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Tout ce qui a été posté par Blaise
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En écrivant la suite du reportage le lendemain matin, j'ai pu observer depuis mon bureau le fameux dôme blanc qui m'attirait depuis si longtemps: hier, au retour de la course, il avait cette allure, avec les Cornettes de Bise à gauche: non agrandie, voici la vue de ces montagnes en face de Vevey, avec le village frontalier de St-Gingolph: après plus de deux heures de marche dans la neige et quelques montées pénibles, pas question d'abandonner, mais il ne faudra pas trop s'attarder sur ce dôme de 2152m d'altitude, vu enfin de près: le paysage est magnifique: on aperçoit le lac Taney, d'où nous venons, au loin dans la vallée: et le sommet des Cornettes de Bise (2432m): la Dent d'Oche (2222m) est le plus haut sommet qui domine le lac Léman de près: la chaîne du Jura, garnie de cumulus, tout au fond: et Vevey, pour une fois sans brume: juste pas assez haut pour voir Lausanne: l'alpage de Bise, sur lequel Nykyt avait rencontré les bouquetins: exactement derrière Saskia: c'était en mai 2005: nous arrivons au sommet de la crête qui prolonge le dôme de neige: et il serait risqué d'aller plus loin, d'ailleurs l'ascension des Cornettes de Bise ne se fait pas par ici: il est temps de redescendre avant que la neige enfonce trop: entre Saskia et Jiro, la vue sur le Pic Boré, qui domine la station de Thollon - les Mémises, (au-dessus d'Evian): depuis là, nous allons descendre directement dans la pente, dans une neige qui enfonce déjà bien assez pour marcher à grandes enjambées: le ciel devient rapidement laiteux vers l'ouest: et le reportage se termine là, car le jour blanc ne permettait plus de faire de belles photos de la descente...
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Une très grande course! Difficile d'accès, le vallon de Taney offre des grandes balades, comme le Grammont et les Cornettes de Bise: mais le manque de neige sur les pentes exposées au sud me pousse à explorer plutôt les cols jusqu'à la frontière française, aussi dans l'espoir de trouver quelques bouquetins, comme avec Nykyt en 2005... l'arrivée dans le vallon de Taney, avec les Jumelles à l'arrière-plan: le lac est déjà presque complètement dégelé: les cris stridents des marmottes excitent les petits loups: toujours ce sable du Sahara sur la neige, mais pas encore de sang des glaciers: une surprise: comment ce couple de colverts est-il arrivé jusqu'ici? surtout qu'un aigle royal plane dans les parages, trop haut pour le prendre en photo! ils ne semblent pas effrayés malgré les avertissements répétés des marmottes: Saskia et Jiro les ont ignorés, sachant qu'ils auraient plus de chances avec les marmottes: cette fois, c'est parti, heureusement que le matériel résiste: Saskia semble résignée: si Jiro donne l'assaut, je suis prêt: nous voilà arrivés au premier col: c'est le Pas de Lovenex: et la première fenêtre sur le lac Léman: le lac de Taney est bien loin d'ici, au fond de la vallée derrière les louloups: et j'ai l'intention de continuer à monter, jusque sur le magnifique dôme blanc: à suivre...
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Nous descendons sur le lac Lioson: c'est la première fois que je vois ici une telle avalanche: on voit bien depuis ici la ligne de cassure, qui traverse tout le haut de la pente: enfin nous retrouvons une surface agréable: le lac commence à dégeler, un mois plus tôt que d'habitude: mais la buvette ne va pas ouvrir plus tôt pour autant: une vue sur la pente ravagée par l'avalanche et le col que nous venons de traverser: en janvier de cette année, au même endroit: ce lac est fréquenté par les plongeurs sous la glace: qui y mettent de l'ambiance en hiver: aujourd'hui encore, j'aurais pu utiliser le yooner sur une bonne partie de la descente: mais il aurait fallu le porter pendant tout le reste de la course...
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La course de Pâques 2014 nous profitons des 2cm de neige fraîche rendant plus agréable une montée particulièrement raide: nous retrouvons du sable du Sahara: nous rencontrons un skieur qui est descendu le couloir: nous quittons les pentes raides en neige dure: et Saskia profite du moindre replat: à suivre...
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Ce matin, 2cm de poudreuse à peine ont reblanchi le paysage, mais avec un joli coup de froid: du givre comme en plein hiver: l'ancienne couche est très dure: mais la neige avait complètement disparu des prairies exposées au soleil: et les crocus ont envahi ces champs: une pareille tempête de brouillard givrant n'est pas fréquente à cette saison: la dernière remonte au 26 novembre 2013 et voici le résultat le lendemain: Saskia et Jiro préfèrent jouer dans une clairière abritée:
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Voilà encore une fin de journée magnifique, malgré la brume: la vue plongeante sur la combe de la Grande Bonavau (où nous allons souvent), depuis le sommet du Molard: le sommet derrière Jiro est le Folly, que nous venons de traverser: la neige durcissant vite, je n'ai pas attendu le coucher du soleil pour entamer la descente: il n'aurait pas été agréable de rentrer de nuit avec cette neige irrégulière et déjà croûtée...
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la pente s'accentue alors que la neige enfonce de plus en plus: passé le col, nous grimpons encore sur un petit sommet: ils sont surtout motivés par cette petite trace: et tirent constamment vers cette pente lors du début de la descente: je n'ai pas réussi à trouver ce qui les intéressait tant dans cette pente, à part le craquement inquiétant d'une plaque de neige se tassant: pour éviter la neige trop ramollie par le soleil, j'ai choisi de descendre de l'autre côté du vallon, en face du Gros Caudon, qu'on aperçoit derrière les huskies: nous restons le plus loin possible des pentes à avalanches: et voici le Petit Caudon derrière les petits loups increvables: enfin une pause, me permettant de prendre une vue du col que nous avons gravi: il reste à explorer L'Aberge qui semble éclore de la neige sur un fond de printemps: derrière les heureux louloups, la crête ravagée par Lothar il y a plus de 14 ans: un dernier plaisir pour Saskia:
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il y en aura encore: Une nouvelle excursion pour Jiro ce vallon n'est pas loin de Vevey, mais son accès n'est pas toujours facile en hiver et les pentes vers le col de Soladier sont trop raides pour les skis de fond: au début, Saskia et Jiro jouent au lieu de garder leur énergie pour la montée dans la neige profonde: à suivre...
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Aux Mosses, j'ai dû bien chercher pour trouver une boucle enneigée en continu: skis au pieds, j'ai pu parcourir encore une dizaine de km, bien sûr sans traction, Saskia et Jiro ne pensant qu'à jouer: il fait de plus en plus chaud, on dépasse maintenant les 20°C à Vevey, mais la neige est encore dure le matin: quelques parties des pistes de ski de fond permettent encore de faire du caniski: un paysage du mois de mai: mais il reste encore de la neige dans les revers: des lacs de neige liquide se sont formés, pourtant à plus de 1500m d'altitude: ici, je serai l'un des derniers skieurs sur cette piste: il n'y aurait plus de neige ici, sans le damage régulier qui ralentit la fonte: pour nous, c'est bien la fin de la saison de ski et de yooner... à moins d'un miracle... Saskia et Jiro ne seront pas pour autant privés de neige ces prochaines semaines, il restera encore bien des névés pour jouer!
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Caniski Pour moi, le caniski est au ski-joering ce que la canimarche est au canicross, donc une balade libre presque sans traction, sans harnais de trait; avec les températures actuelles, inutile de faire travailler les chiens! Avec la chaleur persistante, les traces de raquettes ont bombé: la neige constamment tassée par les passages des promeneurs et aussi des skieurs a moins vite fondu que la neige perforée par les bâtons: nous arrivons au Mont de Bière, dans le Jura, à 1530m d'altitude: au loin, la Dôle, sommet que nous avons gravi il y a un peu plus d'une semaine: une jolie fenêtre de vue sur le Mont Blanc: au fond, la grande forêt frontalière du Risoux: toujours ces traces en négatif: près du col du Marchairuz, une piste bien plus confortable: malheureusement il ne reste plus que quelques fragments de pistes de fond utilisables...
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Cet hiver a été particulièrement chaud et c'est déjà la fin pour le ski-joering au Marchairuz: ces pistes ne sont déjà plus entretenues: il y a déjà des interruptions de neige sur les parcours: au début du mois de mai 2013, nous avions des conditions à peu près identiques: heureusement que les combes froides ont encore assez de neige: nous avons rencontré deux skieurs de fond et un fox terrier:
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La descente n'est pas trop raide du côté ouest à sud-ouest, mais en dévers: pour passer une crête rocheuse dépourvue de neige, il faut redescendre jusque vers 1400m d'altitude et remonter plus de 100m: entre les deux, on devine le jet d'eau de Genève: nous sommes maintenant au sud de la Dôle: et, après une descente "merdique" avec les petits loups qui tiraient brusquement chaque fois qu'un chamois bougeait: dans la combe: encore une petite montée pour passer entre la Dôle et la Barillette: Jiro est toujours le plus fatigué lorsque la neige enfonce, il choisit de se coucher un moment parmi les crocus, alors que Saskia préfèrerait un bain de neige: nous quittons cette région: pour la dernière descente raide sur le Vuarne... j'ai pu filmer quelques passages faciles de la descente dans cette vidéo: sous le départ de la piste: voici enfin le lien pour ceux que cela intéresse: http://www.st-cergue-tourisme.ch/fr/hiver/chiens_de_traineaux
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oui, nous avons de la chance de pouvoir profiter de la neige tous les jours jusqu'au mois de mai au moins; après, ce sera plus difficile et nous monterons jusqu'à 3000m d'altitude, mais pas tous les jours... Grande boucle de ski-joering à la Dôle, dans le Jura depuis Couvaloup de St-Cergue, où passe la piste de traîneau à chiens de 8km, nous sommes montés sur la pointe de Poële Chaud, redescendus au col de Porte, puis montés au sommet de la Dôle, avant de descendre à la Vuillette et de traverser l'alpage du chalet de la Dôle; après le Vuarne, nous avons pu profiter de parcourir quelques km plus faciles sur la piste des chiens de traîneau encore en bonnes conditions; en tout, cela représente environ 20km et plus de 600m de dénivelé avec des descentes parfois bien pentues à ski de fond, la présence de nombreux chamois rendant la course franchement difficile avec deux petits loups surexcités... ce dernier grand reportage de la saison se terminera par deux vidéos... un attelage a passé il y a quelques jours et les petits loups reniflent les traces avec intérêt: nous quittons la piste pour entamer la longue montée, heureusement dans une forêt ombragée, bien enneigée: soudain, Saskia et Jiro sentent quelque chose et s'excitent: effectivement, un troupeau de chamois était juste en-dessus de nous, sur le becquet que nous avons contourné: nous continuons la montée sur une crête, du côté revers: une belle vue sur La Cure et même le lac des Rousses: il reste environ une heure pour atteindre le sommet de la Dôle: on doit redescendre un bon bout jusqu'au petit col, d'où l'on voit le lac Léman et le chalet de la Dôle, que nous verrons de près lors du retour: la station de ski vient de fermer: une belle vue vers le Haut Jura français: et vers le lac Léman: l'observatoire et la station météo livrent les renseignements indispensables à l'aéroport de Genève-Cointrin: à suivre...
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l'arrivée au but: pas de chance, aucun iglou assez grand pour les deux, je décide de les prendre dans l'Hospice car j'ai envie d'un bon potage bien chaud: les chiens ne sont normalement pas admis dans les salles à manger, mais avec ce temps et le peu de monde, nous pouvons rester un moment, la soupe fait du bien et le thé est offert: comme l'élevage des chiens St-Bernard a été supprimé, les chiens ont été repris par le fondation Barry: http://www.fondation-barry.ch/fr/histoire ...j'ai suggéré de les remplacer par des chiens polaires, qui auraient trouvé ici un milieu mieux adapté... nous quittons ces lieux austères: c'est plus beau ici: la vidéo de quelques épisodes de la descente, avec une petite chute:
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Sur la route du col du Grand St-Bernard Hier, c'était probablement la dernière journée de paradis polaire, avant de retrouver la neige de printemps... au cours de cette journée, nous allons avoir -8°C avec un vent de 40 à 50 km/h, donc -20° de température ressentie, de la neige poudreuse soufflée, des congères gigantesques, alors qu'à Martigny, 13° avec le soleil, les abricotiers en fleurs qui ne devraient pas avoir trop souffert du gel! nous entamons la montée de 550m de dénivellation sur 6km environ si Saskia le veut bien: il ne faut pas être pressé! c'est bien parti: ils sont bien petits devant cette muraille de neige: presque arrivés au col, les rafales de vent du sud semblent dissuader les petits loups de continuer: c'est surtout Saskia qui n'aime pas le vent, pourtant elle a vu d'autres tempêtes! par exemple dans la brève vidéo suivante, aussi au Grand St-Bernard, le 24 juin 2013, avec le vent du nord cette fois: à suivre...
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Le soleil printanier réchauffe rapidement l'atmosphère, donc après une pause: je décide de faire demi-tour avant que la neige colle sous mes skis: mes petits loups profitent de chaque arrêt pour se reposer: au lieu de suivre les traces de la montée, nous sommes descendus un petit couloir raide dans une neige lisse, en faisant des traversées et des conversions (avec des skis larges, il aurait été facile d'y faire des beaux virages...), pour rejoindre le fond de la vallée: Voici la plus longue vidéo de la série, montrant les plus beaux passages de la descente:
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Le fond du val Ferret Après une nuit bien froide où des températures de -24° C ont été enregistrées (sans vent heureusement) dans les Alpes, les abricotiers du Valais ont attiré mon attention: de nombreux journalistes étaient aussi présents pour ce spectacle: j'espère que le gel à basse altitude n'aura pas de conséquences sur la végétation… 1300m plus haut, avec -15°, c'est le paradis pour les huskies: il n'y a aucun risque d'avalanche aujourd'hui, avec ce froid et une couche de neige fraîche bien trop mince: mais ce passage ne va pas être facile avec les skis de fond: vers 2000m d'altitude, c'est le paradis: Il y a plus de 10 ans, j'ai accompagné des attelages de traîneaux à chiens ici: à suivre...