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nombre de voleries, fauconniers et centre de reproduction
sokol a répondu à un(e) sujet de francois.nath dans Reproduction naturelle
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Lorsque j'ai commencé la fauconnerie, les éleveurs étaient comptés sur les doigts d'une main et les listes d'attentes impressionnantes. Il y a dix-quinze ans, on a vu apparaître des gros centres d'élevage sortant une centaine de jeunes par an. Depuis 5-6 ans, ces gros centres ont été sujet à des offres "que l'on ne peut pas refuser", passant ainsi dans les mains de propriétaires se gardant tous les jeunes. L'offre est donc réduite et la demande refait la queue, certainement pour les hybrides et les gros oiseaux. Les prix remontent et c'est bien. Beaucoup d'éleveurs ne couvraient pas les frais d'exploitation, leurs heures étant oubliées et les investissements considérés comme dépenses personnelles. Ouff diront-ils! Mais quant aux oiseaux, le changement est là aussi. La folie des gros oiseaux est toujours présente dans le Sud: forme de pèlerin de 1200 à1300gr= vente assurée. forme de gerfaut à 1800gr: bonne année aussi Hydrides g/p: en forme les 1300gr et plus se demandent, les très grosses s'arrachent! Les tiercelets de moins de 950gr ne sont plus regardés avec le même œil que ceux de 850gr non plus! Cependant, les compétitions de vitesses ont ouvert un intérêt nouveau pour des hybrides négligés: les g/barbarie. C'est une bonne nouvelle pour beaucoup. Tout le reste est pour le marché européen. Comment les caprices évoluent-ils? La folie des très petits pèlerins passe. Le choix des sous-espèces s'estompe sauf pour les plus fortunés qui ne jurent que par peals, shaheens etc...mais ils sont peu nombreux! Quelques couples ont des produits convoités (en Angleterres, on se réserve des produits de certaines formes à plus de 3 ans!). Mais la tendance est clairement au choix d'un oiseau et non de sa génétique théorique. L'on préfère choisir un oiseau que de réserver sans voir un peregrinus ou tout autre sous-espèces. C'est bien aussi. La couleur importe assez peu. Les acheteurs font soit confiance à l'éleveur soit choisissent en fonction de la morphologie une fois sur place. Une remarque aussi: l'analyse médicale aux Emirats est vraiment un critère de re-commande pour l'avenir. Il semble que beaucoup d'éleveurs vendent des oiseaux malades sans le savoir (aspergillose, etc..), c'est souvent le cas d'allemands. Le marché évolue donc plus vers un choix précis et technique que vers une hypothétique souche géographique. Ou est le temps où chaque pèlerin faisait baver d'envie les jeunes fauconniers? Maintenant, ils ne se contentent plus de n'importe quoi. On monte la barre (comme dirait quelqu'un que je connais bien:D ), le progrès est là aussi!
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année catastrophique pour la perdrix
sokol a répondu à un(e) sujet de Maya08 dans La chasse : territoires – aménagements - gibier - droits de chasse
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Le Maltais à vendre aux enchères et estimé 1.000.000$
sokol a répondu à un(e) sujet de sokol dans Divers et suggestions
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Le Maltais à vendre aux enchères et estimé 1.000.000$
sokol a posté un sujet dans Divers et suggestions
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J'ai essayé cette année avec une forme de barbarie imprégnée qui a élevé 4 jeunes (1 pèlerin et 3 hybrides). Elle m'a permis sans soucis de les approcher dans la volière et de les nourrir du bout des doigts. Le seul résultat que j'ai pu analyser et ne mérite donc pas d'être généralisé est basé sur la forme de pèlerin que j'ai volée. La différence avec d'autres de la même souche n'était pas flagrante: le caractère était tout aussi désagréable au début de l'affaitage. J'ai l'impression que la génétique marque plus que ces manipulations. Pas de doute, la méthode peut être améliorée, on verra l'an prochain si les résultats sont pareils.
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J'ai essayé cette année avec une forme de barbarie imprégnée qui a élevé 4 jeunes (1 pèlerin et 3 hybrides). Elle m'a permis sans soucis de les approcher dans la volière et de les nourrir du bout des doigts. Le seul résultat que j'ai pu analyser et ne mérite donc pas d'être généralisé est basé sur la forme de pèlerin que j'ai volée. La différence avec d'autres de la même souche n'était pas flagrante: le caractère était tout aussi désagréable au début de l'affaitage. J'ai l'impression que la génétique marque plus que ces manipulations. Pas de doute, la méthode peut être améliorée, on verra l'an prochain si les résultats sont pareils.
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J'ai vermifugé ma forme avant-hier et ce matin elle crachat du sang par les poumons. Une très bonne dose d'antibiotiques et deux seringues de sérum physiologique l'ont "récupérée" provisoirement. Aux dires de notre vétérinaire de service toujours disponible, il semble qu'une hyper parasitose soit à l'origine des effets secondaires subis. Comment faire alors? D'abord les antibiotiques et puis le vermifuge? Une demi-dose de vermifuge pour ne pas tout tuer d'un coup? Aucune idée....
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Une forme de pèlerin ayant eu des jeunes entre Liège et Marche-en-Famenne a eu ce comportement étonnant: Alors que les jeunes volaient depuis 10 jours, la forme s'en est allée vers Couvin. Lendemain vers Reims et ensuite à Orly. Elle est restée trois jours à Orly pour revenir en sens inverse vers sa nichée émancipée depuis. Le tout a été suivi par gps. Bizarre, non?
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