Michel23
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Discrets (plus que....) L’Express vient de publier le classement des députés selon leur nombre d’intervention à l’Assemblée nationale de janvier 2004 à mai 2006. Force est de constater que nos députés des Alpes du sud sont bien discrets et figurent loin dans le classement. Henriette Martinez (UMP) reste la plus active avec 34 interventions. Suivent Daniel Spagnou (UMP) avec 16 interventions, Joël Giraud (PRG) avec 14 interventions et Jean-Louis Bianco (PS) avec 9 interventions. Ils font tous parti de la commission loup...je crois quand même qu'au lieu de toujours taper sur Canis Lupus ils feraient miex de faire comme il faut ce dont pourquoi ils ont été élus...representer les gens qui leur ont fait confiance...(mal placée la confiance.... :rire: :rire: ) vu le nombre d'intervention à l'assemblée nationale en 3 ans...ils n'en totalisent même pas 80 à eux quatre :rire: :rire:
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C'est pas les miens c'est ceux de la préfecture... Nos actions ? A part être nombreux a adhérer a des asso de protection de la nature pour que elles, qui sont reconnues par l'état, bien organisées, avec des juristes et de l'argent...de nos cotisations entre autre...puissent faire pression ou attaquer aux tribunaux...si c'est attaquable car les arrêtés sont de moins en moins attaquables...A part ça on peut toujours essayer d'aller effaroucher le loup autour des son troupeau... As-tu vu la composition de la commission restreinte qui se réuni à la préfecture pour donner les autorisations de tir ? /viewtopic.forum?t=3 C'est là aussi qu'il faut agir...au plus les assos de protection seront fortes au plus on pourra avoir de représentants...écrire des lettres pour moi ça ne sert a rien... Agir oui, mais dans les instances et sur le terrain Et je pense qu'il faudrait déjà préparer le terrain...à l'ASPAS on travaille déjà pour le Jura...
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Arrêté préfectoral autorisant Monsieur CARLETTI Jean-Claude à effectuer des tirs de défense en vue de la protection de son troupeau contre la prédation d’un animal de l’espèce Canis lupus 2006 n° 471 Le préfet des Alpes-Maritimes Officier de la Légion d’honneur Officier de l’Ordre national du Mérite Vu la directive du Conseil CEE n° 92-43 du 21 mai 1992, concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages, notamment ses articles 12, 15 et 16 ; Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L.411-1, L.411-2 et R.411-1 à R.411-3 et R. 411-6 ; Vu l’arrêté ministériel du 17 avril 1981 modifié fixant la liste des mammifères protégés sur l’ensemble du territoire ; Vu l’arrêté interministériel du 24 mai 2006 autorisant les opérations d’effarouchement, de tirs de défense et de prélèvement sur les animaux de l’espèce Canis lupus pour la période 2006-2007 et ses annexes ; Vu l’arrêté préfectoral n°323du 3 juillet 2006 fixant le cadre de mise en oeuvre opérations d’effarouchement, de tirs de défense et de prélèvement sur les animaux de l’espèce Canis lupus dans le département des Alpes-Maritimes pour la période 2006-2007 ; Vu le rapport du service chargé du constat de l’attaque du troupeau et les constats d’attaques en date du 22 juin 2006 au 28/08/2006; DDAF - centre administratif départemental - bât. mont des Merveilles - BP 3038 - 06201 Nice cedex 3 - 93.18.46.00 - télécopie : 93.18.46.18 PRÉFECTURE DES ALPES-MARITIMES Vu la demande formulée par de Monsieur CARLETTI Jean-Claude en date du 31 juillet 2006 pour l’autorisation de mise en oeuvre de tirs de défense en vue de la protection de son troupeau ; Vu l’avis du groupe restreint en date du 30 août 2006 ; Considérant les dégâts causés aux troupeaux du fait de la prédation du loup dans le département des Alpes-Maritimes; Considérant que le troupeau de Monsieur CARLETTI Jean-Claude est situé dans l’unité d’action du MERCANTOUR, qu’il bénéficie de dispositifs de protection (gardiennage jour et nuit, chiens de protection), ainsi que de la mise en place de moyens d’effarouchement depuis le 3 juillet 2006 et que les opérations d’effarouchement ont été réalisées et vérifiées lors d’une visite technique des agents de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage le vendredi 1 septembre 2006; Considérant que le rapport du service chargé du constat de l’attaque du troupeau atteste notamment que les 15 attaques constatées le 22/06, 26/6, 27/06, 28/6, 29/6, 01/07, 4/7, 10/7, 12/7, 25/7, 1/08, 2/08, 6/8, 11/8 et 28/08 ont déjà causé plus de vingt victimes indemnisables au titre de la prédation du loup, malgré la mise en place de mesures de protection et la réalisation d’opérations d’effarouchement; Considérant que ces moyens de protection et d’effarouchement ne constituent donc pas une solution satisfaisante pour prévenir des dommages importants au troupeau ; Arrête Art. 1er. – Monsieur CARLETTI Jean-Claude est autorisé à procéder, sur les unités pastorales de GUARRE et d’OURNE sur la commune de TENDE et à proximité de son troupeau, à des tirs de défense pour protéger son cheptel en cas de nouvelle attaque de loup, dans les conditions et selon les modalités fixées par l’arrêté du 24 mai 2006 susvisé. Art. 2. – La présente autorisation est valable pour une durée de trois semaines à compter de la date de sa notification. Toutefois, elle peut être suspendue et, le cas échéant, interrompue, dans les conditions fixées par l’arrêté du 24 mai 2006 susvisé. Art. 3. – Cet arrêté est susceptible, dans les deux mois à compter de sa notification, d’un recours, gracieux devant le préfet ou contentieux devant le tribunal administratif de NICE. Art. 4. – Le secrétaire général de la préfecture des Alpes-Maritimes, le directeur départemental de l'agriculture et de la forêt, le chef du service départemental de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié à Monsieur CARLETTI Jean-Claude. Fait à Nice, le 7 septembre 2006 Pour le Préfet, le Secrétaire Général Benoît BROCART °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° DIRECTION DÉPARTEMENTALE DE L’AGRICULTURE ET DE LA FORÊT à Arrêté préfectoral Autorisant Monsieur LEGOFF Yann à effectuer des tirs de défense en vue de la protection de son troupeau contre la prédation d’un animal de l’espèce Canis lupus 2006 n° 470 Le préfet des Alpes-Maritimes Officier de la Légion d’honneur Officier de l’Ordre national du Mérite Vu la directive du Conseil CEE n° 92-43 du 21 mai 1992, concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages, notamment ses articles 12, 15 et 16 ; Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L.411-1, L.411-2 et R.411-1 à R.411-3 et R. 411-6 ; Vu l’arrêté ministériel du 17 avril 1981 modifié fixant la liste des mammifères protégés sur l’ensemble du territoire ; Vu l’arrêté interministériel du 24 mai 2006 autorisant les opérations d’effarouchement, de tirs de défense et de prélèvement sur les animaux de l’espèce Canis lupus pour la période 2006-2007 et ses annexes ; Vu l’arrêté préfectoral n°323du 3 juillet 2006 fixant le cadre de mise en oeuvre opérations d’effarouchement, de tirs de défense et de prélèvement sur les animaux de l’espèce Canis lupus dans le département des Alpes-Maritimes pour la période 2006-2007 ; Vu le rapport du service chargé du constat de l’attaque du troupeau et les constats d’attaques en date du 22 juin 2006 au 28/08/2006; DDAF - centre administratif départemental - bât. mont des Merveilles - BP 3038 - 06201 Nice cedex 3 - 93.18.46.00 - télécopie : 93.18.46.18 PRÉFECTURE DES ALPES-MARITIMES Vu la demande formulée par Madame LEGOFF Angélique en date du 31 juillet 2006 pour l’autorisation de mise en oeuvre de tirs de défense en vue de la protection de son troupeau ; Vu l’avis du groupe restreint en date du 30 août 2006 ; Considérant les dégâts causés aux troupeaux du fait de la prédation du loup dans le département des Alpes-Maritimes; Considérant que le troupeau de Madame LEGOFF Angélique est situé dans l’unité d’action du MERCANTOUR, qu’il bénéficie de dispositifs de protection (gardiennage jour et nuit, chiens de protection), ainsi que de la mise en place de moyens d’effarouchement depuis le 3 juillet 2006 et que les opérations d’effarouchement ont été réalisées et vérifiées lors d’une visite technique des agents de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage le lundi 4 septembre 2006; Considérant que le rapport du service chargé du constat de l’attaque du troupeau atteste notamment que les huit attaques constatées le 05/06, 10/6, 21/06, 10/07, 6/08, 11/08 ,18/08 et 24/08, ont déjà causé plus de quarante victimes indemnisables au titre de la prédation du loup, malgré la mise en place de mesures de protection et la réalisation d’opérations d’effarouchement ; Considérant que ces moyens de protection et d’effarouchement ne constituent donc pas une solution satisfaisante pour prévenir des dommages importants au troupeau ; Arrête Art. 1er. – Monsieur LEGOFF Yann est autorisé, en qualité d’aide-berger, à procéder, sur l’unité pastorale n°5 la Gordolasque sur la commune de BELVEDERE et à proximité de son troupeau, à des tirs de défense pour protéger son cheptel en cas de nouvelle attaque de loup, dans les conditions et selon les modalités fixées par l’arrêté du 24 mai 2006 susvisé. Art. 2. – La présente autorisation est valable pour une durée de trois semaines à compter de la date de sa notification. Toutefois, elle peut être suspendue et, le cas échéant, interrompue, dans les conditions fixées par l’arrêté du 24 mai 2006 susvisé. Art. 3. – Cet arrêté est susceptible, dans les deux mois à compter de sa notification, d’un recours, gracieux devant le préfet ou contentieux devant le tribunal administratif de NICE. Art. 4. – Le secrétaire général de la préfecture des Alpes-Maritimes, le directeur départemental de l'agriculture et de la forêt, le chef du service départemental de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié à Madame LEGOFF Angélique et monsieur LEGOFF Yann. Fait à Nice, le 7 septembre 2006 Pour le Préfet, le Secrétaire Général Benoît BROCART
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La Conférence de la biodiversité lance le "message de P
Michel23 a répondu à un(e) sujet de Michel23 dans Menaces sur la Biodiversité
Le « Message de Paris » Les participants se sont inquiétés du déclin observé dans la fourniture de biens et services par les écosystèmes, déclin qui menace le développement durable et les moyens de vie des communautés les plus démunies. La nécessité de construire des liens plus forts entre la biodiversité et le développement durable a été reconnue par la communauté internationale, y compris par les Parties à la Convention sur la Diversité Biologique, qui ont observé que l’objectif biodiversité devait être mis en oeuvre comme une « contribution à la réduction de la pauvreté et au bénéfice de toute vie sur la terre ». L’Union Européenne fournit plus de la moitié de l’aide mondiale au développement et a fait des efforts considérables pour soutenir les actions en faveur de la biodiversité, en proposant l’intégration de cette question dans différents secteurs. Une indication récente de l’engagement de la Commission Européenne à améliorer l’intégration de la biodiversité dans la coopération européenne au développement se retrouve dans « Arrêter la perte de biodiversité d’ici 2010 – et au delà ». En 2006, aussi bien les Ministres en charge du Développement et de l’Environnement de l’OCDE que les institutions de l’Union Européenne ont souligné qu’ils soutiendraient les efforts fournis par les pays partenaires pour prendre en compte les considérations environnementales dans le développement et les Documents de stratégie de réduction de la pauvreté. Si la Déclaration de Paris sur l’Efficacité de l’Aide en 2005 cherche à mieux intégrer l’environnement dans le développement au niveau sectoriel et national, la prise en compte des considérations environnementales dans les politiques de développement et d’échanges commerciaux reste encore à réaliser. Pour une action concertée sur l’intégration de la biodiversité dans la coopération européenne au développement, les participants ont identifié la série de défis et d’activités suivante : Défi n°1 : intégration La coopération européenne avec les pays partenaires joue un rôle central dans l’atteinte des objectifs du développement et pour la durabilité de l’environnement. Les efforts pour améliorer l’intégration environnement - développement devraient viser à renforcer les politiques et les institutions qui appuient la réduction de la pauvreté rurale. Les participants encouragent la Commission Européenne et les Etats membres à soutenir leurs pays partenaires pour : - Promouvoir un développement rural durable en utilisant la biodiversité comme un capital pour la réduction de la pauvreté, minimisant ainsi les risques et améliorant la sécurité alimentaire, la nutrition et la santé ; - Développer et soutenir le recours à des mécanismes de financement novateurs pour la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité et la réduction de la pauvreté ; - Renforcer la société civile, en particulier les communautés locales et les communautés indigènes, afin de construire une masse critique locale en mesure de promouvoir l’intégration de l’environnement et du développement. - Intégrer les questions environnementales dans les stratégies de réduction de la pauvreté et les instruments de politique macroéconomique (DSRP), et suivre les progrès faits pour traduire les politiques en actions. Défi n°2 : gouvernance Les systèmes de gouvernance équitables, transparents et efficaces sont essentiels aussi bien pour la réduction de la pauvreté que pour la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité. Les gouvernements ne peuvent, ni ne doivent décider tous seuls du cadre de gouvernance. La gouvernance agit à bien des niveaux, de l’international au local. Il est particulièrement important de renforcer les capacités des populations les plus démunies, les communautés locales et les peuples indigènes à gérer les ressources naturelles. Les participants encouragent la Commission Européenne et les Etats Membres à : - Incorporer des mesures effectives dans les Documents de stratégie nationale et les politiques sectorielles permettant de renforcer les politiques et les institutions qui soutiennent la reconnaissance formelle des droits des populations rurales et autochtones à gérer les ressources naturelles et à en tirer profit. - Rechercher systématiquement des intrants et des opinions venant de la société civile, en particulier les communautés les plus démunies et les peuples indigènes, de même que les points de vue gouvernementaux, dans la détermination des priorités nationales pour son programme d’aide. Défi n°3 : instruments et cohérence des politiques Appuyer avec succès le développement durable dans les pays en développement aura des conséquences positives directes sur les préoccupations domestiques clés de l’UE, telles que la migration et la sécurité. L’UE a par conséquent besoin de travailler pour une plus grande cohérence dans ces domaines. Les participants encouragent la Commission Européenne et les Etats membres à : - Utiliser pleinement les opportunités que présentent des instruments tels que l’appui budgétaire, l’approche sectorielle large, etc. pour faire progresser la prise en compte transversale des préoccupations environnementales dans le développement, y compris à travers un dialogue à haut niveau sur les politiques ; - Encourager l’utilisation systématique des évaluations environnementales stratégiques en appui à cette prise en compte transversale ; - Améliorer la cohérence entre les politiques de l’UE et les accords de partenariat économique en relation avec l’environnement et le développement, le commerce, l’agriculture, les pêches, le tourisme, le transport et les infrastructures ; - Apporter le leadership et les moyens nécessaires pour aider les pays partenaires à créer un contexte favorable où les entreprises soucieuses de durabilité peuvent être des partenaires efficaces dans la mise en oeuvre de la conservation et du développement ; - Soutenir le développement des connaissances et la recherche participative ; - Agir sur la demande, en particulier par voie législative, pour réduire l’impact écologique de la consommation et du commerce européens sur les forêts de monde et les ressources océaniques ; - Au niveau international, travailler avec les pays partenaires pour réformer la gouvernance mondiale, et renforcer également le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE), les Accords Multilatéraux sur l’Environnement (AME) et leurs mécanismes de mise en oeuvre. Défi n°4 : reconnaissance de la biodiversité dans les pays et territoires d'Outre-Mer L’UE devrait développer un cadre cohérent pour l’environnement dans les Pays et Territoires d'Outre-Mer (PTOM) afin de promouvoir la gestion durable de leurs zones importantes pour la biodiversité, et également encourager les efforts conjoints avec les Régions Ultrapériphériques (RUP), en prévoyant les mécanismes financiers adéquats. la voie à suivre Les participants ont insisté sur le besoin d’incorporer l’objectif biodiversité 2010 dans le cadre des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) afin de promouvoir l’intégration de la biodiversité dans la coopération au développement. Ils ont également accueilli favorablement l’engagement de la présidence finnoise de l’UE à soumettre le Message de Paris au Conseil chargé des Affaires Générales et des Relations Extérieures en Décembre 2006. Les participants ont encouragé le Conseil et le Parlement européens à échanger et à prendre position sur la Communication intitulée « Arrêter la perte de biodiversité en 2010 et au-delà ». En conclusion, ils ont exprimé leur gratitude aux sponsors et au pays hôte pour l’organisation de la conférence de Paris qui a permis de créer un espace de dialogue entre les acteurs de la conservation et du développement du Nord et du Sud. -
La Conférence de la biodiversité lance le "message de P
Michel23 a répondu à un(e) sujet de Michel23 dans Menaces sur la Biodiversité
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La Conférence de la biodiversité lance le "message de P
Michel23 a posté un sujet dans Menaces sur la Biodiversité
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Mais Loulou, je n'ai pas dit que c'était mal employé cet argent...tout au moins dans l'idée...(mais tu as dit toi-même que les plans de pâturage n'étaient pas respectés !!) alors a quoi il sert...ce fric ??? Et ces aides indirectes certes, quoique..., viennent s'ajouter à celles perçues directement par les éleveurs... Il vient d'y avoir la visite des plusieurs ministres qui ont promis monts et merveilles aux montagnards Alpins, même Sarko qui devait aller jouer aux boules à Laragne...
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Source : http://www.parc-du-vercors.fr/loup/action_parc.pdf#search=%22ddaf%20isere%22 Situation des attaques de prédateurs sur le territoire du Parc et de la Réserve naturelle des Hauts Plateax du Vercors: Bilan 2005 des attaques de loup sur le territoire et évolution : o il est noté une stabilisation du nombre des victimes sur les Hauts Plateaux avec 62 victimes sur 17 000 moutons transhumants, o mais une extension au reste du territoire du Parc depuis 2002, o un nombre de victimes en 2005 supérieur sur le territoire du Parc hors Réserve naturelle: une centaine contre une soixantaine pour la seule réserve naturelle, o Les premières attaques constatées sur jeunes bovins o Sur le territoire du Parc du Vercors, en 2005, 66 attaques (= constats) pour lesquelles la responsabilité du loup n’a pas été écartée, ont été recensées. soit 166 victimes dont 9 bovins. Les attaques ont concernées 31 alpages sur 14 communes. (sources DDAF 26 et 38 au 17 et 23 novembre 2005). Parc Naturel Régional du Vercors - 4 - Bureau du 5 décembre 2005 Pour la Drôme : 43 attaques, 115 victimes dont 9 bovins, 21 alpages, sur 9 communes : Bouvante (13 attaques), Chatillon en Diois (1), Laval d’Aix (3), Léoncel (2), Omblèze (11), Saint Agnan (3), St julien en Quint (1), Treschenu [8], Vassieux (1). 26 éleveurs ont été concernés. Pour l’Isère : 23 attaques, 51 victimes, aucun bovin, 10 unités pastorales sur 5 communes : Chichilianne (9 attaques), Gresse en Vercors (10), Engins (2), Lans en Vercors (1), Villard de Lans (1). Dans la réserve naturelle : 28 attaques, 62 victimes, 15 unités pastorales, 6 communes Hors réserve naturelle : 38 attaques, 104 victimes, 16 unités pastorales, 9 communes Bilan des mesures de protection dans le Parc du vercors : En 2005, 47 contrats ont été signés avec les éleveurs d’ovins-caprins concernant 26 communes : 20 contrats (dont 3 en réserve naturelle- zone natura 2000) en Isère et 27 contrats (dont 2 en Réserve naturelle, zone Natura 2000) en Drôme intéressant 13 communes en Drôme et 13 communes en Isère.
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Fédération des alpages de l’Isère : l’après CTE Source : http://www.gds38.asso.fr/web/gds.nsf/8cb279f7ace047aac1256c0f004cf0d5/8906dc0a70f51a1dc125713f00494da9!OpenDocument Qu"est ce que le CTE : Un contrat individuel pour l’agriculteur Le CTE est un contrat individuel de 5 ans établi entre l’agriculteur et l’Etat. Il est fondé sur un projet de l’exploitant concernant toute son exploitation, assurant à la fois sa viabilité économique et la prise en compte des attentes de la société, notamment en matière d’environnement, de qualité des produits et des paysages, d’équilibre social et culturel des territoires. En contrepartie d’une aide cofinancée par l’Etat et l’Europe, l’agriculteur s’engage sur un certain nombre de mesures types choisies dans un contrat type. Le CTE peut s’inscrire dans le cadre d’un projet collectif sur un territoire homogène et/ou une filière donnée. Les groupements pastoraux réfléchissent à l’après CTE, contrat qui leur a permis d’entretenir les surfaces d'alpages ces dernières années. Un débat s’est engagé sur ce thème, lors de la dernière assemblée générale de la FAI, jeudi 16 mars à Crolles. . " Le pastoralisme est une activité d’intérêt général. Sans lui, la nature serait dangereuse, il faut le répéter ! », a insisté le député maire de Crolles, François Brottes, ouvrant l’assemblée générale de la Fédération des alpages de l’Isère. A l’heure de la réforme de la Pac, les budgets associés à la montagne manquent de clarté et le président de l’Anem (Association nationale des élus de la montagne) a insisté sur l’importance de défendre la montagne dans le 2ème pilier de la Pac, enveloppe qui sera aussi convoitée par les agriculteurs de plaine." . En Isère, 53 groupements pastoraux ont signé des CTE, facilitant l’entretien des alpages. Ces contrats arriveront bientôt à terme et la question de l’ « après CTE » est posée par les alpagistes. Le prochain dispositif n’est pas encore connu. « Nous comptons sur les aides du deuxième pilier, dans le cadre des mesures agri-environnementales. Mais nous souhaitons que cette enveloppe soit fléchée depuis Paris », a insisté l’animateur de la commission technique de la FAI, Jean-Marie Davoine. Dès 2006, des propositions seront faites dans ce sens à la DDAF par le biais de l’Association française de pastoralisme. Pour l’heure, seul le groupement pastoral du Sénépi achève son CTE cette année. Il devrait bénéficier, en 2006, de la PHAE. Pour 2007-2013, « il reste peu probable que les aides soient, financièrement, au même niveau que le CTE », a indiqué Michel Villevieille, à la DDAF de l’Isère. . Poursuite des travaux . La FAI poursuit, par ailleurs, les travaux d’amélioration dans les alpages de l’Isère. En 2005, la priorité a été donnée aux équipements classiques : matériel de contention, chalets, adduction d’eau, débroussaillage, clôtures et abreuvoirs. Plus de 200 dossiers de subvention ont été instruits, pour plus de 900 000 euros d’investissement, subventionnés par le Département, la Région et l’Etat. En 2006, la liste des projets est déjà validée par le conseil d’administration de la FAI. Ils vont concerner 60 groupements pastoraux, communes, syndicats et AFP, pour un montant d’1,2 millions de travaux (hors taxe). Ces équipements sont d’autant plus nécessaires que la sécheresse a, une nouvelle, fois frappé les alpages en 2005. « Dans le Sud Dauphiné, les animaux sont descendus plusieurs semaines avant les dates habituelles », a indiqué le président de la FAI Fernand Sillon. . La Fédération des Alpages de l'Isère en difficulté . Le directeur de la FAI, Yves Raffin et le formateur Jean-Marie Davoine ont tous les deux été arrêtés pour une période de trois mois, en 2005, pour des problèmes de santé. Ces absences ont fragilisé la trésorerie de la FAI, qui ne dispose pas de fonds propres. Les résultats de l’exercice 2005 affichent un déficit de 48 324 €. « Eu égard de la situation, nous nous sommes mobilisés depuis le mois d’octobre pour en informer nos partenaires les plus proches, dont plusieurs ont répondu avec bienveillance à notre appel, comme le Conseil général de l’Isère », a rassuré le président François Fillon, qui espère rétablir l’équilibre en 2006. C'est vrai qu'ils sont délaissés ces pauvres éleveurs snifff.... Et ce n'est pas a cause du loup...Pour cela ils demandent d'autres aides...
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mesure de protection des troupeaux Les éleveurs confrontés à la présence du loup doivent adapter leur mode de conduite de troupeau pour pouvoir mettre en place des moyens de protection : regroupement des animaux le soir utilisation de parcs de nuit électrifiés utilisation de chiens de protection Pour accompagner ces changements de pratiques, les éleveurs ovins et caprins peuvent bénéficier d'une aide à la protection des troupeaux. C'est une mesure agroenvironnementale, co-financée par l'Etat et l'Europe. °°°°°°°°°° Présentation du dispositif et options possibles Présentation du dispositif : Le dispositif se formalise par une contractualisation pour 5 ans en cercle 1 et pour 1 an en cercle 2 (voir zonage). L'aide consiste à financer à 80% un ensemble de mesures obligatoires ou optionnelles, pouvant comprendre : • l'aide au gardiennage (surcoût de travail ou embauche de berger ou aide-berger), • l'achat et l'entretien de chiens de protection, • l'achat de parcs de regroupement nocturne, • la réalisation d'analyses de vulnérabilité des alpages. L'aide est fonction de la taille des troupeaux. La taille du troupeau est définie par le nombre d'animaux adultes (de plus d'un an) multiplié par un coefficient permettant de prendre en compte les animaux de renouvellement et les agneaux. Ce coefficient peut être égal à 1 ou 1,4 ou 1,7. Il se calcule comme suit : coeff = ( nombre animaux âgés d'un an ou plus + animaux de moins de un an ) / ( nombre animaux âgés d'un an ou plus ). Détail des options : • Pour les très petits troupeaux (30-88 adultes + agneaux ou une taille de troupeau de 50 à 150 animaux) :« aide forfaitaire de 4€/animal/mois » • Pour les petits troupeaux (89-265 adultes + agneaux ou une taille de troupeau de 151 à 450 animaux) : à choisir deux options parmi surcoût de gardiennage à mi-temps, et/ou chien de protection, et/ou parc de nuit. • Pour les moyens troupeaux (266-706 adultes + agneaux ou une taille de troupeau de 451 à 450 animaux) : aide au surplus de travail de l'éleveur (éleveur-berger ou embauche d'un berger) et choisir au moins une option parmi chien de protection, et/ou parc de nuit. • Pour les gros troupeaux (>707 adultes + agneaux ou une taille de troupeau supérieure à 1200 animaux) : aide à l'embauche d'un aide-berger en plus du berger traditionnel obligatoire + parc de nuit et option chien de protection. Engagement minimal obligatoire pour tous : Le regroupement des animaux toutes les nuits (action de constituer un seul lot d'animaux, sur une couchade peu vulnérable). De plus, le bénéficiaire s'engage à maintenir le nombre de caprins et ovins de plus d'un an, pendant une durée de 5 ans, égal ou supérieur à 75% du nombre de caprins et ovins de plus d'un an déclaré en première année ou ne pas être dans une catégorie de troupeau inférieure et de confirmer chaque année sa demande d'aide (modulée en fonction de la taille de son troupeau et de la durée de pâturage en cercle 1). °°°°°°°°°° Comment fait-on pour déclarer une attaque et quels sont les montants des indemnisations ? Les indemnisations de prédation sont indépendantes des mesures de protections décrites ci-dessus. Elles sont perçues même si l'éleveur n'a mis aucune mesure en place. Procédure d'indemnisation Procédure d'indemnisation aprés dommages Appel à la DDAF : Après la constatation d'une attaque par le berger ou l'éleveur, il faut : appeler au plus vite la DDAF au ............ (n° de veille permanente) et en dehors des heures d'ouverture des bureaux, laisser un message (nom / lieu (alpage et commune) / date de l'attaque / n° de téléphone / nombre de victimes). Ce répondeur est consulté deux fois par jour 7j/7. Réalisation du constat : Un correspondant habilité, contacté par la DDAF, va monter réaliser le constat avec le berger et/ou l'éleveur. Une copie de ce constat signé par le correspondant et l'éleveur (ou le berger) est laissée à l'éleveur. Plus ce constat est réalisé rapidement, plus les indices seront précis. Il est nécessaire de pouvoir réaliser une expertise sur l'ensemble de l'animal (ne pas couper les oreilles, par exemple) Veillez à protéger les victimes des charognards sans les déplacer Instruction : Après étude de l'expertise, la DDAF donne une conclusion technique. En cas de non exclusion de la responsabilité du loup et/ou du lynx dans l'attaque, une décision d'indemnisation est prise : • indemnisation des victimes en fonction du barème loup ou lynx (voir ci-dessous quelques exemples), • forfait animaux disparus égal à 15% du montant des animaux constatés, • indemnisation des pertes indirectes (stress, avortement, .) pour le troupeau, plafonnée à 300 têtes (600 têtes quand le troupeau met en place des moyens de protection). Paiement : Paiement des propriétaires au prorata du nombre de bêtes. Aucune indemnisation ne peut être effectuée sans réalisation d'un constat. C'est la DDAF exclusivement qui centralise les appels des éleveurs. Il est très important, même si l'attaque ne concerne qu'une seule victime, de contacter la DDAF afin de pouvoir centraliser toutes les informations concernant la présence de loup, de lynx ou de chiens errants afin que toutes les dispositions puissent être prises. Extrait du barème d'indemnisation 2005: Agneau et agnelle de 0 à 12 mois non inscrit 95 € ou 110 € si labellisation Femelle de plus de 2 ans 91.47 € emelle de plus de 2 ans gestante 160 € Femelle de plus de 2 ans allaitante 180 € Bélier de plus de 6 mois inscrit 390 € + 70 € par index Chevreau de 0 à 6 mois 54 € Chevreau de 6 à 12 mois 61 € Chevrette de plus d'un an et chèvre jusqu'à 8 ans 84 € (275 € si inscrite) Veau de 0 à 6 mois 635 € °°°°°°°°°° Prime à la Brebis (PB) Conditions d'attribution : Détenir au moins 10 brebis. Brebis ayant mi-bas au moins une fois ou âgée d'un an au moins le 11 mai de l'année de déclaration. Conserver l'effectif déclaré pendant une période de 100 jours à dater du 1er février et jusqu'au 11 mai inclus (période de détention). Etablir une déclaration de surfaces pour la même campagne et notifier les lieux de détention du cheptel. Tenir à jour un registre de bergerie. Notifier sous 10 jours à la DDAF les pertes d'animaux. SAU au moins à 50 % en zone de montagne (déclaration de surfaces obligatoire). Plafonds : L'effectif primable est limité au nombre de droits à prime dont dispose le bénéficiaire (droits définitifs et/ou temporaires). Il n'y a pas de plafond d'animaux primables. Déclarations : Déclaration en DDAF jusqu'au 31 janvier de l'année de campagne. Dossiers acceptés jusqu'au 25 février avec réduction de l'aide de 1% par jour ouvrable de retard. Déclaration de surfaces obligatoire avant le 15 mai de la même année. Paiement : A partir du 1er décembre. Par l'OFFICE DE L'ELEVAGE. Montant fixe de 10.50 € par brebis viande et 8.40 € par brebis lait ou chèvre. Prime supplémentaire : Versée aux producteurs qui bénéficient de la PBC et situés en zones défavorisées. En solliciter le bénéfice sur la demande PB : Montant de 3.5 € par brebis.
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Je ne fais pas ici le procès des abattoirs. Tu aurais pu poster ton inventaire "à la Prévert" dans ce topic intitulé "Viande et écologie"...ici : /viewtopic.forum?t=394 Je voulais simplement dire, que la distribution est très mal faite...Je doute qu'en région parisienne on puisse trouver de l'agneau de l'adret appellation contrôlée, comme nous le dit Guido. Ne t'inquiètes pas Guido, ce n'était qu'une image...je sais ou en trouver et du bon Si les éleveurs voulaient bien prendre leurs problèmes à bras le corps...au lieu de se lamenter...mais pas que pour le problème loup, qui leur sert de ligne fédératrice... Le gouvernement commence à leur faire les yeux doux en disant qu'il veut réhabiliter la montagne...5 ministres dans les alpes depuis 3 mois...et essaye de les calmer en pondant des arrêtés débiles pour la régulation de Canis Lupus. Les abattoirs et que tu manges de la viande ou pas Lou, ce n'était pas mon problème...Et c'est vrai que tu casses un peu mon post, pour les futurs lecteurs...Mais bon...
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Euh, je pense qu'il serait bon de calmer le jeu... Bledine a un site...(Elle l'a fait [son site] avec sa senbilité, qui est peut-être différente de la notre, mais je pense qu'on doit l'accepter... ). Si elle a mal traduit, au lieu de lui en faire le reproche, c'est vrai on aurait pu le lui faire remarquer...gentiment, et peut-être l'aider, pour la bonne traduction. Bon je pense que l'incident et clos....
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J’ai beau être écolo, je ne suis pas végétarien (je dis ça parce que pour beaucoup, les choses ont l’air d’aller de pair). Je ne suis pas très « viande rouge » mais ce que j’aime de temps en temps, c’est un bon morceau d’agneau. Las ! impossible de trouver un filet ou un rack d’agneau de provenance des alpages, dans les grandes surfaces, ni chez le boucher, ni sur les marchés. Les morceaux de choix proviennent toujours de Nouvelle-Zélande. Seules les côtelettes proviennent d’agneaux Français, et encore… Et ça, ça m’énerve. Pour deux raisons : j’achète plutôt des aliments de saison et des produits qui n’ont pas traversé la moitié de la terre avant d’arriver dans mon assiette. Autant que je sache, les moutons ne font pas partie d’une race exotique introuvable dans l’hémisphère nord. Pas comme les ananas, les mangues, quoi… Donc aucune raison de ne pas trouver (et manger) de filets de moutons de nos Alpages ! Ca m’énerve aussi parce que chaque fois qu’un prédateur pointe son museau sur une estive, c’est comme si le ciel nous tombait sur la tête à nous pauvres Français : ben oui ! ces loups, ces lynx et ces ours mangent NOS moutons et menacent de jeter les agriculteurs sur la paille. Tollés, manifs, motions, menaces. On sort les fusils, le poison, on écrit des plans de gestion, on bataille sur des subventions, on aménage la convention de Berne…Le dernier plan gouvernemental de gestion de l’espèce Canis Lupus est d’ailleurs sorti (24 mai 2006), il règle le sort de 6 loups qui se montreraient trop entreprenants. (2 ont été abattus grâce à un arrêté préfectoral). Nos agneaux sont donc bien protégés. Bon, je veux bien (façon de parler), mais alors, où est-ce que je l’achète, ce filet d’agneau de nos alpages ? Ah! je pige ! Les loups ne nous laissent que les côtelettes…
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Ben oui, mais si il n' y a pas de demande, de la part d'une majiorité d' adhérents il n'y aura rien de fait... Mais je n'ai pas eu de contact avec Ferus, LPO,...FNE avait laissé le choix l'an dernier à ses adhérents !!! Si tu veux, tu peux envoyer un MP à Christophe c'est le Président d'AVES France, il te répondra surement ce qu'en pense AVES... Pour ma part, je ne parle que de ce je connais, le collectif nature Drôme, c'est à dire l'ASPAS, La FRAPNA Drôme, le CORA, Mille-Traces pas chaud du tout...J'ai dit aussi que c'était dommage...
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J'en ai déjà discuté avec plusieurs associations de protection de la nature,vu les résultats des précédentes, de la dernière en date à Luchon, personne n'est très chaud pour se lancer de nouveau dans une telle opération ! Alors encore une fois si, vous faites parti d'une asso vous pouvez faire entendre votre voix, sinon......Alors adhérez en masse et vos voix seront entendues !!!