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stéphane41

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Messages posté(e)s par stéphane41


  1. A mon avis, c'est forcément un canidé. Et si ton téléphone mesure 10 cm, il faut considérer que l'empreinte en mesure 12 maxi. Dans ce type de sol, il vaut mieux prendre en compte le fond de l'empreinte, là où les pelotes marquent. Selon l'allure de l'animal, l'empreinte peut s'évaser de beaucoup.
    12cm, ça peut être un chien assez gros. L'un des miens qui n'est pas un monstre (60cm, 39kg) marque sur 11cm.


  2. Loulou a écrit:
    encore faut il une assoc pour faire appel.


    Je vais contacter LOGRAMI et le Conservatoire National du Saumon Sauvage
    Je vais aussi essayer d'en parler avec M. Bomassi mon "voisin de maison de campagne" un des "chef" de la délégation inter régionale Auvergne-Limousin de l'ONEMA Auvergne qui a beaucoup travaillé sur le saumon de l'Atlantique.

  3. Pas un juge pécheur, mais un juge Mangeur de saumon frais !!!

    Citation :
    La mise en réserve de la baie du Mont Saint-Michel en 1999 avait été instaurée pour contrecarrer l’exploitation abusive des saumons lors de leur passage en estuaire par des moyens prohibés en rivière. Ce braconnage intensif avait été mis en évidence et la mise en réserve rendait toute capture illégale. L’apport et la pertinence de cette mesure furent mesurables et un ressaut de recrutement observé dès que la mise en réserve fut effective.


    Cette mise en réserve, nous l'avions obtenue à une poignée de personnes avec l'aide de l'ONEMA (CSP à ce moment là) et de 2 APPMA de la Sée et de la Sélune. Je crois que j'en avais déjà parlé dans un autre sujet. Il faut rappeler qu'en échange de leurs droits de pêche (aux bracos), il leur avait été allouée une concession de moulières en Baie du Mont et qu'ils ont obtenu une sorte d'exclusivité sur l'activité de "guides de la Baie" (ceux qui vous font traverser à pied la Baie entre le Bec d'Andaine et le Mont)

    Un exemple : guide naturaliste !!!
    Ce super beau site relatant les exploits NATURALISTES de l'un de nos bon guide de la Baie oublie de nous préciser que cette charmante personne est également le délégué régional de CPNT. Qu'il va régulièrement faire des "safaris" en Afrique, forêt d'Amazonie... Lui, ce grand GUIDE NATURALISTE !!! En fait ils ont du confondre naturaliste et taxidermiste à en voir sa collections de cadavres empaillés !!! :doigt:
    Autre exemple : les rois du braconnage de la Baie
    Le pire, c'est que ces personnes sont politiquement couvertes par des juges, députés et autres sénateurs car ils alimentent nos chers politiques en saumon sauvage frais. Rien à voir vous vous en doutez avec le saumon du poissonnier (ni par le gout, ni par le prix !).

    Bâh ! je suis dégouté par cette nouvelle No Mais la guerre va reprendre !

  4. Citation :
    Christian Vélot :
    Maître de Conférences en génétique moléculaire à l’Université Paris sud et responsable d’une équipe de recherche à l’Institut de Génétique et Microbiologie sur le Centre Scientifique d’Orsay, il anime depuis 2002 sur son temps personnel de nombreuses conférences à destination du grand public sur le thème des OGM. Ses prises de position lui valent aujourd’hui de nombreuses pressions matérielles : confiscation de la totalité de ses crédits pour 2008, privation d’étudiants stagiaires, menace de déménagement manu militari, et décision arbitraire de non renouvellement de son contrat.

    pétition à signer avant le 21mars :

    http://www.sciencescitoyennes.org/spip.php?rubrique117

  5. Citation :
    Attention : danger. Information à faire circuler
    Le 22 février, les apiculteurs manifestaient à Paris mais peu de médias ont relayé l'info.
    Après le Régent et le Gaucho, un autre produit de la même famille (neurotoxique) est mis sur le marché et vient menacer la survie des abeilles et autres insectes ainsi que celle des oiseaux, des mammifères sauvages (et à fortiori la nôtre) : le Cruiser. Cest un insecticide, utilisé en enrobage des semences de mais qui se propage dans toute la plante, comme vous le montre la vidéo diffusée sur le site de Sygenta, fabricant de ce produit.Voir la vidéo : http://www.syngenta-agro.fr/synweb/cruiser_Ma%EFs_316.aspx

    Beaucoup plus intéressant, sur une autre page du site de Sygenta, la firme suisse informe des précautions d'emploi du "Cruiser" : vous pourrez lire en toutes lettres que ce produit est dangereux pour les abeilles, les oiseaux...
    Voir la page : http://www.syngenta-agro.fr/synweb/cruiser_Ma%EFs_316.aspx cliquez ensuite sur conditions d'emploi
    Et pourtant, il a obtenu une autorisation de mise sur le marché au mois de janvier (pour un an) !!!!! Barnier, qui a reçu les apiculteurs a refusé de revenir sur cette autorisation ....

    Où sont donc les grandes résolutions du Grenelle de l'environnement ? Alors qu'aujourd'hui, est admise (par des chercheurs indépendants de l'INRA et du CNRS) la toxicité, à très faible dose, des insecticides neurotoxiques (Gaucho, Régent) sur la biosphère et envers les insectes pollinisateurs comme les abeilles.

    Nous sommes tous concernés par les agissements de ces grandes firmes (et de nos politiques) qui mettent sur le marché des produits sans tenir compte du principe de précaution.
    Merci de faire circuler cette information.

    Vous pouvez aussi prendre connaissance de la charte proposée par les apiculteurs "l'abeille, sentinelle de l'environnement" sur le site de l'UNAF (union nationale de l'apiculture française) http://www.unaf-apiculture.info/

    D'autres articles ou film pour info :
    - un film à diffuser librement : "Le pollen de la discorde" : http://www.blip.tv/file/347281/

    - http://www.frequenceterre.com/chroniques-environnement-270208-670-Phytosanitaires-les-molecules-se-suivent-et-se-ressemblent.html

    - La mort des abeilles met la planète en danger« Si l’abeille disparaissait du globe, avait prédit Einstein, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre. » http://aid97400.lautre.net/spip.php?article70


    Les apiculteurs.

  6. Selon l'ONCFS, début 2007, la population était estimée à environ 400 individus situés essentiellement dans le Massif du Sancy (63) (~100/150 indiv) et dans les Monts du Cantal (15) (~250/300 indiv).
    Ces chiffres sont mis entre parenthèses dans l'attente des résultats complets de l’enquête « ongulés de montagne » qui devraient bientôt sortir.

  7. Citation :
    Jeudi 28 février, le ministre de l’écologie Jean Louis Borloo foulait le sable d’une plage protégée aux côtés du nouveau président du Conservatoire du littoral, Jérôme Bignon. Très attendue, sa désignation a été rendue publique à l’occasion d’une visite à Cavalaire, sur l’un des précieux territoires naturels acquis par le Conservatoire. A côté du ministre et de son nouveau poulain, la vice-présidente Maud Fontenoy et un invité surprise : le président de la Ligue de protection des oiseaux (LPO), Allain Bougrain-Dubourg.

    Ce que l’on sait moins c’est que Jérôme Bignon est un chasseur invétéré. Chez lui on chasse le gibier d'eau de génération en génération et Jérôme Bignon a toujours conservé son permis. Député UMP de la troisième circonscription de la Somme depuis 1993 et président de Rivages de France, cet avocat de profession s’est battu en décembre dernier pour décrocher, avec le soutien actif de la Fédération Nationale des Chasseurs, la présidence du groupe d’études sur la chasse, le plus important des 90 groupes de l’assemblée nationale grâce à ses 214 membres.

    Vice-président du conseil général de la Somme, Jérôme Bignon connaît la puissance des associations de chasseurs dans son département. Parmi ses principaux faits d’armes, le député peut se prévaloir d’une résolution présentée à l’assemblée nationale en 2003 pour « modifier» un texte européen qui, depuis 1979, garantissait l’interdiction de chasser les oiseaux lors de leur survol des pays de l’Union en période de migration.

    Contacté par Médiapart, Allain Bougrain Dubourg préfère rester vigilant: « J’ai entendu des rumeurs selon lesquelles Jérôme Bignon allait faire entrer les fusils dans le Conservatoire du littoral. Une telle idée est parfaitement indécente mais je sais que c’est est un homme intelligent, ouvert au dialogue aussi je veux lui faire confiance. »

    Les associations de chasseurs aussi lui font confiance. A la fédération des chasseurs de la Somme, on se félicite de la nomination du nouveau président. « Jérôme Bignon est très proche de nos préoccupations et a toujours défendu les chasseurs de la Somme», explique Thierry Delefosse, rédacteur en chef de Picardie Chasse.

    Le Conservatoire du littoral est un organisme public qui, depuis sa création en 1975, acquiert des terrains fragiles ou menacés du littoral, afin d’assurer la protection définitive des espaces naturels en conservant sa biodiversité. A son actif : déjà plus de 113 000 hectares dont 900 kms de rivage et 400 sites naturels.

    De fait le Conservatoire du littoral est devenu la bête noire de nombreux chasseurs. « Il y a souvent des frictions avec eux car à chaque nouvelle acquisition de territoire, il faut leur expliquer pourquoi des terrains traditionnellement ouverts aux chasseurs bénéficient subitement d’une nouvelle protection. Mais nous sommes aussi là pour dialoguer, se comprendre, défend Hervé Niel ,du Conservatoire du littoral de Normandie. Et la chasse n’est pas nécessairement en contradiction avec les objectifs de protection du Conservatoire ». De fait, le Conservatoire offre déjà quelques exceptions en acceptant les chasseurs. C’est le cas de l’étang de Pissevache dans le Languedoc Roussillon ou de la rivière Saint-Sauveur à Honfleur, Normandie.

    Joint samedi après-midi, Jérôme Bignon se considère comme "une passerelle entre les chasseurs et les écolos". Et de conclure: "Je sais qu'il y a des attentes du côté des chasseurs et je suis là pour assurer l'équilibre et le dialogue".


    Et une grosse connerie de plus !!! :banghead:

  8. Citation :
    25/02/2008
    Loup décapité en savoie : le Grand Charnier communique

    Nous avons appris par la presse locale la découverte d’un cadavre de loup décapité, à proximité d’un sentier de passage sur la commune de Presles en Savoie.

    Avant de prendre position nous espérions des informations complémentaires....A la date où nous écrivons (25/2/08) nous ne connaissons toujours rien des conditions dans lesquelles ce loup a été tué, ni les résultats des analyses en cours.

    Qui peut avoir intérêt à cette mise en scène macabre ?

    Si le Grand Charnier est toujours solidaire des bergers qui défendent leur troupeau, nous ne pouvons que désapprouver un tel comportement provocateur, d’où qu’il vienne, qui jettera l’opprobre sur le monde rural et les chasseurs, qu’ils soient ou non en cause.

    Nous voyons à travers ces actes extrémistes, ici comme dans les Pyrénées, la conséquence et l’échec d’une politique qui n’a pas permis que l’opinion et le respect des gens de la montagne qui subissent les contraintes des prédateurs soient pris en compte.

    Des « écologistes » nous disent que l’opinion française -à écrasante majorité citadine- serait favorable, peut-être, mais de quelles informations dispose-t elle ?

    La commission d’enquête parlementaire de 2003 a largement souligné les mensonges et les manipulations de la communication officielle pour masquer aux montagnards ce qui les attendait.

    Dans toutes nos conférences auprès des touristes, nous constatons toujours la compréhension quand des citadins découvrent la détresse et les conditions de travail que les grands prédateurs imposent aux bergers.

    A l’écart des extrémismes de tous bords le Grand Charnier poursuit son combat d’idées pour la régulation des grands prédateurs dans le cadre d’une biodiversité dont le pastoralisme est une composante essentielle.


    Z'entendez pas les violons ???

  9. Apparemment, le Cruiser est encore pire que les autres !!!

    Les italiens l'ont utilisé l'année dernière et ont perdu 40% de leurs abeilles !!!
    Les apiculteurs manifestaient il y a quelques jours à Paris contre le Cruiser. On leur à simplement dit qu'on verrait les dégâts au bout d'un an et que l'état prendrait alors des décisions... :banghead:

  10. Presse gratuite Metro :

    "CDC biodiversité a été créée pour accompagner le entreprises, les collectivités, les maîtres d'ouvrage et les pouvoirs publics, dans leurs actions, volontaires ou réglementaires en faveur de la biodiversité."

    Le site : CDC biodiversité sur le Web ( http://www.cdc-biodiversite.fr/ )

    Citation :
    La finance au service de la nature

    La Caisse des dépôts a lancé mardi le premier opérateur financier de la biodiversité
    CDC biodiversité a été créée pour accompagner le entreprises, les collectivités, les maîtres d'ouvrage et les pouvoirs publics, dans leurs actions, volontaires ou réglementaires en faveur de la biodiversité.

    Protéger la biodiversité par la compensation des impacts négatifs des infrastructures (logements, autoroutes, voies ferrées), c’est la mission dont la Caisse des dépôts se charge avec la création d’une nouvelle filière CDC biodiversité, le premier opérateur financier de la biodiversité en France. Dotée d’un capital de départ de 15 milliards d’euros, CDC biodiversité sera financée par les entreprises et les collectivités sur la base du coût nécessaire à contrebalancer l’impact de leurs projets sur l’environnement. "L'idée n'est pas de brider la croissance économique, d'entraver le développement d'infrastructures ou de logement, mais de donner un cadre structuré d'action à la protection de la nature", explique Augustin de Romanet, le président de la Caisse . L’objectif de cette initiative étant de garantir qu’il n’y ait pas de perte nette de biodiversité lors de nouvelles constructions.

    Un exemple : l’extension de l’autoroute A63 à la zone de Bayonne. La réalisation de ce projet implique la mise en œuvre d’actions sur le terrain pour protéger les habitats humides et leurs habitants, notamment la loutre et le vison d’Europe. Cela passe par l’acquisition de terrains propices à la reproduction du vison, par exemple, ainsi que par un travail de sensibilisation sur le terrain pour la protection des berges. Le coût de cette opération de compensation est de 2 millions d’euros pour une gestion pendant 30 ans des espaces restaurés. Deuxième objectif de la CDC biodiversité : la prise en charge intégrale des impacts par ceux qui portent atteinte à la nature… et pas par la société dans son ensemble.

    Une loi mal appliquée
    Le principe de la compensation n’est pas nouveau. Depuis 1976, la Loi sur la protection de la nature impose en effet de compenser lorsqu’il n’est pas possible d’éviter ou de réduire l’impact sur la biodiversité d’une infrastructure. Toutefois, «la compensation n’a jamais été appliquée, faute de règles précises », regrette Sébastien Genest, président de France Nature Environnement (fédération de plus de 3000 associations de terrain). Ce sont ainsi des milliards qui auraient dû assurer la protection de l’environnement pendant trente ans qui n’ont jamais été déboursés !

    Aujourd’hui, l’inspection générale de l’environnement estime à environ 700 millions d’euros les besoins pour la sauvegarde et la restauration de la biodiversité. « Soixante mille hectares d’espaces naturels sont détruits chaque année », rappelle Laurent Piermont, président de CDC biodiversité. C’est donc en prévision « un marché compensation globale de 500 millions d’euros » qu’attend le nouveau-né de la Caisse des dépôts, selon lui.

    La biodiversité : un capital pour l'avenir
    Le jeu vaut bien la chandelle, car lorsqu’on parle de préservation de la nature, on parle d’assurer notre propre avenir. La nature nous nourrit, elle apporte du bois, de l’eau, des ressources pour la fabrication de médicaments (70% des médicaments anticancéreux sont d’origine végétale, par exemple), des fibres pour fabriquer nos vêtements… la valeur financière des services rendus par la nature a été estimée à 33 000 milliards de dollars par an, ou l’équivalent d’une à deux fois le produit mondial brut. Pour le professeur Jean-Claude Lefeuvre, président de l’institut français de la biodiversité et membre du comité scientifique de CDC biodiversité, on est aujourd’hui face à une crise : d’ici à 2060, jusqu’à 60% des espèces pourraient disparaître de notre globe. "Le XXI siècle devra être le siècle de la restauration", affirme-t-il. "On ne compense jamais un espace naturel disparu. Mais on peut s'en rapprocher au maximum et recréer parfois un milieu rare", assure le professeur.

    « Aujourd’hui la dynamique peut s’enclencher si l’Etat se lance dans ce dispositif », affirme Sébastien Genest. « Toutes les décisions publiques devront être arbitrées en intégrant leur coût pour la biodiversité », avait déclaré Nicolas Sarkozy à l’issue du Grenelle de l’environnement. En attendant la loi de mise en œuvre du Grenelle au printemps, l’initiative de la Caisse des dépôts facilite la mise en place de ces pratiques.

  11. Je ne sais pas si vous aviez entendu parler du premier procès... ?
    Une nouvelle décision viens de tomber.

    Citation :
    En effet Kokopelli qui se bat depuis années pour la sauvegarde de la biodiversité vient d'être condamné à de lourdes amendes pour avoir osé faire reproduire des variétés ancestrales de plantes potagères diverses! Motif: on ne peut que cultiver des plantes homologuées! Les autorisations et, de plus en plus, brevets, ne sont bien sûr que délivrés à de grandes compagnies d'agro-alimentaire. Ces dernières prennent entièrement le pouvoir sur le vivant (voir l'exemple de Monsanto avec la problématique des brevets). Nous vous conseillons de lire les détails du procès de Kokopelli et les réactions.


    Sans déconner, mais où on va ?!?!?!
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