, dont la taille maximale atteint 1, 50 mètres. Celui-là, ce réticulé, est particulièrement gros». Et d'affirmer qu'aucun client de leur cabinet ne possède un tel animal. Manifestement, le serpent n'est pas mort depuis longtemps (trois jours maximum) et, comme en témoigne la photo ci-dessous (prise par le promeneur au moment de sa découverte), il s'est nourri tout récemment. Impossible de dire depuis combien de temps il se trouvait sur les berges. Soit il s'agit d'un NAC en fugue. Soit il s'agit d'un reptiple abandonné par son propriétaire. Ou, dernière hypothèse, il peut être mort et avoir été jeté là par son maître, ne sachant qu'en faire ou voulant transformer cette disparition en mauvaise blague. Le fait est que compte tenu de l'amélioration des conditions météo, ce monstre aurait pu squatter les berges jusqu'en septembre, voire octobre ! Et qu'un pêcheur ou un promeneur aurait pu tomber sur lui, vivant ! L'achat de ce genre d'animal «exotique» fait l'objet d'une déclaration. En revanche, rien n'impose au propriétaire de déclarer sa perte, sa fugue, son décès, ni même son abandon. Et évidemment, ces bêtes-là ne sont pas pucées et tatouées comme on le fait pour nos animaux domestiques. Dont acte. Il y a de fortes chances pour que nous ne sachions jamais d'où provenait ce serpent et depuis combien de temps il rôdait entre pont Neuf et pont Vieux. Peut-être, d'ailleurs, y en a-t-il d'autres si un Carcassonnais a décidé de vider un terrarium. Source