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Tout ce qui a été posté par CANIS111
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il est illégal de protéger la biodiversité!
CANIS111 a répondu à un(e) sujet de stéphane41 dans Menaces sur la Biodiversité
Vous voulez dire que si je veux intégrer dans mon potager quelques " légumes oubliés " et que la grande distribution a décidé de ne pas faire commerce des semences, je suis hors la loi si j’en achète, et dans la légalité si on m’en fait cadeau ? Ne serait- ce pas là le moyen qu’auraient trouvé certains lobbys pour que ces légumes oubliés le soit définitivement, parce qu’ils ne leurs rapporteraient pas assez de fric ? Rutabagas, vieux panais, potimarrons et autres allez disparaitre à jamais de nos assiettes à cause du nerf de la guerre . Comme dirait un certain U…. " Elle est pas belle la vie !". -
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Cela aurait pu être un beau best seller qui aurait fait un beau film si seulement ils seraient restés à ce qui aurait toujours du être, un bouquin et un film de fiction. Dans ce que l’on voudrait nous faire prendre pour la réalité, je rappelle que dans cette histoire l’enfant aurait dans les 7 ans et dans ce cas on est bien loin des histoires où des nourrissons furent adoptés par une louve en mal de maternité. Je ne voudrais pas être assimilé à un antisémite simplement parce que je pense que cette histoire est rocambolesque. Je ne mets pas en doute la parole de Mme. Misha Defonseca, sur le fait qu’elle ait été violée par des Allemands, ni pour le reste de son aventure, mais je ne crois pas qu’elle ait pu être adoptée par une meute de loup, surtout à l’âge de sept ans.
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De ceux-là même dont elle se nourrit de leurs œufs ainsi que de leurs oisillons, je ne pense pas que la corneille fasse la différence entre un œuf ou un oisillon de merle ou de moineaux, elle se nourrit donc de divers oiseaux selon les espèces qui l’entourent. Mais lorsque l’on veut justifier le piégeage on omet volontairement l’utilité qu’a le corvidé dans la nature, car ça peut déranger. Il ne faut pas oublier qu’il a un rôle d’éboueur car il ne dédaigne pas les charognes, et mieux encore la corneille se nourrit également d’insectes qui sont néfastes aux cultures. On ne veut voir que ce qui arrange, ou plutôt, dans le cas qui nous intéresse, ce qui dérange et ce que je reproche par dessus tout à certains chasseurs qui approuvent ces piégeages, c’est l’hypocrisie (le mot est faible) dont ils font preuve, parce qu’en réalité ils n’en ont rien à foutre que disparaisse moineaux ; merles ; rouges-gorges et autres, du moment qu’on ne leurs touche pas leurs éventuels gibiers.
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Ca c'est ben vrai...sur ce point Nemrod. Toujours est-il que....: Comment c’est faux… ? Hou bou Diu qu’il est de mauvaise fois sur ce coup le Nemrod ! Il ne te vient pas à l’idée qu’en piégeant la corneille (prédateur) dans le but d’augmenter la population des perdreaux ; faisans ; canards (oiseaux qui intéressent plus particulièrement les chasseurs) tu augmentes aussi la densité d’autres oiseaux que la corneille régule en tant que prédateur ? :regarde: La synthèse de tout ça est : 1- On élimine la corneille (le prédateur). 2- Les perdreaux etc. augmentent, ainsi que d’autres espèces (que l’on zappe parce qu’elles ne font pas partie du gibier convoité par le chasseur). Résultat des courses, les corneilles (prédateurs) sont en forte diminution au détriment de leurs proies et t’appelles pas ça rompre un équilibre toi ? tu manques pas d’air … !!!? Ah non, c’est vrai tu appelles ça réguler. La signification des mots n’est pas la même pour les uns et pour les autres, moi diminuer d’un côté de manière à augmenter fortement de l’autre j’appelle ça créer un déséquilibre. Et peut-être que votre régulation est en partie à l’origine de l’invasion des mouettes sur Paris (remarque, que lorsque le maire organise Paris plage, sur les bords de Seine… les mouettes… ça fait couleur locale, non ?)
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Ce ne sont que des chiffres, Nemrod, mai si l’homme n’intervenait pas dans la régulation qui peut dire de façon certaine que 3 à 4 lièvres pour 10 à 12 renards, ou tant de corneille ; de corbeaux ; de pies etc. n’est pas une proportion acceptable pour un équilibre que la nature elle-même s’est fixé. Pourquoi l’être humain doit-il toujours penser qu’il est indispensable à l’équilibre de la nature, et de façon si présente, sur tout, sur le nombre de prédateurs (voisin du zéro), sur les espèces aquatiques qui doivent peupler ses rivières, sur la superficie des forêts etc. etc. et qu’il doit gérer cette nature selon des critères qu’il a lui-même fixé, trop de renards ou de corvidés par rapport aux lièvres, cette proportion n’est valable que dans sa tête parce qu’il éprouve du plaisir à tuer le prédateur et à consommer la proie. Mais inverse simplement la situation, l’homme n’éprouve plus, tout d’un coup, comme par miracle, de l’intérêt pour le lièvre, mais pour ; corneilles ; renards et autres, et comme par miracle la proportion de 3 lièvres pour 1 renard deviendra quelque chose qu’il faudra inverser. Merde… l’homme est bizarrement fait quand même !
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Et chassés ensemble. Bien que dans leurs cas le mot chassé est ridicule puisque ces animaux sont tellement habitués à l’homme que tu pourrais les tirer avec un lance-pierres. Il me semblerait que tout chasseur digne de ce nom, devrait bouder ce genre de tir qui se rapprocherait plus du tir forain que de la chasse.
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Je suis en accord avec Ugatza, pour les raisons qu’il évoque et pour d’autres. Et il me semble difficilement concevable qu’un être humain puisse vivre avec, et comme, une meute de loups. Si on rajoute à ses arguments le fait que, si les loups font preuve d’une grande patience et d’une grande attention envers les louveteaux parce que ceux-ci assurent leur descendance, ils n’ont cependant que faire de membres qui sont une charge risquant de mettre en péril leur propre survie, comme les vieux, les malades ou les blessés, qui sont systématiquement écartés d’une meute ne les prenant plus en charge et deviennent des loups solitaires dont les jours sont comptés, et un humain pourrait être assimilé à ces loups, puisque ne participant pas activement aux besoins de la meute. Il me semble entre autre qu’un être humain ne pourrait rester longtemps en bonne santé s’il ne se nourrissait que de viande crue, je ne parle même pas du problème de l’eau, car si un loup peut se désaltérer d’une eau boueuse ou presque putride il n’en est pas de même pour un humain. Il y a aussi les problèmes de la maladie qui pour un humain vivant dans son monde, ne sont que des maladies bénignes, comme un gros coup de froid, mais qui pourraient devenir mortelles à la longue pour un enfant ou un adolescent vivant dans la nature et affaibli par un régime alimentaire ne lui convenant pas.
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Comme je suis plus con que celui qui les a écrits je me fais un plaisir de les commenter. Professeur de quoi déjà il est celui-là… ? Ah, oui, de philosophie ! Comme quoi avec de la philosophie on arriverait même à expliquer et à adhérer aux massacres perpétrés par certains dictateurs . Peut-être que monsieur Wolff n’a pas la boîte crânienne assez grande pour comprendre que l’on peut y avoir suffisamment de place pour de s’émouvoir à la fois de la condition d’êtres humains et d’animaux ? Mais point n’est-il, les gens hostiles à la corrida ne sont pas dupes, ils savent très bien que le spectacle qui est offert, n’a rien de cruel, il n’y a qu’à demander aux taureaux ce qu’ils en pensent ! Premièrement je trouve indécent de mettre les Nîmois ; les Bayonnais ; les Biterrois etc. dans le même panier, il faut savoir que parmi eux, bon nombre sont contre la corrida. Secundo mettre en avant tradition ou culture pour justifier un acte de barbarie démontre clairement un manque d’arguments notoires pour défendre cet acte. Et tertio, oui, il semblerait bien qu’Ils sont moins sensibles à la souffrance que les autres. Si toute souffrance n’est pas douleur, dans le cas qui nous intéresse, la douleur est souffrance. Voilà qui pourrait prouver qu’il y a " violence dans l’arène " ce qui expliquerait pourquoi elle ne déborde pas à l’extérieur, car la violence que le spectateur a en lui, a été extériorisée pendant ce " spectacle ". Ensuite il nous parle de Picasso ; d’Eisenstein ; de Lorca ; d’Hemingway ; de Leiris ; de Bataille ; de Cocteau, et nous dit qu’ils aimaient, ils admiraient la bravoure du taureau, comme s’ils étaient une référence là-dessus, mais c’est ce qui me fait dire que personne n’est parfait. Il pense même pour le taureau " Mieux vaut mourir debout que vivre à genoux " faudrait peut-être demander l’avis du taureau.
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