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  1. askook

    Reptilariums, Vivariums, Zoos....

    Touroparc 400 rue du Parc - Maison Blanche 71570 Romanèche-Thorins http://www.touroparc.com/index.php
  2. askook

    Lamprophis aurora

    Photo de Tyrone Ping pour illustration
  3. http://videos.tf1.fr/sept-a-huit/le-village-des-cobras-7239374.html
  4. Carbonemys cofrinii, une nouvelle tortue géante fossilisée en Colombie Après avoir surpris le monde en dévoilant un fossile de serpent de 13 mètres de long, la mine de Cerrejón fait à nouveau parler d’elle, cette fois pour une tortue géante d'une espèce inconnue, Carbonemys cofrinii. La carapace de ce fossile mesure 172 cm de long. Son propriétaire, qui vivait en eau douce, ne devait pas craindre pas les crocodiles, bien au contraire… Reconstitution artistique de Carbonemys cofrinii. Elle tient dans sa gueule un petit crocodilomorphe. La mine de Cerrejón, qui s’étend sur 69.000 hectares en Colombie, serait l’une des plus grandes zones d’extraction de charbon à ciel ouvert du monde. Elle a été le théâtre d’une découverte de taille en 2009. Des paléontologues y ont en effet trouvé un fossile de serpent long de 13 mètres. De son vivant, le titanesque boa de Cerrejón, Titanoboa cerrejonensi, aurait pu peser jusqu’à 1,25 tonne et se nourrissait entre autres de crocodiles. Cette région semble avoir été propice au développement de reptiles géants il y a 60 millions d’années (Paléocène), près de 5 millions d’années après la disparition des dinosaures. Des paléontologues, menés par Edwin Cadena de la North Carolina State University, viennent de décrire dans le Journal of Systematic Palaeontology une nouvelle espèce de tortue qui possédait la deuxième plus grande carapace connue pour le sous-ordre des pleurodires. Petit détail, mais qui a son importance, la tortue du charbon, c’est son nom, aurait pu manger des crocodiles. Un gigantisme d'une tortue d’eau douce Les pleurodires ont la particularité de replier leur cou horizontalement en S, et non verticalement. La nouvelle espèce, classée au sein de la superfamille des pelomedusoidés, se nomme Carbonemys cofrinii, en référence au site où elle a été trouvée et donc au charbon. Le crâne extrait de la mine mesure 24 cm de long et 16 cm de large. Une carapace trouvée à proximité, et attribuée au même animal, présente quant à elle une longueur de 172 cm. Par comparaison, les actuelles tortues géantes des Seychelles (Geochelone gigantea) ou tortues géantes des Galápagos (Geochelone nigra) atteignent une taille maximale de 120 cm. Cette nouvelle espèce n’était pas la plus grande de son époque, mais bien celle du milieu qu'elle occupait. Selon les auteurs, elle serait la première preuve de l’existence d’un gigantisme chez les tortues d’eau douce. Elle vivait dans un environnement ressemblant à celui de l’actuel delta du Mississippi, mais sous un climat plus chaud. Plusieurs changements au sein des écosystèmes de la région du Cerrejón auraient été propices au développement de reptiles de grande taille : une diminution du nombre de prédateurs, des ressources alimentaires en suffisance, une augmentation des espaces disponibles et enfin un réchauffement du climat. Des études devront maintenant confirmer ou infirmer ces hypothèses. Cet animal était omnivore mais il devait apprécier la viande. La puissance et la robustesse de ses mâchoires laissent penser qu’il pouvait très certainement se nourrir d’autres tortues ou même de petits crocodiles. Un seul spécimen de cette espèce a été trouvé à ce jour. L’un des auteurs, Dan Ksepka, avance une nouvelle hypothèse pour expliquer ce détail : les besoins de la tortue du charbon étaient tels qu’elle a probablement éliminé ou provoqué la fuite de ses concurrents. Par conséquence, il existe peu de chance de retrouver plusieurs Carbonemys cofrinii fossilisées à proximité les unes des autres. Source: http://www.futura-sciences.com/fr Article: http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/14772019.2011.569031
  5. askook

    Mon python regius

    Mâle ou femelle? Quel âge? On veut tout savoir sur ton "regius"...
  6. askook

    Ah enfin

    Enfin, les voilà... Ils sortent d'eux même ou tu as incisé les oeufs?
  7. Des chercheurs ont observé, piégés dans de l'ambre venue d'Espagne, des insectes pollinisateurs vieux de plus de 100 millions d'années. Ils constituent la plus ancienne trace de pollinisation à ce jour découverte. La plus ancienne preuve de pollinisation a été découverte au Pays Basque, en Espagne, dans des résidus d'ambre. Elle date de 105 à 110 millions d'années, durant l'ère du Crétacé, indiquent dans une étude publiée par les Proceedings of the National Academy of Sciences les chercheurs qui l'ont observée. Piégés dans des morceaux d'ambre, les insectes couverts de pollen sont minuscules. Il s'agit de spécimens de la famille des thysanoptères, également baptisés thrips, qui mesurent deux millimètres à peine de long. Grâce à leurs ailes très fines et leur longue frange ciliaire, ces insectes peuvent récolter d'importantes quantités de pollen. Au total, les scientifiques ont découvert six femelles dans l'ambre dénichée en Espagne. C'est sur des cycadales, ou des arbres appartenant à la famille du ginkgo, qu'elles auraient recueilli le pollen dont elles sont couvertes. Les chercheurs tentent désormais de comprendre pourquoi ces insectes, baptisés Gymnopollisthrips, ont ainsi butiné du pollen. Dirigés par Enrique Peñalver, ils pensent que les femelles déposaient leurs larves dans les organes reproducteurs des plantes pour qu'elles s'y développent. Les insectes se nourrissaient du pollen dont ils étaient alors couverts, expliquent-ils cités par Sciences et Avenir. Source: http://www.maxisciences.com Lien: http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/20120515.OBS5582/un-insecte-pollinisateur-contemporain-des-dinosaures.html
  8. askook

    Heloderma suspectum

    Du venin de lézard pour lutter contre la boulimie Publiant leurs travaux dans le Journal of Neuroscience, des chercheurs suédois ont découvert de prometteuses propriétés coupe-faim à une substance contenue dans la salive venimeuse du monstre de Gila, un lézard d’Amérique, substance déjà utilisée par ailleurs contre le diabète. Quoique plutôt inquiétant, le monstre de Gila (Heloderma suspectum), le plus grand lézard d'Amérique du Nord, est un ami de l’homme : une substance digestive de sa salive toxique, l'exendine-4, déjà synthétisée par les laboratoires pharmaceutiques sous le nom d’exénatide pour traiter le diabète, possède en outre des vertus anti-addictives. C’est ce que viennent de montrer des chercheurs de l'Université de Göteborg (Suède), en guérissant des rats de leur excessif appétit pour la nourriture. "C'est un effet à la fois inconnu et tout à fait inattendu. Notre décision de manger est liée aux mêmes mécanismes cérébraux que ceux qui contrôlent les conduites addictives. Nous avons montré que l'exendine-4 affecte les régions de la récompense et de la motivation dans le cerveau", explique Karolina Skibicka, membre de l’équipe de recherche citée par Science Daily. Une trouvaille qui pourrait aider les personnes suivant des régimes diététiques ou amaigrissants, trop souvent négligés ou abandonnés par envie de nourriture. Les propriétés anti-addictives de cette substance pourraient-elles s’appliquer à l’alcoolisme ? Ce n’est pas impossible. "Ce sont les mêmes régions du cerveau qui sont impliquées dans les fringales et dans les envies d'alcool, de sorte qu'il serait très intéressant de tester si l'exendine-4 réduit également l’attirance pour l'alcool", conclut le Pr Skibicka. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://www.jneurosci.org/content/32/14/4812.full.pdf+html?sid=3ca5fbd5-4dda-4219-8fe6-97b484921446
  9. askook

    Heloderma suspectum

    Le monstre de Gila (Heloderma suspectum) est une espèce de lézards venimeux de la famille des Helodermatidae, et qui vit dans les déserts du Sud-Ouest des États-Unis et au Nord-Ouest du Mexique. Étymologie Le nom de Monstre de Gila est une référence à la rivière Gila, qui traverse en particulier l'Arizona. Le nom spécifique suspectum a été donné par Cope car, lors de sa découverte en 1869, celui-ci suspectait seulement qu'il soit venimeux. Répartition Ce reptile se rencontre dans les déserts du sud-ouest des États-Unis (Californie, Nevada, Utah, Arizona, Nouveau-Mexique) ainsi que dans l'État de Sonora (Mexique)1. Description Sa taille atteint 60 centimètres. La couleur de sa peau peut être noire, rose, orange ou jaune. Venin Cette espèce produit du venin, bien qu'elle soit moins venimeuse que son cousin le lézard perlé. Ce sont les dents de la mâchoire du bas qui injectent la salive empoisonnée (c'est un mécanisme différent de celui des serpents venimeux). Il produit seulement de petites quantités de venin neurotoxique. La morsure du monstre de Gila n'est normalement pas mortelle pour l'homme, mais il est difficile de lui faire lâcher prise quand il a mordu, ses dents étant légèrement recourbées vers l'arrière. Sa salive contient de l'exendine-4, molécule participant à la stimulation du métabolisme de l'animal lors de ses rares repas2. Un dérivé de cette molécule, l'exénatide, faisant partie de la famille des incrétines est commercialisé depuis 2005, par la Food and Drug Administration comme médicament anti-diabétique. Alimentation Les proies du monstre de Gila sont de petits rongeurs, des oisillons. Il se nourrit aussi d'œufs (d'oiseau et de reptiles). Il a la capacité de ne se nourrir que trois à quatre fois par an, et garde les graisses nécessaires dans sa queue. Les graisses gardées dans sa queue lui servent de réserve pour l'hiver. Sous-espèces - Heloderma suspectum suspectum Cope, 1869 - Heloderma suspectum cinctum Bogert & Martín Del Campo, 1956 Espèce menacée Le monstre de Gila est une espèce considérée comme quasi menacée par l'UICN et elle est protégée par la loi de l'État de l'Arizona. Il apparaît dans l'Appendix II de CITES. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Heloderma_suspectum
  10. askook

    Emys orbicularis

    La tortue cistude de retour sur les rives du lac du Bourget Mercredi dernier, arrivées directement de Zoodysée, parc animalier des Deux-Sèvres, 41 tortues cistudes d’Europe, âgées d’un an et demi, d’environ 10 centimètres de diamètre pour un poids d’environ 100 grammes, ont été relâchées dans l’enclos d’acclimatation du site des Mottets. Un espace protégé à l’abri de la prédation des hérons, des gros brochets, des chiens et des hommes… 41 tortues cistudes ont été relâchées dans l’enclos d’acclimatation du site des Mottets, mercredi dernier. Un projet suivi par André Miquet, scientifique au Conservatoire du patrimoine naturel de Savoie. Photo DL/G.J. Dans un an, délivrées également de l’instinct qui pourrait les pousser à vouloir “renter chez elles”, les tortues retrouveront un écosystème qui n’attend plus qu’elles. Espèce aquatique faisant partie de la biodiversité régionale, la tortue cistude a son habitat dans les étangs, canaux et marais peu profonds envahis de végétation. Adulte, elle atteint la taille de 20 cm, un poids de 900 grammes et peut vivre jusqu’à 50 ans. La réintroduction a commencé en 2000 Pendant des dizaines de milliers d’années, l’espèce a peuplé les rives du lac du Bourget comme les berges du Rhône (on a trouvé des restes datant de la Préhistoire), mais pour de multiples raisons, elle en avait complètement disparu. Si au Moyen-Âge, on se régalait de cistudes, c’est aux 19 e et 20 e siècles que la cistude a cédé presque tout son terrain, victime de noyades dans les nasses, gobages d’hameçons, écrasement de femelles allant pondre, ramassage… mais aussi des destructions d’habitats : drainages, remblais, embroussaillements et urbanisation. Enfin aujourd’hui, à l’heure où un programme ambitieux de réintroduction est mené par le Conservatoire du patrimoine naturel de Savoie (CPNS), son existence est menacée par la tortue de Floride ou tortue à tempes rouges, espèce importée d’outre-Atlantique. C’est en 1995 que le ministère en charge de l’Environnement valide le programme expérimental de réintroduction de la cistude dans l’espace protégé du lac du Bourget. Entre 2000 et 2002, 35 tortues sont relâchées dans l’étang des Aigrettes. Un suivi intensif par radio-pistage fait ressortir des résultats encourageants : sédentarisation, survie, fidélisation au site de lâcher et bonne réaction aux perturbations. En 2009, une réintroduction de 28 tortues est effectuée au nord du lac du Bourget, près de Chanaz à l’entrée du canal de Savières, jonction naturelle entre le lac et le Rhône. Un espace où la tortue cistude avait toutes les chances de trouver un biotope adapté. La prochaine étape de réintroduction est prévue à Chindrieux. Enfin le projet étant calibré Natura 2000 (soit le lac et les 40 km de Rhône savoyard), une douzaine de sites répertoriés favorables vont faire l’objet de lâchers de centaines de jeunes tortues dans les années à venir. La réussite globale du projet, fixée à l’horizon 2020, devra en parallèle s’appuyer sur une sensibilisation du monde de la pêche et de la navigation. Source: http://www.ledauphine.com/savoie/2012/05/17/la-tortue-cistude-de-retour-sur-les-rives-du-lac-du-bourget
  11. Un python se baladait en forêt NIEDERANVEN (Luxembourg) - Samedi matin, des promeneurs ont eu la peur de leur vie lorsqu'ils ont découvert un python de deux mètres sur un chemin dans la forêt entre Niederanven et Roodt-sur-Syre. Le serpent, qui mesurait environ deux mètres de long, était blessé. Selon les constatations, il s'agirait certainement d'un animal qui aurait été déposé à cet endroit. Les pompiers ont transporté la bête à la clinique vétérinaire de Bettembourg. Source: http://www.lessentiel.lu/fr/news/dossier/faitsdivers/story/27271493
  12. askook

    petite question pour mes elaphes

    Ce sont, bien sûr les durées de gestations minimales et maximales connues... La ponte est dans la grande majorité des cas annoncée par une mue (mue de pré-ponte), généralement 8 à 22 jours avant.
  13. askook

    petite question pour mes elaphes

    De 28 à 68 jours selon les températures de maintenance. Généralement, environ 45 jours...
  14. Fin de cavale pour le serpent fugueur Le guttata a beau être non venimeux et plutôt docile, les habitants de Saint-Chéron, à Chartres, ne seraient sans doute pas ravis à l’idée de croiser ce serpent américain dans leur quartier. Qu’ils se rassurent?! Le guttata, spécimen non venimeux et plutôt docile, échappé jeudi du terrarium de son propriétaire, est retourné au bercail, vendredi, après une escapade de quelques heures. Aperçu sur le trottoir par un passant alors qu’il venait de sortir dans la rue par les canalisations, le reptile s’est ensuite réfugié dans un conduit, sous le plancher de son propriétaire. Les pompiers, dans l’incapacité de déloger l’animal, ont entrepris de bloquer les issus afin de l’empêcher de sortir. Et c’est le propriétaire du serpent qui a fini par briser son plancher pour le récupérer, sain et sauf?! Source: http://www.lechorepublicain.fr
  15. askook

    Articles de presse

    Chico, un python royal sur canapé Entouré de Jérémy, Lucie, et de leur petite Chanel, 3 ans, Chico rampe tranquillement sur le canapé du salon. Une fois par jour, le jeune python royal a le droit de sortir de son terrarium pour frotter ses écailles sur le velours des coussins. L'occasion de recevoir quelques caresses de ses maîtres et un bisou de la petite fille de la famille, pas effrayée pour deux sous. "Un serpent, j'en voulais un depuis tout petit. Chico est mon deuxième python royal. C'est l'espèce de serpents la plus manipulable, elle n'a pas de venin", explique Jérémy, adepte des animaux qui effraient les autres : enfant, il avait apprivoisé une chauve-souris et fait reproduire des araignées… "Quand il est entre nos mains, Chico nous reconnaît aux pulsations du coeur, c'est ce qu'on m'a dit. Quand il est en confiance, il se balade un peu partout. Mais on ne le laisse jamais sans surveillance avec notre fille". Dans son terrarium, Chico retrouve son biotope naturel : un sol de copeaux de bois, des branches, des feuillages, un point d'eau, et une lampe chauffante qui maintient une température de 37° le jour et 33° la nuit. "Pour son alimentation, nous lui donnons chaque semaine une souris ou de jeunes rats vivants". A chaque fois, le repas est un spectacle : "On se régale de le voir manger ! On se met tous les trois derrière la vitre pour regarder !", s'enthousiasme Lucie. A moins que le reptile ne préfère s'endormir contre sa proie : "C'est ce qu'il fait quand il n'a pas faim !". Mais petit python deviendra grand et à l'âge adulte, il devrait atteindre la taille d'1,40 m. Du coup, Jérémy pense aménager un nouveau terrarium sous le verre de la table basse du salon. A l'heure de l'apéro, les invités devraient apprécier ! Source:http://www.lindependant.fr
  16. askook

    Reptilariums, Vivariums, Zoos....

    Deux Cohabitations originales ! Le Vivarium présente une nouvelle cage extérieure, de 36 mètres carrés, dans laquelle a été créé un environnement méditerranéen. Plantes et animaux y vivent dans leur environnement naturel. On y retrouve des vipères cornues Européennes (Vipera ammodytes), surtout à l’arrière de la cage, très rocheux. Dans les parties plus arborisées, on peut observer des couleuvres à quatre raies (Elaphe quatuorlineata) et des lézards apodes des Balkans (Pseudopus apodus). Enfin, les tortues d’Hermann (Testudo hermanni) ont trouvé leur habitat dans la zone herbeuse au premier plan. Cet ensemble de quatre espèces cohabitant comme au naturel offre au visiteur la chance unique d’observer le comportement de ces différentes espèces dans une reproduction réaliste de ce qu’il verrait en pleine nature en méditerranée. Magnifique! Dans une autre cage extérieure, le Vivarium présente une cohabitation entre trois espèces, dont la couleuvre d’esculape (Zamenis longissimus), qui est le serpent le plus grand que l’on trouve en Suisse. Tout le monde le connaît sans le savoir, puisque c’est lui que l’on voit sur le sigle des pharmacies et de la médecine. Pour lui tenir compagnie, on trouve deux vipères d’Eurasie: la vipère des montagnes d’Arménie (Montivipera raddei) et la vipère des montagnes de Wagner (Montivipera wagneri), qui est la vipère la plus protégée en Europe. Une petite zone de répartition et sa grande beauté ont mis cette espèce en grande difficulté. C’est pourquoi, étant classée en danger critique d’extinction, elle figure sur la liste rouge de la sauvegarde des espèces. Source: http://actuzoo.forumactif.com
  17. Le séquençage du génome du papillon Heliconius bouleverse les théories sur le mimétisme Le mimétisme est un phénomène très répandu dans la nature : nombreuses sont les espèces qui s'imitent les unes les autres dans leur apparence afin de mieux se défendre des prédateurs. Un consortium international impliquant des chercheurs du CNRS/MNHN (laboratoire Origine, Structure et Evolution de la Biodiversité) et de l'INRA (Physiologie de l'insecte : communication et signalisation) vient pour la première fois de séquencer et d'assembler le génome complet du papillon tropical Heliconius melpomene. Grâce à ce génome de référence, les chercheurs montrent que la ressemblance mimétique est rendue possible grâce à l'échange des gènes de la couleur entre espèces différentes. Jusqu'à présent, les hybridations entre espèces voisines étaient vues comme néfastes, car produisant des descendants généralement moins compétitifs et peu performants. En réalité, elles permettent aussi le transfert de gènes offrant un avantage sélectif, ici la marque colorée de la toxicité de ces papillons pour leurs prédateurs. Ces résultats sont publiés le 16 mai 2012 sur le site de la revue Nature. Heliconius est un genre de papillon comptant une cinquantaine d'espèces présentes dans les forêts d'Amérique Centrale et du Sud. Pour les chercheurs, il constitue un modèle de choix pour étudier la sélection naturelle et les changements génétiques qui mènent à la formation de nouvelles espèces. Afin de pousser plus loin ces travaux et d'avoir une vue plus large des mécanismes génétiques en œuvre, un consortium international d'équipes de recherche a réalisé le séquençage du génome de l'un de ces lépidoptères, Heliconius melpomene, originaire du Panama. Désormais, l'ensemble du génome de ce papillon, incluant plus de 12 600 gènes répartis sur 21 chromosomes, est accessible. Si, à ce jour, relativement peu de génomes d'insectes ont été séquencés, il est encore plus rare de disposer de celui d'une espèce non domestiquée telle que Heliconius melpomene. Ce séquençage a permis d'obtenir des résultats étonnants sur le mimétisme. Il était connu des chercheurs que H. melpomene partage les motifs et les couleurs d'une espèce voisine, H. timareta. Ces deux espèces sont toxiques et les couleurs vives de leurs ailes leur permettent d'être facilement reconnues des prédateurs. En adoptant la même coloration, elles partagent le coût que représente « l'éducation » de ces derniers. En effet, c'est en mangeant quelques Heliconius que les prédateurs, des oiseaux pour la plupart, apprennent à associer les couleurs au mauvais goût et à la toxicité de ces insectes. De ce fait, la ressemblance des deux espèces constitue pour elles un important avantage sélectif. Jusqu'à présent, on pensait que ce mimétisme était dû à une convergence génétique : chaque espèce devait développer ses propres innovations génétiques permettant de ressembler à sa voisine. Mais le séquençage du génome de H. melpomene vient de démontrer que la ressemblance visuelle entre cette espèce et H. timareta est due à des accouplements croisés entre ces deux papillons. En effet, les chercheurs ont découvert que, pour ces deux espèces, les régions du génome qui contrôlent la couleur des ailes ont une origine unique et récente. Ces gènes sont donc passés de l'une à l'autre par hybridation. Les accouplements entre ces deux espèces sont très rares et seule la descendance mâle est fertile. Néanmoins, ils sont suffisants pour transmettre à l'espèce voisine les traits phénotypiques qui confèrent la ressemblance. Ces résultats mettent à mal le paradigme selon lequel l'hybridation entre espèces est forcément néfaste car elle produit des individus fragiles ou mal adaptés aux niches écologiques des espèces parentes. Au contraire, l'hybridation permet ici le passage d'innovations génétiques « prêtes à l'emploi » d'une espèce à l'autre, et constitue ainsi un moteur de l'évolution à ne pas négliger. Ces résultats pourraient s'appliquer à d'autres adaptations comme la résistance chez certains insectes tels que les moustiques Anopheles, les traits de domestication ou encore, les gènes d'immunité du génome humain. Parallèlement à l'étude du mimétisme, le séquençage du génome de H. melpomene a permis de décrire certaines fonctions peu connues chez ces lépidoptères, et là aussi les résultats bouleversent les idées reçues. On pensait notamment que les papillons diurnes, à grande acuité visuelle, avaient une communication olfactive moins développée que les papillons de nuit. Or, les chercheurs ont montré qu'au contraire, H. melpomene possède une grande diversité de récepteurs olfactifs, comparable à celle des papillons nocturnes, tel le bombyx du mûrier (ver à soie), et même des expansions de certaines familles de gènes chimiosensoriels. Ceci ouvre un vaste champ de recherche sur la complexité de la communication chimique des papillons de jour. Source: ttp://www2.cnrs.fr/presse/communique/2621.htm Article: http://www.nature.com/nature/journal/vaop/ncurrent/full/nature11041.html
  18. Heliconius melpomene est un lépidoptère appartenant à la famille des Nymphalidae, à la sous-famille des Heliconiinae et au genre Heliconius. Dénomination Heliconius melpomene a été nommé par Carl von Linné en 1758. Le nom de Melpomene est celui de la déesse de la tragédie. Noms vernaculaires Heliconius melpomene se nomme Postman Butterfly ou Common Postman en anglais. Sous-espèces Ce papillon est représenté par 27 sous-espèces : Heliconius melpomene melpomene (Linnaeus, 1758) Heliconius melpomene aglaope (C. & R. Felder, 1862) Heliconius melpomene amandus (Grose-Smith & Kirby, 1892) Heliconius melpomene amaryllis (C. & R. Felder, 1862) Heliconius melpomene anduzei (Brown & Fernández, 1985) Heliconius melpomene bellula (Turner, 1971) Heliconius melpomene burchelli (Poulton, 1910) Heliconius melpomene cythera (Hewitson, 1869) Heliconius melpomene ecuadorensis (Emsley, 1964) Heliconius melpomene euryades (Riffarth, 1900) Heliconius melpomene flagrans (Stichel, 1919) Heliconius melpomene intersectus (Neustetter, 1928) Heliconius melpomene madeira (Riley, 1919) Heliconius melpomene malleti(Lamas, 1988) Heliconius melpomene meriana (Turner, 1967) Heliconius melpomene michellae (Neukirchen, 1982) Heliconius melpomene nanna (Stichel, 1899) Heliconius melpomene penelope (Staudinger, 1894) Heliconius melpomene pyrforus (Kaye, 1907) Heliconius melpomene rosina (Boisduval, 1870) Heliconius melpomene schunkei (Lamas, 1976) Heliconius melpomene tessa (Barcant, 1982) Heliconius melpomene thelxiope (Hübner, [1806]) Heliconius melpomene thelxiopeia (Staudinger, 1897) Heliconius melpomene vicina (Ménétriés, 1847) Heliconius melpomene vulcanus (Butler, 1865) Heliconius melpomene xenoclea (Hewitson, [1853])1. Phylogénèse Des études réalisées récemment en particulier sur les mitochondries font remonter son origine à 2,1 M d'années. Il serait originaire de l'est de l'Amérique du Sud. Description C'est un très grand papillon noir qui présente de fortes différences suivant les sous-espèces avec des ornementations variables. Tous présentent des ailes allongées et arrondies noires ou marron foncées avec des ornementations identiques sur les deux faces. Les antérieures sont barrées d'une bande rouge ou cuivre, ou orange ou de taches blanches. Les postérieures sont soit totalement noires (ou marron) soit barrées d'une bande blanche ou jaune ou marron et cuivre. Heliconius melpomene présente un irisé bleuté qui le différencie de Heliconius erato. Chenilles Les chenilles sont blanches avec des marques et des épines noires. Biologie Période de vol et hivernation Il vole toute l'année. Plantes hôtes Les plantes hôtes sont des Passiflora ou passiflore, dont Passiflora oerstedii et Passiflora menispermifolia. Écologie et distribution Il réside dans le sud du Mexique, en Amérique centrale et dans le bassin amazonien (sud du Mexique, Panama, Costa Rica, Bolivie, Pérou, Équateur, Colombie, Venezuela, Surinam, Guyane française, Guyana et Brésil). Biotope Son habitat est la forêt tropicale. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Heliconius_melpomene
  19. askook

    Phelsuma inexpectata

    Le Gecko vert de Manapany vole le pollen des abeilles... C'est une découverte insolite. Notre Gécko vert de Manapany, espèce endémique de la Réunion, (Phelsuma inexpectata) serait capable de subtiliser habilement le pollen à une abeille lorsque celle-ci vient butiner à proximité de lui. L'observation a été faite par Nicole Crestey et Gaëtan Hoarau dans le cadre des actions infos-nature de l'Association citoyenne de Saint-Pierre (ACSP) : "Nous avons observé sur un latanier latanier rouge (Latania lontaroides) mâle en fleurs des Phelsuma inexpectata visiblement très intéressés par les abeilles (Apis mellifera) qui butinent autour d’eux et pas du tout par les fleurs épanouies ! "On pourrait penser à priori qu'ils vont capturer et consommer ces abeilles bien occupées à butiner, comme mentionné dans des documents tels le Plan national d'actions 2012-2016 élaboré en faveur de la protection de ce gecko vert. Eh bien, pas du tout ! A l'affût, les Phelsuma s’approchent subrepticement d’un côté de l’abeille, sautent sur la pelote jaune de pollen et la saisissent vivement dans leur gueule, avant de l’avaler. Tout ceci se déroule si rapidement qu'il est difficile de l'observer à l'oeil nu. L’abeille dépossédée ne peut que s’envoler à la suite de ce larcin" peut-on lire en guise d'explication sur le site Internet de l'association. "Est-ce un comportement nouveau et exceptionnel ? Comment ces Phelsuma ont-ils appris ce mode d’alimentation plutôt sportif et peut-être risqué ? Peuvent-ils alors être toujours considérés comme des pollinisateurs ? Indirectement peut-être en obligeant les abeilles à visiter davantage de fleurs ?" autant de questions que se posent maintenant ceux qui ont réalisé ces observations. Et nul doute, qu'ils vont continuer à observer attentivement l'exceptionnel ti gecko vert péi. Source: http://www.zinfos974.com/ Attaque pour voler la pelotte de pollen ! Attaque pour voler la pelotte de pollen ! (2) Régal du Gecko vert de Manapany
  20. Mordu par un serpent à sonnettes chez Walmart Un client de la chaîne américaine de supermarchés Walmart, venu s'équiper pour ses plants de marijuana autorisés pour usage médical, a été mordu samedi par un serpent à sonnettes, ont rapporté les médias d'outre-Atlantique. L'incident s'est produit samedi matin dans la section jardinage, à l'extérieur du magasin Walmart de Lewiston, dans l'Etat de l'Idaho. Mica Craig, âgé de 47 ans et originaire de Clarkston dans l'Etat de Washington, s'était baissé pour ramasser ce qu'il croyait être un bâton, quand il a été surpris par ce qui était en fait un serpent à sonnettes. L'animal a mordu sa victime à la main. L'homme est parvenu à s'en défaire et a piétiné le serpent jusqu'à le tuer. M. Craig a été conduit aux urgences où il a finalement reçu un traitement anti-venin pour sa main gonflée. Walmart a présenté ses excuses à la victime et enquête sur la façon dont le serpent est arrivé dans l'enceinte de son magasin. Une équipe de lutte contre les animaux nuisibles devait s'assurer du nettoyage et de la sécurisation des lieux. Source: http://www.7sur7.be
  21. Merci pour ces photos. Superbes espèces... Sais-tu pourquoi, il y a eu un taux aussi important de déchets pour la ponte du Naja kaouthia?
  22. C'est un couple que tu élèves? Quel âge à ton deuxième spécimen? De quel sexe est le spécimen qui te pose des soucis? Tes "gutt" sont peut-être en période de reproduction...
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