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diadophis1

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Tout ce qui a été posté par diadophis1

  1. Il y a beaucoup de possibilité maintenant qu'il y a beaucoup plus d'éleveur (quant j'ai commencé il y a 15, il y avait pas beaucoup de choix et c'était beaucoup plus dispendieux) Moi je pense que tu dois regarder les espèces que tu aimes et après tu vois s'il est possible de l'avoir selon tes conditions, en gros si tu prends un python royal, assure toi que c'est parce que tu aimes l'espèce et non que tout le monde te dit ques c'est un bon serpent pour débuter voilà mon point de vue
  2. Encore une fois, tu as le don de nous sortir des photos/spécimens qui en jettent quelques un par terre!!! Nice job Greg !!! Ps: pour Mya, Greg vient de Suisse et là bas il a le droit de garder des vipère, mais ici (malheureusement), on ne peut pas ! Salut a + Pat
  3. Super intéressant Manu, c'est le genre de post instructif que j'aime bien !!! Qui plus est, j'ai déjà eu des problème d'amibe avec une couleuvre rayée que j'avais attrapé alors que j'étais plus jeune. Les symptômes me faisait pas mal capoter; La couleuvre était toute molle lorsqu'on la prennait et elle avait parfois des crises plus aigues. À ce moment là elle tournoyait sur elle même la gueule ouverte.... Elle est morte 3 ou 4 jour après le début des crises. Ensuite un biologiste m'a expliqué que le stress de la captivité aurrais pu "activer" la maladie... En tout cas, la morale de l'histoire c'est que les couleuvres, c'est fait pour rester dehors et c'est pour ça qu'aujourd'hui, j'aime mieux la photo que la capture Salut a+ Patrice
  4. Oui comme serpent venimeux tu dois rencontrer des Naja sputatrix, Bungarus candidus ainsi que Daboia russelli siamensis. Si un jour tu en croise un et tu as la chance de prendre une photo, tu pourrais partager avec nous !!! Salut a + Patrice
  5. Quand j'avais des serpents, j'ai toujours utilisé la méthode du ''swing it on the comptoir'', mais j'ai vu un gars qui mettais son index et son majeur autour du cou du rat et tenait sa queue de l'autre main et puis il tirait d'un coup sec et.........................CLAC !!! Le cou cassé. Bon j'admet qu'il faut faire gaffe puisque le rat risque de mordre, mais le typeton qui faisait ça avait l'air d'un gars qui pratiquait cette technique depuis bon nombre d'années... En tout cas, je suis d'accord avec moi-même, je te suggère de les acheter déjà morts ou sinon de les tuer sur le rebord de ton comptoir, mais ce qui est sûr, c'est que ce sera moins pénible pour les rats que de les frigorifier lentement!
  6. Stav à écrit: L'été passé, j'ai trouvé 2 femelles gravides et lorsque nous les avions mesurées, elles faisait 39 et 45 pouces respectivement. En 2002, j'ai également trouvé une femelle de 120 cm tappante. Lorsqu'elles ont peur, les couleuvres d'eau (comme les brunes et rayées aussi) on tendance à applatir leur corps ce qui les fait parraître beaucoup plus grosses. De plus, lorsque nous sommes en fin juin-juillet, les femelles sont gestantes donc pas mal plus grosse naturellement (environ 2 po-2po 1/2 de diamètre)
  7. diadophis1

    Tortues in situ

    Malade Mat Coudons, t'es-tu procuré une 70-300 ou tu as trouvé une population de Géo qui n'ont pas l'hormone ''pétochine" Au fait Mat, je retourne à Mtl probablement la 2ème fin de semaine de juin donc on essaira de pas manquer notre coup si tu vois ce que je veux dire !!!!
  8. Ouin, ouin, j'vais être jaloux Sans farce, c'est une super journée que vous avez passez et il faut en profiter surtout s'il y a du Nerodia dans la place... En passant Manu, tu as des super bonne shot !!! Salut a+ Pat
  9. Super les photos de Grand-duc et de couleuvres à collier Nic . Je ne suis pas un grand observateur d'oiseaux, je suis pas mal opportuniste, mais je n'aurais pas hais ça voir ce gros hiboux (j'ai un petit faible pour les rapaces).
  10. Bonjour Benoit, très bonne idée de projet, par contre j'ai un petit hic quant à certains facteurs éthiques: 1- Il faut être prudent puisque certaines personne ne savent pas nécessairement comment pratiquer ce type d'intervention et risque de blesser l'animal avec de petit ciseaux de précisions. Quelqu'un pourrait même peut-être (ça se serait déjà vu) couper le bout de la queue de la couleuvre... enfin quoi je sais que tu as de bonnes intentions et que tu sais comment faire, mais beaucoup de personnes ne savent pas nécéssairement comment ! 2- Même si on peut garder jusqu'à 10 couleuvres rayées, je crois qu'il faut un permis pour pratiquer de telles intervention sur un animal vivant, car cela pourrait être interprété comme de la mutilation. Si les couleuvres mortes ou les mues peuvent servir, je crois qu'il est bon de demander aux gens d'en envoyer, mais la prudence est de mise lorsque l'on demande à ces derniers, même à des spécialistes, de pratiquer ces interventions sur des animaux. Bonne fin de journée Patrice Lavigne
  11. Oh !!! Sérieux excuse moi Stav, je pensais que c'était une blague. Je me sens cheap là !!! En tout cas, ça parrait que je suis un gars de terrain et non un breeder!
  12. Stav, pour l'histoire de la variabilité génétique, j'ai repris ce que Nir a dit plus haut...
  13. diadophis1

    quel animal vous avez peur

    Vers la fin de l'été, quand je fais du herping, il m'arrive parfois de lever une roche et je ne trouve non pas une couleuvre comme je l'espère, mais bien un nid de guêpe; alors là l'essain commence à tournoyer de tout bord tout côté. À ce moment là, je vous dirais que je décâlis*e assez vite merci. Mais comme dirais Tarcan, je crois réellement que ce qui est le plus épeurant, c'est l'homme et ses inventions..... en tout cas, on pourrais en parler longtemps de ça..........
  14. diadophis1

    Herping Hawk Mountain PA

    Super belle photos Nic, c'est vraiment le fun que tu partages ça avec nous, même si c'est avec un peu de retard. Ps: Je suis toujours pas mal content de voir des espèces comme tes glutinosus, des espèces non-indigène !!! Salut a + Pat
  15. Je ne crois pas que val_mayra veuille que son corn snake mâle lui éjacule sur l'avant bras mais bien........ dans sa femelle corn snake Par ailleurs, je rajoute qu'en tant qu'herpétologiste chevronné, je déduis qu'un mâle pour 4 femelles, ça ne fait beaucoup de variabilité génétique, mais qu'un mâle sur un avant bras, ça ne fait pas de variabilité du tout !!! lol (désolé, mais je devais répondre une niaiserie sur celle-là)
  16. petite clarification pour Stav; les biologistes sont peut-être payés pour protéger des espèces mais en gros je te dirais qui se passe vraiment pas grand chose, la couleuvre brune est dans un état critique et n'a toujours pas de statut.... Elle est ``susceptible d'être désignée vulnérable ou menacée``: ce que ça veut dire c'est que tu n'as pas le droit d'y toucher ou de la rammener chez toi, mais le gars qui construit des condos peut tout massacrer le spot et les hibernacles en toute impunité et sans même se faire taper sur les doigts Faites moi confiance, je me suis assez battu par le passé pour savoir de quoi je parle. D'ailleurs, c'est fini pour moi les batailles avec des biologiste contre la ville de Mtl ou tout autre promotteur, dans le meilleurs des cas, je veux bien être consultant à nouveau, mais je me contente de faire mes mentions à l'AARQ... parce que j'ai bien l'impression que c'est eux qui vont faire bouger les choses....
  17. La salamandre pourpre 1- C’est la plus grosse espèce de salamandre de ruisseau, également la moins fréquente. Selon certaines sources, c’est la deuxième salamandre la plus rare au Québec, après la salamandre sombre des montagnes. 2- La salamandre pourpre est un prédateur (elle mange d’autres salamandres) par conséquent, comme beaucoup de prédateur, elle est moins abondante. 3- L’énoncé ci-présent est basé sur deux populations dont plus de 4 individus ont été trouvés. Même si des agglomérations d’individus ont été observées sur 20-30 mètres, la salamandre pourpre a été trouvée de façon plus continue (que la salamndre sombre) en amont et en aval d’un ruisseau. 4- Dans la plus importante population trouvée dans le cadre de mes inventaires, près de la moitié des spécimens étaient des métamorphes (stade larvaire avancé). Ce stade est particulièrement long chez la salamandre pourpre et dure généralement quelques années. Chez ces spécimens, j’ai remarqué que l’arcade sourcilière était moins prononcée que chez l’adulte, le dessin maillé était particulièrement saillant, la couleur de fond était plus terne que chez l’adulte et finalement, il était possible de voir des vestiges de branchies près des pattes antérieures. 5- Comme la salamandre sombre, la salamandre pourpre semble peu tolérante à la dégradation de son habitat. 6- Malgré des centaines d’heures de recherches en 3 ans, seulement 6 localités ont été découvertes et ce dans 3 villes. Dans la moitié des cas, 1 seul spécimen a été observé. 7- Le nombre maximal de salamandres pourpres trouvées dans une même journée/localité est de 10. Ici 2 adultes salamandre pourpre, notez la différence de coloration. L’adulte du bas était un vieil individu, très gros, observé tardivement en saison. Comparaison entre une salamandre sombre albinos et une salamandre pourpre La dégradation des ruisseaux Le problème majeur avec les salamandres de ruisseau est qu’elles sont confinées à un habitat restreint. Pour vous donner un bon exemple, si la couleuvre rayée est commune, elle doit son succès à ses exigences écologiques peu strictes ; on la trouve dans pratiquement tous les biotopes et son régime alimentaire est varié et facile à trouver. Le tout accompagné du fait que les portées peuvent être nombreuses, voilà la recette du succès ! Par contre, les exigences écologiques pour les salamandres de ruisseaux sont beaucoup plus restreintes. Qui plus est, comme elles font parti de la famille des plethodontidae, c’est-à-dire des salamandres sans poumons, elle sont plus fragiles et risque de mourir plus facilement si certaines conditions vitales ne sont pas respectées. Citons en premier lieu la sécheresse, ces salamandres ont constamment besoin d’humidité et de fraîcheur pour survivre. Un cour d’eau s’asséchant à un niveau critique (jusque sous les roche et autre abris) pourrait être fatal rapidement pour ces animaux, à moins qu’ils réussissent à trouver un abris humide et frais. Mais ce qui me semblait le plus critique lors de mes inventaires, c’est la dégradation des cours d’eau. Parfois il est possible de voir des signes de dégradation, d’autres fois, ils sont extrêmement subtils et imperceptibles à l’œil nu. Ce que j’ai le plus souvent observé, c’est la sédimentation des ruisseaux. Dans des cas majeurs, il est possible de voir une couche de sédiment et/ou de débris organiques, parfois aussi de l’ocre ferreux (dégradation extrême) causé par une altération du terrain en amont du lieu d’observation. Comme les terrains en altitude (sur une colline ou une montagne) sont très prisés par les promoteurs immobiliers (les plus grands destructeurs d’habitats naturels), pour leur cachet, mais aussi parce que les maisons s’y vendent à fort prix, nous pouvons parier que de plus en plus de ruisseaux seront détériorés lors du défrichement pour construire les habitations et/ou les routes. Et une fois que les maisons sont construites, nous pouvons compter sur une autre menace, invisible mais tout aussi destructrice, la pollution par les pesticides et autre matières toxiques. Notons que les terres agricoles peuvent être également une source de détérioration et/ou pollution majeur d’un ruisseau. Comme l’échange gazeux se fait par la peau, pour respirer, chez les salamandres de ruisseaux, nous pouvons déduire qu’elle peuvent assimiler très facilement dans leur organisme une substance toxique quelconque qui est libérée de quelque façon que ce soit dans un ruisseau. Ainsi, lors de mes inventaires, j’ai constamment trouvé des ruisseaux sans sédimentation et…….. sans salamandre !!!! Lors de recherches plus poussées, que ce soit par l’inventaire ou à l’aide de cartes satellites, je me rendais compte que j’étais en aval d’une zone perturbée. Ici voici un schéma qui vous illustre une situation assez fréquente en Estrie ; lorsque l’on trouve le ruisseau en aval on pense avoir trouvé le ``Jackpot``, mais une petite visite en amont nous démontre qu’il est altéré. En rouge, vous voyez la zone altérée, zone cachée par la forêt. En gros je pourrais vous parler de salamandres de ruisseaux pendant des heures (ici, pendant d’innombrables lignes), mais je vais terminer par certaines petites règles élémentaires concernant les salamandres (et aussi le reste de l’herpétofaune) ; 1- Il est extrêmement important de bien remettre les roches et autres cachettes dans la même posture qu’avant que vous ne la retourniez. 2- Une étude américaine (communication personnelle de David Rodrigue) stipule que retourner 1 fois ou plus à chaque 1 ou 2 semaines peut sérieusement perturber l’habitat des salamandres de ruisseaux. 3- Éviter le plus possible de manipuler les animaux, particulièrement si vous avez les mains sèches et/ou avec de l’insecticide. (De plus, officiellement la manipulation de ces salamandres est interdite sans permis) 4- Évitez de ramener des salamandres chez vous (pour des raisons légales, mais surtout pour le bien de l’animal) 5- Finalement (par expérience personnelle fort désagréable), ne divulguez pas ou le moins possible l’emplacement des salamandres à monsieur-madame tout le monde. Je vous encourage cependant, à votre discrétion, à rapporter vos mentions aux autorités compétentes telles l’Atlas des amphibiens et des reptiles du Québec et/ou à Jean-François Desroches. Sur ce, je vous souhaite une bonne fin de journée Patrice
  18. Avant de lire, notez : 1- que les salamandres de ruisseaux sont représentées au Québec par la salamandre sombre du nord (Desmognathus fuscus), par la salamandre sombre des montagnes (Desmognathus ochrophaeus), la salamandre à deux lignes (Eurycea bislineata) ainsi que par la salamandre pourpre (Gyrinophilus porphyriticus). Cependant la salamandre sombre des montagnes est exclue de ce post. 2- que les observations et problématiques décrites dans ce post s’appliquent aux populations que j’ai observées et non à toutes les populations du Québec. Cependant il est fort probable que ces informations puissent être observées dans une multitude d’autres populations. Malgré le fait que je fais du terrain depuis 15 ans, mes premières observations de salamandres de ruisseau (sombres du nord et pourpre seulement) sont assez récentes, 2006 pour être plus exacte. On peut dire que je suis tombé sous le charme de ces petites bêtes et depuis j’essaie toujours d’en apprendre davantage sur elles et de trouver de nouvelles localités. Ce n’est pas toujours facile, car si la salamandre à deux lignes est généralement bien répandue, la sombre du nord l’est un peu moins et la salamandre pourpre, elle, beaucoup plus rare et localisée. D’ailleurs, je dois admettre que l’euphorie est au rendez-vous lorsque je découvre une nouvelle population… Bon, assez parlé de moi, je vous fais maintenant part de quelques faits intéressants que j’ai pu observer… La salamandre à deux lignes : 1- Cette espèce de salamandre de ruisseau, la plus répandue au Québec, l’a également été dans le cadre de mes inventaires. J’ai pu trouver cette salamandre dans une grande diversité de ruisseaux, cependant c’est elle qui a été retrouvée le plus souvent et en plus grand nombre dans des ruisseaux ou des sections de ruisseau à fort débit. 2- Cette espèce m’a définitivement semblée la plus tolérante des 3 à la détérioration et/ou l’altération d’un cours d’eau (voir texte plus bas pour plus de détails), à moins que cette dernière soit trop extrême. 3- Le nombre maximal de salamandres observées dans une même journée/localité se situe entre 30 et 50 Salamandre à deux ligne adulte La salamandre sombre du nord : 1- Cette espèce, quoique plus rare, peut être localement abondante particulièrement, dans des sections plus calmes et/ou lorsque le substrat du lit du ruisseau lui est favorable. Il m’est arrivé de trouver un peu plus d’une trentaine de ces salamandres dans un périmètre relativement restreint. 2- Également, j’ai remarqué lors d’inventaires se faisant sur plusieurs centaines de mètres et dans plusieurs localités, que les salamandres sombres n’étaient pas présentes de manière uniforme dans le ruisseau, mais plus en pochettes localisées, probablement à cause du fait mentionné ci-dessus au no 1. Dans cette optique, il m’est arrivé de trouver une multitude d’individus sur une dizaine de mètres de ruisseau, mais après, il fallut plusieurs dizaines voir centaine de mètres avant de retrouver des spécimens. 3- Autre fait intéressant, j’ai souvent observé dans les ruisseaux où la salamandre sombre et à deux lignes étaient présentes, que lorsque l’une des 2 espèces était localisée dans une section, l’autre semblait en effectif réduit ou absente dans la même section. Nous pouvons formuler plusieurs hypothèses quant à cette observation, entre autre le micro habitat et/ou une compétition quelconque pour de la nourriture et/ou des abrits. 4- Il m’est arrivé de trouver un spécimen albinos (partiel). Ces spécimens aberrants ont été aperçus dans diverses localités au Québec. Sur le coup, j’ai cru à une petite salamandre pourpre été donné la couleur claire de l’individu, mais un examen plus rapproché m’a permis de réaliser de quoi il s’agissait réellement. Un peu plus d’un mois après la première rencontre, j’ai pu revoir le spécimen à quelques mètres de l’endroit initial. 5- J’ai également eu une surprise lorsque j’ai trouvé une femelle avec ses œufs. Normalement, les salamandres sombres ont tendance à prendre la poudre d’escampette lorsqu’elles sont découvertes, mais cette ``p’tite mère voulait rien savoir`` !!! Je fut étonné de voir un si petit animal, qui restait là, en place, face à un si gros ``prédateur`` (en l’occurrence moi) et qui voulait défendre son nid coûte que coûte! 6- Certaines salamandres sombres peuvent mordre si elles sont capturées. Bien entendue, pas besoin de vous faire un dessin, ce n’est pas douloureux ; par contre, c’est surprenant. Une morsure de la part d’une couleuvre ou de certaines tortues, c’est normal, mais une salamandre…… 7- Finalement et malheureusement, j’ai pu déduire suite à certains inventaires que les salamandres sombres semblaient peu tolérantes à l’altération et/ou la pollution d’un ruisseau. 8- Le nombre maximal de salamandres sombres observées dans une même journée/localité à varié entre 22 et 40. Salamandre sombre adulte dans l’eau Ici, une photo de la femelle mentionnée ci-dessus gardant son nid La salamandre sombre hypomélanique comparée à un adulte de couleur normal
  19. pour la question de la législation,on peut garder 4 couleuvres rayées chez soit... mais en tout cas je désaprouve totalement SURTOUT à cette période de l'année où les serpents s'accouplent... Bonne fin de journée Pat
  20. Pour la question de reptilx, non le mâle n'est pas mélanique, plusieurs anoures sont foncées lorsque la température est fraîche comme au printemps et en automne.
  21. super belles découverte.... j'ai hâte de revoir les rayées de sherby, elle sont tellement différentes de celles de mtl...... Pat
  22. En fait si ce n'était que les corneilles, je ne capoterais pas, mais il y a aussi la tonne de capistons (des enfants) qui font le plein de couleuvres à grand pot dans le secteur. De plus il y a peut être une explication au fait qu'il y ait beaucoup de serpent dans un si petit périmètre (historiquement, avant ce que je vais vous expliquer, je n'avais jamais vu autant d'animaux); lors de la destruction d'un site avec une EXTRÊME densité de rayées-brunes-tachetées, je fut consultant pour des biologistes qui ont contruit des hibernacles artificiels. L'un d'entre eux a bien fonctionné, mais j'ai remarqué que des couleuvres marquées s'était déplacées jusqu'au site du carnage... donc cela a peut être influencé quelque chose.........
  23. Aujourd’hui, alors que je partais faire une excursion de photos avec mon père et un de ses amis, j’ai eu toute une mauvaise surprise. Une surprise que j’ai eu pour la dernière fois il y a 7 ou 8 ans. Un massacre de couleuvres !!! Je pensais que je pourrais faire un peu de bon vieux ‘’In Situ’’ avec les couleuvres qui ‘’périscope’’ (comme dans l’un de mes dernier post), mais à la place disons qu’on a joué à CSI sur une scène de crime. Dans 2 mètres par 2 mètres il y avait 12 victimes, soit 7 couleuvres rayées et 5 couleuvres brunes (au moins 3 femelles en plus). Mais contrairement aux épisodes de CSI, je n’ai pas eu à faire une grosse enquête avec tous les ‘’saints-bataclans’’ pour trouver l’ ou les assassin(s) ………. Un gros Wézo noir (comme dirais Nir)…. Des corneilles ! Quand j’étais plus jeune, j’avais trouvé une bonne quinzaine de couleuvres mortes dans un petit périmètre avec des blessures très caractéristiques. Encore aujourd’hui, c’était exactement le même ‘’modus operandi’’ ! Comme c’était mon spot majeur, je me rappelle avoir été foutrement alarmé et j’en avais parlé à David Rodrigue. C’est lui qui m’a mis sur la piste des corneilles. Il m’a dit que ces dernières aimaient se gaver du foie et autres viscères des couleuvres. Comme de fait, dans les jours qui ont suivi, j’ai localisé un couple de gros Wézos noirs……. Comme cet après-midi !!! Le seul truc bizarroïde, c’est que j’ai également trouvé le cadavre de ce qui me semblait une corneille (en tout cas, il y avait un paquet de plumes noires autour) ! Sur le coup, je me suis dit qu’il y avait peut-être un autre amateur de couleuvres qui habitait dans les parages et qui fut témoin ‘’Live’’ du carnage, étant en beau tab*r%ac, a sorti sa carabine à plomb et à mis KO le Wézo !!!! Mais en fait, ce pourrait être simplement de la prédation et du hasard. Lorsque nous prenions des photos, il y avait un renard (Wow man, ça faisait des années que je n’avait pas vu cet animal) à une cinquantaine de mètres de nous, par conséquent, il y a des prédateurs dans le secteurs ! Quand même, imaginez le tableau ; la corneille est tellement concentrée à se remplir la bedaine de foie de couleuvres, qu’elle check pas en arrière d’elle et se fait bouffer à son tour (Bon j’avoue que tiré par les cheveux) !!!!! Enfin quoi je vous laisse sur ces quelques photos explicatives, mais je vous averti encore, cœurs sensibles, ne regardez pas !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ‘’L’overall’’ du carnage !!! 2 photos qui font mal au cœur à tous les amateurs de serpents (Et une p’tite coche de plus pour l’amateur qui les a trouvé) !!!!!!!! Sur ces photos, je mets l’emphase sur les blessures caractéristiques ; les couleuvres sont généralement entières, mais avec une ou plusieurs perforation(s) au niveau du ventre, dans la majeure partie des cas, dans la partie centrale de ce dernier. On observe généralement l’absence de viscère dans la proximité de la blessure, quoique certains individus semblent avoir été tués sans avoir été ‘’vidés’’. Dans ce cas, il est probable que le prédateur ait été dérangé durant son repas. Il est surprenant de voir la précision quasi chirurgicale que font preuve les corneilles lorsqu’elles perforent l’abdomen des couleuvres pour trouver le foie. Le Wézo noir mort !!! Je reste perplexe sur celle-là !!!!!!!!!!! Et finalement je vous montre un peu de vie à travers ce massacre, un jeune mâle couleuvre brune ainsi qu’une couleuvre rayée et des chevreuils sur le chemin du retour (ps : les photo sont un peu floues car je les ai faites avec une 55 micro nicor à travers des barreaux de clôture et non avec une 70-300) Bonne fin de journée Pat
  24. Hey Greg, on fait un truc: viens chez nous et je m'en vais chez vous, on se donne nos spot et je m'en vais faire le trip de vipère du siècle !!! Et ça, c'est sans parler des couleuvres vertes et jaune, les coronelle e.t.c Sérieusement, super belles photos et merci de partager !!! A + Pat
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