askook

Magnifiques Sauriens Superbes photos En un mot: GENIAL

Belles acquisitions Gros coup de :love: :love: pour le Lampropeltis mexicana greeri

Magnifique, mais du même avis que Marcoo7

Un vrai régal ces photos

Excellent travail

Il existe des "terrariophiles" et non plus des éleveurs qui arrivent à ce résultat de mélange d'espèce Mais, il faut vraiment de très bonne installation, un respect total du biotope, et une très grande superficie pour que chaque espèce possède son territoire J'ai un copain qui arrive à ce résultat. Il mélange lézards (Physignathus cocincinus, Anolis sagrei), grenouilles( Xenophus laevis, Rana sp), poissons (je ne connais pas l'espèce), escargots écrevisses.. Il arrive à que tout ce petit monde vive en parfaite harmonie dans un cadre superbe et tout cela en aquaterrarium. Si l'on peut appeler son installation "aquaterrarium". Mais quel travail pour en arriver là Mais cela reste des exceptions. Il est vrai que l'on ne peut pas dire à des terrariophiles qui débutent que l'on peu mélanger les espèces, sinon on risque de nous décrire des terrariums bizarement occupés.

Le mélange de deux espèces bien distincte n'est jamais conseillé. C'est une base de la terrariophilie Cela est valable pour des espèces importées car elles arrivent avec leurs bactéries, virus, et autres maladies propres à elles-mêmes. Elles seront porteuses saines, mais l'autre espèce ne suportera peut-être pas cette bactérie et en décédera La différence de moeurs (diurne, nocturne) est aussi un facteur important. On ne peut pas mettre une espèce diurne avec une espèce nocturne, sinon celle qui bouge va déranger celle qui se repose. Et forcément, cela va vite se terminer par une mort assurée d'une ou des deux spécimens La différence de répartition géographique est aussi à prendre un compte. Une espèce originaire d'un désert africain, ne va pas bien vivre avec une espèce de la Cordillère des Andes Tout cela découle d'une logique imparable Il faut penser aussi au futur, si jamais vous avez une femelle d'une espèce et un mâle d'une autre espèce, et qu'il y a accouplement et ponte Vous aurez des hybrides Et là, un autre débat va s'ouvrir: L'hybridation... Il existe encore d'autres raisons, que les membres vont gentiment vous énumérer ou alors d'autres points de vue sur le mélange des espèces en captivité PS: Désolé Fanny, je devais écrire mon post quand tu as posté le tien

Lent ou habitué à manger des proies mortes J'espère que c'est que pour le temps de la vidéo. Car rien de tel pour stresser le serpent et qu'il ne veux plus manger après cette séance de nourrissage Si ce n'est pas le cas, il aurait dû assommer la souris avant de la présenter au serpent

Elle est terrible

Trop craquant

Et une de plus

Les serpents mangeurs d'oeufs peuvent avaler, sans le détruire, un oeuf dont le diamètre est de deux fois celui de leur crâne. Dasypeltis inornatus Photo pour illustration Lorsque l'oeuf est absorbé, il passe sous des prolongements ventraux, appelés hypapophyses, que portent les premières vertèbres cervicales. Les 17 ou 18 premières hypapophyses sont rectilignes et longitudinales. Les suivantes sont arrondie. Puis l'oeuf arrive sous le dernier groupe de la trentaine de paires d'hypapophyses, constituées de 6 à 9 paires d'épines orientées vers l'avant, portant un revêtement très dur assimilable à de l'émail, et qui pénètrent dans la paroi dorsale de l'oesophage. Dasypeltis inornatus Photo pour illustration Une fois que l'oeuf a franchi l'entrée de l'oesophage, le serpent redresse l'avant de son corps pour s'aider de la force de la pesanteur, et sa courbure s'accentue jusqu'à ce que les hypapophyses percent la coquille. Le serpent redresse son cou, et les faisceaux musculaires se trouvant de chaque côté de la ligne médiane du dos se contractent: l'oeuf est alors écrasé contre les hypapophyses arrondies. La coquille est fendue sur sa ligne dorsale, puis écrassée. Ces opérations durent une quizaine de minutes, puis le contenu de l'oeuf est expulsé vers l'arrière, tandis que la coquille est régurgitée. Un muscle circulaire entourant la partie postèrieure de l'oesophage, et agissant comme un sphincter, empêche la sortie du contenu de l'oeuf pendant la régurgitation de la coquille, et évite également que des fragments de coquille ne s'introduisent dans l'estomac. Texte original: les serpents (oeuvre commune sous la direction de Roland Bauchot). 1994 - Edts Bordas -

Je vais pas être original, vu les autres réponses. Lamprophis fuliginosus et Pantherophis guttatus (ex Elaphe guttata) sont deux espèces idéales pour commencer la terrariophilie. Votre choix est donc bon. Au niveau phase, la "gutt" possède un choix beaucoup plus grand, et que l'on trouve facilement chez des éleveurs particuliers à des prix raisonnables. Pour le lamprophis, la couleur est uniforme et peu de phases ou alors à quel prix. Un exemple (environ 250€ un beau BB albinos) Voici quelques photos trouvés sur google. ainsi qu'un lien: http://www.kingsnake.com/housesnake/index.html Pas d'hivernation de toute façon pour les juvéniles le premier hiver. Cela ne peut donc, rentrer en ligne de compte, lors de votre choix.

Dasypeltis scabra n'est pas un gros mangeur. Dans son milieu naturel, il se nourri seulement au printemps d'œufs On peut lui proposer différents types d'œufs (poule naine, caille, mandarin …). L'œuf proposé doit être au maximum le double de la taille du corps du serpent, mais il est préférable de lui présenter un œuf de même diamètre que lui Pour faciliter la prise de repas, il est préférable de mettre l'oeuf dans un nid, placé en hauteur dans des branches

Voici une partie de mes installations. L'autre côté de la pièce est en cours de réalisation...

Pour une meilleur compréhension de ton post, tu devrais mettre les espèces et sous-espèces en italique et les phases en écriture classique Si tu veux, je peux te le faire Comme tu le dis, on peut effectivement s'entraider

Il est vraiment trop sympa cet Uromastyx

Magnifique, l'iguane

Sympa ce petit gecko

Là, ça fonctionne.

Pour la classification des familles et sous-familles, j'adopte celle de Dowling et al. (1996) qui me parait la plus juste. Elle est âgée maintenant d'une dizaine d'année mais elle est enore d'actualité. Pour le genre Causus, effectivement on le trouve souvent classé dans les viperinae, mais comme tu le précises, à part la dentition, il n'ont rien en commun avec une espèce du genre Vipera. Pour en avoir élever, j'ai pu vraiment le constater. Pour mes recherches, je n'utilise que très peu internet. J'ai surtout des livres et des revues. Sinon sur internet comme toi. J'avais trouvé ça http://german.therfcc.org/systematik-der-schlangen-395941.html mais rien de bien intéressant et celui-ci que j'aime bien http://sbsweb.bangor.ac.uk/~bss166/update.htm

Trop technique pour mon anglais de base

J'ai trouvé dans mes archives cette classification de la famille des Colubridae de J.Coborn datant de 1995 navec encore la sous-famille des Boiginae. Cette classification est assez étonnante si tu l'étudie de près. Mais, on peut s'attendre à tout avec cette "science". Colubridae Xenoderminae: Achalinus Cercaspis Fimbrios Nothopsis Stoliczkaia Xenodermus Xenopholis Sibynophinae: Liophidium Scaphidiodonthophis Sibynophis Xenodontinae: Alsophis Antillophis Arrhyton Conophis Cyclagrus Darlingtonia Ditaxodon Dromicus Heterodon Hypsirhynchus Ialtris Leimadophis Lioheterophis Liophis Lygophis Lystrophis Paroxyrhopus Philodryas Platynion Rhadinaea Rhadinella Sordellina Synophis Tretanorhinus Umbrivaga Uromacer Uromacerina Xenodon Calamarinae: Agrophis Brachyorrhos calamaria Calamorhabdium Etheridgeum Idiopholis Pseudorabdion Rabdion Typhlogeophis Colubrinae: Arizona Cemophora Chilomeniscus Chionactis Chironius Coluber Conopsis Contia Coronella Dendrelaphis Dendrophidion Drymarchon Drymobius Drymoluber Duberria Eirenis Elaphe Eurypholis Gastropyxis Gonyophis Hapsidophrys Hydablabes Iguanognathus Lampropeltis Leptodrymus Leptophis Liopeltis Lytorhynchus Masticophis Mastigodryas Meizodon Opheodrys Philothamus Phyllorhynchus Pituophis Prosymna Pseudaspis Pseudoficimia Pseustes Ptyas Rhinocheilus Rhynchophis Salvadora Scaphiophis Simophis Spalerosophis Spilotes Stilosoma Thrasops Zaocys Dasypeltinae: Dasypeltis Lycodontinae: Adelphicos Anoplohydrus Aspidura Atractus Blythia Boaedon Bothrolycus Bothrophthalmus Chamaelycus Compsophis Cryptolycus Cyclocorus Dendrolycus Dinodon Dromicodryas Dryocalamus Elapoidis Farancia Geagras Geatractus Glypholycus Gonionotophis Haplocercus Haplonodon Heteroliodon Hormonotus Lamprophis Lepturophis Leioheterodon Liopholidophis Lycodon Lycodonomorphus Lysognathophis Lycophidion Mehelya Micropisthodon Ninia Oligodon Ophisthotrophis Oreocalamus Pararhadinea Plagiopholis Pseudoxyrhopus Rhabdops Rhynchocalamus Stegonotus Tetralepis Trachischium Tropidodipsas Exelencophis Xylophis Natricinae: Adelophis Afronatrix Amastridium Amphiesma Atretium Balanophis Carphophis Chersodromus Diadophis Diaphorolepis Gonyosoma Grayia Helicops Hydromorphus Hydrops Limnophis Macropisthodon Macropophis Natriciteres Natrix Nerodia Oxyrhabdium Paraptychophis Pararhabdophis Pliocercus (+Urotheca) Pseudoeryx Pseudoxenodon Ptychophis Regina Rhabdophis Seminatrix Sinonatrix Storeria Thamnophis Trimetopon Tropidoclonion Virginia Xenelaphis Xenochrophis J'espère que c'était une erreur Homalopsinae: Bitia Cerberus Enhydris Erpeton Fordonia Homalopsis Hurria Myron Boiginae: Ahaetulla Alluaudina Amplorhinus Apostolepis Boiga Chamaetortus Choristocalamus Chrysopelea Clelia Coniophanes Crotaphopeltis Dipsadoboa Dispholidus Drepanoides Dromophis Dryophiops Elapomojus Elapomorphus Enulinus Erythrolamprus Ficimia Geodipsas Gomesophis Gyalopion Hemirhagerrhis Hologerrhum hydrodynastes Hypoptophis Hypsiglena Irmantodes Ithycyphus Langaha Leptodeira Lycodryas Macroprotodon Madagasacarophis Malpolon Manolepis Mimophis Opisthoplus Oxybelis Oxyrhopus Parapostolepis Phimophis Procinura Psammodynastes Psammophis Psammophylax Pseudablabes Pseudoboa Pseudoleptodeira Pseudotomodon Pythonodispsas Rhachidelus Rhamphiophis Rhinobothryum Scolecophis Siphlophis Sonora Stenorrhina Symphimus Sympholis Tachymenis Tantilla Tantillita Telescopus Thamnodynastes Thelotornis Toluca Tomodon Trimorphodon Tripanurgos Xenocalamus Dipsadinae: Dipsas Sibon Sibynomorphus Pareinae: Aplopeltura Pareas Elachistodontinae: Elachistodon Aparallactinae: Amblyodipsas Aparallactus Atractaspis Calamelaps Chilorhinophis Homoroselaps Macrelaps Micrelaps Miodon Polemon Effectivement, la sous-famille des Boiginae contenait toutes les espèces opistoglyphes, on ne parlait pas encore de la dentition opisthodonte, puis les systématiciens et autres chercheurs se sont aperçu que la dentition n'était pas un critère de classification valable. La famille des Boiginae est alors devernue non valide et les espèces dispersées dans toutes les autres sous-familles selon d'autres critères que je connais pas entièrement.

Il existe dans le monde ophidien d'autres genres ou espèces de serpent qui possèdent cette particulrité de ne manger que des proies possédant une coquille. Les plus connus sont bien sûr les mangeurs d'oeufs ou oophages (Dasypeltis et Elachistodon) mais il y a aussi les amateurs d'escargots ou cochléophages (Dipsas, Duberria, Internatus, Pareas, Sibon, Sibynomorphus) ou comme Gerarda prevostiana les mangeurs de crabe (Fordonia leucobalia, Myron richardsonii) et une espèce mangeuse d'écrevisse (Regina septemvittata).

Les serpents sont connus pour avaler leur proie en entier, ce qui limite la taille de ce qu'elles peuvent manger. Mais des scientifiques ont découvert que des espèces de serpent peuvent déchirer leur proie. Ces serpents forment une boucle avec leur corps autour d'un gros crabe, notamment quand il vient juste de muer et que leur carapace est tendre, pour tenir une extrémité tout en en utilisant leur bouche pour déchirer le corps du crabe et en extraire progressivement des morceaux. Cette méthode de « boucle et de traction » permet à un serpent de manger les crabes qui sont relativement énormes (trop gros pour être avaler en entier). Plus étonnant, ceci semble être seulement basé sur un comportement unique plutôt que des traits physiques nouvellement dérivés. « Ce serpent plutôt ordinaire viole toutes règles, » dit Harold Voris, co-auteur et conservateur des amphibiens et des reptiles au Field Museum de Chicago. Gerarda prevostiana est le seul serpent pouvant dépecer une proie surdimensionnée, pourtant vous ne pourriez pas prevoir ceci sur la base de sa morphologie [forme et structure]. Il peut accomplir cet exploit seulement par un comportement unique, adaptation non morphologique. » Gerarda prevostiana. Photo pour illustration. Source: Google En fait, le comportement de vie a surmonté les limitations que les changements de forme, et de perte de membre ont imposées aux serpents tôt dans leur évolution. Harold Voris dit. « Ces résultats font la mise en demeure que seuls les changements comportementaux peuvent permettre des changements principaux et exceptionnellement un style de vie. » Les serpents et les crabes ont été attrapés dans des forêts de palétuviers de Singapour. Le comportement de alimentation unique de la « boucle utilisée par serpent et de traction », a été enregistré, dans 85% des cas, la nuit dans une salle obscure, avec des appareils-photo visuels infrarouges. Photos prise en laboratoire de nuit avec des appareils photo infrarouges. Photos pour illustration. Source: Sciences et Avenir Août 2002 et Google Les scientifiques ont capturé deux Gerarda prevostiana. qui en avait consommé des morceaux de crabes beaucoup plus gros que ceux utilisés dans les épreuves de laboratoire. Ceci a vérifié que le comportement de alimentation n'a pas été limité au laboratoire.