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Tout ce qui a été posté par Loulou34
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Deux ouvrages pour la determination des invertébrés d'eau douce. D'abord Introduction à l'étude des Macroinvertébrés d'eau douce Tachet, Bournaud, Richoux Université Lyon I, Association Française de Limnologie, Ministère de l'Environnement Très bon ouvrage d'introduction, les clefs demandent tout de même un minimum de connaissance sur la morphologie et l'anatomie nottamant pour les insectes. Un bémol, la détermination s'arrette au taxon necessaire à l'IBGN, en général la famille. Pour les insectes on arrive parfois au genre mais en lisant les diagnoses, sans clef. Ensuite Invertébrés d'eau douce. Systématique, biologie, écologie Tachet, Richoux, Bournaud, Usseglio-polatera éd. CNRS Les clefs sont semblables (vu que c'est les mêmes auteurs ) mais pour les insectes on arrive systèmatiquement au genre. les traits de biologie et d'écologie sont plus complets mais rassemblés en tableaux chiffrés peu lisibles (il faut un minimum de pratique pour extraire l'info)
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l'ouvrage incontournable ATLAS DES POISSONS D'EAU DOUCE DE FRANCE Keith et Allardi (coordinateurs) éd. MNHN Toutes les espèces presentes en France métropolitaine, écologie, répartition très grosse intro sur la systèmatique, la biogéographie, l'écologie ... Des clefs de déterminations très pointues pour ceux que ça tente (dissection obligatoire )
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D'accord pour le pinson mâle, j'ai déjà remarqué que lorsque le plumage du mâle est très vif (plumage nuptial je suppose) bon nombre de gens hésitent n'arrivent plus à l'identifier car ils ont l'habitude d'un oiseau plus terne. Pour la Huppe, l'altitude ne m'etonne pas vraiment, elle occuppe bien tout le subalpin à condition d'y trouver des clairières et zones assez ouvertes alternant avec des boisements variés et surtout des arbres morts sur pied.
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Encore eu t'il fallu que je le su ! J'ai vu plein de charmantes jeunes filles, laquelle est Aude ? Mystère !!! Quand je vais dans ce genre d'endroit, je prefere ne rien dire et faire le quidam. Ca me permet d'entendre les petites bétises qui sont dites (j'en ai relevées mais rien de grave) et puis ça mets toujours les intervenants mal à l'aise. Et puis j'ai envie qu'on me foute la paix surtout
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On a donc affaire sans doute à une source ou une résurgence qui "nait" dans une depression et qui donne naissance à un cours d'eau. ce n'est plus tout à fait une mare alors Ben en fait un très grand étang on appelle aussi ça un lac mais c'est un vice de language, je le concéde. Bon on peut donc en revenir à ce que l'on disais au début, vraiment difficile de définir une régle pour l'appellation des plans d'eau naturels ou artificiels, tout les termes se chevauchent, sont plus ou moins synonimes, de quoi s'arracher les cheveux.
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Je me suis inscrit à l'inventaire national lancé par noéconservation et le MNHN. Mais franchement j'ai du mal à appliquer le protocole. N'etant pas un spécialiste des bestioles il me faut un certain temps (un temps certain) pour les identifier. De plus mon jardin est assez grand, en pente (forte) et je ne peux pas savoir ce qu'il s'y passe partout à la fois. Bilan, je ne vois jamais qu'un rarement deux papillons de la même espèce en même temps alors qu'il doit y en avoir beaucoup plus. Certains d'entre vous suivent t'ils aussi ce protocole ? Suis je particulièrement manche ou avez vous aussi des problèmes pour appliquer le protocole ?
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C'est bien une femelle avec son petit de l'année. Normalement début juillet la femelle est suivie de son cabri (ou chevreau y a deux écoles) et de l'eterlou (petit d'un an). Dans le cas présent l'eterlou n'y etait pas. Soit il faisait la star et ne voulait pas poser ... soit, malheureusement il n'avait pas passé l'hiver, soit encore c'était la première portée de la femelle ...
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Là je suis sceptique, pour ne pas dire incrédule. Non, les poissons arrivent par la main de l'homme. A part l'anguille qui est capable de faire plusieurs centaines de métres à sec pour aller coloniser un plan d'eau. Il y a un élément qui permet de differencier un lac d'une mare. C'est lié à la profondeur et à la température. Dans les lacs suffisament profond il y a des phénoménes de compartimentation des eaux en fonction de leurs température avec des courants saisonniers du fond vers la surface et vice versa, ce qu'on ne retrouve pas dans les mares. Mais on nomme Lac tous les plans d'eau d'origine glaciare de l'étage alpin alors que certains l'hiver gèlent jusqu'au fond et ne connaissent pas ce phénoméne. De même les lacs alpins sont bien des lacs mais la grande majorité, privé d'éxutoire de surface n'ont jamais été colonisés par les poissons. Bon, j'arrette là, c'est à devenir fou ces histoires de dénomination des plans d'eau
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Ben, dans le cas d'espèce ce n'est pas si simple car les eaux dites "closes" ne sont pas soumises à la loi pêche. On y fait donc ce que l'on veut. La nouvelle loi sur l'eau va simplifier le classement eaux libres/eaux closes mais dans les faits celà ne changera rien pour l'application de la loi. Pour ce qui est de la chasse, effectivement le gouvernement vient de faire cadeau d'un Etablissement public (l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage) au lobby chasse. Les elections approchent ¨Pour en revenir à notre sujet, j'insiste sur le fait que le propeiétaire d'un etang ne se rends pas compte ou ne veut pas se rendre compte du fonctionnement "naturel". Il en paye les conséquences en devant vidanger son etang afin de restructurer les peuplements piscicoles et favoriser un fonctionnement 'autotrophe". (bien fait pour lui).
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Les rivières et les lacs, les milieux aquatiques en général, ne sont pas perçus par le grand public comme des écosystèmes à part entière, pour la plupart de nos concitoyens, un lac sert à stocker de l'eau, une rivière à la laisser s'écouler vers la mer. S'il y a de la vie dedans, ce ne peut être que grace à l'intervention de l'homme qui y deverse du poisson, "nettoie", aménage. Dans cette rubrique, en paralélle avec les rubriques "Poissons" et "Insectes", je vous propose d'explorer les écosystèmes aquatiques sous tous leurs angles : hydrologie, hydromorphologie, écologie, ... N'hésitez pas à poster pour poser des questions, pour emmener des réponses ou des informations afin de tordre le cou aux croyances populaires et faire partager au plus grand nombre la notion d'écosystème aquatique
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Bon, je vais pouvoir en parler puisque je me suis enfin laissé entraîné à reculons vers le parc alpha, à St Martin Vésubie. L'accueil y est charmant, les trois petits films, mis en scène dans des décors originaux sont sans parti pris, neutres, montrant le point de vue de chacun. (Un louvetier, un Ethologue, un berger "old school" et sa petite fille qui reprends l'exploitation). Franchement, cette partie est très interessante, me mettant à la place d'un quidam ne connaissant pas la problèmatique, j'étais ravi. Pour la suite, trois enclos, forestiers avec trois meutes et des points d'observation. Même si la vue d'un loup dans la force de l'age, en bonne santé, trottant ou courant est toujours source d'emmerveillement, le spectacle est gaché par les grillages, le monde agglutiné derrière les points de vue. Et puis ces loups n'ont pas un comportement naturel puisqu'ils attendent le nourrissage effectué devant des dizaines de badeaux. En fin de compte, s'il n'y avait pas eu de loups captifs au Parc Alpha celà aurait été aussi interessant, peut être même plus interessant si on rajoutais un film sur la biologie du loup, style "ice pack" ou un truc équivalent en qualité. La présence des loups captifs est un argument touristique mais n'apporte absolument rien sur le plan de la compréhension de la problématique. Je distigurais donc deux choses à St Martin, d'abord un lieu d'information, franchement bien foutu, où l'on perçoit la problématique et les enjeux du retour du loup, ensuite un zoo de luxe ... mais un zoo quand même.
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D'accord avec Ugatza, les termes employés se recoupent et il est difficile de s'y retrouver. Toutefois lorsque l'on parle de plans d'eau naturels, on banni le terme etang qui est forcement le resultat d'un aménagement humain. On parle plus volontier de mares, qui peuvent avoir un caractère temporaire (les célébres mares temporaires acidophiles de la forêt de Fontainebleau par exemple) ou non et qui sont effectivement de tout petits milieux. Ou bien de lacs (exemple des lacs de verrou glaciaire ...) mais il existe de nombreux autres exemples de plans d'eau naturels comme les noues des méandres recoupés dans les fleuves de plaine par exemple. pfiou ! à la relecture, ça ne me semble pas super clair, dites moi si vous n'y comprenez rien
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