Marine-perruche

Bonjour, Vétérinaire d'urgence, risque important de septicémie, d'hémorragie, de souffrance physique (besoin d'antidouleur, d'anti-inflammatoire?). Et offres leur un cadre de vie sécurisé, sans chats.

J'ai trouvé ce reportage génial !!! Même si ce n'est que 5 minutes, quel plaisir de retrouver Johanne dans toute sa splendeur, son énergie et son dynamisme. J'ai adoré quand un des compagnons a imité son rire. On sent que Johanne est vraiment faite pour comprendre les perroquets élevés à la main. Merci Johanne pour ces 5 courtes mais précieuses minutes. J'ai été très fier également de lire le lien de la Fondation saint-Marseille (Bravo à Joanne et Caroline pour leur travail). J'ai trouvé que, pour un très court reportage, c'est très bien amené. On n'est pas sur un débat global avec plusieurs variables et toute sa complexité, on est sur la sensibilisation et l'information au sujet de l'adoption de perroquets. On est sur une vérité enfin révélée publiquement, et de prime, accepté et validé par les médias, que l'EAM fait des ravages et qu'il faut favoriser d'autres approches, comme les EPP ou la MAN, et surtout les adoptions auprès d'organismes sérieux et éthiques, non auprès d'éleveurs avides de rendement. GÉNIAL !! C'est un début prometteur pour l'accès généralisé à l'information responsable et adaptée au bien être animal. C'est ainsi, par étape de sensibilisation qu'on évoluera vers ce qui est favorable aux oiseaux captifs. Johanne n'a pas dit son dernier mot

Je trouve l'EAM pertinent dans le seul cadre où il est mis en place pour sauver une espèce en voix de disparition, puis, toujours dans ce cas, où l'on fait le minimum pour imprégner l'oiseau à l'humain et le maximum pour de réhabiliter à une vie saine auprès de ses congénères. Dans les autres cas, hormis de rares cas de sauvetage, qui doivent resté des cas isolés, et à titre exceptionnel, l'EAM qui est pratiqué de manière systématique pour la vente, ou pour son propre plaisir est pour moi honteux et complètement irrespectueux du bien être animal. L'oiseau lui n'en tire aucun bénéfice, dans son sens à lui, et n'en subit que des conséquences qui lui sont néfastes tant sur le plan émotionnel et physique à plus ou moins long terme. D'ailleurs, c'est bien ce qui est souligné sur chacun de nos articles, et pas autre chose. En tout cas pour ma part, je ne blâme pas les plans de sauvegarde qui implique un EAM dans la mesure du responsable (minimisation de l'empreinte et réhabilitation dès le plus jeune âge) pour préserver une espèce, cependant je ne cautionne pas et ne cautionnerai jamais l'EAM dans tout autre cadre, qui d'ailleurs s'avère souvent à motif pécuniaire ou égoïste.

Pour les copeaux de bois il n'y a aucun risque pour les oiseaux du principe que les copeaux sont de qualité et comportent des bois non nocifs pour leur santé, ce qui est généralement le cas. Il en va de même pour le chanvre (avec un risque pour les oisillons apparemment d'obstruction des narines, donc attention). EN fait, souvent, on le déconseille car il n'est pas pratique pour l'observation des fientes, et peut générer des incidents pour les oiseaux récalcitrants qui aiment y mettre le nez dedans (pas top hygiénique) mais en soit si la litière est de qualité et dépoussiérée (dans la mesure du possible) et que les oiseaux y sont loin c'est très avantageux. J'utilise du chanvre de pure qualité depuis 6 mois et je dois avouer que c'est pratique.

Je pense qu'elles apprécieront l'échelle, les miennes adorent, je viens d 'en acheter une géante ! Elles vont mettre un peu de temps avant de s'acclimater c'est normal, n'hésites pas à leur accroche un bout de grappe de millet sur le parc pour les y attirer.

carottes, asperges, pommes, salades et concombres

Super le parc, j'adore la balançoire (attention aux fils trop long, certaines s'entortillent dedans)

Gautier c'est pas parce que tu fais ce qu'il ne faut pas faire et que ça a la chance de passer qu'il faut inciter les autres à le faire. Tant mieux pour toi si tout va bien et je te le souhaite, mais évites des interventions pareilles... Mellie, pour l'aération de ta chambre, si t'as quelqu'un de bricoleur à la maison, optes pour un cadre à emboiter sur la fenêtre ouverte qui fait genre moustiquaire mais avec un grillage solide contre les intrusions des minous. Au moins, chambre sécur'

Techniquement ça fait deux mots...

Super sympa ton diapo, cela permet de découvrir tes loulous, ils sont choux !

Pour avoir pire que des chats, soit des rats (bien plus malins et souples pour grimper et chasser), je te déconseille toute cohabitation, les risques sont bien trop importants, pour y avoir malheureusement gouté. Je te conseillerai, si tu souhaite tes oiseaux au salon, une grande volière au double grillage. La liberté dans la même pièce est inenvisageable, tu peux alors les mettre en volière (un mètre cube par couple) et créer un système de sasse ou double grillage. les chats, s'ils y mettaient les pattes ne pourraient accéder aux oiseaux, ou les faire paniquer. Car la technique qui réussit beaucoup aux prédateurs et de les faire paniquer pour les épuiser et les attirer d'un coté, puis les y attraper en contournant ensuite ou en faisant appel à un congénère. Sinon ta chambre et fermée à clé en habituant les minous à ne pas y accéder

L’IMPORTANCE D’UNE CAGE OU VOLIÈRE SPACIEUSE : L’IDEAL POUR VOTRE OISEAU Définitions : Larousse, Hachette, CNRTL Définitions de « prison » : Établissement où sont détenues les personnes condamnées à une peine privative de liberté. Lieu quelconque où quelqu'un est ou se sent séquestré, enfermé, privé de liberté. Local clos où l'on garde enfermés des individus pendant un temps plus ou moins long. Ce qui tient serré, ce qui enferme étroitement. Définitions de « cage » : Enceinte fixe ou portative de grandes dimensions, garnie de barreaux, où l'on enferme des animaux. Habitacle de grandes dimensions, muni de barreaux, dans lequel on enferme des animaux. Définitions de « Volière » : Enclos grillagé pour oiseaux. Grande cage où l’on élève les oiseaux. Lieu ordinairement grillagé. Cage où l'on nourrit et élève des oiseaux, d'une capacité assez grande pour que ceux-ci puissent y voler. Définitions de « Liberté » : État de celui, de ce qui, qui n'est pas soumis à une ou des contrainte(s) externe(s). Condition de celui, de ce qui, n'est pas soumis à la puissance contraignante d'autrui. Condition de celui qui n'est pas retenu prisonnier, qui n'est pas détenu. État d'un animal qui ne vit pas en captivité. Par cette introduction peu ordinaire, il faut en comprendre que la première partie de l’article, partie importante, vous aide à recadrer ce que signifie concrètement « cage » et « volière ». Le but premier du forum, c’est le respect des conditions naturelles et génétiques de nos oiseaux, donc de leurs besoins physiques et psychologiques, pour un mode de vie le plus approprié et idéal, dans le cadre de la captivité. Nous ne souhaitons pas nous contenter du minimum vital, de conditions de détentions acceptables, mais bien de conditions optimales. Nous ne sommes pas à compter chaque centime pour subsister, sinon nous n’aurions pas d’animaux, qui sont concrètement ce qui s’appelle des gouffres financiers, où notre argent disparait dans le seul but de répondre aux besoins de nos animaux; cet individu qui a ses propres besoins et envies. De plus, les bons plans existent, les produits d’occasion peu onéreux et de qualité : donc les problèmes de financement sont vites résolus. En outre, si l’on a des problèmes financiers, ou des difficultés à investir dans le bien être de ses animaux, il ne fallait ni acheter ni adopter ces animaux et les responsabilités couteuses qui vont avec. Il faut choisir, la vie d'autrui en dépend. Il n’y a pas non plus particulièrement de problèmes d’espace à accorder à nos animaux, pour la bonne raison que la cohabitation existe, pour le bien-être et l’épanouissement de chacun. De plus des solutions sont envisageables pour que chacun ait son espace dans le respect de l’autre. Les volières ou aires de jeu peuvent s’installer en hauteur, espace qu’on occupe rarement, ou dans des coins de pièces qui peuvent y être dédiés. Et enfin, il ne requiert pas énormément de votre temps si vous créez un espace de liberté contrôlé (sécuritaire) et autonome. Avec les sites et boutiques qui existent où vous pourrez trouver des accessoires d’enrichissement, des parcs et jeux, vous ne risquez pas de manquer d’inspiration pour agrémenter vos cages, volières et parcs. (Martin) Pourquoi ce besoin d'espace? Comme le définissent le Larousse, Hachette et le CNRTL, il y a des nuances entre prison, cage, volière, semi-liberté et liberté. Malheureusement, par méconnaissance ou parfois par indifférence, alors que nous croyons apporter une cage ou volière adaptée à notre oiseau, nous lui apportons une prison. Et les conséquences en sont néfastes, tant sur le plan psychologique que physique. Pourquoi insister sur la nécessité d’un espace de vie quotidien le plus grand possible? Pourquoi ne pas se contenter du minimum, de l’acceptable, pourquoi lutter contre les préjugés et stéréotypes? Pourquoi dire continuellement "plus grand"? Non pas pour vous ennuyer ou vous déplaire, mais pour vous faire comprendre que si votre oiseau avait la faculté de se faire entendre plus efficacement, il vous le demanderait lui, plus d’espace, plus de liberté, plus d’enrichissement, parce qu’il a génétiquement et naturellement été conçu pour, de ses grandes ailes et de son bagage génétique, s'adonner au haut vol sportif. Si bien-être et conditions optimales ne vous motivent pas assez, ce que je peux comprendre au vu des contraintes quotidiennes auxquelles nous sommes confrontées, je vais être plus concrète sur les conséquences physiologiques et cognitives du manque d'espace : Plus l’espace de vie sera grand, plus votre oiseau aura la capacité physique d’entrainer son organisme au vol et à l’activité physique dont il a besoin pour son organisme et son espérance de vie. Il sera plus combatif face aux infections, et l’activité physique libère des molécules qui permettent la sensation de détente, de bien être et de repos. Plus vous vous contentez du minimum, plus ses muscles s’atrophieront, plus cela accélèrera le vieillissement de son organisme et facilitera les infections, l’obésité dont le foie gras, l’arthrose, le diabète, les cataractes, etc. Plus vous réduisez l’espérance de vie de votre perruche, plus vous accélérez les souffrances du vieillissement. Plus l’espace sera grand, plus vous permettez de laisser place à l’exploration, à l’enrichissement, car vous avez matière à exploiter, à changer les parcours de jeux et de vol, les matières et accessoires. Plus vous enrichissez ainsi le quotidien de votre animal, par conséquent vous permettez à votre animal d’exploiter ses capacités cognitives et intellectuelles. Votre perruche ou perroquet passe 50% de on temps à l’état naturel à rechercher, gruger, et réfléchir sur son alimentation et ses activités de distraction, il est conçu intellectuellement pour un environnement spacieux et riche. Cela lui permettra de vous montrer ses capacités, son évolution, il sera plus interactif avec ses congénères, et par conséquent moins criard, moins surexcité ou anxieux. Le manque d’espace qui entraine un manque de possibilités d’exploration et de nouveautés engendre les léthargies sociales (diminution et incapacité d’interagir normalement avec un congénère, et de s’occuper à des activités d’exploration), des troubles du comportement légers à sévères qui sont nuisibles voir mortels. Vos perruches et perroquets peuvent avoir des troubles du comportement sexuels (pontes compulsives, masturbations excessives), des troubles d’hyper-anxiété, hyper-dépendance ou hyper-vocalisation parce que les activités exploratoires canalisent leur énergie et leur attention et permettent également de libérer des molécules positives pour l’épanouissement, évitant ainsi le cercle vicieux de l’apathie, de l’anxiété, la dépression, le picage, l’automutilation, entrainant un mal-être profond de votre oiseau. Vos oiseaux ne doivent plus survivre ou même vivre, mais s’épanouir et profiter de leurs pleines capacités. Nous avons la possibilité de nous informer idéalement pour le bien-être de nos animaux et de leur apporter un cadre de vie optimal. Alors, quitte à investir, parce que de toute façon avoir un animal nécessite un minimum d’investissements, autant le faire idéalement (Martin) Les différents espaces et cages/volières possibles Une cage est un environnement où l’on conditionne son animal. Pour l’équilibre de votre oiseau, la cage ne doit pas être l’unique lieu de vie et d’épanouissement, surtout si elle est restreinte en espace. Elle doit auquel cas être temporaire, ainsi l’animal bénéficie de plusieurs heures de liberté quotidiennes pour les raisons essentielles et indispensables que nous avons évoqués précédemment. Cette cage ne doit pas non plus être trop restrictive, sinon elle sera rapidement anxiogène et donc aura des conséquences douloureuses pour les oiseaux y logeant. Il ne faut pas que cela tende à l’emprisonnement en terme d’espace. Une volière est un environnement beaucoup plus spacieux où, cette fois-ci, vos oiseaux peuvent loger quotidiennement. Mais pour cela, et encore une fois pour les raisons évoquées ci-dessus, la volière doit permettre le vol de vos oiseaux, c’est-à-dire plusieurs battements d’ailes consécutifs et non un seul. L’espace alloué doit permettre à tous les congénères de voler, s’isoler, s’alimenter, jouer et explorer. Si votre « volière » ne permet pas cela, ce n’en est pas une, auquel cas les heures de liberté quotidiennes devront être nécessaires et appliquées. Enfin, il y a la semi-liberté, ce qu’on peut appeler les énormes espaces qui ne donnent nullement l’impression d’être enfermé comme les pièces entières dédiées aux oiseaux, ou les énormes volières de 10 à 20 mètres cubes et plus. Sans oublier le vol libre. (Margaux)

Moi j'utilise un coussin chauffant à trois niveau de températures stables, qui permet à l'oiseau de ne jamais se bruler, et un humidificateur pour faciliter la respiration. Je suis désolé pour la santé de ta belle marie et je lui souhaite un excellent rétablissement

Le bloc de cages est aussi grand et gros voir plus qu'une armoire à lui tout seul. En effet, même si la cage est un lieu de sécurité, de jeux et de repos pour les rat, elle n'exclue pas les sorties quotidiennes nécessaires à l'enrichissement du quotidien, et l'épanouissement du rat à travers ses recherches, découvertes et jeux. Quant au jardin une fois bien familiarisé et habitué, c'est un réel plaisir pour eux. Domino d'un œil observateur mais paisible, à l'instant :

Enrichissement de l'environnement du rat Le rat est un espèce animale hautement intelligente, ayant une forme d'intelligence qui lui ai propre et profitable. Il est sociable, hautement grégaire et adaptable, curieux, et sportif. Il a donc par conséquent besoin d'un environnement spacieux, enrichi de matières et accessoires nouvelles et renouvelées régulièrement. Il connait la routine, les habitudes, mais également l'ennui, la solitude et le manque d'activités, de nouveautés, d'enrichissement. Ceci engendre sur long terme une léthargie sociale, des troubles du comportement, et des conséquences sur le plan de la santé. Ce sont des émotions que ressentent nos rats, et dont ils souffrent. C'est pour cela qu'il leur faut un environnement adapté, mieux, optimal !! Ils ont besoin de l'espace associé à l'enrichissement, par exemple l'apport de jeux, matériaux à ronger et coins dodos divers, variés et régulièrement nouveaux. Je vous illustre ceci en photos, et c'est un budget encore plus conséquent que les oiseaux. Votre rat sait rire, faire preuve d'altruisme, de tendresse, d'attention et d'affection envers vous et ses congénères, alors respectez ses besoins et son bien être. Pour envisager vos rats en liberté dans votre pièce de vie avec facilité : - http://www.perruches.org/t716-pleine-liberte-et-parc-securise-pour-rats Pour des exemples photos de : - coins repos (dodos, doudous, cabanes, cachettes, couffins etc.) - Jouets et jeux - Jeux d'intelligence - Parcs de jeux et enclos reportez vous à l'article : http://www.perruches.org/t3542-vieillesse-et-exercices-adapter-l-environnement-des-rats-ages#93094 LA CAGE Modèles idéaux : Cage Tower Ferplast Cage Savic, Royal Suite 95 Double Cage Tridoor Leur cage : Tabby 2 (Pour 3 mâles dans l'une et 2 femelles dans l'autre) soit deux fois 110 cm de long, 70 cm de large, 90cm de haut Les mâles Les femelles PARCS : suggestions, idées Tentes : tissus, molletonné, paille tubes : tissus, plastiques, bois Spoutnik Cabanes : bois, plastique, osier dodos ... Arbres à chat LA NOURRITURE L'enrichissement ne passe pas que par l'environnement, mais également par l'alimentation, qui se doit d'être complète, équilibrée, et variée. La première chose à regarder sur le paquet de nourriture est le taux de protéines et de matières grasses. Pour les rats adultes, les taux doivent être autour de 14,5% de protéines et de 4% de matières grasses. Cependant, surveiller ces deux taux ne suffit pas. En effet, une nourriture adaptée, c’est également une nourriture variée, parce que le rat est omnivore. Il a besoin de différents aliments, qui lui apportent tous des apports nutritionnels variés et complémentaires (sels minéraux, vitamines, etc.) et afin d'éviter les carences et l'ennui. Il ne faut pas hésiter à enrichir les mélanges du commerce par sa propre recette : Raisins secs, Graines de courge non salées , Sarrasin, Épeautre, Avoine, Blé tendre, Seigle, Riz soufflé, Corn flakes non sucrées, Lentilles vertes prêtes à l’emploi, Pois verts (pois cassés), Muesli aux fruits secs non sucrés, Pâtes aux légumes, mélange légumes séchés pour soupe (sans haricots secs), etc. Enfin, n'oubliez pas les fruits et légumes frais quotidiennement, BIO de préférence, et plusieurs variétés différentes sur plusieurs séries.

Comme je l'ai toujours dis, quitte à investir, autant bien le faire. C'est dommage d'avoir une volière si mal adaptée au bien être des oiseaux qui y vivent quotidiennement. Pour moi c'est petit, maintenant ce n'est que mon avis. Tant qu'ils ont une alimentation complète et équilibrée, des soins, des congénères en bonne santé, de l'enrichissement et des sorties régulières, c'est le principal.

C'est vraiment beau et ça semble super pour tes gris !!!

Ce que c'est mignon !

Il est trop choux ça oui !

Il y a en effet un risque pour tes belles. Leurs poumons sont comme des éponges qui absorbent toutes les molécules impures dans l'air, comme la fumée de tabac, les émanations de téflon lors de la cuisson, les vapeurs d'alcool, de produits d'entretiens comme la javel, les parfums, les gaz dans les laques, déodorants, les pollutions (gaz d'échappements) et donc les diffusions d'huiles essentielles. certaines facilitent la respiration et purifient l'air, mais certaines aussi sont très irritantes, allergisantes voir agressives pour nos oiseaux. Alors diffuser oui, mais avec parcimonie et à très faible dose pour les oiseaux, et que des produits 100% naturels

Les rats libèrent leurs camarades! Créé le 09-12-2011 à 15h02 - Mis à jour le 12-12-2011 à 09h44 Cécile Dumas Par Cécile Dumas Les rats ne supportent pas de voir un de leurs semblables emprisonnés: ils s'agitent pour le sortir de sa cage. Une preuve de leur capacité d'empathie, affirment des chercheurs. Pas besoin de motiver un rat par une récompense pour qu’il se donne la peine de libérer un congénère emprisonné dans un piège. Au bout de quelques jours, le rat laissé libre trouve la solution pour ouvrir la petite cage qui retient son compagnon prisonnier. Même s’il peut manger une portion de chocolat pendant que son congénère est coincé, le rat délivre le prisonnier et partage même le chocolat avec lui ! (AAAS/Science) Ces observations montrent que les actions des rats peuvent être motivées par l’empathie, analysent les chercheurs de l’Université de Chicago qui ont mené ces tests. L’empathie, cette capacité à s’identifier à quelqu’un d’autre et à ressentir ce qu’il ressent, a longtemps été considérée comme le privilège des humains avant d’être élargie aux primates mais serait en fait commune avec nombre d’animaux, en particulier avec tous les mammifères. Libérer le rat prisonnier Ben-Ami Bartal, Jean Decety et Peggy Mason ont placé des rats en captivité deux par deux avant de mettre l’un de ces rats dans un petit tube transparent fermé. L’autre rat était laissé libre de se déplacer dans la cage principale. Les chercheurs n’ont pas appris aux rats à ouvrir la trappe, ils n’ont pas donné de récompense en échange de la libération d’un prisonnier. Les rats ont pourtant appris au bout de 6 ou 7 jours en moyenne de ces tests à ouvrir la trappe du tube pour libérer leur compagnon (23 rats sur 30 ont appris à ouvrir les trappes). Lorsque le tube était vide ou contenait un leurre, les rats ne se donnaient pas tant de mal pour ouvrir la trappe (5 sur 40). Même lorsque le dispositif empêchait les rats d’entrer en contact une fois la trappe ouverte, les rongeurs libéraient les prisonniers. La récompense par le contact et l’interaction n’est donc pas la seule motivation de leur comportement, analysent les chercheurs, qui publient leurs travaux aujourd’hui dans la revue Science. Partager le chocolat Plus étonnant encore, lorsque les chercheurs ont placé un tube contenant du chocolat à côté du tube enfermant le rat, celui qui était libre a continué à délivrer son congénère. Et dans plus de la moitié des cas il a laissé du chocolat pour l’autre rat. Pour les auteurs de l’étude, mettre fin à la détresse du rat encagé est l’explication la plus plausible au comportement du rat dans cette situation. Choc électrique Ce n’est pas la première fois qu’une étude met en évidence un comportement altruiste chez des rongeurs. Dès 1959, Russell Church montrait que des rats, habitués à actionner un levier pour obtenir de la nourriture, cessaient de le faire lorsqu’un congénère situé dans une cage à côté recevait un électrochoc à chaque fois. La perception de la douleur de l’autre ne fait pas de doute. Le rat y est sensible. Cependant, le rongeur arrête-il d’actionner le levier par empathie, pour que cesse la douleur de l’autre, ou par peur ? Interpréter les comportements, comprendre les motivations est toujours complexes dans les études sur les animaux. Ainsi, cette fois encore, on ne peut exclure que les rats libèrent leurs compagnons pour ne plus entendre leurs cris de détresse –et soulager leurs oreilles plutôt que leurs congénères. D’autres recherches sont nécessaires pour savoir si ces comportements empathiques observés chez les mammifères proviennent de fonctions cognitives supérieures (comme les neurones miroir du cortex, impliqués dans l’identification à l’autre), ou de réseaux plus primitifs, liés aux émotions, analyse Jaak Panksepp, qui étudie l’origine des émotions et le bien-être animal à l’Université de Washington (WSU, États-Unis), et qui commente dans Science les travaux de l’équipe de Bartal. «Il n’y a pas de doute que d’autres animaux ressentent des émotions […] et que nos émotions les plus fortes et les plus basiques proviennent de réseaux neuronaux que nous partageons avec tous les mammifères», explique par ailleurs Panksepp. « Malheureusement, à l’heure actuelle, nous ne pouvons pas scientifiquement comparer l’intensité et des sentiments entre espèces. » C.D. Sciences et Avenir.fr http://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/20111209.OBS6359/les-rats-liberent-leurs-camarades.html

Bonjour Cathy, c'est également un plaisir de te croiser pour le peu que j'arrive à venir. En effet ces derniers mois j'ai été peu présente mais je suis toujours avec vous pour vous aider, vous conseiller et faire que le forum continuer sa mission d'amélioration des conditions de vie de nos oiseaux

Qu'ils sont craquants, mais vraiment !!

Elles sont trop choux

Je n'avais pas vu ton post, ton Youyou est vraiment beau, il semble adorable !! Coté ondulées tu as certaines mutations très jolies. la première photo perruche tout à droite sur le perchoir, quelle est sa mutation ??