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Tout ce qui a été posté par Loulou34
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Bon, je dois faire un bloquage avec les papillons Je rame. Alors celui là c'est bien la Pieride du chou ? Celui là ça n'a pas l'air d'être le même ? quoi que Alors ça c'est une zygène, jusque là tout va bien mais de là à lui coller un nom d'espèce Là, j'y arrive plus soit je suis une nouille, soit j'ai pas le bon bouquin. Là, encore moins Et puis, il y en a plein d'autres mais ils ne se posent jamais Je soupsonne un Machaon ou alexanor il y avait aussi des citrons mais là on n'en voit plus, un autre encore petit avec les ailes antérieures orange et les postérieures blanches, des azurés mais lesquels AU SECOURS
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Perdu ! Qu'est ce qui te fais doucement rigoler ? Les pelouses mono-spécifiques à Nard raide, les crêtes lamentablement érodées, les pelouses écorchées vecteur d'érosion, les murs de restanques et autres ruines foutues par terre par le passage des troupeaux ? Ou bien l'affirmation que l'ouverture des milieux n'est pas gage de biodiversité au plan général (au niveau du Biome pour utiliser des mots d'écologue) mais uniquement au niveau local ? Car pour ça, j'ai concédé que celà avait une utilité, utilité qui me semble autant écologique qu'ethno et sociologique (heu, j'me repette là ?) Ensuite, lorsque je dis que dans ce cas là l'élevage n'est pas une fin en soi mais bien un outil, ça me semble quand même être l'essence de l'article dont on parle, non ? Celà ne reflete peu être pas ma pensée mais en tout cas mon analyse du document en question. Prouve moi le contraire ? Alors là permets moi de te dire que j'ai du mal à te croire, surtout en ce qui concerne les orchidées et les "intellectuels" qui s'y interesse. et puis pour ironiser sur la fin de la citation, pour une fois que ce sont les zécolos qui font du lobbying c'est sur que ça doit faire bizarre aux éleveurs doués en la matière. tiens, c'est le retour de la grenouille
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C'est une bonne question L'anthère c'est l'organe sexuel mâle, celui qui a à son extrémité les pollinies (sacs à pollen). Comme chez la plupart des orchidée, il est caché au fond de la fleur, sous les pétales qui forment le "casque". Quand un insecte pollinisateur vient se poser sur le labelle pour butiner le nectar qui se trouve au fond de l'éperon, l'anthère descent de sa loge et vient poser du pollen sur le dos de l'insecte. Pour voir les loges, il faut donc retourner la fleur pour en voir le fond, ou écarter délicatement les pétales.
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Si on réintroduit, c'est qu'il n'y a plus. Donc on se trouve bien dans une reconquete de milieu à "ouvrir" On veut donc reconquérir et pereniser ette "ouverture" On est sans doute loin d'un élevage extensif productif, on retient ici le troupeau comme un outil et non comme une fin en soi. C'est l'outil qui s'adapte au travail à effectuer afin d'obtenir le résultat "ouverture". Le but n'est pas de "produire" du mouton. Je ne pense pas qu'on "ouvre des portes" sur des espaces de centaines d'hectares ! C'est mon analyse du texte, chacun la sienne Pour reprendre un long post perdu après une panne du serveur et que je n'ai jamais eu le courage de refaire, Ne croyons pas que l'homme est le moteur de la biodiversité. C'est une vue de l'esprit et prendre la cause pour l'effet (et vice versa) Depuis que l'homme a commencer à modifier la nature (env. 10000 ans) aucune espèce nouvelle n'est apparu, toutes les espèces dites de milieu ouvert etaient déjà présente, la repartition et la densité etaient sans doute differentes mais elles etaient bel et bien là. Je suis tout à fait d'accord pour défendre certaines zones ouvertes contre l'embroussaillement et la reprise de la forêt. Pour des raisons Ethnologiques, sociologiques mais aussi biologiques locales et pas générales. Mais pas toutes, la broussaille a aussi son intêrét dans la diversité. Pour finir, je rajouterais un petit couplet sur l'élevage, ne faisons pas croire et ne croyons pas que l'élevage est la panacée à la fermeture des milieux, il peut être un outil fort utile lorsqu'il est utilisé à bon escient mais comme tout outil il a un revers de médaille tranchant. Je ne citerais que les pelouses acidophiles surpâturées de l'étage alpin qui deviennent mono-spécifiques (Nardus stricta) et non appétantes en plus. C'est de la biodiversité ça ?[/i]
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Si. Mais comme à l'école... Lorsque le prof parle... j'écoute Donc maintenant que tu as fini, je voudrai savoir si l'intérêt de définir des zones d'un cours d'eau concerne uniquement le fait de pouvoir définir l'état de son biotope ? Ensuite actuellement ce zonage n'est plus défini que par : B0 à B9. Les noms tel que, Eucrenon, Epirhithron etc. sont passés à la trappe ? Si oui c'est tant mieux… Je pense que tu voulais dire biocenose à la place de biotope. Ce n'est pas grave, j'ai compris quand même Un écosystème est composé d'un biotope qui sont tous les facteurs non vivants qui influent sur lui et peuplé d'une biocenose qui regroupe tout les organismes vivants dans cet écosystème. Voilà pour le point de vocabulaire. Pour repondre à vos questions, effectivement, un niveau typologique peut donner une idée de la biocénose présente à cet endroit grace aux travaux qui ont été fait. Au détail près des endemismes et autres caractères régionaux. Plus betement, ça permet de savoir ou on se situe, pour reprendre mon exemple des etages de végétation. Ensuite et c'est un sujet que je n'ai pas abordé en même temps pour éviter les complications, un cours d'eau a une morphologie qui varie de la source vers l'estuaire, liée à la pente et à sa corrolaire la vitesse d'écoulement, au transport de matériaux solides ... on peut également définir des faciès d'écoulement qui "collent" à la typologie. Pour évaluer un impact, les etats initiaux théoriques existent, le travail d'inventaire piscicole ou de macro-invertebres est assez long et fastidieux mais cela peut valoir le coup, pour suivre l'eetat d'un tronçon dans le temps. un exemple d'outil développé indice poisson Ah ! un dernier point soulevé par Canis et non, tout n'est pas passé aux oubliettes, on entends ou lit encore de temps en temps de beaux noms grecs pour zoner un cours d'eau voire même des zones à truite ou zone à barbeau
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Bon, à la demande générale je vais finir mon exposé. Nous en etions restés à nos amis roumains qui nous avaient pondus une classification très précise mais inutilisable ou presque tellement les noms etaient compliqués. De 1975 à 1977, le CETEGREF, ancêtre du CEMAGREF, sous l'impulsion de M. Vernaux va travailler à modéliser un cours d'eau théorique qui reprendrait toutes les configurations possibles afin de le segmenter en zones cohérentes. Pour ce faire, seront intégrées au calculs de nombreuses données édaphiques (distance à la source, températures ...) qui seront recoupées avec des données hydrobiologiques (macro-invertébrés, peuplements piscicoles, ...). Ce travail donnera naissance à 10 biocénotypes, représentatifs des niveaux typologiques théoriques. On les nomme de B0 à la source jusqu'à B9 à la limite de la zone estuarienne. Ce qui est interessant dans ce travail, c'est qu'on a réinjecté dans ces niveaux l'ichtyofaune française et qu'on a pu ainsi définir des espèces repères des differents niveaux mais aussi des espèces 'euryèces", sans signification typologique ou encore des espèces à distribution aléatoire. Ce travail, se poursuit encore et on arrive à un "indice poisson" qui fonctionne depuis peu et qui permet à partir d'un peuplement piscicole connu, de définir un biocénotype et de le comparer avec le niveau typologique théorique afin d'évaluer le décalage. Cet outil pourrait s'averer très utile pour définir les cours d'eau en "bon etat écologique" au vu de la Directive Cadre sur l'Eau de l'UE. Reste encore à affiner les peuplements piscicoles de reference qui varient selon les hydro-eco-régions. Pour répondre à la question légitime sous entendue de Guido et pour tous ceux qui ne sont pas arrivés à lire ces posts. Il me semble necessaire de connaitre les zonations d'un cours d'eau. Prenons un exemple tout bête, Personne ne s'attend à trouver des pins d'Alep sur la Côte d'Opale ou des mélézes à Marseille, et si on en trouve, on sait immédiattement qu'il y a eu intervention humaine pour les implanter car ils ne se trouvent pas dans leurs habitats d'origine et n'apportent rien à l'écosystème dans lequel ils sont implantés. Pire certaines espèces sorties de leur habitat naturel peuvent se revelées fort nocives pour l'écosystème d'accueil (plantes invasives, écrevisses américaines en Europe, lapins en Australie ...) Pour un cours d'eau, on ne perçoit pas ces differents écosystèmes, d'abord parce que peu "mettent la tête sous l'eau" et ensuite parce que l'écoulement en fait des écosystèmes ouverts influencés par l'amont, par l'aval (et oui !) par le bassin versant, par les rives ... Comment alors percevoir les dégradations de ces écosystèmes si ce n'est en travaillant à définir, je le concéde un peu arbitrairement, des zones bien differenciées aux biocénoses typées. Finalement tout ce travail revient à percevoir l'équivalent d'un étagement de la végatation que nous connaissons tous bien, élargi à toute la biocénose, pour une rivière. Ca y est, j'ai fini vos commentaires
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En effet, je laisse chercher un peu... Merci glaurung :302: Si c'est un Crave... Tu as eu beaucoup de chance de tomber dessus. Mais je suis trop nul en oiseaux pour être sur de moi. J'avais édité mon post entre temps, pour remercier glaurung de laisser la parole aux nul comme moi. Faudrait un peu prendre en main le Canis, si il a du mal à voir des craves dans le département Si tu vois des petits corvidés noirs qui font ti arrrrr, c'est des craves. (col des champs, de la cayolle, au dessus de Valberg ... ...) c'est pas ce qui manque par ici.
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Il y a deux écoles. Moi je l'ai toujours identifier comme la tarente de Mauritanie, d'ailleurs depuis tout petit on appelle ça des tarentes. Mais depuis peu, certaines personnes m'affirment qu'il s'agit du Gecko verruqueux. Mon guide sur les reptiles n'est pas fourni de bonne illustrations mais il me plait à penser que mes "anciens" avaient raisons et qu'il s'agit bien de la Tarente de mauritanie
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Pas forcement à tous les abus, enfin pas dans le sens ou je pense que tu l'entends. Je m'explique, les fédés de chasse ne vont pas investir pour se faire braconner ou laisser piller l'investissement, elles ont et auront besoin de gardes chasse, quand tu investit beaucoup d'argent pour lacher de la volaille (ou autre) tu dois bien faire gaffe que cette volaille, elle soit récupérée par ceux qui te finace (les chasseurs "légaux" via leurs adhésions). Non, là où c'est très grave, c'est que le seul établissement public s'occuppant de faune sauvage sera maintenant cantonné à des taches cynégétiques, imposé par les chasseurs. Déjà au niveau de la politique cynégétique globale, ça veut dire "productivisme" des lots de chasse. En plus l'ONCFS s'occuppait de quelques broutilles qui coutaient et ne servaient à rien (convention de Washington, réseau Lynx, Réseau Loup, réseau Ours, protocole prédateur/proie, Observatoire des galliformes de montagnes ... j'en passe plein je ne les connais pas tous. Tous ces feignant à courrir leurs montagnes pour faire progresser la connaissance afin de sauvegarder des espèces, on va les mettre au boulot, Képi, 357 à la ceinture, dans la Kangoo et on traque le braco qui nous coute des ronds. Le pire c'est que c'est même pas ironique.
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C'est bien sur l'orchis sureau pour les premier, la seule orchidée à avoir des pieds à fleurs roses et des pieds à fleurs jaunes. Pour le second, ce n'est pas l'orchis moucheron, j'aurais du preciser que ce n'est plus du tout dans le même mileiu. la photo de l'orchis sureau a été faite à 2000m, la seconde à 450m. Pour la photo d'Orever, c'est la cephalantère à longues feuilles, j'ai vu aujourd'hui sa cousine, la cephalantère rouge.
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Un détail qui ne trompe pas et qui vaut toutes les interprétations. On voit bien sur la photo que la tête n'est pas recouverte de moins de 10 grandes plaques mais bien d'écailles identiques à celles du corps. Nous écartons donc immédiatement la famille des colubridés pour nous recentrer sur les vipéridés. Dans notre région deux espèces présentes la Vipère Aspic et la vipère d'Orsini. en probabilité tu as une chance sur un million de rencontrer une vipère d'Orsini plutôt qu'une Aspic. De plus Orsini est nettement plus petite et nettement plus exigeante quant à son habitat. (Lande à genets cendré et genevrier sur calcaire) habitat typique les grands plateuax des préalpes de Grasse. Autre info mais beaucoup moins objective, à mannier avec précaution, les vipères sont beaucoup plus trappues, avec le diamétre du corps plus important en proportion de la taille. Effectivement si tu vois la pupille, c'est facteur discriminant de plus pupille ronde pour les colubridés, en fuseau comme les chats pour les vipéridés. Dernier indice, les vipères ont une queue très courte, l'animal "finit" vite. Alors que les couleuvres ont une longue queue qui va en s'amenuisant petit à petit .
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