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Tout ce qui a été posté par Blaise
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Tara, une nouvelle copine de jeu pour Jiro! Ils se sont déjà rencontrés et jouent de mieux en mieux, sous le regard médusé de Saskia: Saskia se détourne de ses copains, décidément trop jeunes pour elle: Tara a seulement 11 mois et pèse déjà 35kg: elle court vite: Jiro la rattrape: Jiro n'oublie pas Saskia, essayant de la provoquer pour qu'elle entre dans le jeu: mais Saskia s'écarte de leurs jeux, attendant que je lui lance sa balle de tennis: l'une de les rares fois que j'arrive à les prendre les trois, à la pause: c'est la récré, les enfants viennent voir le spectacle, mais les chiens attendent autre chose de leur part:
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Un été interminable! Après un début hésitant, cet été n'en finit plus et ce n'est pas le dernier saupoudrage au-dessus de 2500m d'altitude qui a mis un terme à la chaleur. Certes, il fait plus frais le matin et le soleil n'est plus assez haut dans le ciel pour que le thermomètre atteigne les 30°. Je profite d'emmener Saskia et Jiro presque chaque matin dans les parcs d'ébats, où ils font de nouvelles connaissances: ici, avec la chienne Bergi, berger australien de 4 ans: à l'ombre, la lumière est insuffisante pour saisir un chien en pleine course et c'est déjà difficile de les prendre les trois sur la même photo: la période de jeux est suivie d'une bonne marche au bord du lac Léman:
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Nouvelles rencontres... Dans le parc d'ébats pour chiens à Vevey, Jiro a rencontré Malou, chienne montagne des Pyrénées: Jiro, libre et sans collier, est enchanté d'avoir une nouvelle copine de jeu: Lucca, retriever de la Nouvelle Ecosse, cherche des caresses du côté des bipèdes, se hasardant moins volontiers dans le groupe des joueurs: un peu plus tard, Qilaq, un chiot malamute de 6 mois, est venu s'intégrer au groupe: les deux plus jeunes se retrouvent évidemment pour une partie de course:
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Nouveau matériel Eh oui, deux huskies usent le matériel, surtout en jouant attachés... Jiro, qui a réussi à arracher la boucle de son harnais, a porté dès lors un collier solide mais très difficile à enlever. Un nouveau harnais de promenade avec trois points d'attache (boucles métalliques intégrées) va remplacer l'ancien, trop peu fiable pour un chien costaud. Un bricolage permet de répartir les forces entre ces trois points: pour éviter les tensions brusques entre les chiens, le point d'attache coulisse entre deux noeuds, ce qui répartit l'usure due au frottement sur une longueur choisie d'une corde légère: Saskia, également plus légère que Jiro (5kg de moins), n'est attachée que sur la boucle centrale. Un inconvénient de ce système apparaît lorsque je détache Jiro pour jouer dans un enclos clôturé: soit il faut tout lui enlever, soit lui mettre un collier durant la séquence de jeu...
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La carte ne mentionne pas le point 3016, désormais le plus haut point de la région accessible avec les chiens; le col qui s'est creusé lors de la fonte du glacier et s'est abaissé à 2986m lors de la date d'émission de la carte est le point de passage obligatoire pour les alpinistes qui montent depuis le refuge de Pierredar, faisant toute l'ascension à pied depuis la station des Diablerets et redescendant le plus souvent en téléférique: cette carte est récente puisque l' Alpine Coaster y figure, à côté du télésiège que Saskia a déjà utilisé... Aujourd'hui, nous ne verrons pas les grands sommets de plus de 4000m, des passages de brouillard reviennent tout boucher, au grand bonheur des petits loups qui commençaient à avoir trop chaud: puis le voile se retire à nouveau: contrairement à Saskia, qui contemplait le paysage se dessinant peu à peu, Jiro veut bouger: plus bas, la chaleur nous contraint à faire une pause: Saskia et Jiro semblaient attendre le prochain passage de brouillard pour se remettre en route: nous descendons sur le tracé du skilift qui fonctionnait encore en juillet: puis nous nous retrouvons dans l'immensité blanche du glacier, très peu crevassé après l'énorme quantité de neige tombée cette année: pour rejoindre la piste bien balisée, utilisée par les attelages de traîneaux à chiens: nous nous croyons un instant au Groenland: la piste de fond est toujours ouverte: les machines travaillent la neige tout l'été: la petite couche de neige tombée ce matin a déjà souffert, laissant bientôt la glace vive à nu: nous sortons de cette piste glissante, que le musher n'utilise plus depuis qu'elle est dans cet état, pour trouver une glace peu agréable à la marche: la seule crevasse vue aujourd'hui n'est pas si effrayante: elle risque de s'élargir si la neige tarde à revenir... la face sud de la Becca d'Audon sort du brouillard: les chiens de traîneau devront attendre pour revenir ici: enfin, le plus dur reste à accomplir, avant de pouvoir redescendre en téléférique: remonter à la station à pied, dans la boue, ou en télésiège avec mes deux louloups? je remercie le personnel de l'installation qui a arrêté le télésiège jusqu'à ce que mes deux chiens trouvent leur place, à ma droite, pour un départ tout en douceur; pour Jiro, qui s'est envoyé en l'air pour ses deux ans, pas de problème, même à plus de 20m au-dessus du sol, décidément, ce chien n'a peur de rien: avec le brouillard, le sol a été invisible pendant un instant: FIN
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Une saupoudrée pour les deux ans de Jiro! -3°C, un brouillard à couper au couteau, voilà les conditions annoncées au Glacier 3000 tôt ce matin... peu importe, j'ai un bon pour un aller-retour demi-tarif et mes petits louloups sont en manque (surtout Saskia) de neige! et l'été sera de retour après ce bref épisode... il faut vraiment en profiter!!! Après une courte mais pénible descente jusqu'au niveau du glacier (je songe déjà à emprunter le télésiège pour la remontée du retour...): nous montons le chemin des cairns, depuis le col de Prapio, maintenant très bien indiqué: Jiro marque le chemin: et entame sa première partie de jeu avec Saskia dès que nous arrivons sur un ancien névé: nous remontons vers le chemin de la crête qui conduit au Dôme: et retrouvons une jolie place de jeu: cette année, après un hiver et un printemps particulièrement enneigé, mais une longue période de fortes chaleurs, la crête a une triste mine: l'enneigement de ce passage était bien meilleur ces dernières années, comme le montre cette vidéo faite l'été 2011: http://youtu.be/n1GIErl99l4 le retrait du glacier, qui arrivait avant 2003, jusqu'à quelques mètres de la crête, a permis de créer ce chemin de pierres: bien pratique à la montée (mais tord-chevilles à la descente, à éviter surtout avec deux chiens qui tirent!) après une petite averse de grésil, une éclaircie rappelle que nous sommes encore en été, le soleil brûlant réchauffant l'air d'un coup: les pierres pour s'asseoir ne manquent pas ici; aujourd'hui le Dôme est désert, personne n'est venu tracer la suite du parcours qui mène au grand sommet des Diablerets: Avant 2003, le glacier recouvrait l'espace vide derrière Saskia et Jiro alors que maintenant, il faut descendre en rappel une trentaine de mètres pour se retrouver sur le glacier... j'avais atteint le sommet à 3210m d'altitude avec Nykyt, en contournant le Dôme par le côté sud, ce qui est impossible maintenant, à cause des crevasses géantes et des chutes de pierres! Nykyt chantait à côté de ces crevasses: le souvenir de la vue depuis le sommet il y a une quinzaine d'années: il fallait compter une bonne heure de plus pour y arriver... maintenant seuls les alpinistes sans chiens peuvent y accéder!!! à suivre...
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Le tour du lac d'Arnon Le 14 mai dernier, je l'ai déjà fait avec Saskia en espérant y retrouver Jiro: http://chiens-de-traineau.forumactif.com/t2615p240-saskia-et-jiro Ce tour de 1h 30 à 2h n'est pas pénible et surtout sans danger: le lac semble bien petit, vu depuis 2000m d'altitude ce printemps, juste avant que Jiro parvienne à s'échapper: au printemps, son niveau est abaissé avant la fonte de la neige d'altitude:
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Il y a très peu d'endroits où les chiens peuvent se défouler et les clôtures ne sont pas assez hautes pour des huskies! Voilà le deuxième enclos officiellement prévu pour les chiens à Vevey: Saskia a mangé beaucoup de terre: Jiro en a marre: alors on continue la promenade? Bien sûr, encore une heure de marche pour finir la boucle... avant qu'il fasse trop chaud évidemment!
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Saskia et Jiro ont eu chaud pendant plus d'un mois et se sont bien reposés dans la chambre climatisée. Maintenant qu'il fait plus frais le matin, ils ont retrouvé leur énergie et Jiro est en pleine forme depuis qu'il n'a plus sa collerette! Jiro a retrouvé son nouveau copain, du même âge, lui aussi castré: http://youtu.be/sRX-fx_JRAg Près du port de La Tour-de-Peilz, j'ai pris le risque d'accorder un moment de liberté à Saskia et Jiro sur une pelouse communale pas prévue pour cela et partiellement close: http://youtu.be/lOOp679c1pw et ils ont joué à la lutte pendant un bon moment, à l'ombre: http://youtu.be/KAsUt0uxbFQ Voilà encore quelques photos:
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Après un mois de "vacances" galère, pendant lequel Jiro a été castré et opéré en même temps de conjonctivite folliculaire: où nous avons vécus les deux tiers du temps confinés dans la chambre climatisée: et aussi à cet endroit: l'air est devenu enfin plus respirable, même sur la terrasse: et les petits loups ont retrouvé leur vitalité:
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Nous entamons la descente en profitant de la végétation: ici, en plein soleil, les épinards sauvages (nom botanique: Chénopodes Bon-Henri) ne sont plus consommables, comme le montrent les épis derrière le museau de Jiro: mais en les cueillant patiemment feuille à feuille, dans un endroit plus frais, je suis quand même arrivé à en récolter 600g, pendant que les louloups profitaient de brouter de la bonne herbe et d'observer tout ce qui bouge, même les sauterelles: voici le quatrième névé, bien maigre mais juste assez grand pour une pause rafraîchissante: pour éviter de traverser un énorme troupeau de vaches et des bourbiers, bousiers plutôt, nous sortons du grand chemin à destination du lac des Chavonnes: nous parcourons un kilomètre en plus d'une heure dans une nature vierge: pour retrouver enfin un accès facile au lac: le resto du lac étant complet: nous rentrons directement à Vevey.
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4 névés et 2 lacs! Avant de devoir monter à 3000m pour le bonheur de mes chiens de neige, j'ai voulu regarder si quelques bolets ou chanterelles (girolles) étaient sortis... en vain, après ce printemps humide et neigeux en montagne, la bise a tout desséché! Une personne me dit qu'il y a encore de la neige dans la région de Bretaye, près de 2000m d'altitude: pas bien loin de mes coins de champignons, je décide d'aller voir, mais de nombreux obstacles nous attendent... le premier est plutôt sympa: mais celui-la est détestable, m'obligeant à porter mes chiens: il n'y a toujours aucune trace de neige vers le lac de Bretaye ni au Chamossaire: mais, enfin, après plus d'une heure de marche: et la première pause-jeu: un peu plus haut, il y a bien mieux: et, au lieu dit les oeils, tout près du sommet de la Chaux Ronde, avec encore quelques crocus: les deux plus beaux névés de jeu sont des anciennes congères, bien plus agréables que les névés d'avalanches, souvent recouverts de nombreux débris, de terre et en pente: tout près du sommet, les fleurs et la vue sur le Mont Blanc et les Dents du Midi: à suivre...
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Voici les 4 chiens réunis: nous continuons la descente en suivant les revers, à droite de la combe, pour profiter de la neige la moins bosselée: Saskia et Jiro regardent vers la route du col du Grand St-Bernard et du lac encore gelé: le dernier regard vers le sommet facile que nous venons de gravir, peu impressionnant depuis ici: et le col qui se rapproche: la Tour des Fous, vue de l'autre côté, que nous allons contourner par la droite pour avoir de la neige tout au long de la dernière partie de la descente: une pause pour jouer avant la dernière pente raide: ils voudraient remonter: voici le goulet à franchir: le ruisseau sous la neige n'est pas dangereux ici: mais nous arrivons à une impasse, dans les rochers sous la falaise en surplomb de la Tour des Fous et je tiens à éviter tout risque de chute de pierre en remontant quelque peu vers la paroi du Pain de Sucre: à suivre...
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Entre le Pain de Sucre et le Mont Fourchon, un petit détour pour aller sur une arête panoramique: et profiter de la vue sur des sommets italiens: mais le plus dur reste à faire: le replat à quelques mètres du sommet est bienvenu: nous voilà au sommet, à 2902m d'altitude, soit 2m plus haut que le Pain de Sucre: avec une vue plongeante sur le val d'Aoste: voici le Grand Combin et le Vélan à sa droite: et évidemment le Mont Blanc: des retrouvailles: et nous trois réunis pour la circonstance: Jiro fait des léchouilles au petit compagnon sportif: nous restons un bon moment au sommet, rejoints par d'autres personnes: voici les images des deux huskies au sommet de l'éperon rocheux, avec la pointe Walker des Grandes Jorasses à droite et le Mont Blanc au fond: puis le début de la descente: les chiens n'ont pas envie de descendre ici, même s'il existe des traces: nous avons contourné les rochers pour rester dans la neige, suffisamment ramollie maintenant pour bien planter les souliers et assurer chaque pas, voire même retenir les chiens s'ils tiraient brusquement: le plus difficile est fait: un dernier coup d'oeil sur le massif le plus haut d'Europe: et sur le côté suisse: si seulement j'avais des skis: une nouvelle rencontre attire Saskia et Jiro: mais à ski, avec mes deux excités, une chute aurait été inévitable, maigre consolation: à suivre...
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Cette course de ski de randonnée en peaux de phoque est encore possible sans devoir porter les skis (sauf pour traverser la route!) depuis le grand parc environ 200m plus bas que le col, cette année jusqu'à mi-juillet, normalement jusque vers le 20 juin. Des skieurs pourront venir ici jusqu'en août, à condition de porter leurs skis jusque dans la grande combe et de se contenter de cette neige ressemblant à de la tôle ondulée... pour les skieurs de piste, il restera la Grande Motte à Tignes, le glacier de la Girose près de la Meije, et aussi le Petit Cervin à Zermatt ainsi que le glacier de Saas Fee et celui du Corvatsch à St-Moritz... Après les jeux des petits loups et les sauts de Jiro, tellement heureux dans son élément, nous continuons l'ascension du Mont Fourchon: derrière Saskia et Jiro, on aperçoit le Pain de Sucre, sommet de 2900m d'altitude: la neige commence à ramollir: toujours le Pain de Sucre, mais fumant comme en sortant du four: des skieurs redescendent déjà: alors que d'autres arrivent dans la dernière pente raide: je ne suis pas pressé d'arriver au sommet, profitant d'un petit vent rafraîchissant et de tous les plus beaux points de vue: à suivre...
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Le Mont Fourchon Ce modeste sommet de 2902m d'altitude est facilement accessible depuis la route du col du Grand St-Bernard, côté italien: pour faire une boucle, je vais monter en contournant la Tour des Fous par la droite et redescendre par la combe à gauche, afin de profiter de la neige, plus agréable à la descente qu'à la montée: les torrents sous la neige pouvant présenter des pièges dangereux, il est plus prudent de les franchir tôt le matin, lorsque la neige est encore dure: le but de la course est la montagne blanche au fond à gauche: la neige n'est plus lisse comme avant, ce qui rend la marche moins agréable lorsqu'elle est dure et ne donne pas envie à Saskia de se rouler; Jiro la pousse au jeu: une première rencontre: à suivre...
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Beaucoup de touristes profitent de cette journée et de nombreux motards se retrouvent au col; il est difficile de trouver une place de parc: les murs de neige sont encore impressionnants: par chance, nous avons fait des rencontres sympas: puis une petite balade autour de l'Hospice: et du lac toujours gelé:
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Juste sous le col, vers 2600m d'altitude, des vastes étendues neigeuses valent un petit détour: puis nous quittons ce balcon pour traverser une grande pente, peu raide: pour rejoindre notre itinéraire du 24 juin dernier: le petit lac n'a pratiquement pas dégelé depuis une semaine: à droite, un trou de marmottes intéresse mes petits loups: cette fois, nous descendons vers la route du col: par endroits, il y a une grande concentration d'algues rouges-violettes qui colorent la surface de la neige, appelées le sang des glaciers: pour terminer, nous profitons du beau temps pour aller au col... les photos vont venir... à suivre...
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Retour à la neige, le 30 juin, toujours dans la région du Grand St-Bernard, mais avec un temps ensoleillé cette fois: les grands glaçons formés ces derniers jours lors d'une période hivernale à cette altitude vont s'écrouler avec le retour de l'été: voici le Mont Mort: et une petite combe pour jouer: nous sommes au col de Barrasson, à la frontière italienne: une vue sur les Grandes Jorasses, la pointe Walker et le Mont Blanc tout au fond: la descente viendra plus tard... à suivre...